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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
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1 |
EURYALE |
Et ce passage offrit la Princesse ? mes yeux ; |
Acte 2, sc. 1, v. 111 |
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2 |
ARBATE |
Ne lui cachez donc plus le pouvoir de ses yeux, |
Acte 2, sc. 1, v. 178 |
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3 | MORON |
Beaux yeux brillants et bien fendus ! |
Acte 3, sc. 2, MORON, phrase 13 |
4 |
LA PRINCESSE |
On n'y d?couvre rien qui n'enchante les yeux? |
Acte 4, sc. 1, v. 392 |
5 | IPHITAS |
Je souhaite, ? la v?rit?, que ton coeur puisse aimer quelqu'un : tous mes voeux seraient satisfaits, si cela pouvait arriver, et je n'ai propos? les f?tes et les jeux que je fais c?l?brer ici qu'afin d'y pouvoir attirer tout ce que la Gr?ce a d'illustre ; et que parmi cette noble jeunesse tu puisses enfin rencontrer o? arr?ter tes yeux et d?terminer tes pens?es. |
Acte 4, sc. 4, IPHITAS, phrase 2 |
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6 | EURYALE |
Moron, je te l'avoue, j'ai ?t? enchant?, et jamais tant de charmes n'ont frapp? tout ensemble mes yeux et mes oreilles. |
Acte 6, sc. 2, EURYALE, phrase 2 |
7 | EURYALE |
Jamais son visage ne s'est par? de plus vives couleurs, ni ses yeux ne se sont arm?s de traits plus vifs et plus per?ants. |
Acte 6, sc. 2, EURYALE, phrase 4 |
8 | EURYALE |
Non, Madame, rien n'est capable de toucher mon coeur,, ma libert? est la seule ma?tresse ? qui je consacre mes voeux ; et quand le Ciel emploierait ses soins ? composer une beaut? parfaite, quand il assemblerait en elle tous les dons les plus merveilleux et du corps et de l'?me, enfin quand il exposerait ? mes yeux un miracle d'esprit, d'adresse et de beaut?, et que cette personne m'aimerait avec toutes les tendresses imaginables, je vous l'avoue franchement je ne l'aimerais pas. |
Acte 6, sc. 4, EURYALE, phrase 1 |
9 | PHILIS |
Il y a longtemps que tes yeux me parlent ; mais je suis plus aise d'ou?r ta voix. |
Acte 7, sc. 1, PHILIS, phrase 3 |
10 | LA PRINCESSE |
J'ai toujours regard? l'hymen comme une chose affreuse, et j'avais fait serment d'abandonner plut?t la vie, que de me r?soudre jamais ? perdre cette libert? pour qui j'avais des tendresses si grandes ; mais, enfin, un moment a dissip? toutes ces r?solutions, le m?rite d'un prince m'a frapp? aujourd'hui les yeux ; et mon ?me tout d'un coup ( comme par un miracle ) est devenue sensible aux traits de cette passion que j'avais toujours m?pris?e. |
Acte 8, sc. 1, LA PRINCESSE, phrase 2 |
11 | EURYALE |
Il faut que ce miracle ?clate aux yeux de tout le monde, et nous ne devons point diff?rer ? nous rendre tous deux contents. |
Acte 8, sc. 1, EURYALE, phrase 4 |
12 | LA PRINCESSE |
Sors de mon coeur, qui que tu sois, ennemi qui te caches, attaque-moi visiblement, et deviens ? mes yeux la plus affreuse b?te de tous nos bois, afin que mon dard et mes fl?ches me puissent d?faire de toi. |
Acte 8, sc. 6, LA PRINCESSE, phrase 13 |
13 | LA PRINCESSE |
Il me devait aimer comme les autres, et me laisser au moins la gloire de le refuser : sa d?claration me fait un affront, et ce m'est une honte sensible, qu'? mes yeux, et au milieu de votre Cour, il a recherch? une autre que moi. |
Acte 10, sc. 2, LA PRINCESSE, phrase 2 |
14 | LA PRINCESSE |
Oui, Seigneur, sans doute, et s'il obtient ce qu'il demande, vous me verrez expirer ? vos yeux. |
Acte 10, sc. 2, LA PRINCESSE, phrase 1 |
15 | IPHITAS |
Le m?rite de ce Prince t'a fait ouvrir les yeux, et tu l'aimes, enfin, quoi que tu puisses dire. |
Acte 10, sc. 2, IPHITAS, phrase 2 |
16 | EURYALE |
C'est trop vous tenir dans l'erreur, il faut lever le masque, et dussiez-vous vous en pr?valoir contre moi, d?couvrir ? vos yeux les v?ritables sentiments de mon coeur. |
Acte 10, sc. 2, EURYALE, phrase 2 |