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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
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1 |
EURYALE |
Et que, malgr? l'emploi qu'il exerce aujourd'hui |
Acte 2, sc. 1, v. 202 |
2 |
MORON |
Contait pour grand honneur aux pasteurs d'aujourd'hui |
Acte 2, sc. 2, v. 310 |
3 |
LA PRINCESSE |
Seigneurs, que quel que f?t le sanglier d'aujourd'hui, |
Acte 2, sc. 3, v. 350 |
4 | MORON |
La plupart des femmes aujourd'hui se laissent prendre par les oreilles : elles sont cause que tout le monde se m?le de musique, et l'on ne r?ussit aupr?s d'elles, que par les petites chansons, et les petits vers qu'on leur fait entendre. |
Acte 5, sc. 1, MORON, phrase 7 |
5 | CYNTHIE |
Il sort vainqueur de cette course, mais je doute fort qu'il en sorte avec le m?me coeur qu'il y a port? : car enfin, vous lui avez tir? des traits dont il est difficile de se d?fendre, et sans parler de tout le reste, la gr?ce de votre danse, et la douceur de votre voix ont eu des charmes aujourd'hui ? toucher les plus insensibles. |
Acte 6, sc. 1, CYNTHIE, phrase 2 |
6 | LA PRINCESSE |
J'ai toujours regard? l'hymen comme une chose affreuse, et j'avais fait serment d'abandonner plut?t la vie, que de me r?soudre jamais ? perdre cette libert? pour qui j'avais des tendresses si grandes ; mais, enfin, un moment a dissip? toutes ces r?solutions, le m?rite d'un prince m'a frapp? aujourd'hui les yeux ; et mon ?me tout d'un coup ( comme par un miracle ) est devenue sensible aux traits de cette passion que j'avais toujours m?pris?e. |
Acte 8, sc. 1, LA PRINCESSE, phrase 2 |
7 | EURYALE |
Je le suis, ? la v?rit?, et j'admire, Madame, comme le Ciel a pu former deux ?mes aussi semblables en tout que les n?tres : deux ?mes en qui l'on ait vu une plus grande conformit? de sentiments, qui aient fait ?clater, dans le m?me temps une r?solution ? braver les traits de l'Amour, et qui dans le m?me moment aient fait para?tre une ?gale facilit? ? perdre le nom d'insensibles : car enfin, Madame, puisque votre exemple m'autorise, je ne feindrai point de vous dire que l'amour aujourd'hui s'est rendu ma?tre de mon coeur, et qu'une des Princesses, vos cousines, l'aimable et belle Aglante, a renvers? d'un coup d'oeil tous les projets de ma fiert?. |
Acte 8, sc. 1, EURYALE, phrase 1 |
8 | LA PRINCESSE |
Vous m'avez toujours t?moign? une tendresse extr?me, et je crois vous devoir bien plus par les bont?s que vous m'avez fait voir, que par le jour que vous m'avez donn? : mais si jamais pour moi vous avez eu de l'amiti?, je vous en demande aujourd'hui la plus sensible preuve que vous me puissiez accorder ; c'est de n'?couter point, Seigneur, la demande de ce prince, et de ne pas souffrir que la Princesse Aglante soit unie avec lui. |
Acte 10, sc. 2, LA PRINCESSE, phrase 2 |