Occurences de l'expression
i
pour HUGUES, Clovis
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
TYL L'ESPIEGLE (1906)
- Oui, monsieur notre fils est un fou réussi, v.1 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Et je suis furieux de voir... v.2 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Mais non ! v.2 (Acte , scène 1, ANNA)
- Mais si ! v.2 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Bah ! Puisque c'est ainsi que chacun le préfère, v.3 (Acte , scène 1, ANNA)
- Riez de ses bons tours, passez et laissez faire. v.4 (Acte , scène 1, ANNA)
- Le Comte_d'Heverlé, notre maître et seigneur, v.5 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Ne se plaît guère aux traits de son esprit moqueur. v.6 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Il est le Benjamin de notre châtelaine, v.7 (Acte , scène 1, ANNA)
- Et c'est lui seul qui tient sa pelote de laine. v.8 (Acte , scène 1, ANNA)
- Alors il la tient peu, je te le dis tout bas. v.9 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- J'en conviens, car au lieu de tricoter des bas. v.10 (Acte , scène 1, ANNA)
- De coudre, de filer, de veiller au ménage, v.11 (Acte , scène 1, ANNA)
- Ainsi que le faisaient les dames de l'autre âge, v.12 (Acte , scène 1, ANNA)
- La dame de ces lieux court par monts et par vaux, v.13 (Acte , scène 1, ANNA)
- Chassant et bataillant, éreintant ses chevaux v.14 (Acte , scène 1, ANNA)
- Et montrant ce caprice entre mille caprices v.15 (Acte , scène 1, ANNA)
- De leur faire au galop franchir les précipices. v.16 (Acte , scène 1, ANNA)
- Tyl l'accompagnerait sans doute chaque jour, v.17 (Acte , scène 1, ANNA)
- S'il était moins souvent perché sur cette tour v.18 (Acte , scène 1, ANNA)
- D'où son cornet, ainsi que cela se rencontre, v.19 (Acte , scène 1, ANNA)
- Doit sonner, aussitôt qu'un ennemi se montre. v.20 (Acte , scène 1, ANNA)
- C'est un bonheur pour nous qu'il ne la suive point. v.21 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Elle a si bonne mine, un faucon sur le poing, v.22 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Qu'il l'accompagnerait, pour un sourire d'elle, v.23 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Le Comte est batailleur, querelle ses voisins, v.25 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Et traite en assiégés ses plus petits cousins. v.26 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Jamais, tout vieux qu'il est, notre pays de Flandre v.27 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- N'avait vu sous le ciel tant de châteaux en cendre, v.28 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Et Tyl, du haut des tours sondant le grand chemin, v.29 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Y restera longtemps, son cornet à la main. v.30 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Plaise à Monsieur Saint-George ! v.31 (Acte , scène 1, ANNA)
- Ah ! Quel énorme cierge v.31 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Je veux faire brûler à Madame la Vierge v.32 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Si notre fils, plus vain que les petits oiseaux, v.33 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Perd son espièglerie en conservant les os ! v.34 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Mais, le voici... Qu'a-t-il à chantonner encore ? v.35 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Mon père et ma mère m'ont mis v.36 (Acte , scène 2, TYL)
- Un rayon de soleil en tête ; v.37 (Acte , scène 2, TYL)
- Tous les rieurs sont mes amis ; v.38 (Acte , scène 2, TYL)
- La sainte gaîté, c'est ma fête. v.39 (Acte , scène 2, TYL)
- Mon gosier est plein de chansons, v.40 (Acte , scène 2, TYL)
- Mon regard est plein d'étincelles ; v.41 (Acte , scène 2, TYL)
- Et pour les nobles demoiselles v.42 (Acte , scène 2, TYL)
- Je danse de mille façons. v.43 (Acte , scène 2, TYL)
- Il était une fois une belle princesse... v.46 (Acte , scène 2, TYL)
- Bien que mon nid soit une tour v.47 (Acte , scène 2, TYL)
- Bâtie exprès pour le vautour, v.48 (Acte , scène 2, TYL)
- Le caprice est ma règle ; v.49 (Acte , scène 2, TYL)
- Et je suis Tyl l'espiègle. v.51 (Acte , scène 2, TYL)
- Est-il rien de plus gai, vraiment, v.52 (Acte , scène 2, TYL)
- Dans le coin du monde où nous sommes, v.53 (Acte , scène 2, TYL)
- Que de faire éternellement v.54 (Acte , scène 2, TYL)
- Des niches à ces pauvres hommes ? v.55 (Acte , scène 2, TYL)
- La fleur au jour naissant sourit, v.57 (Acte , scène 2, TYL)
- Les grands chênes ont le délire, v.58 (Acte , scène 2, TYL)
- Et c'est dans un éclat de rire v.59 (Acte , scène 2, TYL)
- Que les oiseaux font de l'esprit. v.60 (Acte , scène 2, TYL)
- Pourquoi rire sans cesse ? v.61 (Acte , scène 2, ANNA)
- Or, un troubadour vint qui charma la princesse... v.62 (Acte , scène 2, TYL)
- Alors le troubadour épousa la princesse... v.77 (Acte , scène 2, TYL)
- Bien que mon nid soit une tour v.78 (Acte , scène 2, TYL)
- Bâtie exprès pour le vautour, v.79 (Acte , scène 2, TYL)
- Le caprice est ma règle ; v.80 (Acte , scène 2, TYL)
- Et je suis Tyl l'espiègle. v.82 (Acte , scène 2, TYL)
- Maman, bonsoir ! v.83 (Acte , scène 2, TYL)
- Fils, ne pouvez-vous pas montrer votre savoir v.84 (Acte , scène 2, NICOLAS)
- Sans dire une folie ou sans faire parade v.85 (Acte , scène 2, NICOLAS)
- De vos légèretés qui me rendront malade ? v.86 (Acte , scène 2, NICOLAS)
- Votre père a raison. v.87 (Acte , scène 2, ANNA)
- Quelle raison a-t-il ? v.87 (Acte , scène 2, TYL)
- Le papillon qui vole est plus léger que Tyl ; v.88 (Acte , scène 2, TYL)
- La feuille qui dans l'air frissonne est plus légère v.89 (Acte , scène 2, TYL)
- Que Tyl, ce pauvre diable englué sur la terre ; v.90 (Acte , scène 2, TYL)
- Et pourtant chacun aime et feuille et papillon. v.91 (Acte , scène 2, TYL)
- M'a-t-on vu, soulevé par quelque tourbillon, v.92 (Acte , scène 2, TYL)
- Faire là-haut l'espiègle ? Ah ! père, je vous prie v.93 (Acte , scène 2, TYL)
- Laissez pousser son aile à mon espièglerie : v.94 (Acte , scène 2, TYL)
- Elle pousse si peu que j'en suis offense. v.95 (Acte , scène 2, TYL)
- Fils, que sera-ce donc quand elle aura poussé ? v.96 (Acte , scène 2, NICOLAS)
- Oh ! Ne vous fiez pas à tout ce que l'on conte ! v.97 (Acte , scène 2, TYL)
- C'est donc un parti pris ? v.99 (Acte , scène 2, ANNA)
- Le comte avec ses gens arrive dans ces lieux. v.100 (Acte , scène 2, TYL)
- Nous allons devant lui, sans rompre le silence, v.101 (Acte , scène 2, TYL)
- Tous les trois à la fois faire la révérence ; v.102 (Acte , scène 2, TYL)
- Je serai comme vous plus muet qu'un poisson. v.103 (Acte , scène 2, TYL)
- On n'en dira pas moins : « Voyez ce polisson ! » v.104 (Acte , scène 2, TYL)
- J'ai dans mes veines un sang pur v.105 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Comme le sang des vignes ; v.106 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Ma bannière au vol souverain v.109 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Est un aigle qui plane ; v.110 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Et je m'en vais, le front serein, v.111 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Faisant sur les casques d'airain v.112 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Sonner ma pertuisane. v.113 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Mon fils, c'est le moment, puisque le Comte est là. v.114 (Acte , scène 3, NICOLAS)
- Marchez derrière nous dans l'ordre que voilà. v.115 (Acte , scène 3, ANNA)
- Même lorsqu'il se prétend sage, v.116 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Il a tout juste la raison v.117 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Du gnome qui la nuit voyage v.118 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Sur le dos d'un colimaçon... v.119 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Voyez, voyez ce petit polisson ! v.120 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- C'est injuste ! Il n'a pas dit un seul mot. v.121 (Acte , scène 3, NICOLAS)
- Que Tyl, en se taisant, s'attire cet orage ! v.122 (Acte , scène 3, ANNA)
- Veillent trois mille gardes v.124 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Dont le soleil en se levant v.125 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Mon cheval de guerre hennit v.127 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Et je me suis dans le granit v.129 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Construit superbement un nid v.130 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Que l'orage environne. v.131 (Acte , scène 3, LE COMTE)
- Fils, marchez devant nous : tout à l'heure, je crois, v.132 (Acte , scène 3, NICOLAS)
- Vous faisiez certain geste avec le bout des doigts. v.133 (Acte , scène 3, NICOLAS)
- Même quand il se prétend sage, v.134 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Il a tout juste la raison v.135 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Du gnome qui la nuit voyage v.136 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Sur le dos d'un colimaçon... v.137 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Voyez, voyez ce petit polisson ! v.138 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
- Ah çà ! Jusques à quand souffrirai-je, mes drôles, v.139 (Acte , scène 3, TYL)
- Ces mesquins quolibets pleuvant sur mes épaules ? v.140 (Acte , scène 3, TYL)
- Jusques à quand, Seigneur ? Seigneur, jusques à quand v.141 (Acte , scène 3, TYL)
- Vos gens poursuivront-ils d'un refrain provocant v.142 (Acte , scène 3, TYL)
- Un page sans égal dont le rire sonore v.143 (Acte , scène 3, TYL)
- Dans votre vieux château voltige dès l'aurore ? v.144 (Acte , scène 3, TYL)
- Bravo, messire Tyl ! Eh quoi ! L'on vous aurait v.145 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- En mon absence encor décoché quelque trait ? v.146 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Bien pendue. v.148 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Il allait nous faire une harangue. v.148 (Acte , scène 4, LE COMTE)
- Berner ma seigneurie ! A-t-on rien vu de tel ? v.149 (Acte , scène 4, TYL)
- Ce petit homme-là parle comme un missel. v.150 (Acte , scène 4, VAN BOCK)
- Voici mon bon plaisir : je veux, moi, châtelaine, v.151 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Qu'on l'écoute, dût-il parler une semaine. v.152 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Approchez-vous un peu, mon page bien-aimé ! v.153 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- L'attention qu'elle a pour notre Tyl me flatte. v.155 (Acte , scène 4, NICOLAS)
- Quel piètre favori ! v.156 (Acte , scène 4, UN HOMME D'ARMES)
- Ô madame, merci ! Désormais, grâce à vous, v.157 (Acte , scène 4, TYL)
- J'ai le droit d'être espiègle et fou parmi les fous, v.158 (Acte , scène 4, TYL)
- De chanter, de danser, de rire jusqu'aux larmes, v.159 (Acte , scène 4, TYL)
- De taquiner chacun, de cribler de bons mots v.161 (Acte , scène 4, TYL)
- Le savoir des savants, la sottise des sots, v.162 (Acte , scène 4, TYL)
- Et de crier partout, sans craindre qu'il me morde, v.163 (Acte , scène 4, TYL)
- Que messire Van Bock a mérité la corde. v.164 (Acte , scène 4, TYL)
- Et pourquoi voulez-vous dire cela de moi ? v.165 (Acte , scène 4, VAN BOCK)
- La belle question ! v.166 (Acte , scène 4, TYL)
- Pourquoi ? v.166 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Pourquoi ? v.166 (Acte , scène 4, LE COMTE)
- Pourquoi ? v.166 (Acte , scène 4, TOUS)
- Parce qu'il est râpé comme un gueux dans son bouge, v.167 (Acte , scène 4, TYL)
- Qu'il porte mal sa toque et qu'il a le nez rouge. v.168 (Acte , scène 4, TYL)
- L'affreux petit brigand ! v.169 (Acte , scène 4, VAN BOCK)
- Autorisez-moi, Comte, à lui jeter mon gant ! v.170 (Acte , scène 4, TYL)
- Si jamais je l'accoste !... v.171 (Acte , scène 4, VAN BOCK)
- Maintenant, compagnons, tout le monde à son poste ! v.172 (Acte , scène 4, LE COMTE)
- Plaît-il ? v.174 (Acte , scène 4, TYL)
- Allons, ne boudez pas, beau page : le service v.175 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Est ainsi partagé. v.176 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
- Mais c'est une injustice ! v.176 (Acte , scène 4, TYL)
- J'ai terriblement faim. v.177 (Acte , scène 4, TYL)
- Puisque vous l'ordonnez, je retourne au rempart, v.178 (Acte , scène 4, TYL)
- Et je sonne du cor à fendre les murailles v.179 (Acte , scène 4, TYL)
- Si je vois une pique à travers les broussailles. v.180 (Acte , scène 4, TYL)
- Bon appétit ! v.181 (Acte , scène 4, TYL)
- Je crois fort qu'on a préparé v.181 (Acte , scène 4, TYL)
- Ce dîner pour moi seul. Le beau gâteau doré ! v.182 (Acte , scène 4, TYL)
- Comme il attire l'oeil ! Ah ! Messire l'espiègle, v.183 (Acte , scène 4, TYL)
- Vous allez cette fois faire une farce en règle ! v.184 (Acte , scène 4, TYL)
- J'espère, mon enfant, que tu seras enfin v.185 (Acte , scène 4, NICOLAS)
- Sérieux maintenant... v.186 (Acte , scène 4, NICOLAS)
- Il fait diablement faim ! v.186 (Acte , scène 4, TYL)
- Moins léger... v.187 (Acte , scène 4, NICOLAS)
- Je le suis trop, que diantre ! v.187 (Acte , scène 4, TYL)
- Depuis hier au soir je n'ai rien dans le ventre. v.188 (Acte , scène 4, TYL)
- Oui, mon petit papa. v.190 (Acte , scène 4, TYL)
- C'est un bien beau gâteau ! v.190 (Acte , scène 4, TYL)
- Buvons à la châtelaine v.191 (Acte , scène 5, TOUS)
- Qui partage nos combats, v.192 (Acte , scène 5, TOUS)
- Et dans notre coupe pleine v.193 (Acte , scène 5, TOUS)
- Noyons les maux d'ici-bas ! v.194 (Acte , scène 5, TOUS)
- Venue au monde guerrière, v.195 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- J'aime les grands étendards v.196 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Qui flottent dans la lumière v.197 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Buvons à la châtelaine v.199 (Acte , scène 5, TOUS)
- Qui partage nos combats, v.200 (Acte , scène 5, TOUS)
- Et dans notre coupe pleine v.201 (Acte , scène 5, TOUS)
- Noyons les maux d'ici-bas ! v.202 (Acte , scène 5, TOUS)
- À moi la victoire ailée ! v.203 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- À moi le rapide éclair v.204 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Buvons à la châtelaine v.207 (Acte , scène 5, TOUS)
- Qui partage nos combats, v.208 (Acte , scène 5, TOUS)
- Et dans notre coupe pleine v.209 (Acte , scène 5, TOUS)
- Noyons les maux d'ici-bas ! v.210 (Acte , scène 5, TOUS)
- L'ennemi nous environne : v.211 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Mon coursier harnaché d'or ! v.214 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
- Nous ne voulons, châtelaine, v.215 (Acte , scène 5, TOUS)
- Venir qu'après les combats v.216 (Acte , scène 5, TOUS)
- Au fond de la coupe pleine v.217 (Acte , scène 5, TOUS)
- Noyer les maux d'ici-bas. v.218 (Acte , scène 5, TOUS)
- Sapristi ! C'est encor ce méchant petit page v.219 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Qui m'a joué ce tour ! Oh ! j'enrage, j'enrage ! v.220 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Quel rôle ridicule il me fait remplir là ! v.221 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Quoi ! Berner de la sorte un intendant du comte ! v.223 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Quoi ! M'avoir attaché par l'habit, quelle honte ! v.224 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Comme si je n'étais qu'un enfant, qu'un vieux fou ! v.225 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Ah ! Si je le tenais, je lui tordrais le cou v.226 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et je lui ferais voir, selon les vieilles règles, v.227 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- A quels beaux traitements s'exposent les espiègles. v.228 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Si du moins je pouvais dénouer mon pourpoint ! v.229 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Mais le bandit m'a fait un noeud comme le poing : v.230 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Impossible ! Je suis vissé sur cette chaise. v.231 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Me voilà bien logé ! Par mon patron Saint-Blaise, v.232 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je jure qu'il sera châtié celte fois v.233 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et qu'il conservera la marque de mes doigts v.234 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Pendant plus de huit jours au bout de son oreille ! v.235 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- On n'aura vu jamais une danse pareille ! v.236 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je le corrigerai devant tout le château ! v.237 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Quand j'y pense ! Je suis comme dans un étau, v.238 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je suis cloué ! Je veux qu'il me demande grâce. v.239 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Outrager à ce point un homme de ma race ! v.240 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Un Van Bock ! Mon grand-père était dans ce castel v.241 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Intendant de la coupe et pourvoyeur du sel ; v.242 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Mon père avec des ducs chassait à l'arbalète. v.243 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je suis déshonoré, ma disgrâce est complète, v.244 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Si quelqu'un me surprend dans l'état où je suis. v.245 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Palsambleu ! J'aimerais mieux être au fond d'un puits v.246 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Que d'être à cette chaise attaché de la sorte. v.247 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Comme ce noeud est dur ! Que le diable t'emporte, v.248 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Abominable Tyl, effronté garnement ! v.249 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et si les assaillants entraient ici ! Comment v.250 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Me cacher ? Comment fuir ? Je suffoque, je tremble. v.251 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Hé ! Par là-bas ? Qui vient par là-bas ? Il me semble v.252 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Que l'on a remué derrière ces piliers. v.253 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Ayez pitié de moi, messieurs les cavaliers ! v.254 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je suis un intendant honnête ; je me nomme v.255 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Van Bock, et croyez bien... v.256 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Trêve aux discours, bonhomme ! v.256 (Acte , scène 6, TYL)
- Le duc est pris. Tu vas, si tu tiens à ta peau, v.258 (Acte , scène 6, TYL)
- Sainte-Vierge ! v.259 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je suis mal disposé. Tu vois cette flamberge.. v.260 (Acte , scène 6, TYL)
- Je la vois, doux seigneur. v.261 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Eh bien ! Je te la mets v.261 (Acte , scène 6, TYL)
- À travers le corps, si les clés du trésor... v.262 (Acte , scène 6, TYL)
- Mais, v.262 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je ne sais pas où sont ces clés qu'on me demande. v.263 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Tu m'interromps, je crois. v.264 (Acte , scène 6, TYL)
- Ma frayeur est si grande v.264 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et je suis si troublé ! v.265 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Quel butor réussi ! v.265 (Acte , scène 6, TYL)
- Ah çà ! Maître intendant, que fais-tu donc ici, v.266 (Acte , scène 6, TYL)
- Dans un accoutrement à ce point ridicule ? v.267 (Acte , scène 6, TYL)
- Pourquoi t'es-tu vissé sur ta chaise curule ? v.268 (Acte , scène 6, TYL)
- À la manière antique attendrais-tu la mort ? v.269 (Acte , scène 6, TYL)
- C'est Tyl qui t'a cloué sur ce siège ? Ah ! Le drôle ! v.271 (Acte , scène 6, TYL)
- Vous le connaissez donc ? v.272 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Tu me plais dans ce rôle ! v.272 (Acte , scène 6, TYL)
- Un petit scélérat ! v.273 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Un aimable garçon ! v.273 (Acte , scène 6, TYL)
- Moi, j'ai toujours aimé les tours de sa façon. v.274 (Acte , scène 6, TYL)
- Quand on a de l'esprit, il faut bien qu'on le montre ! v.275 (Acte , scène 6, TYL)
- Je ne dis pas. v.277 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Fort bien. Tu comprends comme moi v.277 (Acte , scène 6, TYL)
- Que Tyl a cent raisons de se moquer de toi ? v.278 (Acte , scène 6, TYL)
- D'ailleurs, si ta dure cervelle v.279 (Acte , scène 6, TYL)
- Ne se l'expliquait pas d'une façon formelle, v.280 (Acte , scène 6, TYL)
- Je te l'expliquerais au moyen de l'outil v.281 (Acte , scène 6, TYL)
- Que voilà. v.282 (Acte , scène 6, TYL)
- Par Caron ! Je suis l'ami de Tyl ; v.282 (Acte , scène 6, TYL)
- Je ne souffrirais pas qu'un sot de ton espèce... v.283 (Acte , scène 6, TYL)
- Mais, monseigneur... v.284 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Mais, Altesse ! Je n'ai rien dit. Tyl est charmant. v.285 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je l'aime. v.286 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et passionnément ? v.286 (Acte , scène 6, TYL)
- Et passionnément : c'est ce que je veux dire. v.287 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je veux que l'on m'appelle Sire ! v.288 (Acte , scène 6, TYL)
- Sire ! Tyl est charmant, je vous le dis encor ; v.289 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Mais vous devinez bien... v.290 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Où sont-elles ? J'attends depuis plus d'un quart_d_heure. v.291 (Acte , scène 6, TYL)
- Je ne sais... v.292 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Si je les ai ! v.293 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je vais te servir de ton plat. v.293 (Acte , scène 6, TYL)
- Je suis à vos genoux, je me fais aussi plat v.294 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Que possible. Pitié ! La gloire serait mince v.295 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- D'avoir tué ce vieux Van Bock. v.296 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je suis bon prince. v.296 (Acte , scène 6, TYL)
- Écoute. Je consens à t'épargner, ma foi, v.297 (Acte , scène 6, TYL)
- Si tu jures par la chape de Saint-Éloi v.298 (Acte , scène 6, TYL)
- De ne pas dire au Comte un mot de l'aventure. v.300 (Acte , scène 6, TYL)
- D'avoir de l'amitié pour Tyl, v.301 (Acte , scène 6, TYL)
- De ne pas lui tirer les oreilles. v.302 (Acte , scène 6, TYL)
- Plaît-il ? v.302 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- De ne pas lui tirer les oreilles. v.303 (Acte , scène 6, TYL)
- J'admire ! v.303 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Jure : cela vaut mieux. v.304 (Acte , scène 6, TYL)
- Je vous le jure, Sire. v.304 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Aussi fermes qu'un roc ! v.305 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et maintenant, comment ça va-t-il, cher Van Bock ? v.306 (Acte , scène 6, TYL)
- Quoi ! Méchant avorton, tu me jouais encore ! v.307 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je te jouais. C'est bien amusant. v.308 (Acte , scène 6, TYL)
- Je t'aime. v.309 (Acte , scène 6, TYL)
- Je ferai quatre morceaux de toi. v.309 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et ton serment par la chape de Saint-Éloi ? v.310 (Acte , scène 6, TYL)
- Ton casque me trompait, tu me prenais en traître : v.311 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Le serment n'était pas valable. v.312 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Depuis quand un serment qu'on fait ne vaut-il rien ? v.313 (Acte , scène 6, TYL)
- Parbleu ! Je te ferai brûler comme un païen. v.314 (Acte , scène 6, TYL)
- Je casserai sur toi les bâtons de la chaise v.315 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Vraiment ! J'en suis fort aise. v.316 (Acte , scène 6, TYL)
- Comment t'y prendras-tu, si tu restes vissé ? v.317 (Acte , scène 6, TYL)
- Tu me laisseras là ? v.318 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je ne suis pas pressé. v.318 (Acte , scène 6, TYL)
- Mais moi je suis pressé diablement. v.319 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- J'imagine v.319 (Acte , scène 6, TYL)
- Que le régal de coups promis à mon échine v.320 (Acte , scène 6, TYL)
- Ne me poussera guère à te délivrer. v.321 (Acte , scène 6, TYL)
- Quoi ! v.321 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Tu crois que j'oserais te maltraiter ? v.322 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Ma foi ! v.322 (Acte , scène 6, TYL)
- Je l'ai cru tout d'abord. Tu n'es pas mauvais diable ; v.323 (Acte , scène 6, TYL)
- Mais ce maudit serment qui n'était pas valable, v.324 (Acte , scène 6, TYL)
- Ces coups que tu devais sur moi faire pleuvoir, v.325 (Acte , scène 6, TYL)
- Bah ! Tu vois tout en noir. v.326 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- J'avais tort, j'en conviens. v.327 (Acte , scène 6, TYL)
- On est parfois maussade. v.327 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Soyons deux bons amis. v.328 (Acte , scène 6, TYL)
- Tiens, bois cette rasade ! v.328 (Acte , scène 6, TYL)
- Boire ainsi le vin vieux v.329 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- N'est-ce pas qu'il est délicieux ? v.330 (Acte , scène 6, TYL)
- Nous allons, si tu veux, jouer cet autre verre. v.331 (Acte , scène 6, TYL)
- J'aime ce petit vin. v.332 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et moi, je le révère. v.332 (Acte , scène 6, TYL)
- Pourquoi ? v.333 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Pour dormir. v.333 (Acte , scène 6, TYL)
- Et celui qui pendant son sommeil aura fait v.334 (Acte , scène 6, TYL)
- Le rêve le plus beau boira le verre. v.335 (Acte , scène 6, TYL)
- Je dors aussi. v.336 (Acte , scène 6, TYL)
- L'aimable découverte ! v.336 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Je ne puis pas dormir, hélas ! Mais en fermant v.337 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Les yeux, j'inventerai quelque rêve charmant, v.338 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Éblouissant, exquis, adorable, céleste, v.339 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et je duperai Tyl, qui se croit malin ! v.340 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- À travers le gosier ça vous fait un velours. v.341 (Acte , scène 6, TYL)
- Éveille-toi. Qu'as-tu rêvé ? v.343 (Acte , scène 6, TYL)
- J'ai fait un songe v.343 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Si beau, si merveilleux qu'il a l'air d'un mensonge ! v.344 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- J'ai rêvé que j'étais là-haut, dans le ciel bleu : v.345 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- J'ai vu les légions des anges du bon Dieu ; v.346 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Saint-Pierre m'a parlé d'une façon civile ; v.347 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- J'ai joué de la harpe avec Sainte-Cécile... v.348 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et toi, qu'as-tu rêvé pendant ce temps ? v.349 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Oh ! Moi, v.349 (Acte , scène 6, TYL)
- Quand je t'ai vu si haut, je me suis dit : « Ma foi ! v.350 (Acte , scène 6, TYL)
- Il ne reviendra plus, tant il doit pour la terre v.351 (Acte , scène 6, TYL)
- Avoir un saint mépris ! » Et, clam ! J'ai bu le verre. v.352 (Acte , scène 6, TYL)
- Tu n'es qu'un scélérat indigne des bontés v.353 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Mon ami, pas d'excentricités ! v.354 (Acte , scène 6, TYL)
- Faquin ! Drôle ! Impudent ! Buveur du vin des autres ! v.355 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et dire que tu viens de voir les saints apôtres ! v.356 (Acte , scène 6, TYL)
- Ton coeur est plein de fiel : v.357 (Acte , scène 6, TYL)
- Il faut être plus doux quand on revient du ciel. v.358 (Acte , scène 6, TYL)
- Je ne veux pas rester cloué sur cette chaise ! v.359 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Défais vite ce noeud, ou gare ! v.360 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- À Dieu ne plaise ! v.360 (Acte , scène 6, TYL)
- Tu m'as fait oublier de croquer ce gâteau : v.361 (Acte , scène 6, TYL)
- Je te punis... v.362 (Acte , scène 6, TYL)
- Coquin ! Opprobre du château ! v.362 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Est-ce qu'on vous assiège ? v.363 (Acte , scène 7, LA COMTESSE)
- Il m'a par le pourpoint attaché sur ce siège ! v.364 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Il m'a dit qu'il avait v.365 (Acte , scène 7, TYL)
- Avec les séraphins dormi dans le duvet v.366 (Acte , scène 7, TYL)
- Des lits du paradis. v.367 (Acte , scène 7, TYL)
- Il a bu deux bouteilles v.367 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- De vin vieux. v.368 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Je devrais te tirer les oreilles. v.368 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Délivre ton captif. v.369 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- J'obéis, Monseigneur. v.369 (Acte , scène 7, TYL)
- Il est bien amusant, ma parole d'honneur ! v.370 (Acte , scène 7, LA COMTESSE)
- De Saint-Éloi qu'il est cousin germain du pape. v.372 (Acte , scène 7, TYL)
- As-tu bientôt fini ? v.373 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- J'avais un peu serré... v.373 (Acte , scène 7, TYL)
- À nous deux, maintenant que je suis délivré ! v.374 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Je te ferai payer... v.375 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Aie ! Aie ! v.376 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Excusez-moi, Monseigneur. v.376 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- À quoi, Monseigneur ? v.378 (Acte , scène 7, TYL)
- À l'exil v.378 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Et tu fileras vers les terres de Cologne, v.379 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- Tout de suite. v.380 (Acte , scène 7, LE COMTE)
- J'ai fait une belle besogne. v.380 (Acte , scène 7, TYL)
- Madame, je m'en vais, je vous baise la main. v.381 (Acte , scène 7, TYL)
- Comme on doit s'ennuyer en chemin ! v.382 (Acte , scène 7, TYL)
- Avant de partir, je veux croire v.383 (Acte , scène 7, TYL)
- Que vous me laisserez vous conter une histoire. v.384 (Acte , scène 7, TYL)
- Est-il gentil ! v.385 (Acte , scène 7, LA COMTESSE)
- Où je naquis, le sort me fit l'aimable tour v.386 (Acte , scène 7, TYL)
- De me donner la fée Urgèle pour marraine, v.387 (Acte , scène 7, TYL)
- Tout comme si j'avais été fils d'une reine. v.388 (Acte , scène 7, TYL)
- Elle me fit cadeau d'un chapeau merveilleux, v.389 (Acte , scène 7, TYL)
- Le voilà. v.390 (Acte , scène 7, TYL)
- Ce chapeau ne dit rien pour les yeux ; v.390 (Acte , scène 7, TYL)
- Mais, si pauvre qu'il semble, il me fournit des piastres, v.391 (Acte , scène 7, TYL)
- Il est plein de sols d'or, et le ciel a moins d'astres ! v.392 (Acte , scène 7, TYL)
- Quand j'ai bien déjeuné chez la mère Goton, v.393 (Acte , scène 7, TYL)
- Je n'ai qu'à le frapper du bout de mon bâton v.394 (Acte , scène 7, TYL)
- En lui disant trois fois : « Petit chapeau, travaille ! » v.395 (Acte , scène 7, TYL)
- Et les écus luisants pleuvent. v.396 (Acte , scène 7, TYL)
- Quelle ripaille v.396 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Je ferais, si j'avais ce Crésus des chapeaux ! v.397 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Je te l'offre. Je t'ai berné mal à propos. v.398 (Acte , scène 7, TYL)
- J'ai du regret. v.399 (Acte , scène 7, TYL)
- Merci. Je te pardonne. v.399 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- Toi, tu vas chez Goton me payer ma choucroute ! v.400 (Acte , scène 7, VAN BOCK)
- J'espère qu'il n'est pas pour toujours exilé. v.401 (Acte , scène 8, LA COMTESSE)
- Je le ferai rentrer au château d'Heverlé, v.402 (Acte , scène 8, LE COMTE)
- Avant huit jours. v.403 (Acte , scène 8, LE COMTE)
- Pitié ! Je vous demande grâce v.403 (Acte , scène 8, ANNA)
- Pour mon fils. v.404 (Acte , scène 8, ANNA)
- Monseigneur, frappez-nous à sa place. v.404 (Acte , scène 8, NICOLAS)
- Il vous sera bientôt rendu. v.405 (Acte , scène 8, LE COMTE)
- Merci. v.406 (Acte , scène 8, NICOLAS)
- Douze docteurs de l'Université v.406 (Acte , scène 8, UN PAGE)
- Demandent, monseigneur, à vous faire l'hommage v.407 (Acte , scène 8, UN PAGE)
- De leurs civilités. v.408 (Acte , scène 8, UN PAGE)
- Introduis-les, beau page. v.408 (Acte , scène 8, LE COMTE)
- Soyez les bienvenus, savants hommes de Flandre ! v.433 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Vous êtes, Monseigneur, un moderne Alexandre : v.434 (Acte , scène 9, 1er DOCTEUR)
- Vous servez Apollon et Bellone à la fois. v.435 (Acte , scène 9, 1er DOCTEUR)
- Le vieil aveugle Homère eût chanté vos exploits. v.436 (Acte , scène 9, 2e DOCTEUR)
- Embellit la pensée et la phrase. v.438 (Acte , scène 9, 5e DOCTEUR)
- L'âme, le contrepoids du discours. v.439 (Acte , scène 9, 6e DOCTEUR)
- Le phénix v.439 (Acte , scène 9, 7e DOCTEUR)
- Est l'oiseau qui renaît de ses cendrés. v.440 (Acte , scène 9, 7e DOCTEUR)
- Félix v.440 (Acte , scène 9, 8e DOCTEUR)
- Qui potuit rerum... v.441 (Acte , scène 9, 8e DOCTEUR)
- Vive la catachrèse ! v.441 (Acte , scène 9, 9e DOCTEUR)
- La litote a du bon v.442 (Acte , scène 9, 10e DOCTEUR)
- J'ai soutenu la thèse v.442 (Acte , scène 9, 11e DOCTEUR)
- Du libre arbitre. v.443 (Acte , scène 9, 11e DOCTEUR)
- L'air est peuplé d'animaux. v.443 (Acte , scène 9, 12e DOCTEUR)
- Les hommes pour parler ont inventé les mots. v.444 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Les mots font le discours, les épis font la gerbe. v.445 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Le verbe est grand. Comment s'exprimer sans le verbe ? v.446 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Timeo Danaos et dona ferentes. v.447 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Les Gaulois adoraient le divin Teutatès. v.448 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Archimède a trouvé la force cylindrique, v.449 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Les lois de l'équilibre et de l'hydrostatique. v.450 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Ego sum. Dominus, domini, domino. v.451 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Encore toi ! v.452 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- D'où vient cet étourneau ? v.452 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
- Messieurs, vous me comblez, votre faveur m'honore. v.453 (Acte , scène 9, TYL)
- Je t'avais exilé. v.454 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Mais je le suis encore ! v.454 (Acte , scène 9, TYL)
- Explique-toi. v.455 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Ce sac l'habille drôlement. v.455 (Acte , scène 9, LA COMTESSE)
- Suivez bien mon raisonnement. v.456 (Acte , scène 9, TYL)
- Vous m'avez-banni sur les terres de Cologne : v.457 (Acte , scène 9, TYL)
- Eh bien ! J'y suis, mon maître et je fais ma besogne v.458 (Acte , scène 9, TYL)
- De proscrit, sans songer à vous désobéir. v.459 (Acte , scène 9, TYL)
- Voici. Le mois passé, vous avez fait venir v.460 (Acte , scène 9, TYL)
- De Cologne des fleurs dans de grands pots bizarres. v.461 (Acte , scène 9, TYL)
- Après ? Je m'en souviens. J'aime les plantes rares. v.462 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Flos, floris. v.463 (Acte , scène 9, 1er DOCTEUR)
- C'est un goût qui vous fait grand honneur. v.463 (Acte , scène 9, 2e DOCTEUR)
- Les vases étaient pleins de terre, Monseigneur. v.464 (Acte , scène 9, TYL)
- La terre avait été de Cologne apportée. v.465 (Acte , scène 9, LA COMTESSE)
- Je devine. v.466 (Acte , scène 9, LA COMTESSE)
- J'en ai mis une pelletée v.466 (Acte , scène 9, TYL)
- Dans ce sac, et voilà : je foule sous mes pieds v.467 (Acte , scène 9, TYL)
- Ah ! Comte, vous riez ! v.468 (Acte , scène 9, TYL)
- Vous allez donc me rendre à la douce patrie ? v.469 (Acte , scène 9, TYL)
- L'exilé souffre, hélas ! Et dans sa rêverie... v.470 (Acte , scène 9, TYL)
- Nos patrise fines... v.471 (Acte , scène 9, 3e DOCTEUR)
- Ne sois pas si pressé ' v.471 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Écoute. Je ne veux oublier le passé v.472 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Qu'après t'avoir ouï sans tournure suspecte v.473 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Répondre aux questions de ces docteurs. v.474 (Acte , scène 9, LE COMTE)
- Je commence. Combien de tonneaux faudrait-il v.475 (Acte , scène 9, 1er DOCTEUR)
- Pour contenir la mer ? v.476 (Acte , scène 9, 1er DOCTEUR)
- Il en faudrait six cents millions trente mille v.477 (Acte , scène 9, TYL)
- Huit cent quarante-deux. Il est d'ailleurs facile v.478 (Acte , scène 9, TYL)
- De le prouver : on n'a qu'à tarir tout exprès v.479 (Acte , scène 9, TYL)
- Les fleuves, les ruisseaux, et qu'à compter après. v.480 (Acte , scène 9, TYL)
- Mon_Dieu ! C'est tout au plus s'il manque une chopine. v.481 (Acte , scène 9, TYL)
- Le docteur est pincé ! v.482 (Acte , scène 9, NICOLAS)
- Quel gaillard ! v.482 (Acte , scène 9, UN HOMME D'ARMES)
- J'imagine v.482 (Acte , scène 9, 2e DOCTEUR)
- Qu'il répondra moins bien à cette question... v.483 (Acte , scène 9, 2e DOCTEUR)
- Combien, depuis le jour de la création, v.484 (Acte , scène 9, 2e DOCTEUR)
- S'est-il passé de jours ? v.485 (Acte , scène 9, 2e DOCTEUR)
- Oh ! Bien peu : sept à peine. v.485 (Acte , scène 9, TYL)
- Sept ! Vous raillez, garçon. v.486 (Acte , scène 9, 2e DOCTEUR)
- Sept qu'à chaque semaine v.486 (Acte , scène 9, TYL)
- Nous voyons revenir ! v.487 (Acte , scène 9, TYL)
- Comme il vous dit cela ! v.487 (Acte , scène 9, ANNA)
- Où donc est le milieu de la terre ? v.488 (Acte , scène 9, 4e DOCTEUR)
- Il est là v.488 (Acte , scène 9, TYL)
- Messieurs, je vous provoque en musique, en peinture, v.490 (Acte , scène 9, TYL)
- Ceci vous représente un étang, des bouleaux, v.492 (Acte , scène 9, TYL)
- Une montagne, un ciel d'automne, une rocaille ! v.493 (Acte , scène 9, TYL)
- Sur cette toile-là j'ai peint une bataille ! v.494 (Acte , scène 9, TYL)
- Mais nous ne voyons rien que des murs et des murs ! v.495 (Acte , scène 9, 5e DOCTEUR)
- Ils ne se laissent voir que par les hommes graves. v.497 (Acte , scène 9, TYL)
- Je te romprai les reins. v.498 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Je crois que tu me braves. v.498 (Acte , scène 10, TYL)
- Déjà ? Que t'a-t-il fait ? v.499 (Acte , scène 10, TYL)
- Il devait me donner des piastres à souhait. v.500 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Eh bien ? v.501 (Acte , scène 10, TYL)
- Il ne m'a rien valu que des misères. v.501 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Je vais chez Margoton, je m'offre quelques verres v.502 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- D'un petit vin blanc sec, à bon droit renommé, v.503 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Quelques pieds de cochon : bref, je me ravitaille. v.505 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Mais, hélas ! quand j'ai dit : « Petit chapeau, travaille ! » v.506 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Le chapeau ne m'a pas craché le moindre sou : v.507 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- On m'a mis à la porte en me traitant de fou... v.508 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Pan, pan. Voici comment j'ai fait... en pure perte ! v.510 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Il faut frapper ainsi, mais avec l'autre bout. v.512 (Acte , scène 10, TYL)
- Tu peux aller le dire à Rome ; v.513 (Acte , scène 10, TYL)
- Mais je reprends mon bien sous ton nez. v.514 (Acte , scène 10, TYL)
- Comte, il faut gracier l'espiègle. v.515 (Acte , scène 10, LA COMTESSE)
- Pourquoi v.515 (Acte , scène 10, LE COMTE)
- Le gracier ? Il va recommencer. v.516 (Acte , scène 10, LE COMTE)
- Ma foi, v.516 (Acte , scène 10, TYL)
- Je suis bien décidé.. v.517 (Acte , scène 10, TYL)
- À ne plus taquiner Van Bock. v.518 (Acte , scène 10, TYL)
- Bien vrai ? v.518 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- À ne plus l'attacher sur sa chaise. v.519 (Acte , scène 10, TYL)
- Parfait. v.519 (Acte , scène 10, LE COMTE)
- Tu parles bien, mon fils. v.520 (Acte , scène 10, ANNA)
- À rester dans mon coin, à ne plus jamais rire v.521 (Acte , scène 10, TYL)
- Aux dépens du prochain. v.522 (Acte , scène 10, TYL)
- Cette fois, je t'admire ! v.522 (Acte , scène 10, NICOLAS)
- Eh bien, soit. Je fais grâce à notre aimable Tyl. v.523 (Acte , scène 10, LE COMTE)
- Monseigneur, je répands à vos pieds mon exil. v.524 (Acte , scène 10, TYL)
- Et maintenant, rends-moi ton chapeau. Je caresse v.525 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Un projet de ragoût, une vieille faiblesse ! v.526 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Ton chapeau me serait utile, en vérité. v.527 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Ce serait amusant. Diable ! Je suis tenté. v.528 (Acte , scène 10, TYL)
- J'ai senti le fumet de certaine poularde... v.529 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Quelle noce ! Rends-moi le chapeau. v.530 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
CENDRILLON (1906)
- Ma soeur, me trouves-tu bien attifée ainsi ? v.1 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Suis-je assez belle avec les perles que voici ? v.2 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Ne vois-tu nul défaut à ma ceinture rose ? v.3 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Crois-tu qu'à ma toilette il manque quelque chose ? v.4 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- N'est-ce pas que ces fleurs font un magique effet ? v.5 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Magique, c'est le mot ; mais revenons au fait : v.6 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Dis-moi, serai-je un peu la reine de la fête ? v.7 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Dis-moi, remarque-t-on mes dentelles ? v.8 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Coquette, c'est parfait ; mais laissons là ce point : v.9 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Aurai-jE mon triomphe ou ne l'aurai-je point ? v.10 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Tu l'auras ; penses-tu que je l'aurai de même ? v.11 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- C'est ainsi que je t'aime. v.12 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Et ta robe m'enchante avec ses plis tombants. v.14 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Dans le septième ciel ta grâce me transporte. v.15 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Ton sourire est charmant de la sorte. v.16 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Si tu n'étais ma soeur, je te jalouserais. v.17 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Si tu n'étais ma soeur, je te détesterais. v.18 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Comme son fol orgueil lui fait perdre la tête ! v.19 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Dieu ! Quelle vanité, cette pauvre Frisette ! v.20 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Sa robe est ridicule. v.21 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- On la coiffe très mal. v.21 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Quel tableau ! Ses cheveux ont des raideurs d'étoupe. v.23 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Pour admirer sa grâce il faudrait une loupe. v.24 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Je ne mâchonne rien. v.25 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Je disais simplement : « Qu'elle est belle ! » v.26 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Fort bien v.26 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Je le disais aussi, ma chère, pour ton compte. v.27 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Tu crois ? v.28 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
- Si je crois ? v.28 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
- Cendrillon de malheur, que viens-tu faire ici ? v.29 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Un toupet réussi ! v.30 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Eh quoi ! Toujours céans provoquer des esclandres ? v.31 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Quand on est Cendrillon, on reste dans ses cendres. v.32 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- As-tu du moins lavé la vaisselle, ce soir ? v.33 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Et m'as-tu pour demain préparé mon peignoir ? v.34 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Qui t'appelle ? v.35 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Où sont vos soeurs, mademoiselle ? v.36 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Les beaux airs triomphants ne sont plus de saison. v.37 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Tu ne mèneras plus à ton gré la maison, v.38 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Maintenant que la mort d'une mère nous laisse v.39 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Libres de te traiter sans stupide faiblesse. v.40 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Je cherche en vain mes torts : que me reprochez-vous. v.41 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Vous verrez qu'il faudra lui baiser les genoux ! v.42 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Vous me haïssiez moins quand j'étais plus petite. v.43 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Je suis pourtant toujours la même. v.44 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Une hypocrite ! v.44 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Est-ce ma faute à moi si votre mère un jour v.45 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Je n'étais qu'une pauvre enfant abandonnée. v.47 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Nul appui, pas d'amis. Je semblais n'être née v.48 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Que pour subir l'assaut de toutes les douleurs ; v.49 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Ce n'était pas pour moi qu'avril clorait les fleurs, v.50 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Et mes printemps étaient plus tristes que la tombe. v.51 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Agneau sacrifié ! v.52 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Tendre petit Saint-Jean prêchant hors du désert ! v.53 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Vous pouvez railler, vous qui n'avez point souffert. v.54 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Moi, j'ai longtemps vécu sans fêtes, sans dimanches. v.55 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- L'été, pendant la nuit, je dormais sous les branches v.56 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Des chênes paternels qui sont les dieux des bois. v.57 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Aux foyers étrangers je réchauffais mes doigts v.58 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- À la hâte, en passant, quand le givre et la neige v.59 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Me prenaient dans le froid comme une oiselle au piège. v.60 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Pas de mère au doux front pour me tendre la main ! v.61 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- J'allais mourir, hélas ! Lorsque sur mon chemin, v.62 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- À l'instant où ma vie était le plus amère, v.63 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Votre mère me dit : « Veux-tu qu'on soit ta mère ? » v.64 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Tu parles comme un livre. v.65 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- On t'a fait la leçon. v.65 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Et sur quel ton câlin elle dit sa chanson ! v.66 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Un rossignol, ma foi ! v.67 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- J'y retourne, et pourtant quel aimable réveil ! v.69 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Comme mon triste coeur s'emplirait de soleil, v.70 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Si vous vouliez... v.71 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Quoi donc ? v.71 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- À quoi bon vous le dire ? v.71 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Je crains de vous fâcher ou de vous faire rire. v.72 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Je voudrais bien m'en aller avec vous v.73 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- À la fête du prince. Il doit être si doux v.74 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- De regarder, parmi les splendides toilettes, v.75 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Les hauts lambris dorés flamboyer sur les têtes ! v.76 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Elle rêve d'aller chez le Prince charmant ! v.77 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Est-ce qu'on vit jamais les soubrettes admises v.79 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Aux festins du palais, à côté des marquises ? v.80 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Mais elle divague ! v.81 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Elle est folle, en vérité ! v.81 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- Fais-nous, pour le retour, une tasse de thé. v.82 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Aux cendres, Cendrillon ! v.84 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
- Adieu, belle princesse ! v.84 (Acte 1, scène 2, MAGALI, FRISETTE)
- Triste enfant que je suis ! Les cruelles s'en vont v.85 (Acte 1, scène 3, CENDRILLON)
- Tu ne franchiras pas, te dis-je, cette porte. v.118 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Je la franchirai, dis-je, et le diable t'emporte ! v.119 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- J'entrerai. v.120 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Je vais te châtier. v.120 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Tu t'échauffes la bile, impétueux portier. v.121 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Je ne suis pas portier, je suis concierge. v.122 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Diantre ! v.122 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Je ne permettrai pas... v.124 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Hé ! Que se passe-t-il ? v.124 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
- C'est une vieille, louche, et maigre comme un fil, v.125 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Qui s'obstine à monter jusqu'ici. v.126 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Mais, c'est une diablesse ! v.127 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- À merveille ! v.127 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
- Encore mieux ! v.128 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
- Je suis sans asile et sans pain. v.128 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- J'ai quatre-vingt-dix ans : il fait froid, et j'ai faim v.129 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Vas-tu pas déguerpir ? On ne tient point auberge. v.130 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Ouvrez-lui. v.131 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
- Sotte fille à damner un concierge ! v.131 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Laissez-moi m'approcher du feu, pour un moment. v.132 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Et maintenant dis-moi, portier, si je me venge, v.182 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- En quelle bête il va falloir que je te change. v.183 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Ah ! Madame la fée, ayez pitié. v.184 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Crois-tu v.184 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Que si je te disais : « Sois un pigeon pattu !... » v.185 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Épargnez-moi. v.186 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Je puis, en baissant ma baguette, v.186 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- D'une laine touffue habiller ton squelette, v.187 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- T'allonger le visage en museau, te planter v.188 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Deux cornes sur le front ou te précipiter, v.189 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Grenouille au dos visqueux, dans les mares immondes. v.190 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Je puis te faire, en deux secondes, v.191 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Des griffes de vautour. v.192 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Je puis v.192 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- T'abreuver, vieux baudet, aux margelles des puits, v.193 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Je puis coudre une aile d'autruche v.195 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Ah ! C'en est fait de moi ! v.196 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Je rends l'âme. Pitié ! Mes dents claquent d'effroi. v.197 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Si je t'emprisonnais dans une carapace ? v.198 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Je suis mort. v.199 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Bonne fée, accordez-lui sa grâce. v.199 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
- Il n'est pas si méchant qu'il s'en est donné l'air. v.200 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
- Un peu brutal, mais pas méchant. v.201 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
- C'est clair. v.201 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Il tire si souvent le cordon qu'il enrage. v.202 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
- Admirable langage ! v.203 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- C'est la faute à ce chien de métier. v.204 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Cendrillon l'a voulu : relève-toi, portier ! v.205 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Mais sache qu'ici-bas tous les êtres sont frères, v.206 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Qu'on ne s'enrichit pas à railler les misères, v.207 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Que le premier devoir est pour tous d'être bons, v.208 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Et que les mendiants, les gueux, les vagabonds v.209 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Dont tu dédaignerais les plaintes étouffées v.210 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- N'ont pas tous, comme moi, la baguette des fées ! v.211 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Oh ! Je m'en souviendrai. v.212 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Laisse-moi seule ici v.212 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Avec ma Cendrillon. v.213 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- Madame, grand merci ! v.213 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- Écoute, Cendrillon. L'été dernier, à l'heure v.214 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Où les belles de nuit que le phalène effleure v.215 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Où je cueille, songeuse, au bord du lac dormant, v.217 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- La fleur du nénuphar que les flots ont brisée, v.218 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Je te vis entr'ouvrir lentement ta croisée, v.219 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Pâle et le front penché sur tes volubilis v.220 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Dont s'étaient repliés les pétales pâlis. v.221 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Tu rêvas, très longtemps, aux bruits confus de l'ombre. v.222 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par instant, tu levais ton regard doux et sombre v.223 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Dans la sérénité du ciel qui s'étoilait. v.224 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Trois ou quatre lutins, coiffés de serpolet, v.225 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Te contemplaient, charmés, eux qui jettent des charmes ! v.226 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Puis, tu pleuras. Alors je recueillis tes larmes, v.227 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Je compris tes sanglots, j'accusai le destin ; v.228 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Mais je repris mon vol dans la paix du matin ; v.229 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Et, depuis cette nuit, je pense à toi, mignonne : v.230 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Cendrillon est si belle et je la sais si bonne ! v.231 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Il est donc vrai qu'on m'aime et que je me trompais ? v.232 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Je t'apporte, ce soir, le bonheur et la paix. v.233 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Quoi ! Je ne serai plus Cendrillon la pauvrette ? v.234 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Par les prés où fleurit la blanche pâquerette, v.235 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Par le dôme éternel qui s'arrondit sur nous, v.236 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par le clapotement des flots sur les cailloux, v.237 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par les petits berceaux et par les grandes tombes, v.239 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par le divin soleil qui connaît le secret v.240 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par le chant des marins sur la vague sonore, v.242 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par la fuite du gnome au lever de l'aurore, v.243 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par la rose effeuillant sa corolle d'or fin, v.244 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Par les monts, par les bois, par ma baguette enfin, v.245 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- J'ordonne qu'à l'instant où cette main s'abaisse v.246 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- La pauvre Cendrillon soit changée en princesse ! v.247 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Ô prodige ! Ô mon_Dieu ! Comme on est belle ainsi ! v.248 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- D'où me vient, dites-moi, la robe que voici ? v.249 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Les jolis bracelets ! Quelles fines dentelles ! v.250 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Ça fait sous les doigts comme un long tremblement d'ailes. v.251 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Je comprends maintenant les contes que j'ai lus : v.252 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- La fée Urgèle existe, et Cendrillon n'est plus ! v.253 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Comment vous trouvez-vous, ma princesse ? v.254 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Tout ceci n'est, hélas ! qu'un ravissant mensonge. v.255 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Comme je tomberai de toute ma hauteur, v.256 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Quand je m'éveillerai de ce rêve enchanteur ! v.257 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Oh ! je tremble, je crains déjà qu'il ne s'achève. v.258 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Tout ceci n'est, hélas ! qu'un ravissant mensonge. v.259 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Ne crains rien, mon enfant, car ce n'est point un rêve. v.260 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Du pain. v.262 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Pour qui ? v.262 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Pour l'indigent. v.262 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- C'est l'hiver, et je sais bien des gens sans ressource. v.263 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Ton souhait s'accomplit dans ta poche. v.264 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Que de noirs horizons viennent de s'éclairer ! v.265 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Au secours ! Du vinaigre ! Au secours ! Je trépasse. v.267 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Que vous arrive-t-il ? v.268 (Acte 1, scène 6, CENDRILLON)
- Que voulez-vous nous dire et que s'est-il passé ? v.270 (Acte 1, scène 6, CENDRILLON)
- Je ne vous connais pas, mademoiselle. Un nègre v.271 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- M'a dit que l'on attend Cendrillon. Du vinaigre ! v.272 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Du vinaigre ! Je suis un homme à demi mort. v.273 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Ne connaissez-vous plus Cendrillon ? v.274 (Acte 1, scène 6, CENDRILLON)
- Du vinaigre ! v.275 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Voici. Je crois que quelques gouttes... v.275 (Acte 1, scène 6, CENDRILLON)
- Ces gouttes font du bien. Si je les buvais toutes ? v.276 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Mais qui donc a changé le vinaigre en vin blanc ? v.277 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Vous m'avez donné là d'un vinaigre excellent ! v.278 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Or çà, vas-tu nous dire en deux mots quelle affaire. v.279 (Acte 1, scène 6, LA FÉE URGÈLE)
- C'est que je ne sais pas... la chose n'est pas claire v.280 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- J'étais dans ma loge à songer, v.281 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Lorsque j'ai vu le bas des murailles bouger, v.282 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Comme si l'on tentait d'y faire une ouverture. v.283 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Je m'approche, voulant m'expliquer l'aventure. v.284 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- La muraille s'entr'ouvre. Une bande de rats, v.285 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Gros, petits et moyens, plus maigres ou plus gras, v.286 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Sort de la fente et court s'aligner sur deux files, v.287 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Très gentiment, avec des façons très civiles. v.288 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Un chat survient, les poils retroussés au menton. v.289 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Un grand diable de rat lui présente un bâton : v.290 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Il le saisit et prend la tête de la bande. v.291 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Tous emboîtent le pas au chat qui les commande v.292 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- J'ai le frisson. La peur glace mes os. Je sors. v.293 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Les ratons et les rats me poursuivent dehors ; v.294 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Mais ici s'accomplit un changement étrange : v.295 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Un petit nègre accourt, souffle sur une orange v.296 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Qu'il tire de sa poche, et floc ! en un instant v.297 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Maître Chat monte au siège et fait bonne figure. v.299 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Le régiment des rats s'attelle à la voiture. v.300 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Alors, venant à moi, monsieur le négrillon v.301 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Me dit : « Ô porte-clés, va-t'en chez Cendrillon v.302 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Annoncer, sans tarder, que sa voiture est prête ! » v.303 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Le nègre disparaît. Je me gratte la tête, v.304 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Je me pince les bras, je crois dormir debout ; v.305 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Je gravis l'escalier et je vous conte tout. v.306 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Ne saisissez-vous point ce que ça signifie ? v.307 (Acte 1, scène 6, LA FÉE URGÈLE)
- J'y perdrais mon latin et ma philosophie. v.308 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Moi, je devine un peu. v.309 (Acte 1, scène 6, CENDRILLON)
- Fait le souhait d'aller chez le Prince charmant v.310 (Acte 1, scène 6, LA FÉE URGÈLE)
- T'asseoir comme tes soeurs à son banquet de fête ? v.311 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Eh bien ! Vole au palais, sans que l'on t'inquiète. v.312 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Seulement, prends bien garde, avant minuit tu dois, v.313 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Plus prompte que le vent, revenir sous ces toits ; v.314 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Car le charme que j'ai jeté sur ta personne v.315 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Est de ceux qui s'en vont sitôt que minuit sonne. v.316 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Cette enfant me séduit. v.317 (Acte 1, scène 6, LA F?E URG?LE)
- Adieu. Vous me comblez. v.318 (Acte 1, scène 6, CENDRILLON)
- Rappelle-toi minuit. v.318 (Acte 1, scène 6, LA FÉE URGÈLE)
- Maintenant, à nous deux ! v.319 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- Quelque nouvelle tuile ? v.319 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Tout à l'heure as-tu bu du vinaigre ou de l'huile ? v.320 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- J'ai dégusté d'un vin... v.321 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Qui m'a produit l'effet d'un flot d'or et d'azur v.322 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Me passant à travers le gosier. v.323 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- À merveille ! v.323 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- N'en viderais-tu pas encore une bouteille ? v.324 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Trois ou quatre, au besoin, et sans le moindre effort. v.325 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Nous en recauserons ; mais dis-moi tout d'abord v.326 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- Si tu te sens de taille à garder le silence v.327 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Sur ce qui s'est passé ce soir en ta présence. v.328 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Si je le garderai ? Madame, en doutez-vous ? v.329 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Je suis un bon concierge, un homme simple, doux, v.330 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Et qui ne dit jamais du mal des locataires. v.331 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- J'ai déjà bien assez de mes propres affaires, v.332 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Sans me mettre à parler des affaires qu'ils ont. v.333 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Je n'aime pas, c'est vrai, le monsieur du second, v.334 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Qui m'accuse d'avoir décacheté ses lettres. v.335 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Toujours sur mon tapis à secouer ses guêtres ! v.336 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Quant aux gens du premier, je les hais : leur roquet v.337 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- A fait hier matin peur à mon perroquet. v.338 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Et la fière marquise à la lèvre pincée, v.339 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Qui tient depuis un an notre rez-de-chaussée ! v.340 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Le troisième est horrible : on y bat du tambour. v.342 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Le quatrième, affreux ! une dame y pianote, v.343 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Et c'est pendant des mois entiers la même note ! v.344 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Le cinquième, effrayant, et le sixième aussi ! v.345 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Mais je suis mille fois trop discret, Dieu merci ! v.346 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Pour conter aux voisins, ravis d'ouïr médire, v.347 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Que la marquise est laide et qu'on ne peut sans rire v.348 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- La regarder passer en se donnant des airs ; v.349 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Que monsieur Clopinel a ses petits travers, v.350 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Et que souvent, malgré sa démarche orgueilleuse, v.351 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- La grande Virginie emprunte à sa tailleuse. v.352 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Ainsi tu te tairas sur les faits de ce soir ? v.353 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- Comme un poisson. v.354 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- C'est bien. Je m'en vais. Au revoir. v.354 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
- Souviens-toi que j'aurais pu te changer en bête, v.355 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Rien qu'en touchant ton front du bout de ma baguette, v.356 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Et que si maintenant ta langue remuait, v.357 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Sans pitié, sur le coup, je te rendrais muet ! v.358 (Acte 1, scène 7, LA F?E URG?LE)
- Drelin clin clin ! v.359 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Quand c'est minuit plein, v.360 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Bonsoir, le voisin ! v.361 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- On sonne en vain ! v.362 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Dans mon gilet de flanelle v.363 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Et coiffé d'un bonnet blanc, v.364 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- À minuit, quand on m'appelle, v.365 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Je m'endors ou fais semblant. v.366 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Drelin din din ! etc. v.367 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Quelle douceur dans l'ivresse v.370 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Qui fait un concierge heureux ! v.371 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Drelin din din ! etc. v.372 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Que vois-je sur cette table ? v.373 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- J'ai des frissons clans le dos ; v.374 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- C'est, je crois, de par le diable, v.375 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Un litre de vieux bordeaux. v.376 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Drelin din din 1 etc. v.377 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Examinons l'étiquette : v.378 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Holà ! c'est du vin clairet, v.379 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Comme un concierge en goguette v.380 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- N'en boit pas au cabaret. v.381 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Drelin din clin ! etc. v.382 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- La belle couleur vermeille ! v.383 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Et comme je suis tenté ! v.384 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Je vide cette bouteille, v.385 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Drelin din din ! etc. v.387 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- Ce n'est pas étonnant qu'il n'ouvre pas la porte, v.388 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Qu'a-t-il à faire là ? v.389 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Que boit-il de la sorte ? v.389 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Ne vous dérangez pas, concierge mon ami v.390 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Il ne bouge pas plus qu'un ivrogne endormi. v.391 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Hé, portier ! Hé, bonhomme ! v.392 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Hé, portier ! Hé, bonhomme ! v.392 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- S'il dort, c'est d'un étrange somme. v.393 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Je confesse que j'ai voulu boire ce vin, v.394 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- - Qu'on m'a changé sur place en statue et qu'enfin v.395 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- - Si je détiens ce litre en attendant qu'on l'ôte, v.396 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Mesdemoiselles, j'ai grand tort ; mais, voyez-vous, v.398 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Il s'est passé des faits si merveilleux chez nous ! v.399 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Et puis, ce vin avait une couleur si nette ! v.400 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Je n'avais pas l'esprit en plein dans son assiette, v.401 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Et si je vous contais... v.402 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Quoi donc ? v.402 (Acte 1, scène 9, MAGALI, FRISETTE)
- Qui le croirait ? v.402 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- On verra bien. Parlez, et vite. v.405 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Je vous dis qu'on m'a dit qu'on me rendrait muet, v.406 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Si pour raconter ça ma langue remuait ! v.407 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Nous n'exigeons pas moins que vous parliez sur l'heure. v.408 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- On écoute toujours, concierge. v.409 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Si sur ces choses-là je desserre les dents ! v.410 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Si vous vous obstinez de la sorte à vous taire. v.412 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Moi, je cours avertir monsieur le commissaire. v.413 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Je parle. Cette nuit, v.414 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Un chat qu'un ba-ba-ba-ta-ta-illon de rats suit v.415 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Son pouvoir à Cen-Cen... Voilà que je suis bègue ! v.417 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Si je deviens muet, j'en perds-perds la raison. v.418 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Allez-vous préférer qu'on vous mette en prison ? v.419 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Ma pauvre langue ! Elle est dé-déjà moitié morte ; v.420 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Et j'ai-j'aime-me tant à m'en servir ! v.421 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Qu'importe ? v.421 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Les rats-rats, le chat-chat, le-le-né-négrillon v.422 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Est-il déjà muet ? v.423 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
- Il faut voir Cendrillon ! v.423 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- Au gala de ce soir m'ont-elles reconnue ? v.425 (Acte 1, scène 10, CENDRILLON)
- Vous ne répondez que par signes. v.426 (Acte 1, scène 10, CENDRILLON)
- Qui l'a v.426 (Acte 1, scène 10, CENDRILLON)
- Fait en si peu de temps muet comme cela ? v.427 (Acte 1, scène 10, CENDRILLON)
- Quelle nuit merveilleuse et que d'étranges choses ! v.428 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Mes pieds sur des tapis tout constellés de roses v.429 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- À deux pas de mes soeurs, en ce vaste palais ! v.430 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Et dire que le Prince, entouré de valets, v.431 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- M'a souri doucement, doucement, comme un frère ! v.432 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- J'errais dans de la joie et dans de la lumière, v.433 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Et nul n'aurait osé me demander pourquoi v.434 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- J'assistais à la fête. On attachait sur moi v.435 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- De longs regards plus vifs que la clarté des lustres. v.436 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Je voyais devant moi les fronts les plus illustres v.437 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- S'incliner. On songeait : « C'est une reine ou bien v.438 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Quelque fée. » Et j'allais, grave, ne disant rien. v.439 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Minuit sonne. Je pars, je vole, je m'essouffle v.440 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- A courir ; mais je perds en route ma pantoufle ; v.441 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Et l'horloge a déjà sonné deux fois minuit. v.442 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Tout_à_coup, rien, plus rien ! Ma voiture s'enfuit, v.443 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Maître chat disparaît, et sans fleurs, sans toilette, v.444 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Cendrillon redevient Cendrillon la pauvrette. v.445 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Dans quel coin nichais-tu ? v.446 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Quel joli sans-façon ! v.446 (Acte 1, scène 12, MAGALI)
- Es-tu restée au moins seule dans la maison, v.447 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Cette nuit, tout le temps qu'a duré notre absence ? v.448 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Ne s'est-il rien passé d'étrange en ta présence ? v.449 (Acte 1, scène 12, MAGALI)
- Vraiment ? v.450 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Il paraîtrait qu'on a, chez le Prince charmant, v.451 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- Reçu, sans savoir d'où la belle était venue, v.452 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- Une jeune princesse à la cour inconnue, v.453 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- Et que cette princesse au long voile éclatant v.454 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- Me ressemblait un peu, bien qu'elle eût l'air content. v.455 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- Elle te ressemblait ? L'histoire est adorable. v.456 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- A-t-on jamais au monde oui rien de semblable ? v.457 (Acte 1, scène 12, MAGALI)
- Petite laideron ! v.458 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Cendrillon à la cour ! v.458 (Acte 1, scène 12, MAGALI)
- Mais quel est tout ce bruit et pourquoi ce tambour ? v.459 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Qui prépare un prodige où je serai princesse ? v.461 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- Ce qu'on vient d'annoncer est la vérité même. v.495 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Puissiez-vous retrouver la soeur que vous cherchez ! v.497 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
- Et maintenant, bourgeois, manants, vous tous, sachez v.498 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Que notre bonne fée Urgèle, ma marraine, v.499 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- M'a promis le retour de la petite reine. v.500 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Elle vit, elle souffre et pleure quelque part ; v.501 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Mais malheur aux méchants, si j'arrivais trop tard v.502 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Pour sauver à jamais la pauvre chère belle ! v.503 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Un sort mauvais avait été jeté sur elle, v.504 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Et bien des fois, hélas ! ma mère me l'a dit. v.505 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Elle était au berceau, quand un affreux bandit v.506 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Vint la lui dérober par une nuit d'orage. v.507 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- On le traqua vingt jours au fond d'un bois sauvage : v.508 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Il fut cerné, saisi, lié, jugé, pendu ; v.509 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Mais notre doux trésor ne nous fut pas rendu. v.510 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- C'était pour on ne sait quelle horrible chimère v.511 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Que cet homme avait pris son enfant à ma mère. v.512 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Or, dame Urgèle vient de me dire ceci : v.513 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- « Celle qui, cette nuit, seule aura réussi v.514 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- A chausser la pantoufle au palais égarée, v.515 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Le bon prince ! v.517 (Acte 1, scène 13, MAGALI)
- De larmes. Je voudrais... v.518 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
- Voici. v.519 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Forçons un peu. Si je pouvais la mettre ? v.519 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
- Bah ! Le pied n'entre point. v.520 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Il n'entre point ? v.520 (Acte 1, scène 13, MAGALI)
- Impossible ! v.521 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Voici. v.521 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Mon pied est fait à point. v.521 (Acte 1, scène 13, MAGALI)
- Il est petit, c'est vrai ; mais, dame, il n'entre point. v.522 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Et moi, vous m'oubliez ! v.523 (Acte 1, scène 13, CENDRILLON)
- Crois-tu que l'on s'occupe v.523 (Acte 1, scène 13, MAGALI)
- De toi ? v.524 (Acte 1, scène 13, MAGALI)
- Ne vas-tu pas avec ta vieille jupe v.524 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
- Hé ! que fais-tu là-bas, v.525 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Petite, et pourquoi donc ne t'approches-tu pas ? v.526 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Page, voici mon pied. v.527 (Acte 1, scène 13, CENDRILLON)
- Comme il est mignon ! v.527 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Diantre ! v.527 (Acte 1, scène 13, UN AUTRE PAGE)
- Il n'entrera point. v.528 (Acte 1, scène 13, UNE DAME D'HONNEUR)
- Si ! v.528 (Acte 1, scène 13, DEUXIÈME DAME D'HONNEUR)
- Ma foi, je crois qu'il entre. v.528 (Acte 1, scène 13, TROISIÈME DAME D'HONNEUR)
- Il entre ! v.529 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Pourquoi suis-je à ce point oppressé ? v.529 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- La pantoufle est la sienne et le pied est chaussé ! v.530 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Vous bénit. Aimez-vous à l'ombre de son aile, v.532 (Acte 1, scène 14, LA FÉE URGÈLE)
- Et vivez. Le destin s'est pour vous accompli, v.533 (Acte 1, scène 14, LA F?E URG?LE)
- Et Cendrillon confond Frisette et Magali. v.534 (Acte 1, scène 14, LA F?E URG?LE)
- Oh ! Ce qu'elles m'ont fait souffrir, je le pardonne. v.535 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Plus on a de bonheur, plus on doit être bonne. v.536 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Je ne me souviens plus, pourvu qu'en leur chemin v.537 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Elles protègent ceux qui leur tendront la main v.538 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Et c'est si bon d'aimer quand on retrouve un frère ! v.540 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Princesse ! v.541 (Acte 1, scène 14, MAGALI, FRISETTE)
- Oh ! Nous t'aimerons bien. v.542 (Acte 1, scène 14, MAGALI)
- Et tu nous aimeras. v.542 (Acte 1, scène 14, FRISETTE)
- Ma soeur ! C'est bien ainsi que je l'avais rêvée ! v.543 (Acte 1, scène 14, LE PRINCE CHARMANT)
- Et c'est ainsi que je l'ai retrouvée ! v.544 (Acte 1, scène 14, LE PRINCE CHARMANT)
- Mon plan était parfait et je l'ai bien conduit. v.545 (Acte 1, scène 14, LA FÉE URGÈLE)
- Ah ! Que d'heureux on fait dans une seule nuit ! v.546 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Ce gaillard-là va-t-il nous faire une harangue ? v.547 (Acte 1, scène 14, LE PRINCE CHARMANT)
- Moi ? Je ne parle plus : on m'a coupé la langue. v.548 (Acte 1, scène 14, LE PORTIER)
- Mais, au fait, c'est passé : je parle maintenant. v.549 (Acte 1, scène 14, LE PORTIER)
- Nous avons oublié... v.550 (Acte 1, scène 14, LA FÉE URGÈLE)
- Magnifique ! Étonnant ! v.550 (Acte 1, scène 14, LE PORTIER)
- Garde-toi cependant de jaser et de boire v.551 (Acte 1, scène 14, LA FÉE URGÈLE)
- Aux dépens du prochain. v.552 (Acte 1, scène 14, LA F?E URG?LE)
- Prends ta part de ma gloire : v.552 (Acte 1, scène 14, LE PRINCE CHARMANT)
- Mes palais, mes trésors, tous mes biens sont à toi ! v.553 (Acte 1, scène 14, LE PRINCE CHARMANT)
- La gloire ! Ce n'est point ce qu'il me faut à moi. v.554 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Cendrillon est peu faite aux vanités du trône, v.555 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Et l'humble fleur des champs suffit à sa couronne. v.556 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Il est dans les cachots plus d'un vieux révolté v.557 (Acte 1, scène 14, LA FÉE URGÈLE)
- tous ces malheureux rendons la liberté. v.558 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
- Que toute haine soit en amour convertie ! v.559 (Acte 1, scène 14, LA FÉE URGÈLE)
- Et courons de ce pas proclamer l'amnistie. v.560 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
LA BOITE A MUSIQUE (1906)
- « À quoi bon chanter le manoir, v.1 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Ne peut même à sa vieille mère v.3 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Donner un morceau de pain noir ? » v.4 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Plus je sens que mon coeur est celui d'un poète. v.6 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- J'aurais pu mal les coudre et les estropier, v.7 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Car je les ai d'un jet couchés sur le papier. v.8 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Mais j'ai je ne sais quoi dans l'âme qui me pousse v.9 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- À trouver le mot juste, à rimer sans secousse, v.10 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Et je fais de beaux vers comme le pré fleurit. v.11 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- J'ai seize ans, de l'entrain, du toupet, de l'esprit, v.12 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Et j'irai loin. Je suis fils de monsieur le maire, v.13 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Quoique né paysan du côté de ma mère. v.14 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- On verra bien. Je veux, avant de retourner v.15 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Au collège, me faire en plein jour couronner v.16 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Au grand concours de vers qui doit cette semaine v.17 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- S'ouvrir à l'Institut de Brive-la-Garenne. v.18 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Ô Muse, inspire-moi ! Relisons-nous d'abord. v.19 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Quel est ce beau monsieur qui babille si fort ? v.20 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Ah ! mon pauvre cerveau, l'on te farcit de thèmes ! v.21 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Que c'est petit pour moi ! Je vais dans les poèmes v.22 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Comme en un bain de lait m'enfoncer jusqu'au cou v.23 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Je suis poète ! v.24 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Quoi ! Ce garçon serait fou ? v.24 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Vents qui passez, j'ai lu qu'à la voix de Pindare v.25 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Vous soupiriez jadis ainsi qu'une guitare ! v.26 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- J'ai trempé comme lui mon luth harmonieux v.27 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Dans le flot poétique où s'abreuvent les dieux : v.28 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Voyons si je saurai comme lui faire naître v.29 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Un accord dans ces bois que mon souffle pénètre ! v.30 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- « À quoi bon chanter le manoir, v.31 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Ne peut même à sa vieille mère v.33 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Donner un morceau de pain noir ? » v.34 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Une guitare ! Ô Ciel ! Ô touchante merveille ! v.35 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- En croirai-je l'écho, mes yeux et mon oreille ? v.36 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Croyez-en Noellie. v.37 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Pourquoi v.37 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- À tes pieds, devant toi, v.38 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Pardon si je m'oublie. v.39 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Virgile tutoyait... v.40 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Parlez-moi sans folie. v.40 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Depuis quand êtes-vous malade, mon ami ? v.41 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Moi ! Je n'ai jamais mieux trotté, mangé, dormi. v.42 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Vraiment ? Vous me trompez. v.43 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Pourquoi disiez-vous donc que vous êtes poète ? v.44 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je pensais que c'était un mal crue vous aviez : v.45 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- N'avais-je pas raison ? v.46 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Un mal ? oh ! vous riez ! v.46 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Je ne ris pas. Je dis qu'un jeune homme qui passe, v.47 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Menaçant du regard les oiseaux dans l'espace, v.48 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Envoyant aux ormeaux des saluts de la main, v.49 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Ayant l'air de chercher dans le ciel un chemin, v.50 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Comme s'il en rêvait la suprême escalade, v.51 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Fût-il gras comme vous, n'est qu'un simple malade. v.52 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Déesse, en quatre mots, j'ai quelque chose là v.53 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Je vous le disais bien. v.54 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Un brasier ! v.54 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- C'est logique v.55 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- N'avez-vous pas aussi quelque peu de colique ? v.56 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- De la fièvre ? v.57 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Si jeune et déjà fou ! v.59 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je suis poète ! v.60 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Alors prenez de la tisane. v.60 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Ah ! Par pitié pour moi, ne raillez pas ainsi. v.61 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Bon monsieur, je vous plains de tout mon coeur. v.62 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Merci ! v.62 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Mais, dites-moi, pourquoi vous cacher de la sorte ? v.63 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Certains auteurs latins racontent... v.64 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Peu m'importe. v.64 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Racontent qu'on a vu quelquefois sans façon v.65 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Des nymphes conseiller des poètes. v.66 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Minerve et Calypso... v.67 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Je n'ai pas l'honneur de connaître ces dames. v.68 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je suis une chanteuse errante. C'est la faim v.69 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Qui réveille ma voix : ma guitare est mon pain. v.70 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je m'en vais chaque jour de chaumière en chaumière v.71 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Gazouiller un couplet qui s'achève en prière ; v.72 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- On m'écoute, et l'on m'aime, et les petits enfants, v.73 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Gais, attachant sur moi leurs beaux yeux triomphants, v.74 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- J'ai bien souvent pleuré ; mais j'ignore la haine, v.76 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Parce que j'ai compris que l'amour est dans tout, v.77 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Et si l'on m'aime un peu, vite j'aime beaucoup. v.78 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Quand je suis seule avec mes rêves, je m'amuse v.79 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- A faire bavarder ma mémoire confuse. v.80 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je me revois alors dans de la clarté. L'air v.81 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Me donne des baisers de parfums. Le ciel clair v.82 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Contient plus d'infini qu'au pays où nous sommes. v.83 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Là les mots chantent mieux dans la langue des hommes v.84 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Mon père est un seigneur pensif dans son château, v.85 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Et je revois le lac, les vignes, le coteau. v.86 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Un très belle dame, assise à la fenêtre, v.87 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Et je songe, et mon coeur palpite. Puis, adieu v.89 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Les vignes, le château, ma mère et le lac bleu ! v.90 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Des haillons brodés d'or, des clameurs dans la foule, v.91 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Des planches que l'on dresse, une maison qui roule, v.92 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- C'est ma vie. Un matin, j'ai quatorze ans, je pars, v.93 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Rieuse, les pieds nus et les cheveux épars. v.94 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je vais, je vais toujours ; mais la route m'égare, v.95 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Et je demeure, hélas ! seule avec ma guitare. v.96 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Je vous ai tout conté pour vous distraire un peu v.97 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Dites-moi maintenant qui vous êtes. v.98 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Vous le savez fort bien. v.99 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Je suis le rossignol de ce nid de verdure ! v.100 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Vrai, je ne savions point que monsieur Bridanon v.101 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- À de simples oiseaux pouvait donner son nom. v.102 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Voilà plus de trente ans que j'avons ce bon maître, v.103 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Et, s'il est rossignol, il le fait peu paraître : v.104 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Il ne chante jamais. Raisonnons, s'il vous plaît. v.105 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Je vous ai vu petit comme un petit poulet ; v.106 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Mais, pour vous garantir de la pluie et des rhumes, v.107 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Quand donc, monsieur l'oiseau,vous poussa-t-il des plumes ? v.108 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Pauvrette, mon enfant, je ne connaissions point v.109 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Votre joli museau ; mais il est fait à point v.110 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Pour qu'on vous aime un brin, sitôt qu'on l'examine. v.111 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Il ne faut pas juger les nymphes sur la mine. v.112 (Acte 1, scène 2, NOELLIE)
- Je vous ai tous les deux écoutés en passant. v.113 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- C'était du temps perdu. v.114 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- C'était divertissant. v.114 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- Je serai couronné. v.115 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- L'idéal est un fleuve où mon être se plonge. v.116 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- En plongeant trop l'on perd la soif et l'appétit. v.117 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- Monsieur, ne plongez pas. v.118 (Acte 1, scène 2, NOELLIE)
- Que ce monde est petit ! v.118 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- Je m'en vais. v.119 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- Ma victoire s'apprête. v.119 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- C'est bien. Vous, mon enfant, croquez cette galette. v.120 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- Je m'en vais sur ce mot essayer un sonnet. v.122 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- Quel étrange étourneau que ce rossignol ! v.123 (Acte 1, scène 3, NOÉMIE)
- J'aime v.123 (Acte 1, scène 3, NOELLIE)
- À le voir prendre au vol les phrases que je sème. v.124 (Acte 1, scène 3, NOELLIE)
- Je sommes simplement une fille des champs ; v.125 (Acte 1, scène 3, NOÉMIE)
- Mais je nous connaissons dans les propos touchants, v.126 (Acte 1, scène 3, NO?MIE)
- Et je devinons ben que tout comme un vicaire v.127 (Acte 1, scène 3, NO?MIE)
- Vous nous feriez pleurer, si vous montiez en chaire. v.128 (Acte 1, scène 3, NO?MIE)
- Tenez, embrassez-moi, vous êtes un trésor. v.129 (Acte 1, scène 3, NO?MIE)
- Pour le pauvre qui souffre un baiser est de l'or. v.130 (Acte 1, scène 3, NOELLIE)
- Mais quel est ce vieillard sévère qui s'avance ? v.131 (Acte 1, scène 3, NOELLIE)
- Il a l'air de souffrir. Consolons-le. v.132 (Acte 1, scène 3, NOELLIE)
- Silence ! v.132 (Acte 1, scène 3, NOÉMIE)
- Est-ce vous qui m'avez tué dans ma maison ? v.133 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- La perte de sa fille a troublé sa raison. v.134 (Acte 1, scène 4, NOÉMIE)
- Qui donc a fait de moi, Comte_d'Artème, v.135 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Une ombre renfermant le néant de moi-même ? v.136 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je vivais, on m'a pris mon être, je suis mort, v.137 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Et sur moi maintenant il souffle un vent si fort v.138 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Que je frissonne comme un vain feuillage. v.139 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Petite. D'où viens-tu ? N'as-tu pas sur ta route v.140 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Rencontré mon bonheur ? Mon bonheur a seize ans, v.141 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Gazouille, chante, rit, jase avec les passants. v.142 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Un jour il est parti comme l'oiseau s'envole. v.143 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Comme on est peu de chose et que la vie est folle ! v.144 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Que grande est ma pitié pour ce triste vieillard ! v.146 (Acte 1, scène 4, NOELLIE)
- Ma fille ! ô souvenir ! lointain lever d'aurore ! v.147 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Elle chantait déjà, toute petite encore, v.148 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Le doux chant qui l'avait endormie au berceau. v.149 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- C'est un souffle qui passe, un cantique d'oiseau, v.150 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Dans notre harmonieux langage de Provence. v.152 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je rêve, une clarté m'effleure dans la nuit ; v.153 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- J'espère, et j'ai moins peur du spectre qui me suit, v.154 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Quand je suis seul avec le talisman sonore v.155 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Où vibre la chanson de mon Ëléonore. v.156 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Puisque nous voilà seuls, viens et répète-moi v.157 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Le refrain que mon coeur ne trouve plus qu'en toi, v.158 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Et, Remplissant d'amour, de paix et de musique, v.159 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Berce-moi lentement de ta voix mécanique ! v.160 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Éléonore ! Elle est vivante et me sourit. v.161 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je l'entends, je la vois au fond de mon esprit : v.162 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- N'est-ce pas qu'elle est là sur mes genoux assise ? v.163 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- N'est-ce pas que son souffle est pur comme la brise ? v.164 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- N'est-ce pas qu'elle est belle avec ses yeux si doux ? v.165 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Laisse mes doigts glacés caresser tes doigts roses ; v.167 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Babille ton babil, dis-moi des tas de choses. v.168 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Mais tu ne chantes plus. Dormirais-tu, bébé ? i v.169 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Ferme tes jolis yeux : de même dans ses voiles v.171 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- La plus belle des nuits peut cacher ses étoiles. v.172 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Comme toi je me tais, comme toi je m'endors. v.174 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Bravo, Monsieur_le_Comte ! Il paraît que la mousse v.175 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Est un lit où les fous sommeillent sans secousse v.176 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je suis garde champêtre et n'ai pour oreiller v.177 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Que trois pailles en croix où l'on dort pour veiller ; v.178 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Mais, soit dit franchement, je crois que j'aurais honte v.179 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- De me coucher dans l'herbe, étant Monsieur_le_Comte. v.180 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Que la terre te soit légère, ô pauvre fou ! v.181 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- iens, quelle est cette boîte ? On dirait un joujou. v.182 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Au fait, qu'est le vieux comte ? Un enfant qui s'amuse, v.183 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Et, s'il a des joujoux, sa cervelle l'excuse. v.184 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Une boîte ! À quoi donc ce ressort-là sert-il ? v.185 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Un bout d'acier qui plie, et pas plus gros qu'un fil ! v.186 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Pressons-le lentement : il faut que je m'explique... v.187 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Le diable est là dedans et fait de la musique ! v.188 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Monsieur le diable, hélas ! je viens mal à propos, v.189 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- En troublant votre paix, de troubler mon repos. v.190 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Ce ressort était là, je l'ai pressé ; j'avoue, v.191 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Que j'aurais dû ne pas prendre comme cela v.193 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Dans mes indignes mains la boîte où vous voilà. v.194 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Que vais-je devenir si votre seigneurie v.195 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Sur moi, pauvre mortel, déchaîne sa furie ? v.196 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- J'ai le plus grand respect pour Votre Majesté. v.197 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Sire diable, pardon pour ma témérité, v.198 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Dormez, et, comprenant que ma prière est juste, v.199 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Ne faites plus ce bruit dans votre boîte auguste ! v.200 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Merci, monsieur le diable ! v.201 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Oh ! Quelqu'un est ici ! v.201 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Que vous ai-je donc fait pour me dire merci ? v.202 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Quel est le souvenir qu'en mon esprit éveille v.203 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- Ce son mystérieux qui m'a frappé l'oreille ? v.204 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- A cette boîte-là fait ses dévotions. v.206 (Acte 1, scène 7, NOÉMIE)
- Je ne fais rien du tout. v.207 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Le cas n'est point pendable. v.207 (Acte 1, scène 7, NOÉMIE)
- Je consolais monsieur... v.208 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- D'être monsieur le diable. v.208 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Il m'a semblé que j'ai tout à l'heure entendu v.209 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- Vous aurez en marchant pincé votre guitare, v.211 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Sans le vouloir. v.212 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Non pas ! j'ai, je vous le déclare, v.212 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- Le sein toujours gonflé d'un sanglot étouffant, v.214 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Les fous seuls ont le droit de comprendre ces choses v.215 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Avec votre sourire où tant de grâce luit, v.217 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Qui descendrez jamais dans l'horreur de ma nuit ! v.218 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Oh ! Si j'étais la fille v.219 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- De ce vieillard volé dans sa part de famille, v.220 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- Sa raison reviendrait, son ciel serait moins noir. v.221 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
- Appelez-le papa tout de suite. Bonsoir ! v.222 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Je les observerai de là-bas. C'est probable v.223 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Qu'elles vont à leur tour faire chanter le diable. v.224 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Nous sommes seules : bon ! J'allons tirer au clair v.225 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- Pourquoi monsieur le garde a dit tant de Pater v.226 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Devant ce bijou-là. v.227 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Si c'est une amusette v.227 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Pour les vieux qu'a battus une longue tempête, v.228 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Que pouvait-il lui dire ? v.229 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Ah ! Quel ennui d'avoir v.229 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- Été si loin du comte ! On aurait pu savoir... v.230 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Vois, ne dirait-on pas qu'autour de ces figures v.231 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Quelqu'un a dans le bois tracé des écritures ? v.232 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Je devinons cela ; mais je n'entendons bien v.233 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Que les gros imprimés du vieux paroissien. v.234 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Si tu trouves, boîte gentille, v.235 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Une enfant pauvre en mon chemin, v.236 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Comme elle peut être ma fille, v.237 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Reste dans sa petite main ! v.238 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Ainsi, garde la boîte : elle est à toi, mignonne. v.239 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- Je le sens, c'est à moi que le hasard la donne ; v.240 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Et pourtant je ne sais quoi d'obscur me défend v.241 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- De la garder. J'ai peur... v.242 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Quoi ! N'es-tu pas l'enfant v.242 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- Qui s'en va sans appui, sans feu, sans pain, sans gîte ? v.243 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- N'as-tu pas, dis-le-moi, la main toute petite ? v.244 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Et cette boîte-là, ramassée en chemin, v.245 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Ne peut-elle rester dans ta petite main ? v.246 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Le hasard se conduit avec intelligence, v.247 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Et parfois le bonheur nous vient sans qu'on y pense. v.248 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- J'hésite. v.249 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- Libre à vous ! moi, je n'hésitons point. v.249 (Acte 1, scène 8, NOÉMIE)
- Je la prenons. Demain j'éclaircirons le point v.250 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- De savoir si tu dois, étant moins indécise, v.251 (Acte 1, scène 8, NO?MIE)
- Halte ! je verbalise ! v.252 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Qu'ai-je encore entendu ? v.253 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
- Quelque chien enragé vous aurait-il mordu ? v.254 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE)
- « Je soussigné .- déclare en bon garde champêtre- v.255 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Que monsieur Bridanon, notre maire, mon maître - v.256 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- M'a donné - par arrêt notifié légal ?- v.257 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- La magnanimité - d'un pouvoir intégral. - v.258 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- En foi de quoi, - devant la loi, -je certifie, v.259 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- - Sain de corps et d'esprit,-sans peur qu'on m'en défie, - v.260 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Que j'ai,'-le présent jour,-à l'heure où, fatigué, v.261 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je m'assieds un instant sur les roches du gué, v.262 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- - Surpris la Noémie - attachée audit maire, .- v.263 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Dérobant lestement, - d'une façon très claire - v.264 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- A monseigneur le comte - assoupi doucement v.265 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- - Une boîte où le diable a pris un logement : v.266 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- En présence de quoi, - le fait étant notoire, v.267 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- - J'ai, - le crayon en main, n'ayant pas d'écritoire, v.268 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Sur ledit vol patent verbalisé ceci. v.269 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je signe : Durenflé - garde champêtre ici. » v.270 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- A-t-on jamais oui des balivernes telles ! v.271 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE)
- « Je constate qu'ayant - verbalisé d'icelles - v.272 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- J'ai subi de la part de ladite - un affront v.273 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Sur lequel au palais - les lois prononceront ; v.274 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Ce de quoi je transcris le sens qui me concerne : v.275 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- A-t-on ouï jamais - pareille baliverne ! » v.276 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Vous me répétez mal, monsieur le perroquet. v.277 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE)
- Voulez-vous m'étourdir avec votre caquet ? v.278 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Je soussignée, ?- ayant pour témoin ma guitare, v.279 (Acte 1, scène 9, NOELLIE)
- - Devant ma conscience et le code, - déclare v.280 (Acte 1, scène 9, NOELLIE)
- Que le sieur Durenflé, - garde champêtre ici, v.281 (Acte 1, scène 9, NOELLIE)
- - Se sert de certains mots qui nous blessent aussi. v.282 (Acte 1, scène 9, NOELLIE)
- Ah ! comme cette enfant est rieuse et jolie ! v.283 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
- En foi de quoi, céans, je signe : Noellie. v.284 (Acte 1, scène 9, NOELLIE)
- Signez, je verbalise, ayant du moins un nom v.285 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Qui fait autorité chez monsieur Bridanon. v.286 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Décidez-vous à me rendre la boîte v.287 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Que sous ce tablier cache votre main droite. v.288 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Laissons faire l'enfant. v.289 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
- Vous êtes inhumain ! v.289 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
- Je suis garde champêtre. v.290 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Eh bien ! Passez demain ! v.290 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE et NOELLIE)
- Si Bridanon est maire v.291 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- De la localité, v.292 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- A ce titre vraiment, v.296 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je suis la providence v.297 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- De l'arrondissement. v.298 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Le fin renard Durenflé. v.304 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Il me porte v.306 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Le fin renard Durenflé. v.310 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Je n'ai rompu de lances v.311 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Les faux poids des marchands ; v.314 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je suis les bons apôtres v.315 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Qui traînent leurs paniers v.316 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Dans les vignes des autres ; v.317 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Mais j'absous les meuniers. v.318 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Au village, v.319 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- De tout temps ils ont volé ; v.321 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- L'intrépide Durenflé. v.324 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Au village, v.325 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- De tout temps ils ont volé ; v.327 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- L'intrépide Durenflé. v.330 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Aussitôt qu'on m'appelle, v.333 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Là vous voyez, ô treilles ! v.335 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Sous le grand ciel vermeil, v.336 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Au goulot des bouteilles v.337 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Se pendre le soleil. v.338 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je l'imite v.339 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Au plus vite, v.340 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Le cerveau par lui brûlé ; v.341 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Il l'imite v.345 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Au plus vite, v.346 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Le cerveau par lui brûlé ; v.347 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- D'aller jusques à Brive en quatorze minutes, v.352 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- D'y voir monsieur Trichard, un brave homme tout rond, v.353 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Président des jurés qui me couronneront, v.354 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- De lui donner ce mot et de venir sur l'heure v.355 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- M'apporter sa réponse ? On m'a dit qu'il demeure v.356 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Sur le cours. Il s'agit de mon couronnement. v.357 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Mais, il suffit. Donnez la lettre, que je vole. v.359 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Tu viens, ô Durenflé, de faire une hyperbole ! v.360 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Laisse-moi t'embrasser. v.361 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Un tout petit moment ! v.361 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- J'ai tout à l'heure ici rédigé proprement v.362 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Certain procès-verbal que vous pourrez, j'espère, v.363 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Déposer clans les mains de monsieur votre père. v.364 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Maintenant je pars comme un éclair. v.365 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Prenez garde surtout d'exposer au grand air, v.366 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- De ternir, d'effleurer d'une main peu discrète v.367 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Ce papier qui contient ma gloire de poète, v.368 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Et, comme mon succès mérite d'étonner, v.369 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- Ne dites pas enfin qu'on va me couronner. v.370 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
- De l'hirondelle v.371 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- J'ai les vertus : v.372 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Prompt et fidèle, v.373 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Des beaux esprits : v.376 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- À moi, la course ! v.377 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- À vous, le prix ! v.378 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Par Mercure ! je crois que dame Noémie v.379 (Acte 1, scène 11, GEORGES)
- Rit peu pour le quart_d_heure. Ah ! vous avez, ma mie, v.380 (Acte 1, scène 11, GEORGES)
- Plaisanté mon parler qui vous semble étonnant. v.381 (Acte 1, scène 11, GEORGES)
- Eh bien, si vous l'osez, plaisantez maintenant ! v.382 (Acte 1, scène 11, GEORGES)
- Ainsi, nous vous gardons, gentille Noellie ? v.383 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Le comte, mon époux, en vous voyant oublie v.384 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Un passé douloureux : l'oubli, c'est du bonheur. v.385 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Elle ne voudra pas attrister Monseigneur. v.386 (Acte 1, scène 12, NOÉMIE)
- Et nous prendre, en fuyant, le bonheur qu'il réclame v.387 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Je vous l'ai dit, je suis à vos genoux, madame, v.388 (Acte 1, scène 12, NOELLIE)
- Prête, pour dissiper l'ennui de votre époux, v.389 (Acte 1, scène 12, NOELLIE)
- À voir en moi sa fille, à voir ma mère en vous. v.390 (Acte 1, scène 12, NOELLIE)
- Oui, je serai ta mère, enfant. Déjà je t'aime v.391 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Ainsi qu'une moitié vivante de moi-même. v.392 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Hélas ! il t'a fallu bien souvent, n'est-ce pas ? v.394 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Subir le froid, lutter contre la faim sans doute v.395 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Et meurtrir tes pieds nus aux cailloux de la route. v.396 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Prenons vite une pose. v.397 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Oh ! se faire un grand nom ! v.397 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Oh ! La gloire ! v.398 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Tiens, tiens ! Le petit Bridanon ! v.398 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Le petit ! Le petit ! Quel outrage à ma muse ! v.399 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Je gazouillais. v.401 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Mon fils, la passion des vers v.401 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Ton père, tu le sais, est un esprit pratique v.403 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Qui voudrait te pousser dans la mathématique ; v.404 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Le commerce, voilà ce qui produit de l'or. v.405 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Toi, tu fais des chansons, puis des chansons encor. v.406 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Que rapporte cela ? Fils, je te le demande, v.407 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Est-il, sous le soleil, une gloire plus grande v.408 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Que d'avoir des écus, tout en rimant très mal ? v.409 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Va, va, nous te verrons mourir à l'hôpital. v.410 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- On a fait cette histoire à tous les grands génies. v.411 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Les nymphes, en tout cas, aiment leurs harmonies. v.412 (Acte 1, scène 12, NOELLIE)
- Mon petit, sont-ce là de tes rimes ? v.413 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Des vers à peine éclos, jetés sur cette feuille, v.415 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Dans ce riant séjour où l'esprit se recueille, v.416 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Mais qui, polis à peine, à peine endimanchés, v.417 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Dans la crainte du jour y demeurent cachés. v.418 (Acte 1, scène 12, GEORGES)
- Qu'ils soient polis à peine ou qu'ils aient l'air barbai e, v.419 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Qu'ils soient endimanchés ou non, je m'en empare ! v.420 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
- Vive monsieur le maire ! v.421 (Acte 1, scène 13, LES PAYSANS)
- Il serait très normal v.421 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Que le fait fût transcrit dans un procès-verbal, v.422 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Vive monsieur le maire ! v.423 (Acte 1, scène 13, LES PAYSANS)
- Avant de procéder aux débats de l'affaire ; v.424 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Car la légalité dans la pénalité... v.425 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Vive monsieur le maire ! v.426 (Acte 1, scène 13, LES PAYSANS)
- Est la légalité v.426 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Tout à l'heure, à Brive-la-Garenne, v.427 (Acte 1, scène 13, DEUXIEME PAYSAN)
- Durenflé m'a juré que la chose est certaine... v.428 (Acte 1, scène 13, DEUXIEME PAYSAN)
- Et que la Noémie a pris dans le gilet v.429 (Acte 1, scène 13, PREMIÈRE PAYSANNE)
- Où le diable parlait. v.430 (Acte 1, scène 13, DEUXIÈME PAYSANNE)
- Quand vous aurez fini, je causerai. v.431 (Acte 1, scène 13, NOÉMIE)
- Silence ! v.431 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Vive monsieur le maire ! v.432 (Acte 1, scène 13, PAYSANS ET PAYSANNES)
- Il est une balance... v.432 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Vive monsieur le maire ! v.433 (Acte 1, scène 13, PAYSANS ET PAYSANNES)
- Il est une balance. v.434 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- À quoi bon le troubler ? v.434 (Acte 1, scène 13, QUATRIÈME PAYSANNE)
- Il est une balance où la justice humaine... v.435 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- J'allais faire un discours : ma cravate me gêne ; v.436 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- J'ai fini. v.437 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
- Moi, je n'ai pas encore fini. v.437 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Durenflé, sois béni ! v.438 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Permettez-moi d'abord de donner cette lettre v.439 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- À monsieur Georges. v.440 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Non, lisez, garde champêtre, v.440 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Lisez tout haut, afin qu'on aj)prenne aujourd'hui v.441 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Que dans notre village un nouvel astre a lui v.442 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Et que par l'Institut de Brive-la-Garenne v.443 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Mon front est couronné de la feuille de chêne ! v.444 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- « Monsieur Georges, vos vers sont les vers d'un moutard. v.445 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Votre tout dévoué : Polydore Trichard. v.446 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Vive l'astre nouveau ! v.447 (Acte 1, scène 14, BRIDANON)
- Vive le nouvel astre ! v.447 (Acte 1, scène 14, PAYSANS ET PAYSANNES)
- Suis-je assez incompris ! v.448 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Tenez, lisez ceci qui peut-être est moins mal. v.449 (Acte 1, scène 14, MADAME BRIDANON)
- J'admire v.451 (Acte 1, scène 14, BRIDANON)
- Que nous nous regardions face à face sans rire. v.452 (Acte 1, scène 14, BRIDANON)
- Si le sort, impuissant à faire du nouveau, v.453 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
- Vous a tout comme à moi détraqué le cerveau, v.454 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
- Soyez du moins de ceux qui sont gais en famille v.455 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
- Frères, connaissez-vous la chanson de ma fille ? v.456 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
- Qu'ils t'accusaient, les fous ! d'avoir pris au bon fou. v.458 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
- Et toi, bijou sonore, v.459 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
- Redis-nous la chanson de mon Éléonore ! v.460 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
- La sonson voù pas veni, v.463 (Acte 1, scène 14, NOELLIE)
- Loti pichoun voù pas dourmi. v.464 (Acte 1, scène 14, NOELLIE)
- O ma Nono, ma fille ' v.465 (Acte 1, scène 14, NOELLIE)
- La sonson voù pas veni, v.468 (Acte 1, scène 14, NOELLIE)
- Lou pichoun voudriè dourmi. v.469 (Acte 1, scène 14, NOELLIE)
- Ô ma Nono, ma fille ! v.470 (Acte 1, scène 14, LE COMTE, LA COMTESSE)
- Nono ! Je me souviens... v.471 (Acte 1, scène 14, NOELLIE)
- Je suis un peu sa mère, v.471 (Acte 1, scène 14, MADAME BRIDANON)
- Puisque je l'allaitai, lorsque j'eus le bonheur v.472 (Acte 1, scène 14, MADAME BRIDANON)
- De vous voir en Provence ! v.473 (Acte 1, scène 14, MADAME BRIDANON)
- Et moi, je suis sa soeur ! v.473 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Je suis son maire ! v.474 (Acte 1, scène 14, BRIDANON)
- Et moi, moi, ma petite amie ? v.474 (Acte 1, scène 14, NOÉMIE)
- Ma Noémie. v.475 (Acte 1, scène 14, NOELLIE)
- Ma Nono, ton regard éveille ma raison. v.476 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
- Le diable est à la fin sorti de sa prison ; v.477 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Mais ce diable a si bien dénoué toutes choses v.478 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Qu'il est le plus charmant de tous les diables roses. v.479 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Monsieur Georges, pourquoi cette musique-là v.480 (Acte 1, scène 14, PAYSANS, PAYSANNES)
- A-t-elle donc si vite amené tout cela ? v.481 (Acte 1, scène 14, PAYSANS, PAYSANNES)
- Je vous le conterai demain. Pour le quart_d_heure, v.482 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Sachez, ô mes amis, que la gloire est un leurre, v.483 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Et qu'au moment où l'homme à peine a du pain noir, v.484 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Un poète ne doit pas « chanter le manoir » ! v.485 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
UNE NUIT DE MOLIÈRE (1879)
- Allons, Molière, allons, travaille, fais ton oeuvre ! v.3 (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- L'homme est tigre ou lion, l'homme est singe ou couleuvre : v.3 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Guerre aux bêtes qui sont dans l'homme ! Tout l'enfer v.3 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Rugit, bave et se tord sous ma plume de fer. v.4 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Bravo ! J'aime à tenir à l'étroit dans mes rimes v.5 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Les faiseurs de pathos et les faiseurs de crimes, v.6 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Le scélérat heureux et l'hypocrite vil, v.7 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et je fais volontiers danser au bout d'un fil v.8 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces pauvres pantins de chair. v.9 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Rire et souffrir ! Cacher aux hommes la blessure v.10 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qu'ils vous ont faite au coeur ! Ne la leur laisser voir v.11 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qu'à travers les ennuis des autres ! Ne pouvoir v.12 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Être qu'un mannequin qui souffre et qu'on admire ! v.13 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- N'être jamais soi-même un instant ! Faire rire v.14 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Des princes, des marquis, quand on sent en dedans v.15 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- La douleur vous ouvrir le coeur avec les dents ! v.16 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Être un Scapin fouetté sur le théâtre, à l'heure v.17 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Où l'on écoute en soi quelque chose qui pleure ! v.18 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Railler son propre deuil pour amuser des fous ! v.19 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Créer un type humain qui souffre comme vous ! v.20 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Le jeter tout vivant ensuite sur la scène, v.21 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Pour le faire accueillir par quelque rire obscène, v.22 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et pourtant être fier de le voir accueilli v.23 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Par ce rire brûlai, fait de gloire et d'oubli ! v.24 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qu'ai-je donc fait à Dieu pour avoir du génie ? v.25 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Je suis ma propre honte et ma propre ironie ! v.26 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ce livre que j'abhorre et qui pourtant m'est cher, v.27 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- C'est mon coeur répandu, c'est la chair de ma chair, v.28 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- C'est toute la douleur dont mon âme est remplie, v.29 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- C'est ma souffrance avec un bonnet de folie, v.30 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- C'est ma tristesse avec un masque grimaçant ! v.31 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ces feuillets à mes doigts devraient laisser du sang v.32 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Lorsque ma main les touche. Ah ! Comme ils sont Molière ! v.33 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Alceste a comme moi l'humeur fantasque et fière ; v.34 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Mais la Cour me fait peur, quelquefois je suis las, v.35 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et j'ai fait de Tartuffe un hypocrite, hélas ! v.36 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Comme ils pèsent sur moi ces courtisans infâmes, v.37 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui font de grands saluts et qui ne veulent pas v.39 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qu'on leur dise tout haut ce qu'on pense tout bas ! v.40 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Palsambleu ! Je les hais d'une robuste haine, v.41 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces serpents ayant une figure humaine, v.42 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces jolis galants au corsage élancé, v.43 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui mettent leur esprit dans un jabot plissé, v.44 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces bruyants faiseurs de choses ridicules, v.45 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces nains chamarrés, plus fiers que des Hercules, v.46 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces fats qu'au théâtre on voit aux premiers bancs v.47 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- S'abattre chaque soir dans des flots de rubans, v.48 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces petits vieillards, familiers des coulisses, v.49 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui de leurs billets doux poursuivent les actrices, v.50 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces beaux soupirants qui font par un valet v.51 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et qui, stupidement enfoncés dans leur boue, v.53 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ne s'aperçoivent pas que Molière les joue ! v.54 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ô misère ! Ils sont là, riant affreusement, v.55 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Avant le deuxième acte, un pauvre Sganarelle v.57 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui ne demanderait qu'à pouvoir croire en elle, v.58 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et pourtant, ô douleur ! Sganarelle, c'est moi ! v.59 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Pourquoi ne pas m'aimer, moi qui n'aime que toi ? v.60 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Pourquoi ne pas vouloir être, ô coquette Armande, v.61 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- La femme du devoir, l'épouse fière et grande v.62 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui sourit au poète en lui tendant la main ? v.63 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- L'amour ne peut-il pas persister dans l'hymen ? v.64 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Une femme qu'on aime et qu'on défend sans cesse v.65 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ne peut-elle pas être une douce maitresse ? v.66 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et ne peut-on l'aimer, sans craindre quelque affront ? v.67 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui sait ? Peut-être un jour les hommes se diront, v.68 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- En détournant les yeux de mon oeuvre immortelle : v.69 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- « Ce Molière, après tout, n'était qu'un Sganarelle ! » v.70 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- J'ai bien souffert, ce soir. Que fait-elle à présent ? v.71 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ce marquis lui contait des fadeurs en passant, v.72 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Je sentais tout mon sang me monter à la face, v.73 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Les dames autour d'eux se parlaient à voix basse, v.74 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Je causais, je riais, n'osant pas laisser voir v.75 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Mon ridicule ennui. J'ai bien souffert ce soir ! v.76 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ô peuple de Paris, ô grand peuple qui m'aimes, v.77 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Toi qui comprends si bien mes angoisses suprêmes v.78 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Chaque fois que je l'ouvre un côté de mon coeur, v.79 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ô peuple fraternel, si doucement moqueur, v.80 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ô toi qui m'applaudis avec un saint délire, v.81 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Viens voir pleurer Molière, après l'avoir vu rire ! v.82 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Que me veut celle voix ? J'ai déjà trop souffert. v.98 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Que t'importent les maux, si ton malheur te sert ? v.99 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Le bonheur est du moins au fond de l'espérance. v.100 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Puisqu'un grand nom s'achète au prix de la souffrance, v.101 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Que n'ai-je eu le destin d'un mortel ignoré ! v.102 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Tu le mens à toi-même, ô poète inspiré ! v.103 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Vous êtes tous pétris dans une même argile ; v.104 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Vous redoutez la mort, vous craignez l'inconnu, v.105 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Vous êtes stupéfaits devant un glaive nu v.106 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et votre coeur est faible autant qu'il est fragile ; v.107 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Mais, vous le mettriez de vos mains en lambeaux, v.108 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Vous boiriez votre sang, le sang pur de vos veines, v.109 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Afin de conquérir dans les luttes humaines v.110 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- L'inutile laurier qui croît sur les tombeaux. v.111 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Qui donc es-tu pour lire au fond de ma pensée v.112 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Comme en un livre ouvert qu'on mettrait sous les yeux ? v.113 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- De quel droit comprends-tu que mon âme est blessée ? v.114 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Ami, je suis la Muse et j'arrive des cieux. v.115 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- C'est moi qui recueillis ta première caresse ! v.116 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- C'est moi qui fus plus tard la première maîtresse v.117 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Lorsque ton coeur battit sans deviner pourquoi ! v.118 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Celle qui consola la première tristesse, v.119 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Ô poète oublieux, ce fut encore moi ! v.120 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'enseignai le monde et je le fis connaître v.121 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'appris à chanter les douleurs de ton être ; v.122 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'appris à pousser de lyriques sanglots. v.123 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu n'étais qu'un enfant ignoré de l'envie, v.124 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Un rêveur qui s'assied aux bornes du chemin : v.125 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je me penchai sur toi, je te pris par la main v.126 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et j'ouvris dans ton sein la source de la vie. v.127 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Elle jaillit avec des clameurs de torrent v.128 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Jusque sur les pieds nus meurtris par les épines : v.129 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Quand tu te fus lavé dans ses ondes divines, v.130 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Pendant que tu rêvais, je tendis sur la lyre v.132 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- La sombre corde humaine où vibrent les douleurs. v.133 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- La nature n'était qu'un immense sourire ; v.134 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Le vent portail au ciel l'âme errante des fleurs. v.135 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je te reconnais trop, ô Muse impitoyable ! v.136 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- C'est toi qui pour toi-même aux Dieux m'as immolé. v.137 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- J'ai fait encore plus, poète : j'ai foulé v.138 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tes chimères d'amour comme des grains de sable ; v.139 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'ai montré le masque et la réalité ; v.140 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'ai fait dépenser une infertile sève ; v.141 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Dans le gouffre éternel j'ai moi-même jeté v.142 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- La clé d'or qui t'ouvrait les portes d'or du rêve. v.143 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu m'as désespéré, tu m'as vêtu de deuil. v.144 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- J'ai fait encore plus : j'ai soulevé la haine v.145 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Autour de ton génie et de ton noble orgueil. v.146 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Que suis-je sous ton souffle ? Un peu de cendre humaine. v.147 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Si tu n'avais été qu'un vulgaire passant, v.148 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu te serais courbé sous le vent de mon aile v.149 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Sans même avoir compris que je suis grande et belle. v.150 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu ne m'aurais pas fait pleurer des pleurs de sang ! v.151 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Si tu n'avais été que ce passant stupide, v.152 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu douterais des Dieux, de ta mère et de toi. v.153 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Si le bonheur existe et si tout n'est pas vide, v.154 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Le souvenir du moins devrait s'éteindre en moi. v.155 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Oublier et souffrir, c'est espérer sans croire, v.156 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- C'est couper la racine aux dépens des rameaux. v.157 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu ne m'as rien appris. v.158 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- J'ai fécondé tes maux. v.158 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Tu ne m'as rien donné, v.159 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Je t'ai donné la gloire. v.159 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- La gloire n'est qu'un nom écrit sur un linceul. v.160 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- La gloire est le lever d'une étoile dans l'homme. v.161 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Eh ! Que m'importe à moi que mon siècle me nomme, v.162 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Si je suis malheureux, si je suis triste et seul ? v.163 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Lorsque sous le pressoir on met les grappes mûres, v.164 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Le vin, le vin sacré coule en sillons vermeils, v.165 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Ô poète, la gloire et le vin sont pareils ! v.167 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Ils versent tous les deux l'ivresse aux créatures ; v.168 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Ils sont nés tous les deux du baiser des soleils. v.169 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je ne veux pas connaître une nouvelle ivresse : v.170 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- J'ai déjà trop connu l'ivresse de l'amour. v.171 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Pourquoi de ton amour souffrirais-tu sans cesse ? v.172 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- L'espoir est éternel, les regrets n'ont qu'un jour. v.173 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Cette femme, vois-tu, je l'aime ! Elle est si belle v.174 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Que pour un seul regard, pour un sourire d'elle, v.175 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- J'effeuillerais au vent mon immortalité. v.176 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Lorsque je sais le mieux qu'elle m'est infidèle, v.177 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Tout me défend de croire à la réalité. v.178 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Laisse parler ton coeur, sublime Sganarelle ! v.179 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Elle n'était encor qu'une rieuse enfant, v.180 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Un oiseau qui gazouille au lever de l'aurore, v.181 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Une petite fée au rire triomphant, v.182 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Quand elle m'inspira l'amour qui me dévore. v.183 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Je mis toute ma gloire, hélas ! à ses genoux : v.184 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Je crus lire en ses yeux qu'elle était simple et bonne ; v.185 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Mais, elle me donna son coeur comme une aumône : v.186 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Elle ne m'aima plus quand je fus son époux. v.187 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Je travaillais, courbé sur mon oeuvre éternelle : v.188 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Elle ne comprit pas l'angoisse de mes nuits, v.189 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Mon sévère idéal, mes tragiques ennuis, v.190 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Et les rôles plus doux que j'écrivais pour elle. v.191 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Qu'au triomphe bruyant des femmes de théâtre, v.193 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Qui me vola ma part de bonheur et d'amour, v.195 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Quelque fou qui portait le feutre sur l'oreille, v.196 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Un pourpoint de velours, un jabot tuyauté, v.197 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Quelque marquis bavard, quelque duc éventé, v.198 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Quelque fat que mes vers avaient fouetté la veille ! v.199 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Je les maudis tous deux, et je l'aime pourtant, v.200 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Et je suis attiré vers sa beauté suprême. v.201 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- À quoi bon évoquer l'avenir éclatant ? v.202 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Ô Muse, tu vois bien que je souffre et que j'aime ! v.203 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Tu vois bien que mon coeur ne s'est jamais fermé, v.204 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Que l'amour de la gloire en entrant dans mon âme v.205 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Et qu'il est bien cruel d'aimer sans être aimé ! v.207 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Ne désespère pas. La Muse t'est fidèle : v.208 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je suis ta grande amante et j'arrive à mon tour. v.209 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- La femme qui n'a pas compris ton noble amour v.210 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Est indigne des pleurs que lu verses pour elle. v.211 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Elle eût été sublime en s'immolant à toi v.212 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Mais, le génie humain est fils de Prométhée : v.214 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Elle n'a pu t'aimer qu'en t'immolant à moi ! v.215 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Puisque mon triste coeur n'a plus le droit de croire, v.216 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Puisque de cet amour je suis déshérité, v.217 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Muse, raconte-moi quelle sera ma gloire v.218 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Sous les lointains soleils de la postérité ! v.219 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Muse, soulève un peu pour moi les sombres voiles v.220 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Qui cachent l'avenir et les décrets du sort ! v.221 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Ta gloire éblouissante ira jusqu'aux étoiles v.222 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Quand on t'aura couché dans la paix de la mort. v.223 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Les pleurs mal déguisés sous ta verve comique, v.224 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- On les recueillera comme des diamants, v.225 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et tous retrouveront dans ton rire tragique v.226 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Aux yeux des fiers penseurs sur ton oeuvre inclinés, v.229 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et les comédiens couronneront ton buste v.230 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Dans le recueillement des peuples prosternés. v.231 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Des poètes viendront, des poètes sublimes ! v.232 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- André_Chénier, enfant d'Athènes et de Paris, v.233 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Fera claquer son fouet dans la clameur des rimes, v.234 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Après avoir chanté l'aube et les prés fleuris v.235 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- La Muse au profil grec, la belle Muse antique v.236 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Lui dictera le chant doux et mélancolique, v.237 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Chanté par le captif à l'ombre des barreaux, v.238 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et debout dans les plis de sa blanche tunique, v.239 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Elle ne se taira que devant les bourreaux. v.240 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Pour dire à son pays ses colères hautaines, v.241 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Byron découpera les fibres de son coeur v.242 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et sur son luth puissant, implacable et moqueur, v.243 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Il les fera vibrer comme des voix humaines. v.244 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Schiller déchaînera les brigands sur les monts. v.245 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Goethe, mêlant l'aurore et la nuit dans on livre v.246 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Fera flotter sur Faust, étonner de revivre, v.247 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- L'amour de Marguerite et l'aile des démons. v.248 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Lamartine, aux accords d'une vivante lyre, v.249 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Ira sur les lacs bleus chanter le nom d'ELvire v.250 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Éveilleront au loin de longs cris d'espérance, v.252 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Les rames dans la nuit frapperont en cadence v.253 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Léopardi mourra, pleurant pour l'Italie. v.255 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et de quel vin amer sa coupe était remplie, v.257 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Alors qu'il souriait pour leur cacher ses pleurs. v.258 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Victor_Hugo fera dans sa strophe superbe v.259 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Murmurer les ruisseaux et gazouiller les nids ; v.260 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Les roses, les sillons, les forêts, les brins d'herbe, v.261 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Les astres, tout vivra dans ses vers infinis. v.262 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Il chantera la grâce auguste de la femme, v.263 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- La tombe et le berceau, la pourpre et les haillons ; v.264 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Il aura sous ses pieds ces quatre fiers lions : v.265 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- L'Histoire et le Roman, l'Épopée et le Drame. v.266 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Il interprétera l'énigme de la mort v.267 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et pendant soixante ans, pâle visionnaire, v.268 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Il sera, sous le ciel où le châtiment dort, v.269 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Le forgeron des dieux dans l'antre du tonnerre. v.270 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Eh bien ! Laisse ton coeur, ton pauvre coeur souffrant, v.271 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Battre au moins pour la gloire, ô Molière, ô poète ! v.272 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Pleure, si tu le veux, mais relève la tête ; v.273 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Muse, lu m'as rendu une divine espérance ! v.275 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Je ne veux plus savoir si j'ai souffert ou non. v.276 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Je te le disais bien : la gloire n'est qu'un nom ; v.277 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Mais, ce nom est aussi le nom de la souffrance. v.278 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- J'accepte mon destin, tel que l'ont fait les dieux. v.279 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Frappe, frappe, ô douleur ! Je fermerai les yeux, v.280 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Je ne me plaindrai pas, pourvu que sur ma tombe v.281 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Un beau laurier se lève, un peu de gloire tombe ! v.282 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Poète, prends la plume et travaille ! Ma main, v.283 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- En tendant cette plume à ta main créatrice, v.284 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- A sur elle le poids de tout le genre humain v.285 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Et tient en quelque sorte un morceau de justice. v.286 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Sers toi d'elle au milieu des hommes, sans effroi, v.287 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Regarde : on la dirait dans du soleil trempée ! v.289 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Regarde : on la dirait vivante comme toi ! v.290 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je la prends de la main comme une arme bénie. v.291 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Et maintenant debout ! Fais parler ton génie, v.292 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Retourne à ton théâtre, ô sublime railleur ! v.293 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'ai sacré poète au nom de la douleur ! v.294 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Allons, Molière, allons, recommence ta tâche, v.295 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Reprends le fil doré de tes pantins vivants, v.296 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Flagelle de nouveau, sans pitié, sans relâche, v.297 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Tes faux dévots, tes faux marquis, tes faux savants ! v.298 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
LA MAISON DES DIMANCHES (1906)
- Ah ! Comme l'on dédaigne avec peu de raison v.1 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Les aimables loisirs d'un gardien de prison ! v.2 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- C'est par le dehors seul, dans le siècle où nous sommes, v.3 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Parce que ce château, vieux débris du passé, v.5 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- A l'air sauvage et dur derrière son fossé, v.6 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Parce qu'il a des tours où le hibou se pose, v.7 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Il faut, bon gré, mal gré, que je sois très morose, v.8 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Qu'ils sont naïfs ceux-là qui croient qu'une bouteille v.11 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Contient moins de trésors dans sa panse vermeille, v.12 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Noir comme ses corbeaux, triste comme la mort ! v.14 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Viens ici, ma mignonne, et laissons dire. v.15 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Diable ! v.15 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- S'il est vrai que chacun doive aimer son semblable, v.16 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Cet amour du prochain dont on rit aujourd'hui v.17 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Doit au moins se prouver en trinquant avec lui. v.18 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Sentinelle, approchez ! v.19 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Et cornet à pistons ! v.20 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- J'ai là d'un vin exquis. v.21 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Un vin délicieux ! v.22 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Faites encore un pas, v.22 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
- Et je fais feu. v.23 (Acte 1, scène 1, REN?)
- Vraiment ? v.23 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Quand il est au port d'arme, v.23 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
- Un soldat ne boit pas : je vais donner l'alarme ! v.24 (Acte 1, scène 1, REN?)
- Voilà comme on accueille un vin de quarante ans, v.25 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Qui ressusciterait un mort des anciens temps v.26 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Et ferait en plein air tituber son squelette ! v.27 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Ah ! si mon fils René, qui, sur un coup de tête, v.28 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Pour un rien, pour un mot, est allé, pauvre oison, v.29 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- S'enfermer loin de nous dans une garnison, v.30 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Se trouvait comme vous là, dans cette guérite, v.31 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Certes de ma bouteille il s'approcherait vite. v.32 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- C'est un brave garçon, très joyeux, bien tourné, v.34 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Qui doit faire à cette heure un parfait militaire... v.35 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Quand il est au port d'arme, un soldat doit se taire. v.36 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
- Voilà le refrain revenu ! v.37 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Ainsi, mon cher ami, vous n'avez pas connu. v.38 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Dites encore un mot, et je fais feu. v.39 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
- Allons boire tout seul. C'est qu'il le ferait comme v.40 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Il le dit. v.41 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Mon bon père ! Il n'a pas soupçonné v.41 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
- Et que, muet, drapé dans ma capote grise, v.43 (Acte 1, scène 1, REN?)
- Je ménage à son coeur la plus douce surprise. v.44 (Acte 1, scène 1, REN?)
- Ce vin dans mon gosier glisse comme un velours ; v.45 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Mais j'ai beau m'étourdir, je me souviens toujours v.46 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- La fuite de René rend mes gaîtés moins franches. v.47 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
- Je reviens habiter ma maison des dimanches : v.48 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Bonjour, Fanny ! QuoLJ de si grand malin ? v.49 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- On est si bien ici, bon papa Valentin ! v.50 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- C'est parfait : nous savons que tu chantes comme une v.75 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Fauvette chante au bois, la nuit, au clair de lune ; v.76 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Mais tu n'as pas encore à mes yeux étalé v.77 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Un ordre un peu précis de la mettre sous clé... v.78 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Un ordre ? Le voilà. Le parquet est bonhomme : v.79 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- J'arrive, je lui dis de quel nom je me nomme, v.80 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Que je suis une enfant sans mère, qu'il fait froid, v.81 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Que les vents de novembre ont emporté le toit v.82 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- De feuillages mouvants où, sans gêner personne, v.83 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Je m'endors dans le mois où le ciel bleu rayonne ; v.84 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Et le parquet, sachant que l'on est bien chez vous, v.85 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Me donne un logement derrière vos verrous. v.86 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Cet aimable parquet ! v.87 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Les grilles, je me plais avoir lever l'aurore v.88 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- D'être heureux ici-bas. Moi, je dis ma chanson, v.90 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Non quand je cours les bois, mais quand je suis en cage v.91 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- On prétend au village v.92 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Que j'ai l'esprit troublé, que je devrais rougir. v.93 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Rougir ? Rougir de quoi ? Faites-moi le plaisir v.94 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- De me dire pourquoi je devrais rougir d'être v.95 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Couchée en un bon lit, les pieds chauds, la fenêtre v.96 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Bien close, entre ces murs d'un château fort très vieux, v.97 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Fanny n'est plus ! je suis marquise et châtelaine ; v.99 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Un petit page tient ma pelote de laine ; v.100 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Un troubadour pensif erre sous mon balcon ; v.101 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Des chevaliers, portant sur la dextre un faucon, v.102 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Bardés de fer, les yeux sur une panoplie, v.103 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Commentent le blason de ma race, et j'oublie v.104 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Ma petite maison sans foyer et sans toit v.105 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Qu'un enfant de dix ans renverserait du doigt. v.106 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Es-tu spirituelle et folle ! v.107 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Un conseil, sire : v.107 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Oh ! trouvez moins d'esprit à mes éclats de rire, v.108 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Ébahissez-vous moins devant mes troubadours ; v.109 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Sire, ouvrez moins l'oreille à mes méchants discours, v.110 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Croyez moins à mon coeur, conseiller de ma tête, v.111 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Et faites-moi plus vite embrasser Henriette ! v.112 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- La voici juste avec madame Valentin : v.113 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Je te quitte. v.114 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Le temps est très beau ce matin : v.114 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Je vous quitte, madame. v.115 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Le service avant tout. v.116 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- C'est lui qui me réclame ; v.116 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Mais je reviens, prenant mes jambes à mon cou, v.117 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Une fois votre nom sur mon cahier d'écrou. v.118 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Allez. Je glisserai quatre mots à la reine, v.119 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Mes respects, châtelaine. v.120 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Tu reviens donc nous voir ? v.121 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Je m'ennuyais, j'ai pris mes hardes, et bonsoir ! v.122 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Jamais le même nid, toujours une autre branche ! v.123 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- On aime à visiter sa maison du dimanche ! v.124 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- À cause des bons coeurs qui l'habitent. v.125 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Merci. v.125 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Mais on va l'étouffer à l'embrasser ainsi ! v.126 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
- Est-ce toi, mon frère ? v.127 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Présent, mon colonel ! Donne ta main, la mère ; v.128 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
- Rapproche-toi, la soeur : tout est-il ordonné ? v.129 (Acte 1, scène 3, REN?)
- Tout va bien. v.130 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- N'a-t-il pas un instant soupçonné v.130 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
- Que vous allez ce soir couronner notre ligue v.131 (Acte 1, scène 3, REN?)
- En tuant le veau gras pour son enfant prodigue ? v.132 (Acte 1, scène 3, REN?)
- Il ne s'attend à rien. v.133 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Chut ! ma foi, v.133 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Puisque chacun dit : chut ! je ne vois pas pourquoi v.134 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Je ne dirais pas : chut ! v.135 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Je hais les gens maussades. v.136 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Rions donc. v.161 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Rions donc. v.161 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Oui, mais n'oublions pas v.161 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Notre petit complot : le temps marche à grands pas, v.162 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Et bientôt sonnera l'heure douce à notre âme... v.163 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Bon ! j'allais oublier que nous jouons un drame ! v.164 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Vos airs mystérieux me donnent le frisson : v.165 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Est-ce sur le poignard, la corde ou le poison v.166 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Que nous allons jurer ? Faut-il, comme au théâtre, v.167 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Conspirer, déclamer, rugir, tonner, se battre ? v.168 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Me voilà. v.169 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Messeigneurs, mon épée est à vous ! v.169 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Je descends de don Ruy Badilva que les loups v.170 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- D'Aragon saluaient de hurlements funèbres. v.171 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Notre blason rayonne au milieu des ténèbres. v.172 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Mon bisaïeul prenait par les cornes un boeuf v.173 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Et, l'ayant assommé, l'avalait comme un oeuf. v.174 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- J'eus pour ancêtre Hernan, qui fut un Grand d'Espagne, v.175 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Épervier dans la plaine, aigle sur la montagne, v.176 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Et dont le bras dompta trente rébellions. v.177 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Mon aïeule Armanda faisait par des lions v.178 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Traîner son char d'airain. Voici notre devise : v.179 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- « Je vise qui m'atteint, et j'atteins qui me vise ! » v.180 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Les rois autorisaient mes aïeux à s'asseoir v.181 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Sur les marches du trône ; et c'est pourquoi, ce soir, v.182 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- À l'heure où le sorcier pâlit sur son grimoire, v.183 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- On verra des éclairs luire dans l'ombre noire ! v.184 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Puisqu'on s'est de plain-pied v.185 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Introduit dans le drame, écoutez, comme il sied, v.186 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Et laissez-nous ici. C'est notre bon plaisir. v.189 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Allons nous préparer : ton père va venir*. v.190 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Mais pendant ce temps-là, qui montera ma garde ? v.191 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
- Adieu, la babillarde ! v.192 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
- Dis-moi, chère Fanny, me reconnaîtrais-tu, v.193 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Une fois ce manteau sur mon front rabattu ? v.194 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Moi ? Pas le moins du monde ! Aurais-tu le caprice v.195 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- De prendre ce manteau pour aide et pour complice ? v.196 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Oh ! c'est merveilleux ! Vois, ces plis raides et longs v.197 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Tombent comme à dessein jusque sur mes talons ; v.198 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Puis, il est d'une ampleur à m'envelopper toute : v.199 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Je monterai la garde, et l'on n'y verra goutte. v.200 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Il faut bien que mon père, en retournant ici, v.201 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Trouve sa sentinelle et n'en ait plus souci. v.202 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Eh quoi ! c'est sans fusil, monsieur le militaire, v.203 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Est-il bien nécessaire v.204 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- De porter un fusil ? v.205 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Vous dites ? Palsambleu ! v.205 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Prenez-moi ça, troupier. v.206 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- S'il allait faire feu ! v.206 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- S'il allait éclater ! v.207 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Au port d'arme, mignonne ! v.207 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- M'y voilà. v.208 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Je te trouve un faux air de Bellone. v.208 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Ce fusil ! v.209 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Allons donc ! chante pour t'aguerrir. v.209 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Quand on sert son pays, il faut vaincre ou mourir. v.210 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Eh bien ! cette chanson t'a-t-elle mis dans l'âme v.235 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Qui nous fait sans pâlir, sans nous épouvanter, v.237 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Embrasser un fusil qui pourrait éclater ? v.238 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Ma foi, je suis guerrière autant qu'on le peut être, v.239 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Voyant que mon fusil commence à me connaître. v.240 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Parlons alors sans crainte, ouvrons-nous notre coeur. v.241 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Moi, je prends, pour t'entendre, un petit air vainqueur ! v.242 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Toi seule sais ici quel devoir me ramène v.243 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Dans cette forteresse, après chaque semaine. v.244 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Un soir, une étrangère et sa fille arrivant v.245 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- On n'a jamais su d'où, par la pluie et le vent, v.246 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Hors d'haleine, encor loin des maisons de la ville, v.247 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- À ces pauvres vieux murs demandèrent asile. v.248 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Ce château n'était pas encore une prison, v.249 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Et ses libres créneaux, tapissés de gazon, v.250 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Laissaient circuler l'air et flotter la lumière. v.251 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- La fille avait six ans ; la mère était ma mère. v.252 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- L'orage qui grondait, terrible, autour de nous, v.253 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Me faisait chanceler d'effroi sur mes genoux ; v.254 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Nous fûmes nous blottir dans une cour déserte, v.255 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Tremblantes, au hasard, sur un lit d'herbe verte. v.256 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Là je vis tout_à_coup ma mère s'affaiblir, v.257 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Sa tête s'incliner, son visage pâlir ; v.258 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Je pris la fuite, ayant senti frissonner l'aile v.259 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- De la mort qui planait, prête à fondre sur elle. v.260 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Hélas ! quand je revins, son front était glacé ; v.261 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Mais elle put me dire : « Enfant, j'ai déposé v.262 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Un souvenir de moi dans ces murs en ruines ; v.263 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Comme il pèserait trop à tes mains enfantines, v.264 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Tu reviendras le prendre un jour, quand tu seras v.265 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Grande comme ta mère et que tes petits bras v.266 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Seront plus forts. Je sens qu'il faut que je m'en aille, v.267 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Je me meurs... » Et, du doigt me montrant la muraille, v.268 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Elle expira. v.269 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Mon_Dieu ! comme tu dois avoir v.269 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- L'âme triste en ces lieux ! v.270 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- J'accomplis un devoir ; v.270 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Et puis, même en contant leur infortune amère, v.271 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Les enfants sont heureux, s'ils parlent de leur mère. v.272 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- J'ai vécu bien longtemps loin de ces affreux murs ; v.273 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Mais les champs les plus beaux et les cieux les plus purs v.274 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- N'ont pas fait à l'enfant que son destin emporte v.275 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Oublier ce château plein de sa mère morte, v.276 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Et malgré ma jeunesse et malgré mon orgueil, v.277 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- J'en ai fait ma prison pour en franchir le seuil v.278 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Et pour trouver enfin à travers ces ruines v.279 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Ce souvenir trop lourd à mes mains enfantines. v.280 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Séparons-nous. J'entends un bruit de pas. v.281 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Serez-vous sans pitié pour un entrepreneur ? v.282 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Hé ! Monsieur Rognelard ! Vous me fendez la tête. v.283 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Hé ! Monsieur le docteur ! Je suis un homme honnête, v.284 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Et vous me dépouillez. v.285 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Moi, monsieur ? c'est trop fort ! v.285 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Cette enfant est malade et chétive... v.286 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Il lui faut de bons soins. v.287 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Mais, docteur, je vous jure v.287 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Que j'ai fait un contrat de dupe. v.288 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Nourriture, v.288 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Chaussures, vêtements... Vous n'entendez donc rien v.289 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Aux affaires, Monsieur ? v.290 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Je les entends très bien. v.290 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Ainsi, vous laisserez figurer sur vos livres v.291 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Ces deux oeufs à la coque et ce pain de trois livres ? v.292 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Mais ! v.293 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Vous me ruinez ! v.293 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Quand vous aurez fini ! v.293 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Et tout cela, grands dieux, pour leur chère Fanny ! v.294 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Eh quoi ! Votre colère à mon sujet s'allume ? v.295 (Acte 1, scène 5, FANNY)
- Ô falsificateur patenté du légume ! v.296 (Acte 1, scène 5, HENRIETTE)
- J'inscris un oeuf de plus. v.297 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
- Monsieur, figurez-vous... v.298 (Acte 1, scène 5, FANNY)
- Silence dans les rangs, monsieur le militaire ! v.299 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Quand il est au port d'arme, un soldat doit se taire. v.300 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Fus nous tissiez, monsir, que fus afres ici v.301 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Te crands andiguidés ? v.302 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Vo avoir dit aussi v.302 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ANGLAIS)
- Montrer le cage-fer du cardinal Balue ? v.303 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ANGLAIS)
- Tous ces gens ne voient pas même qu'on les salue. v.304 (Acte 1, scène 6, FANNY)
- Moi che temante à foir Tiane te Boidiers. v.305 (Acte 1, scène 6, LA VISITEUSE ALLEMANDE)
- Vo avoir, paraît-il, un bannière-métiers ? v.306 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ANGLAIS)
- Moa vouloir toucher la tête v.308 (Acte 1, scène 6, LA VISITEUSE ANGLAISE)
- De Cinq-Mars ! v.309 (Acte 1, scène 6, LA VISITEUSE ANGLAISE)
- Les gefeux tu gefelu Glofis ! v.309 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Le rassoir t'Olifier le Taim ! v.310 (Acte 1, scène 6, LA VISITEUSE ALLEMANDE)
- Le flor da lis v.310 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ITALIEN)
- Del drapel d'Henri quatre ! v.311 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ITALIEN)
- Allez-fus bas nous tire v.311 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Guelgue chosse, monsir ? v.312 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Ah ! Nous allons bien rire ! v.312 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Tides-nous guelgue chosse. v.313 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Ici, sous ces vieux murs, des siècles sont debout, v.314 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Et vous frissonnerez, quand vous saurez l'histoire v.315 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Fraiment ? v.316 (Acte 1, scène 6, LA VISITEUSE ALLEMANDE)
- Je finis par y croire ! v.316 (Acte 1, scène 6, FINOT)
- Mais, pour la lire à livre ouvert, pour pénétrer v.317 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Dans l'horreur d'un seul coup, c'est là qu'il faut entrer ! v.318 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- C'est oune histoire horrible. v.319 (Acte 1, scène 7, LE VISITEUR ITALIEN)
- Il a promis à nous une chose terrible. v.320 (Acte 1, scène 7, LA VISITEUSE ANGLAISE)
- C'est drès tiferdissant. v.321 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Mais où donc est ma fille ? v.322 (Acte 1, scène 7, MADAME VALENTIN)
- Henriette ! v.322 (Acte 1, scène 7, RENÉ)
- La chose les intrigue. v.323 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Mesdames et messieurs, je fus l'enfant prodigue : v.324 (Acte 1, scène 7, RENÉ)
- Je reviens au foyer, et nous sommes heureux ! v.325 (Acte 1, scène 7, REN?)
- Monsieur, on vous l'eût fait visiter à votre aise v.327 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Quand vous parliez moins bien notre langue française. v.328 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Pincé ! v.329 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Mais pourquoi donc nous avez-vous... v.329 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Pour rien. v.329 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Ce château fort et moi nous nous connaissons bien, v.330 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Et je puis arracher son couvercle de pierre v.331 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Au moindre des secrets qu'il cache à la lumière. v.332 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Quand j'étais tout gamin, j'y venais très souvent v.333 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Interroger l'écho dans les rumeurs du vent ; v.334 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- J'avais une complice, et la petite Berthe v.335 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Partageait avec moi la moindre découverte v.336 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Un jour elle partit. v.337 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Je ne l'ai plus revue : on était si petit ! v.338 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Tout est ici pour moi sujet à rêverie. v.339 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Je vous en prie. v.340 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Eh bien ! ce mur s'ouvre à discrétion. v.341 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Ô ma mère ! J'ai peur, je tremble... v.342 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Attention ! v.342 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- C'était là ! C'était là ! v.343 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- L'histoire est complète : v.343 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Qui donc a fourré là cette étrange cassette ? v.344 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- « Ma fille, ma Fanny, je confie à ces murs v.345 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Cette cassette : ils sont inébranlables, sûrs, v.346 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Dévoués, ayant vu sourire mon enfance. v.347 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- J'ai, ton père étant mort, voulu revoir la France, v.348 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Et j'expire a deux pas de mon pays natal. v.349 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Sois bonne, fais le bien, plains ceux qui font le mal. v.350 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Mon frère Valentin, s'il vit, t'aimera certes v.351 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Comme sa fille. Adieu. Ta pauvre mère : Berthe. » v.352 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Ma nièce ! v.353 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Tout cet émotion v.353 (Acte 1, scène 7, LE VISITEUR ANGLAIS)
- Fera grand préjudice à mon digestion ! v.354 (Acte 1, scène 7, LE VISITEUR ANGLAIS)
- Ô relique chérie ! v.355 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- À propos, vous qui faites v.355 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Pirouetter les murs et bâiller les cachettes, v.356 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Dites-nous, cher monsieur, à qui l'on a l'honneur... v.357 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Je suis tout simplement monsieur votre inspecteur. v.358 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Diable ! v.359 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Ici, je le vois, tout se passe en famille. v.359 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Ce gaillard fait monter la garde par sa fille ! v.360 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Ah ! Sans l'événement qui vous charme si fort, v.361 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Je lançais contre vous un terrible rapport ! v.362 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Shocking ! v.363 (Acte 1, scène 7, LA VISITEUSE ANGLAISE)
- Moa vouloir, n'ayant pas la berlue, v.363 (Acte 1, scène 7, LE VISITEUR ANGLAIS)
- Voir le grand cage-fer du cardinal Balue. v.364 (Acte 1, scène 7, LE VISITEUR ANGLAIS)
- Fus nous tissiez, monsir, que fus nous feriez foir v.365 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Te crands adrocidés ? v.366 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Fus basserez ce soir. v.366 (Acte 1, scène 7, VALENTIN)
- Ma cousine, un baiser sur vos menottes blanches. v.367 (Acte 1, scène 7, RENÉ)
- Z'est une brisson, zà ? v.368 (Acte 1, scène 7, LA VISITEUSE ALLEMANDE)
- La maison des dimanches. v.368 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- J'y viendrai quelquefois passer un jour d'été. v.369 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- À perpétuité. v.370 (Acte 1, scène 7, FANNY)
Dans les 1907 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 2064 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 412,80 occurences par texte.
n° | Titres | Acte | Acte 1 | Total |
1 | TYL L'ESPIEGLE | 535 | 0 | 535 |
2 | CENDRILLON | 0 | 468 | 468 |
3 | LA BOITE A MUSIQUE | 0 | 463 | 463 |
4 | UNE NUIT DE MOLIÈRE | 0 | 269 | 269 |
5 | LA MAISON DES DIMANCHES | 0 | 329 | 329 |
Total | 535 | 1529 | 2064 |