******************************************************** DC.Title = LA DESTRUCTION DE LA LIGUE, ou LA RÉDUCTION DE PARIS. DC.Author = MERCIER, Louis Sébastien DC.Creator = FIEVRE, Paul DC.Subject = Drame DC.Subject.Classification = 842 DC.Description = Edition du texte cité en titre DC.Publisher = FIEVRE, Paul DC.Contributor = DC.Date.Issued content = DC.Date.Created = DC.Date.Modified = Version du texte du 08/05/2020 à 13:36:47. DC.Coverage = France DC.Type = text DC.Format = text/txt DC.Identifier = http://www.theatre-classique.fr/pages/documents/MERCIER_DESTRUCTIONDELALIGUE.xml DC.Source = http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k72748t DC.Language scheme = UTF-8 content=fr DC.Rights = Théâtre Classique, (creative commons CC BY-NC-ND) *************************************************************** LA DESTRUCTION DE LA LIGUE LA RÉDUCTION DE PARIS. PIÈCE NATIONALE en 4 actes 1783. par L.-S. Mercier. À NEUCHATEL, De l'imprimerie de la Société Typographique. Représentée pour la première fois à Paris en 1782. PRÉFACE C'est à la poésie dramatique qu'il appartient d'animer l'histoire languissante et froide dans ses narrations ; de retracer avec précision et vérité les événements les plus faits pour instruire les siècles futurs, en leur exposant les tableaux des calamités passées ; calamités toujours prêtes à renaître, et que les hommes ne pourront éviter qu'en rejetant les opinions absurdes de leurs ancêtres, et en gémissant sur leur aveuglement et leur frénésie. C'est un miroir immortel, où l'homme aperçoit combien il lui importe de dissiper l'erreur, toujours si funeste, et toujours si prompte à dominer la plus nombreuse portion du genre-humain. On a voulu peindre dans ce drame, l'époque la plus désastreuse et la plus extraordinaire de nos annales. Jamais le fanatisme, dans aucun siècle, ne leva une tête plus hideuse et plus triomphante. La foule des événements, le caractère des personnages, les combats opiniâtres de la politique et de la superstition, les talents, les erreurs, le courage et les crimes, tout fait tableau ; et ce tableau n'est pas indifférent à tracer. Il exposera, dans un jour évident, par quel singulier hasard est monté sur le trône de France, le père de la dynastie régnante. On aimera, je crois, à contempler de quel orage fut agité et battu le tronc nu et dépouillé, qui, reverdissant depuis, a étendu ses branches et ses superbes rameaux sur plusieurs trônes de l'Europe : haute fortune qu'elle ne contemple aujourd'hui qu'avec des yeux jaloux. Mais à quoi tenait-il alors que la France ne prît une autre forme et une toute autre combinaison ? Tous les esprits étaient ardents et fiers à l'excès, avaient une volonté forte et déterminée. Tous les bras étaient vigoureux et armés ; la force, l'opiniâtreté, l'enthousiasme, tout annonçait la vie du corps politique. Pourquoi cette force immense ne fut-elle pas dirigée, dans ce siècle de barbarie, par des idées saines et des principes restaurateurs de la liberté ? Pourquoi un peuple a-t-il épuisé sa constance pour des chimères, au lieu de conquérir des avantages réels, et qui étaient alors en sa puissance ? Ainsi, par une opposition fatale et trop bien marquée dans l'histoire, le courage et les lumières ne se rencontrent jamais ensemble. L'intrépidité soutenue appartient à tel siècle, et ce n'est qu'une force aveugle qui se meut au hasard. Les idées politiques et justes naissent dans un autre siècle, et les bras sont énervés, amollis, les âmes faibles, dégradées, sans vigueur et sans caractère. Les temps de nos guerres civiles sont ceux où, malgré le fanatisme, le philosophe aime à reconnaître du moins les âmes fortes, hardies, passionnées ; et il regrette alors que ces rares vertus de l'homme n'aient pas été appliquées avec plus de discernement à des causes vraiment grandes, patriotiques, et dignes de sa valeur. Ainsi le fanatisme de ce siècle doit être doublement en horreur aux philosophes, en ce qu'il a corrompu ce qu'il y a souvent sur la terre de plus utile à un peuple opprimé et généreux ; la guerre civile. Nos voisins sont sortis triomphants avec la liberté, de ces mêmes guerres où s'agitaient leurs nobles courages. L'Angleterre, la Hollande, la Suisse, etc. ont racheté de leur sang les droits de l'humanité ; et nous, après tant d'efforts, de combats, lorsque ces mêmes convulsions révélaient la force des individus et le tempérament robuste de l'état, las, affaissés, retombant sur nous-mêmes, nous avons ployé sous le joug de Richelieu, vingt-deux ans, après tant d'exemples de fermeté et de constance. On s'était égorgé pendant trente-cinq ans pour des illusions ; et la nation, ayant l'épée au poing, ne sut ni connaître ni raisonner ses vrais intérêts politiques. Remontons à l'origine de cette ligue fameuse qui pouvait régénérer l'état, et ne fit que le troubler ; qui fut d'abord instituée par les plus sages motifs, et dégénéra par le fanatisme des prêtres ; qui eut de grands hommes et de véritables patriotes pour appui, et qui ensuite se perdit honteusement dans l'absurdité des querelles théologiques. Tâchons de découvrir ce que les historiens timides, prévenus ou adulateurs, ont craint d'exposer. À un certain éloignement, les vraies causes des événements disparaissent, et l'on ne voit plus que les couleurs prédominantes qu'il a plu à certaines plumes trompées ou vénales de donner aux objets. Appuyons-nous sur les faits ; cherchons surtout quelle était alors la disposition d'esprit des peuples : elle laisse une empreinte visible, et la vérité nue a une énergie qui lui est personnelle. L'administration paternelle de Louis XII fut malheureusement de courte durée. Malgré plusieurs fautes politiques, il laissa le royaume riche, bien cultivé ; et la culture est le gage le plus assuré de l'heureuse population. Et jetant les yeux sur son successeur, ce bon roi, dont on doit bénir la mémoire, et qui se connaissait en hommes, s'écriait, en soupirant : oh ! Nous travaillons en vain ; ce gros garçon nous gâtera tout. il ne prophétisa que trop bien. François Ier n'eut aucune des qualités nécessaires pour gouverner un état. Il en eut même de funestes. Une bravoure déplacée, un esprit dissipateur, une présomption orgueilleuse, du goût pour une domination arbitraire, un faste prodigue, une avidité coupable séparèrent dès-lors les intérêts du prince de ceux de ses peuples. Son amour pour les arts naissants tenait plutôt à la passion du luxe qu'à celle de l'humanité. Ce ne sont pas, en effet, les tableaux, les statues, les palais, la musique, les vers et les chansons, jouissances particulières des exacteurs et des déprédateurs publics, qui établissent le bonheur d'une nation. Les écrivains eux-mêmes se sont trompés trop fréquemment à ces marques équivoques. Mais la postérité de François Ier n'occupa le trône que pour en être l'opprobre. Quatre règnes détestables et successifs, marqués partout ce que le crime et le vice ont de honteux et de funeste, écrasèrent le royaume ; et dans l'espace de quarante-deux ans, ce ne fut qu'un enchaînement de violences, de cruautés et de perfidies. La mollesse de Henri II et son abnégation devant la duchesse de Valentinois et ses favoris ; la puérile faiblesse de François II aux genoux des princes de Guise et de leurs créatures ; la férocité et la démence de Charles IX ; les débauches infâmes de Henri III, ses viles superstitions, ses profusions immenses ; tous ces rois pervers dégradèrent la majesté royale, la nation française et l'humanité. Ils offrent à la main équitable de l'histoire une physionomie propre à y graver la honte ; car elle doit une flétrissure particulière à ces grands ennemis de la patrie, qui la déchirèrent du haut de leur trône. Catherine de Médicis avait, pour étendre son autorité, d'un côté le poison, et de l'autre une troupe de filles galantes pour corrompre, énerver les princes de la cour, et attirer à elle tous les secrets. Elle cherchait la pierre philosophale avec ses sorciers et ses souffleurs ; et non moins avide de fouler le peuple avec ses traitants italiens, elle envoyait le roi faire enregistrer au parlement les édits que cette infâme troupe avait fabriqués. Le roi allait, avec une sorte d'intrépidité, affronter la haine et le mépris des peuples. Les hommes sont bien patients ; mais à la fin, quand ils sont trop outragés, ils se réveillent de leur léthargie, deviennent furieux, et réagissent contre un pouvoir tyrannique. Les désastres publics prouvent toujours que le gouvernement est très-mauvais. Tous les ordres de l'état, également mécontents, se soulevèrent presqu'à la fois. Voilà ce qui donna de la force et du caractère à la ligue naissante ; et je crois découvrir sa véritable origine dans l'extrême malheur des peuples. Différents prétextes échauffèrent sans doute les esprits ; mais tous parurent se réunir contre le trône. Les vrais motifs des guerres civiles ne furent pas la défense du catholicisme . Il faut lire, dans les écrits du temps, de quelle haine juste et violente on était animé contre les enfants de Catherine de Médicis, et les plaintes aiguës qu'on jetait de toutes parts. Le peuple aperçut alors le duc de Guise, brave, généreux, magnanime, populaire, gémissant sur son oppression, le consolant, le soulageant ; on le vit comme le protecteur de la nation et le réclamateur de ses droits oubliés. Il y avait le parti des politiques , qui, pour être le moins nombreux, n'en avait pas moins d'influence sur les esprits. Tous les protestants non fanatiques, tous ceux qui pensaient, furent de ce parti, qui tendait réellement à la réforme des vexations émanées du trône. Le duc d'Alençon se mit à la tête ; le roi de Navarre et le prince de Condé, réputés catholiques, se rangèrent sous le même étendard ; plusieurs hommes vertueux, distingués par leurs lumières, embrassèrent ce parti, et notamment le sage et brave Lanoue, qui, d'après des conseils mûrement pesés, fit recommencer la guerre civile. De quelque manière enfin que l'on envisage la ligue dans ses commencements, on ne peut la considérer que comme un combat entre la tyrannie et la liberté. La preuve la plus authentique, c'est qu'en un instant tout devint soldat en France, d'un bout du royaume à l'autre. Paysans, bourgeois, artisans, tous se jetèrent avec ardeur dans cette guerre civile ; ce qui démontre que les hommes étaient parvenus à ce degré d'impatience de leurs maux, où, las de souffrir, ils tranchent leurs liens avec le glaive. On les vit échanger leur vie contre le seul espoir du soulagement. Quand vous verrez la tyrannie, l'anarchie n'est pas éloignée. Nous ferons quelques réflexions sur la guerre civile. C'est la plus affreuse de toutes, sans doute ; mais c'est la seule, peut-être, qui soit utile, et quelquefois nécessaire. Quand un état est parvenu à un certain degré de dépravation et d'infortune, il est agité de mille maux intérieurs. La paix, qui est le plus grand bien, lui est échappée, et cette paix ne peut plus être malheureusement que l'ouvrage de la guerre civile. Il faut alors la conquérir les armes à la main, pour rétablir l'équilibre. La nation qui sommeillait dans une inaction molle, sentiment habituel de l'esclave, ne reprendra sa grandeur qu'en repassant par ces épreuves terribles, mais propres à la régénérer. Ce n'est qu'en tirant l'épée, que le citoyen pourra jouir encore du privilège des lois ; privilège que le despote voudrait ensevelir dans un éternel silence. Deux nations voisines et égales en force, qui se font la guerre, ne gagnent, après de longues secousses, qu'un épuisement mutuel. Elles se choquent d'une manière toujours funeste ; elles sont dans l'impuissance de se fondre l'une dans l'autre, et la guerre conséquemment ne fait qu'accroître et irriter leurs blessures. L'auteur de l'esprit des lois dit que la vie des états est comme celle des hommes. Deux nations armées se font donc des maux irréparables, et le sang est versé dans d'inutiles batailles. Mais la guerre civile est une espèce de fièvre qui éloigne une dangereuse stupeur, et raffermit souvent le principe de vie. Les intérêts de cette guerre sont toujours connus. Chaque esprit les discute ; et après les attentats tyranniques, elle devient même inévitable, parce qu'elle rentre alors évidemment dans le cas de la défense naturelle, et que chacun est appelé à soutenir ses droits. Une criminelle neutralité devient même impossible aux citoyens. L'ambition, la folie, la vaine gloire des conventions de famille, des traités obscurs ou bizarres, des intérêts presque toujours étrangers aux peuples, font les autres guerres. La guerre civile dérive de la nécessité et du juste rigide ; le droit incontestable étant violé, la guerre réparatrice devient légitime, parce qu'il n'y a plus d'autres moyens pour la partie lésée. Cette guerre que j'appellerais sacrée, est vraiment entreprise pour le salut de l'état. Quant aux suites, rarement sont-elles funestes à ce même état. Les nations sortent redoutables de ces débats intestins. Les lumières politiques sont plus répandues, les bras plus fermes et plus exercés. La fureur et la violence de cette guerre la rendent même de courte durée ; elle ne connaît pas ces temporisations cruelles, dictées par des chefs tranquilles au fond de leurs cabinets ; elle ne connaît pas ces reprises qui éternisent les combats et font couler goutte à goutte le sang des hommes. Le sang coule à propos et élancé de veines généreuses ; la querelle est promptement vidée ; l'état tombe, ou est réparé. Voyez l'histoire : presque toutes les guerres civiles, en élevant les âmes, en fortifiant les courages, en répandant la vertu belliqueuse dans tous les esprits, en les échauffant pour la patrie, ont amené la liberté républicaine ; les lois étouffées renaissent parmi le bruit des armes. Chaque individu stipule hautement pour ses propres intérêts, et la nation armée pour la grande cause du rétablissement de ses droits, lève une tête florissante, et en impose à ses voisins lorsqu'on la croit ensevelie sous ses ruines. C'est ce qui est arrivé dans l'empire romain, en Angleterre, en Hollande, et dans tous les états qui jouissent aujourd'hui de quelque liberté ; c'est ce que nous ne tarderons pas à voir en Amérique, où se jettent les fondements d'une république nouvelle et vaste, qui deviendra l'asile du genre humain, foulé dans l'ancien monde. Toutes ces secousses politiques ont produit partout des changements heureux. Mais par une exception fatale, la France n'a point recueilli le fruit de ses longues discordes. C'était le moment pour elle, après tant d'instabilité, de prendre une forme permanente : elle était dans une crise où tout annonçait la vigueur et la forme ; mais les personnages de la guerre civile, et même les corps assemblés, en s'agitant de tant de manières, ne surent point faire un seul pas vers la liberté. Indifférents, ou plutôt aveugles sur leurs intérêts, les peuples ne surent ni les connaître, ni les étudier, ni même les deviner par instinct ; instinct qui a appartenu aux nations les plus grossières, capables des plus grandes choses dans des temps encore plus ténébreux. J'ai cherché vainement, dans les écrits de ce temps-là, si je ne rencontrerais pas quelque trait qui tendît à indiquer ces circonstances comme favorables pour opérer une révolution salutaire. L'éclipse de l'esprit humain à cet égard est totale et profonde ; tous ces écrivains se débattent entre des mots vides de sens, oublient les privilèges essentiels de l'homme ; ne parlent que de la messe , et ne tremblent que pour elle. Ces fameux états tenus à Blois, ces assemblées nationales, devant lesquelles s'anéantit la majesté royale, et qui, dans leur solennelle convocation, auraient pu rétablir le royaume, en réprimant les abus les plus dominants, perdirent le temps en déplorables disputes. Au-lieu de défendre les droits du peuple, ils s'occupèrent de la transsubstantiation et du concile de Trente. Il s'agissait de la cause la plus noble, la plus importante, sans doute, de réparer les maux antiques faits à la patrie. Ces idées furent à peine aperçues ou indiquées ; le misérable esprit de controverse gâta tout. Ils agitèrent qu'il ne fallait qu'une religion, puisqu'il n'y avait au ciel qu'un dieu. Ils parlèrent néanmoins, comme par hasard, de punir les traitants et les mignons, de supprimer tous les impôts arbitraires ; mais plus coupables que s'ils n'en eussent point parlé, ils abandonnèrent ces grands objets si intéressants à examiner et à débattre. En lisant leurs cahiers, on croirait être assis sur les bancs de la Sorbonne, et y entendre le jargon des ergoteurs, au-lieu du langage des hommes d'état. Le fier duc de Guise, l'idole de Paris, et qui avait mérité cette idolâtrie par ses qualités héroïques et populaires, plein d'audace et de courage, touchant du pied les degrés du trône, mit à profit cette haine universelle contre Henri III, et fondée sur les plus grands motifs qu'une nation puisse avoir ; mais il méprisa trop son roi. Il n'aperçut ni sa haute fortune, ni toute la faveur du peuple ; il perdit l'occasion de régner sur la nation, qui déjà l'adorait. Guise, content d'avoir avili le trône par la supériorité de son génie, temporisa ou dédaigna de s'y asseoir. Il emporta dans le tombeau, aux yeux du peuple, le nom d'un héros magnanime. On crut qu'il n'avait pas voulu acheter une couronne par un crime qui lui aurait été si facile, et dont il aurait été absous par la voix publique, et peut-être même par la voix de la postérité. Le faible Henri III pendant ce temps, se montrant en public avec des petits chiens qu'il portait pendus à son cou dans un panier , dépensant des sommes immenses pour des singes , des perroquets, des moines et des mignons , déjà tondu dans l'opinion publique et enfermé dans un couvent d'après le voeu général, non moins ridicule qu'odieux, répondit à son adversaire, en le faisant assassiner. Il n'imagina pas d'autres moyens pour retenir la couronne qui chancelait sur sa tête : mais ce fut pour lui un crime de plus, qui ne fit qu'augmenter l'exécration publique. Il parut avoir frappé son souverain : dès lors le cri universel dirigea contre lui le couteau dont bientôt un jacobin lui ouvrit le flanc ; et la France entière, dans l'ivresse de la joie et de la vengeance, applaudit au régicide. Quelle leçon pour les rois prévaricateurs ! Les enfants de Catherine de Médicis, comme frappés de la malédiction des peuples, descendirent tous au tombeau avant le temps, et sans lignée. La mort moissonna dans leur jeune âge, et Charles IX, et Henri III, et les ducs d'Alençon et d'Anjou, et toute cette race de mauvais et d'indignes princes, qui n'eurent d'activité que pour le mal. La nation se regarda bientôt comme délivrée d'un fléau qui préparait sa ruine entière. Tout retentissait de cris d'allégresse ; c'était peut-être le moment, pendant cet interrègne, de rétablir les droits de la nation. Elle était remise à elle-même ; elle ne connaissait pas alors les vertus héroïques de Henri IV, qui était pour elle dans le plus grand éloignement. On avait détesté la maison de Valois ; on n'aimait guère plus la maison de Bourbon ; on la regardait, disent tous les historiens, comme une branche égarée, perdue et bâtarde. tous les voeux étaient pour les Guises, qui étaient populaires et montraient du génie. Henri IV n'était aux yeux du peuple qu'un protestant qui renchérirait bientôt sur les attentats d'un roi catholique, et qui de plus détruirait la messe dans Paris. Le sang des Guises existait encore ; on le faisait remonter jusqu'à Charlemagne ; et ce sang versé sous ses yeux et pour sa cause, semblait devoir lui devenir encore plus cher. Mayenne avait à venger ses deux frères tués à Blois. Seul reste de cette maison formidable, il ne figura point pour un chef de parti d'une manière ferme et décidée. En vain sa mère lui redemandait ses fils massacrés ; en vain la veuve du duc et sa soeur criaient vengeance ; en vain la nation cessait d'être royaliste. Calme, irrésolu, modéré, il semblait redouter d'être élu roi. N'ayant rien de commun avec le sang bouillant de ses frères, il n'était pas né pour se trouver dans cette grande crise de l'état. Mayenne, avec plus de fermeté et d'audace aurait pu mettre la couronne sur sa tête. Les ducs, les comtes, etc. La noblesse enfin était toute prête à se vendre. En donnant des gouvernements, en prodiguant les places les plus éminentes aux plus ambitieux, en poussant le roi de Navarre à toute outrance, il est probable qu'il aurait réussi. Le jeune duc de Guise, son neveu, enfermé pour lors, n'aurait pas nui à ses desseins ; mais Mayenne, d'ailleurs habile capitaine, n'avait point d'activité, et il ne connut pas le prix des moments. La nation dans cette forte épreuve, pleine du sentiment de ses maux et douée du plus grand ressort, égara son courage, et ne sut point établir ni même proposer une forme de gouvernement qui éloignât les désastres passés, dont le peuple avait fait une si longue et si cruelle expérience ; elle ne songea point à opposer une juste résistance à ce pouvoir énorme qui depuis Louis XII avait foulé et avili l'état. Déplorable aveuglement du siècle ! Fatale erreur ! La France ayant à choisir, à nommer son monarque, ne conçut aucune idée politique. Armée, forte, vigoureuse, couverte d'acier, elle se jeta dans le dédale épineux des disputes théologiques ; et s'enfonçant dans ces routes tortueuses, elle oublia le fer qu'elle tenait, et l'époque la plus heureuse et la plus rare pour dresser un contrat social. Henri IV tira l'épée pour régner. Mais ce qui le justifie, c'est que la force alors répondait à la force, et qu'il opposait le glaive au glaive. Le succès du prétendant était plus que douteux. Ses droits, quoique légitimes, pouvaient être annulés par la volonté des peuples, par leur opiniâtre résistance, ou par le cours des événements. L'ascendant terrible de la religion, les anathèmes multipliés, et qui invitaient les poignards du fanatisme, pouvaient encore à leur défaut l'éloigner à jamais du trône. Il eût alors accepté bien volontiers toutes les conditions qu'on lui eût imposées. Il avait de l'héroïsme ; il eût commandé avec joie à une nation libre : elle pouvait, en lui mettant la couronne sur la tête, lui dicter un contrat généreux, qu'il eût signé avec noblesse. Mais que lui enjoignit-on ? Ce qui était le plus indifférent pour le gouvernement d'un état, de se faire catholique et d'entendre tous les jours la messe . Ce fut l'unique condition qu'on lui imposa ; et l'on crut alors avoir gagné un point de législation important, un gage éternel de la félicité publique. Les grands, plus habiles et plus lâches, vendirent à beaux deniers comptants leur servile obéissance, et ne songèrent qu'à dresser des traités particuliers. Henri IV promit tout ce qu'on voulut, s'engagea à payer les sommes les plus fortes ; et chaque homme en place dans cette anarchie tumultueuse, ne suivant que des intérêts petits et sordides, parut méconnaître ou plutôt mépriser l'intérêt général. Qu'arriva-t-il ? Le despotisme de Richelieu, contre la nature éternelle des choses, sortit du sein de ces guerres civiles. Il en sortit pour punir ce même peuple qui avait eu le courage de s'armer, de mourir, et qui en combattant valeureusement pour des opinions stériles, n'avait pas su composer un raisonnement utile. Vingt-deux années après, Richelieu devait régner ; ce Richelieu qui brisa la tête de ces mêmes grands qui s'étaient vendus, eux et leur postérité. Ce cardinal, avec l'audace d'un prêtre qui n'a ni patrie ni enfants, osa détruire tous les poids intermédiaires ; et Louis XIV, dont il aplanit la trop superbe route, entra ensuite en bottes et le fouet à la main au milieu des dépositaires, des organes et des gardiens de nos lois, (qui, en l'absence des états-généraux, les suppléaient nécessairement). Il leur défendit jusqu'à des remontrances ; et depuis, quand ce corps de magistrature, vains simulacres de nos antiques libertés, et frappés du mépris royal, vinrent représenter humblement aux genoux du monarque ses vexations, ses injustices, ses erreurs, ses profusions, etc. Le monarque répondit théologiquement, en les chassant de son palais : je ne dois aucun compte à la nation, je ne tiens ma couronne que de Dieu. Arrêtons-nous, et considérons présentement dans le peuple qui souffrit tant et qui ne gagna rien ; examinons la force des préjugés de ce siècle, la lenteur des vraies connaissances, ce qu'occasionne l'abâtardissement des esprits, et combien il est nécessaire qu'ils soient éclairés par les lumières de la bienfaisante philosophie qui s'oppose de tout son pouvoir aux servitudes nationales. Tandis que, privé d'une utile clarté, ce peuple faisait des prodiges de valeur qu'il aurait pu mieux employer, le cardinal Granvelle, appuyé de ce Philippe II, ennemi farouche de toute liberté civile, politique et religieuse, voulait le surcharger encore du fardeau de l'inquisition, et il y tendait les mains, souffrant de la famine et plongé dans les horreurs de la guerre. Et à quoi se bornoient les réclamations de ce peuple vaillant ; à ce cri général et inconcevable, comment recevoir un hérétique dans le trône de Saint-Louis ? Quelle était donc cette horreur invincible pour le protestantisme ? Le catholicisme avait-il jamais établi les moindres libertés de ce peuple ? Au contraire, c'était un nouveau joug ultramontain et honteux, ajouté à tant d'autres. Le peuple ne songea ni au pacte social, ni à ses privilèges, ni à ses franchises. pour être roi de France, disait-on alors, il est plus nécessaire d'être catholique que d'être homme. tous les adhérents de Henri étaient traités de criminels de lèse-majesté divine et humaine ; termes devenus depuis si familiers aux fanatiques de toutes les sectes. Henri monta sur le trône après s'être battu en vrai soldat. Paris lui ouvrit ses portes, renonçant tout-à-coup à son ardente opiniâtreté, et satisfait d'avoir défendu courageusement la transubstantiation. La France devint sa conquête ; il en acheta des parties démembrées par la cupidité des grands qui les retinrent quelques années, et qui ne rougirent pas ensuite de les lui vendre, pour ainsi dire, une seconde fois. On ne voit pas sans surprise que leurs descendants aient osé appeler fidélité, amour, ce qui n'était alors qu'une avarice déguisée sous les dehors les moins trompeurs. Voyez les mémoires du temps. Le bon Henri se trouva dans l'impuissance d'acquitter ses promesses, tant on lui avait imposé de conditions pécuniaires et onéreuses. Il avait déjà payé trente-deux millions à cette noblesse vénale et intéressée, qui lui avait fait acheter sa respectueuse soumission. Henri eut besoin, sans doute, des qualités d'un négociateur pour concilier les français, les allemands, les anglais, les hollandais qui servaient dans son armée. Il avait à étouffer l'envie et la jalousie de ces grands qui se façonnaient déjà à l'art du courtisan. Établir l'union parmi tant de sujets de discorde, devenait un ouvrage qui exigeait une adresse peu commune ; il l'eut. Il pardonna, il oublia les injures passées ; il fut un bon roi sur le trône, parce qu'il avait essuyé la mauvaise fortune, et qu'il avait reçu la meilleure éducation, celle des revers. Il avait souvent manqué du nécessaire ; il songea dans la suite à ceux qui en manquaient. Il fut trois ans prisonnier d'état ; il ne convertit point son autorité en despotisme. Il avait hasardé sa vie dans les batailles ; il sut être clément après la victoire. Il avait vu plus d'une fois le poignard levé sur son sein ; il respecta le sang des hommes. S'il changea de religion, ce fut plus par politique que par conviction. Nous avons des témoignages non équivoques de sa façon de penser. En butte aux poignards des catholiques, outragé par les papes, qui, connaissant bien leur siècle, lançaient du haut du Vatican ces foudres qui retentissaient alors dans toute l'Europe, décrié par ces frénétiques déclamateurs si éloquents pour le peuple, lassé de leurs violences et de leurs perfidies, il écrivait à Corisande D'Andouin : tous ces assassins, tous ces empoisonneurs sont tous papistes, et vous êtes de cette religion ! j'aimerais mieux me faire turc. il exposa les raisons politiques de son changement à Élisabeth, reine d'Angleterre : il mandait à Gabrielle d'Estrées, en parlant de son abjuration : c'est demain que je fais le saut périlleux. Il est probable qu'en persévérant à n'embrasser d'autre système que celui des combats, Henri IV aurait pu monter sur le trône sans faire abjuration. Les protestants alors eussent redoublé de zèle, d'attachement et de courage ; ils ne se seraient pas refroidis ; et les catholiques, frappés bientôt de son héroïque constance, auraient eu un respect qu'ils n'eurent pas ; car ils attribuèrent à l'intérêt le changement de Henri IV. Cet intérêt était trop fort en effet, pour qu'il ne laissât pas dans les esprits quelques doutes sur la sincérité de cette conversion. Ajoutons que ce prince vaillant aurait pu rendre par sa fermeté un éternel service à la France, en l'affranchissant du joug de Rome ; joug qu'il pouvait briser avec l'épée de la victoire ; joug méprisable et non moins funeste, qui depuis alluma dans ce royaume tant de querelles absurdes et théologiques, l'opprobre de la raison, et la cause des plus longues et des plus inconcevables fureurs. La révocation de l'édit de Nantes, dont les fatales suites sont inappréciables, la persécution des réformés, les débats du jansénisme et du molinisme prolongés jusqu'à nos jours ; ces erreurs pitoyables et cruelles font gémir sur la nation française, qui, avilie et perdue dans ces questions ridicules, parut oublier tout le reste à la face de l'Europe qui n'est point encore revenue de son long étonnement. La religion protestante, étouffant dans l'origine ces guerres honteuses et déshonorantes, aurait conduit le royaume à un degré de liberté, de population et de force qui a passé chez nos voisins, devenus puissants par nos méprises. On a beaucoup loué Henri IV, et l'admiration a été jusqu'à l'idolâtrie ; mais cette idolâtrie, née seulement depuis un demi-siècle, était fille du ressentiment qui voulait créer une forte opposition avec le caractère des rois vivants. Il est toujours bon à une nation d'établir un fantôme qu'elle pare de toutes les vertus qu'elle voudrait inspirer à ses monarques ; c'est une convention adroite, utile et dès-lors respectable. D'ailleurs, ce modèle de la royauté sert de satyre indirecte pour toutes malversations ; et les éloges publics, prodigués au roi défunt, deviennent de véritables leçons qui peuvent toucher l'esprit distrait des monarques, et leur faire comprendre le voeu général. Gardons-nous donc d'affaiblir une opinion faite pour en imposer à ses successeurs, et leur donner le seul frein qu'ils puissent recevoir aujourd'hui. Ils seront toujours assez grands, s'ils imitent Henri IV dans plusieurs de ses héroïques qualités. C'est donc pour faire voir aux hommes combien des idées religieuses mal entendues entraînent d'erreurs politiques, et nuisent à la félicité nationale, qu'on a entrepris ce drame, tableau fidèle des actions et des préjugés de nos ancêtres braves et trompés. Ah ! Qu'il est insensé, ce zèle abominable, jaloux d'un culte unique, attaquant les réfractaires par le fer et le feu, semant la division dans l'état et la discorde dans les familles ! Et quelle piété sacrilège que celle qui foule aux pieds l'humanité, et fait un crime même de la compassion ! L'homme le plus anti-philosophe pourra-t-il regarder jamais comme religieux François Ier, qui faisait brûler les protestants à Paris, tandis qu'il les soutenait, les soudoyait en Allemagne, et signait des traités avec eux ? Mais les inconséquences monstrueuses sont les moindres traits qui caractérisent le fanatisme. Qu'elle soit donc présentée sous ses véritables traits, cette vile et méprisable superstition ! C'est le seul moyen de préserver l'homme des erreurs multipliées où il est toujours prêt à retomber par cette pente qu'il a à faire parler le ciel, et à mêler les passions les plus atroces, telles que la haine, l'ambition et la vengeance, au sublime et pur intérêt de la religion, calme et compatissante par son auguste nature. Il y avait un monstre qui dominait la race humaine, a dit Lucrèce il y a près de deux mille ans. l'humanité dégradée se courbait devant son sceptre stupide ; il répandait la terreur qui ne convient qu'aux esclaves ; il semblait cacher sa tête, et tonner du haut des régions de l'empyrée ; mais il parut un homme qui, sans effroi, osa porter la vue sur ce monstre, et qui reconnut que c'était un vain fantôme. Cet homme était Épicure. Malgré Épicure, le monstre a reparu triomphant dans plusieurs siècles. Il se plaît dans les ténèbres épaisses de la barbarie ; il redoute la moindre clarté, qu'il voudrait étouffer ; il est à craindre qu'il ne domine encore quelques parties de l'Europe. Ne le voit-on pas en ce moment relever sa tête hideuse en Espagne, et tenter d'y rétablir le trône infernal de la sainte inquisition ? N'a-t-il pas enchaîné tout récemment dans les cachots, et couvert d'une chemise ensoufrée, le vertueux Olavidès, pour avoir fait du bien aux hommes, pour avoir tenté d'apporter à son pays des idées utiles et saines ? N'a-t-il pas contredit en Pologne les principes de la liberté civile et religieuse ? Le glaive nu doit veiller dans la main du philosophe, toujours en sentinelle pour épier les approches et les tentatives du monstre, pour le poursuivre, le percer, lui faire sentir dans ses entrailles déchirées le fer qu'il redoute et qu'il mord en écumant de rage. Point de repos, point de trêve ; l'étendue des maux passés, les longues plaies non encore cicatrisées, faites à l'humanité, l'influence que des idées méprisables et même méprisées ont eue et ont encore sur plusieurs souverains de l'Europe ; l'espèce de joug qu'ils portent en tremblant, et qu'ils n'osent secouer, par une suite de l'ancien vertige dont le monstre a frappé la terre entière : tout doit engager l'écrivain à soutenir la massue en l'air, à la faire tomber à coups redoublés sur le fanatisme, qui de nos jours encore ne prend le langage du ciel que pour tromper ou opprimer les hommes. Mais en le peignant sous ses horribles couleurs, en montrant dans un jour éclatant combien il a éloigné l'homme de sa véritable dignité et de ses plus chers intérêts, on n'a point prétendu faire rejaillir sur le culte incorruptible que tout homme doit à l'être suprême, le mépris et le dédain que la raison attache aux opinions dogmatiques. On ne se consolerait pas d'avoir porté quelqu'atteinte à la morale évangélique, à la religion épurée faite pour parler à tous les esprits droits et à tous les coeurs sensibles. La beauté de cette religion débarrassée des ombres qui défiguraient sa face majestueuse, fera d'autant plus de progrès qu'elle sera mieux connue, et sa simplicité sera toujours le caractère de sa véritable grandeur. C'est à la philosophie qu'il appartient de la restituer dans son origine pure et sacrée. La philosophie exposera ses avantages réels ; le premier est de respecter les causes premières, de ne point vouloir inutilement lever le voile qui les couvre, de démêler l'intention de la divinité dans les principes évidents de la morale, d'adorer au-lieu de murmurer. La religion apporte aux hommes l'idée de la vertu dans l'image du grand être : elle crée au-lieu de détruire ; elle admire au-lieu d'expliquer ; elle élève l'âme en écartant les chimères du hasard ; elle console le faible et soutient le juste, en leur montrant l'égalité des êtres et leur future perfection ; elle annonce enfin à l'univers les réparations d'un malheur passager, en lui dévoilant un dieu vivant dans l'éternité. Les systèmes anti-religieux se repoussent et se contredisent ; la religion unit les adorateurs de l'être suprême, qui n'ont plus qu'une même pensée et une même espérance. La nature, sous l'aspect de la religion, est considérée comme un système clair et simple, où l'ordre des choses a une base, où l'enchaînement et le but se manifestent, où l'inquiétude et l'agitation des esprits cessent, où l'âme appuyée sur l'espérance, voit une clarté qui la guide à travers les incertitudes qui fatiguent les autres hommes ; et tandis que toutes les opinions qui contredisent la connaissance et l'adoration de l'être suprême, soulevées comme les flots d'une mer en furie, se précipitent dans un abîme qui les dérobe à nos regards, le système de la religion épurée, dont Socrate fut l'apôtre et le martyr, dont Marc-Aurele fut le pontife sur le trône du monde, dont Jean-Jacques Rousseau fut l'apologiste de nos jours, auguste et toujours égal, s'avance à travers les siècles, conquiert une multitude de sages prosélytes, parce qu'il a pour inébranlables appuis la foi qui convient à la faiblesse et à l'ignorance humaine, la charité qui unit les mortels et fait qu'ils se pardonnent, et l'espoir qui fortifie et agrandit le coeur de l'homme. PERSONNAGES HILAIRE père. HILAIRE fils. MADAME HILAIRE. MADAME HILAIRE, grand'mère. LANCY. MADEMOISELLE LANCY. GUINCESTRE. VARADE. AUBRY. HENRI DE NAVARRE, futur HENRI IV. MONTMORENCY. SULLY. BIRON. LANGLOIS. LOUCHARD. ANROUX. BUSSY-LE-CLERC. MONTALIO. TURIAF. SOLDATS. SOLDATS SUISSES. DES LIGUEURS. LE PEUPLE. ACTE I SCÈNE I. Hilaire père, Hilaire fils. Le théâtre représente une salle meublée dans le costume du temps : on y voit deux portes. L'une est fermée, l'autre est entr'ouverte. Cette dernière donne dans une autre chambre qu'on entrevoit. Ce logement fait partie de la maison d'Hilaire. Le théâtre représente une salle meublée dans le costume du temps : on y voit deux portes. L'une est fermée, l'autre est entr'ouverte. Cette dernière donne dans une autre chambre qu'on entrevoit. Ce logement fait partie de la maison d'Hilaire. HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, se jetant dans les bras de son fils. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, prêtant une oreille attentive. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Au-dehors de la porte une voix s'écrie : ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, se dégageant des bras de son père, et voulant courir à la porte. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, le retenant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, avec un cri douloureux. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) On frappe encore, et la même voix se fait entendre. UNE VOIX. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, se débarrassant de son père, qui ne le retient que faiblement, court vers la porte qu'il ouvre avec la plus grande action. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE II. Hilaire père, Hilaire fils, Mlle Lancy. HILAIRE FILS, prenant dans ses bras Mlle Lancy, et la soutenant dans sa faiblesse. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il la fait asseoir ; elle veut se jeter aux genoux de son parrain qui l'en empêche, la soutient et la fait asseoir. MADAMOISELLE LANCY, voulant se jeter une seconde fois à ses pieds. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, prévenant son attitude. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAMOISELLE LANCY, prête à se trouver mal, et portant la main sur son coeur. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Hilaire fils, à ces mots, lève les bras et les yeux précipitamment au ciel, et court par la porte entr'ouverte. HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, revenant, la respiration agitée, et donnant à Lancy un morceau de gros pain noir. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Elle mange avidement. Hilaire soupire, se détourne et s'éloigne ; son fils va à lui, le presse dans ses bras, comme pour le remercier de ce qu'il a fait pour Lancy. Ils parlent bas. HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) À part impatiemment.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE III. Les acteurs précédents, Madame Hilaire. MADAME HILAIRE, allant à Mlle Lancy. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Après un silence.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, à voix basse. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, à son époux. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, arrêtant sa mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY, les arrêtant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, à son époux et à son fils. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, l'interrompant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, à Mlle Lancy. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Avec attendrissement.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) On entend un certain bruit. MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, avec exclamation. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Hilaire père va leur ouvrir la porte, les reçoit et les salue affectueusement. SCÈNE IV. Les acteurs précédents, Varade, Guincestre, Aubry. GUINCESTRE, entrant sur la scène. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE, du ton d'un inspiré. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, à sa famille. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, bas à sa femme. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, d'un ton ferme. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE, d'un ton de voix adouci. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, avec un cri de joie. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE, avec une certaine dignité. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, s'inclinant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, à sa famille. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, aux trois prêtres. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, du ton d'un inspiré. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Mademoiselle Lancy se joint à Madame Hilaire qui marche en lui donnant le bras. Hilaire fils prend la main de son père, et ils suivent, avec une espèce de transport de joie, Varade qui sort le premier. SCÈNE V. Guincestre, Aubry. Vers le commencement de cette scène, on voit Madame Hilaire, la grand'mère, qui, du fond de la chambre, s'avance à pas lents à la porte entr'ouverte, le dos courbé et appuyée sur une canne. Elle s'arrête, en prêtant l'oreille aux discours des deux curés ligueurs, qui ne l'aperçoivent point. Cette femme, qui est âgée, doit avoir l'air respectable. AUBRY, après un silence. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, prenant l'air en question et toussant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, avec emphase. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, se détournant, aperçoit la mère Hilaire qui était restée debout à les entendre. Son front est indigné ; elle est appuyée sur sa canne. D'un ton embarrassé et sourd.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE, tournant la tête et fronçant mystérieusement les sourcils. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, grand'mère, avec la plus grande indignation. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, la menaçant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE, le retenant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, lui jetant un regard furieux. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE, à la porte. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE VI. MADAME HILAIRE grand-mère, seule. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Elle sort à pas lents, et passe dans la chambre voisine, d'où elle est sortie. ACTE II SCÈNE I. Le théâtre représente le camp de Henri. Le roi est dans une tente plus élevée que celles qui sont autour. Des soldats montent la garde aux environs. HENRI seul, dans sa tente. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il appelle.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE II. Henri, Montmorency. MONTMORENCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MONTMORENCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI, vivement. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MONTMORENCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE III. Henri, Sully. HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI, avec affection. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Après un silence.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SULLY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il sort. SCÈNE IV. HENRI, seul. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE V. Henri, Biron. HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il tombe dans une profonde réflexion. SCÈNE VI. Henri, Langlois. Un homme du commun, conduit par un garde, entre chez Henri ; Monsieur de Biron se retire au fond de la tente. HENRI, vivement. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Le roi passe dans un cabinet et écrit. SCÈNE VII. Biron, Langlois. BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. [Note : Muid : Grande mesure de choses liquides, est aussi une grande mesure de grain, qui n'est pas un vaisseau qui serve de mesure, mais une estimation de plusieurs septiers et minots, différente selon les lieux.]***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE VIII. Henri, Biron, Langlois. HENRI, à Langlois. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI, après un silence. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS, s'inclinant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) À voix basse.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANGLOIS, avec une modestie et noble fermeté. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE IX. Henri, Biron. HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BIRON. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE X. HENRI, seul. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE XI. Henri, les chefs de l'armée. HENRI, aux chefs. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN CHEF. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE CHEF. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE CHEF, à demi-voix. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE XII. Acteurs précédents, un nouveau chef. LE NOUVEAU CHEF. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE XIII. Henri, les chefs de son armée, foule du peuple. FOULE DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UNE VOIX QUI DOMINE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UNE AUTRE VOIX. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UNE AUTRE VOIX. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) FOULE DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN HOMME DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) FOULE DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN HOMME DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE, jetant au roi un morceau de pain. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI, se cachant le visage. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN HOMME DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LE FOULE DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) À ses officiers.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN HOMME DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) CRI DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUTRE CRI DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUTRE CRI DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) CRI GÉNÉRAL. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HENRI, rentrant dans sa tente, et s'essuyant les yeux. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) ACTE III Le théâtre représente la maison d'Hilaire. SCÈNE I. Lancy, un officier. Ils sont enveloppés tous deux d'un large manteau qui les déguise. On aperçoit qu'ils sont chargés de pains. Ils paraissent fatigués. Ils entrouvrent leurs manteaux en entrant. LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'OFFICIER. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'OFFICIER. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'OFFICIER, montrant la chambre voisine. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Ils entrent dans la chambre ; et après un certain intervalle, on voit paraître Hilaire père, suivi de sa femme et de Mlle Lancy. SCÈNE II. Hilaire père, Madame Hilaire, Mademoiselle Lancy. MADAME HILAIRE, dans le plus grand désordre et le plus grand désespoir. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, avec force. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, se jetant dans les bras de Mlle Lancy, et la tenant fortement embrassée. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il presse dans ses bras son épouse et Mademoiselle Lancy. On voit Lancy qui sort de la chambre voisine avec l'officier. SCÈNE III. Lancy, Hilaire père, Madame Hilaire, Mlle Lancy, l'officier. LANCY, la joie et la surprise sur le visage. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY, se précipitant dans ses bras. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, avec une pieuse indignation. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY, voulant l'embrasser. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, le repoussant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, s'éloignant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HIAIRE père, avec le cri de l'âme. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'OFFICIER, à voix basse, à Lancy. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'OFFICIER. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'OFFICIER, à voix basse. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY, à Hilaire père. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY, avec tendresse. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il sort avec l'officier, et l'on ferme la porte que l'on barricade ensuite. SCÈNE IV. Hilaire père, Madame Hilaire grand'mère, Madame Hilaire, Mademoiselle Lancy. HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Madame Hilaire, la soutient. MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, prenant les pains et les distribuant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY, tenant un morceau de pain, et l'arrosant de larmes. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, s'arrêtant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) En étouffant un cri.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) On entend plusieurs voix confuses et terribles qui disent : ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php)***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php)***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php)***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php)***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php)***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE V. Acteurs précédents, suisses armés de sabres et portant des flambeaux. DES VOIX MENAÇANTES. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) On entend les coups de hache qui brisent les portes.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il le cache et en mange quelques morceaux. MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, errant sur la scène. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) La porte tombe ; les suisses entrent, armés de haches, de mousquets, et portant des flambeaux. MADAME HILAIRE, MADEMOISELLE LANCY, au premier aspect. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LE PREMIER SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, qu'on saisit. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUTRE SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUTRE SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUTRE SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUTRE SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUTRE SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Madame Hilaire grand'mère est à la porte de cette chambre ; un suisse la renverse.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, relevant sa mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) PLUSIEURS SUISSES, trouvant du pain dans la chambre voisine, avec une joie féroce. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, à genoux, avec Mlle Lancy. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN SUISSE, le sabre nu sur leurs têtes. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il les fouille.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, MADEMOISELLE LANCY, demi-mortes de peur. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LE MÊME SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) PLUSIEURS SUISSES. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php)***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php)***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, se relevant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN SUISSE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, avec la fureur du désespoir. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) PLUSIEURS SUISSES. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LE JEUNE SUISSE, gémissant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE VI. Hilaire père, les deux dames Hilaire, Mademoiselle Lancy, tous quatre sont accablés et dans des postures différentes. MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Ils prodiguent tous leurs soins à la grand'mère. MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE VII. Acteurs précédents, Hilaire fils. HILAIRE FILS, dans la douleur. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) À demi-voix.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, d'un ton ferme et décidé. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, impétueusement. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, fortement. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, avec une douleur concentrée. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, en regardant Mlle Lancy. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, avec courroux. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, avec un cri de douleur. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère, à son fils. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, avec emportement. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère, continuant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère, à son petit-fils. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, avec la plus grande surprise. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, les yeux au ciel. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE, à son époux. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) À sa grand'mère.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère, d'une voix affaiblie. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Elle chancelle. HILAIRE FILS, d'un ton ému. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Ils se rassemblent tous trois autour d'elle. MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, dans la plus grande douleur. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE père et fils. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE grand'mère, se soulevant et retombant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Ici se fait un grand silence ; les quatre personnages doivent former un tableau pathétique. MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) À Mlle Lancy.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, avec désespoir. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il prie. MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, après un long silence, s'éloignant du corps de sa mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Sa famille le presse dans ses bras, avec les témoignages de la reconnaissance. Levant les mains au ciel et contemplant sa mère.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, avec impétuosité. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, dans la plus grande agitation. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il sort sans vouloir rien entendre. SCÈNE VIII. Hilaire, Madame Hilaire, Mademoiselle Lancy. MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE IX. Acteurs précédents, Aubry, suivi des satellites des seize. AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Lui montrant le corps de sa mère.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, à part. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Haut.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE, enchaîné, avec fureur. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) On entraîne Hilaire, sa femme et Mademoiselle Lancy. On enlève le corps de la vieille ; et les satellites, en l'enlevant, se disent entr'eux :***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) ACTE IV SCÈNE I. Troupe de ligueurs subalternes. Le théâtre représente l'intérieur de la bastille. Sur le côté droit est un cachot éclairé faiblement par une grosse lampe suspendue en-dehors. La grille du cachot laisse apercevoir Hilaire, sa femme et Mlle Lancy, enchaînés à différentes distances, et dans des attitudes qui laissent douter s'ils respirent encore. Le côté gauche de la prison forme jusques sur le devant de la scène un lieu séparé, dont la voûte s'enfonce dans les ténèbres ; elle est à demi-éclairée, et laisse voir une partie de sa profondeur. Sur le devant de cette partie de la prison, est une table gothique sans nappe, sur laquelle on voit des pièces froides, du boeuf salé, de gros pains, des cruches de vin. Plusieurs ligueurs mangent et boivent, se parlent à demi-voix et en gesticulant ; ce demi-silence est interrompu par les cris plaintifs des prisonniers, dont la voix perce la voûte. UN LIGUEUR, versant du vin à un autre. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE LIGUEUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LOUCHARD. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) ANROUX. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LOUCHARD. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE LIGUEUR, lui versant à boire. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE LIGUEUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN AUTRE LIGUEUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) PLUSIEURS VOIX sortant des cachots, dont quelques-unes sont éteintes. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UNE VOIX, seule. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) PLUSIEURS VOIX. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LOUCHARD. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) ANROUX. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LOUCHARD. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) ANROUX. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) TROUPE DE LIGUEURS, en tumulte. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UN LIGUEUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE II. Bussy-Le-Clerc, Varade, Montalio, Aubry. Dès qu'ils arrivent, les ligueurs subalternes se lèvent avec respect, se tiennent debout, et l'on sert de nouveaux plats sur une table plus large et plus commode. BUSSY-LE-CLERC, aux ligueurs subalternes. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Les ligueurs subalternes saluent, et vont pour sortir. Il les arrête.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Les ligueurs subalternes se retirent. SCÈNE III. Acteurs précédents, Bussy-Le-Clerc. BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE, souriant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MONTALIO. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MONTALIO. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MONTALIO, à Varade. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE, avec emphase. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MONTALIO. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il boit. MONTALIO. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il mange. BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MONTALIO. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MONTALIO. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, riant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Présentant un morceau à Varade.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE IV. Acteurs précédents, Guincestre, et plusieurs autres ligueurs distingués. Ils entrent, ferment la porte, et joignent la table, où on leur fait place. GINCESTRE, à Aubry, en entrant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) S'asseyant à la table.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, avec emphase. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE V. Acteurs précédents, Turiaf, Halfrenas. En entrant, ils se dégagent de leurs manteaux, et posent leurs poignards sur la table. VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Tout le monde se lève et écoute en silence. TURIAF, au milieu des ligueurs. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) TURIAF. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, à Halfrenas et Turiaf. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HALFRENAS, avec une certaine dignité. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) TURIAF. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE, saluant Varade. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Ils se saluent en se séparant, les uns passant par une porte, les autres par une autre. SCÈNE VI. Hilaire père, Madame Hilaire, Mademoiselle Lancy, après un silence. MADEMOISELLE LANCY, du fond des cachots, avec un long soupir. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) CRIS DES PRISONNIERS qui occupent le haut de la prison. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) UNE VOIX Seule. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Un bruit très fort se renouvelle et s'approche jusqu'aux portes. On entend un geôlier ouvrir ; il traverse la scène, va frapper à une porte : il est suivi d'Aubry, qui arrive à la même porte à la hâte, et qui appelle à haute voix le gouverneur de la bastille. Le gouverneur descend, accompagné de Turiaf et de Halfrenas. SCÈNE VII. Acteurs précédents, Bussy-Le-Clerc, Turiaf, Halfrenas, Aubry. BUSSY-LE-CLERC, à Aubry. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HALFRENAS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) TURIAF. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, avec colère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE VIII. Acteurs précédents, Guincestre. GUINCESTRE, arrivant hors d'haleine. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) TURIAF. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HALFRENAS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Il enfonce son poignard dans une porte, comme s'il assassinait Brissac. AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE IX. Acteurs précédents, Varade. VARADE, en entrant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HALFRENAS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE, avec un cri sourd. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) CRIS DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) CRIS DES PRISONNIERS, qui percent la voûte. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) CRIS DU PEUPLE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HALFRENAS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) BUSSY-LE-CLERC. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) CRIS DES PRISONNIERS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY, jetant un oeil farouche sur les cachots. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) GUINCESTRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) AUBRY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) VARADE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Tous les ligueurs sortent, et on les voit entrer l'un après l'autre par la porte d'un souterrain. SCÈNE X. Hilaire père, Madame Hilaire, Mademoiselle Lancy. MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) On entend briser les dernières portes, elles tombent. L'officier Lancy entre à la tête d'une troupe de soldats armés comme lui de haches et d'épées ; le bruit des tambours et des troupes se fait toujours entendre. SCÈNE XI. Acteurs précédents, Lancy, soldats armés. LANCY, avant que la porte tombe tout-à-fait, avec une forte exclamation. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Ils répondent très-fortement d'un seul cri : ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) TOUTES LES VOIX. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY, se précipitant avec sa suite dans le cachot. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) À sa suite.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Cet endroit de la prison se remplit de prisonniers délivrés et de soldats libérateurs. On a enfoncé toutes les portes. Ils s'embrassent. On entend à différents intervalles les cris de vive Henri, vive Henri ! Mêlés du bruit des tambours et des trompettes. Prisonniers Et Soldats, s'embrassant dans la prison avec âme.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Lancy avec sa fille, Hilaire avec sa femme, forment sur le devant de la scène un tableau muet et touchant. Les soldats les portent sur les bras. Ils sont immobiles de saisissement. Après un repos. LANCY, à Hilaire. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY, à sa fille. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Après un silence, on voit paraître Hilaire fils. LANCY, s'écriant. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) SCÈNE XII. Acteurs précédents, Hilaire fils. HILAIRE FILS, se jetant éperdument dans les bras de sa mère. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) Nouveaux Cris Du Peuple. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADAME HILAIRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) MADEMOISELLE LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE FILS, à Lancy. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) HILAIRE PÈRE. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) À Lancy en souriant.***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) LANCY. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) On entend les cris de vive le grand Henri !***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) ==================================================