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SGANARELLE (1663)

Lisez-moi comme il faut au lieu de ces sornettes v.33 (Acte 1, scène 1, GORGIBUS)
Pendant cet heureux temps, passé comme un éclair, v.83 (Acte 1, scène 2, LA SUIVANTE)
Peux-tu me conseiller de commettre un forfait, v.91 (Acte 1, scène 2, CÉLIE)
Et comme c'est celui que l'art y représente, v.101 (Acte 1, scène 2, CÉLIE)
Dans les commencements ce sont toutes merveilles ; v.133 (Acte 1, scène 5, LA FEMME SGANARELLE)
À changer de mari comme on fait de chemise : v.138 (Acte 1, scène 5, LA FEMME SGANARELLE)
Qui comme moi ma foi le voudrait bien aussi. v.140 (Acte 1, scène 5, LA FEMME SGANARELLE)
Qui sait comme en ses mains ce portrait est venu, v.319 (Acte 1, scène 12, LE PARENT)
Et demeure les bras croisés comme un jocrisse. v.354 (Acte 1, scène 16, SGANARELLE)
Comment ? v.373 (Acte 1, scène 16, CÉLIE)
Le commerce secret de ma femme et de lui. v.376 (Acte 1, scène 16, SGANARELLE)
Charger de bois mon dos, comme il a fait mon front. v.420 (Acte 1, scène 17, SGANARELLE)
Si nos femmes sans nous ont un commerce infâme, v.446 (Acte 1, scène 17, SGANARELLE)
Déjà pour commencer, dans l'ardeur qui m'enflamme, v.473 (Acte 1, scène 17, SGANARELLE)
Comment à lui ? v.583 (Acte 1, scène 22, LA SUIVANTE)
Verra comme je crois la promesse accomplie v.621 (Acte 1, scène 23, LÉLIE)
Et comme des parents le bien et la naissance v.642 (Acte 1, scène 24, VILLEBREQUIN)

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PSYCHÉ (1673)

C'est la beauté qui commence de plaire, v.19 (Prologue, scène 1, PALAEMON)
C'est la beauté qui commence de plaire. v.21 (Prologue, scène 1, VERTUMNE, PALAEMON)
C'est la beauté qui commence de plaire, v.29 (Prologue, scène 1, PALAEMON)
Nous ne savons, Déesse, comment faire, v.81 (Prologue, scène 1, AEGIALE)
Voilà comme l'on fait, c'est le style des Hommes, v.120 (Prologue, scène 1, AEGIALE)
Un mal que nous pouvons regarder comme un bien. v.545 (Acte 2, scène 6, AGLAURE)
Que je vous fais commettre, et je dois me haïr... v.707 (Acte 3, scène 1, PSYCHÉ)
Mais comment prononcer ce mot épouvantable ? v.728 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
Commençaient à m'accoutumer v.793 (Acte 3, scène 3, PSYCHÉ)
Vos sens comme les miens paraissent interdits, v.1075 (Acte 4, scène 3, PSYCHÉ)
Comme vous l'avez sur mon coeur : v.1132 (Acte 4, scène 3, L'AMOUR)
Prêtez-leur comme à moi les ailes du Zéphyr, v.1176 (Acte 4, scène 3, PSYCHÉ)
Comme vous m'accable, et me laisse v.1295 (Acte 5, scène 1, CIDIPPE)
Comme Psyché parle en ces lieux. v.1299 (Acte 5, scène 1, AGLAURE)
Vous savez comme nous ce que peuvent les charmes. v.1415 (Acte 5, scène 2, AGLAURE)
J'en jure par le Styx, comme jurent les Dieux. v.1493 (Acte 5, scène 3, L'AMOUR)
Comme si c'était peu que mes ressentiments. v.1609 (Acte 5, scène 5, VÉNUS)
Il voit ce que je souffre, et souffre comme moi, v.1699 (Acte 6, scène 1, PSYCHÉ)
Qu'un mortel comme nous osât vous adorer. v.1736 (Acte 6, scène 2, CLÉOMÈNE)
Vous qui portez un coeur sensible comme un autre, v.1865 (Acte 6, scène 4, L'AMOUR)
Comment l'avez-vous défendue, v.1896 (Acte 6, scène 5, VÉNUS)
Comment me l'avez-vous rendue ? v.1898 (Acte 6, scène 5, V?NUS)
Comment en a-t-on vu punie v.1903 (Acte 6, scène 5, V?NUS)
Commence et finit en un jour ; v.2082 (Acte 6, scène 6, BACCHUS)

LA PRINCESSE D'ÉLIDE (1665)

Les rossignols commencent leur musique. v.18 (Acte 1, scène 2, TROISIÈME-VALET)
Vous êtes d'étranges gens, de me tourmenter comme cela. (Acte 1, scène 2, LYCISCAS)
Mais voyez un peu quel diable d'enthousiasme il leur prend, de me venir chanter aux oreilles comme cela. (Acte 1, scène 2, LYCISCAS)
Puisque me voilà éveillé, il faut que j'éveille les autres, et que je les tourmente comme on m'a fait. (Acte 1, scène 2, LYCISCAS)
Vous regarde à présent comme un prince accompli. v.95 (Acte 2, scène 1, ARBATE)
Et comment elle fuit, dans cette illustre fête, v.104 (Acte 2, scène 1, EURYALE)
Comme une autre Diane elle hante les bois, v.123 (Acte 2, scène 1, EURYALE)
Prenais déjà mon ton pour ronfler comme il faut v.251 (Acte 2, scène 2, MORON)
J'ai jeté tout par terre et couru comme quatre. v.268 (Acte 2, scène 2, MORON)
Car on doit regarder comme l'on parle aux grands, v.298 (Acte 2, scène 2, MORON)
Ô comme volontiers j'aurais d'un beau salaire v.360 (Acte 2, scène 4, MORON)
Je chéris comme vous ces retraites tranquilles v.397 (Acte 4, scène 1, AGLANTE)
Comme autant d'attentats contre votre personne ? v.418 (Acte 4, scène 1, CYNTHIE)
J'en prétends soutenir l'honneur jusqu'au dernier moment de ma vie : et ne veux point du tout me commettre à ces gens qui font les esclaves auprès de nous, pour devenir un jour nos tyrans : toutes ces larmes, tous ces soupirs, tous ces hommages, tous ces respects sont des embûches qu'on tend à notre coeur, et qui souvent l'engagent à commettre des lâchetés. (Acte 4, scène 1, LA PRINCESSE)
Les croyances publiques sont toujours mêlées d'erreur : les Dieux ne sont point faits comme se les fait le vulgaire ; et c'est leur manquer de respect que de leur attribuer les faiblesses des hommes. (Acte 4, scène 1, LA PRINCESSE)
J'ai bravé ses armes assez longtemps, et fait de mon drôle comme un autre ; mais enfin ma fierté a baissé l'oreille, et vous avez une traîtresse qui m'a rendu plus doux qu'un agneau : après cela on ne doit plus faire aucun scrupule d'aimer, et puisque j'ai bien passé par là, il peut bien y en passer d'autres. (Acte 4, scène 2, MORON)
Pour moi, Madame, je n'y vais point du tout avec cette pensée : comme j'ai fait toute ma vie profession de ne rien aimer, tous les soins que je prends ne vont point où tendent les autres. (Acte 4, scène 4, EURYALE)
Comme vous êtes accoutumée à ne jamais recevoir que des hommages et des adorations de tout le monde, un compliment pareil au sien doit vous surprendre à la vérité. (Acte 4, scène 4, CYNTHIE)
Il faut que j'apprenne à chanter pour faire comme les autres. (Acte 5, scène 1, MORON)
Comment ? (Acte 6, scène 3, LA PRINCESSE)
Comment ? (Acte 6, scène 3, MORON)
Il n'y a rien que je ne fasse pour le soumettre comme il faut. (Acte 6, scène 3, LA PRINCESSE)
Voyez-vous comme il passe, sans prendre garde à vous ? (Acte 6, scène 3, MORON)
Et comme la beauté est le partage de notre sexe, vous sauriez ne nous point aimer, sans nous dérober les hommages qui nous sont dûs, et commettre une offense dont nous devons toutes nous ressentir. (Acte 6, scène 4, LA PRINCESSE)
C'est avoir une insensibilité bien grande, que de parler comme vous faites. (Acte 6, scène 4, LA PRINCESSE)
Que ne chantes-tu comme lui ? (Acte 7, scène 2, PHILIS)
Pourquoi ne m'as-tu pas donné de quoi chanter comme à un autre ? (Acte 7, scène 2, MORON)
N'ai-je pas un estomac, un gosier et une langue comme un autre ? (Acte 7, scène 2, MORON)
Prends bien garde comme je vais me percer le coeur ? (Acte 7, scène 2, MORON)
Prince, comme jusques ici nous avons fait paraître une conformité de sentiments, et que le Ciel a semblé mettre en nous mêmes attachements pour notre liberté, et même aversion pour l'amour ; je suis bien aise de vous ouvrir mon coeur, et de vous faire confidence d'un changement dont vous serez surpris. (Acte 8, scène 1, LA PRINCESSE)
J'ai toujours regardé l'hymen comme une chose affreuse, et j'avais fait serment d'abandonner plutôt la vie, que de me résoudre jamais à perdre cette liberté pour qui j'avais des tendresses si grandes ; mais, enfin, un moment a dissipé toutes ces résolutions, le mérite d'un prince m'a frappé aujourd'hui les yeux ; et mon âme tout d'un coup ( comme par un miracle ) est devenue sensible aux traits de cette passion que j'avais toujours méprisée. (Acte 8, scène 1, LA PRINCESSE)
Si j'étais dans votre coeur je pourrais vous le dire : mais comme je n'y suis pas, je n'ai garde de vous répondre. (Acte 8, scène 1, EURYALE)
Je le suis, à la vérité, et j'admire, Madame, comme le Ciel a pu former deux âmes aussi semblables en tout que les nôtres : deux âmes en qui l'on ait vu une plus grande conformité de sentiments, qui aient fait éclater, dans le même temps une résolution à braver les traits de l'Amour, et qui dans le même moment aient fait paraître une égale facilité à perdre le nom d'insensibles : car enfin, Madame, puisque votre exemple m'autorise, je ne feindrai point de vous dire que l'amour aujourd'hui s'est rendu maître de mon coeur, et qu'une des Princesses, vos cousines, l'aimable et belle Aglante, a renversé d'un coup d'oeil tous les projets de ma fierté. (Acte 8, scène 1, EURYALE)
Je suis ravi, Madame, que par cette égalité de défaite, nous n'ayons rien à nous reprocher l'un et l'autre ; et je ne doute point, que comme je vous loue infiniment de votre choix, vous n'approuviez aussi le mien. (Acte 8, scène 1, EURYALE)
Comment ? (Acte 8, scène 4, LA PRINCESSE)
Mais, Madame, s'il vous aimait, vous n'en voudriez point, et cependant vous ne voulez pas qu'il soit à un autre : c'est faire justement comme le chien du jardinier (Acte 8, scène 5, MORON)
Et comment ? (Acte 10, scène 2, IPHITAS)
Il me devait aimer comme les autres, et me laisser au moins la gloire de le refuser : sa déclaration me fait un affront, et ce m'est une honte sensible, qu'à mes yeux, et au milieu de votre Cour, il a recherché une autre que moi. (Acte 10, scène 2, LA PRINCESSE)
J'en prends, Seigneur, à me venger de son mépris, et comme je sais bien qu'il aime Aglante avec beaucoup d'ardeur, je veux empêcher, s'il vous plaît, qu'il ne soit heureux avec elle. (Acte 10, scène 2, LA PRINCESSE)

LE MÃ‰DECIN MALGRÃ‰ LUI (1668)

Oui, habile homme, trouve-moi un faiseur de fagots, qui sache, comme moi, raisonner des choses, qui ait servi six ans, un fameux médecin, et qui ait su, dans son jeune âge, son rudiment par coeur. (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
C'est bien à toi, vraiment, à te plaindre de cette affaire : devrais-tu être un seul moment sans rendre grâce au Ciel de m'avoir pour ta femme, et méritais-tu d'épouser une personne comme moi ? (Acte 1, scène 1, MARTINE)
Compère, je vous demande pardon de tout mon coeur, faites, rossez, battez, comme il faut, votre femme, je vous aiderai si vous le voulez ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-ROBERT)
Comment s'appelle-t-il ? (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Comment ! (Acte 1, scène 4, MARTINE)
Il lui mit, l'ayant vue, une petite goutte de je ne sais quoi dans la bouche : et dans le même instant, elle se leva de son lit, et se mit, aussitôt, à se promener dans sa chambre, comme si de rien n'eût été. (Acte 1, scène 4, MARTINE)
Voilà du bois qui est salé, comme tous les diables. (Acte 1, scène 5, SGANARELLE)
Le velà tout craché, comme on nous l'a défiguré. (Acte 1, scène 5, LUCAS)
Faut-il, Monsieur, qu'une personne comme vous s'amuse à ces grossières feintes ? (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Qu'un homme si savant, un fameux médecin, comme vous êtes, veuille se déguiser aux yeux du monde, et tenir enterrés les beaux talents qu'il a ? (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
Comment ? (Acte 1, scène 5, SGANARELLE)
Vous me boutez la joie au coeur, quand je vous vois parler comme ça. (Acte 1, scène 5, LUCAS)
Comment ? (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Il est un peu capricieux, comme je vous ai dit : et parfois, il a des moments où son esprit s'échappe, et ne paraît pas ce qu'il est. (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
Quand il s'y boute, il parle tout fin drait, comme s'il lisait dans un livre. (Acte 2, scène 1, LUCAS)
Alle aurait été fort obéissante : et je m'en vas gager qu'il la prendrait, li, comme alle est, si vous la li vouillais donner. (Acte 2, scène 1, JACQUELINE)
Ce Léandre n'est pas ce qu'il lui faut : il n'a pas du bien, comme l'autre. (Acte 2, scène 1, GÉRONTE)
Enfin, j'ai, toujours, ouï dire, qu'en mariage, comme ailleurs, contentement passe richesse. (Acte 2, scène 1, JACQUELINE)
Et le compère Biarre, a marié sa fille Simonette, au gros Thomas, pour un quarquié de vaigne qu'il avait davantage que le jeune Robin, où alle avait bouté son amiquié : et velà que la pauvre creiature en est devenue jaune comme un coing, et n'a point profité tout depuis ce temps-là. (Acte 2, scène 1, JACQUELINE)
Madame la Nourrice, comme vous dégoisez ! (Acte 2, scène 1, GÉRONTE)
Comment s'appelle votre fille ? (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
Je la félicite d'avoir un mari comme vous : et je vous félicite vous, d'avoir une femme si belle, si sage, et si bien faite, comme elle est. (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
Mais, comme je m'intéresse à toute votre famille, il faut que j'essaye un peu le lait de votre nourrice : et que je visite son sein. (Acte 2, scène 3, SGANARELLE)
Voyez, comme il a deviné sa maladie ! (Acte 2, scène 4, JACQUELINE)
Il n'importe, la mode en est salutaire : et comme on boit pour la soif à venir, il faut se faire aussi saigner pour la maladie à venir. (Acte 2, scène 4, SGANARELLE)
Non, pour vous dire la chose en deux mots, je m'appelle Léandre, qui suis amoureux de Lucinde, que vous venez de visiter : et comme, par la mauvaise humeur, de son père, toute sorte d'accès m'est fermé auprès d'elle, je me hasarde à vous prier de vouloir servir mon amour : et de me donner lieu d'exécuter un stratagème que j'ai trouvé, pour lui pouvoir dire deux mots, d'où dépendent, absolument, mon bonheur et ma vie. (Acte 2, scène 5, LÉANDRE)
Comment oser vous adresser à moi, pour vous servir dans votre amour, et vouloir ravaler la dignité de médecin, à des emplois de cette nature ? (Acte 2, scène 5, SGANARELLE)
Les médecins ont raisonné là-dessus, comme il faut ; et ils n'ont pas manqué de dire, que cela procédait, qui, du cerveau, qui des entrailles, qui, de la rate, qui du foie. (Acte 2, scène 5, LÉANDRE)
Il me semble que je ne suis pas mal ainsi, pour un apothicaire : et comme le père ne m'a guère vu, ce changement d'habit, et de perruque, est assez capable, je crois, de me déguiser à ses yeux. (Acte 3, scène 1, LÉANDRE)
Comment ! (Acte 3, scène 1, LÉANDRE)
Vous êtes honnête homme : et je veux bien me confier à vous, comme vous vous confiez à moi. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
Cependant, vous ne sauriez croire comment l'erreur s'est répandue : et de quelle façon, chacun est endiablé à me croire habile homme. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
La méchante besogne ne retombe jamais sur notre dos ; et nous taillons, comme il nous plaît, sur l'étoffe où nous travaillons. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
Oui, c'est-à-dire qu'alle est enflée partout, et l'an dit que c'est quantité de sériosités qu'alle a dans le corps, et que son foie, son ventre, ou sa rate, comme vous voudrais l'appeler, au glieu de faire du sang, ne fait plus que de l'iau. (Acte 3, scène 2, THIBAUT)
Mais tout ça, comme dit l'autre, n'a été que de l'onguent miton mitaine. (Acte 3, scène 2, THIBAUT)
Voilà un garçon qui parle clairement, qui s'explique comme il faut. (Acte 3, scène 2, SGANARELLE)
C'est comme je l'entendons. (Acte 3, scène 2, PERRIN)
Que je vous plains, belle Nourrice, d'avoir un mari jaloux et fâcheux, comme celui que vous avez ! (Acte 3, scène 3, SGANARELLE)
Comment, un rustre comme cela ! (Acte 3, scène 3, SGANARELLE)
Est-il possible, et qu'un homme ait l'âme assez basse, pour maltraiter une personne comme vous ? (Acte 3, scène 3, SGANARELLE)
Comment se porte la malade ? (Acte 3, scène 5, SGANARELLE)
D'autant que l'incongruité des humeurs opaques, qui se rencontrent au tempérament naturel des femmes, étant cause que la partie brutale veut toujours prendre empire sur la sensitive, on voit que l'inégalité de leurs opinions, dépend du mouvement oblique, du cercle de la Lune : et comme le soleil qui darde ses rayons sur la concavité de la terre, trouve... (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
Pour moi, je n'y en vois qu'un seul, qui est une prise de fuite purgative, que vous mêlerez comme il faut, avec deux drachmes de matrimonium en pilules. (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
Peut-être fera-t-elle quelque difficulté à prendre ce remède : mais, comme vous êtes habile homme dans votre métier, c'est à vous de l'y résoudre, et de lui faire avaler la chose du mieux que vous pourrez. (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
Vous ne sauriez croire comme elle est affolée de ce Léandre. (Acte 3, scène 7, GÉRONTE)
Comment ? (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)

GEORGE DANDIN (1669)

Qu'une femme Demoiselle est une étrange affaire, et que mon mariage est une leçon bien parlante à tous les paysans qui veulent s'élever au-dessus de leur condition, et s'allier, comme j'ai fait à la maison d'un gentilhomme. (Acte 1, scène 1, GEORGE DANDIN)
Comment ? (Acte 1, scène 2, GEORGE DANDIN)
Je suis bien aise de faire les choses secrètement comme on m'a recommandé. (Acte 1, scène 2, LUBIN)
Hé comment nommez-vous celui qui vous a envoyé là-dedans ? (Acte 1, scène 2, GEORGE DANDIN)
Foin je ne me souviens jamais comment diantre ils baragouinent ce nom-là, Monsieur Cli... (Acte 1, scène 2, LUBIN)
Comment ? (Acte 1, scène 4, GEORGE DANDIN)
Comment, ma femme n'est pas ma femme ? (Acte 1, scène 4, GEORGE DANDIN)
Eh de grâce, mettez pour un moment votre gentilhommerie à côté, et souffrez que je vous parle maintenant comme je pourrai. (Acte 1, scène 4, GEORGE DANDIN)
Cela veut dire que votre fille ne vit pas comme il faut qu'une femme vive, et qu'elle fait des choses qui sont contre l'honneur. (Acte 1, scène 4, GEORGE DANDIN)
Certes, il peut remercier l'avantage qu'il a de vous appartenir, et sans cela je lui apprendrais bien à tenir de pareils discours d'une personne comme moi. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Moi, et comment lui aurais-je dit ? (Acte 1, scène 6, ANGÉLIQUE)
Vous n'avez qu'à y venir, je vous promets que vous serez reçu comme il faut. (Acte 1, scène 6, ANG?LIQUE)
Tout mon malheur est de le trop considérer, et plût au Ciel que je fusse capable de souffrir, comme il dit, les galanteries de quelqu'un, je ne serais pas tant à plaindre. (Acte 1, scène 6, ANGÉLIQUE)
Monsieur, vous voyez comme j'ai été faussement accusé. (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
Comment satisfaction ? (Acte 1, scène 6, GEORGE DANDIN)
Voilà, mon gendre, comme il faut pousser les choses. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DE SOTENVILLE)
Vous l'avez voulu, vous l'avez voulu, George Dandin, vous l'avez voulu, cela vous sied fort bien, et vous voilà ajusté comme il faut, vous avez justement ce que vous méritez. (Acte 1, scène 7, GEORGE DANDIN)
Comment est-ce que tu fais pour être si jolie ? (Acte 2, scène 1, LUBIN)
Je fais comme font les autres. (Acte 2, scène 1, CLAUDINE)
Tu serais peut-être jaloux comme notre maître. (Acte 2, scène 1, CLAUDINE)
Hé bien, je serai tout comme cela. (Acte 2, scène 1, LUBIN)
Voilà comme il faut faire pour n'être point trompé. (Acte 2, scène 1, CLAUDINE)
Lorsqu'un mari se met à notre discrétion, nous ne prenons de liberté que ce qu'il nous en faut, et il en est comme avec ceux qui nous ouvrent leur bourse et nous disent, prenez. (Acte 2, scène 1, CLAUDINE)
Je vous dis encore une fois que le mariage est une chaîne à laquelle on doit porter toute sorte de respect, et que c'est fort mal fait à vous d'en user comme vous faites. (Acte 2, scène 2, GEORGE DANDIN)
Comment, parce qu'un homme s'avise de nous épouser, il faut d'abord que toutes choses soient finies pour nous, et que nous rompions tout commerce avec les vivants ? (Acte 2, scène 2, ANGÉLIQUE)
Testiguenne que j'aurai là une habile femme, elle a de l'esprit comme quatre. (Acte 2, scène 4, LUBIN)
Comment. (Acte 2, scène 5, GEORGE DANDIN)
Le mal de tout ceci c'est que je ne sais comment faire pour profiter d'un tel avis. (Acte 2, scène 6, GEORGE DANDIN)
Mais j'ai en main de quoi vous faire voir comme elle m'accommode et, Dieu merci mon déshonneur est si clair maintenant, que vous n'en pourrez plus douter. (Acte 2, scène 7, GEORGE DANDIN)
Comment, mon gendre, vous en êtes encore là-dessus ? (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DE SOTENVILLE)
N'allez pas faire comme tantôt. (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DE SOTENVILLE)
De me dire que vous m'aimez, et de me faire cent sots contes pour me persuader de répondre à vos extravagances ; comme si j'étais femme à violer la foi que j'ai donnée à un mari, et m'éloigner jamais de la vertu que mes parents m'ont enseignée. (Acte 2, scène 8, ANGÉLIQUE)
Fort, Madame, frappez comme il faut. (Acte 2, scène 8, CLAUDINE)
C'est une femme qui mérite d'être adorée, et vous ne la traitez pas comme vous devriez. (Acte 2, scène 8, CLAUDINE)
Mon mari ronfle comme il faut, et j'ai pris ce temps pour nous entretenir ici. (Acte 3, scène 2, ANGÉLIQUE)
Ta maîtresse dit qu'il ronfle à cette heure comme tous les diantres, et il ne sait pas que Monsieur le Vicomte et elle sont ensemble pendant qu'il dort. (Acte 3, scène 3, LUBIN)
Tubleu, comme vous y allez ! (Acte 3, scène 3, LUBIN)
Qu'il faut avouer que celui qu'on vous a donné était peu digne de l'honneur qu'il a reçu, et que c'est une étrange chose que l'assemblage qu'on a fait d'une personne comme vous avec un homme comme lui. (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
Voilà comme on vous traite. (Acte 3, scène 5, GEORGE DANDIN)
On a fermé en dedans, et je ne sais comment nous ferons. (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
Fasse le Ciel que ma mort soit vengée comme je le souhaite, et que celui qui en est cause, reçoive un juste châtiment de la dureté qu'il a eue pour moi. (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
Comment c'est toi ! (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
Comment vous avez... (Acte 3, scène 6, GEORGE DANDIN)
Le voilà qui revient comme vous voyez, après s'être fait attendre toute la nuit, et si vous voulez l'écouter, il vous dira qu'il a les plus grandes plaintes du monde à vous faire de moi ; que durant qu'il dormait, je me suis dérobée d'auprès de lui pour m'en aller courir, et cent autres contes de même nature qu'il est allé rêver. (Acte 3, scène 7, ANGÉLIQUE)
Comment, qu'est-ce à dire cela ? (Acte 3, scène 7, MONSIEUR DE SOTENVILLE)
Comment patienter après de telles indignités ? (Acte 3, scène 7, ANGÉLIQUE)
Tout ce que vous me faites faire ne servira de rien, et vous verrez que ce sera dès demain à recommencer. (Acte 3, scène 7, ANGÉLIQUE)
Je le quitte maintenant, et je n'y vois plus de remède, lorsqu'on a comme moi épousé une méchante femme, le meilleur parti qu'on puisse prendre, c'est de s'aller jeter dans l'eau la tête la première. (Acte 3, scène 8, GEORGE DANDIN)

L'ÉCOLE DES MARIS (1661)

Et que chacun de nous vive comme il l'entend ; v.2 (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
Oui, des fous comme vous, v.9 (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
Et de ces grands canons, où comme en des entraves, v.35 (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
Comme si, condamnée à ne plus rien chérir, v.61 (Acte 1, scène 1, ARISTE)
Un bon pourpoint bien long, et fermé comme il faut, v.69 (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
Mon_Dieu, chacun raisonne, et fait comme il lui plaît. v.98 (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Que sur un tel sujet, c'est parler comme il faut. v.110 (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Et comme à m'épouser sa fortune l'appelle, v.127 (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Mais c'est pain béni, certes, à des gens comme vous. v.246 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Elle m'a toujours vu comme une ombre après elle, v.348 (Acte 1, scène 6, VALERE)
Se vient devant mes pas planter comme une perche. v.375 (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
Comme une fille honnête, et qui m'aime d'enfance, v.411 (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
Pour vous rendre averti, comme je vous ai dit, v.429 (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
Il en tient comme il faut. v.441 (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
Recevoir un poulet comme une injure extrême, v.507 (Acte 2, scène 4, SGANARELLE)
Comme de la guipure et de la broderie ! v.540 (Acte 2, scène 6, SGANARELLE)
Dût trouver un rival comme vous redoutable. v.560 (Acte 2, scène 6, VALERE)
Comme si j'étais fille à supporter la vie, v.623 (Acte 2, scène 7, ISABELLE)
Comment. v.625 (Acte 2, scène 7, SGANARELLE)
Oui, voilà comme il faut que les femmes soient faites, v.679 (Acte 2, scène 7, SGANARELLE)
Et non comme j'en sais, de ces franches coquettes, v.680 (Acte 2, scène 7, SGANARELLE)
Comment ? v.685 (Acte 2, scène 8, VALERE)
À la foi d'un amant, commettre ma fortune. v.808 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
Et je ne sais comment vous en dire l'excuse. v.816 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Comment ? v.821 (Acte 3, scène 2, SGANARELLE)
Dans un secret commerce entretenaient leurs coeurs ; v.830 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Comment vous croyez donc qu'un homme de justice... v.935 (Acte 3, scène 4, LE COMMISSAIRE)
Comment ? v.943 (Acte 3, scène 6, ARISTE)
Pourquoi cette demande, elle est comme je crois, v.945 (Acte 3, scène 6, ARISTE)
De foi comme d'amour à mon insu s'engage ; v.1060 (Acte 3, scène 8, ARISTE)
Que ne pas mériter un coeur comme le vôtre. v.1088 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)

LE DÉPIT AMOUREUX (1663)

Toi-même, penses-tu, qu'on puisse, comme il fait, v.39 (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Vous m'avez fait trotter comme un Basque, je meure ! v.86 (Acte 1, scène 2, MARINETTE)
Comment ! v.87 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Comment ! v.104 (Acte 1, scène 2, MARINETTE)
En effet, tu dis bien, voilà comme il faut être, v.117 (Acte 1, scène 2, MARINETTE)
Je te dois regarder comme une Déité. v.144 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Alors comme alors, v.179 (Acte 1, scène 2, MARINETTE)
Entre gens comme nous est chose bientôt faite. v.186 (Acte 1, scène 2, GROS-RENÉ)
Mais enfin, cette affaire est comme vous la dites ; v.301 (Acte 1, scène 4, MASCARILLE)
Comme le mal fut prompt dont on la vit mourir, v.389 (Acte 2, scène 1, FROSINE)
Et, comme il le prétend, c'est un mauvais langage : v.396 (Acte 2, scène 1, FROSINE)
Étaient, comme vainqueurs, reçus dedans mon âme. v.436 (Acte 2, scène 1, ASCAGNE)
Et comment ? v.479 (Acte 2, scène 2, VALERE)
Je l'ai dit comme fille, et vous le devez prendre v.499 (Acte 2, scène 2, ASCAGNE)
Que dites-vous ? Ma soeur ; comment ! Courir au change ! v.547 (Acte 2, scène 3, ASCAGNE)
Et tienne comme il faut la main à ma colère. v.644 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
C'est comme qui dirait trois fois plus grand. v.671 (Acte 2, scène 6, MÉTAPHRASTE)
Comme si vous étiez en chaire pour prêcher. v.686 (Acte 2, scène 6, ALBERT)
Et comme aussi les Grecs disent Atanaton. v.698 (Acte 2, scène 6, MÉTAPHRASTE)
Comment aurait-il pu l'avoir dit, ce Virgile ? v.711 (Acte 2, scène 6, ALBERT)
Virgile est nommé là comme un auteur fameux v.714 (Acte 2, scène 6, MÉTAPHRASTE)
Et non comme témoin de ce que hier vous vîtes. v.716 (Acte 2, scène 6, M?TAPHRASTE)
Comme on dit, scribendo sequare peritos. v.722 (Acte 2, scène 6, MÉTAPHRASTE)
Et l'on sort comme on peut d'une méchante affaire. v.778 (Acte 3, scène 1, MASCARILLE)
Car enfin nous avons peu de commerce ensemble. v.814 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
Comme on vous voit puissant, et de biens, et d'amis... v.876 (Acte 3, scène 4, POLYDORE)
Soit, ne commençons point un discours inutile. v.878 (Acte 3, scène 4, POLYDORE)
Las ! Il vit comme un saint, et dedans la maison v.915 (Acte 3, scène 6, POLYDORE)
Comment gendre, coquin, tu portes bien la mine v.985 (Acte 3, scène 8, ALBERT)
Ils s'entendent tous deux comme larrons en foire. v.1010 (Acte 3, scène 8, ALBERT)
Je trouve que c'est là raisonné comme il faut ; v.1155 (Acte 4, scène 1, FROSINE)
Va, va ; je fais état de lui, comme de toi : v.1192 (Acte 4, scène 2, GROS-RENÉ)
M'a planté là comme elle, et mon sort et le vôtre v.1197 (Acte 4, scène 2, GROS REN?)
Que vous feriez fort bien de faire comme moi. v.1244 (Acte 4, scène 2, GROS-RENÉ)
Car, voyez-vous, la femme est, comme on dit, mon maître, v.1245 (Acte 4, scène 2, GROS REN?)
Et comme un animal est toujours animal, v.1248 (Acte 4, scène 2, GROS REN?)
Ainsi que la tête est comme le chef du corps, v.1256 (Acte 4, scène 2, GROS REN?)
La tête d'une femme est comme la girouette v.1266 (Acte 4, scène 2, GROS REN?)
Comme on voit que la mer, quand l'orage s'accroît, v.1276 (Acte 4, scène 2, GROS REN?)
Ha ! Lucile, Lucile, un coeur comme le mien v.1367 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Éraste, Éraste, un coeur fait comme est fait le vôtre v.1369 (Acte 4, scène 3, LUCILE)
Comme vous. v.1397 (Acte 4, scène 3, LUCILE)
Comme moi ? v.1397 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Des filles comme nous ! v.1423 (Acte 4, scène 4, MARINETTE)
Et comment ? v.1519 (Acte 5, scène 2, VALERE)
Las ! Vous voyez tous deux comme l'on nous menace, v.1562 (Acte 5, scène 3, MASCARILLE)
Mais enfin, comme Ascagne a pris sur lui l'affaire, v.1705 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
Comme les autres font : et tu t'adouciras. v.1788 (Acte 5, scène 8, MASCARILLE)

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LE TARTUFFE (1669)

Mais il n'est, comme on dit, pire eau que l'eau qui dort, v.23 (Acte 1, scène 1, MADAME PERNELLE)
De le voir querellé par un fou comme vous. v.44 (Acte 1, scène 1, MADAME PERNELLE)
Et comme l'autre jour un docteur dit fort bien, v.160 (Acte 1, scène 1, MADAME PERNELLE)
Comme elle s'est pour rien contre nous échauffée ! v.177 (Acte 1, scène 2, CLÉANTE)
Mais il est devenu comme un homme hébété, v.183 (Acte 1, scène 2, DORINE)
Mais j'ai vu mon mari ; comme il ne m'a point vue, v.213 (Acte 1, scène 3, ELMIRE)
Qu'est-ce qu'on fait céans ? comme est-ce qu'on s'y porte ? v.230 (Acte 1, scène 4, ORGON)
Il reprit courage comme il faut ; v.252 (Acte 1, scène 4, DORINE)
Et comme du fumier, regarde tout le monde. v.274 (Acte 1, scène 5, ORGON)
Ha, si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, v.281 (Acte 1, scène 5, ORGON)
Et comme je vous l'ai plus de dix fois prêché, v.316 (Acte 1, scène 5, ORGON)
Ils veulent que chacun soit aveugle comme eux. v.319 (Acte 1, scène 5, CLÉANTE)
Je sais comme je parle, et le Ciel voit mon coeur. v.324 (Acte 1, scène 5, CL?ANTE)
Et comme on ne voit pas qu'où l'honneur les conduit, v.327 (Acte 1, scène 5, CL?ANTE)
Et comme je ne vois nul genre de héros v.355 (Acte 1, scène 5, CLÉANTE)
Voilà mes gens, voilà comme il en faut user, v.403 (Acte 1, scène 5, CL?ANTE)
Vous. Voyez bien comme vous répondrez. v.439 (Acte 2, scène 1, ORGON)
Comment ? v.446 (Acte 2, scène 1, ORGON)
Et comme sur vos voeux je.... v.456 (Acte 2, scène 1, ORGON)
D'une fille comme elle un homme comme lui ? v.504 (Acte 2, scène 2, DORINE)
Comme ceux qui n'y vont que pour être aperçus ? v.527 (Acte 2, scène 2, DORINE)
Comme deux vrais enfants, comme deux tourterelles. v.534 (Acte 2, scène 2, ORGON)
Comme sage, v.557 (Acte 2, scène 2, ORGON)
Et dans l'occasion mollit comme vous faites. v.622 (Acte 2, scène 3, DORINE)
N'as-tu pas entendu comme elle m'a parlé ? v.772 (Acte 2, scène 4, VALERE)
N'as-tu pas vu la chose, et comme il m'a traitée ? v.774 (Acte 2, scène 4, MARIANE)
Ha, tout doux ; envers lui, comme envers votre Père, v.833 (Acte 3, scène 1, DORINE)
Comment ? v.860 (Acte 3, scène 2, DORINE)
Comme il se radoucit ! v.875 (Acte 3, scène 2, DORINE)
Comment de votre mal vous sentez-vous remise ? v.885 (Acte 3, scène 3, TARTUFFE)
Un dévot comme vous, et que partout on nomme... v.965 (Acte 3, scène 3, ELMIRE)
Mais les gens comme nous, brûlent d'un feu discret, v.995 (Acte 3, scène 3, TARTUFFE)
Et comme un criminel, chassez-moi de chez vous. v.1084 (Acte 3, scène 6, TARTUFFE)
Comme une honte due aux crimes de ma vie. v.1106 (Acte 3, scène 6, TARTUFFE)
Comment ? Vous moquez-vous ? v.1155 (Acte 3, scène 7, ORGON)
Mais je sais comme il faut en user là-dessus. v.1168 (Acte 3, scène 7, TARTUFFE)
Le commerce entre nous porterait du scandale : v.1210 (Acte 4, scène 1, TARTUFFE)
Et comment vous pourrez remplir cette promesse. v.1354 (Acte 4, scène 3, ORGON)
Comment ? v.1361 (Acte 4, scène 4, ORGON)
Comme c'est pour vous seul, et pour mieux le confondre, v.1377 (Acte 4, scène 4, ELMIRE)
Mais comment consentir à ce que vous voulez, v.1479 (Acte 4, scène 5, ELMIRE)
Comme aux tentations s'abandonne votre âme ! v.1545 (Acte 4, scène 7, ORGON)
Comment ? v.1567 (Acte 4, scène 8, ELMIRE)
Que l'on doit commencer par consulter ensemble, v.1574 (Acte 5, scène 1, CLÉANTE)
Vous voulez que partout on soit fait comme lui, v.1619 (Acte 5, scène 1, CLÉANTE)
Je le loge, et le tiens comme mon propre frère ; v.1646 (Acte 5, scène 3, ORGON)
Qu'il ait voulu commettre une action si noire. v.1658 (Acte 5, scène 3, MADAME PERNELLE)
Comment ? v.1659 (Acte 5, scène 3, ORGON)
Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? v.1678 (Acte 5, scène 3, ORGON)
La maison à présent, comme savez de reste, v.1753 (Acte 5, scène 4, LOYAL)
Et comme je vous traite avec grande indulgence, v.1794 (Acte 5, scène 4, LOYAL)
Comme du Ciel, l'infâme, impudemment se joue ! v.1870 (Acte 5, scène 7, DAMIS)
Comme il sait, de traîtresse manière, v.1885 (Acte 5, scène 7, DORINE)

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L'AMOUR MÃ‰DECIN (1666)

Elle est d'une complexion trop délicate et trop peu saine, et c'est la vouloir envoyer bientôt en l'autre monde, que de l'exposer comme elle est à faire des enfants. (Acte 2, scène 1, LUCRECE)
Et quant à vous, ma chère nièce, ce n'est pas mon dessein, comme on sait, de marier ma fille avec qui que ce soit, et j'ai mes raisons pour cela. (Acte 2, scène 1, SGANARELLE)
Comme vous en va ? (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
Quoi toujours triste et mélancolique comme cela, et tu ne veux pas me dire ce que tu as. (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
Il me semble qu'on n'agit point comme vous faites, et que, si vous avez quelque répugnance à vous expliquer à un père, vous n'en devez avoir aucune à me découvrir votre coeur. (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Ce n'est pas la récompense de t'avoir élevée comme j'ai fait. (Acte 2, scène 3, SGANARELLE)
Allez, allez, il ne faut pas se laisser mener comme un oison, et pourvu que l'honneur n'y soit pas offensé, on peut se libérer un peu de la tyrannie d'un père. (Acte 2, scène 4, LISETTE)
Monsieur, ne pleurez donc point comme cela : car vous me feriez rire. (Acte 2, scène 6, LISETTE)
Comment se porte son cocher ? (Acte 3, scène 2, MONSIEUR TOMÈS)
Ce n'est pas que son avis, comme on a vu, n'ait tué le malade, et que celui de Théophraste ne fût beaucoup meilleur assurément ; mais enfin il a tort dans les circonstances, et il ne devait pas être d'un autre avis que son ancien. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR TOMÈS)
C'est pourquoi il s'agit de raisonner auparavant comme il faut, de peser mûrement les choses, de regarder le tempérament des gens, d'examiner les causes de la maladie, et de voir les remèdes qu'on y doit apporter. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR-BAHYS)
Et comme ces humeurs ont été là engendrées par une longue succession de temps ; elles s'y sont recuites, et ont acquis cette malignité, qui fume vers la région du cerveau. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR-BAHYS)
Et vous avons parlé, comme nous parlerions à notre propre frère. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR-BAHYS)
N'avez-vous point de honte, Messieurs, de montrer si peu de prudence, pour des gens de votre âge, et de vous être querellés comme de jeunes étourdis ? (Acte 4, scène 1, MONSIEUR FILERIN)
Nous ne sommes pas les seuls, comme vous savez, qui tâchons à nous prévaloir de la faiblesse humaine. (Acte 4, scène 1, MONSIEUR FILERIN)
Les flatteurs, par exemple, cherchent à profiter de l'amour que les hommes ont pour les louanges, en leur donnant tout le vain encens qu'ils souhaitent ; et c'est un art où l'on fait, comme on voit, des fortunes considérables. (Acte 4, scène 1, MONSIEUR FILERIN)
Comment, qu'est-ce ? (Acte 4, scène 2, MONSIEUR TOMÈS)
Monsieur, comme votre fille est là toute habillée dans une chaise, je vais la faire passer ici. (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Et que je sais peu par où vous commencer mon discours. (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
Je puis vous dire la même chose, et je sens comme vous des mouvements de joie qui m'empêchent de pouvoir parler. (Acte 4, scène 6, LUCINDE)
Comme l'esprit a grand empire sur le corps, et que c'est de lui bien souvent que procèdent les maladies, ma coutume est de courir à guérir les esprits, avant que de venir au corps. (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
Mais, comme il faut flatter l'imagination des malades, et que j'ai vu en elle de l'aliénation d'esprit : et même, qu'il y avait du péril à ne lui pas donner un prompt secours ; je l'ai prise par son faible, et lui ai dit que j'étais venu ici pour vous la demander en mariage. (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
N'en doutez point, Madame, ce n'est pas d'aujourd'hui que je vous aime, et que je brûle de me voir votre mari, je ne suis venu ici que pour cela : et si vous voulez que je vous dise nettement les choses comme elles sont, cet habit n'est qu'un pur prétexte inventé, et je n'ai fait le médecin que pour m'approcher de vous, et obtenir ce que je souhaite. (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
Comment, le mariage ? (Acte 4, scène 8, SGANARELLE)
Comment, diable : laissez-moi aller, laissez-moi aller, vous dis-je. (Acte 4, scène 8, SGANARELLE)

LES FÂCHEUX (1662)

Les acteurs commençaient, chacun prêtait silence, v.53 (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Et se serait tenu comme il s'était posé, v.75 (Acte 1, scène 1, ?RASTE)
Comment te portes-tu ? Souffre, que je t'embrasse. v.78 (Acte 1, scène 1, ?RASTE)
Mais, comme si c'en eût été trop bon marché, v.103 (Acte 1, scène 1, ?RASTE)
Ouf, tu m'étrangles, fat, laisse-le comme il est. v.172 (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Le voulez-vous porter fait comme le voilà ? v.180 (Acte 1, scène 1, LA MONTAGNE)
Comme à de mes amis il faut que je te chante v.217 (Acte 1, scène 3, LISANDRE)
Comment la trouves-tu ? v.227 (Acte 1, scène 3, LISANDRE)
Et quitte, comme au point allait la politique, v.353 (Acte 2, scène 2, ALCIPPE)
Tiens, c'est ici mon port, comme je te l'ai dit, v.375 (Acte 2, scène 2, ALCIPPE)
De ces gens dont l'amour est fait comme la haine, v.454 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
Qui, comme ils le font voir, aiment jusques à battre. v.494 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
Comme cet exercice est mon plaisir suprême, v.529 (Acte 2, scène 6, DORANTE)
Nous avions, comme il faut, séparé nos relais, v.535 (Acte 2, scène 6, DORANTE)
Comment ? C'est un cheval aussi bon qu'il est beau, v.559 (Acte 2, scène 6, DORANTE)
Et je les vois, Marquis, comme tu peux penser, v.587 (Acte 2, scène 6, DORANTE)
Mon étourdi se met à sonner comme il faut, v.595 (Acte 2, scène 6, DORANTE)
Requérir notre cerf, comme s'ils l'eussent vu : v.611 (Acte 2, scène 6, DORANTE)
Comme le rang, l'esprit, la générosité, v.667 (Acte 3, scène 2, CARITIDES)
Votre très humble, très obéissant, très fidèle et très savant sujet et serviteur Caritidès, français de nation, grec de profession, ayant considéré les grands et notables abus, qui se commettent aux inscriptions des enseignes des maisons, boutiques, cabarets, jeux de boule, et autres lieux de votre bonne Ville de Paris, en ce que certains ignorants compositeurs desdites inscriptions renversent, par une barbare, pernicieuse et détestable orthographe toute sorte de sens et raison, sans aucun égard d'étymologie, analogie, énergie, ni allégorie quelconque ; au grand scandale de la République des Lettres, et de la nation Française, qui se décrie et déshonore par lesdits abus, et fautes grossières, envers les étrangers, et notamment envers les Allemands, curieux lecteurs, et inspectateurs desdites Inscriptions,... (Acte 3, scène 2, CARITIDES)
Car comme sa justice en toute chose est grande, v.713 (Acte 3, scène 2, CARITIDES)
Et des gens comme vous doivent fuir l'entretien v.731 (Acte 3, scène 3, ORMIN)
Et comme ton ami, quoi qu'il en réussisse, v.785 (Acte 3, scène 4, FILINTE)

LES FEMMES SAVANTES (1672)

Comment ? v.8 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
À l'esprit comme nous donnez-vous toute entière : v.36 (Acte 1, scène 1, ARMANDE)
Ma soeur, que de tousser et de cracher comme elle. v.76 (Acte 1, scène 1, ARMANDE)
Je ménage les gens, et sais comme embarrasse v.127 (Acte 1, scène 2, ARMANDE)
Mais comme sur ma mère il a grande puissance, v.239 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
Non, je dis la chose comme elle est : v.269 (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
Allons commettre un autre au soin que l'on me donne, v.327 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Comment, ma soeur ? v.357 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
Je n'entends pas cela. Comment ? v.424 (Acte 2, scène 5, CHRYSALE)
Comment diantre, friponne ! Euh ? A-t-elle commis... v.458 (Acte 2, scène 6, CHRYSALE)
Et c'est, comme on t'a dit, trop d'une négative. v.484 (Acte 2, scène 6, BÉLISE)
Mon_Dieu, je n'avons pas étugué comme vous, v.485 (Acte 2, scène 6, MARTINE)
Et je parlons tout droit comme on parle cheux nous. v.486 (Acte 2, scène 6, MARTINE)
Comme de l'adjectif avec le substantif, v.498 (Acte 2, scène 6, BÉLISE)
Comment ? Vous avez peur d'offenser la coquine ? v.508 (Acte 2, scène 6, PHILAMINTE)
Comment donc ? v.558 (Acte 2, scène 7, PHILAMINTE)
On y sait comme vont Lune, Étoile Polaire, v.591 (Acte 2, scène 7, CHRYSALE)
On ne sait comme va mon pot dont j'ai besoin. v.594 (Acte 2, scène 7, CHRYSALE)
(Car c'est, comme j'ai dit, à vous que je m'adresse ;) v.608 (Acte 2, scène 7, CHRYSALE)
Non : car comme j'ai vu qu'on parlait d'autre gendre, v.656 (Acte 2, scène 9, CHRYSALE)
Et vous ne savez pas comme le bruit me pèse. v.664 (Acte 2, scène 9, CHRYSALE)
Sur l'aigreur de sa bile opère comme rien. v.670 (Acte 2, scène 9, CHRYSALE)
Quoi, vous ne pouvez pas, voyant comme on vous nomme, v.683 (Acte 2, scène 9, ARISTE)
Et qui n'est, comme on sait, rien moins que tout cela ? v.694 (Acte 2, scène 9, ARISTE)
Vous voilà raisonnable, et comme je vous veux. v.706 (Acte 2, scène 9, ARISTE)
Mais en comprend-on bien, comme moi, la finesse ? v.797 (Acte 3, scène 2, PHILAMINTE)
Qu'on peut faire comme eux de doctes assemblées, v.902 (Acte 3, scène 2, PHILAMINTE)
Je n'ai point encor vu d'hommes, comme je crois, v.923 (Acte 3, scène 2, BÉLISE)
Mais j'ai vu des clochers tout comme je vous vois. v.924 (Acte 3, scène 2, B?LISE)
Est-il rien d'amoureux comme vos chansonnettes ? v.1009 (Acte 3, scène 3, TRISSOTIN)
Je ne sais donc comment se fit l'affaire. v.1033 (Acte 3, scène 3, VADIUS)
Mais il m'attaque à part comme un noble adversaire v.1069 (Acte 3, scène 3, TRISSOTIN)
À voir comme l'époux que mon choix vous destine. v.1106 (Acte 3, scène 4, PHILAMINTE)
Comme vous répondez ! v.1115 (Acte 3, scène 4, PHILAMINTE)
Je vous le cède tout, comme à ma soeur aînée. v.1122 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
Si l'hymen comme à vous, me paraissait charmant, v.1123 (Acte 3, scène 5, ARMANDE)
Si j'avais comme vous les pédants dans la tête, v.1125 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
Et vingt fois, comme ouvrages nouveaux, v.1187 (Acte 4, scène 2, ARMANDE)
Du commerce des sens nette et débarrassée ? v.1226 (Acte 4, scène 2, ARMANDE)
Comme une chose indigne, il laisse là le reste. v.1237 (Acte 4, scène 2, ARMANDE)
C'est un feu pur et net comme le feu céleste, v.1238 (Acte 4, scène 2, ARMANDE)
Que j'ai, ne vous déplaise, un corps tout comme une âme : v.1246 (Acte 4, scène 2, CLITANDRE)
Il n'est rien de plus beau, comme vous avez dit, v.1251 (Acte 4, scène 2, CLITANDRE)
Du commerce des sens si bien débarrassées : v.1254 (Acte 4, scène 2, CLITANDRE)
Je suis un peu grossier, comme vous m'accusez ; v.1256 (Acte 4, scène 2, CLITANDRE)
Elle eût été brisée en morceaux comme verre. v.1302 (Acte 4, scène 3, TRISSOTIN)
Que de me voir savant comme certaines gens. v.1312 (Acte 4, scène 3, CLITANDRE)
Et c'est mon sentiment qu'en faits, comme en propos, v.1315 (Acte 4, scène 3, CLITANDRE)
La Cour, comme l'on sait, ne tient pas pour l'esprit ; v.1360 (Acte 4, scène 3, TRISSOTIN)
Et comme je les crois dignes d'être suivis, v.1436 (Acte 4, scène 4, PHILAMINTE)
Vous, Monsieur, comme ami de toute la famille, v.1438 (Acte 4, scène 4, PHILAMINTE)
N'est point, comme l'on sait, un effet du mérite ; v.1530 (Acte 5, scène 1, HENRIETTE)
Pourvu que je vous aie, il n'importe comment. v.1568 (Acte 5, scène 1, TRISSOTIN)
Et comme, à dire vrai, je n'oserais me croire v.1589 (Acte 5, scène 1, HENRIETTE)
Nous allons voir bientôt comment ira l'affaire ; v.1593 (Acte 5, scène 1, TRISSOTIN)
Comment ? Me prenez-vous ici pour un benêt ? v.1607 (Acte 5, scène 2, CHRYSALE)
C'est parler comme il faut. v.1685 (Acte 5, scène 3, CHRYSALE)
Qui doit être épuré comme l'astre du jour ; v.1716 (Acte 5, scène 3, BÉLISE)
À braver comme moi les traits de la fortune. v.1730 (Acte 5, scène 4, PHILAMINTE)
Et je regarde peu comment vous le prendrez : v.1754 (Acte 5, scène 4, TRISSOTIN)

L'AVARE (1669)

Je me représente à toute heure ce péril étonnant qui commença de nous offrir aux regards l'un de l'autre ; cette générosité surprenante, qui vous fit risquer votre vie, pour dérober la mienne à la fureur des ondes ; ces soins pleins de tendresse que vous me fîtes éclater après m'avoir tirée de l'eau ; et les hommages assidus de cet ardent amour, que ni le temps, ni les difficultés, n'ont rebuté, et qui, vous faisant négliger et parents et patrie, arrête vos pas en ces lieux, y tient en ma faveur votre fortune déguisée, et vous a réduit, pour me voir, à vous revêtir de l'emploi de domestique de mon père. (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
Mais enfin, si je puis, comme je l'espère, retrouver mes parents, nous n'aurons pas beaucoup de peine à nous le rendre favorable. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Vous voyez comme je m'y prends, et les adroites complaisances qu'il m'a fallu mettre en usage pour m'introduire à son service ; sous quel masque de sympathie, et de rapports de sentiments, je me déguise, pour lui plaire, et quel personnage je joue tous les jours avec lui, afin d'acquérir sa tendresse. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Plut au Ciel que votre âme comme la mienne... (Acte 1, scène 2, CLÉANTE)
Va-t'en l'attendre dans la rue, et ne sois point dans ma maison planté tout droit comme un piquet, à observer ce qui se passe, et faire ton profit de tout. (Acte 1, scène 3, HARPAGON)
Comment diantre voulez-vous qu'on fasse pour vous voler ? (Acte 1, scène 3, LA FLÈCHE)
Je veux renfermer ce que bon me semble, et faire sentinelle comme il me plaît. (Acte 1, scène 3, HARPAGON)
Qu'un homme comme cela mériterait bien ce qu'il craint ! (Acte 1, scène 3, LA FLÈCHE)
Comment ? (Acte 1, scène 3, HARPAGON)
Et je ne me plaindrais pas, comme je fais, que le temps est misérable. (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
Comment ? (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
Hé comment vous dérober ? (Acte 1, scène 4, CLÉANTE)
Mon Père : c'est que je joue ; et comme je suis fort heureux, je mets sur moi tout l'argent que je gagne. (Acte 1, scène 4, CLÉANTE)
Et pour commencer par un bout ; avez-vous vu, dites-moi, une jeune personne appelée Mariane, qui ne loge pas loin d'ici ? (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
Comment, mon Fils, trouvez-vous cette fille ? (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
Ne croyez-vous pas, qu'une fille comme cela mériterait assez que l'on songeât à elle ? (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
Comment ? (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
Comment ? (Acte 1, scène 5, HARPAGON)
Le moyen de résister à une raison comme celle-là ? (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Vous moquez-vous, Valère, de lui parler comme vous faites ? (Acte 1, scène 5, ÉLISE)
Il ne faut point qu'elle regarde comme un mari est fait, et lorsque la grande raison de sans dot s'y rencontre, elle doit être prête à prendre tout ce qu'on lui donne. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Monsieur, je vous demande pardon si je m'emporte un peu et prends la hardiesse de lui parler comme je fais. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Comment ? (Acte 1, scène 5, HARPAGON)
Voilà parlé comme un oracle. (Acte 1, scène 5, HARPAGON)
Comment va notre affaire ? (Acte 2, scène 1, CLÉANTE)
Et l'amour a-t-il été fait pour des gens bâtis comme lui ? (Acte 2, scène 1, LA FLÈCHE)
Monsieur, ceux qui empruntent sont bien malheureux ; et il faut essuyer d'étranges choses lorsqu'on en est réduit à passer, comme vous, par les mains des fesse-mathieux. (Acte 2, scène 1, LA FLÈCHE)
« Mais comme ledit prêteur n'a pas chez lui la somme dont il est question, et que pour faire plaisir à l'emprunteur, il est contraint lui-même de l'emprunter d'un autre, sur le pied du denier cinq, il conviendra que ledit premier emprunteur paye cet intérêt, sans préjudice du reste, attendu que ce n'est que pour l'obliger que ledit prêteur s'engage à cet emprunt. » (Acte 2, scène 1, LA FLÈCHE)
Comment diable ! (Acte 2, scène 1, CLÉANTE)
Je n'ai pas, Dieu merci, les inclinations fort patibulaires ; et parmi mes confrères que je vois se mêler de beaucoup de petits commerces, je sais tirer adroitement mon épingle du jeu, et me démêler prudemment de toutes les galanteries qui sentent tant soit peu l'échelle ; mais, à vous dire vrai, il me donnerait, par ses procédés, des tentations de le voler ; et je croirais, en le volant, faire une action méritoire. (Acte 2, scène 1, LA FLÈCHE)
Comment ? (Acte 2, scène 2, HARPAGON)
Comment, pendard, c'est toi qui t'abandonnes à ces coupables extrémités ? (Acte 2, scène 2, HARPAGON)
Comment, mon Père, c'est vous qui vous portez à ces honteuses actions ? (Acte 2, scène 2, CLÉANTE)
Ne rougissez-vous point de déshonorer votre condition par les commerces que vous faites ? (Acte 2, scène 2, CLÉANTE)
Tu sais que dans ce monde il faut vivre d'adresse, et qu'aux personnes comme moi le Ciel n'a donné d'autres rentes que l'intrigue et que l'industrie. (Acte 2, scène 4, FROSINE)
Tout va comme il faut. (Acte 2, scène 5, HARPAGON)
Comment ? (Acte 2, scène 5, FROSINE)
Comment ? (Acte 2, scène 5, HARPAGON)
Comment va notre affaire ? (Acte 2, scène 5, HARPAGON)
Comme j'ai commercé chez elles, je les ai à fond l'une et l'autre entretenues de vous, et j'ai dit à la mère le dessein que vous aviez conçu pour Mariane, à la voir passer dans la rue, et prendre l'air à sa fenêtre. (Acte 2, scène 5, FROSINE)
Lui as-tu dit qu'il fallait qu'elle s'aidât un peu, qu'elle fît quelque effort, qu'elle se saignât pour une occasion comme celle-ci ? (Acte 2, scène 5, HARPAGON)
Comment ? (Acte 2, scène 5, FROSINE)
La fille est jeune, comme tu vois ; et les jeunes gens d'ordinaire n'aiment que leurs semblables, ne cherchent que leur compagnie. (Acte 2, scène 5, HARPAGON)
Pour moi, je n'y en comprends point ; et je ne sais pas comment il y a des femmes qui les aiment tant. (Acte 2, scène 5, HARPAGON)
Cela est bien bâti, auprès d'une personne comme vous. (Acte 2, scène 5, FROSINE)
Comment ? (Acte 2, scène 5, FROSINE)
Voilà un corps taillé, libre, et dégagé comme il faut, et qui ne marque aucune incommodité. (Acte 2, scène 5, FROSINE)
Je lui ai fait un portrait de votre personne ; et je n'ai pas manqué de lui vanter votre mérite, et l'avantage que ce lui serait d'avoir un mari comme vous. (Acte 2, scène 5, FROSINE)
Commençons par vous. (Acte 3, scène 1, HARPAGON)
Bon, vous voilà les armes à la main. Je vous commets au soin de nettoyer partout ; et surtout prenez garde de ne point frotter les meubles trop fort, de peur de les user. (Acte 3, scène 1, HARPAGON)
Comment est-ce que tu dis ? (Acte 3, scène 1, HARPAGON)
Et pour votre soupé, vous n'avez qu'à me laisser faire : je réglerai tout cela comme il faut. (Acte 3, scène 1, VALÈRE)
Comment voudriez-vous qu'ils traînassent un carrosse, qu'ils ne peuvent pas se traîner eux-mêmes ? (Acte 3, scène 1, MAÎTRE JACQUES)
Point du tout ; au contraire, c'est me faire plaisir, et je suis bien aise d'apprendre comme on parle de moi. (Acte 3, scène 1, HARPAGON)
Comment, doucement ? (Acte 3, scène 2, MAÎTRE JACQUES)
Comment, un bâton ? (Acte 3, scène 2, VALÈRE)
Mon_Dieu, tous ces blondins sont agréables, et débitent fort bien leur fait ; mais la plupart sont gueux comme des rats ; et il vaut mieux pour vous, de prendre un vieux mari, qui vous donne beaucoup de bien. (Acte 3, scène 4, FROSINE)
Ce discours paraîtra brutal aux yeux de quelques-uns ; mais je suis assuré que vous serez personne à le prendre comme il faudra. (Acte 3, scène 7, CLÉANTE)
Que c'est un mariage, Madame, où vous vous imaginez bien que je dois avoir de la répugnance ; que vous n'ignorez pas, sachant ce que je suis, comme il choque mes intérêts ; et que vous voulez bien enfin que je vous dise, avec la permission de mon père, que si les choses dépendaient de moi, cet hymen ne se ferait point. (Acte 3, scène 7, CL?ANTE)
Mon_Dieu, j'ai une langue pour m'expliquer moi-même, et je n'ai pas besoin d'un procureur comme vous. (Acte 3, scène 7, HARPAGON)
Comment ? (Acte 3, scène 7, HARPAGON)
C'est une douce consolation que de voir dans ses intérêts une personne comme vous ; et je vous conjure, Madame, de me garder toujours cette généreuse amitié, si capable de m'adoucir les cruautés de la fortune. (Acte 4, scène 1, MARIANE)
Sois assurée, Frosine, de ma reconnaissance, si tu viens à bout de la chose : mais, charmante Mariane, commençons, je vous prie, par gagner votre mère ; c'est toujours beaucoup faire que de rompre ce mariage. (Acte 4, scène 1, CLÉANTE)
Cette considération m'en faisait quitter le dessein ; et comme je l'ai fait demander, et que je suis pour elle engagé de parole, je te l'aurais donnée, sans l'aversion que tu témoignes. (Acte 4, scène 3, HARPAGON)
Non : du côté de l'homme, on ne doit point risquer l'affaire, et ce sont des suites fâcheuses, où je n'ai garde de me commettre. (Acte 4, scène 3, HARPAGON)
Comment, pendard, tu as l'audace d'aller sur mes brisées ? (Acte 4, scène 3, HARPAGON)
Je te veux faire toi-même, maître Jacques, juge de cette affaire, pour montrer comme j'ai raison. (Acte 4, scène 4, HARPAGON)
Comment ? (Acte 4, scène 5, HARPAGON)
Comment ? (Acte 4, scène 5, HARPAGON)
Comment ? (Acte 4, scène 6, CLÉANTE)
Comment as-tu fait ? (Acte 4, scène 6, CLÉANTE)
Oui, mon ami, si vous nous confessez la chose, il ne vous sera fait aucun mal, et vous serez récompensé comme il faut par votre maître. (Acte 5, scène 2, COMMISSAIRE)
Et cette cassette, comment est-elle faite ? (Acte 5, scène 2, HARPAGON)
Comment elle est faite ? (Acte 5, scène 2, MAÎTRE JACQUES)
Elle est faite comme une cassette. (Acte 5, scène 2, MAÎTRE JACQUES)
Comment, traître, tu ne rougis pas de ton crime ? (Acte 5, scène 3, HARPAGON)
De quel crime je veux parler, infâme, comme si tu ne savais pas ce que je veux dire. (Acte 5, scène 3, HARPAGON)
Comment abuser ainsi de ma bonté, et s'introduire exprès chez moi pour me trahir ? (Acte 5, scène 3, HARPAGON)
Comment, pardonnable ? (Acte 5, scène 3, HARPAGON)
Un trésor comme celui-là. (Acte 5, scène 3, HARPAGON)
Vous en userez comme vous voudrez, et me voilà prêt à souffrir toutes les violences qu'il vous plaira ; mais je vous prie de croire, au moins, que s'il y a du mal, ce n'est que moi qu'il en faut accuser, et que votre fille en tout ceci n'est aucunement coupable. (Acte 5, scène 3, VALÈRE)
Il parle d'elle, comme un amant d'une maîtresse. (Acte 5, scène 3, HARPAGON)
Oui, Monsieur, comme de ma part je lui en ai signé une. (Acte 5, scène 3, VALÈRE)
Allons, Monsieur, faites le dû de votre charge, et dressez-lui-moi son procès, comme larron, et comme suborneur. (Acte 5, scène 3, HARPAGON)
Fille indigne d'un père comme moi ! (Acte 5, scène 4, HARPAGON)
Chargez-le comme il faut, Monsieur, et rendez les choses bien criminelles. (Acte 5, scène 5, HARPAGON)
Apprenez que le capitaine de ce vaisseau, touché de ma fortune, prit amitié pour moi ; qu'il me fit élever comme son propre fils, et que les armes furent mon emploi dès que je m'en trouvai capable. (Acte 5, scène 5, VALÈRE)
Que j'ai su depuis peu que mon père n'était point mort, comme je l'avais toujours cru ; que passant ici pour l'aller chercher, une aventure par le Ciel concertée, me fit voir la charmante Élise ; que cette vue me rendit esclave de ses beautés ; et que la violence de mon amour, et les sévérités de son père, me firent prendre la résolution de m'introduire dans son logis, et d'envoyer un autre à la quête de mes parents. (Acte 5, scène 5, VAL?RE)
Comment faut-il donc faire ? (Acte 5, scène 6, MAÎTRE JACQUES)

LE MISANTHROPE (1667)

À peine pouvez-vous dire comme il se nomme, v.22 (Acte 1, scène 1, ALCESTE)
Répondre, comme on peut, à ses empressements, v.39 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
Ce commerce honteux de semblants d'amitié : v.68 (Acte 1, scène 1, ALCESTE)
Lui doit-on déclarer la chose comme elle est ? v.80 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
Quand je vois vivre entre eux, les hommes comme ils font ; v.92 (Acte 1, scène 1, ALCESTE)
J'observe, comme vous, cent choses tous les jours, v.159 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
En courroux, comme vous, on ne me voit point être ; v.162 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
Je prends, tout doucement, les hommes comme ils sont ; v.163 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
Comme vices unis à l'humaine nature ; v.174 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
Je m'étonne, pour moi, qu'étant comme il le semble, v.209 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
Le premier à les voir, comme à les condamner. v.228 (Acte 1, scène 1, ALCESTE)
Mais comme l'on m'a dit que vous étiez ici, v.252 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
Et, comme votre esprit a de grandes lumières, v.294 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
Je viens, pour commencer, entre nous, ce beau noeud, v.295 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
Je lui mettais aux yeux comme, dans notre temps, v.359 (Acte 1, scène 2, ALCESTE)
Ma foin mon grand Monsieur, je le prends comme il faut. v.434 (Acte 1, scène 2, ALCESTE)
Personne n'a, Madame, aimé comme je fais. v.524 (Acte 2, scène 1, ALCESTE)
Et ce sont de ces gens, qui, je ne sais comment, v.543 (Acte 2, scène 2, CÉLIMÈNE)
Dans le brillant commerce il se mêle, sans cesse, v.597 (Acte 2, scène 4, CÉLIMÈNE)
Comment ? v.755 (Acte 2, scène 6, CÉLIMÈNE)
Je pense, Dieu merci, qu'on vaut son prix comme elles ; v.818 (Acte 3, scène 1, ACASTE)
Que pour se faire honneur d'un coeur comme le mien, v.819 (Acte 3, scène 1, ACASTE)
Et comme il n'en est point de plus grande importance, v.881 (Acte 3, scène 4, ARSINOÉ)
Et comme je vous vois vous montrer mon amie, v.917 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
Ne furent pas cités comme un fort bon modèle : v.926 (Acte 3, scène 4, C?LIM?NE)
Madame, comme on sait, d'être prude à vingt ans. v.984 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
Pensez-vous faire croire, à voir comme tout roule, v.1005 (Acte 3, scène 4, ARSINOÉ)
Je pense qu'on pourrait faire comme les autres. v.1022 (Acte 3, scène 4, ARSINO?)
Et je la voudrais voir, partout, comme chez lui. v.1168 (Acte 4, scène 1, ELIANTE)
Je ne sais pas comment il s'avise d'aimer ; v.1172 (Acte 4, scène 1, PHILINTE)
Et je sais moins encor comment votre cousine v.1173 (Acte 4, scène 1, PHILINTE)
Comment pouvoir juger s'il est vrai qu'elle l'aime ? v.1181 (Acte 4, scène 1, ELIANTE)
Mais, si dans un tel choix, comme tout se peut faire, v.1197 (Acte 4, scène 1, ELIANTE)
Ne m'accablerait pas comme cette aventure. v.1222 (Acte 4, scène 2, ALCESTE)
Moi, vous venger ! Comment ? v.1252 (Acte 4, scène 2, ELIANTE)
Et comment vous pourrez tourner pour une femme, v.1353 (Acte 4, scène 3, ALCESTE)
Non, vous ne m'aimez point comme il faut que l'on aime. v.1421 (Acte 4, scène 3, CÉLIMÈNE)
Comment ? v.1442 (Acte 4, scène 4, ALCESTE)
De vous dire... Attendez, comme est-ce qu'il s'appelle ? v.1462 (Acte 4, scène 4, DUBOIS)
Et je veux me tirer du commerce des hommes. v.1486 (Acte 5, scène 1, ALCESTE)
Comme une marque insigne, un fameux témoignage ; v.1545 (Acte 5, scène 1, ALCESTE)
Comment vous vous prendrez à soutenir ceci ? v.1684 (Acte 5, scène 4, ACASTE)
Notre grand flandrin de vicomte, par qui vous commencez vos plaintes, est un homme qui ne saurait me revenir ; et depuis que je l'ai vu trois quarts d'heure durant, cracher dans un puits, pour faire des ronds, je n'ai pu jamais, prendre bonne opinion de lui. (Acte 5, scène 4, ACASTE)
Madame, et vous savez comment cela s'appelle ? v.1696 (Acte 5, scène 4, CLITANDRE)
Un homme, comme lui, de mérite et d'honneur, v.1718 (Acte 5, scène 4, ARSINOÉ)
Ce ne sont pas des gens, comme moi, qu'il vous faut ; v.1734 (Acte 5, scène 4, ARSINOÉ)
Pour trouver tout en moi, comme moi tout en vous, v.1786 (Acte 5, scène 4, ALCESTE)
Je m'en sens trop indigne, et commence à connaître v.1795 (Acte 5, scène 4, ALCESTE)

L'ÉCOLE DES FEMMES (1663)

Et comme spectateur ne puis-je pas en rire ? v.44 (Acte 1, scène 1, ARNOLPHE)
Comme sur les maris accusés de souffrance, v.67 (Acte 1, scène 1, CHRYSALDE)
Et comme on est dupé par leurs dextérités, v.77 (Acte 1, scène 1, ARNOLPHE)
Je serais comme un saint, que pas un ne réclame ? v.92 (Acte 1, scène 1, ARNOLPHE)
Mais comment voulez-vous, après tout, qu'une bête v.107 (Acte 1, scène 1, CHRYSALDE)
En femme, comme en tout, je veux suivre ma mode ; v.124 (Acte 1, scène 1, ARNOLPHE)
Je l'ai donc retirée ; et comme ma demeure v.143 (Acte 1, scène 1, ARNOLPHE)
Je l'ai mise à l'écart, comme il faut tout prévoir, v.145 (Acte 1, scène 1, ARNOLPHE)
Chose étrange de voir comme avec passion v.197 (Acte 1, scène 1, ARNOLPHE)
Hé bien, Alain, comment se porte-t-on ici ? v.221 (Acte 1, scène 2, ARNOLPHE)
Vous vous êtes toujours, comme on voit, bien portée ? v.235 (Acte 1, scène 3, ARNOLPHE)
Ô comme les enfants croissent en peu d'années ! v.256 (Acte 1, scène 4, ARNOLPHE)
Non : vous a-t-on point dit comme on le nomme ? v.272 (Acte 1, scène 4, ARNOLPHE)
Comme s'il devait m'être entièrement connu, v.274 (Acte 1, scène 4, HORACE)
Hé bien, comment encor trouvez-vous cette ville ? v.288 (Acte 1, scène 4, ARNOLPHE)
Les gens faits comme vous, font plus que les écus, v.301 (Acte 1, scène 4, ARNOLPHE)
D'un homme qui la cache au commerce du monde, v.320 (Acte 1, scène 4, HORACE)
Et l'on m'en a parlé comme d'un ridicule. v.331 (Acte 1, scène 4, HORACE)
En amour, comme en guerre, avance les conquêtes. v.348 (Acte 1, scène 4, HORACE)
Et savoir pleinement leur commerce secret. v.366 (Acte 1, scène 4, ARNOLPHE)
Comme est-ce que chez moi s'est introduit cet homme ? v.400 (Acte 2, scène 2, ARNOLPHE)
C'est justement tout comme : v.435 (Acte 2, scène 3, ALAIN)
Vois comme il est chagrin. v.446 (Acte 2, scène 3, GEORGETTE)
Comme une instruction utile, autant que juste, v.448 (Acte 2, scène 4, ARNOLPHE)
Voyez la médisance, et comme chacun cause. v.468 (Acte 2, scène 5, ARNOLPHE)
Toujours comme cela je me serais tenue. v.500 (Acte 2, scène 5, AGNES)
Voilà comme il me vit, et reçut guérison. v.537 (Acte 2, scène 5, AGNES)
Et comme le jeune homme a passé ses visites. v.552 (Acte 2, scène 5, ARNOLPHE)
Hélas ! Si vous saviez, comme il était ravi. v.553 (Acte 2, scène 5, AGNES)
Comme il perdit son mal, sitôt que je le vis ; v.554 (Acte 2, scène 5, AGNES)
Vous l'aimeriez sans doute, et diriez comme nous... v.557 (Acte 2, scène 5, AGNES)
Comment. Est-ce qu'on fait d'autres choses ? v.582 (Acte 2, scène 5, AGNES)
Qu'avec lui désormais vous rompiez tout commerce ; v.632 (Acte 2, scène 5, ARNOLPHE)
Mais comme je vous dis la griffe est là-dessous. v.654 (Acte 3, scène 1, ARNOLPHE)
Et pour notre contrat, comme je viens de dire, v.672 (Acte 3, scène 1, ARNOLPHE)
Elle sera toujours, comme un lis, blanche et nette ; v.732 (Acte 3, scène 2, ARNOLPHE)
Elle deviendra lors noire comme un charbon. v.734 (Acte 3, scène 2, ARNOLPHE)
Sous sa coiffe en sortant, comme l'honneur l'ordonne, v.766 (Acte 3, scène 2, AGNES)
Comme d'une chose funeste. v.792 (Acte 3, scène 2, AGNES)
Je vous expliquerai ces choses comme il faut. v.803 (Acte 3, scène 2, ARNOLPHE)
Comme un morceau de cire entre mes mains elle est, v.810 (Acte 3, scène 3, ARNOLPHE)
Oh, oh ! Comment cela ? v.860 (Acte 3, scène 4, ARNOLPHE)
Il a su de nous deux le commerce secret. v.863 (Acte 3, scène 4, HORACE)
Comment d'un grès ? v.880 (Acte 3, scène 4, ARNOLPHE)
Comme si j'y voulais entrer par escalade, v.929 (Acte 3, scène 4, HORACE)
J'ai des pensées que je désirerais que vous sussiez ; mais je ne sais comment faire pour vous les dire, et je me défie de mes paroles. (Acte 3, scène 4, HORACE)
Comme je commence à connaître qu'on m'a toujours tenue dans l'ignorance, j'ai peur de mettre quelque chose qui ne soit pas bien, et d'en dire plus que je ne devrais. (Acte 3, scène 4, HORACE)
Dites-moi franchement ce qui en est : car enfin, comme je suis sans malice, vous auriez le plus grand tort du monde, si vous me trompiez. (Acte 3, scène 4, HORACE)
L'amour a commencé d'en déchirer le voile, v.956 (Acte 3, scène 4, HORACE)
Je puis, comme j'espère, à ce franc animal, v.958 (Acte 3, scène 4, HORACE)
Comment, si vite ? v.960 (Acte 3, scène 4, HORACE)
Mais ne sauriez-vous point, comme on la tient de près, v.962 (Acte 3, scène 4, HORACE)
Comme il faut devant lui que je me mortifie, v.977 (Acte 3, scène 5, ARNOLPHE)
Comment faire ? v.1041 (Acte 4, scène 2, ARNOLPHE)
Mais comment faudra-t-il qu'avec elle j'en sorte ? v.1052 (Acte 4, scène 2, ARNOLPHE)
Je dis que le futur peut comme bon lui semble v.1061 (Acte 4, scène 2, NOTAIRE)
Nous savons comme il faut s'en défendre. v.1105 (Acte 4, scène 4, GEORGETTE)
Fais-je pas comme il faut ? v.1123 (Acte 4, scène 4, GEORGETTE)
Voulez-vous qu'à l'instant nous recommencions ? v.1127 (Acte 4, scène 4, ALAIN)
Comme à mon seul ami je veux bien vous l'apprendre, v.1176 (Acte 4, scène 6, HORACE)
Et comme si du sort il était arrêté, v.1198 (Acte 4, scène 7, ARNOLPHE)
Il y faut comme en tout fuir les extrémités, v.1251 (Acte 4, scène 8, CHRYSALDE)
Et comme je vous dis, toute l'habileté, v.1274 (Acte 4, scène 8, CHRYSALDE)
Mais comme c'est le sort qui nous donne une femme, v.1281 (Acte 4, scène 8, CHRYSALDE)
Et qu'il a ses plaisirs comme les autres choses. v.1305 (Acte 4, scène 8, CHRYSALDE)
Veut, comme je l'ai su m'attraper cette nuit, v.1331 (Acte 4, scène 9, ARNOLPHE)
Comment dans ce malheur je me dois comporter. v.1363 (Acte 5, scène 1, ARNOLPHE)
Et comme la douleur un assez long espace v.1388 (Acte 5, scène 2, HORACE)
Et comme je songeais à me retirer moi, v.1399 (Acte 5, scène 2, HORACE)
Et comme c'est à vous, sûr de votre prudence, v.1432 (Acte 5, scène 2, HORACE)
C'est à vous seul aussi, comme ami généreux, v.1434 (Acte 5, scène 2, HORACE)
Mais comment ferons-nous ? Car il fait un peu jour : v.1447 (Acte 5, scène 2, ARNOLPHE)
Tudieu ? Comme avec lui votre langue cajole ; v.1496 (Acte 5, scène 4, ARNOLPHE)
Comment, non ? v.1532 (Acte 5, scène 4, ARNOLPHE)
Que ne vous êtes-vous comme lui fait aimer ? v.1535 (Acte 5, scène 4, AGNES)
Voyez comme raisonne et répond la vilaine. v.1541 (Acte 5, scène 4, ARNOLPHE)
Tout comme tu voudras, tu pourras te conduire, v.1596 (Acte 5, scène 4, ARNOLPHE)
Qui, comme je disais, ne m'était pas connue, v.1629 (Acte 5, scène 6, HORACE)
Et tâchez, comme en vous il prend grande créance, v.1644 (Acte 5, scène 6, HORACE)
Mais il faut que ce choix vous plaise comme à moi. v.1667 (Acte 5, scène 7, ENRIQUE)
C'est parler comme il faut, et dans cette alliance, v.1696 (Acte 5, scène 7, ORONTE)
Et chacun a son tour, comme dit le proverbe. v.1713 (Acte 5, scène 8, ARNOLPHE)
Vous ne nous parlez point, comme il nous faut parler. v.1731 (Acte 5, scène 9, ORONTE)

LA JALOUSIE DU BARBOUILLÃ‰ (1650)

Sache auparavant que je ne suis pas seulement un docteur, mais que je suis une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, et dix fois docteur : 1° Parce que, comme l'unité est la base, le fondement et le premier de tous les nombres, aussi, moi, je suis le premier de tous les docteurs, le docte des doctes. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
2° Parce qu'il y a deux facultés nécessaires pour la parfaite connaissance de toutes choses : le sens et l'entendement ; et comme je suis tout sens et tout entendement, je suis deux fois docteur. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
3° Parce que le nombre de trois est celui de la perfection, selon Aristote ; et comme je suis parfait, et que toutes mes productions le sont aussi, je suis trois fois docteur. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
4° Parce que la philosophie a quatre parties : la logique, morale, physique et métaphysique ; et comme je les possède toutes quatre, et que je suis parfaitement versé en icelles, je suis quatre fois docteur. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
5° Parce qu'il y a cinq universelles : le genre, l'espèce, la différence, le propre et l'accident, sans la connaissance desquels il est impossible de faire aucun bon raisonnement ; et comme je m'en sers avec avantage, et que j'en connais l'utilité, je suis cinq fois docteur. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
6° Parce que le nombre de six est le nombre du travail ; et comme je travaille incessamment pour ma gloire, je suis six fois docteur. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
7° Parce que le nombre de sept est le nombre de la félicité ; et comme je possède une parfaite connaissance de tout ce qui peut rendre heureux, et que je le suis en effet par mes talents, je me sens obligé de dire de moi-même : O ter quatuorque beatum ! (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
10° Parce que, comme on ne peut passer le nombre de dix sans faire une répétition des autres nombres, et qu'il est le nombre universel, aussi, aussi, quand on m'a trouvé, on a trouvé le docteur universel : je contiens en moi tous les autres docteurs. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
Ma foi, je m'y suis mépris : à cause qu'il est vêtu comme un médecin, j'ai cru qu'il lui fallait parler d'argent ; mais puisqu'il n'en veut point, il n'y a rien plus aisé que de le contenter. (Acte 1, scène 2, LE BARBOUILLÉ)
Monsieur, je vous assure que vous m'obligez beaucoup de me tenir quelquefois compagnie : mon mari est si mal bâti, si débauché, si ivrogne, que ce m'est un supplice d'être avec lui, et je vous laisse à penser quelle satisfaction on peut avoir d'un rustre comme lui. (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
Mais aussi c'est lui qui commence toujours à... (Acte 1, scène 5, ANGÉLIQUE)
Commencez donc, Monsieur Gorgibus. (Acte 1, scène 6, LE DOCTEUR)
Vous commencez la narration sans avoir fait un mot d'exorde ? (Acte 1, scène 6, LE DOCTEUR)
Doucement, s'il vous plaît : parlez avec respect de votre époux, quand vous êtes devant la moustache d'un docteur comme moi. (Acte 1, scène 6, LE DOCTEUR)
Voilà qui est bien commencé : "Monsieur le Docteur !" ce mot de docteur a quelque chose de doux à l'oreille, quelque chose plein d'emphase : "Monsieur le Docteur !" (Acte 1, scène 6, LE DOCTEUR)
Ce maroufle-là me laisse toute seule à la maison, comme si j'étais son chien. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
J'ai été trop tard, l'assemblée est finie : je suis arrivée justement comme tout le monde sortait ; mais il n'importe, ce sera pour une autre fois. (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
Je m'en vais cependant au logis comme si de rien n'était. (Acte 1, scène 10, ANG?LIQUE)
Ma foi, tu peux aller coucher d'où tu viens, ou, si tu l'aimes mieux, dans la rue : je n'ouvre point à une coureuse comme toi. (Acte 1, scène 11, LE BARBOUILLÉ)
Comment, diable ! (Acte 1, scène 11, LE BARBOUILL?)
Tu me querelles quand je suis en compagnie : comment faut-il donc faire ? (Acte 1, scène 11, ANGÉLIQUE)
Non, je suis inflexible : tu m'as offensé, je suis vindicatif comme tous les diables, c'est-à-dire bien fort ; je suis inexorable. (Acte 1, scène 11, LE BARBOUILLÉ)
Elle est morte, et si elle court comme le cheval de Pacolet. (Acte 1, scène 11, LE BARBOUILLÉ)
Ne devriez-vous pas, comme un bon père de famille, vous retirer de bonne heure, et bien vivre avec votre femme ? (Acte 1, scène 12, GORGIBUS)

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LE MÃ‰DECIN VOLANT (1659)

Mon oncle veut résolument que ma cousine épouse Villebrequin, et les affaires sont tellement avancées que je crois qu'ils eussent été mariés dès aujourd'hui, si vous n'étiez aimé ; mais comme ma cousine m'a confié le secret de l'amour qu'elle vous porte, et que nous nous sommes vues à l'extrémité par l'avarice de mon vilain oncle, nous nous sommes avisées d'une bonne invention pour différer le mariage. (Acte 1, scène 1, SABINE)
J'ai besoin de toi dans une affaire de conséquence ; mais, comme je ne sais pas ce que tu sais faire... (Acte 1, scène 2, SABINE)
Laissez-moi faire ; s'il est un homme facile, comme vous le dites, je vous réponds de tout ; venez seulement me faire avoir un habit de médecin, et m'instruire de ce qu'il faut faire, et me donner mes licences, qui sont les dix pistoles promises. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Ovide, ce grand médecin, au chapitre qu'il a fait de la nature des animaux, dit... cent belles choses ; et comme les humeurs qui ont de la connexité ont beaucoup de rapport ; car, par exemple, comme la mélancolie est ennemie de la joie, et que la bile qui se répand par le corps nous fait devenir jaunes, et qu'il n'est rien plus contraire à la santé que la maladie, nous pouvons dire, avec ce grand homme, que votre fille est fort malade. (Acte 1, scène 5, SGANARELLE)
J'ai ouï dire que la fille de Monsieur Gorgibus était malade : il faut que je m'informe de sa santé, et que je lui offre mes services comme ami de toute sa famille. (Acte 1, scène 6, AVOCAT)
Je suis son frère, Monsieur ; nous sommes gémeaux ; et comme nous nous ressemblons fort, on nous prend quelquefois l'un pour l'autre. (Acte 1, scène 11, SGANARELLE)
Et comme vous nommez-vous ? (Acte 1, scène 11, GORGIBUS)
Comme diable on saute ici par les fenêtres ! (Acte 1, scène 15, GROS-RENE)
Comme il baisse la vue ! (Acte 1, scène 15, SGANARELLE)
L'hypocrite, comme il fait le bon apôtre ! (Acte 1, scène 15, SGANARELLE)

LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS (1689)

Je serais ici il y a une heure, s'il n'y avait point de fâcheux au monde, et j'ai été arrêté en chemin par un vieux importun de qualité, qui m'a demandé tout exprès des nouvelles de la Cour, pour trouver moyen de m'en dire des plus extravagantes qu'on puisse débiter, et c'est là, comme vous savez, le fléau des petites villes, que ces grands Nouvellistes qui cherchent partout où répandre les contes qu'ils ramassent. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
Ensuite, comme d'une chose fort curieuse, il m'a fait, avec grand mystère une fatigante lecture de toutes les sottises de la Gazette de Hollande, dont il épouse les intérêts. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
Vous savez comme moi que les démêlés de nos deux familles, ne nous permettent point de nous voir autre part, et que mes frères, non plus que votre père, ne sont pas assez raisonnables pour souffrir notre attachement. (Acte 1, scène 1, JULIE)
Iris, comme vous le voyez, est mis là pour Julie. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
Comment, il vous a vue ? (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Doucement donc maladroite, comme vous me saboulez la tête avec vos mains pesantes ! (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Je veux, Madame, comme vous m'avez dit, porter cela aux garde-robes. (Acte 1, scène 2, ANDRÉE)
Est-ce maître Charles que vous appelez comme cela ? (Acte 1, scène 2, ANDRÉE)
Comment, vous n'en avez point ? (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Hé bien vous ai-je dit comme cela, tête de boeuf ? (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Car pour Monsieur votre Vicomte, quoique Vicomte de province, c'est toujours un Vicomte, et il peut faire un voyage à Paris, s'il n'en a point fait ; mais un conseiller, et un receveur, sont des amants un peu bien minces, pour une grande Comtesse comme vous. (Acte 1, scène 2, JULIE)
Vous avez raison, Madame, et Monsieur le Vicomte dût-il s'en offenser, j'aimerais un homme qui m'écrirait comme cela. (Acte 1, scène 4, JULIE)
Qui couvre vos appas, la nuit comme le jour. v.32 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR TIBAUDIER)
Comment, Madame, me moquer ? (Acte 1, scène 5, LE VICOMTE)
Quoique son rival, je trouve ces vers admirables, et ne les appelle pas seulement deux strophes, comme vous, mais deux épigrammes, aussi bonnes que toutes celles de Martial. (Acte 1, scène 5, LE VICOMTE)
Monsieur Tibaudier a lu les auteurs, comme vous le voyez. (Acte 1, scène 5, LE VICOMTE)
À huit heures trois quarts, Madame, comme votre commandement me l'avait ordonné. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BOBINET)
Comment se portent mes deux autres fils, le Marquis, et le Commandeur ? (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Qu'on commence le plus tôt qu'on pourra, et qu'on empêche, s'il se peut, qu'aucun fâcheux ne vienne troubler notre divertissement. (Acte 1, scène 7, LE VICOMTE)
Vient-on interrompre comme cela une comédie ? (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
Monsieur Tibaudier en use comme il lui plaît, je ne sais pas de quelle façon Monsieur Tibaudier a été avec vous, mais Monsieur Tibaudier n'est pas un exemple pour moi, et je ne suis point d'humeur à payer les violons pour faire danser les autres. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR HARPIN)
Je veux dire que je ne trouve point étrange que vous vous rendiez au mérite de Monsieur le Vicomte : vous n'êtes pas la première femme qui joue dans le monde de ces sortes de caractères, et qui ait auprès d'elle un Monsieur le Receveur, dont on lui voit trahir et la passion, et la bourse pour le premier venu qui lui donnera dans la vue ; mais ne trouvez point étrange aussi que je ne sois point la dupe d'une infidélité si ordinaire aux coquettes du temps, et que je vienne vous assurer devant bonne compagnie que je romps commerce avec vous, et que Monsieur le Receveur ne sera plus pour vous Monsieur le Donneur. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR HARPIN)
Cela est merveilleux, comme les amants emportés deviennent à la mode ; on ne voit autre chose de tous côtés. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
Les jaloux, Madame, sont comme ceux qui perdent leur procès, ils ont permission de tout dire. (Acte 1, scène 8, LE VICOMTE)
Comment donc ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)

L'ÉTOURDI (1663)

Pour moi, dans ses discours, comme dans son visage, v.27 (Acte 1, scène 2, LÉLIE)
Ah ! Comme vous courez ! v.77 (Acte 1, scène 2, MASCARILLE)
Comme vous voudriez bien, manier ses ducats : v.102 (Acte 1, scène 2, MASCARILLE)
Mais je les sais comme elle, et d'un esprit plus doux, v.161 (Acte 1, scène 4, CÉLIE)
À quoi bon se montrer ? Et comme un étourdi, v.189 (Acte 1, scène 4, MASCARILLE)
Sont comme les enfants que l'on conçoit en joie, v.208 (Acte 1, scène 5, ANSELME)
C'est lors que les douleurs commencent à nous prendre ; v.212 (Acte 1, scène 5, ANSELME)
Que comme un époux, v.234 (Acte 1, scène 5, MASCARILLE)
Et comme l'innocence est toujours opprimée. v.311 (Acte 1, scène 7, MASCARILLE)
Que vous avez du ciel, comme on le considère ; v.320 (Acte 1, scène 7, MASCARILLE)
Et, comme lui, vivez en personne d'honneur. v.322 (Acte 1, scène 7, MASCARILLE)
C'est parler comme il faut. Et que peut-il répondre ? v.323 (Acte 1, scène 7, PANDOLFE)
Comme quand il peut voir qu'on le touche en l'honneur. v.414 (Acte 1, scène 8, MASCARILLE)
Mais déjà je commence à perdre mon courroux, v.418 (Acte 1, scène 8, MASCARILLE)
J'ai commencé pour vous un hardi stratagème : v.469 (Acte 2, scène 1, MASCARILLE)
Il a volé d'abord, et comme à la campagne v.481 (Acte 2, scène 1, MASCARILLE)
Je vous le garantis trépassé comme il faut ; v.515 (Acte 2, scène 2, MASCARILLE)
Il hérite beaucoup, mais comme en ses affaires, v.521 (Acte 2, scène 2, MASCARILLE)
Comme à ce mot s'augmente sa douleur, v.551 (Acte 2, scène 3, MASCARILLE)
Las ! En l'état qu'il est, comment vous contenter ! v.563 (Acte 2, scène 3, MASCARILLE)
Comme depuis sa mort sa face est amaigrie ! v.573 (Acte 2, scène 4, ANSELME)
Je crains fort de vous voir comme un géant grandir, v.601 (Acte 2, scène 4, ANSELME)
Mais je n'en ai point vu de faux, comme je crois. v.649 (Acte 2, scène 5, LÉLIE)
Je vais, comme je crois, savoir ce qu'il projette. v.715 (Acte 2, scène 7, MASCARILLE)
Qu'un garçon comme toi, plein d'esprit et fidèle, v.743 (Acte 2, scène 7, LÉANDRE)
Mais quoi ! Mon père l'est, comme il a volonté, v.757 (Acte 2, scène 7, LÉANDRE)
Jamais, certes, jamais plus beau commencement, v.833 (Acte 2, scène 10, MASCARILLE)
Comme d'un grand seigneur écrite à Trufaldin, v.857 (Acte 2, scène 11, LÉLIE)
Mais, sais-tu bien comment ? En saison si bien prise, v.868 (Acte 2, scène 11, LÉLIE)
Et qui s'évanouit, comme l'on peut savoir, v.977 (Acte 3, scène 2, MASCARILLE)
Comment vos gens ? v.1057 (Acte 3, scène 4, LÉANDRE)
Le trait est admirable ! Et comment donc le vôtre ? v.1060 (Acte 3, scène 4, LÉLIE)
Aux vieillards comme lui sont de dures atteintes, v.1132 (Acte 3, scène 4, MASCARILLE)
C'est ne se point commettre à faire de l'éclat, v.1181 (Acte 3, scène 5, MASCARILLE)
Et comme je vous ai rencontré par hasard, v.1197 (Acte 3, scène 6, ERGASTE)
Au moins, si l'on vous voit commettre une sottise, v.1263 (Acte 4, scène 1, MASCARILLE)
Mais comment Trufaldin chez lui t'a-t-il reçu ? v.1266 (Acte 4, scène 1, LÉLIE)
Et, comme pour résoudre avec votre maîtresse. v.1292 (Acte 4, scène 1, MASCARILLE)
Va, va-t'en commencer, il ne me faut plus rien. v.1369 (Acte 4, scène 1, LÉLIE)
Dans Naples son destin a commencé son cours. v.1430 (Acte 4, scène , LÉLIE)
Mais comme votre père ému pour votre bien, v.1453 (Acte 4, scène 3, ANSELME)
Bref, comme je voudrais, d'une âme franche et pure, v.1455 (Acte 4, scène 3, ANSELME)
Et comment donc ? v.1513 (Acte 4, scène 4, LÉLIE)
Comment ? Chacun a pu le voir. v.1513 (Acte 4, scène 4, MASCARILLE)
Attaché dessus vous, comme un joueur de boule, v.1535 (Acte 4, scène 4, MASCARILLE)
Propre, comme je pense, à rosser les épaules, v.1556 (Acte 4, scène 5, TRUFALDIN)
Peut-on vous demander comme va votre dos ? v.1593 (Acte 4, scène 6, MASCARILLE)
Et comme on résistait à lâcher sa personne, v.1684 (Acte 5, scène 1, ERGASTE)
Que si comme devant, il vous faut encore suivre, v.1736 (Acte 5, scène 2, ANDRES)
Comme de mes destins le Ciel veut disposer. v.1774 (Acte 5, scène 4, LÉLIE)
Comme je conjecture au moins, ne saurait être, v.1788 (Acte 5, scène 4, LÉLIE)
Comme je vous connais, j'étais dans l'épouvante, v.1831 (Acte 5, scène 5, MASCARILLE)
Et je t'ai déjà dit qu'un coeur comme le nôtre, v.1871 (Acte 5, scène 7, CÉLIE)
Andrès est votre frère, et comme de sa soeur v.2005 (Acte 5, scène 9, MASCARILLE)
Le ciel en sa faveur produit comme un miracle. v.2020 (Acte 5, scène 9, MASCARILLE)
Sais-tu déjà comment le ciel nous est prospère ? v.2024 (Acte 5, scène 10, TRUFALDIN)

LE MARIAGE FORCÃ‰ (1668)

Que l'on ait bien soin du logis ; et que tout aille comme il faut. (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
Et là-dessus je vous dirai franchement et en ami, comme vous m'avez fait promettre de vous parler, que le mariage n'est guère votre fait. (Acte 1, scène 1, GERONIMO)
Outre la joie que j'aurai de posséder une belle femme, qui me fera mille caresses ; qui me dorlotera, et me viendra frotter, lorsque je serai las : outre cette joie, dis-je, je considère, qu'en demeurant comme je suis, je laisse périr dans le monde la race des Sganarelles ; et qu'en me mariant, je pourrai me voir revivre en d'autres moi-mêmes ; que j'aurai le plaisir de voir des Créatures, qui seront sorties de moi ; de petites figures qui me ressembleront comme deux gouttes d'eau ; qui se joueront continuellement dans la maison ; qui m'appelleront leur papa, quand je reviendrai de la ville, et me diront de petites folies les plus agréables du monde. (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
Enfin, toute votre personne sera à ma discrétion ; et je serai à même, pour vous caresser, comme je voudrai. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Dieu merci, vous êtes venu heureusement pour cela, et je me prépare désormais à me donner du divertissement, et à réparer comme il faut le temps que j'ai perdu. (Acte 1, scène 2, DORIMENE)
Comme vous êtes un fort galant homme, et que vous savez comme il faut vivre ; je crois que nous ferons le meilleur ménage du monde ensemble, et que vous ne serez point de ces maris incommodes, qui veulent que leurs femmes vivent comme des loups-garous. (Acte 1, scène 2, DORIMENE)
Nous n'aurons jamais aucun démêlé ensemble ; et je ne vous contraindrai point dans vos actions ; comme j'espère que de votre côté vous ne me contraindrez point dans les miennes : car pour moi, je tiens qu'il faut avoir une complaisance mutuelle ; et qu'on ne se doit point marier, pour se faire enrager l'un l'autre. (Acte 1, scène 2, DORIMENE)
Enfin nous vivrons, étant mariés, comme deux personnes qui savent leur monde. (Acte 1, scène 2, DORIMENE)
Aucun soupçon jaloux ne nous troublera la cervelle ; et c'est assez que vous serez assuré de ma fidélité, comme je serai persuadée de la vôtre. (Acte 1, scène 2, DORIMENE)
Comment ! (Acte 1, scène 3, GERONIMO)
Vous savez que les songes sont comme des miroirs, où l'on découvre quelquefois tout ce qui nous doit arriver. (Acte 1, scène 3, SGANARELLE)
Comme ils sont de sectes différentes, vous pouvez examiner leurs diverses opinions là-dessus. (Acte 1, scène 3, GERONIMO)
Comment ? (Acte 1, scène 4, SGANARELLE)
Oui, ignorant que vous êtes, c'est comme il faut parler ; et ce sont les termes exprès d'Aristote dans le chapitre de la Qualité. (Acte 1, scène 4, PANCRACE)
Son père me l'a accordée ; mais je crains un peu ce que vous savez, la disgrâce dont on ne plaint personne ; et je voudrais bien vous prier, comme philosophe, de me dire votre sentiment. (Acte 1, scène 4, SGANARELLE)
Je l'aime fort, et l'ai demandée à son père ; mais comme j'appréhende... (Acte 1, scène 4, SGANARELLE)
Comment, il n'est pas vrai que je suis venu ? (Acte 1, scène 5, SGANARELLE)
De grâce, répondez-moi, comme il faut. (Acte 1, scène 5, SGANARELLE)
Comment ? (Acte 1, scène 5, MARPHURIUS)
Avoir eu l'audace de battre un philosophe comme moi ! (Acte 1, scène 5, MARPHURIUS)
Comment, on ne saurait tirer une parole positive de ce chien d'homme-là ! (Acte 1, scène 5, SGANARELLE)
Et l'on est aussi savant à la fin qu'au commencement ! (Acte 1, scène 5, SGANARELLE)
Oui, Monsieur, je veux faire amitié avec vous ; et lier ensemble un petit commerce de visites et de divertissements. (Acte 1, scène 7, LYCASTE)
Ma fille vous trouve bien comme vous êtes ; et je suis sûr qu'elle vivra fort contente avec vous. (Acte 1, scène 8, ALCANTOR)
Monsieur, comme vous refusez d'épouser ma soeur après la parole donnée ; je crois que vous ne trouverez pas mauvais le petit compliment, que je viens vous faire. (Acte 1, scène 9, ALCIDAS)
Comment ? (Acte 1, scène 9, SGANARELLE)

LE BOURGEOIS GENTILHOMME (1673)

Nous avons trouvé ici un homme comme il nous le faut à tous deux ; ce nous est une douce rente que ce Monsieur Jourdain, avec les visions de noblesse et de galanterie qu'il est allé se mettre en tête. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE DE MUSIQUE)
J'en demeure d'accord, et je les goûte comme vous. (Acte 1, scène 1, LE MAÎTRE DE MUSIQUE)
Ses louanges sont monnayées ; et ce bourgeois ignorant nous vaut mieux, comme vous voyez, que le grand seigneur éclairé qui nous a introduits ici. (Acte 1, scène 1, LE MA?TRE DE MUSIQUE)
Comment ? (Acte 1, scène 2, LE MAÎTRE À DANSER)
Comment appelez-vous cela ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Je vous ai fait un peu attendre, mais c'est que je me fais habiller aujourd'hui comme les gens de qualité ; et mon tailleur m'a envoyé des bas de soie que j'ai pensé ne mettre jamais. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Vous me verrez équipé comme il faut, depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Mon tailleur m'a dit que les gens de qualité étaient comme cela le matin. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Me trouvez-vous bien comme cela ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Comment est-ce qu'il dit ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Vous devriez l'apprendre, Monsieur, comme vous faites la danse. (Acte 1, scène 2, LE MAÎTRE DE MUSIQUE)
Mais je ne sais quel temps je pourrai prendre ; car outre le maître d'armes qui me montre, j'ai arrêté encore un maître de philosophie, qui doit commencer ce matin. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Comment cela ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Au reste, Monsieur, ce n'est pas assez, il faut qu'une personne comme vous, qui êtes magnifique, et qui avez de l'inclination pour les belles choses, ait un concert de musique chez soi tous les mercredis ou tous les jeudis. (Acte 2, scène 1, LE MAÎTRE DE MUSIQUE)
Apprenez-moi comme il faut faire une révérence pour saluer une marquise ; j'en aurai besoin tantôt. (Acte 2, scène 1, MONSIEUR JOURDAIN)
Je vous l'ai déjà dit, tout le secret des armes ne consiste qu'en deux choses, à donner, et à ne point recevoir ; et comme je vous fis voir l'autre jour par raison démonstrative, il est impossible que vous receviez, si vous savez détourner l'épée de votre ennemi de la ligne de votre corps ; ce qui ne dépend seulement que d'un petit mouvement du poignet ou en dedans, ou en dehors. (Acte 2, scène 2, LE MAÎTRE D'ARMES)
Et c'est en quoi l'on voit de quelle considération nous autres nous devons être dans un État, et combien la science des armes l'emporte hautement sur toutes les autres sciences inutiles, comme la danse, la musique, la... (Acte 2, scène 2, LE MAÎTRE D'ARMES)
Mon petit maître à danser, je vous ferais danser comme il faut. (Acte 2, scène 2, LE MAÎTRE D'ARMES)
Comment ? (Acte 2, scène 2, LE MAÎTRE D'ARMES)
Comment ? (Acte 2, scène 2, LE MAÎTRE À DANSER)
Comment, Monsieur, il vient nous dire des injures à tous deux, en méprisant la danse que j'exerce, et la musique dont il fait profession. (Acte 2, scène 3, LE MAÎTRE À DANSER)
Comment ? Marauds que vous êtes... (Acte 2, scène 3, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)
Un philosophe sait recevoir comme il faut les choses, et je vais composer contre eux une satire du style de Juvénal, qui les déchirera de la belle façon. (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)
Oui, mais faites comme si je ne le savais pas. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR JOURDAIN)
N'avez-vous point quelques principes, quelques commencements des sciences ? (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)
Par où vous plaît-il que nous commencions ? (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)
Je suis bilieux comme tous les diables ; et il n'y a morale qui tienne, je me veux mettre en colère tout mon soûl, quand il m'en prend envie. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR JOURDAIN)
Pour bien suivre votre pensée et traiter cette matière en philosophe, il faut commencer selon l'ordre des choses, par une exacte connaissance de la nature des lettres, et de la différente manière de les prononcer toutes. (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)
L'ouverture de la bouche fait justement comme un petit rond qui représente un O. (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)
Vos deux lèvres s'allongent comme si vous faisiez la moue : d'où vient que si vous la voulez faire à quelqu'un, et vous moquer de lui, vous ne sauriez lui dire que U. (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)
Et comme l'on parle qu'est-ce que c'est donc que cela ? (Acte 2, scène 4, MONSIEUR JOURDAIN)
Non, vous dis-je, je ne veux que ces seules paroles-là dans le billet ; mais tournées à la mode, bien arrangées comme il faut. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR JOURDAIN)
On les peut mettre premièrement comme vous avez dit : Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour. (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)
Comment ? (Acte 2, scène 4, MONSIEUR JOURDAIN)
Comment, point du tout ? (Acte 2, scène 5, MONSIEUR JOURDAIN)
La perruque, et les plumes sont-elles comme il faut ? (Acte 2, scène 5, MONSIEUR JOURDAIN)
Cela ne va pas comme cela. (Acte 2, scène 5, LE MAÎTRE TAILLEUR)
Comment m'appelez-vous ? (Acte 2, scène 5, MONSIEUR JOURDAIN)
Comme vous voilà bâti ! (Acte 3, scène 2, NICOLE)
Comment donc ? (Acte 3, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Vous êtes tout à fait drôle comme cela. (Acte 3, scène 2, NICOLE)
Que tu nettoies comme il faut... (Acte 3, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Mais a-t-on jamais vu une pendarde comme celle-là, qui me vient rire insolemment au nez, au lieu de recevoir mes ordres ? (Acte 3, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
Vous parlez toutes deux comme des bêtes, et j'ai honte de votre ignorance. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR JOURDAIN)
Comment est-ce que cela s'appelle ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR JOURDAIN)
Cela s'appelle comme on veut l'appeler. (Acte 3, scène 3, MADAME JOURDAIN)
Et toi, sais-tu bien comme il faut faire pour dire un U ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR JOURDAIN)
Comment ? (Acte 3, scène 3, NICOLE)
C'est une personne d'importance plus que vous ne pensez ; un seigneur que l'on considère à la Cour, et qui parle au Roi tout comme je vous parle. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR JOURDAIN)
N'est-ce pas une chose qui m'est tout à fait honorable, que l'on voie venir chez moi si souvent une personne de cette qualité, qui m'appelle son cher ami, et me traite comme si j'étais son égal ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR JOURDAIN)
Mon cher ami, Monsieur Jourdain, comment vous portez-vous ? (Acte 3, scène 4, DORANTE)
Et Madame Jourdain que voilà comment se porte-t-elle ? (Acte 3, scène 4, DORANTE)
Madame Jourdain se porte comme elle peut. (Acte 3, scène 4, MADAME JOURDAIN)
Comment, Monsieur Jourdain, vous voilà le plus propre du monde ! (Acte 3, scène 4, DORANTE)
Je suis votre débiteur, comme vous le savez. (Acte 3, scène 4, DORANTE)
J'ai force gens qui m'en prêteraient avec joie ; mais, comme vous êtes mon meilleur ami, j'ai cru que je vous ferais tort si j'en demandais à quelque autre. (Acte 3, scène 4, DORANTE)
Comment se porte-t-elle ? (Acte 3, scène 5, DORANTE)
Je pense, Madame Jourdain, que vous avez eu bien des amants dans votre jeune âge, belle et d'agréable humeur comme vous étiez. (Acte 3, scène 5, DORANTE)
Notre belle Marquise, comme je vous ai mandé par mon billet, viendra tantôt ici pour le ballet et le repas; et je l'ai fait consentir enfin au cadeau que vous lui voulez donner. (Acte 3, scène 6, DORANTE)
Comment l'a-t-elle trouvé ? (Acte 3, scène 6, MONSIEUR JOURDAIN)
Je lui ai fait valoir comme il faut la richesse de ce présent et la grandeur de votre amour. (Acte 3, scène 6, DORANTE)
Pour moi, je ne regarde rien, quand il faut servir un ami ; et lorsque vous me fîtes confidence de l'ardeur que vous aviez prise pour cette Marquise agréable chez qui j'avais commerce, vous vîtes que d'abord je m'offris de moi-même à servir votre amour. (Acte 3, scène 6, DORANTE)
Je suis deux jours sans la voir, qui sont pour moi deux siècles effroyables ; je la rencontre par hasard ; mon coeur à cette vue, se sent tout transporté, ma joie éclate sur mon visage ; je vole avec ravissement vers elle ; et l'infidèle détourne de moi ses regards, et passe brusquement comme si de sa vie elle ne m'avait vu ! (Acte 3, scène 9, CLÉONTE)
Je veux contre elle conserver mon ressentiment, et rompre ensemble tout commerce. (Acte 3, scène 9, CLÉONTE)
Puisque cela va comme cela, je vois bien que vous avez envie de l'aimer toujours. (Acte 3, scène 9, COVIELLE)
Oui, perfide, ce l'est, puisqu'il faut parler ; et j'ai à vous dire que vous ne triompherez pas comme vous pensez de votre infidélité, que je veux être le premier à rompre avec vous, et que vous n'aurez pas l'avantage de me chasser. (Acte 3, scène 10, CLÉONTE)
Plus de commerce. (Acte 3, scène 10, COVIELLE)
Puisque tu fais comme cela, prends-le tout comme tu voudras. (Acte 3, scène 10, NICOLE)
Et si vous aviez voulu m'écouter, ne vous aurais-je pas dit que l'aventure dont vous vous plaignez, a été causée ce matin par la présence d'une vieille tante, qui veut à toute force, que la seule approche d'un homme déshonore une fille ; qui perpétuellement nous sermonne sur ce chapitre, et nous figure tous les hommes comme des diables qu'il faut fuir ? (Acte 3, scène 10, LUCILE)
C'est la chose comme elle est. (Acte 3, scène 10, NICOLE)
Comment ? (Acte 3, scène 12, CLÉONTE)
Vous moquez-vous, de le prendre sérieusement avec un homme comme cela ? (Acte 3, scène 13, COVIELLE)
Comment ? (Acte 3, scène 13, CLÉONTE)
Monsieur dit comme cela qu'il va venir ici tout à l'heure. (Acte 3, scène 15, LAQUAIS)
Les visites fréquentes ont commencé ; les déclarations sont venues ensuite, qui après elles ont traîné les sérénades et les cadeaux, que les présents ont suivis. (Acte 3, scène 15, DORIMÈNE)
Comment ? (Acte 3, scène 16, DORIMÈNE)
Madame, ce m'est une gloire bien grande de me voir assez fortuné, pour être si heureux, que d'avoir le bonheur que vous ayez eu la bonté de m'accorder la grâce de me faire l'honneur de m'honorer de la faveur de votre présence : et si j'avais aussi le mérite, pour mériter un mérite comme le vôtre, et que le Ciel... envieux de mon bien... m'eût accordé... l'avantage de me voir digne... des... (Acte 3, scène 16, MONSIEUR JOURDAIN)
C'est un bon bourgeois assez ridicule, comme vous voyez, dans toutes ses manières. (Acte 3, scène 16, DORANTE)
Ne pourrais-je pas seulement lui demander comment elle le trouve ? (Acte 3, scène 16, MONSIEUR JOURDAIN)
Comment ? (Acte 3, scène 16, DORANTE)
Gardez-vous-en bien : cela serait vilain à vous ; et pour agir en galant homme, il faut que vous fassiez comme si ce n'était pas vous qui lui eussiez fait ce présent. (Acte 3, scène 16, DORANTE)
Comment, Dorante, voilà un repas tout à fait magnifique ! (Acte 4, scène 1, DORIMÈNE)
Comme c'est moi qui l'ai ordonné, et que je n'ai pas sur cette matière les lumières de nos amis, vous n'avez pas ici un repas fort savant, et vous y trouverez des incongruités de bonne chère et des barbarismes de bon goût. (Acte 4, scène 1, DORANTE)
Si Damis s'en était mêlé, tout serait dans les règles ; il y aurait partout de l'élégance et de l'érudition, et il ne manquerait pas de vous exagérer lui-même toutes les pièces du repas qu'il vous donnerait, et de vous faire tomber d'accord de sa haute capacité dans la science des bons morceaux, de vous parler d'un pain de rive, à biseau doré, relevé de croûte partout, croquant tendrement sous la dent ; d'un vin à sève veloutée, armé d'un vert qui n'est point trop commandant ; d'un carré de mouton gourmandé de persil ; d'une longe de veau de rivière, longue comme cela, blanche, délicate, et qui sous les dents est une vraie pâte d'amande ; de perdrix relevées d'un fumet surprenant ; et pour son opéra, d'une soupe à bouillon perlé, soutenue d'un jeune gros dindon cantonné de pigeonneaux, et couronnée d'oignons blancs, mariés avec la chicorée. Mais pour moi, je vous avoue mon ignorance ; et comme Monsieur Jourdain a fort bien dit, je voudrais que le repas fût plus digne de vous être offert. (Acte 4, scène 1, DORANTE)
Je ne réponds à ce compliment, qu'en mangeant comme je fais. (Acte 4, scène 1, DORIMÈNE)
Comment, Madame, pour qui prenez-vous Monsieur Jourdain ? (Acte 4, scène 1, DORANTE)
Voilà comme vous dépensez votre bien, et c'est ainsi que vous festinez les dames en mon absence, et que vous leur donnez la musique et la comédie, tandis que vous m'envoyez promener. (Acte 4, scène 2, MADAME JOURDAIN)
Cela est fort vilain à vous, pour un grand seigneur, de prêter la main comme vous faites aux sottises de mon mari. (Acte 4, scène 2, MADAME JOURDAIN)
Comment dites-vous ? (Acte 4, scène 3, MONSIEUR JOURDAIN)
Je ne sais donc pas comment le monde est fait. (Acte 4, scène 3, MONSIEUR JOURDAIN)
Comment ? (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
Depuis avoir connu feu Monsieur votre père, honnête gentilhomme, comme je vous ai dit, j'ai voyagé par tout le monde. (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
Comment ? (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
Il a un train tout à fait magnifique ; tout le monde le va voir, et il a été reçu en ce pays comme un seigneur d'importance. (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
Comme je le fus voir, et que j'entends parfaitement sa langue, il s'entretint avec moi ; et après quelques autres discours, il me dit. (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
Comme je lui eus répondu que je vous connaissais particulièrement, et que j'avais vu votre fille : ah, me dit-il, marababa sahem ; c'est-à-dire, Ah que je suis amoureux d'elle ! (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
Comment ? (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
C'est-à-dire ; Monsieur Jourdain, votre coeur soit toute l'année comme un rosier fleuri. (Acte 4, scène 4, COVIELLE)
Oui, la langue turque est comme cela, elle dit beaucoup en peu de paroles. (Acte 4, scène 4, COVIELLE)
Comme te voilà ajusté ! (Acte 4, scène 5, DORANTE)
Comment ? (Acte 4, scène 5, DORANTE)
Qui vous a fagoté comme cela ? (Acte 5, scène 1, MADAME JOURDAIN)
Comment donc ? (Acte 5, scène 1, MADAME JOURDAIN)
Comment ? (Acte 5, scène 1, MADAME JOURDAIN)
Cela n'est rien, j'excuse en elle un pareil mouvement ; votre coeur lui doit être précieux, et il n'est pas étrange que la possession d'un homme comme vous puisse inspirer quelques alarmes. (Acte 5, scène 3, DORIMÈNE)
Nous voudrions bien, comme vos amis, lui rendre nos devoirs. (Acte 5, scène 3, DORANTE)
Monsieur nous venons faire la révérence à Votre Altesse, comme amis de Monsieur votre beau-père, et l'assurer avec respect de nos très humbles services. (Acte 5, scène 4, DORANTE)
Dites-lui un peu que Monsieur et Madame sont des personnes de grande qualité, qui lui viennent faire la révérence, comme mes amis, et l'assurer de leurs services. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR JOURDAIN)
Vous allez voir comme il va répondre. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR JOURDAIN)
Comment, mon père, comme vous voilà fait ! (Acte 5, scène 5, LUCILE)
Comment donc ? (Acte 5, scène 6, MADAME JOURDAIN)
Comment, Madame Jourdain, vous vous opposez à un bonheur comme celui-là ? (Acte 5, scène 6, DORANTE)
Je l'étranglerais de mes mains, si elle avait fait un coup comme celui-là. (Acte 5, scène 6, MADAME JOURDAIN)
Ah comme cela, je me rends[.] (Acte 5, scène 6, MADAME JOURDAIN)
Il me l'a expliqué comme il faut, et j'en suis satisfaite. Envoyons quérir un notaire. (Acte 5, scène 6, MADAME JOURDAIN)
Être comme eux. v.305 (Acte 5, scène 11, LES DEUX MUSICIENS)

LE SICILIEN (1668)

Il fait noir comme dans un four ; le ciel s'est habillé, ce soir, en Scaramouche ; et je ne vois pas une étoile qui montre le bout de son nez. (Acte 1, scène 1, HALI)
Il est vrai qu'elle, et moi, souvent, nous nous sommes parlé des yeux : mais comment reconnaître que chacun, de notre côté, nous ayons, comme il faut, expliqué ce langage ? (Acte 1, scène 2, ADRASTE)
Recommencent leurs chants dans ces vastes forêts ; v.8 (Acte 1, scène 3, DEUXIÈME MUSICIEN)
Et moi j'y recommence v.9 (Acte 1, scène 3, DEUXI?ME MUSICIEN)
Oui, jaloux de ces choses-là ; mais jaloux comme un tigre, et, si vous voulez, comme un Diable. (Acte 1, scène 6, DON PÈDRE)
Si vous ne me laissez jouir d'aucune liberté, et me fatiguez, comme on voit, d'une garde continuelle ? (Acte 1, scène 6, ISIDORE)
Mais comme je me mêle un peu de musique, et de danse, j'ai instruit quelques esclaves qui voudraient bien trouver un maître qui se plût à ces choses ; et comme je sais que vous êtes une personne considérable, je voudrais vous prier de les voir, et de les entendre, pour les acheter, s'ils vous plaisent, ou pour leur enseigner quelqu'un de vos amis qui voulût s'en accommoder. (Acte 1, scène 7, HALI)
Comment, coquin... (Acte 1, scène 8, DON PÈDRE)
Je me suis rencontré chez le peintre Damon, qui m'a dit, qu'aujourd'hui, il venait faire le portrait de cette adorable personne : et comme il est, depuis longtemps, de mes plus intimes amis, il a voulu servir mes feux, et m'envoie à sa place, avec un petit mot de lettre, pour me faire accepter. (Acte 1, scène 9, ADRASTE)
Je vous envoie, au lieu de moi, pour le portrait que vous savez, ce gentilhomme français, qui, comme curieux d'obliger les honnêtes gens, a bien voulu prendre ce soin, sur la proposition que je lui en ai faite. (Acte 1, scène 10, DON PÈDRE)
Je n'ai pas grande habileté ; mais le sujet, ici, ne fournit que trop de lui-même, et il y a moyen de faire quelque chose de beau sur un original fait comme celui-là. (Acte 1, scène 11, ADRASTE)
Il y a bien de la peine à vous mettre ; ne sauriez-vous vous tenir comme il faut ? (Acte 1, scène 11, DON PÈDRE)
Comme cela, s'il vous plaît. (Acte 1, scène 11, ADRASTE)
Je ne suis pas comme ces femmes qui veulent, en se faisant peindre, des portraits qui ne sont point elles, et ne sont point satisfaites du peintre, s'il ne les fait, toujours, plus belles que le jour. (Acte 1, scène 11, ISIDORE)
Laissez-moi, je vous prie, la traiter comme elle mérite. (Acte 1, scène 15, ADRASTE)
C'est une grâce que je vous demande : et je la recevrai comme un essai de l'amitié que je veux qui soit entre nous. (Acte 1, scène 15, DON PÈDRE)
Comment ! (Acte 1, scène 18, DON PÈDRE)
Comment ! (Acte 1, scène 19, DON PÈDRE)

DON GARCIE DE NAVARRE (1682)

Don Sylve, comme lui, fit briller à mes yeux v.5 (Acte 1, scène 1, DONA ELVIRE)
Un éclat à briser tout commerce entre nous ? v.58 (Acte 1, scène 1, DONA ELVIRE)
C'est un soin qu'à ma bouche, il me vaut mieux commettre. v.148 (Acte 1, scène 1, DONA ELVIRE)
Et que ce que les uns regardent comme outrage, v.155 (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
Par le feu roi mourant, commettre son enfance, v.168 (Acte 1, scène 2, DON ALVAR)
Des grands, comme du peuple ont pratiqué les [âmes,] v.180 (Acte 1, scène 2, DON ALVAR)
Quand vous saurez m'aimer comme il faut que l'on aime. v.248 (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
Et m'en remercier, comme d'une victoire, v.460 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
Son coeur comme sa main se fait connaître ici ; v.507 (Acte 2, scène 4, DON GARCIE)
Je ne sais comme il est demeuré sur ma table ; v.597 (Acte 2, scène 6, ÉLISE)
Comme il la dépliait, Léonor a voulu v.602 (Acte 2, scène 6, ?LISE)
Pour vouloir m'obliger à commettre une faute ; v.905 (Acte 3, scène 2, DONA ELVIRE)
Madame, mon abord, comme je connais bien, v.966 (Acte 3, scène 3, DON GARCIE)
Comme vous l'assurez, vous n'étiez point instruite ; v.973 (Acte 3, scène 3, DON GARCIE)
Ne commettez-vous point vos vertus héroïques, v.988 (Acte 3, scène 3, DON GARCIE)
Mais comme entre rivaux, l'âme la plus posée, v.1072 (Acte 3, scène 4, DON SYLVE)
Mais comme trop d'ardeur, enfin, m'avait séduit, v.1202 (Acte 4, scène 6, DON GARCIE)
Ne m'étonnerait pas comme cette aventure ; v.1233 (Acte 4, scène 7, DON GARCIE)
Mais, enfin, vous savez comme nos destinées, v.1592 (Acte 5, scène 3, DONA ELVIRE)
Cédez comme moi, Prince, à cette violence, v.1596 (Acte 5, scène 3, DONA ELVIRE)
Et déjà mon rival commence de paraître. v.1637 (Acte 5, scène 3, DON GARCIE)
Et j'admire avec tous, comme en si peu de temps, v.1694 (Acte 5, scène 5, DONA ELVIRE)
Commence d'être Roi pour me tyranniser. v.1707 (Acte 5, scène 5, DONA ELVIRE)
Mais le seul peuple, enfin, comme on nous fait savoir, v.1730 (Acte 5, scène 5, DON SYLVE)

LA CRITIQUE DE L'Ã‰COLE DES FEMMES (1663)

On ne dit pas cela aussi, comme une chose spirituelle, et la plupart de ceux qui affectent ce langage, savent bien eux-mêmes qu'il est ridicule. (Acte 1, scène 1, URANIE)
Elle l'avait invité à souper, comme bel esprit, et jamais il ne parut si sot, parmi une demi-douzaine de gens, à qui elle avait fait fête de lui, et qui le regardaient avec de grands yeux, comme une personne qui ne devait pas être faite comme les autres. (Acte 1, scène 2, ÉLISE)
Comment ? (Acte 1, scène 3, URANIE)
Voyez un peu, comme les maladies arrivent sans qu'on y songe. (Acte 1, scène 3, ÉLISE)
Peut-on impunément, comme vous faites, rompre en visière à la raison ? (Acte 1, scène 3, CLIMÈNE)
Comment dites-vous ce mot-là, Madame. (Acte 1, scène 3, ÉLISE)
Enfin vous voyez, comme votre sang prend mon parti. (Acte 1, scène 3, CLIMÈNE)
Eh bien, Monsieur, comment la trouvez-vous, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 4, CLIMÈNE)
Comment, diable ! (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Voyez comme mes canons, et mes rubans en sont ajustés, de grâce. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Tous ceux qui étaient là, doivent venir à sa première représentation, et m'ont promis de faire leur devoir comme il faut. (Acte 1, scène 6, LYSIDAS)
Dieu me damne, Madame, elle est misérable depuis le commencement jusqu'à la fin. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Aussi, Madame, n'ai-je rien dit qui aille à vous ; et mes paroles, comme les satires de la comédie, demeurent dans la thèse générale. (Acte 1, scène 6, URANIE)
Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la Fortune, accuser les Destins et dire des injures aux Dieux, que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes, et de rendre agréablement sur le théâtre des défauts de tout le monde. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Sachez, s'il vous plaît, Monsieur Lysidas, que les courtisans ont d'aussi bons yeux que d'autres ; qu'on peut être habile avec un point de Venise, et des plumes, aussi bien qu'avec une perruque courte et un petit rabat uni ; que la grande épreuve de toutes vos comédies, c'est le jugement de la Cour ; que c'est son goût qu'il faut étudier pour trouver l'art de réussir ; qu'il n'y a point de lieu où les décisions soient si justes ; et sans mettre en ligne de compte tous les gens savants qui y sont, que du simple bons sens naturel et du commerce de tout le beau monde, on s'y fait une manière d'esprit, qui, sans comparaison, juge plus finement des choses, que tout le savoir enrouillé des pédants. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
La Cour a quelques ridicules, j'en demeure d'accord, et je suis, comme on voit, le premier à les fronder. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Et c'est ce qui marque, Madame, comme on doit s'arrêter peu à leurs disputes embarrassées. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
C'est justement comme un homme qui aurait trouvé une sauce excellente, et qui voudrait examiner si elle est bonne, sur les préceptes du Cuisinier français. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Voilà parlé comme il faut. (Acte 1, scène 6, CLIMÈNE)
Pour ce qui est des enfants par l'oreille, ils ne sont plaisants que par réflexion à Arnolphe ; et l'auteur n'a pas mis cela pour être de soi un bon mot : mais seulement pour une chose qui caractérise l'homme, et peint d'autant mieux son extravagance, puisqu'il rapporte une sottise triviale qu'a dite Agnès, comme la chose la plus belle du monde, et qui lui donne une joie inconcevable. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Pour moi, je souhaiterais que cela se fît, pourvu qu'on traitât l'affaire comme elle s'est passée. (Acte 1, scène 6, CLIMÈNE)
On disputera fort et ferme de part et d'autre, comme nous avons fait, sans que personne se rende ; un petit laquais viendra dire qu'on a servi ; on se lèvera ; et chacun ira souper. (Acte 1, scène 7, DORANTE)

LES AMANTS MAGNIFIQUES (1670)

Quand on n'aurait nulle curiosité pour les choses, on en a toujours pour aller où l'on trouve tout le monde, et quoi que vous puissiez dire, on ne demeure point tout seul pendant une fête à rêver parmi des arbres comme vous faites, à moins d'avoir en tête quelque chose qui embarrasse. (Acte 2, scène 1, CLITIDAS)
Sostrate est de ces gens, Madame, qui croient qu'il ne sied pas bien d'être curieux comme les autres, et il est beau d'affecter de ne pas courir où tout le monde court. (Acte 2, scène 2, IPHICRATE)
Le moyen, ne dites-vous pas que l'ascendant est plus fort que tout ; et s'il est écrit dans les astres que je sois enclin à parler de vous, comment voulez-vous que je résiste à ma destinée ? (Acte 2, scène 2, CLITIDAS)
Avec tout le respect que je dois à Madame, il y a une chose qui m'étonne dans l'astrologie, comment des gens qui savent tous les secrets des Dieux, et qui possèdent des connaissances à se mettre au-dessus de tous les hommes, aient besoin de faire leur cour, et de demander quelque chose. (Acte 2, scène 2, CLITIDAS)
Vous en parlez fort à votre aise, et le métier de plaisant n'est pas comme celui d'astrologue. (Acte 2, scène 2, CLITIDAS)
Je vous l'ai dit plusieurs fois, vous vous émancipez trop, et vous prenez de certaines libertés qui vous joueront un mauvais tour : je vous en avertis ; vous verrez qu'un de ces jours on vous donnera du pied au cul, et qu'on vous chassera comme un faquin. (Acte 2, scène 2, CLITIDAS)
Je souffre qu'on me loue de ma sincérité, qu'on dise que je suis une bonne princesse, que j'ai de la parole pour tout le monde, de la chaleur pour mes amis, et de l'estime pour le mérite et la vertu, je puis tâter de tout cela ; mais pour les douceurs de charmes et d'attraits, je suis bien aise qu'on ne m'en serve point, et quelque vérité qui s'y pût rencontrer, on doit faire quelque scrupule d'en goûter la louange, quand on est mère d'une fille comme la mienne. (Acte 2, scène 2, ARISTIONE)
Je vous laisse agir comme il vous plaira. (Acte 2, scène 3, IPHICRATE)
Vous en userez comme vous voudrez. (Acte 2, scène 3, TIMOCLES)
Qu'aux personnes comme nous qui sommes toujours accablées de tant de gens, un peu de solitude est parfois agréable, et qu'après mille impertinents entretiens, il est doux de s'entretenir avec ses pensées ! (Acte 2, scène 5, ERIPHILE)
En vérité c'est un homme qui me revient, un homme fait comme je veux que les hommes soient faits : ne prenant point des manières bruyantes et des tons de voix assommants ; sage et posé en toutes choses ; ne parlant jamais que bien à propos ; point prompt à décider ; point du tout exagérateur incommode ; et quelques beaux vers que nos poètes lui aient récités, je ne lui ai jamais ouï dire voilà qui est plus beau que tout ce qu'a jamais fait Homère. (Acte 4, scène 2, CLITIDAS)
Comment amoureux ? (Acte 4, scène 2, ERIPHILE)
Ô çà, Sostrate, les gens comme vous ont toujours les yeux pénétrants ; et je pense qu'il ne doit y avoir guère de choses qui échappent aux vôtres. (Acte 4, scène 3, ERIPHILE)
Des bagatelles comme celles-là peuvent occuper agréablement les plus sérieuses personnes. (Acte 6, scène 1, ARISTIONE)
J'ai chargé Sostrate d'apprendre doucement de vous les sentiments de votre coeur, et je ne sais pas s'il a commencé à s'acquitter de cette commission. (Acte 6, scène 1, ARISTIONE)
Ne cherchez point, de grâce, à me rendre odieux aux personnes qui vous écoutent ; je sais me connaître, Seigneur, et les malheureux comme moi n'ignorent pas jusques où leur fortune leur permet d'aspirer. (Acte 6, scène 1, SOSTRATE)
J'ai commencé, comme je vous ai dit, à jeter pour cela les figures mystérieuses que notre art nous enseigne, et j'espère vous faire voir tantôt ce que l'avenir garde à cette union souhaitée. (Acte 6, scène 1, ANAXARQUE)
Mais comme il est impossible que je les épouse tous deux, il faut donc qu'on trouve écrit dans le Ciel, non seulement ce qui doit arriver, mais aussi ce qui ne doit pas arriver. (Acte 6, scène 1, ERIPHILE)
Transformer tout en or, faire vivre éternellement, guérir par des paroles, se faire aimer de qui l'on veut, savoir tous les secrets de l'avenir, faire descendre comme on veut du ciel sur des métaux des impressions de bonheur, commander aux démons, se faire des armées invisibles et des soldats invulnérables. (Acte 6, scène 1, SOSTRATE)
Toutes ces belles raisons de sympathie, de force magnétique et de vertu occulte, sont si subtiles et délicates, qu'elles échappent à mon sens matériel, et sans parler du reste, jamais il n'a été en ma puissance de concevoir comme on trouve écrit dans le ciel jusqu'aux plus petites particularités de la fortune du moindre homme. (Acte 6, scène 1, SOSTRATE)
Quel rapport, quel commerce, quelle correspondance peut-il y avoir entre nous et des globes, éloignés de notre terre d'une distance si effroyable, et d'où cette belle science, enfin, peut-elle être venue aux hommes ? (Acte 6, scène 1, SOSTRATE)
Comme mon sens est si grossier qu'il n'a pu rien comprendre, mes yeux aussi sont si malheureux qu'ils n'ont jamais rien vu. (Acte 6, scène 1, SOSTRATE)
Comme vous avez vu, vous faites bien de croire, et il faut que vos yeux soient faits autrement que les miens. (Acte 6, scène 1, SOSTRATE)
Enfin, mon Fils, comme nous venons de voir par cette ouverture, le stratagème a réussi, notre Vénus a fait des merveilles ; et l'admirable ingénieur qui s'est employé à cet artifice, a si bien disposé tout, a coupé avec tant d'adresse le plancher de cette grotte, si bien caché ses fils de fer et tous ses ressorts, si bien ajusté ses lumières, et habillé ses personnages, qu'il y a peu de gens qui n'y eussent été trompés. (Acte 8, scène 3, ANAXARQUE)
Et comme la Princesse Aristione est fort superstitieuse, il ne faut point douter qu'elle ne donne à pleine tête dans cette tromperie. (Acte 8, scène 3, ANAXARQUE)
Ainsi ce sera lui qui recevra les effets favorables de tous les ressorts que je fais jouer ; et comme son ambition me devra toute chose, voilà mon fils notre fortune faite. (Acte 8, scène 3, ANAXARQUE)
Madame, je vous demande pardon, je pensais faire bien de vous venir dire que le Ciel vient de vous donner Sostrate pour époux, mais puisque cela vous incommode, je rengaine ma nouvelle, et m'en retourne droit comme je suis venu. (Acte 10, scène 1, CLITIDAS)
Le sanglier mal morigéné, s'est impertinemment détourné contre nous ; nous étions là deux, ou trois misérables qui avons pâli de frayeur, chacun gagnait son arbre, et la Princesse sans défense demeurait exposée à la furie de la bête, lorsque Sostrate a paru, comme si les Dieux l'eussent envoyé. (Acte 10, scène 1, CLITIDAS)

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AMPHITRYON (1668)

Comme un messager de village. v.32 (Prologue, scène 1, MERCURE)
Moi qui suis, comme on sait, en terre et dans les Cieux, v.33 (Prologue, scène 1, MERCURE)
C'est Jupiter, comme je vous l'ai dit, v.49 (Prologue, scène 1, MERCURE)
Mais comment diantre le faire, v.194 (Acte 1, scène 1, SOSIE)
Comme oculaire témoin. v.197 (Acte 1, scène 1, SOSIE)
Comment se porte Amphitryon. v.214 (Acte 1, scène 1, SOSIE)
La rivière est comme là. v.242 (Acte 1, scène 1, SOSIE)
Et vous allez voir comme quoi. v.255 (Acte 1, scène 1, SOSIE)
Comme avec irrévérence v.276 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Et je vais m'égayer avec lui comme il faut, v.280 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Il est seul comme moi, je suis fort, j'ai bon maître, v.307 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
Comme il me prend envie. v.311 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
Comme vous baillez des soufflets ? v.328 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
Comment, chez nous ? v.345 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Heu ? Comment ? v.351 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Comment, Bourreau, tu fais des cris ? v.366 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Comment tu peux... v.416 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Je commence, à mon tour, à le croire un petit, v.471 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
Dont leur chef se parait comme d'un rare ouvrage. v.479 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Et de moi je commence à douter tout de bon. v.485 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
Et comment donc ? Ne veux-tu pas, v.631 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
Et ce qui leur sied bien dans ces commencements, v.650 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
Comment ! De trop bien vivre on te voit me blâmer ? v.665 (Acte 1, scène 4, CLEANTHIS)
Comment ! Tu souffrirais, sans nulle répugnance, v.677 (Acte 1, scène 4, CLEANTHIS)
Et que pour te traiter comme je le désire, v.691 (Acte 2, scène 1, AMPHITRYON)
Ou comme auprès des grands on le voit usité ? v.710 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
Comment, coquin ? v.721 (Acte 2, scène 1, AMPHITRYON)
Voilà comme un valet montre pour nous du zèle. v.723 (Acte 2, scène 1, AMPHITRYON)
Comme le moi qui parle à vous. v.739 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
Non, c'est la chose comme elle est, v.749 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
Des pieds jusqu'à la tête, il est comme moi fait ; v.783 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
Comment donc ? v.794 (Acte 2, scène 1, AMPHITRYON)
Mais le moi du logis, qui frappe comme quatre. v.798 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
Et ce diable de moi m'a rossé comme il faut, v.805 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
Lorsque l'on aime comme il faut, v.872 (Acte 2, scène 2, AMPHITRYON)
Comment ? v.889 (Acte 2, scène 2, AMPHITRYON)
Je commence à sentir un peu d'émotion. v.923 (Acte 2, scène 2, ALCMÈNE)
Et comment ? v.961 (Acte 2, scène 2, AMPHITRYON)
Comme vous croyez bien ne me déplaisaient pas : v.1013 (Acte 2, scène 2, ALCMÈNE)
Et rien, comme tu le sais bien, v.1092 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
Comment ? Amphitryon m'ayant su disposer, v.1116 (Acte 2, scène 3, CLEANTHIS)
Comment, bon ? v.1122 (Acte 2, scène 3, CLEANTHIS)
Mais à tous mes discours tu fus comme une souche, v.1127 (Acte 2, scène 3, CLEANTHIS)
Oui, je vous vois, comme un monstre effroyable ; v.1234 (Acte 2, scène 6, ALCMÈNE)
Comme un monstre à fuir en tous lieux. v.1237 (Acte 2, scène 6, ALCM?NE)
Qu'aimant, comme je fais, vos célestes appas, v.1371 (Acte 2, scène 6, JUPITER)
Comme l'amour ici ne m'offre aucun plaisir, v.1489 (Acte 3, scène 2, MERCURE)
Comment, ouvre ? Et qui donc es-tu, toi ; v.1499 (Acte 3, scène 2, MERCURE)
Comme il les écarquille, et paraît effaré ! v.1523 (Acte 3, scène 2, MERCURE)
Comment ? Encore ? v.1540 (Acte 3, scène 2, AMPHITRYON)
Comment Amphitryon est là dedans ? v.1549 (Acte 3, scène 2, AMPHITRYON)
Et si les choses sont comme le traître dit, v.1560 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
Comment, il vient d'avoir l'audace, v.1582 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
Comment cela se peut-il faire, v.1590 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
Comme s'il avait raison. v.1714 (Acte 3, scène 5, NAUCRATES)
Et l'on doit commencer toujours, dans ses transports, v.1836 (Acte 3, scène 7, ARGATIPHONDITAS)
Et croyant à manger, m'aller, comme eux ébattre ; v.1851 (Acte 3, scène 7, SOSIE)
Comme on vous dés-Amphitryonne. v.1859 (Acte 3, scène 7, SOSIE)

LE MALADE IMAGINAIRE (1682)

Plus, le clystère de Monsieur réitéré le soir, comme dessus, trente sols. (Acte 3, scène 1, ARGAN)
Ah ! Monsieur Fleurant, tout doux, s'il vous plaît, si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade, contentez-vous de quatre francs ; vingt et quarante sols. (Acte 3, scène 1, ARGAN)
Drelin, drelin, drelin : tout comme si je ne sonnais point. (Acte 3, scène 1, ARGAN)
Est-il possible qu'on laisse comme cela un pauvre malade tout seul ! (Acte 3, scène 1, ARGAN)
Dis-moi un peu, ne trouves-tu pas comme moi, quelque chose du Ciel, quelque effet du destin, dans l'aventure inopinée de notre connaissance ? (Acte 3, scène 4, ANGÉLIQUE)
Que ses discours, comme ses actions, ont quelque chose de noble ? (Acte 3, scène 4, ANGÉLIQUE)
Et qu'il n'est rien de plus fâcheux, que la contrainte où l'on me tient, qui bouche tout commerce aux doux empressements de cette mutuelle ardeur que le Ciel nous inspire ? (Acte 3, scène 4, ANGÉLIQUE)
Comment l'as-tu vu ? (Acte 3, scène 5, ARGAN)
Ma raison est que, me voyant infirme, et malade comme je suis, je veux me faire un gendre? et des alliés médecins, afin de m'appuyer de bons secours contre ma maladie, d'avoir dans ma famille les sources des remèdes qui me sont nécessaires, et d'être à même des consultations, et des ordonnances. (Acte 3, scène 5, ARGAN)
Comment, coquine, si je suis malade ? (Acte 3, scène 5, ARGAN)
Comment, que je ne dise pas cela ? (Acte 3, scène 5, ARGAN)
Comment, bon ? (Acte 3, scène 5, ARGAN)
Je m'intéresse, comme je dois, à ne vous point laisser faire de folie. (Acte 3, scène 5, TOINETTE)
Comment donc, mon ami ? (Acte 3, scène 6, BÉLINE)
Vous voilà je ne sais comment. (Acte 3, scène 6, BÉLINE)
Pour tâcher de reconnaître l'amour que vous me portez, je veux, mon coeur, comme je vous ai dit, faire mon testament. (Acte 3, scène 6, ARGAN)
J'aurais envie de consulter mon avocat, pour voir comment je pourrais faire. (Acte 3, scène 7, ARGAN)
Comment puis-je faire, s'il vous plaît, pour lui donner mon bien, et en frustrer mes enfants ? (Acte 3, scène 7, ARGAN)
Comment vous pouvez faire ? (Acte 3, scène 7, LE NOTAIRE)
Mais il n'y a point à raisonner là-dessus : tu le veux, amour ; il faut être fou comme beaucoup d'autres. (Acte 4, scène 1, POLICHINELLE)
On n'est pas sage quand on veut, et les vieilles cervelles se démontent comme les jeunes. (Acte 4, scène 1, POLICHINELLE)
Ah, ah, ah, ah, comme je leur ai donné l'épouvante. (Acte 4, scène 2, POLICHINELLE)
Allons, c'est à recommencer. v.225 (Acte 4, scène 4, ARCHERS)
Ah, Messieurs, ma pauvre tête n'en peut plus, et vous venez de me la rendre comme une pomme cuite. (Acte 4, scène 4, POLICHINELLE)
J'aime mieux encore les coups de bâton, que de recommencer. (Acte 4, scène 4, POLICHINELLE)
Oui, mais on ne parle pas comme cela de but en blanc à Angélique ; il faut des mystères ; et l'on vous a dit l'étroite garde où elle est retenue. (Acte 3, scène 1, TOINETTE)
Aussi ne viens-je pas ici comme Cléante, et sous l'apparence de son amant, mais comme ami de son maître de musique, dont j'ai obtenu le pouvoir de dire qu'il m'envoie à sa place. (Acte 3, scène 1, CLÉANTE)
Comment qu'il se porte mieux ? (Acte 3, scène 2, TOINETTE)
Il marche, dort, mange, et boit tout comme les autres ; mais cela n'empêche pas qu'il ne soit fort malade. (Acte 3, scène 2, TOINETTE)
Il s'est vu obligé d'aller à la campagne pour quelques jours ; et comme son ami intime, il m'envoie à sa place pour lui continuer ses leçons, de peur qu'en les interrompant elle ne vînt à oublier ce qu'elle sait déjà. (Acte 3, scène 2, CLÉANTE)
Il ne pourra lui donner leçon, comme il faut, s'ils ne sont en particulier. (Acte 3, scène 2, TOINETTE)
Comment ? (Acte 3, scène 3, ARGAN)
J'ai songé cette nuit que j'étais dans le plus grand embarras du monde, et qu'une personne faite tout comme Monsieur s'est présentée à moi, à qui j'ai demandé secours, et qui m'est venue tirer de la peine où j'étais ; et ma surprise a été grande de voir inopinément, en arrivant ici, ce que j'ai eu dans l'idée toute la nuit. (Acte 3, scène 3, ANGÉLIQUE)
N'est-ce pas par le père qu'il convient commencer ? (Acte 3, scène 5, THOMAS DIAFOIRUS)
Et comme les naturalistes remarquent que la fleur nommée héliotrope tourne sans cesse vers cet astre du jour, aussi mon coeur dores-en-avant tournera-t-il toujours vers les astres resplendissants de vos yeux adorables, ainsi que vers son pôle unique. (Acte 3, scène 5, THOMAS DIAFOIRUS)
Vous voyez, Monsieur, que tout le monde admire Monsieur votre fils, et je vous trouve bien heureux de vous voir un garçon comme cela. (Acte 3, scène 5, ARGAN)
Monsieur, ce n'est pas parce que je suis son père, mais je puis dire que j'ai sujet d'être content de lui, et que tous ceux qui le voient en parlent comme d'un garçon qui n'a point de méchanceté. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DIAFOIRUS)
Il est ferme dans la dispute, fort comme un turc sur ses principes ; ne démord jamais de son opinion, et poursuit un raisonnement jusque dans les derniers recoins de la logique. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DIAFOIRUS)
J'ai contre les circulateurs soutenu une thèse, qu'avec la permission de Monsieur, j'ose présenter à Mademoiselle, comme un hommage que je lui dois des prémices de mon esprit. (Acte 3, scène 5, THOMAS DIAFOIRUS)
Un Berger était attentif aux beautés d'un spectacle, qui ne faisait que de commencer, lorsqu'il fut tiré de son attention par un bruit qu'il entendit à ses côtés. (Acte 3, scène 5, CLÉANTE)
Recommencez cent fois, ne vous en lassez pas. v.252 (Acte 3, scène 5, CLÉANTE)
Allons, ma fille, touchez dans la main de Monsieur, et lui donnez votre foi, comme à votre mari. (Acte 3, scène 6, ARGAN)
C'est que les filles bien sages et bien honnêtes comme vous, se moquent d'être obéissantes, et soumises aux volontés de leurs pères. (Acte 3, scène 6, BÉLINE)
Il y en a d'autres, Madame, qui font du mariage un commerce de pur intérêt ; qui ne se marient que pour gagner des douaires, que pour s'enrichir par la mort de ceux qu'elles épousent, et courent sans scrupule de mari en mari, pour s'approprier leurs dépouilles. (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
Je vous prie, Monsieur, de me dire un peu comment je suis. (Acte 3, scène 6, ARGAN)
Six, huit, dix, par les nombres pairs ; comme dans les médicaments, par les nombres impairs. (Acte 3, scène 6, MONSIEUR DIAFOIRUS)
Est-ce là comme vous m'obéissez ? (Acte 3, scène 8, ARGAN)
C'est, mon Papa, qu'il est venu un homme dans la chambre de ma soeur comme j'y étais. (Acte 3, scène 8, LOUISON)
Hé bien, mon frère, qu'est-ce, comment vous portez-vous ? (Acte 3, scène 9, BÉRALDE)
Comment fort mal ? (Acte 3, scène 9, BÉRALDE)
Mais, comme nous n'avons personne en main pour cela, j'ai résolu de jouer un tour de ma tête. (Acte 6, scène 2, TOINETTE)
Comment ? (Acte 6, scène 2, BÉRALDE)
Comment l'entendez-vous, mon Frère ? (Acte 6, scène 3, ARGAN)
Mais quand vous en venez à la vérité, et à l'expérience, vous ne trouvez rien de tout cela, et il en est comme de ces beaux songes, qui ne vous laissent au réveil que le déplaisir de les avoir crus. (Acte 6, scène 3, BÉRALDE)
C'est un bon impertinent que votre Molière avec ses comédies, et je le trouve bien plaisant d'aller jouer d'honnêtes gens comme les médecins. (Acte 6, scène 3, ARGAN)
C'est bien à lui à faire de se mêler de contrôler la médecine ; voilà un bon nigaud, un bon impertinent, de se moquer des consultations et des ordonnances, de s'attaquer au corps des médecins, et d'aller mettre sur son théâtre des personnes vénérables comme ces Messieurs-là. (Acte 6, scène 3, ARGAN)
Comment, que voulez-vous faire ? (Acte 6, scène 4, BÉRALDE)
Je ne suis venu ici que sur une bonne ordonnance, et je vais dire à Monsieur Purgon, comme on m'a empêché d'exécuter ses ordres, et de faire ma fonction. (Acte 6, scène 4, MONSIEUR FLEURANT)
Mon_Dieu, mon Frère, vous en parlez comme un homme qui se porte bien ; mais si vous étiez à ma place, vous changeriez bien de langage. (Acte 6, scène 4, ARGAN)
Je vous déclare que je romps commerce avec vous. (Acte 6, scène 5, MONSIEUR PURGON)
Il me semble, à vous entendre, que Monsieur Purgon tienne dans ses mains le filet de vos jours, et que d'autorité suprême il vous l'allonge et vous le raccourcisse comme il lui plaît. (Acte 6, scène 6, BÉRALDE)
Je ne le connais pas ; mais il me ressemble comme deux gouttes d'eau, et si je n'étais sûre que ma mère était honnête femme, je dirais que ce serait quelque petit frère, qu'elle m'aurait donné depuis le trépas de mon père. (Acte 6, scène 7, TOINETTE)
Comment ? (Acte 6, scène 9, ARGAN)
Demeure un peu ici pour voir comme ce médecin te ressemble. (Acte 6, scène 9, ARGAN)
Vous ne trouverez pas mauvais, s'il vous plaît, la curiosité que j'ai eue de voir un illustre malade comme vous êtes, et votre réputation, qui s'étend partout, peut excuser la liberté que j'ai prise. (Acte 6, scène 10, TOINETTE)
Allons donc, que l'on batte comme il faut. (Acte 6, scène 10, TOINETTE)
Ahy, je vous ferai bien aller comme vous devez. (Acte 6, scène 10, TOINETTE)
Et quelquefois il me prend des douleurs dans le ventre, comme si c'était des coliques. (Acte 6, scène 10, ARGAN)
Comment ? (Acte 6, scène 10, ARGAN)
Tous les grands médecins sont comme cela. (Acte 6, scène 10, BÉRALDE)
Hé bien, mon Frère, quand il y aurait quelque petite inclination, cela serait-il si criminel, et rien peut-il vous offenser, quand tout ne va qu'à des choses honnêtes, comme le mariage ? (Acte 6, scène 11, BÉRALDE)
Voulez-vous que je vous convainque, et vous fasse voir tout à l'heure comme Madame aime Monsieur ? (Acte 6, scène 11, TOINETTE)
Comment ? (Acte 6, scène 11, ARGAN)
Mais j'entends votre fille, remettez-vous comme vous étiez, et voyons de quelle manière elle recevra votre mort. (Acte 6, scène 12, TOINETTE)
Comment tout à l'heure ? (Acte 6, scène 14, ARGAN)

DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE (1682)

Ne voyez-vous pas bien, dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d'en donner à droit et à gauche, partout où l'on se trouve ? (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
Je ne sais pas, de vrai, quel homme il peut être, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie ; et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de voeux, de soupirs, et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés ; tant de transports, enfin, et tant d'emportements qu'il a fait paraître, jusqu'à forcer dans sa passion l'obstacle sacré d'un couvent, pour mettre Done Elvire en sa puissance ; je ne comprends pas, dis-je, comme après tout cela il aurait le coeur de pouvoir manquer à sa parole. (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
En ce cas, Monsieur, je vous dirai franchement que je n'approuve point votre méthode, et que je trouve fort vilain d'aimer de tous côtés comme vous faites. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens un coeur à aimer toute la terre ; et comme Alexandre, je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes, pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. (Acte 1, scène 2, DON JUAN)
Vertu de ma vie, comme vous débitez ; il semble que vous avez appris cela par coeur, et vous parlez tout comme un livre. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Comment, quelle vie est-ce que je mène ? (Acte 1, scène 2, DON JUAN)
Mais par exemple de vous voir tous les mois vous marier comme vous faites. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Je ne parle pas aussi à vous, Dieu m'en garde, vous savez ce que vous faites vous, et si vous êtes libertin, vous avez des raisons ; mais il y a de certains petits impertinents dans le monde, qui le sont, sans savoir pourquoi, qui font les esprits forts, parce qu'ils croient que cela leur sied bien ; et si j'avais un maître comme cela, je lui dirais nettement le regardant en face : c'est bien à vous, petit ver de terre, petit mirmidon que vous êtes, (je parle au maître que j'ai dit), c'est bien à vous à vouloir vous mêler de tourner en raillerie, ce que tous les hommes révèrent. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
La tendresse visible de leurs mutuelles ardeurs me donna de l'émotion ; j'en fus frappé au coeur, et mon amour commença par la jalousie. (Acte 1, scène 2, DON JUAN)
C'est fort bien à vous, et vous le prenez comme il faut, il n'est rien tel en ce monde que de se contenter. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Voilà comme il faut vous défendre, et non pas être interdit comme vous êtes. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
Aga, guien, Charlotte, je m'en vas te conter tout fin drait comme cela est venu ; car, comme dit l'autre, je les ai le premier avisés, avisés le premier je les ai. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Enfin donc, j'estions sur le bord de la mar, moi et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avec des mottes de tarre que je nous jesquions à la teste : car, comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi par fouas je batifole itou. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
En batifolant donc, pisque batifoler y a, j'ai aparçu de tout loin queuque chose qui grouilloit dans gliau, et qui venait comme envars nous par secousse. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Ô donc tanquia, qu'à la parfin pour le faire court, je l'ai tant sarmonné, que je nous sommes boutés dans une barque, et pis j'avons tant fait cahin, caha, que je les avons tirés de gliau, et pis je les avons menés cheux nous auprès du feu, et pis ils se sant dépouillés tous nus pour se sécher, et pis il y en est venu encore deux de la mesme bande qui s'equiant sauvés tout seul, et pis Mathurine est arrivée là à qui l'en a fait les doux yeux, vlà justement, Charlotte, comme tout ça s'est fait. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Quien, Charlotte, ils avont des cheveux qui ne tenont point à leu teste, et ils boutont ça après tout, comme un gros bonnet de filace. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Vois-tu, Charlotte, il faut, comme dit l'autre, que je débonde mon coeur. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Je t'achète, sans reproche, des rubans à tous les marciers qui passont ; je me romps le cou à t'aller denicher des marles, je fais jouer pour toi les vielleux quand ce vient ta feste, et tout ça, comme si je me frappois la teste contre un mur. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Je veux que l'en fasse comme l'en fait quand l'en aime comme il faut. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Ne t'aimai-je pas aussi comme il faut ? (Acte 2, scène 1, CHARLOTTE)
Regarde la grosse Thomasse, comme elle est assotée du jeune Robain : alle est toujou autour de li à l'agacer, et ne le laisse jamais en repos ; toujou al li fait queuque niche ou li baille quelque taloche en passant ; et l'autre jour qu'il estoit assis sur un escabiau, al fut le tirer de dessous li, et le fit choir tout de son long par tarre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Vlà où l'en voit les gens qui aimont ; mais toi, tu ne me dis jamais mot, t'es toujou là comme eune vraie souche de bois ; et je passerois vingt fois devant toi, que tu ne te grouillerois pas pour me bailler le moindre coup, ou me dire la moindre chose. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Quoi, dans ces lieux champêtres, parmi ces arbres et ces rochers, on trouve des personnes faites comme vous êtes ? (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Fi, Monsieur, elles sont noires comme je ne sais quoi. (Acte 2, scène 2, CHARLOTTE)
Une personne comme vous serait la femme d'un simple paysan ? (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Aussi vrai, Monsieur, je ne sais comment faire quand vous parlez, ce que vous dites me fait aise, et j'aurais toutes les envies du monde de vous croire, mais on m'a toujou dit qu'il ne faut jamais croire les Monsieux, et que vous autres courtisans êtes des enjoleus, qui ne songez qu'à abuser les filles. (Acte 2, scène 2, CHARLOTTE)
Moi, j'aurais l'âme assez méchante pour abuser une personne comme vous, je serais assez lâche pour vous déshonorer ? (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Quand on est faite comme vous, on doit être à couvert de toutes ces sortes de crainte, vous n'avez point l'air, croyez-moi, d'une personne qu'on abuse ; et pour moi, je l'avoue, je me percerais le coeur de mille coups, si j'avais eu la moindre pensée de vous trahir. (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Mais au moins, Monsieur, ne m'allez pas tromper, je vous prie, il y aurait de la conscience à vous, et vous voyez comme j'y vais à la bonne foi. (Acte 2, scène 2, CHARLOTTE)
Comment, il semble que vous doutiez encore de ma sincérité ? (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Ce n'est pas comme ça qu'il faut pousser les gens. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Est-ce donc comme ça que t'écoutes ce qu'il te dit ? (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Elle est obstinée comme tous les diables. (Acte 2, scène 4, DON JUAN)
Vous êtes témoin comme al l'assure. (Acte 2, scène 4, MATHURINE)
Monsieur, comme le monde est plein de médisants, je vais au-devant des choses, et je leur disais que si quelqu'un leur venait dire du mal de vous, elles se gardassent bien de le croire, et ne manquassent pas de lui dire qu'il en aurait menti. (Acte 2, scène 4, SGANARELLE)
Comment ? (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Comme la partie n'est pas égale, il faut user de stratagème, et éluder adroitement le malheur qui me cherche, je veux que Sganarelle se revête de mes habits, et moi... (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Comment donc ? (Acte 3, scène 1, DON JUAN)
Ils ne font rien que recevoir la gloire des heureux succès, et tu peux profiter comme eux du bonheur du malade, et voir attribuer à tes remèdes tout ce qui peut venir des faveurs du hasard et des forces de la nature. (Acte 3, scène 1, DON JUAN)
Comment, Monsieur, vous êtes aussi impie en médecine ? (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
Comment ? (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
Je m'étais par hasard égaré d'un frère, et de tous ceux de notre suite, et comme je cherchais à les rejoindre, j'ai fait rencontre de ces voleurs, qui d'abord ont tué mon cheval, et qui sans votre valeur en auraient fait autant de moi. (Acte 3, scène 3, DON CARLOS)
Je suis si attaché à Don Juan qu'il ne saurait se battre que je ne me batte aussi ; mais enfin j'en réponds comme de moi-même, et vous n'avez qu'à dire quand vous voulez qu'il paraisse et vous donne satisfaction. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Tous les services que nous rend une main ennemie ne sont d'aucun mérite pour engager notre âme ; et s'il faut mesurer l'obligation à l'injure, votre reconnaissance, mon frère, est ici ridicule, et comme l'honneur est infiniment plus précieux que la vie, c'est ne devoir rien proprement, que d'être redevable de la vie à qui nous a ôté l'honneur. (Acte 3, scène 4, DON ALONSE)
Comment, coquin, tu fuis quand on m'attaque ? (Acte 3, scène 5, DON JUAN)
Comment ? (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Monsieur, je suis bien comme cela. (Acte 4, scène 3, MONSIEUR DIMANCHE)
Comment se porte Madame Dimanche, votre épouse ? (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Et votre petite fille Claudine, comment se porte-t-elle ? (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Comment ? (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Comment ? (Acte 4, scène 3, MONSIEUR DIMANCHE)
Apprenez enfin qu'un gentilhomme qui vit mal, est un monstre dans la nature, que la vertu est le premier titre de noblesse, que je regarde bien moins au nom qu'on signe qu'aux actions qu'on fait, et que je ferais plus d'état du fils d'un crocheteur qui serait honnête homme, que du fils d'un monarque qui vivrait comme vous. (Acte 4, scène 4, DON LOUIS)
Cela se peut-il souffrir à un homme comme vous, qui savez comme il faut vivre ? (Acte 4, scène 5, SGANARELLE)
Le Ciel a banni de mon âme toutes ces insignes ardeurs que je sentais pour vous, tous ces transports tumultueux d'un attachement criminel, tous ces honteux emportements d'un amour terrestre et grossier, et il n'a laissé dans mon coeur pour vous qu'une flamme épurée de tout le commerce des sens, une tendresse toute sainte, un amour détaché de tout, qui n'agit point pour soi, et ne se met en peine que de votre intérêt. (Acte 4, scène 6, DONA ELVIRE)
Le pauvre garçon n'en peut plus, et cet abcès le pourrait étouffer, attends, voyez comme il était mûr. (Acte 4, scène 7, DON JUAN)
J'en repasse dans mon esprit toutes les abominations, et m'étonne comme le Ciel les a pu souffrir si longtemps, et n'a pas vingt fois sur ma tête laissé tomber les coups de sa justice redoutable. (Acte 5, scène 1, DON JUAN)
Je vois les grâces que sa bonté m'a faites en ne me punissant point de mes crimes, et je prétends en profiter comme je dois, faire éclater aux yeux du monde un soudain changement de vie, réparer par là le scandale de mes actions passées, et m'efforcer d'en obtenir du Ciel une pleine rémission. (Acte 5, scène 1, DON JUAN)
Comment, le benêt ? (Acte 5, scène 2, SGANARELLE)
Il y en a tant d'autres comme moi, qui se mêlent de ce métier, et qui se servent du même masque pour abuser le monde ! (Acte 5, scène 2, DON JUAN)
Sachez, Monsieur, que tant va la cruche à l'eau, qu'enfin elle se brise : et comme dit fort bien cet auteur que je ne connais pas, l'homme est en ce monde ainsi que l'oiseau sur la branche ; la branche est attachée à l'arbre, qui s'attache à l'arbre, suit de bons préceptes, les bons préceptes valent mieux que les belles paroles, les belles paroles se trouvent à la Cour. (Acte 5, scène 2, SGANARELLE)
Le Ciel le souhaite comme cela. (Acte 5, scène 3, DON JUAN)
Ceci est bien pis que le reste, et je vous aimerais bien mieux encore comme vous étiez auparavant, j'espérais toujours de votre salut, mais c'est maintenant que j'en désespère, et je crois que le Ciel qui vous a souffert jusques ici, ne pourra souffrir du tout cette dernière horreur. (Acte 5, scène 4, SGANARELLE)

DON JUAN (1683)

Ne voyez vous pas bien dès qu'on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi d'en donner à droit[e] et à gauche, partout où l'on se trouve ? (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
Je ne sais pas de vrai quel homme il peut être, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie ; et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de voeux, de soupirs, et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés, tant de transports, enfin, et tant d'emportements qu'il a fait paraître, jusqu'à forcer dans sa passion l'obstacle sacré d'un Couvent, pour mettre Don Juan Elvire en sa puissance ; je ne comprends pas, dis-je, comme après tout cela il aurait le coeur de pouvoir manquer à sa parole. (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
C'est quelque chose aussi à peu près comme cela. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
En ce cas, Monsieur, je vous dirai franchement que je n'approuve point votre méthode, et que je trouve fort vilain d'aimer de tous côtés comme vous faites. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. (Acte 1, scène 2, DON JUAN)
Vertu de ma vie, comme vous débitez ; il semble que vous ayez appris par coeur cela, et vous parlez tout comme un Livre. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Comment, quelle vie est-ce que je mène ? (Acte 1, scène 2, DON JUAN)
Mais par exemple je vous vois tous les mois vous marier comme vous faites. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Je ne parle pas aussi à vous, Dieu m'en garde, vous savez ce que vous faites, et si vous ne croyez rien vous avez vos raisons : il y a de certains petits impertinents dans le monde, qui sont libertins, sans savoir pourquoi, qui font les esprits forts parce qu'ils croient que cela leur sied bien ; et si j'avais un maître comme cela, je lui dirais fort nettement, le regardant en face : osez-vous bien ainsi vous jouer du Ciel, et ne tremblez-vous point de vous moquer comme vous faites des choses les plus saintes ? (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
La tendresse visible de leurs mutuelles ardeurs me donna de l'émotion, j'en fus frappé au coeur, et mon amour commença par la jalousie. (Acte 1, scène 2, DON JUAN)
C'est fort bien fait à vous, et vous le prenez comme il faut, il n'est rien tel en ce monde, que de se contenter. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
Voilà comme il faut vous défendre, et non pas être interdit comme vous êtes. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
Aga quien, Charlotte, je m'en vas te conter tout fin drai comme cela est venu ça, comme dit l'autre, je les ai le premier avisés, avisés le premier je les ai. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Enfin donc, j'estions sur le bord de la mar, moi et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avé des mottes de tarre, que je nous jesquions à la tête : car comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi par fouas je batifole i tou. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
En batifolant donc, pisque batifoler y a, j'ai aperçu de tout loin queuque chose qui grouillait dans gliau, et qui venait comme envars nous par secousse. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
O donc tanquia, qu'à la parfin pour le faire court, je l'ai tant sarmonné, que je nous sommes boutés dans une barque, et pis j'avons tant fait, cahin, caha, que je les avons tiré de gliau, et pis je les avons menés cheu nous auprès du feu, et pis ils se sant dépouillés tous nus pour se sécher, et pis il y en est encor venu deux de la même bande, qui saquiant sauvés tout seul, et pis Mathurine est arrivée là à qui l'on a fait les doux yeux, vlà justement, Charlotte, comme tout ça s'est fait. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Quien, Charlotte, ils avont des cheveux qui ne tenont point à leu teste, et ils boutont ça après tout comme un gros bonnet de filace. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Vois tu, Charlotte, il faut, comme dit l'autre, que je débonde mon coeur. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Je tachete sans reproche des rubans à tous ces Marciers qui passont, je me romps le cou à t'aller dénicher des marles, je fais jouer pour toi les vielleux quand ce vient ta fête, et tout ça comme si je me frappais la tête contre un mur. Vois-tu, ça n'est ni biau ni honnête de n'aimer pas les gens qui nous aimont. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Je veux que l'en fasse comme l'en fait quand l'en aime comme il faut. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Ne t'aimé-je pas aussi comme il faut ? (Acte 2, scène 1, CHARLOTTE)
Regarde la grosse Tomasse comme elle assotée du jeune Robain, alle est toujou entour de ly à l'agacer, et ne le laisse jamais en repos. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Jarny vla où l'on voit les gens qui aimont, mais toi, tu ne me dis jamais mot, t'es toujou là comme une vraie souche de bois, et je passerais vingt fois devant toi que tu ne te grouillerais pas pour me bailler le moindre coup, ou me dire la moindre chose. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Quoi, dans ces lieux champêtres, parmi ces arbres et ces rochers, on trouve des personnes faites comme vous êtes ? (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Fi, Monsieur, elles sont noires comme je ne sais quoi. (Acte 2, scène 2, CHARLOTTE)
Quoi, une personne comme vous seriez la femme d'un simple Paysan ? (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Aussi vrai, Monsieur, je ne sais comment vous faites quand vous parlez, ce que vous dites me fait aise, et j'aurais toutes les envies du monde de vous croire, mais on m'a toujou dit, qu'il ne faut jamais croire les Monsieux, et que vous autres Courtisans vous êtes des enjôleus qui ne songez qu'à abuser les filles. (Acte 2, scène 2, CHARLOTTE)
Moi j'aurais l'âme assez méchante pour abuser une personne comme vous, je serais assez lâche pour vouloir vous déshonorer ? (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Quand on est faite comme vous, on doit être à couvert de toutes ces sortes de crainte, vous n'avez point l'air, croyez-moi, d'une personne qu'on abuse, et pour moi, je vous l'avoue, je me percerais le coeur de mille coups, si j'avais eu la moindre pensée de vous trahir. (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Mais au moins, Monsieur, ne m'y allez pas tromper, je vous prie, il y aurait de la conscience à vous, et vous voyez comme j'y vais à la bonne foi. (Acte 2, scène 2, CHARLOTTE)
Comment, il semble que vous doutiez encore de ma sincérité ? (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Jerniguenne, ce n'est pas comme ça qu'il faut pousser les gens. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Est-ce donc comme ça que t'écoute ce qu'il te dit ? (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Elle est obstinée comme tous les Diables. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Vous êtes témoin comme al l'asseure. (Acte 2, scène 5, MATHURINE)
Monsieur, comme le monde est plein de médisances, je vais au-devant des choses, et je leur disais que si quelqu'un leur venait dire du mal de vous, elles se gardassent bien de le croire, et ne manquassent pas de lui dire qu'il en avait menti. (Acte 2, scène 5, SGANARELLE)
Comment ? (Acte 2, scène 6, DON JUAN)
Comme la partie n'est pas égale, il faut user de stratagème, et éluder adroitement le malheur qui me cherche, je veux que Sganarelle se revête de mes habits, et moi... (Acte 2, scène 6, DON JUAN)
Comment donc ? (Acte 3, scène 1, DON JUAN)
Ils ne font rien que recevoir la gloire des heureux succès, et tu peux profiter comme eux du bonheur du malade, et voir attribuer à tes remèdes tout ce qui peut venir des faveurs du hasard, et des forces de la nature. (Acte 3, scène 1, DON JUAN)
Comment Monsieur, vous êtes aussi impie en Médecine ? (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
Comment ? (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
Pour moi, Monsieur, je n'ai point étudié comme vous, Dieu merci, et personne ne se saurait vanter de m'avoir jamais rien appris ; mais avec mon petit sens, et mon petit jugement, je vois les choses mieux que tous vos livres, et je comprends fort bien que ce monde que nous voyons, n'est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
Je m'étais par hasard écarté d'un frère et de tous ceux de notre suite, et comme je cherchais à les rejoindre j'ai fait rencontre de ces voleurs qui d'abord ont tué mon cheval, et qui sans votre valeur en auraient fait autant de moi. (Acte 3, scène 3, DON CARLOS)
Je suis si attaché à Don Juan qu'il ne saurait se battre que je ne me batte aussi : mais enfin j'en réponds comme de moi-même, et vous n'avez qu'à dire quand vous voulez qu'il paraisse et vous donne satisfaction. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Tous les services que nous rend une main ennemie, ne sont d'aucun mérite pour engager notre âme, et s'il faut mesurer l'obligation à l'injure, votre reconnaissance, mon frère, est ici ridicule ; et comme l'honneur est infiniment plus précieux que la vie, c'est ne devoir rien proprement, que d'être redevable de la vie à qui nous a été l'honneur. (Acte 3, scène 4, DON ALONSE)
Comment coquin, tu fuis quand on m'attaque ? (Acte 3, scène 5, DON JUAN)
Comment ? (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Monsieur, je suis bien comme cela. (Acte 4, scène 3, MONSIEUR DIMANCHE)
Point, point, je veux que vous soyez assis comme moi. (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Comment se porte Madame Dimanche, votre épouse ? (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Et votre petite fille Claudine, comment se porte-t-elle ? (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Comment ? (Acte 4, scène 3, DON JUAN)
Comment ? (Acte 4, scène 3, MONSIEUR DIMANCHE)
Apprenez encore qu'un Gentilhomme qui vit mal, est un monstre dans la nature, que la vertu est le premier titre de noblesse, que je regarde bien moins au nom qu'on signe, qu'aux actions qu'on fait, et que je ferais plus d'état d'un fils d'un crocheteur, qui serait honnête homme, que du fils d'un Monarque qui vivrait comme vous. (Acte 4, scène 4, DON LOUIS)
Cela se peut-il souffrir à un homme comme vous, qui savez comme il faut vivre ? (Acte 4, scène 5, SGANARELLE)
Le Ciel a banni de mon âme toutes ces indignes ardeurs que je sentais pour vous, tous ces transports tumultueux d'un attachement criminel, tous ces honteux emportements d'un amour terrestre et grossier, et il n'a laissé dans mon coeur pour vous qu'une flamme épurée de tout le commerce des sens, une tendresse toute sainte, un amour détaché de tout, qui n'agit point pour soi, et ne se met en peine que de votre intérêt. (Acte 4, scène 6, DONA ELVIRE)
Le pauvre garçon n'en peut plus, cet abcès le pourrait étouffer, attends, voyez comme il était mûr. (Acte 4, scène 7, DON JUAN)
J'en repasse dans mon esprit toutes les abominations, et m'étonne comme le Ciel les a pu souffrir si longtemps, et n'a pas vingt fois sur ma tête laissé tomber les coups de sa justice redoutable. (Acte 5, scène 1, DON JUAN)
Je vois les grâces que sa bonté m'a faites en ne punissant point mes crimes, et je prétends en profiter comme je dois, faire éclater aux yeux du monde un soudain changement de vie, réparer le scandale de mes actions passées, et m'efforcer d'en obtenir du Ciel une pleine rémission. (Acte 5, scène 1, DON JUAN)
Comment, le benêt ? (Acte 5, scène 2, SGANARELLE)
Il y en a tant d'autres comme moi, qui se mêlent de ce métier, et qui se servent du même masque pour abuser le monde. (Acte 5, scène 2, DON JUAN)
Sachez Monsieur que tant va la cruche à l'eau qu'enfin elle s'y brise : et comme dit fort bien cet auteur que je ne connais pas, que l'homme est en ce monde ainsi que l'oiseau sur la branche, la branche est attachée à l'arbre, qui s'attache à l'arbre suit de bons préceptes, les bons préceptes valent mieux que les belles paroles, les belles paroles se trouvent à la Cour. (Acte 5, scène 2, SGANARELLE)
Le Ciel le souhaite comme cela. (Acte 5, scène 3, DON JUAN)
Ceci est bien pis que le reste, et je vous aimerais bien mieux encore comme vous étiez auparavant, j'espérais toujours de votre salut, mais c'est maintenant que j'en désespère, et je crois que le Ciel qui vous a souffert jusques ici, ne pourra du tout souffrir cette dernière horreur. (Acte 5, scène 4, SGANARELLE)

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC (1670)

Ne nous demandez point tous les ressorts que nous ferons jouer, vous en aurez le divertissement ; et comme aux comédies, il est bon de vous laisser le plaisir de la surprise, et de ne vous avertir point de tout ce qu'on vous fera voir, c'est assez de vous dire que nous avons en main divers stratagèmes tous prêts à produire dans l'occasion, et que l'ingénieuse Nérine et l'adroit Sbrigani entreprennent l'affaire. (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
Et une personne comme vous est-elle faite pour un Limousin ? (Acte 2, scène 1, NERINE)
Pour sa figure, je ne veux point vous en parler, vous verrez de quel air la Nature l'a dessinée, et si l'ajustement qui l'accompagne y répond comme il faut : mais pour son esprit, je vous avertis par avance qu'il est des plus épais qui se fassent ; que nous trouvons en lui une matière tout à fait disposée pour ce que nous voulons, et qu'il est homme enfin à donner dans tous les panneaux qu'on lui présentera. (Acte 2, scène 2, SBRIGANI)
Je veux bien épargner votre modestie ; laissons cela ; et pour commencer notre affaire, allons vite joindre notre provincial, tandis que de votre côté vous nous tiendrez prêts au besoin les autres acteurs de la comédie. (Acte 2, scène 2, SBRIGANI)
Au moins, Madame, souvenez-vous de votre rôle ; et pour mieux couvrir notre jeu, feignez, comme on vous a dit, d'être la plus contente du monde des résolutions de votre père. (Acte 2, scène 2, ÉRASTE)
Ah comme il est bâti ! (Acte 2, scène 2, NERINE)
Je suis fâché, Monsieur, de voir recevoir de la sorte une personne comme vous, et je vous demande pardon pour la ville. (Acte 2, scène 3, SBRIGANI)
Je vous ai vu ce matin, Monsieur, avec le coche, lorsque vous avez déjeuné ; et la grâce avec laquelle vous mangiez votre pain, m'a fait naître d'abord de l'amitié pour vous ; et comme je sais que vous n'êtes jamais venu en ce pays, et que vous y êtes tout neuf, je suis bien aise de vous avoir trouvé pour vous offrir mon service à cette arrivée, et vous aider à vous conduire parmi ce peuple, qui n'a pas parfois pour les honnêtes gens toute la considération qu'il faudrait. (Acte 2, scène 3, SBRIGANI)
Vous regardez mon habit qui n'est pas fait comme les autres ; mais je suis originaire de Naples, à votre service, et j'ai voulu conserver un peu et la manière de s'habiller, et la sincérité de mon pays. (Acte 2, scène 3, SBRIGANI)
Comment ? (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
Comment appelez-vous ce traiteur de Limoges qui fait si bonne chère ? (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
Comment est-ce que vous nommez à Limoges ce lieu où l'on se promène ? (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
Il y a cent choses comme cela qui passent de la tête. (Acte 2, scène 4, SBRIGANI)
Dites-moi un peu des nouvelles de toute la parenté : comment se porte Monsieur votre... là... (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
C'est ce que je voulais dire, Madame votre tante : comment se porte-t-elle ? (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
Comment l'appelez-vous ? (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
Ma foi, ma foi, vous ne pouviez pas vous adresser à un médecin plus habile ; c'est un homme qui sait la médecine à fond, comme je sais ma Croix-de-Pardieu ; et qui, quand on devrait crever, ne démordrait pas d'un iota des règles des Anciens. (Acte 2, scène 5, L-APOTHICAIRE)
Il est bon d'avoir des amis comme cela. (Acte 2, scène 5, ÉRASTE)
Il ne me reste plus que deux enfants dont il prend soin comme des siens ; il les traite et gouverne à sa fantaisie, sans que je me mêle de rien ; et le plus souvent, quand je reviens de la ville, je suis tout étonné que je les trouve saignés ou purgés par son ordre. (Acte 2, scène 5, L-APOTHICAIRE)
Je vous prie de m'excuser de l'incivilité que je commets. (Acte 2, scène 7, ÉRASTE)
Vos déjections, comment sont-elles ? (Acte 2, scène 8, PREMIER MÉDECIN)
Comme ainsi soit qu'on ne puisse guérir une maladie qu'on ne la connaisse parfaitement, et qu'on ne la puisse parfaitement connaître, sans en bien établir l'idée particulière et la véritable espèce, par ses signes diagnostiques et prognostiques, vous me permettrez, Monsieur notre ancien, d'entrer en considération de la maladie dont il s'agit, avant que de toucher à la thérapeutique et aux remèdes qu'il nous conviendra faire pour la parfaite curation d'icelle. (Acte 2, scène 8, PREMIER MÉDECIN)
Je dis donc, Monsieur, avec votre permission, que notre malade ici présent est malheureusement attaqué, affecté, possédé, travaillé de cette sorte de folie que nous nommons fort bien mélancolie hypocondriaque, espèce de folie très fâcheuse, et qui ne demande pas moins qu'un Esculape comme vous, consommé dans notre art, vous, dis-je, qui avez blanchi, comme on dit, sous le harnois, et auquel il en a tant passé par les mains de toutes les façons. (Acte 2, scène 8, PREMIER M?DECIN)
Premièrement, pour remédier à cette pléthore obturante, et à cette cacochymie luxuriante par tout le corps, je suis d'avis qu'il soit phlébotomisé libéralement ; c'est-à-dire que les saignées soient fréquentes et plantureuses : en premier lieu de la basilique, puis de la céphalique ; et même si le mal est opiniâtre, de lui ouvrir la veine du front, et que l'ouverture soit large, afin que le gros sang puisse sortir ; et en même temps, de le purger, désopiler, et évacuer par purgatifs propres et convenables, c'est-à-dire par cholagogues, mélanogogues, et caetera ; et comme la véritable source de tout le mal, est ou une humeur crasse et féculente, ou une vapeur noire et grossière qui obscurcit, infecte et salit les esprits animaux, il est à propos ensuite qu'il prenne un bain d'eau pure et nette, avec force petit-lait clair, pour purifier par l'eau la féculence de l'humeur crasse, et éclaircir par le lait clair la noirceur de cette vapeur ; mais avant toute chose, je trouve qu'il est bon de le réjouir par agréables conversations, chants et instruments de musique, à quoi il n'y a pas d'inconvénient de joindre des danseurs, afin que leurs mouvements, disposition et agilité puissent exciter et réveiller la paresse de ses esprits engourdis, qui occasionne l'épaisseur de son sang, d'où procède la maladie. (Acte 2, scène 8, PREMIER M?DECIN)
Nous savons mieux que vous comment vous vous portez, et nous sommes médecins, qui voyons clair dans votre constitution. (Acte 2, scène 8, PREMIER MÉDECIN)
Comment ? (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Il a forcé tous les obstacles que j'avais mis ; et s'est dérobé aux remèdes que je commençais de lui faire. (Acte 3, scène 1, PREMIER MÉDECIN)
Il est lié et engagé à mes remèdes, et je veux le faire saisir où je le trouverai, comme déserteur de la médecine, et infracteur de mes ordonnances. (Acte 3, scène 1, PREMIER MÉDECIN)
Comment donc ? (Acte 3, scène 2, ORONTE)
C'est un homme comme les autres. (Acte 3, scène 3, ORONTE)
Comment ? (Acte 3, scène 4, SBRIGANI)
Je pensais y être régalé comme il faut. (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Comme ainsi soit. (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Voilà un de mes étonnements, comme il est possible qu'il y ait des fourbes comme cela dans le monde. (Acte 3, scène 4, SBRIGANI)
Je suis votre serviteur, je ne me veux point mettre sur la tête un chapeau comme celui-là, et l'on aime à aller le front levé dans la famille des Pourceaugnacs. (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Vous imaginez-vous, Monsieur Oronte, qu'un homme comme moi soit si affamé de femme ? (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Vous imaginez-vous, Monsieur de Pourceaugnac, qu'une fille comme la mienne soit si affamée de mari ? (Acte 3, scène 5, ORONTE)
Comme elle prend feu d'abord ! (Acte 3, scène 6, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Comme nous lui plaisons ! (Acte 3, scène 6, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Comment donc ? (Acte 3, scène 10, SBRIGANI)
Qu'importe comme ils parlent, pourvu qu'ils me disent ce que je veux savoir. (Acte 3, scène 10, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Oui, les choses s'acheminent où nous voulons : et comme ses lumières sont fort petites, et son sens le plus borné du monde, je lui ai fait prendre une frayeur si grande de la sévérité de la justice de ce pays, et des apprêts qu'on faisait déjà pour sa mort, qu'il veut prendre la fuite ; et pour se dérober avec plus de facilité aux gens que je lui ai dit qu'on avait mis pour l'arrêter aux portes de la ville, il s'est résolu à se déguiser, et le déguisement qu'il a pris est l'habit d'une femme. (Acte 4, scène 1, SBRIGANI)
Pour moi, je ne crois pas qu'en cet état on puisse jamais vous connaître, et vous avez la mine, comme cela, d'une femme de condition. (Acte 4, scène 2, SBRIGANI)
Oui, je vous l'ai déjà dit, ils commencent ici par faire pendre un homme, et puis ils lui font son procès. (Acte 4, scène 2, SBRIGANI)
Elle est sévère comme tous les diables, particulièrement sur ces sortes de crimes. (Acte 4, scène 2, SBRIGANI)
Ce n'est pas tant la peur de la mort qui me fait fuir, que de ce qu'il est fâcheux à un gentilhomme d'être pendu, et qu'une preuve comme celle-là ferait tort à nos titres de noblesse. (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Au reste, étudiez-vous, quand je vous mènerai par la main, à bien marcher comme une femme, et prendre le langage et toutes les manières d'une personne de qualité. (Acte 4, scène 2, SBRIGANI)
Çà, voyons un peu comme vous ferez. (Acte 4, scène 2, SBRIGANI)
Mon_Dieu, qu'on est misérable d'avoir des gens comme cela ! (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
Comment ? (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
Je vous l'ai déjà dit, ce n'est que la seule considération que j'ai pour Monsieur votre père, et je n'ai pu souffrir qu'un honnête homme comme lui fût exposé à la honte de tous les bruits qui pourraient suivre une action comme la vôtre. (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)

L'IMPROMPTU DE VERSAILLES (1682)

Et pensez-vous que ce soit une petite affaire, que d'exposer quelque chose de comique devant une assemblée comme celle-ci ? (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
Une respectueuse excuse fondée sur l'impossibilité de la chose dans le peu de temps qu'on vous donne ; et tout autre en votre place ménagerait mieux sa réputation, et se serait bien gardé de se commettre comme vous faites. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE BÉJART)
Comment prétendez-vous que nous fassions, si nous ne savons pas nos rôles ? (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE BÉJART)
Comme leurs jours de comédies sont les mêmes que les nôtres, à peine ai-je été les voir, que trois ou quatre fois depuis que nous sommes à Paris ; je n'ai attrapé de leur manière de réciter, que ce qui m'a d'abord sauté aux yeux, et j'aurais eu besoin de les étudier davantage pour faire des portraits bien ressemblants. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
C'est une idée qui m'avait passé une fois par la tête, et que j'ai laissée là comme une bagatelle, une badinerie, qui peut-être n'aurait point fait rire. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
Il faut un Roi qui soit gros et gras comme quatre. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
Un Roi, morbleu, qui soit entripaillé comme il faut ? (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Et le poète : comment vous appelez cela réciter ? (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Là, appuyer comme il faut le dernier vers. (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Allez-vous-en réciter comme vous faites, vous verrez si vous ferez faire aucun Ah ! (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Et le poète aussitôt : vous vous moquez, vous ne faites rien qui vaille, et voici comme il faut réciter cela. (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Voyez-vous comme cela est naturel et passionné ? (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Et comme dans toutes les comédies anciennes on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les auditeurs, de même dans toutes nos pièces de maintenant, il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
Mon_Dieu, Mademoiselle, voilà comme vous disiez lorsque l'on vous donna celui de la Critique de l'École des femmes ; cependant vous vous en êtes acquittée à merveille, et tout le monde est demeuré d'accord qu'on ne peut pas mieux faire que vous avez fait, croyez-moi, celui-ci sera de même, et vous le jouerez mieux que vous ne pensez. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
Comment cela se pourrait-il faire, car il n'y a point de personne au monde qui soit moins façonnière que moi. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE DU PARC)
Vous faites le poète, vous, et vous devez vous remplir de ce personnage, marquer cet air pédant qui se conserve parmi le commerce du beau monde, ce ton de voix sentencieux, et cette exactitude de prononciation qui appuie sur toutes les syllabes, et ne laisse échapper aucune lettre de la plus sévère orthographe. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
Pour vous, vous faites un honnête homme de Cour, comme vous avez déjà fait dans la Critique de l'École des femmes, c'est-à-dire que vous devez prendre un air posé, un ton de voix naturel, et gesticuler le moins qu'il vous sera possible. (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Et pour vous, vous êtes la soubrette de la précieuse, qui se mêle de temps en temps dans la conversation, et attrape, comme elle peut, tous les termes de sa maîtresse ; je vous dis tous vos caractères, afin que vous vous les imprimiez fortement dans l'esprit. (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Commençons maintenant à répéter, et voyons comme cela ira. (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Comment vous en va ? (Acte 1, scène 2, LA THORILLIÈRE)
Comment l'appelez-vous ? (Acte 1, scène 2, LA THORILLIÈRE)
Je vous demande comment vous la nommez ? (Acte 1, scène 2, LA THORILLIÈRE)
Comment serez-vous habillés ? (Acte 1, scène 2, LA THORILLIÈRE)
Comme vous voyez. (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
Quand commencerez-vous ? (Acte 1, scène 2, LA THORILLIÈRE)
Vous voilà belle comme un petit ange. (Acte 1, scène 2, LA THORILLIÈRE)
Or sus, commençons. (Acte 1, scène 3, MOLIÈRE)
Souvenez-vous bien, vous de venir comme je vous ai dit, là avec cet air qu'on nomme le bel air, peignant votre perruque, et grondant une petite chanson entre vos dents. (Acte 1, scène 3, MOLI?RE)
Bonjour, Marquis, recommencez donc. (Acte 1, scène 3, MOLIÈRE)
Il disait que rien ne lui donnait du déplaisir comme d'être accusé de regarder quelqu'un dans les portraits qu'il fait. (Acte 1, scène 4, BRÉCOURT)
Comme l'affaire de la comédie est de représenter en général tous les défauts des hommes, et principalement des hommes de notre siècle ; il est impossible à Molière de faire aucun caractère qui ne rencontre quelqu'un dans le monde ; et s'il faut qu'on l'accuse d'avoir songé toutes les personnes où l'on peut trouver les défauts qu'il peint, il faut sans doute qu'il ne fasse plus de comédies. (Acte 1, scène 4, BR?COURT)
Faites état de moi, Monsieur, comme du plus chaud de vos amis. (Acte 1, scène 4, MOLIÈRE)
Voilà à peu près comme cela doit être joué. (Acte 1, scène 4, MOLI?RE)
Prenez bien garde vous à vous déhancher comme il faut, et à faire bien des façons, cela vous contraindra un peu, mais qu'y faire, il faut parfois se faire violence. (Acte 1, scène 4, MOLIÈRE)
Comment ? (Acte 1, scène 4, BRÉCOURT)
Comme tous les auteurs, et tous les comédiens regardent Molière comme leur plus grand ennemi, nous nous sommes tous unis pour le desservir ; chacun de nous a donné un coup de pinceau à son portrait, mais nous nous sommes bien gardés d'y mettre nos noms ; il lui aurait été trop glorieux de succomber aux yeux du monde, sous les efforts de tout le Parnasse ; et pour rendre sa défaite plus ignominieuse, nous avons voulu choisir tout exprès un auteur sans réputation. (Acte 1, scène 5, DU CROISY)
Comment cet impertinent ne veut pas que les femmes aient de l'esprit, il condamne toutes nos expressions élevées, et prétend que nous parlions toujours terre à terre ! (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE DU PARC)
Cela lui sied fort bien, pourquoi fait-il de méchantes pièces que tout Paris va voir, et où il peint si bien les gens, que chacun s'y connaît ; que ne fait-il des comédies comme celles de Monsieur Lysidas, il n'aurait personne contre lui, et tous les auteurs en diraient du bien. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE MOLIÈRE)
Pour moi j'y payerai de ma personne comme il faut, et je réponds d'une bravoure d'approbation qui mettra en déroute tous les jugements ennemis, c'est bien la moindre chose que nous devions faire, que d'épauler de nos louanges le vengeur de nos intérêts. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE DU PARC)
On m'a montré la pièce, et comme tout ce qu'il y a d'agréable, sont effectivement les idées qui ont été prises de Molière, la joie que cela pourra donner n'aura pas lieu de lui déplaire sans doute ; car pour l'endroit où on s'efforce de le noircir, je suis le plus trompé du monde si cela est approuvé de personne. (Acte 1, scène 5, BRÉCOURT)
Ma foi je le trouverais un grand fou, s'il se mettait en peine de répondre à leurs invectives, tout le monde sait assez de quel motif elles peuvent partir ; et la meilleure réponse qu'il leur puisse faire, c'est une comédie qui réussisse comme toutes ses autres. (Acte 1, scène 5, BRÉCOURT)
Voilà le vrai moyen de se venger d'eux comme il faut, et de l'humeur dont je les connais ; je suis fort assuré qu'une pièce nouvelle qui leur enlèvera le monde les fâchera bien plus, que toutes les satires qu'on pourrait faire de leurs personnes. (Acte 1, scène 5, BR?COURT)
Qu'ils s'en saisissent après nous, qu'ils les retournent comme un habit pour les mettre sur leur théâtre, et tâchent à profiter de quelque agrément qu'on y trouve, et d'un peu de bonheur que j'ai, j'y consens, ils en ont besoin ; et je serai bien aise de contribuer à les faire subsister, pourvu qu'ils se contentent de ce que je puis leur accorder avec bienséance. (Acte 1, scène 5, MOLIÈRE)
Comment, vous ne sauriez aller jouer votre rôle ? (Acte 1, scène 5, MOLIÈRE)
Messieurs, je viens vous avertir que le Roi est venu, et qu'il attend que vous commenciez. (Acte 1, scène 6, BEJART)
Monsieur, vous me voyez dans la plus grande peine du monde, je suis désespéré à l'heure que je vous parle, voici des femmes qui s'effrayent, et qui disent qu'il leur faut répéter leurs rôles avant que d'aller commencer, nous demandons de grâce, encore un moment, le Roi a de la bonté, et il sait bien que la chose a été précipitée. (Acte 1, scène 6, MOLIÈRE)
Comment m'excuser ? (Acte 1, scène 6, MOLIÈRE)
Messieurs, commencez donc. (Acte 1, scène 7, UN NÉCESSAIRE)
Messieurs, commencez donc. (Acte 1, scène 8, AUTRE NÉCESSAIRE)
Messieurs, commencez donc. (Acte 1, scène 9, AUTRE NÉCESSAIRE)
Eh, que de gens se font de fête, et viennent dire commencez donc, à qui le Roi ne l'a pas commandé. (Acte 1, scène 9, MOLIÈRE)
Messieurs, commencez donc. (Acte 1, scène 10, AUTRE NÉCÉSSAIRE)
Monsieur, vous venez pour nous dire de commencer, mais... (Acte 1, scène 11, MOLIÈRE)

MÉLICERTE (1682)

Il est vrai, je ne sais comme j'ai fait la chose. v.53 (Acte 1, scène 2, EROXÈNE)
Comme un tel fils est né d'un père de la sorte, v.90 (Acte 1, scène 2, EROXÈNE)
Cela ne se dit pas comme vous le pensez. v.100 (Acte 1, scène 3, LYCARSIS)
Sont brillants et parés comme au jour d'une fête, v.130 (Acte 1, scène 3, LYCARSIS)
On ne croirait jamais comme de toutes parts, v.139 (Acte 1, scène 3, LYCARSIS)
Je tiens de feu ma femme, et je me sens comme elle v.178 (Acte 1, scène 4, LYCARSIS)
Comme par son esprit et ses autres brillants, v.191 (Acte 1, scène 4, EROXÈNE)
Comment donc ? Qu'est-ceci ? Qui l'eût pu présumer ? v.285 (Acte 1, scène 5, LYCARSIS)
Me faire un coeur sensible et tendre comme il est. v.290 (Acte 1, scène 5, MYRTIL)
Et vous redites tout comme je l'ai conté. v.342 (Acte 2, scène 1, CORINNE)
Mais comment Lycarsis reçoit-il cette affaire ? v.343 (Acte 2, scène 1, MÉLICERTE)
Comme un honneur, je crois, qui doit beaucoup lui plaire. v.344 (Acte 2, scène 1, CORINNE)
Comment ? v.347 (Acte 2, scène 1, CORINNE)
En vérité, je ne sais comment faire, v.355 (Acte 2, scène 1, CORINNE)
Toujours, comme d'un mal défends-toi de ses traits. v.370 (Acte 2, scène 2, MÉLICERTE)
Et que me sert d'aimer comme je fais, hélas, v.425 (Acte 2, scène 3, MYRTIL)
Et toujours de mes voeux, Reine comme vous êtes... v.451 (Acte 2, scène 3, MYRTIL)
Et qui, tombant après comme un éclair qui passe, v.455 (Acte 2, scène 3, MÉLICERTE)
Comment, à quel orgueil, fripon, vous vois-je aller ? v.509 (Acte 2, scène 5, LYCARSIS)
Oui, content de mes fers comme d'une victoire, v.579 (Acte 2, scène 6, MYRTIL)
Comment ? v.588 (Acte 2, scène 7, MYRTIL)

LES PRÃ‰CIEUSES RIDICULES (1660)

Et comment encore ? (Acte 1, scène 1, DU CROISY)
Vous avais-je pas commandé de les recevoir comme des personnes, que je voulais vous donner pour maris ? (Acte 1, scène 4, GORGIBUS)
Voilà comme les choses se traitent dans les belles manières, et ce sont des règles dont, en bonne galanterie, on ne saurait se dispenser ; mais en venir de but en blanc à l'union conjugale et ne faire l'amour qu'en faisant le contrat du mariage, et prendre justement le roman par la queue ! (Acte 1, scène 4, MAGDELON)
Comment ces noms étranges ? (Acte 1, scène 4, GORGIBUS)
Comment est-ce qu'on peut souffrir la pensée de coucher contre un homme vraiment nu ? (Acte 1, scène 4, CATHOS)
Dame, je n'entends point le latin, et je n'ai pas appris, comme vous, la filofie dans le Grand Cyre. (Acte 1, scène 6, MAROTTE)
Comment, coquin, demander de l'argent à une personne de ma qualité ? (Acte 1, scène 7, MASCARILLE)
Tu parles comme il faut, toi ; mais l'autre est un coquin qui ne sait ce qu'il dit. (Acte 1, scène 7, MASCARILLE)
Comment diable, d'abord qu'on les approche, ils se mettent sur leur garde meurtrière ? (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
On apprend par là, chaque jour, les petites nouvelles galantes ; les jolis commerces de prose et de vers. (Acte 1, scène 9, MAGDELON)
Avez-vous remarqué ce commencement, oh, oh ? (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
Comme un homme qui s'avise tout d'un coup : oh, oh. (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
Tandis qu'innocemment, sans malice, comme un pauvre mouton. (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
Et comment donc cela se peut-il ? (Acte 1, scène 9, CATHOS)
Et puis, comme si l'on criait bien fort au, au, au, au, au, au, voleur ; et tout d'un coup comme une personne essoufflée, au voleur. (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
Mais je vous demande d'applaudir, comme il faut, quand nous serons là. (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
C'est assez, puisque nous sommes instruites nous ferons notre devoir de nous écrier comme il faut sur tout ce qu'on dira. (Acte 1, scène 9, CATHOS)
Il n'y a qu'eux qui soient capables de faire valoir les choses ; les autres sont des ignorants qui récitent comme l'on parle. (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
Vous ne me dites rien de mes plumes, comment les trouvez-vous ? (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
Comment diable ! (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
Ma toute bonne, nous commençons d'être connues, voilà le beau monde, qui prend le chemin de nous venir voir. (Acte 1, scène 11, MAGDELON)
Cette journée doit être marquée dans notre almanach, comme une journée bienheureuse. (Acte 1, scène 11, CATHOS)
Ne vous étonnez pas de voir le Vicomte de la sorte, il ne fait que sortir d'une maladie, qui lui a rendu le visage pâle comme vous le voyez. (Acte 1, scène 11, MASCARILLE)
La guerre est une belle chose ; mais ma foi la Cour récompense bien mal aujourd'hui les gens de service comme nous. (Acte 1, scène 11, JODELET)
Il a de l'esprit comme un démon. (Acte 1, scène 11, JODELET)
Endurer un affront, comme celui-là, en notre présence ! (Acte 1, scène 14, MAGDELON)
Comment, Mesdames, nous endurerons que nos laquais soient mieux reçus que nous ? (Acte 1, scène 15, DU CROISY)
Oui, nos laquais, et cela n'est ni beau, ni honnête, de nous les débaucher, comme vous faites. (Acte 1, scène 15, LA GRANGE)
Traiter comme cela un Marquis ! (Acte 1, scène 16, MASCARILLE)

LES FOURBERIES DE SCAPIN (1671)

Vous n'oubliez aucune circonstance, et vous dites les choses tout justement comme elles sont. (Acte 1, scène 1, SILVESTRE)
Comment ? (Acte 1, scène 2, SCAPIN)
Comment ? (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
Tu sais, Scapin, qu'il y a deux mois que le seigneur Géronte, et mon père, s'embarquèrent ensemble pour un voyage qui regarde certain commerce où leurs intérêts sont mêlés. (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
Comme nous sommes grands amis, il me fit aussitôt confidence de son amour, et me mena voir cette fille, que je trouvai belle à la vérité, mais non pas tant qu'il voulait que je la trouvasse. (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
Un autre aurait paru effroyable en l'état où elle était ; car elle n'avait pour habillement qu'une méchante petite jupe, avec des brassières de nuit qui étaient de simple futaine ; et sa coiffure était une cornette jaune, retroussée au haut de sa tête, qui laissait tomber en désordre ses cheveux sur ses épaules ; et cependant, faite comme cela, elle brillait de mille attraits, et ce n'était qu'agréments et que charmes que toute sa personne. (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
Te voilà grand et gros comme père et mère, et tu ne saurais trouver dans ta tête, forger dans ton esprit quelque ruse galante, quelque honnête petit stratagème, pour ajuster vos affaires ? (Acte 1, scène 2, SCAPIN)
J'avoue que le Ciel ne m'a pas donné tes talents, et que je n'ai pas l'esprit, comme toi, de me brouiller avec la Justice. (Acte 1, scène 2, SILVESTRE)
Ma chère Hyacinte, mon coeur n'est donc pas fait comme celui des autres hommes, et je sens bien pour moi que je vous aimerai jusqu'au tombeau. (Acte 1, scène 3, OCTAVE)
Il faut pourtant paraître ferme au premier choc, de peur que sur votre faiblesse il ne prenne le pied de vous mener comme un enfant. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Comme cela ? (Acte 1, scène 3, OCTAVE)
Imaginez-vous que je suis votre père qui arrive, et répondez-moi fermement, comme si c'était à lui-même. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Comment, pendard, vaurien, infâme, fils indigne d'un père comme moi, oses-tu bien paraître devant mes yeux après tes bons déportements, après le lâche tour que tu m'as joué pendant mon absence ? (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
C'est par cette raison qu'il ne faut pas être comme un innocent. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Comment quelque petite chose ! (Acte 1, scène 4, ARGANTE)
Demandez-lui un peu quelles belles réprimandes je lui ai faites, et comme je l'ai chapitré sur le peu de respect qu'il gardait à un père dont il devait baiser les pas ? (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
On n'a plus qu'à commettre tous les crimes imaginables, tromper, voler, assassiner, et dire pour excuse qu'on y a été poussé par sa destinée. (Acte 1, scène 4, ARGANTE)
Je voudrais bien savoir si vous-même n'avez pas été jeune, et n'avez pas dans votre temps fait des fredaines comme les autres. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
Ce serait se faire tort, et se montrer indigne d'un père comme vous. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
Comment, bon ? (Acte 1, scène 4, ARGANTE)
Comment ? (Acte 2, scène 1, GÉRONTE)
Comment. (Acte 2, scène 1, ARGANTE)
Comment ? (Acte 2, scène 2, LÉANDRE)
Oui, Monsieur, seulement pour vous faire peur, et vous ôter l'envie de nous faire courir toutes les nuits comme vous aviez de coutume. (Acte 2, scène 3, SCAPIN)
Comment ? (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
Me venir faire à l'improviste un affront comme celui-là ! (Acte 2, scène 4, SCAPIN)
Commençons par lui, puisqu'il se présente. (Acte 2, scène 4, SCAPIN)
S'aller jeter dans un engagement comme celui-là ! (Acte 2, scène 5, ARGANTE)
Comment, diantre ! (Acte 2, scène 5, ARGANTE)
Qu'il aille comme il lui plaira, et le maître aussi. (Acte 2, scène 5, ARGANTE)
Comment, deux cents pistoles ? (Acte 2, scène 5, ARGANTE)
Comment, marauds, vous avez la hardiesse de vous attaquer à moi ? (Acte 2, scène 6, SILVESTRE)
Comment, vous reculez ? (Acte 2, scène 6, SILVESTRE)
Oui ; mais j'aurais été bien aise de voir comme je donne mon argent. (Acte 2, scène 6, ARGANTE)
Comment, diantre, cinq cents écus ? (Acte 2, scène 7, GÉRONTE)
Et vous figurez-vous que ce Turc ait si peu de sens, que d'aller recevoir un misérable comme moi, à la place de votre fils ? (Acte 2, scène 7, SCAPIN)
Comme diantre vous allez vite ! (Acte 2, scène 8, SCAPIN)
Vous l'êtes, que je crois, contre mon maître maintenant ; et ce qu'il vient de faire pour vous, doit vous donner du coeur pour répondre comme il faut à sa passion. (Acte 3, scène 1, SCAPIN)
C'est là aussi comme il l'entend. (Acte 3, scène 1, SCAPIN)
Il est vrai que tu es maître de tes épaules, et tu en disposeras comme il te plaira. (Acte 3, scène 1, SILVESTRE)
Hé bien, Scapin, comment va l'affaire de mon fils ? (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
Comment donc ? (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
Tous ses amis, gens d'épée comme lui, vous cherchent de tous les côtés, et demandent de vos nouvelles. (Acte 3, scène 2, SCAPIN)
Je vous chargerai sur mon dos, comme un paquet de quelque chose, et je vous porterai ainsi au travers de vos ennemis, jusque dans votre maison, où quand nous serons une fois, nous pourrons nous barricader, et envoyer quérir main-forte contre la violence. (Acte 3, scène 2, SCAPIN)
Monsieur, les coups de bâton ne se donnent point à des gens comme lui, et ce n'est pas un homme à être traité de la sorte. (Acte 3, scène 2, SCAPIN)
Comment, tu mé traites, à moi, avec cette hautur ? (Acte 3, scène 2, SCAPIN)
Je défends, comme je dois, un homme d'honneur qu'on offense. (Acte 3, scène 2, SCAPIN)
Comment ? (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
Parti moi courir comme une Basque, et moi ne pouvre point troufair de tout le jour sti tiable de Gironte ? » (Acte 3, scène 2, SCAPIN)
Comment ? (Acte 3, scène 3, ZERBINETTE)
Dès ce moment, il s'attache à mes pas, et le voilà d'abord, comme tous les jeunes gens, qui croient qu'il n'y a qu'à parler, et qu'au moindre mot qu'ils nous disent, leurs affaires sont faites : mais il trouva une fierté qui lui fit un peu corriger ses premières pensées. (Acte 3, scène 3, ZERBINETTE)
Comment, son histoire ? (Acte 3, scène 4, SILVESTRE)
Comment, que de réputation ? (Acte 3, scène 10, GÉRONTE)
Comment, Monsieur ? (Acte 3, scène 13, SCAPIN)

Dans les 1862 textes du corpus, il y a 33 textes (soit une présence dans 1,77 % des textes) dans lesquels il y a 1452 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 44,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Prologue	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Acte 7	Acte 8	Acte 9	Acte 10	Acte 11	Total
1	SGANARELLE	17	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	17
2	LA PRINCESSE D'?LIDE	3	0	0	0	5	1	6	4	7	0	3	0	29
3	LA PRINCESSE D'ÉLIDE	1	0	7	0	2	0	0	0	0	0	0	0	10
4	LE M?DECIN MALGR? LUI	13	0	15	18	0	0	0	0	0	0	0	0	46
5	GEORGE DANDIN	17	0	17	14	0	0	0	0	0	0	0	0	48
6	L'ÉCOLE DES MARIS	10	0	12	9	0	0	0	0	0	0	0	0	31
7	LE DÉPIT AMOUREUX	9	0	14	7	14	4	0	0	0	0	0	0	48
8	LE TARTUFFE	16	0	10	10	7	10	0	0	0	0	0	0	53
9	LES F?CHEUX	0	0	0	1	0	0	0	0	0	0	0	0	1
10	LES FÂCHEUX	8	0	10	4	0	0	0	0	0	0	0	0	22
11	LES FEMMES SAVANTES	7	0	18	12	14	9	0	0	0	0	0	0	60
12	L'AVARE	24	0	24	13	10	18	0	0	0	0	0	0	89
13	LE MISANTHROPE	0	0	0	0	0	1	0	0	0	0	0	0	1
14	LE MISANTHROPE	16	0	4	8	11	8	0	0	0	0	0	0	47
15	L'?COLE DES FEMMES	0	0	0	3	0	0	0	0	0	0	0	0	3
16	L'ÉCOLE DES FEMMES	20	0	13	17	13	17	0	0	0	0	0	0	80
17	LA JALOUSIE DU BARBOUILL?	24	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	24
18	LE M?DECIN VOLANT	10	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	10
19	LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS	24	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	24
20	LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS	1	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	1
21	L'ÉTOURDI	14	0	15	6	12	9	0	0	0	0	0	0	56
22	LE MARIAGE FORC?	26	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	26
23	LE BOURGEOIS GENTILHOMME	13	0	25	43	21	14	0	0	0	0	0	0	116
24	LE SICILIEN	16	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	16
25	LE SICILIEN	2	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	2
26	DON GARCIE DE NAVARRE	7	0	4	5	2	6	0	0	0	0	0	0	24
27	LA CRITIQUE DE L'?COLE DES FEMMES	22	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	22
28	LES AMANTS MAGNIFIQUES	0	0	10	0	3	0	10	0	3	0	2	0	28
29	AMPHITRYON	21	3	22	12	0	0	0	0	0	0	0	0	58
30	LE MALADE IMAGINAIRE	0	0	0	43	5	0	25	0	0	0	0	0	73
31	DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE	11	0	26	8	10	7	0	0	0	0	0	0	62
32	DON JUAN	12	0	26	9	11	7	0	0	0	0	0	0	65
33	L'IMPROMPTU DE VERSAILLES	53	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	53
34	MÉLICERTE	9	0	12	0	0	0	0	0	0	0	0	0	21
35	LES PR?CIEUSES RIDICULES	29	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	0	29
36	LES FOURBERIES DE SCAPIN	20	0	17	17	0	0	0	0	0	0	0	0	54
37	PSYCHÉ	0	5	1	3	3	5	7	0	0	0	0	0	24
38	L'AMOUR M?DECIN	0	0	8	5	12	0	0	0	0	0	0	0	25
39	MONSIEUR DE POURCEAUGNAC	0	0	26	15	10	0	0	0	0	0	0	0	51
40	LE MALADE IMAGINAIRE	0	0	0	1	1	0	0	0	0	0	0	0	2
41	LE BOURGEOIS GENTILHOMME	0	0	0	0	0	1	0	0	0	0	0	0	1
	Total	475	8	336	283	166	117	48	4	10	0	5	0	1452