Occurences de l'expression

vous

pour BARO, Balthazar

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LA PARTHÉNIE (1642)

Y songez-vous encore ? v.1 (Acte 1, scène 1, HARPALE)
Suivrez-vous le Destin des plus faibles mortels ? v.44 (Acte 1, scène 2, ÉPHESTION)
N'écoutez plus vos sens, et rendez-vous le maître v.45 (Acte 1, scène 2, ?PHESTION)
C'est le seul ennemi qui vous reste à dompter. v.47 (Acte 1, scène 2, ?PHESTION)
De peur qu'elle vous traite avec trop d'insolence, v.53 (Acte 1, scène 2, ÉPHESTION)
Son nom vous est connu ? v.109 (Acte 1, scène 2, ÉPHESTION)
Qui lui parle pour vous ? v.117 (Acte 1, scène 2, ÉPHESTION)
Vous l'avez reconnu, grand Prince, je l'avoue, v.129 (Acte 1, scène 3, CARINTE)
Et plus je l'entretiens du feu dont vous brûlez, v.135 (Acte 1, scène 3, CARINTE)
Je ne puis vous prêter qu'un secours impuissant. v.140 (Acte 1, scène 3, CARINTE)
Jusqu'ici l'apparence est toute contre vous. v.180 (Acte 1, scène 3, CARINTE)
Je sais que ce discours dont je vous importune v.181 (Acte 1, scène 3, CARINTE)
Mon coeur dans sa misère est prêt à vous bénir v.279 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Je vais donc travailler à vous tirer de peine. v.305 (Acte 1, scène 4, ÉPHESTION)
Hélas ! Vous ne ferez qu'une recherche vaine. v.306 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Quel prix en voulez-vous ? Je veux le racheter. v.332 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Mais ne languissez pas, vous l'aurez aujourd'hui : v.335 (Acte 1, scène 4, ÉPHESTION)
Car ce présent est digne et de vous et de lui. v.336 (Acte 1, scène 4, ?PHESTION)
Que vous me nommerez à cet aimable frère, v.338 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Si vous l'observez bien, au nom de Parthénie v.341 (Acte 1, scène 4, PARTH?NIE)
Vous verrez de son coeur la tristesse bannie : v.342 (Acte 1, scène 4, PARTH?NIE)
Madame, assurez-vous qu'il lui sera remis v.347 (Acte 1, scène 4, ÉPHESTION)
Puisque vous l'ordonnez, et que je l'ai promis. v.348 (Acte 1, scène 4, ?PHESTION)
Je veux vous reconduire. v.349 (Acte 1, scène 4, ÉPHESTION)
Hâtez-vous. v.351 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Qui vous peut retarder ? v.351 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Ainsi, vous ne sauriez aujourd'hui vous défendre v.353 (Acte 1, scène 4, CARINTE)
N'était-ce pas assez de vous devoir la vie ? v.358 (Acte 2, scène 1, HYTASPE)
Deviez-vous travailler à mon contentement, v.359 (Acte 2, scène 1, HYTASPE)
Vous savez l'art de vaincre et les corps et les coeurs. v.364 (Acte 2, scène 1, HYTASPE)
Vous eussiez fait pour moi ce que j'ai fait pour vous. v.372 (Acte 2, scène 1, ÉPHESTION)
Cessez de vous compter parmi les malheureux. v.388 (Acte 2, scène 1, ?PHESTION)
Celle dont vous jugez le sort si déplorable v.405 (Acte 2, scène 1, ÉPHESTION)
Qu'on vous fit son captif il le fut de l'Amour. v.412 (Acte 2, scène 1, ?PHESTION)
Vaillant Éphestion, excusez je vous prie v.421 (Acte 2, scène 1, HYTASPE)
Tout rit à vos désirs, rien ne vous est contraire, v.433 (Acte 2, scène 2, ÉPHESTION)
Et lorsque je songeais à franchir pour vous plaire v.434 (Acte 2, scène 2, ?PHESTION)
J'avais entre les mains de quoi vous contenter, v.436 (Acte 2, scène 2, ?PHESTION)
Et pour vous acquérir sa vie et son service, v.449 (Acte 2, scène 2, ?PHESTION)
Hytaspe, on est tout prêt à vous bien recevoir. v.456 (Acte 2, scène 2, ÉPHESTION)
Pour se faire un passage à donner jusqu'à vous, v.472 (Acte 2, scène 2, HYTASPE)
Vous avez satisfait Hytaspe ce me semble v.505 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Aux lois de l'amitié qui vous liait ensemble : v.506 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Vous pouvez aujourd'hui vous donner au plus fort v.507 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Vous voudriez donc le suivre en l'horreur du trépas ? v.511 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Si, libre de vos fers vous aviez la puissance v.513 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
N'est-ce avoir assez fait, que voulez-vous de plus ? v.520 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Que vous perdriez sans doute en vous laissant périr, v.523 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Sauvez-la, sauvez-vous, mais qu'on l'aille quérir, v.524 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Elle vous forcera d'accepter cet Asile. v.525 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Vous voyez si je suis véritable et fidèle. v.597 (Acte 2, scène 3, ÉPHESTION)
Hytaspe vous dira combien exactement v.599 (Acte 2, scène 3, ÉPHESTION)
Au lieu de vous flatter vous trouble et vous déplaît, v.616 (Acte 2, scène 3, HYTASPE)
Tout le monde est instruit des devoirs qu'il vous rend, v.620 (Acte 2, scène 3, HYTASPE)
Que si ma passion vous est assez connue v.705 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
De cent Princes vaincus les trônes vous attendent, v.718 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Que votre cruauté vous rend ingénieuse ! v.729 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Vous craignez d'être mienne et non pas d'être heureuse, v.730 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Et dans une autre main les sceptres vous plairaient : v.732 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Tout ce que vous osez de haine témoigner v.735 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Mais si vous n'observez naissance ni mérite, v.737 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
C'est de voir qui je suis, c'est de voir qui vous êtes, v.750 (Acte 3, scène 2, PARTHÉNIE)
Vous pouvez empêcher qu'un monarque irrité v.759 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Ne les méprisez plus, déchargez-vous d'un crime v.762 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Vous avez le secret de lire dans mon âme, v.765 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Vous savez que vos yeux ont allumé ma flamme, v.766 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Ah ! C'est trop, qu'osez-vous entreprendre ? v.769 (Acte 3, scène 2, PARTHÉNIE)
Votre honneur et le mien vous le doivent défendre, v.770 (Acte 3, scène 2, PARTH?NIE)
Dont vous savez fonder le repos d'un État ? v.775 (Acte 3, scène 2, PARTH?NIE)
Les voulez-vous souiller par ce lâche attentat ? v.776 (Acte 3, scène 2, PARTH?NIE)
Ayant vaincu partout triomphez de vous-même, v.778 (Acte 3, scène 2, PARTH?NIE)
Vous m'avez prévenu, belle et sage Princesse, v.813 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Mais vous ne devez pas m'accuser de paresse, v.814 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Vous jouissez d'un bien que le Ciel me dénie, v.854 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Vous pouvez échapper sans trahir votre foi : v.855 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Pratiquez le conseil que vous m'avez donné, v.896 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Si le Prince offensé murmure contre vous, v.899 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Pour finir vos malheurs un remède vous reste. v.914 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Notre hymen n'est pour vous qu'une chaîne importune v.918 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Que vous devez briser pour vous mettre en repos. v.919 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Le Roi m'a commandé de me saisir de vous. v.935 (Acte 3, scène 4, LYCANDRE)
Si vous résistez ce ne sera qu'en vain, v.939 (Acte 3, scène 4, LYCANDRE)
Allons où vous voudrez, en prison, au supplice. v.942 (Acte 3, scène 4, HYTASPE)
Ce que vous possédez et d'appas et de charmes. v.950 (Acte 3, scène 4, HYTASPE)
Recevez le présent que vous offrent mes yeux v.959 (Acte 3, scène 4, PARTHÉNIE)
Ou si de vous fléchir ils n'ont plus la puissance, v.961 (Acte 3, scène 4, PARTH?NIE)
C'est un mal infaillible où vous devez pourvoir, v.971 (Acte 3, scène 4, LYCANDRE)
Vous perdez ce Monarque infâmes voluptés, v.1012 (Acte 4, scène 1, ÉPHESTION)
Vous allez lui ravir la conquête du monde. v.1014 (Acte 4, scène 1, ?PHESTION)
Le rang que parmi vous sa vertu doit tenir : v.1020 (Acte 4, scène 1, ?PHESTION)
Vous y rapporterez le secours nécessaire. v.1037 (Acte 4, scène 2, LYCANDRE)
Si vous l'entreprenez, vous en viendrez à bout, v.1039 (Acte 4, scène 2, LYCANDRE)
En un mot, c'est de vous qu'Hytaspe espère tout, v.1040 (Acte 4, scène 2, LYCANDRE)
Si je combats pour vous aidez-moi dans la lice, v.1062 (Acte 4, scène 2, ÉPHESTION)
Vous aimez à nourrir ce vautour dévorant, v.1103 (Acte 4, scène 3, ÉPHESTION)
Oublieux des desseins où l'honneur vous engage, v.1105 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
Vous adorez l'écueil où vous faites naufrage. v.1106 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
Sans ce charme cruel qui vous semble si doux, v.1107 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
Vous seriez seulement de la gloire jaloux, v.1108 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
Vous languiriez pour elle, et vos vertus insignes v.1109 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
De ma main ! Que peut-elle afin de vous guérir ? v.1123 (Acte 4, scène 3, ÉPHESTION)
Vous ne savez donc pas jusqu'où vivent les flammes v.1129 (Acte 4, scène 3, ÉPHESTION)
Vous espérez en vain que sa mort vous soulage, v.1134 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
De quel crime si noir le jugez-vous coupable ? v.1138 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
Vous en avez été le témoin et l'arbitre, v.1142 (Acte 4, scène 3, ÉPHESTION)
Quand vous l'avez fait libre, il s'est fait votre ami. v.1143 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
Mais touchant le respect que l'on doit vous porter, v.1171 (Acte 4, scène 3, ÉPHESTION)
Je vais, puisqu'il vous plaît, voir Hytaspe en prison, v.1175 (Acte 4, scène 3, ?PHESTION)
Vous avez accordé son pardon à mes larmes, v.1186 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
Vous aviez couronné cette belle action. v.1188 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
Le rendant criminel vous doit rendre infidèle ? v.1190 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
Il est temps d'éclaircir le doute qui vous reste, v.1205 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
Vous fasse confesser que votre jugement v.1207 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
N'a pas eu contre vous un succès plus heureux. v.1228 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
Veuve aussitôt que femme eussiez-vous rejeté v.1243 (Acte 4, scène 4, ALEXANDRE)
Si les voeux que je fais ne vous peuvent toucher, v.1264 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
Vous formez, Parthénie, un désir impossible. v.1269 (Acte 4, scène 4, ALEXANDRE)
Vous rend la liberté qu'il vous avait ôtée. v.1274 (Acte 4, scène 4, ALEXANDRE)
Pourquoi vous présenter cet objet déplorable ? v.1313 (Acte 4, scène 4, ALEXANDRE)
Ce serait à dessein vous rendre misérable, v.1314 (Acte 4, scène 4, ALEXANDRE)
Que faites-vous ? v.1341 (Acte 4, scène 4, CARINTE)
Hâtez-vous, qu'elle meure. v.1367 (Acte 4, scène 4, ALEXANDRE)
Où courez-vous si vite, arrêtez je vous prie. v.1373 (Acte 5, scène 1, HARPALE)
Amis éloignez-vous, et ne contestez plus : v.1395 (Acte 5, scène 2, ALEXANDRE)
Arabes subjugués, et vous que je vainquis v.1412 (Acte 5, scène 2, ALEXANDRE)
La main qui vous défit soit celle qui vous venge. v.1418 (Acte 5, scène 2, ALEXANDRE)
Sire, que voulez-vous ? v.1452 (Acte 5, scène 3, LYCANDRE)
Sire, en moins d'un moment vous nous verrez ici. v.1456 (Acte 5, scène 3, LYCANDRE)
Ô Dieux ! Je vous bénis, Parthénie est vivante. v.1482 (Acte 5, scène 3, ALEXANDRE)
Et croyez que l'ardeur dont vous fûtes épris v.1543 (Acte 5, scène 4, PARTHÉNIE)
Je suis plus criminel moins vous êtes coupable, v.1554 (Acte 5, scène 4, ALEXANDRE)
Plus vous le désirez, moins j'y puis consentir, v.1559 (Acte 5, scène 4, PARTHÉNIE)
Que vous obtiendrez tout, que voulez-vous de moi ? v.1572 (Acte 5, scène 4, ALEXANDRE)
Celui de s'être vu forcé de vous trahir, v.1583 (Acte 5, scène 5, NEARQUE)
Je vais vous obéir. v.1597 (Acte 5, scène 5, NEARQUE)
Les maux que vous souffrez sont bien près de guérir. v.1599 (Acte 5, scène 5, ALEXANDRE)
Vous reverrez Hytaspe. v.1601 (Acte 5, scène 5, ALEXANDRE)
Vous redonnent Hytaspe, et que cette belle âme v.1613 (Acte 5, scène 5, ALEXANDRE)
Le rang que vous tenez et ce superbe titre v.1633 (Acte 5, scène 6, HYTASPE)
Qui vous rend des mortels ou le maître ou l'arbitre, v.1634 (Acte 5, scène 6, HYTASPE)
Vous donne tout pouvoir de nous faire endurer, v.1635 (Acte 5, scène 6, HYTASPE)
Ce que vous m'accordez m'est un bien si charmant, v.1639 (Acte 5, scène 6, HYTASPE)
Pour vous à qui ma flamme a coûté tant de larmes, v.1641 (Acte 5, scène 6, ALEXANDRE)
Je vous rends vos États, triomphez de mes armes, v.1642 (Acte 5, scène 6, ALEXANDRE)
De veiller désormais à vous inspirer mieux, v.1664 (Acte 5, scène 6, ÉPHESTION)
Et vous heureux Amants après tant de travaux, v.1679 (Acte 5, scène 6, ALEXANDRE)

SAINT EUSTACHE MARTYR (1649)

De vous, ni de l'État je n'ai rien mérité v.19 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Que d'exposer pour vous et les biens et la vie, v.22 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Et si vous en gardez le moindre souvenir, v.23 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
C'est le destin des Dieux dont vous êtes l'image, v.38 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
C'est à vous de prétendre, et d'exiger les voeux v.39 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Que ne vous ait rendu le moindre des soldats ? v.44 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Vous devez réserver pour des objets plus dignes v.85 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Je vais vous obéir, car pour les éprouver v.103 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Et le même retour que vous nommez si doux v.155 (Acte 1, scène 2, TRAJANE)
Vous rend un serviteur s'il me rend un Époux. v.156 (Acte 1, scène 2, TRAJANE)
S'il est aimé de vous sa fortune est extrême, v.162 (Acte 1, scène 2, TRAJANE)
Et c'est à vous que nos voeux réclament aujourd'hui v.175 (Acte 1, scène 2, TRAJAN)
Adieu vous le verrez par quelque autre action. v.196 (Acte 1, scène 2, PLOTINE)
Et vous gages sacrés d'une amour conjugale v.205 (Acte 1, scène 2, TRAJANE)
Marquera de quel sang vous êtes descendus, v.208 (Acte 1, scène 2, TRAJANE)
A causé la frayeur que vous faites paraître. v.218 (Acte 1, scène 3, TRAJANE)
Je ne puis vous entendre, v.222 (Acte 1, scène 3, TRAJANE)
Vous l'aimez ? v.225 (Acte 1, scène 3, TRAJANE)
En serez-vous jalouse ? v.276 (Acte 1, scène 3, PLACIDE)
Le feu qui vous consomme est venu jusqu'à moi, v.279 (Acte 1, scène 3, TRAJANE)
Vous bannit de nos yeux et de notre mémoire, v.290 (Acte 1, scène 3, TRAJANE)
Vous me délivrerez et de honte et de soin, v.431 (Acte 2, scène 2, TEOPISTE)
M'appelez-vous ? v.442 (Acte 2, scène 3, MATELOT)
Où voulez-vous aller, en Égypte ? v.445 (Acte 2, scène 3, MATELOT)
Madame, on vous désire, entrez, le Ciel vous aime, v.462 (Acte 2, scène 3, MATELOT)
Le Ciel vous peut venger, déjà sous un nuage v.497 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Je vais le traverser, et vous passer tous deux, v.504 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Pour vous ces faibles corps sont encor trop petits, v.515 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Voici le même sang qu'Eustache vous présente, v.518 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Dont vous serez plutôt et bien mieux assouvis v.519 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Que de ces deux enfants que vous m'avez ravis. v.520 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Retournez sur vos pas que rien ne vous retienne, v.522 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Et venez vous repaître Animaux dévorants v.523 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Puis-je espérer de vous un charitable office ? v.542 (Acte 2, scène 4, EUSTACHE)
Vous pouvez espérer de l'état où je suis v.543 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Est-ce à vous qu'appartient cette maison champêtre ? v.545 (Acte 2, scène 4, EUSTACHE)
Puis-je vous dire un mot ? v.547 (Acte 2, scène 4, EUSTACHE)
N'a-t-il que vous d'enfants ? v.549 (Acte 2, scène 4, EUSTACHE)
Vous en savez beaucoup. v.557 (Acte 2, scène 4, EUSTACHE)
Si l'humeur ne dément l'habit que vous portez. v.584 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Marque en moi des défauts plus grands que vous ne dites. v.586 (Acte 2, scène 4, EUSTACHE)
Un Messager, pressé de vous entretenir v.599 (Acte 3, scène 2, LYSIS)
Où j'ai vu depuis peu contre vous révoltés, v.607 (Acte 3, scène 2, LE MESSAGER)
Madame, en ce moment j'allais vous avertir v.639 (Acte 3, scène 3, TRAJAN)
Quoi ! Sans vous imposer cette nécessité v.647 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Manquez-vous de lauriers ? Manquez-vous de Couronnes ? v.649 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Sans vous soumettre encore à de nouvelles peines v.653 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Vous leur verrez changer malgré tous leurs projets v.655 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Vous n'avez qu'à donner l'ordre qu'il doit tenir. v.659 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Et son bras n'oserait vous manquer au besoin. v.688 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Se sont montrés pour moi plus sensibles que vous. v.708 (Acte 3, scène 4, TYRSIS)
Si le feu que je sens vous déplaît et vous nuit v.723 (Acte 3, scène 4, TYRSIS)
Mes yeux ! Ah ! Faibles mains que n'êtes-vous capables v.725 (Acte 3, scène 4, TEOPISTE)
S'il quittait un combat dont vous êtes le prix. v.752 (Acte 3, scène 4, TYRSIS)
Rien ne peut vous trahir en ce lieu solitaire. v.754 (Acte 3, scène 4, TYRSIS)
Dans le désir que j'ai de vous tirer de peine, v.861 (Acte 3, scène 6, EUSTACHE)
Demander quel sujet en ce lieu vous amène. v.862 (Acte 3, scène 6, EUSTACHE)
Celui que vous cherchez avecque tant de hâte v.877 (Acte 3, scène 6, EUSTACHE)
Mais le connaissez-vous ? v.894 (Acte 3, scène 6, EUSTACHE)
Ah ! Seigneur, est-ce vous que cet habit champêtre v.901 (Acte 3, scène 6, ARBILAN)
Vous n'auriez point failli sans mon déguisement, v.904 (Acte 3, scène 6, EUSTACHE)
Je vous crois, Téopiste, il n'en faut point jurer, v.919 (Acte 4, scène 1, AMINTOR)
Aucun mauvais désir ne vous fait soupirer, v.920 (Acte 4, scène 1, AMINTOR)
Ne fait point aujourd'hui la douleur qui vous presse. v.922 (Acte 4, scène 1, AMINTOR)
Quoi que vous puisiez dire ont bien quelque origine, v.926 (Acte 4, scène 1, AMINTOR)
Avec quelque raison ma présence vous blesse, v.930 (Acte 4, scène 1, TEOPISTE)
Le chagrin qui me ronge et qui vous met en peine. v.934 (Acte 4, scène 1, TEOPISTE)
Amis toujours le Ciel d'un bon oeil vous regarde. v.973 (Acte 4, scène 2, AMINTOR)
Toujours le même Ciel vous conserve en sa garde, v.974 (Acte 4, scène 2, LA FORTUNE)
Que voulez-vous de nous ? v.975 (Acte 4, scène 2, LA FORTUNE)
Pourquoi vous affliger si le peuple est content ? v.988 (Acte 4, scène 2, AMINTOR)
Quel plaisir prenez-vous à voir tant de ravages ? v.989 (Acte 4, scène 2, AMINTOR)
Voyez-vous mes Enfants, la guerre est légitime, v.1001 (Acte 4, scène 2, AMINTOR)
Un Loup, vous m'étonnez. v.1067 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Vous êtes donc, bon Dieu ! v.1073 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Je vous connais mon frère. v.1075 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Êtes-vous Téopiste ? v.1076 (Acte 4, scène 2, AGAPITE)
Ô rencontre inouïe ! Ô Dieu je vous bénis v.1079 (Acte 4, scène 2, AGAPITE)
Notre air et notre habit vous le diront assez. v.1088 (Acte 4, scène 3, AGAPITE)
Demandez-vous le Maître ? v.1089 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Est-ce vous ? v.1097 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Le sang beaucoup plus fort me dit ce que vous êtes. v.1114 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Vous redonne une mère et me rend à moi-même ? v.1118 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Et si vous ne suivez un Général barbare, v.1126 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Vous êtes sur le point d'en avoir des nouvelles, v.1130 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE FILS)
Vous dont la sage main par le coeur animée v.1133 (Acte 4, scène 4, TEOPISTE)
Celle que vous voyez à vos pieds prosternée v.1137 (Acte 4, scène 4, TEOPISTE)
Élevé dans l'Empire au même rang que vous, v.1148 (Acte 4, scène 4, TEOPISTE)
Aussi je m'en tairai pour vous solliciter v.1163 (Acte 4, scène 4, TEOPISTE)
Je vous rends vos enfants, et vous offre leur père, v.1174 (Acte 4, scène 4, EUSTACHE)
Vous mes portraits vivants dont j'ai pleuré la perte, v.1181 (Acte 4, scène 4, EUSTACHE)
Vous montre le matin après votre occident. v.1184 (Acte 4, scène 4, EUSTACHE)
Ne vous parle pour moi, quel mérite puissant v.1195 (Acte 4, scène 4, AMINTOR)
Loin de vous accuser je dois vous reconnaître, v.1197 (Acte 4, scène 4, TEOPISTE)
Vous donner plus de jours que je n'ai de moments. v.1212 (Acte 4, scène 4, AMINTOR)
Mais de quelque bonheur qu'on vous soit tributaire v.1245 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Je veux bien consentir afin de vous complaire, v.1246 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Allons, qui vous retient ? v.1253 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
En un mot ces Démons que vous nommes vos Dieux, v.1256 (Acte 5, scène 2, EUSTACHE)
Dieux que viens-je d'ouïr ? Ah ! Rentrez en vous-même, v.1261 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Placide, osez-vous bien proférer ce blasphème ? v.1262 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Et si vous vous aimez craignez ce que je puis. v.1264 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Mais quoique vous soyez arbitre de ma vie, v.1266 (Acte 5, scène 2, EUSTACHE)
Où vous porte l'horreur de votre désespoir. v.1272 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Et puisqu'en ce moment tout le monde vous quitte v.1274 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Produira contre vous d'effets prodigieux. v.1276 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Vous connaissez nos Lois. v.1292 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Placide, pour cela je me saisis de vous, v.1300 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Madame auriez-vous cru ; mais dois-je vous le dire ? v.1313 (Acte 5, scène 3, ORMOND)
Taisez-vous, ne pourrais-je le voir ? v.1319 (Acte 5, scène 3, TEOPISTE)
Je l'ai fait prisonnier; toutefois s'il vous reste v.1321 (Acte 5, scène 3, ORMOND)
Vous pouvez l'employer, adieu, n'épargnez rien, v.1323 (Acte 5, scène 3, ORMOND)
Faites qu'il vous écoute, et qu'il ne meure pas, v.1335 (Acte 5, scène 3, TEOPISTE)
Trajane qu'avez-vous qui vous force à pleurer ? v.1343 (Acte 5, scène 4, PLOTINE)
Avez-vous quelque chose encore à désirer ? v.1344 (Acte 5, scène 4, PLOTINE)
Et rendez-vous sensible aux traits de ma douleur. v.1360 (Acte 5, scène 4, TEOPISTE)
Mais ne vous flattez point, s'il persiste il est mort, v.1372 (Acte 5, scène 4, PLOTINE)
Vous me refusez donc ? v.1381 (Acte 5, scène 4, TEOPISTE)
Vous l'avez pu connaître aux paroles qu'il tient. v.1400 (Acte 5, scène 5, ORMOND)
Je le plains comme vous, v.1407 (Acte 5, scène 5, ORMOND)
Et bien coeur endurci qu'avez-vous résolu ? v.1427 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Ah ! Madame on vous doit le salut de l'Empire, v.1429 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Il faut vous couronner. v.1430 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Quoi, vous méprisez donc nos Autels et nos Temples, v.1437 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Ne portent point d'horreur qui vous puisse toucher ? v.1439 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Pour vous troubler jamais n'a qu'un bras impuissant. v.1456 (Acte 5, scène 6, EUSTACHE)
Consultez ses exploits, et pour vous émouvoir v.1471 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Je vous dois la lumière, et la perdre pour vous v.1483 (Acte 5, scène 6, AGAPITE)
Règle vos différends, et vous mette d'accord. v.1516 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Où d'un Dieu tout-puissant la gloire vous appelle. v.1530 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Je commence à mourir me séparant de vous, v.1544 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Cette nécessité qui fait que je vous laisse. v.1546 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Me le promettez-vous ? v.1551 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Vous ne me devancez que d'un simple moment, v.1552 (Acte 5, scène 6, EUSTACHE)
Dieu du plus haut des Cieux vous tend une Couronne ; v.1554 (Acte 5, scène 6, EUSTACHE)
Vous allez au triomphe, et non pas à la mort. v.1556 (Acte 5, scène 6, EUSTACHE)
Mais qu'est-ce que j'entends ? Que voyez-vous mes yeux, v.1572 (Acte 5, scène 6, ORMOND)

CLARIMONDE (1643)

Mais comment les souffrir ces pleurs que vous versez, v.7 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Puisqu'ils font une injure aux traits dont vous blessez ? v.8 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Et détruisent en vous, par un trop long usage, v.9 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Pourquoi le nommez-vous ? v.18 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Vous l'aimez. v.42 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Il combat contre vous, est-ce un trait d'amitié ? v.55 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Cette étroite union contractée entre vous v.63 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Vous n'en dites que trop, les Dieux contre mon père v.73 (Acte 1, scène 2, CLARIMONDE)
La raison vous défend de rien précipiter, v.76 (Acte 1, scène 2, MÉLIDOR)
Mais sans vous consommer en regrets superflus v.91 (Acte 1, scène 2, MÉLIDOR)
Songez à l'intérêt qui vous touche le plus, v.92 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Si des maux que je sens vous arrêtez la course, v.94 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Assez depuis longtemps mes soins vous ont fait voir v.95 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Je saurai vous tirer du gouffre dangereux v.99 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Où vous jette l'aspect d'un Astre malheureux. v.100 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Vous savez mon pouvoir, et combien dans l'armée v.101 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Nous fuirons vous et moi loin de cette contrée, v.105 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Je quitterai pour vous, parents, Prince et patrie, v.109 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Vous plaire est mon désir, et pour vous assister v.111 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Le bien que vous m'offrez est un bien inutile, v.113 (Acte 1, scène 2, CLARIMONDE)
Et que par vos faveurs je tienne auprès de vous v.183 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Vous avez commencé de tenter les hasards, v.199 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
C'est de la passion qu'elle a de vous servir. v.204 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Je puis que quelque bien vous requérir encore, v.206 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Est le juste sujet pour qui je vous implore, v.214 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Et quand cette beauté qui vous est asservie v.217 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Que voulez-vous de plus ? Il est temps d'arrêter v.223 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Grand Roi je vous en prie, et je ne veux cesser v.227 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Et qu'être aimé de vous valait mieux qu'un Empire. v.261 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Je vais puisqu'il vous plaît revoir cette captive, v.277 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Oui, mais de ce pouvoir que son malheur vous donne v.305 (Acte 1, scène 3, MÉLIDOR)
Ce Dieu dont vous parlez amolli par mes larmes v.337 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
N'a plus pour vous troubler de colère ni d'armes, v.338 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Et je n'ai désormais à combattre que vous. v.340 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Je sais que pour le sang dont le Ciel vous fit naître, v.341 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Courez belle Princesse où ma foi vous convie, v.349 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Vous êtes aujourd'hui l'arbitre de ma vie, v.350 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Destins, Princesse, Amour, que je vous dois d'autels : v.364 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Quels voeux et quels devoirs faut-il que je vous rende ? v.366 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Mais si vous désirez qu'aux mains de Clarimonde v.377 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Détournera le coup qui vous le dois ravir : v.404 (Acte 2, scène 1, ALCANDRE)
Pourquoi pâlissez-vous ? v.407 (Acte 2, scène 1, LYDIANE)
Contenez-vous Madame, v.409 (Acte 2, scène 1, LYDIANE)
Puisque j'obtiens de vous cette rare merveille, v.413 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Vous égalez ma gloire à la gloire des Dieux ; v.416 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Vous les rendriez jaloux du bonheur de ma vie. v.418 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Hélas que dites-vous par quel projet funeste v.441 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Voulez-vous me ravir la gloire qui me reste ? v.442 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Si j'ose vous nommer l'auteur de mes ennuis, v.452 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Je puis vous soupçonner d'un peu d'ingratitude. v.454 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Je ferais vanité de vous rendre aujourd'hui v.491 (Acte 2, scène 2, CLARIMONDE)
Il vous faut comme aux Dieux, faire des sacrifices, v.506 (Acte 2, scène 2, CLARIMONDE)
Vous verrez la victime aussi tôt que l'autel. v.508 (Acte 2, scène 2, CLARIMONDE)
Si le feu qui vous brûle est éteint dans mon sang. v.512 (Acte 2, scène 2, CLARIMONDE)
Si vous me remplissez de regret et d'horreur, v.563 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Pour vous faire savoir qu'il faut qu'elle vous voie v.586 (Acte 2, scène 4, LYDIANE)
Et si vous conservez quelque soin de lui plaire v.601 (Acte 2, scène 4, LYDIANE)
Vous les pouvez franchir. v.602 (Acte 2, scène 4, LYDIANE)
Le Prince pour le moins ne vous connaîtra pas, v.611 (Acte 2, scène 4, LYDIANE)
Je vous suivrai bientôt. v.614 (Acte 2, scène 4, ALCANDRE)
Méditez-vous ici quelques exploits guerriers, v.619 (Acte 2, scène 4, MÉLIDOR)
Je vous trouve pensif. v.621 (Acte 2, scène 4, M?LIDOR)
C'est à vous de former ces desseins glorieux. v.623 (Acte 2, scène 4, ALCANDRE)
Vous le croyez ainsi. v.637 (Acte 2, scène 4, ALCANDRE)
Celle de qui l'orgueil ose vous résister, v.664 (Acte 3, scène 2, ARGIRAN)
Dit avoir un secret important à vous dire. v.702 (Acte 3, scène 2, LYCAS)
Mais Sire je vous tiens trop longtemps en balance, v.726 (Acte 3, scène 3, MÉLIDOR)
Je vous l'amènerai vif ou mort. v.743 (Acte 3, scène 3, MÉLIDOR)
Qu'on vous méconnaîtra par le nom de vos pères. v.754 (Acte 3, scène 3, MÉLIDOR)
Ce lieu n'est pas commode à vous entretenir, v.760 (Acte 3, scène 3, MÉLIDOR)
Il le veut, il le peut, vous n'avez point de garde v.781 (Acte 3, scène 4, LYDIANE)
De qui l'oeil défiant jour et nuit vous regarde. v.782 (Acte 3, scène 4, LYDIANE)
Rien ne vous est suspect, puisque dans ce moment v.783 (Acte 3, scène 4, LYDIANE)
Vous êtes sous la foi d'une Clef seulement, v.784 (Acte 3, scène 4, LYDIANE)
Vous le verrez bientôt. v.785 (Acte 3, scène 4, LYDIANE)
Que mon funeste abord vous étonne et vous blesse, v.802 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Serait un prompt moyen de vous tirer de peine. v.826 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Je suis prêt de vous suivre, et de verser mon sang v.827 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Ce funeste penser vous dérobe des pleurs, v.851 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Reposez-vous sur moi j'y veillerai sans cesse. v.869 (Acte 3, scène 5, LYDIANE)
Qu'avez-vous résolu belle et sage Princesse ? v.870 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Sa vie ? Ah qu'ai-je ouï ! Parlez-vous sainement, v.879 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Ah si vous ignorez combien elle me touche, v.913 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Ma main vous l'apprendra beaucoup mieux que ma bouche, v.914 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
J'ai cru de mon devoir de vous en informer. v.955 (Acte 3, scène 5, LYDIANE)
Si d'être aimé de vous la gloire m'est ravie, v.1021 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
La honte de me nuire et de vous abuser : v.1032 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
Et si vous n'écoutez en me manquant de foi, v.1035 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
Ni raison ni pitié qui vous parlent pour moi, v.1036 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
Plaignez-vous, il est temps, familles désolées, v.1041 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
Et vous faibles vieillards, dont j'ai percé le flanc, v.1043 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
Vous Sire ? v.1081 (Acte 4, scène 2, MÉLIDOR)
Vous m'avez tout promis. v.1082 (Acte 4, scène 2, MÉLIDOR)
Bien loin de vous trahir il a su vous défendre, v.1166 (Acte 4, scène 3, CLARIMONDE)
Solimont serait libre et vous ne seriez plus. v.1168 (Acte 4, scène 3, CLARIMONDE)
Le mal de Solimont vous doit rendre sensible, v.1202 (Acte 4, scène 3, LYDIANE)
Le sang et le devoir combattent contre vous. v.1204 (Acte 4, scène 3, LYDIANE)
Vous demande le jour que vous tenez de lui. v.1208 (Acte 4, scène 3, LYDIANE)
Que résoudrez-vous donc dans un combat si grand ? v.1211 (Acte 4, scène 3, LYDIANE)
Par qui l'injuste Ciel veut que je vous présente v.1241 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Que vous plongiez vous-même un poignard dans mon sein ? v.1244 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Et qu'arrachant ce coeur où vous êtes gravée, v.1246 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Vous donniez à sa flamme ou bien à son courroux, v.1247 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Le portrait le plus beau qu'on fît jamais de vous ? v.1248 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
En un mot le Tyran qui vous tient en prison ; v.1256 (Acte 4, scène 5, CLARIMONDE)
Il veut me posséder ou vous faire périr. v.1260 (Acte 4, scène 5, CLARIMONDE)
Hélas que dites-vous, ce penser est coupable, v.1285 (Acte 4, scène 5, CLARIMONDE)
Non non je vous rendrai le bien que j'ai reçu, v.1288 (Acte 4, scène 5, CLARIMONDE)
Cédez à la pitié, ce vieillard vous implore, v.1297 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Par un discours muet semblent vous conjurer, v.1299 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Un sceptre vous attend et Solimont vous presse v.1310 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Vous tenez trop longtemps son esprit en balance, v.1313 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Quoi qu'exigent de vous l'Amour et la constance v.1314 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Que voulez-vous de moi ? v.1320 (Acte 4, scène 5, LYDIANE)
Oui si vous permettez v.1331 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Et parmi les grandeurs où vous devez prétendre, v.1333 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Vous n'avez rien à craindre v.1341 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Puisque cette Beauté qui vous doit sa naissance v.1353 (Acte 5, scène 1, ALMAZAN)
De mépriser l'ardeur dont vous brûler pour elle, v.1358 (Acte 5, scène 1, SOLIMONT)
Et suis prêt comme vous de jurer une paix, v.1363 (Acte 5, scène 1, SOLIMONT)
S'il vous plaît dès ce soir. v.1379 (Acte 5, scène 1, ARGIRAN)
Dans le bien de vous voir hors de la servitude, v.1397 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Vous porte du naufrage aux délices du port. v.1400 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
La gloire et le bonheur dont vous flattez mes sens, v.1403 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
C'est pour vous seulement que je les considère, v.1405 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
En vous je les chéris, et si j'étais sans père, v.1406 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Qu'il n'est rien aujourd'hui qui vous doive affliger ; v.1416 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Vous n'entendrez jamais l'effroyable tonnerre, v.1417 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Chassez donc ce regret dont vous semblez atteinte, v.1421 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Préparez-vous Madame, à vous voir couronner v.1423 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Soyez enfin sensible au remords qui vous pique, v.1449 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Et si vous le privez du fruit de son amour, v.1451 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Quoique pour vous toucher ce soient de faibles armes, v.1453 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Clarimonde hélas que faites-vous ? v.1455 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Celle qui vous implore est en lui transformée, v.1457 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Ose vous conjurer de finir son malheur v.1459 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
C'est la seule faveur dont je vous importune, v.1462 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Les pleurs que vous versez désarmeraient mon bras : v.1468 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Ne vous affligez plus, je cède à votre envie, v.1469 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Avec sa liberté je vous donne sa vie, v.1470 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Je vais vous l'envoyer, cependant permettez v.1475 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
Pouvez-vous bien me croire à ce point insensée, v.1494 (Acte 5, scène 2, LYDIANE)
Ce n'est point vous trahir, ce n'est point vous quitter. v.1504 (Acte 5, scène 2, LYDIANE)
Je viens vous présenter sous des fers invisibles, v.1513 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Si vous me l'accordez me rendra désormais v.1547 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Ni de monter au trône où je vous vois courir, v.1551 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Prendre congé de vous est tout ce qui me reste v.1566 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Si ma flamme chez vous trouve encore quelque grâce, v.1569 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Vous voyez que le Ciel justement irrité v.1571 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Ne vous venge que trop de ma témérité. v.1572 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Vous l'ordonnez Madame. v.1576 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Et si vous ne fuyez vous serez la conquête v.1614 (Acte 5, scène 4, LYDIANE)
De ce désespéré ; qui pour vous seulement v.1615 (Acte 5, scène 4, LYDIANE)
Ou d'être secouru l'espoir vous est ôté, v.1628 (Acte 5, scène 5, SOLIMONT)
N'a plus pour vous troubler ni force ni vigueur, v.1639 (Acte 5, scène 6, ARGIRAN)
Et pour vous garantir il a fait des miracles. v.1646 (Acte 5, scène 6, ARGIRAN)
Vous raconter ici les exploits qu'il a faits, v.1651 (Acte 5, scène 6, ARGIRAN)
D'exhaler devant vous les restes de sa vie, v.1662 (Acte 5, scène 6, ARGIRAN)
Vous plaît-il mais il vient. v.1663 (Acte 5, scène 6, ARGIRAN)
Alcandre devant vous faussement accusé v.1667 (Acte 5, scène 7, MÉLIDOR)
Le Ciel et ma raison vous redonnent Alcandre. v.1689 (Acte 5, scène 8, ALMAZAN)
N'y consentez-vous pas ? v.1703 (Acte 5, scène 9, ALMAZAN)
Je vous donne avec elle et mon sceptre et ma foi. v.1707 (Acte 5, scène 9, SOLIMONT)
Est-ce vous ? v.1708 (Acte 5, scène 9, ALCANDRE)
Mais dans ce doux transport où vous m'avez jeté v.1711 (Acte 5, scène 9, ALCANDRE)

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LE PRINCE FUGITIF (1649)

Vous soupirez. v.17 (Acte 1, scène 1, CLYTON)
Quoi, mais, achevez, vous me pouvez tout dire ; v.18 (Acte 1, scène 1, CLYTON)
Vous êtes prisonnier ? v.29 (Acte 1, scène 1, CLYTON)
Que craignez-vous ? v.37 (Acte 1, scène 1, CLYTON)
Que prétendez-vous donc ? v.41 (Acte 1, scène 1, CLYTON)
Sous les mêmes efforts qui vous feraient tomber. v.56 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
Mais, Sire, vous savez où l'honneur nous convie, v.65 (Acte 1, scène 2, ALCESTE)
Vous ôte pour ce coup les armes de la main : v.72 (Acte 1, scène , LE ROI)
Ce que vous me devez vous parle de changer v.75 (Acte 1, scène , LE ROI)
L'ardeur de vous détruire au soin de me venger. v.76 (Acte 1, scène , LE ROI)
Ne vous regardez plus d'un oeil de jalousie, v.86 (Acte 1, scène , LE ROI)
Pensez-vous qu'Archestrate en dût être le prix ? v.88 (Acte 1, scène , LE ROI)
Ou s'il en faut du sang il ne vous est permis v.91 (Acte 1, scène , LE ROI)
À ce noble devoir la gloire vous appelle, v.94 (Acte 1, scène , LE ROI)
Prétend vous accabler sous l'effort qu'il prépare, v.98 (Acte 1, scène 4, ARCHESTRATE)
Orphise, et vous Alceste en qui je me propose v.113 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
J'ai vu dans quel état vous ont enfin réduit v.159 (Acte 1, scène 4, PHILOXANDRE)
Et l'heur qui l'accompagne, et celui qui vous fuit. v.160 (Acte 1, scène 4, PHILOXANDRE)
Un insolent vainqueur en triomphe vous traîne, v.166 (Acte 1, scène 4, PHILOXANDRE)
Veut que vous la perdiez, la perdre avec honneur. v.172 (Acte 1, scène 4, PHILOXANDRE)
Vous pouvez autre part rencontrer un asile, v.177 (Acte 1, scène 4, PHILOXANDRE)
Vous exposer Seigneur ! v.183 (Acte 1, scène 4, ARCHESTRATE)
Vous pouvez tout sur moi. v.192 (Acte 1, scène 4, PHILOXANDRE)
Et vous mon seul refuge, enfin voici le jour v.195 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
Vous partez mécontente ? v.211 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Vous fuyez ! v.212 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Je les ai violés, vengez-vous j'y consens. v.220 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Je vais vous épargner par un soin légitime v.229 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Puisqu'il faut vous quitter, et perdre l'espérance v.233 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
De recouvrer chez vous ma première innocence. v.234 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Et que dans les périls qu'il vous préparés v.239 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Il trouve enfin la mort que vous lui désirez. v.240 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Vous portez dans les yeux des traits pour le chasser. v.264 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Permettez-donc, Madame, et je vous en conjure, v.265 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Si je vous ai déplu voyez mon repentir, v.292 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Si j'ose demander pourquoi vous revenez, v.296 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Vous descendez bientôt. v.297 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Vous étendez bien loin un sentiment si doux, v.320 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Sans choix ? Vous me trompez. v.321 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Si tous deux ont sur vous un pareil avantage, v.325 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
C'est donc en vous nommant Alceste pour Orphise. v.330 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Ces Princes pour vous plaire ont quitté leur patrie, v.333 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Vous êtes le sujet de leur idolâtrie, v.334 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Mais d'aller jusqu'à vous, il peut tout hors ce point. v.347 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Mais voyant aujourd'hui combien vous l'estimez v.363 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Je dis qu'il en sait trop s'il sait que vous l'aimez. v.364 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Si mon feu vous déplaît creusez mon précipice, v.374 (Acte 2, scène 1, ARCHESTRATE)
S'il vous est inconnu v.384 (Acte 2, scène 2, CLYTON)
Consolez-vous, Princesse toute belle, v.413 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
J'accours vous apporter une grande nouvelle. v.414 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
Pour vous laisser jouir d'une victoire entière v.441 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
Mon honneur m'ait forcé de m'éloigner de vous, v.456 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
Quoi ? Vous voir triomphant et n'être pas atteinte v.481 (Acte 2, scène 4, ARCHESTRATE)
Vous pouvez épuiser les trésors de l'Empire, v.506 (Acte 2, scène 4, ARCHESTRATE)
Ou d'Alceste ou de moi vous a le mieux servi : v.528 (Acte 2, scène 4, ORPHISE)
Vous pouvez prononcer quel sera notre sort, v.531 (Acte 2, scène 4, ORPHISE)
Je sais bien toutefois qu'il faut vous satisfaire, v.537 (Acte 2, scène 4, LE ROI)
Qu'un décret solennel ne vous rende contents. v.540 (Acte 2, scène 4, LE ROI)
Qui vous rend le repos, qui vous comble de gloire, v.546 (Acte 2, scène 4, ARCHESTRATE)
Si je deviens esclave alors que vous régnez. v.552 (Acte 2, scène 4, ARCHESTRATE)
J'y rêve comme vous, mais plus je me consomme v.565 (Acte 3, scène 1, ALCESTE)
Vous êtes son désir, vous êtes ses délices, v.589 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
Les faveurs sont pour vous, et pour moi les supplices. v.590 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
Renversez tout cela, dites qu'elle a pour vous v.591 (Acte 3, scène 1, ALCESTE)
Vous êtes de ses voeux la plus chère espérance, v.593 (Acte 3, scène 1, ALCESTE)
Les peines sont pour moi, pour vous la récompense. v.594 (Acte 3, scène 1, ALCESTE)
N'avez-vous rien tenté pour vaincre sa rigueur ? v.599 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
Elle vous portraira, mais avec des couleurs v.620 (Acte 3, scène 2, LUCINDE)
En triomphant de lui vous triompherez d'elle, v.654 (Acte 3, scène 2, LUCINDE)
Voilà tout le conseil que je puis vous donner, v.655 (Acte 3, scène 2, LUCINDE)
Adieu je suis forcée à vous abandonner. v.656 (Acte 3, scène 2, LUCINDE)
Et bien vous revenez plein de gloire et d'amour. v.660 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
Je ne veux pour tout bien que le bien de vous plaire, v.694 (Acte 3, scène 4, PHILOXANDRE)
Avez-vous obtenu ? v.703 (Acte 3, scène 4, LE ROI)
Et vous ? v.709 (Acte 3, scène 4, LE ROI)
Il faut qu'elle se règle à tout ce qui vous plaît : v.712 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
Pour cela c'est à vous, Sire, que je m'adresse, v.713 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
Vous seul me tenez lieu de Maître et de Maîtresse. v.714 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
Vous n'avez pu connaître où penche son esprit ? v.715 (Acte 3, scène 4, LE ROI)
Se prépare à vous faire une supercherie. v.787 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Un Ennemi n'a su vous surmonter ? v.788 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Deux tout à la fois viennent vous affronter, v.789 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Qu'ils doivent vous porter un coup inévitable. v.791 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Ces tablettes que j'ai vous les reconnaissez ? v.792 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Vous y verrez tracés, v.793 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Parmi lesquels un père absolu dessus vous v.796 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Vous impose la loi de choisir un époux. v.797 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Remettez-vous, Madame, v.802 (Acte 3, scène 5, LUCINDE)
Vous étendez partout les lois de votre Empire, v.815 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Et s'ils doivent pour vous souffrir mille trépas v.820 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Descendez jusqu'à moi, que ne vous dois-je pas ? v.821 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Vous en devez juger, v.824 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Selon qu'elle vous plaît, ou vous peut affliger, v.825 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Vous donner aujourd'hui deux Princes à choisir. v.836 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
De l'ombre seulement du mal que vous feignez. v.853 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Puisque nul autre qu'eux ne vous peut mériter v.856 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Ne me condamnez pas si ma main vous refuse, v.870 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Le Roi pour cet arrêt ne consulte que vous. v.872 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Qu'avez-vous résolu ? v.880 (Acte 4, scène 1, LUCINDE)
Vous avez satisfait aux volontés du Roi ? v.884 (Acte 4, scène 1, LUCINDE)
Que vous pourriez guérir de cette injuste flamme. v.887 (Acte 4, scène 1, LUCINDE)
Vous le savez, v.888 (Acte 4, scène 1, LUCINDE)
Pourriez-vous sans faillir à ce que vous devez. v.889 (Acte 4, scène 1, LUCINDE)
Mais admirant le sort d'un que vous couronnez v.928 (Acte 4, scène 2, PHILOXANDRE)
Je plains un malheureux que vous abandonnez. v.929 (Acte 4, scène 2, PHILOXANDRE)
Qu'il semble que c'est moi que vous avez quitté. v.933 (Acte 4, scène 2, PHILOXANDRE)
Que vous faites d'une âme un funeste partage. v.947 (Acte 4, scène 2, PHILOXANDRE)
Vous vous trompez mes yeux, vous vous êtes mépris ; v.1016 (Acte 4, scène 3, LE ROI)
Sire, je suis tout prêt de vous le faire voir, v.1049 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
À quel récit m'allez-vous engager ? v.1081 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Et ne savez-vous pas, Sire, que l'imposture v.1082 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Vous connaissez la flamme et l'amour impudique v.1094 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Avant que vous eussiez mon état secouru, v.1161 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
L'affaire le mérite, allez vous préparer. v.1169 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
Hélas ! Que dites-vous, une âme bien sensée v.1186 (Acte 6, scène 2, LUCINDE)
Songez un peu Madame, au nom que vous portez, v.1188 (Acte 6, scène 2, LUCINDE)
Et ne démentez pas le sang dont vous sortez : v.1189 (Acte 6, scène 2, LUCINDE)
Ce discours vous offense et leur fait une injure. v.1194 (Acte 6, scène 2, LUCINDE)
Et que pour les punir du feu que vous blâmez v.1232 (Acte 6, scène 3, ARCHESTRATE)
C'est à vous d'alléguer par quels fameux exploits v.1252 (Acte 6, scène , LE ROI)
Je jure par vous, Sire, et par cette beauté v.1260 (Acte 6, scène , ORPHISE)
Malgré tous les efforts qui vous ont défendues, v.1263 (Acte 6, scène , ORPHISE)
Lorsque vous rencontrant sous un cheval blessé v.1276 (Acte 6, scène , ORPHISE)
Pour vous en retirer a prodigué ma vie. v.1279 (Acte 6, scène , ORPHISE)
Ce service est-il grand ? Vous le savez grand Roi, v.1284 (Acte 6, scène , ORPHISE)
A chassé l'ennemi qui fondait dessus vous, v.1309 (Acte 6, scène , ALCESTE)
Et devenu pour vous oublieux de moi-même, v.1311 (Acte 6, scène , ALCESTE)
Sire, si cet exploit a pu vous obliger v.1316 (Acte 6, scène , ALCESTE)
Vous l'avez ressenti, c'est à vous d'en juger. v.1317 (Acte 6, scène , ALCESTE)
Sire, je vous demande un moment d'audience. v.1327 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Vous respects où mon coeur s'est toujours attaché, v.1352 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Mourez je vous suivrez, mais souffrez que j'exprime v.1353 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
J'aime, ah ! Vous le savez ce courroux qui s'enflamme, v.1357 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Oui, vous savez que j'aime, et ce qu'a mérité v.1359 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
De ce juste dessein rien ne vous doit distraire, v.1365 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Vengez Séleuque et vous, d'une coupable vie, v.1369 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Nourrit pour Archestrate un feu qui vous déplaît. v.1372 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Je ne le cache point, je vous dois plus qu'à lui : v.1376 (Acte 6, scène 5, LE ROI)
Et prévenus pour vous et d'amour et d'estime, v.1417 (Acte 6, scène , ACANTE)
Ils nous ont députés afin de vous offrir v.1418 (Acte 6, scène , ACANTE)
Vous avez au forfait égalé le supplice ; v.1421 (Acte 6, scène , LE ROI)
Sages Ambassadeurs pourriez-vous me dépeindre v.1424 (Acte 6, scène , LE ROI)
Ce Prince dont la perte aujourd'hui vous fait plaindre ? v.1425 (Acte 6, scène , LE ROI)
Mon Prince vous vivez ! v.1431 (Acte 6, scène , ACANTE)
J'ose vous les offrir, et ce noble partage v.1453 (Acte 6, scène , APOLLONIE)

LA CLORISE (1634)

Ah vous m'avez surpris. v.32 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Vous me croyiez plus loin ne mentons point ? v.33 (Acte 1, scène , PHÉDON)
Je vous croyais encor dedans votre demeure. v.34 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Que si vous doutez, je n'ai pour le prouver v.39 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Vous savez que dès lors qu'un généreux effort v.43 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Quoi vous y consentez ? v.73 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Et réciproquement je jure comme vous v.75 (Acte 1, scène , PHÉDON)
Je reviendrai chez moi, pensez à vous y rendre. v.81 (Acte 1, scène , PH?DON)
Vous voilà de retour. v.87 (Acte 1, scène , ÉRASTE)
Vous savez qu'Éliante a pour moi des mépris v.127 (Acte 1, scène , PHILIDAN)
Vous faites de la peine à son esprit rusé. v.136 (Acte 1, scène , PHILIDAN)
Vous-même. v.137 (Acte 1, scène , PHILIDAN)
Et que toujours ses yeux sont arrêtés sur vous. v.139 (Acte 1, scène , PHILIDAN)
Ce coeur est tout à vous. v.266 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
C'est de quoi je vous blesse et ne vous puis guérir. v.320 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Je vous jure que non. v.327 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Ce que vous proposez n'est pas en mon pouvoir. v.339 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Vous travaillez en vain je ne vous quitte pas v.359 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Si vous voulez mourir avancez mon trépas. v.360 (Acte 1, scène , ALIDOR)
En échange du bien que vous me souhaitez v.415 (Acte 2, scène , CLORISE)
Le Ciel vous donne aussi ce que vous méritez. v.416 (Acte 2, scène , CLORISE)
Mais berger quel dessein en ce lieu vous amène ? v.417 (Acte 2, scène , CLORISE)
Ce coeur que vous ouvrez aux rigueurs seulement. v.420 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Vous conjure par moi de ne permettre pas v.423 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Qu'il baise plus, sans vous, les marques de vos pas : v.424 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Il nomme les Lyons moins farouches que vous. v.428 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Hélas depuis le temps que vous l'avez chassé v.435 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Mais ne voulez-vous pas vous résoudre à l'aimer ? v.448 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Et bien ne l'aimez pas mais souffrez qu'il vous aime. v.450 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Quand vous plaît-il de le voir ? v.451 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Vous lui pardonnez donc ? v.453 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Vous le ramènerez s'il est proche d'ici. v.460 (Acte 2, scène , CLORISE)
Que pour vous affliger et me faire insolente. v.474 (Acte 2, scène , ÉLIANTE)
J'use mal envers vous de leur autorité, v.476 (Acte 2, scène , ÉLIANTE)
Ne soit jamais pour moi moins sensible que vous. v.496 (Acte 2, scène , ÉLIANTE)
Mais vous l'autorisez, car votre volonté v.499 (Acte 2, scène , ?LIANTE)
Pour ses refus passés vous donnera des larmes, v.506 (Acte 2, scène , CLORISE)
Il prouvera par vous, s'il a quelque raison, v.507 (Acte 2, scène , CLORISE)
Soudain qu'il paraîtra couvrez-vous du feuillage v.513 (Acte 2, scène , CLORISE)
Le voici glissez-vous sous ces arbres épais. v.515 (Acte 2, scène , CLORISE)
Je ne viens pas ici pour vous faire ma plainte, v.522 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Ainsi ne craignez pas que je vous importune v.525 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Sinon pour vous montrer que dans l'état qu'elle est v.527 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Je l'aime doublement pour ce qu'elle vous plaît : v.528 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Êtes-vous de ce nombre ? v.549 (Acte 2, scène , CLORISE)
Vous n'en sauriez douter sans me désespérer. v.551 (Acte 2, scène , ALIDOR)
En voulez-vous chercher une preuve plus forte ? v.554 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Vous avez de mon teint tous les traits effacés. v.556 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Montre combien je souffre, et combien je vous aime ; v.558 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Que si votre soupçon m'oblige à vous fournir v.559 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Il n'est rien que mon bras n'entreprenne pour vous. v.564 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Vous promettez beaucoup. v.566 (Acte 2, scène , CLORISE)
Vous venez à propos v.571 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Et laissez-vous toucher aux flammes dont je brûle. v.574 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Demeurez, nous avons quelque chose à vous dire. v.577 (Acte 2, scène , CLORISE)
Pour vous. v.587 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Pourquoi ne voulez-vous que Philidan obtienne v.597 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Je vous pourrais payer de la même raison. v.600 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Puisqu'elle vous chérit vous la devez aimer. v.608 (Acte 2, scène , CLORISE)
Vous pouvez librement user de mon service. v.693 (Acte 2, scène , DORILAS)
Et vous qui méprisant la colère des Ondes v.729 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Vous donne ce festin, et je vous le prépare : v.734 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Mais vous qui punissez les actions perfides, v.813 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Grands Dieux, qu'attendez-vous d'apprêter mes tourments ? v.815 (Acte 3, scène , ?LIANTE)
Ours, Vipères, Démons, je vous invoque tous v.827 (Acte 3, scène , ?LIANTE)
Qui retient vos fureurs ? Pourquoi m'épargnez-vous ? v.828 (Acte 3, scène , ?LIANTE)
Ah je vous ai ravi v.843 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Pouvez-vous bien souffrir l'entretien des profanes ? v.922 (Acte 3, scène , CLORISE)
Clorise je vous jure une seconde fois v.927 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Pour peu que vous puissiez dissiper cette crainte, v.933 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Deux mots vous apprendront le succès de ma feinte ; v.934 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Je vous en veux guérir. v.935 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Car j'appelle mourir être éloigné de vous, v.943 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Et là quand vous aurez d'une plainte commune v.957 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Vous précipiterez ce fantôme dans l'eau, v.960 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Si ma feinte vous fâche, et s'il faut que ma voix v.979 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Clorise, si les lois que vous m'avez prescrites, v.993 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Vous savez qu'à mon bien son désir est fatal, v.1000 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Si vous ne me teniez la vôtre également v.1007 (Acte 3, scène , PHILIDAN)
Vous me feriez mourir. v.1008 (Acte 3, scène , PHILIDAN)
Je vous cède le bien que je voulais avoir, v.1024 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Je veux que vous l'aimiez. v.1027 (Acte 3, scène , ?LIANTE)
M'attache avecque vous d'une étroite amitié, v.1028 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Je vous dois mon repos. v.1029 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Vous savez que croyant Alidor expiré v.1035 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Vous convaincre d'erreur avec deux beaux témoins. v.1125 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
Quelle nécessité de m'éloigner de vous ? v.1140 (Acte 4, scène , CLORISE)
Telle j'ose espérer qu'en cet Âge où vous êtes, v.1182 (Acte 4, scène , CLORISE)
Vous voyez si je suis exact en ma promesse v.1206 (Acte 4, scène , NICANDRE)
Ça que je vous caresse, v.1207 (Acte 4, scène , PHÉDON)
Vous que tous mes désirs regardent aujourd'hui v.1208 (Acte 4, scène , PH?DON)
Le bien dont vous allez ma fortune obliger v.1212 (Acte 4, scène , ÉRASTE)
Si je pense jamais à vous désobéir. v.1217 (Acte 4, scène , ?RASTE)
Je crois bien, que sachant l'amour que je vous porte, v.1218 (Acte 4, scène , PHÉDON)
Vous aurez pour me plaire une passion forte, v.1219 (Acte 4, scène , PH?DON)
Allez vous acquittez du devoir d'un Amant. v.1220 (Acte 4, scène , PH?DON)
La crainte toutefois que j'ai de vous déplaire v.1230 (Acte 4, scène , ÉRASTE)
Si ceux qui comme vous sont absolus sur moi v.1232 (Acte 4, scène , ?RASTE)
La gloire que mon âme attend de vous servir. v.1237 (Acte 4, scène , ?RASTE)
Vous trouviez son esprit dans quelque indifférence, v.1251 (Acte 4, scène , PHÉDON)
Ne vous rebutez pas pour connaître l'amour v.1252 (Acte 4, scène , PH?DON)
On s'en remet à vous, il ne s'agit sinon v.1256 (Acte 4, scène , NICANDRE)
Peut-être, jeune d'ans, vous trouvez fort étrange v.1258 (Acte 4, scène , NICANDRE)
Mais si d'un sens rassis vous y jetez les yeux v.1260 (Acte 4, scène , NICANDRE)
Vous verrez qu'elle aura changé de bien en mieux v.1261 (Acte 4, scène , NICANDRE)
Une seule faveur qui ne vous soit commune, v.1263 (Acte 4, scène , NICANDRE)
D'ailleurs, quand vous aurez uni nos deux maisons, v.1268 (Acte 4, scène , NICANDRE)
Qu'en dites-vous ? v.1272 (Acte 4, scène , NICANDRE)
Que vous êtes tous deux promis en mariage. v.1283 (Acte 4, scène , PHÉDON)
Mais vous chère beauté serez-vous infidèle ? v.1361 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Qu'avez-vous résolu ? v.1363 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Vous devez cet effort à mon affection. v.1366 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Vous êtes impuissants. v.1374 (Acte 4, scène , ALIDOR)
D'expier le péché dont vous êtes coupable. v.1385 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Ah ! Si vous aviez fait dessein de me trahir v.1386 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Vous ne deviez jamais cesser de me haïr, v.1387 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Oui, puisqu'elle vous plaît, elle sera suivie v.1420 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Où je puisse vous dire un éternel Adieu. v.1423 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Vous, qui souliez jadis parler de mes douleurs, v.1430 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Ah ! Souffrez que par vous mon désespoir s'exprime, v.1432 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Vous savez que la cause en est trop légitime, v.1433 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Vous ne me verrez plus, mais quoi, s'il est possible, v.1444 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Et vous monts sourcilleux, déserts inhabités, v.1454 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Vous ne parlerez plus, cet esprit criminel, v.1458 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Comme à moi, vous impose un silence éternel : v.1459 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Voudriez-vous bien m'ôter destins pernicieux v.1462 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Vous qui voyez ma peine et ne m'assistez pas, v.1474 (Acte 5, scène , CLORISE)
Je viens pour recevoir et de vous et du sort v.1478 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Que vous manquez d'Amour autant que de courage. v.1493 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Adieu ; souvenez-vous que je pars enragé v.1534 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Dont vous semblez hâter la naissance des fleurs ? v.1559 (Acte 5, scène , ÉRASTE)
C'est que dans le moment que vous m'avez trouvée v.1560 (Acte 5, scène , CLORISE)
Si vous jugez ma perte utile à vous guérir. v.1567 (Acte 5, scène , ÉRASTE)
Est-il quelque berger dans nos bois qui vous fâche ? v.1568 (Acte 5, scène , ?RASTE)
Je vous cherche partout, v.1578 (Acte 5, scène , ÉLIANTE)
Sans vous pouvoir trouver. v.1580 (Acte 5, scène , ?LIANTE)
Depuis que je ne vous ai vue. v.1581 (Acte 5, scène , CLORISE)
Vous m'étonnez. v.1582 (Acte 5, scène , ÉLIANTE)
Et je vous apprendrai quel est cet accident. v.1583 (Acte 5, scène , ÉRASTE)
Vous m'avez mis en peine. v.1584 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
Je m'en vais vous attendre où l'Amour vous convie, v.1585 (Acte 5, scène , ÉRASTE)
Vous voyez ma disgrâce, v.1588 (Acte 5, scène , CLORISE)
Cachez-vous pour un peu je crains qu'il n'entreprenne v.1664 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
De se venger sur vous de l'excès de sa peine. v.1665 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
Peut-être en quelque songe où vous l'avez rêvé. v.1671 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
Prophète, vous parlez mieux que vous ne pensez. v.1682 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
Vous ne me croyez point ? v.1690 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
Voudriez-vous point qu'encor Éraste vous le dit ? v.1691 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
Vous allez augmentant mon amoureuse flamme v.1757 (Acte 5, scène , ALIDOR)

CÃ‰LINDE (1629)

Est-ce vous madame ? (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Belle Parthénice je pense qu'après que je vous aurai déduit mes raisons, vous ne... (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Si vous m'interrompez. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Mais puisque votre silence me donne le temps de vous représenter quel est maintenant l'état de mon âme et de ma vie, je vais vous en faire le discours avecque serment que si je puis être convaincu d'un seul mensonge je ne refuserai jamais quelque peine que vous me puisiez imposer. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Vous savez, Madame, sous quelles lois je respire aujourd'hui, et que depuis la mort de celui à qui je dois toute la gloire de ma naissance, une mère a pris tant d'autorité sur moi qu'il ne m'est pas seulement permis de murmurer contre les ordonnances qu'elle me veut prescrire. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Madame, je ne doute pas que votre amour ne condamne mon obéissance, mais il n'arrivera jamais qu'à faute d'obéir, ma mère ait droit d'accuser mon amour ; je dis cette vérité avecque regret, car sans être le plus ingrat de tous les hommes, je ne saurais nier que je ne doive beaucoup aux honnêtes libertés dont votre amitié m'a permis de jouir : mais belle Parthénice, si vous croyez que je vous sois extrêmement obligé pour avoir nourri de quelques faveurs le repos de ma vie, jugez ce que je ne dois point à celle sans qui je n'eusse jamais vu ni Parthénice ni le jour. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Belle Parthénice, vous vous travaillez en vain, je ne consentirai jamais au funeste dessein que vous faites contre vous-même. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Mais puisqu'il m'est permis d'user envers vous du droit des vainqueurs, je vais appendre cette épée sur un Autel consacré à l'Amour : que si l'on entreprend de vous faire quelque outrage, servez-vous de ce que la nature a donné si avantageusement à votre sexe, qui n'a besoin pour assujettir les hommes, d'employer d'autres armes que celles de ses yeux. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Vous avez raison, Madame, comme on ne saurait trop tard exécuter un mauvais dessein ; aussi ne saurait-on jamais trop tôt faire une bonne action : par là vous pouvez juger, que tant s'en faut que je doive me plaindre du sujet qui vous a donné le soin de me visiter ce matin, qu'au contraire j'en demeure votre obligé, comme du plus grand bien que vous me pouviez procurer. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Page, des sièges ; Madame, mettez-vous à votre aise : désormais notre âge nous prescrit cette nécessité : et je pense que pour nous montrer que nous devrions quelquefois nous lasser de vivre, nos jambes sont les premières qui se lassent de nous soutenir. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Vous agréerez donc, sage Amintor, que j'achève de vous proposer ce dont je ne vous ai fait qu'une légère ouverture ; et que je vous découvre une pensée qui occupe mon esprit depuis quelque temps, dont le succès pourrait être également avantageux à nos deux familles. (Acte 1, scène 2, DORICE)
Je vous ai déjà protesté, Madame, que ma plus grande passion était de vous ouïr sur ce sujet, et que vous ne sauriez me proposer un moyen de vous plaire ou de vous servir, que je n'en fasse la plus grande partie de ma gloire. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Parlez donc franchement, je vous supplie ; et surtout que la langue soit fidèle interprète des sentiments de l'âme, car de tout temps j'ai été mortel ennemi de l'artifice et de la dissimulation. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
J'admire en vous cette vertu, presque aussi rare en notre siècle, que le Phénix dont l'antiquité nous a conté tant de merveilles : donc pour ne trahir pas votre désir, ni mon humeur, un mot vous ouvrira mon âme, et vous apprendra que le principal sujet de ma visite, est de vous offrir mon fils Floridan pour gendre, et de le donner à Célinde pour époux. (Acte 1, scène 2, DORICE)
De vous dire maintenant les considérations qui m'ont portée à cette recherche, je l'estime en quelque façon hors de propos, puisque cela ne se peut sans que j'y mêle un récit de vos louanges, dont je craindrais que le discours (quoique véritable et mérité) vous mît quelque rougeur au front, et en l'esprit quelque petit soupçon de flatterie : toutefois il me sera bien permis de dire, que l'illustre nom que vous portez, et que vos Ancêtres ont rendu fameux depuis plusieurs siècles ; que la noblesse de votre sang, dont l'origine se tire d'aussi loin que la naissance de cette Monarchie : que vos vertus particulières, dont l'éclat se va rendre le plus bel exemple qu'on puisse laisser à la postérité ; et qu'enfin les perfections qui se remarquent au corps et en l'âme de Célinde font une partie des charmes qui m'ont vaincue en faveur de Floridan. (Acte 1, scène 2, DORICE)
Vous l'avez bien dit que vous me feriez rougir de vos flatteries : mais, sage Dorice, laissons à part ce qui me regarde, et demeurons d'accord que tout ce que vous avez dit de moi se rencontre en vous et en Floridan, avec bien plus d'avantage. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Je n'ai donc qu'un mot à répondre, pour vous remercier de l'honneur que vous me faites : et pour satisfaire en même temps au désir que vous m'avez témoigné ; c'est que je consens que Célinde, indigne pourtant de ce bien, tombe sous la puissance de Floridan, et laisse entre ses bras ce fruit qui ne peut qu'une fois être cueilli. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Ô consentement qui m'oblige ; ô promesse en faveur de laquelle je vous embrasse mille fois : votre parole que je tiens plus inviolable qu'un voeu qui serait fait à quelque Divinité, approche si fort mes espérances de leur effet, qu'à peine que je ne les prenne pour une chose même : toutefois certain scrupule mêle encore quelque amertume parmi les douceurs de ce bien, qui est que Célinde, peut-être engagée ailleurs d'affection, ne rendra pas ses désirs conformes aux nôtres. (Acte 1, scène 2, DORICE)
Célinde, bien que restée sans mère depuis longtemps, a trouvé dans mes soins une nourriture si glorieuse, que je ne la saurais croire coupable du crime dont vous la soupçonnez : d'autant mieux que n'ayant eu qu'elle à gouverner, et elle n'ayant eu à partager mon affection avecque nul autre enfant, il serait difficile que je n'eusse imprimé dans son âme les caractères dont on marque l'honneur et la vertu. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Je ne vous ai pas proposé cette doute afin de vous irriter contre Célinde, de qui l'innocence, peut-être, condamne déjà le discours que je vous en ai fait : mais le souvenir de ce que j'ai été, et une expérience particulière m'enseignent qu'il ne faut jamais user de violence sur les inclinations d'une fille bien née. (Acte 1, scène 2, DORICE)
Pensez-vous qu'une fille qui ne doit savoir distinguer les sexes que par les habits, puisse juger si sous un manteau couvert d'or et de soie, un homme ne porte point cachée l'image de la pauvreté ? (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Sage Dorice, vous savez mieux que moi de quel humeur est cet animal que la Nature a fait homme, et que l'Art a fait Courtisan : que si ce que vous dites avait lieu, je ne pense pas qu'il y eût une fille si retirée dont il ne triomphât, et qui ne servît d'objet à son ambition, et à sa vanité. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Car enfin, sage vieillard, d'où pensez-vous que soient produits tant de bossus, tant de contrefaits, et en un mot tant de Monstres ? (Acte 1, scène 2, DORICE)
Sur ce sujet en attendant que Célinde achève de s'habiller, je vous réciterai un effet étrange, et qui arriva en Italie au voyage que j'y fis pour apprendre mes exercices supposé que cela ne vous ennuie point. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Vous ne sauriez, je reçois trop de plaisir en votre compagnie. (Acte 1, scène 2, DORICE)
Mais à quoi me sert de vous traîner ce discours en longueur ? (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
C'est assez que vous sachiez que Parthénopé, touchée sans doute du ressentiment dont je vous parlais tantôt, et ne pouvant sortir du lit, elle envoya aux pieds du Vice-roi le petit enfant qui par ses cris semblant déplorer le trépas de son père, impétra la grâce qui n'avait été interdite à Cléandre, qu'à faute que Parthénopé se pût résoudre à lui pardonner : de sorte que ce dernier point ayant été obtenu, Cléandre reçut avec la vie, une preuve de la bonne volonté de sa Maîtresse, avec laquelle il finit heureusement ses jours. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Votre parti, comme le plus juste sans doute, sera toujours le plus fort : et pour moi je sais bien qu'il ne sera jamais de considération assez puissante pour me faire faillir contre l'obéissance que je vous dois. (Acte 1, scène 3, CÉLINDE)
Pourquoi n'avez-vous ôté ce jour du nombre que j'ai vécu. (Acte 1, scène 3, CÉLINDE)
Je vous en laisse le soin, et en attendant que j'aie l'honneur d'apprendre de vos nouvelles, j'entretiendrai Floridan de ce qu'il doit faire sur ce sujet, adieu. (Acte 1, scène 3, DORICE)
Monseigneur vous demande, et m'a commandé de vous dire, que si vous différez de le voir il s'offensera de votre retardement. (Acte 1, scène 3, LE PAGE)
Quand j'ai commencé de soutenir contre vous combien cette passion est dangereuse, j'en ai moins considéré la cause que les effets ; mais sans nous amuser plus longtemps en cette dispute inutile, dites-moi seulement quel nom vous pouvez donner à ses éternelles inquiétudes qui accompagnent l'esprit d'un homme véritablement amoureux : si le manger est une chose nécessaire à la conservation de l'Être ; si le dormir est un repos accordé par la Nature pour le soulagement de tout ce qu'elle a créé, appellerez-vous un bien ce qui détruit le goût, et empêche le sommeil ? (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Outre cela, d'où me direz-vous que soient produits tant de transports, tant de désirs déréglés, tant de mouvements incertains, tant de discours qui meurent presque aussitôt dans la bouche, qu'ils sont formés dans le penser ; et enfin, cet effroyable Monstre de Jalousie, si ce n'est de l'amour ? (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Qui connaîtra la valeur et les grâces de Lucidor, ne doutera jamais de la passion de Célinde ; et quand vous ne m'auriez pas fait l'honneur de reposer sur ma fidélité les principaux accidents qui vous sont arrivés, j'aurais toujours tiré de vos chaînes une preuve infaillible de sa captivité. (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Oui, mais de peur qu'un corps opposé vous donnât de l'ombrage, je vous laisserai seul dans la liberté de jouir de sa lumière. (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Comment, Madame, Floridan usurpe sur moi la gloire de vous posséder ? (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Mais, Madame, cet arrêt peut bien faire que je vous perde, non pas que Floridan cueille les Myrtes que vos promesses m'avaient destinés ; en leur place mon courage lui prépare des Cyprès, et au lieu de lit je lui veux creuser un tombeau, où la terre lui fasse jour pour aller faire l'amour aux Ombres. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Cependant, Madame, permettez à ma juste douleur de vous accuser en ce changement du crime le plus punissable qui ait été commis depuis qu'Amour règne dessus les coeurs : souffrez que je reproche à votre foi violée tant de serments dont vous protestiez que l'effet serait infaillible comme celui de la fatalité : vous m'avez quitté, Célinde, et un injurieux oubli a pu glacer cette âme que mon exemple devait faire éternellement brûler. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Puisque vous ne trouvez point de remède à ma disgrâce, il n'est pas juste que j'en applique à mon désespoir, au contraire il faut qu'il partage avecque vous la gloire d'avoir triomphé de moi, et que pour accroître ma fureur, j'obéisse à tous les mouvements que la colère et la jalousie ont accoutumé de produire. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Il reste, afin que je ne meure pas sans quelque contentement, que j'aime arracher le coeur de mon rival, et en retirer votre image dont il ne fut jamais digne de garder l'impression, un même coup punira sa témérité, et contentera ma vengeance : après cela je donnerai mon sein au même fer qui aura fait ses plaies, afin qu'il vous sacrifie les dernières heures de celui qui pour toute la récompense de ses services, se voit aujourd'hui contraint de vous dire un éternel adieu. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Ah Madame, si vous pouvez faire du mal, que vous avez bonne grâce quand vous en donnez le remède. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Et vous, ... (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
qui deviez être les marques de ma douleur, revenez me parler encore de mes contentements, pardonnez à ma fureur l'injure que je vous ai faite. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Que ne pouvez-vous être réunis comme nous le sommes Célinde et moi, chers papiers, Madame. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Cette invention me contente, et l'assurance que vous me donnez de votre fidélité, est à mon âme un sujet de ravissement ; mais, Madame, qu'une seule fois. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Afin que vous ne m'accusiez pas d'être paresseuse à m'acquitter de mon devoir, je viens des premières me réjouir avecque vous d'une nouvelle qui vous touche, et que j'ai apprise seulement depuis aujourd'hui. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Cette feinte ne vous sied pas mal, et je ne la condamnerais pas pour tout autre que pour moi ; mais étant ce que je suis, et ne voyant ici personne qui nous puisse être suspecte, je ne puis que je ne blâme votre amitié, de quoi elle me cache l'acquisition d'un serviteur qui doit bientôt prendre la qualité de maître. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Pour Dieu, ma compagne, racontez-moi de qui vous avez appris ce que vous dites. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Je le veux bien, à condition toutefois, que vous me direz auparavant de quelle façon vous recevez ce mari. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Puisque la connaissance que vous avez de mes affaires, me fait juger inutile de vous en taire les particularités, je vous dirai, chère Parthénice, que je reçois Floridan comme un homme, qui fortifié de l'autorité de mon père, veut emporter par force une place qui ne se doit rendre que par amour. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Qu'on lui donne, si vous voulez, les meilleures qualités du monde, je vous jure pourtant qu'il n'a pu reconnaître en moi nulle marque d'amitié, s'il ne l'a fondée sur l'estime que j'ai faite de lui, commune à tous ceux qui font profession de l'honneur. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Cela regarde l'apparence, mais en effet vous l'aimez, ne me le celez pas. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Mais, ma compagne, ne vous offenserez-vous point de ma curiosité, si je vous sollicite de me dire pourquoi vous vous en informez si exactement ? (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Je vous dirai donc, que c'est de Floridan même que j'ai su tout ce qui regarde l'intérêt qu'il a pour vous ; non pas qu'une particulière vanité, comme vous le soupçonnez, l'ait porté à m'en entretenir, mais c'est qu'il lui a été impossible de cacher à ma vigilance un intérêt qui le rend criminel, et moi misérable. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Je ne comprends pas encore ce que vous voulez que je sache, et je pense qu'il faudra que vous vous en expliquiez un peu plus ouvertement. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Mais, Célinde, puisqu'un malade ne peut mieux guérir qu'en découvrant son mal au Médecin qui en a les remèdes infaillibles, je vois bien qu'il faut que je vous déclare le mien, et que je vous en parle comme à celle qui a cela de commun avec les Dieux, qu'elle est aujourd'hui l'Arbitre souverain de ma mort ou de ma vie. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Sachez donc, ma compagne, qu'il y peut avoir deux ans que ce même Floridan, qui soupire maintenant pour vous, commença de brûler pour moi d'une flamme qu'autre chose que sa légèreté ne pouvait jamais éteindre. (Acte 2, scène 3, PARTH?NICE)
Je vous conjure donc, chère Célinde, par notre amitié contractée depuis le berceau, et qui s'est accrue comme nos années, de punir par un mépris éternel la trahison de ce perfide, et de ne consentir jamais que son crime trouve un refuge auprès de vous. (Acte 2, scène 3, PARTH?NICE)
J'ai honte de vous proposer d'être sage à mes dépens, mais puisque pour vous persuader je n'ai rien de plus puissant que mon exemple, pour l'amour de moi, Célinde, gardez-vous de tomber dans le précipice où je me vois prête de périr. (Acte 2, scène 3, PARTH?NICE)
Chère Parthénice, je suis bien aise de quoi en ce commun accident qui nous pouvait être également funeste, ma passion rencontre un moyen de me satisfaire, et de vous obliger ; je vous jure donc tout ce qui peut rendre un serment puis inviolable, que Floridan ne m'épousera jamais, et que si la tyrannie de mon père va jusqu'à me vouloir forcer d'observer la parole que je lui en ai donnée, je chercherai dans mon désespoir de quoi vous venger, et moi aussi. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Cette promesse fait revivre mes espérances déjà mortes sous les atteintes d'une insupportable jalousie, et je n'ai pas moins d'obligation à ma parole que vous me donnez, qu'en aurait un criminel à celui qui lui ferait lire sa grâce au lieu de l'arrêt de sa mort. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Cet office dont vous témoignez tant de ressentiment, n'est pas considérable au prix de la volonté que j'ai de vous servir ; mais il me reste encore une chose à vous dire, et dont il est nécessaire que vous ayez l'esprit éclairci : c'est qu'ayant enfin promis à mon père, d'obéir à l'arrêt par lequel il me veut soumettre à la puissance de Floridan, il est à propos que je feigne pour quelque temps de lui vouloir un peu de bien, afin que sous le désir de laisser jeter des racines à cette affection, naissante en apparence, il me puisse donner le loisir de songer aux moyens qui peuvent arrêter le cours de sa présomption. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Ne vous étonnez donc pas si quelque fois un bruit commun vous dit que je l'aime, ou si vous êtes vous-même témoin des actions que je prépare pour le tromper, cet artifice est absolument nécessaire à notre repos ; mais il semble que je l'aperçois avecque Lucidor il faut qu'ils se soient rencontrés bien près d'ici. (Acte 2, scène 3, C?LINDE)
Si vous nous voyez en quelque sorte surpris et timides à cet abord, outre que cela pourrait procéder du respect que les mortels doivent rendre aux Déités, encore devez-vous l'attribuer à la crainte que nous avons eue de vous importuner, en mettant un obstacle à la liberté que peut-être vous vouliez avoir pour vous entretenir. (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
Nous nous amusions sur un sujet si léger, que vous ne devez point avoir de regret de nous en avoir diverties. (Acte 2, scène 4, CÉLINDE)
Laissons ce discours, Madame, qui fait autant de honte à la vérité, que vous en causez à toutes celles dont la beauté voudrait entrer en comparaison avecque la vôtre, ce qu'est la Lune aux Étoiles, un Monarque à ses sujets. (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
Peu à peu Floridan vous dérobe Célinde. (Acte 2, scène 4, LUCIDOR)
Vous regardez ailleurs, Madame, mais voulez-vous faire un trait de justice ? (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
Si vous donnez vos yeux à Parthénice, donnez votre coeur à Floridan, ou pour le moins permettez qu'il s'approche de mes flammes, peut-être quelque étincelle le pourra toucher. (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
Ce serait en vain que vous et moi prendrions tant de soin, il est à Lu... allumé depuis longtemps. (Acte 2, scène 4, CÉLINDE)
Vous me forceriez enfin à vous faire une violence. (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
Mais je me plaindrai, si Floridan ne se contente des témoignages de bonne volonté que ma discrétion lui accorde, arrêtez-vous. (Acte 2, scène 4, CÉLINDE)
Qu'insérez-vous de là ? (Acte 2, scène 4, CÉLINDE)
Pour encore le temps ne me permet pas de vivre autrement avecque vous, ainsi je reçois la loi de celui qui la fait à tout le monde. (Acte 2, scène 4, CÉLINDE)
Ne vous affligez plus, belle Parthénice, mais espérez en cette éternelle vicissitude qui règne sur tous nos mouvements ; et souvenez-vous que de même que tel, dont l'exemple n'est pas loin, se flatte de la possession d'un bien dont il peut mettre la conquête dans le nombre des choses impossibles, de même aussi, tel bien souvent croit être misérable, qui dans une heure se voit porté du centre des disgrâces au sommet des plus hautes félicités. (Acte 2, scène 4, LUCIDOR)
Voulez-vous quelque chose, Madame ? (Acte 2, scène 5, LUCIDOR)
Entreprendre de vous faire des remerciements dignes d'une grâce si particulière, ce ne serait pas moins tenter que l'impossible ; mais il me semble que je vois approcher Amintor, trouvez bon, Madame, que je m'acquitte de ce que je lui dois. (Acte 2, scène 5, FLORIDAN)
On m'avait déjà bien averti de votre venue, mais j'ai été bien aise de vous donner le temps de reconnaître la place que votre mérite vous doit faire emporter. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
À ce que je vois l'accès n'en sera pas difficile ; je vous y servirai, Floridan, cependant avisons à passer le reste de la journée le plus agréablement que nous pourrons. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Mais à propos de Comédie, il me semble que vous en aviez préparé une il y a quelque temps, avec dessein de la représenter chez moi, à quoi a-t-il tenu. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Et vous, Célinde ? (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Que cet agréable divertissement nous occupe donc une partie de l'après-dînée ; voici la plupart des Acteurs assemblés, les autres ne seront pas difficiles à trouver, qu'en dites-vous ? (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Sus donc, Célinde, allez de bonne heure mettre ordre à tout ce qu'il faut, allez-vous faire donner les clefs de ma garde-robe, de tout temps assez bien pourvue d'une grande diversité d'habits ; fouillez tout, renversez tout, je vous le permets, à condition qu'on ne parle que de jouer et de se réjouir ; cependant je prendrai le soin d'en avertir Dorice, et d'y convier nos plus intimes amis. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Elle est sur le point de se mettre à table, mais elle m'a commandé de vous dire que vous serez le bienvenu. (Acte 2, scène 5, LE PAGE)
Je les ai laissés qu'ils étaient presque achevés d'habiller, je pense qu'ils commenceront bientôt ; cependant prenons les sièges les plus commodes pour les voir avecque attention : entre amis les plus petites cérémonies sont un grand crime, mettez-vous où vous croirez être le mieux. (Acte 3, scène 1, AMINTOR)
Le Dieu que vous servez sollicite votre âme v.91 (Acte V1, scène 2, AKIOR)
D'aider un misérable alors qu'il vous réclame. v.92 (Acte V1, scène 2, AKIOR)
Il est bien juste amis que je vous satisfasse v.96 (Acte V1, scène 2, AKIOR)
Que cela vous suffise et que l'on me délie, v.99 (Acte V1, scène 2, AKIOR)
Que je sois avec vous conduit dans Bétulie : v.100 (Acte V1, scène 2, AKIOR)
Vous serez tout à fait informés du surplus, v.102 (Acte V1, scène 2, AKIOR)
Vous saurez. Mais bon Dieu que ta justice est grande v.103 (Acte V1, scène 2, AKIOR)
Nous aurons du loisir assez pour vous entendre. v.108 (Acte V1, scène 2, GOTHOMEL)
Vous qui depuis longtemps avez part à ma gloire v.119 (Acte V1, scène 3, HOLOFERNE)
Un repos vous attend après cette victoire. v.120 (Acte V1, scène 3, HOLOFERNE)
Sire si vous voulez punir leur insolence v.123 (Acte V1, scène 3, MOAB)
Vous n'avez pas besoin d'user de violence. v.124 (Acte V1, scène 3, MOAB)
Vous les verrez bientôt sous vos lois se ranger v.137 (Acte V1, scène 3, MOAB)
Vous sentirez les coups de mon bras magnanime, v.156 (Acte V1, scène 3, HOLOFERNE)
Ou si vous retardez mes exploits triomphants v.157 (Acte V1, scène 3, HOLOFERNE)
Vous mangerez le coeur de vos propres enfants, v.158 (Acte V1, scène 3, HOLOFERNE)
Et je vous réduirai par l'effort de mes armes v.159 (Acte V1, scène 3, HOLOFERNE)
Il me tarde de voir Célinde, car si Floridan vous a plu, je m'assure qu'elle me ravira. (Acte V1, scène 3, DORICE)
Je ne manque pour vous d'amour ni de courage : v.168 (Acte V2, scène 1, ABRA)
Je vous suivrai partout, et l'horreur du trépas v.169 (Acte V2, scène 1, ABRA)
Prête à vous garantir d'un étrange souci : v.186 (Acte V2, scène 1, JUDITH)
Sachez que ce Tyran dont l'effort vous menace, v.187 (Acte V2, scène 1, JUDITH)
Reposez-vous sur moi du succès de vos armes, v.199 (Acte V2, scène 1, JUDITH)
Priez en ma faveur, nourrissez-vous de cendre, v.203 (Acte V2, scène 1, JUDITH)
Vous pourrez bientôt cela sur Célinde en qualité de mère ; et en qualité d'amie, je ne pense pas que Parthénice ne trouve de la gloire à vous faire plaisir. (Acte V2, scène 3, AMINTOR)
Ah comment pouvez-vous beaux yeux rois de nos âmes v.263 (Acte V3, scène 1, HOLOFERNE)
Pouvez-vous sans miracle en un si petit lieu v.265 (Acte V3, scène 1, HOLOFERNE)
Que je ressens pour vous, elle me rend craintive : v.300 (Acte V3, scène 3, ABRA)
Vous tentez un hasard qui peut en un moment v.301 (Acte V3, scène 3, ABRA)
Quoi ! S'il est éveillé, croyez-vous qu'il remette v.303 (Acte V3, scène 3, ABRA)
Non, quand il vous devrait dans ses bras étouffer v.305 (Acte V3, scène 3, ABRA)
Alors que ferez-vous ? Quelle main, quel courage v.307 (Acte V3, scène 3, ABRA)
Le Dieu dont vous parlez s'est toujours irrité v.313 (Acte V3, scène 3, ABRA)
C'est à vous d'en juger, pour moi je ne puis rien v.317 (Acte V3, scène 3, ABRA)
Que vous montrer le soin que j'ai de votre bien. v.318 (Acte V3, scène 3, ABRA)
Et vous Astres brillants petits feux cachez-vous, v.333 (Acte V3, scène 4, HOLOFERNE)
Si vous voyez Judith vous me rendrez jaloux, v.334 (Acte V3, scène 4, HOLOFERNE)
Ou si vous éclairez les pas de cette belle v.335 (Acte V3, scène 4, HOLOFERNE)
Si le Maître est pour vous, donnez-moi la servante. v.348 (Acte V3, scène 5, L'EUNUQUE)
Parents, que désormais je nomme barbares, étonnez-vous de votre tyrannie, non pas de mon action : votre violence et mon désespoir sont les meurtriers de Floridan ; et vous éprouvez aujourd'hui combien était injuste la loi par laquelle vous me vouliez contraindre à trahir les flammes de Lucidor : il est mon mari depuis longtemps, et nul homme sans mourir ne pouvait m'empêcher d'être sa femme. (Acte V3, scène 5, CÉLINDE)
Que s'il vous reste quelque désir de voir achever ce tragique spectacle, arrêtez un moment, mon bras va d'un même coup satisfaire ma fureur et mon envie. (Acte V3, scène 5, C?LINDE)
Si quelque pitié peut toucher vos courages, vengez une mère désespérée : saisissez-vous de la personne de Célinde, elle vient de tuer Floridan. (Acte V3, scène 5, DORICE)
Inhumains, que faites-vous ? (Acte V3, scène 5, LUCIDOR)
Et vous, cruel Amintor, pourrez-vous jamais vous laver de cette trahison ? (Acte V3, scène 5, DORICE)
N'aviez-vous préparé la feinte Tragédie d'Holoferne, que pour m'obliger à vous en fournir un véritable sujet ? (Acte V3, scène 5, DORICE)
Ah Célinde, que vous allumez un grand combat dans mon âme entre l'Amour et l'Amitié, et que ces deux puissances, bien que comprises sous une même passion, excitent en moi des mouvements contraires ; l'une me fait désirer votre ruine, comme vous avez détruit mes plaisirs, et l'autre condamnant ce désir, rejette la principale cause de cet étrange accident sur moi misérable, qui vous ai conjurée de ne vouloir jamais épouser Floridan. (Acte 4, scène 1, PARTHÉNICE)
Oui, Célinde, j'en ai importuné votre affection ; mais qui eût cru que pour me guérir d'une douleur, vous eussiez voulu vous servir d'un remède pire mille fois que le mal ? (Acte 4, scène 1, PARTH?NICE)
Je croyais qu'un honnête refus terminerait tout d'un coup l'amour et l'ambition de mon perfide, et cependant au lieu de la voix, vous avez appelé votre bras à cet office, et avez cherché dans la violence ce que peut-être la douceur ne vous eût pas refusé. (Acte 4, scène 1, PARTH?NICE)
Quoi que c'en soit, vous avez tué Floridan, et de quelque oeil que je regarde votre action, il faut toujours que je me considère comme celle à la passion de qui vous avez voulu sacrifier cette victime. (Acte 4, scène 1, PARTH?NICE)
Si cela est, préparez-vous mes mains à déchirer ce sein et ce visage, disposez-vous à vous plonger dans les ondes de mes cheveux, pour m'en montrer la racine, imitant le pêcheur, qui pour laisser plus de liberté à la ligne, arrache des bords d'une rivière jusqu'à la tige des roseaux. (Acte 4, scène 1, PARTH?NICE)
Célinde a trahi votre espérance, et je croirais être aussi coupable qu'elle, si je cherchais des excuses à son attentat : mais vous m'avouerez qu'elles ne doivent pas être éternelles, puisque même l'expérience vous enseigne que les Parques ne peuvent être touchées de nos pleurs, et qu'elles ne renouent jamais le fil qu'elles ont une fois tranché par l'arrêt de nos Destinées. (Acte 4, scène 2, FLEURIMON)
Vous savez combien ils ont de haine pour les perfides, et si j'ai mérité ce titre envers Parthénice (puisque je vous en ai quelquefois ouvert mon âme) je n'en veux point d'autre Juge que vous. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Je ne saurais croire qu'un si lâche dessein ait occupé la pensée d'un Gentilhomme : quoi que c'en soit, cela m'apprend que je ne dois rien espérer de Célinde, et que pour être sage je n'y devais rien désirer ; ma conscience m'en a parlé souvent, mais, Madame, vous avez autrement disposé de mes volontés. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Après avoir été témoin de la blessure de Floridan, il m'a semblé juste d'en venir apprendre le succès ; outre qu'un devoir particulier m'obligeait à vous témoigner la part que je prends en votre déplaisir. (Acte 4, scène 2, PARTHÉNICE)
C'est plutôt une marque de votre bonté, et j'ai bien du regret de quoi vous n'aurez point ici d'entretien qui vous plaise : Floridan est fort mal, toutefois s'il est vrai qu'une grande beauté puisse faire des miracles, après qu'il vous aura vue j'espérerai quelque chose ce sa guérison. (Acte 4, scène 2, DORICE)
Et bien, Floridan, en quel état vous ont mis les blessures de Célinde ? (Acte 4, scène 2, PARTHÉNICE)
Que vous semble de ses coups, trouvez-vous qu'elle ait la main aussi douce que les yeux ? (Acte 4, scène 2, PARTH?NICE)
Vous me trouvez bien proche de ce moment, par lequel les Dieux semblent vouloir unir la mort à la vie : mais croyez-moi, belle Parthénice, l'outrage que j'ai reçu de Célinde en est moins cause que celui que je vous ai fait. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Ne dites pas cela, Floridan, comme vous n'avez vécu que pour elle, elle seule est cause de votre mort. (Acte 4, scène 2, PARTHÉNICE)
Que vous êtes juste, Madame, en la reproche que vous me faites, mais vous l'êtes peu si vous vous imaginez que j'aie rendu quelques soins à Célinde pour avoir reconnu en elle plus de beauté ni de mérite qu'en vous. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Mon esprit n'a pas été aveugle comme mon obéissance ; et sachez que de quelques flatteries que je l'aie entretenue, la vérité m'a toujours dit, que si vous lui deviez céder en quelque chose, c'était en la bonne fortune seulement. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Courage donc, belle Parthénice, achevez ce que Célinde a commencé, je lui pardonne sa trahison, si elle vous fait consentir à vous venger de la mienne : vous avez déjà fait ce dessein une fois, qui vous empêche à cette heure de l'exécuter ? (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Cette colère où vous étiez ce matin, s'est-elle dissipée avecque les brouillards, et votre fureur ne peut-elle éclater que dans la résistance ? (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Ah Floridan ne me pressez pas de commettre cette injustice, vous vivrez au-delà des siècles, si vous ne mourez que par mon consentement. (Acte 4, scène 2, PARTHÉNICE)
Mais il me semble que vous feriez bien mieux d'obliger mon amour à vous pardonner, que mon ressentiment à vous punir. (Acte 4, scène 2, PARTH?NICE)
Si mon offense était médiocre, je pourrais oser ce que vous dites, mais il est de mon péché, comme de certains crimes qui ne pouvant jamais avoir de grâce, limitent en quelque sorte la puissance de nos Rois : j'ai trop failli, Madame ; toutefois, si mon repentir, qui est pas moindre que ma faute, est une satisfaction assez grande pour expier ma trahison, recevez-le, chère Parthénice, et accordez-lui, devant que j'expire, le pardon qui me peut faire mourir content. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Hâtez-vous, Madame, ma vigueur s'affaiblit : ah Dieux pourquoi ne me laissez-vous encore un moment de vie, pour ouïr l'arrêt de ma félicité. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Noirs Cachots, tristes et sombres demeures, séjour de la crainte et de l'horreur, sépulcre des vivants, lieu plein d'effroi, où les Dieux font habiter les pires remords qu'ils veulent inspirer dans les consciences : obscures prisons, qui ne différez de l'Enfer qu'en ce qu'il est la demeure des coupables, et qu'aujourd'hui vous retenez un innocent, avouez désormais que ma condition n'a rien qui puisse être envié des plus misérables. (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
Et toutefois quelque funeste que soit la pensée qui me parle des malheurs où je me vois plongé, je vous prends à témoins si elle a su dérober à mon âme un faible soupir seulement. (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
Cessez, mes pensée, de m'affliger par la mémoire d'un accident qui ne peut recevoir de remède, ou s'il faut que vous me fassiez souvenir de la mort de Floridan, que ce ne soit qu'afin de me faire songer aux moyens qui pourront mieux rendre connue l'innocence de Lucidor : mais il me semble que j'ai entrouï une voix qui se rapporte parfaitement à la sienne : Dieux qu'un grand bien se mêlerait à mes disgrâces, si dans ma captivité j'étais au moins assez heureuse pour trouver la liberté de l'entretenir : si c'est lui je n'ai qu'à prêter l'oreille un peu attentivement, j'en serai bientôt hors de doute. (Acte 4, scène 3, CÉLINDE)
Je ne me trompais pas, c'est donc vous, ma Déesse ? (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
Puisque je ne saurais être captif sous d'autres fers que les vôtres ; vous n'avez qu'à consulter ce que vous êtes pour savoir comme est faite ma prison : aussi ne doutez pas que si on vous fait quelque outrage je ne périsse nécessairement, comme ceux qui pour être enfermés dans une Tour, ne sauraient éviter d'être ensevelis sous ses ruines. (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
Mais, Madame, ne vous offenserez-vous point si je vous demande pourquoi un transport si soudain vous a fait résoudre d'ôter la vie à Floridan ? (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
Pourquoi ne remettiez-vous cette charge à mon courage, qui l'eût exécutée avec moins de péril, et bien plus glorieusement ? (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
J'espère de la bonté du Ciel, que cette raison sera trouvée assez puissante pour vous délivrer de la peine que nos lois imposent aux homicides ; quoi que c'en soit il faut regarder d'un même oeil les prospérités et les infortunes, et nous ne devons pas souffrir que les accidents changent en notre visage le moindre trait seulement. (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
J'allais à la porte de la prison, demander si l'on me voudrait accorder le bien de vous visiter, car mon affection est prête à ne rien épargner pour votre salut ; et s'il faut hasarder la vie de quelqu'un pour mettre la vôtre en sûreté, je vous conjure de n'employer personne que Philindre. (Acte 4, scène 4, PHILINDRE)
Je voudrais vous pouvoir rendre quelque meilleur service, mais puisque vous ne me commandez que cela maintenant, je vais vous contenter, et assurez-vous que je ne mettrai pas longtemps à revenir. (Acte 4, scène 4, PHILINDRE)
Ne doutez pas que je ne le fasse, et que je ne revienne ici aussi souvent que vous me l'ordonnerez, voyons seulement comme je me mettrai. (Acte 4, scène 4, PHILINDRE)
Ah je vous vois, Madame, mais que vous êtes peu courageuse, il me semble que vous tremblez. (Acte 4, scène 4, LUCIDOR)
Je confesse, Madame, que j'ai eu tort de faire un si mauvais jugement de vous ; mais confessez aussi que j'ai raison d'admirer votre puissance, qui produit même dans cette glace des feux pour me consumer. (Acte 4, scène 4, LUCIDOR)
Je ne le pense pas, car si cela était, puisque vous m'aimez il faudrait de nécessité que je m'y visse auprès de vous. (Acte 4, scène 4, LUCIDOR)
Vous me surprenez dans l'effet d'une impatience naturelle à notre nation ; c'est que je viens d'acheter ce miroir, et ne pouvant me donner le temps d'être chez moi pour juger de la bonté de sa glace, sachant qu'ici je n'étais aperçu de personne, je m'amusais à le considérer. (Acte 4, scène 5, PHILINDRE)
Durant ce temps-là les autres accidents sont survenus, dont je vous ferai le conte si vous voulez venir chez Amintor, à qui je vais faire le rapport de l'état où j'ai trouvé Floridan. (Acte 4, scène 5, FLEURIMON)
Allons quand il vous plaira. (Acte 4, scène 5, PHILINDRE)
Il faut que vous sachiez, Philindre ; mais je vois tourner à ce coin de rue Amintor tout éploré, il vient à notre rencontre, attendons qu'il soit ici, cela m'épargnera la peine de le dire deux fois. (Acte 4, scène 5, FLEURIMON)
Ah voici le Chirurgien que Dorice avait appelé au secours de son fils : et bien, vous voilà de retour, que devons-nous espérer de Floridan ? (Acte 4, scène 6, AMINTOR)
Parlez hardiment, et croyez que vous ne sauriez me rien dire de si funeste que mon opinion ne l'ait déjà conçu. (Acte 4, scène 6, AMINTOR)
Puisque vous me le commandez, et que bien souvent faute de découvrir un mal, on en rend les remèdes impossibles, je vous dirai que Floridan est mort. (Acte 4, scène 6, FLEURIMON)
Non, celle-là veut vivre pour se venger ; mais si vous me voulez donner un peu d'audience, je vous raconterai les particularités de tout. (Acte 4, scène 6, FLEURIMON)
Puis s'élançant sur le lit où Floridan gisait étendu de son long, et adressant sa parole à Dorice, Madame, a-t-elle ajouté, votre tyrannie m'a autrefois ravi la possession de Floridan, mais aujourd'hui mon courage me la redonne : n'enviez, je vous supplie, ni son bonheur ni le mien, mais si la pitié trouve quelque place en votre âme, agréez que ceux que vous verrez morts sur un même lit, soient enfermés dans un même tombeau. (Acte 4, scène 6, FLEURIMON)
Mais les voici, qui d'une contenance assurée semblent défier le péril qui les menace : parlez Dorice, que demandez-vous à ces deux prisonniers ? (Acte 5, scène 1, ALCANDRE)
Levez-vous. (Acte 5, scène 1, ALCANDRE)
Quelle autre que vous a mis jamais une parfaite amitié dans le nombre des crimes ? (Acte 5, scène 1, DORICE)
Attendez, Lucidor, laissez parler Célinde, vous aurez du temps pour alléguer vos raisons. (Acte 5, scène 1, ALCANDRE)
Grand Alcandre, comme mon offense ne vous peut être cachée j'espère que votre prudence verra clairement l'innocence de Lucidor, et que votre probité de tout temps incorruptible, trompera la haine de Dorice, qui n'ayant plus de fils, serait bien aise d'avoir toutes les mères pour compagnes de son infortune. (Acte 5, scène 1, CÉLINDE)
Oui si l'ombre de Floridan pouvait être consultée, elle dirait bientôt qui de Célinde et de moi, doit être puni comme coupable, ou conservé comme innocent, elle vous apprendrait, grand Alcandre, que puisqu'il était fatal à Floridan de mourir pour elle, il n'importait que ce fût d'un coup de sa main ou de ses yeux ; mais que ma seule jalousie ayant tramée cette trahison, on s'en doit prendre à moi comme à la première cause : en effet on n'a pas accoutumé de rompre le fer qu'un assassin a trempé dans le sang de son frère, on s'attaque au meurtrier ; ainsi on doit épargner Célinde, puisque contrainte de céder à la force de mes persuasions, elle n'a servi en cet homicide, que d'instrument à ma cruauté. (Acte 5, scène 1, LUCIDOR)
Vous, à qui le Ciel a donné d'infaillibles secrets pour distinguer la vérité du mensonge, Sage Alcandre, ne voyez-vous pas que ce Chevalier tombe lui-même dans le désespoir qu'il a condamné en moi ? (Acte 5, scène 1, CÉLINDE)
Non non, tant s'en faut qu'il ait contribué quelque chose à mon offense ; que même il n'en a pas su le dessein : ma fureur a été si prompte qu'elle a prévenu ses soupçons, et je dirais qu'elle m'a prévenue moi-même, si je n'avais fait une résolution inviolable de n'alléguer pas une seule excuse en ma faveur : et quant à ce qu'il dit qu'il est raisonnable qu'un homme meure pour un homme, souvenez-vous qu'autre victime que moi ne peut contenter les Mânes de Floridan, comme autrefois Achille ne put être apaisé que par le sacrifice de Polyxène. (Acte 5, scène 1, C?LINDE)
Si l'objet de vos débats est de retarder votre peine, ou de gagner quelque chose sur moi, vous les pouvez finir de bonne heure, car où la Justice règne, la compassion doit mourir. (Acte 5, scène 1, ALCANDRE)
Équitable Juge, je sais bien que la charge que vous exercez veut que votre âme soit insensible au trait des passions, aussi je ne demande pas que votre coeur reçoive pour Célinde quelque sentiment de pitié ; mais comme elle est ingénieuse à chercher les occasions de mourir, permettez-moi de vous déduire les raisons qui vous doivent faire consentir à la laisser vivre. (Acte 5, scène 1, LUCIDOR)
Mettez fin à vos amoureux différents, et disposez-vous d'ouïr avec silence l'inviolable arrêt qu'un Dieu va prononcer par ma bouche. (Acte 5, scène 1, ALCANDRE)
Avez-vous pris garde à ses mouvements, quand on lui est venu rapporter que Célinde allait être conduite devant le Juge ? (Acte 5, scène 2, FLEURIMON)
Madame, j'espère de la justice d'Alcandre, que je vous préviendrai en ce funeste passage, ou si ce bonheur m'est interdit, je suis assuré que pour peu que vous m'attendiez, nous passerons dans une même barque le fleuve d'Achéron ; la même fatalité qui nous unit durant la vie, nous assemblera après le trépas, et notre mort sera pareille, bien qu'elle nous attaque sous un visage différent. (Acte 5, scène 3, LUCIDOR)
Je lui pardonne donc, grand Alcandre, et vous supplie de lui pardonner aussi. (Acte 5, scène 3, FLORIDAN)
Grand Alcandre, je vous demande un moment d'audience, dans lesquels je promets d'éclaircir toutes vos doutes. (Acte 5, scène 3, DORICE)
Maintenant que ma feinte est allée jusqu'où je la voulais porter pour mon contentement, je me jette à vos pieds, grand Alcandre, pour obtenir un pardon de quoi j'ai abusé de votre charge, et manqué en quelque sorte au respect que je dois à votre qualité : la crainte d'être parjure m'a donné la hardiesse de l'entreprendre, outre que j'ai cru que le plaisir dont cet accident devait être suivi contribuerait à me faire avoir la grâce que je vous demande. (Acte 5, scène 3, DORICE)
Seigneur, puisque cela regarde ma charge je prendrai la hardiesse de vous en éclaircir. (Acte 5, scène 3, FLEURIMON)
Je vous dirai donc, que le coup est parti d'un courage fort, mais d'une main bien faible ; je crois bien que Célinde lui voulait enfoncer le poignard dans la gorge, mais de bonne fortune il a glissé le long de l'épaule et n'est descendu que sur le bras ; il est vrai qu'il a rencontré l'un des vaisseaux de la veine que nous nommons Axillaire, et c'est par là que Floridan a perdu le sang qui l'a fait évanouir. (Acte 5, scène 3, FLEURIMON)
Mais dites-moi, Dorice, Amintor sait-il la tromperie que vous avez faite à Célinde ? (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Tant mieux, je me vengerai sur lui de la frayeur que vous m'avez donnée : qu'on l'aille quérir. (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
J'ai cru qu'il était raisonnable que Célinde eût sa part de la peur qu'elle m'avait causée ; ma plus grande offense est celle qui vous regarde, et que votre bonté vous doit faire oublier, puisqu'étant ici-bas l'image de la Divinité, mon intention ne vous peut être inconnue. (Acte 5, scène 3, DORICE)
Mais pour ne laisser après moi aucune tache qui puisse noircir ma renommée j'atteste les Dieux que ce que vous nommez une tyrannie, n'a été qu'un désir violent de procurer à Célinde un avantage qu'elle ne méritait pas. (Acte 5, scène 4, AMINTOR)
Et si leur intelligence vous eût été connue, eussiez-vous consenti qu'un mariage les eût assemblés. (Acte 5, scène 4, ALCANDRE)
Laissons ce discours, et puisqu'en ce temps-là vous eussiez approuvé l'alliance de Lucidor et de Célinde, agréez?la maintenant que je vous en prie, et que Floridan promis en mariage à Parthénice, vous dispense de la parole que vous lui aviez donnée. (Acte 5, scène 4, ALCANDRE)
Nullement, Parthénice et Floridan vivent encore, et si vous ne voulez être la cause de ma mort, je conjure votre piété de recevoir la prière qu'Alcandre vous a faite en ma faveur, et de croire, généreux Amintor, que je n'aspire à la gloire d'être votre gendre, que pour avoir plus d'occasions de vous servir. (Acte 5, scène 4, LUCIDOR)
Son mérite vous y oblige, et mes désirs vous en sollicitent. (Acte 5, scène 4, FLORIDAN)
Tantôt on vous entretiendra de tout ce que Dorice a fait pour cette heure donnez quelque trêve à ces caresses, et puisque les Dieux par une voie si peu commune vous ont conduits au souverain degré de vos contentements, allons faire fumer leurs Autels d'un nombre infini de Victimes. (Acte 5, scène 4, ALCANDRE)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,32 % des textes) dans lesquels il y a 944 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 157,33 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Acte V1	Acte V2	Acte V3	Total
1	LA PARTHÉNIE	27	27	33	35	24	0	0	0	0	146
2	SAINT EUSTACHE MARTYR	21	20	20	34	42	0	0	0	0	137
3	CLARIMONDE	31	33	21	32	48	0	0	0	0	165
4	LE PRINCE FUGITIF	35	25	38	16	0	31	0	0	0	145
5	LA CLORISE	19	41	25	33	31	0	0	0	0	149
6	C?LINDE	31	53	1	45	27	0	1	1	6	165
7	CÉLINDE	0	0	0	0	0	0	17	6	14	37
	Total	164	199	138	195	172	31	18	7	20	944