Occurences de l'expression

seigneur

pour MARIVAUX

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FÃ‰LICIE (1750)

Il est pourtant vrai que, sans vous, je l'aurais suivie, Seigneur. (Acte 1, scène 6, FÉLICIE)
Seigneur, je vous déclare que je ne veux point la perdre. (Acte 1, scène 6, FÉLICIE)

LA DOUBLE INCONSTANCE (1724)

Je lui aurais répondu : Non, seigneur, il faut qu'une honnête femme aime son mari, et je ne pourrais pas vous aimer. (Acte 1, scène 1, SILVIA)
Ce qu'elle dit, seigneur, ma foi, ce n'est pas la peine de le répéter, il n'y a rien encore qui mérite votre curiosité. (Acte 1, scène 2, TRIVELIN)
Eh non, seigneur, ce sont de petites bagatelles dont le récit vous ennuierait, tendresse pour Arlequin, impatience de le rejoindre, nulle envie de vous connaître, désir violent de ne vous point voir, et force haine pour nous ; voilà l'abrégé de ses dispositions, vous voyez bien que cela n'est point réjouissant ; et franchement, si j'osais dire ma pensée, le meilleur serait de la remettre où on l'a prise. (Acte 1, scène 2, TRIVELIN)
Eh, Seigneur, ne l'écoutez pas avec son prodige, cela est bon dans un conte de fée. (Acte 1, scène 2, FLAMINIA)
Seigneur, je vous ai déjà dit qu'Arlequin nous était nécessaire. (Acte 1, scène 2, FLAMINIA)
Eh bien, seigneur Arlequin, comment vous trouvez-vous ici ? (Acte 1, scène 4, TRIVELIN)
Seigneur Arlequin, croyez-moi, faites quelque chose pour votre maître. (Acte 1, scène 4, TRIVELIN)
Allons, seigneur Arlequin, faites-vous un sort heureux ; il ne s'agira seulement que de quitter une fille pour en prendre une autre. (Acte 1, scène 4, TRIVELIN)
Le Prince me demande, j'y cours : mais tenez donc compagnie au seigneur Arlequin pendant mon absence. (Acte 1, scène 5, TRIVELIN)
Je vous avoue, seigneur, que si j'étais vaine, je n'aurais pas mon compte ; j'ai des preuves que je puis déplaire, et nous autres femmes nous nous passons bien de ces preuves-là. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Et moi je vous dis, seigneur, que j'ai vu Arlequin, qu'il me plaît à moi, que je me suis mise dans la tête de vous rendre content ; que je vous ai promis que vous le seriez ; que je vous tiendrai parole, et que de tout ce que je vous dis là, je n'en rabattrais pas la valeur d'un mot. (Acte 1, scène 8, FLAMINIA)
Quoi, seigneur, Arlequin et Silvia me résisteraient ? (Acte 1, scène 8, FLAMINIA)
Seigneur, vous pouvez en toute sûreté ordonner les apprêts de votre mariage, vous arranger pour cela ; je vous garantis aimé, je vous garantis marié, Silvia va vous donner son coeur, ensuite sa main ; je l'entends d'ici vous dire : Je vous aime ; je vois vos noces, elles se font ; Arlequin m'épouse, vous nous honorez de vos bienfaits, et voilà qui est fini. (Acte 1, scène 8, FLAMINIA)
Quand je vous dis que nous ne méritons pas d'avoir des gens à notre suite, ce n'est pas que nous manquions d'honneur ; c'est qu'il n'y a que les personnes considérables, les seigneurs, les gens riches, qu'on honore de cette manière-là : s'il suffisait d'être honnête homme, moi qui vous parle, j'aurais après moi une armée de valets ! (Acte 1, scène 10, TRIVELIN)
Ma foi, tout bien compté, vous me ferez plaisir de me laisser là sans compagnie ; ceux qui me verront tout seul me prendront tout d'un coup pour un honnête homme, j'aime autant cela que d'être pris pour un grand seigneur. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Seigneur Arlequin, le dîner est prêt ! (Acte 1, scène 13, TRIVELIN)
Mais, seigneur Arlequin, songerez-vous toujours à Silvia ? (Acte 2, scène 5, TRIVELIN)
Seigneur Arlequin, n'y a-t-il point de risque à reparaître ? (Acte 2, scène 7, TRIVELIN)
Voilà un seigneur qui demande à vous parler ! (Acte 2, scène 7, TRIVELIN)
Le Seigneur approche, et fait des révérences, qu'Arlequin lui rend ! (Acte 2, scène 7, TRIVELIN)
Que souhaite de moi Votre Seigneurie ? (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
Oui, seigneur, vous avez fort bien fait de ne pas vous découvrir tantôt, malgré tout ce que Silvia vous a dit de tendre ; ce retardement ne gâte rien, et lui laisse le temps de se confirmer dans le penchant qu'elle a pour vous. (Acte 3, scène 1, FLAMINIA)
Mais, seigneur, oserais-je vous prier de m'en répéter quelque chose ? (Acte 3, scène 1, FLAMINIA)
À vous dire le vrai, seigneur, je le crois tout à fait amoureux de moi ; mais il n'en sait rien ; comme il ne m'appelle encore que sa chère amie, il vit sur la bonne foi de ce nom qu'il me donne, et prend toujours de l'amour à bon compte. (Acte 3, scène 1, FLAMINIA)
Dans la première conversation, je l'instruirai de l'état de ses petites affaires avec moi, et ce penchant qui est incognito chez lui, et que je lui ferai sentir par un autre stratagème, la douceur avec laquelle vous lui parlerez, comme nous en sommes convenus, tout cela, je pense, va vous tirer d'inquiétude, et terminer mes travaux dont je sortirai, seigneur, victorieuse et vaincue. (Acte 3, scène 1, FLAMINIA)
Allez, allez, seigneur Arlequin, mangez en toute sûreté de conscience, et buvez de même. (Acte 3, scène 2, TRIVELIN)
Mais, seigneur Arlequin, il n'est pas besoin de mêler Flaminia là-dedans. (Acte 3, scène 2, TRIVELIN)
Halte-là, dites Monseigneur. (Acte 3, scène 2, TRIVELIN)
Il y a deux ans, seigneur Arlequin, il y a deux ans que je soupire en secret pour elle. (Acte 3, scène 2, TRIVELIN)
Je vous suis obligé de votre bonne volonté, seigneur Arlequin : mais je suis sorti d'embarras et rentré dans les bonnes grâces du Prince, sur l'assurance que je lui ai donnée que vous lui parleriez pour moi : j'espère qu'à votre tour vous me tiendrez parole. (Acte 3, scène 4, LE-SEIGNEUR)
Excusez, Monseigneur, c'est donc moi qui suis un sot d'avoir été un impertinent avec vous ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Que voulez-vous, Monseigneur, j'ai une fille qui m'aime ; vous, vous en avez plein votre maison, et nonobstant vous m'ôtez la mienne. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Allons, Monseigneur, dites-vous comme cela : Faut-il que je retienne le bonheur de ce petit homme parce que j'ai le pouvoir de le garder ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Monseigneur, ne vous fiez pas à ces gens qui vous disent que vous avez raison avec moi, car ils vous trompent. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Prenez quelque consolation, Monseigneur, promenez-vous, voyagez quelque part, votre douleur se passera dans les chemins. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Monseigneur ! (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)

LE PÈRE PRUDENT ET ÉQUITABLE (1712)

La maison d'un nommé le Seigneur Démocrite ? v.215 (Acte 1, scène 5, ARISTE)
Le seigneur Démocrite est-il pas logé là ? v.353 (Acte 1, scène 10, LE-CHEVALIER)
Le seigneur Démocrite v.503 (Acte 1, scène 17, LE FINANCIER)
Le seigneur Démocrite est-il en sa maison ? v.506 (Acte 1, scène 17, LE FINANCIER)
Connaissez-vous ici le seigneur Démocrite ? v.547 (Acte 1, scène 19, FRONTIN)

ANNIBAL (1727)

Oui, je la soutiendrai ; n'en doutez point, Seigneur, v.123 (Acte 1, scène 2, LAODICE)
Mais aujourd'hui, Seigneur, je n'en ferais pas moins, v.127 (Acte 1, scène 2, LAODICE)
Mais, Seigneur, Prusias, dont vous vous défiez, v.131 (Acte 1, scène 2, LAODICE)
Seigneur, quand Annibal arriva dans ces lieux, v.167 (Acte 1, scène 2, LAODICE)
Avant la fin du jour, Seigneur, nous l'allons voir, v.183 (Acte 1, scène 3, PRUSIAS)
Qu'entends-je ! Vous, Seigneur ! v.185 (Acte 1, scène 3, ANNIBAL)
Seigneur, ceux dont je parle ont même rang que moi. v.188 (Acte 1, scène 3, PRUSIAS)
Autant qu'à vous, Seigneur, me paraît odieux : v.212 (Acte 1, scène 3, PRUSIAS)
Je l'avouerai, Seigneur, j'aurais peine à penser v.215 (Acte 1, scène 3, PRUSIAS)
Quoi ! Seigneur, votre rang n'est pas sacrifié, v.219 (Acte 1, scène 3, ANNIBAL)
Seigneur, connaissez-vous ; rompez l'enchantement v.235 (Acte 1, scène 3, ANNIBAL)
Seigneur, n'en parlons plus. v.248 (Acte 1, scène 3, PRUSIAS)
Seigneur, nous sommes seuls : oserais-je vous dire v.253 (Acte 1, scène 4, AMILCAR)
Assez faible, Seigneur, pour vous livrer à Rome. v.262 (Acte 1, scène 4, AMILCAR)
Vous voudrez bien, Seigneur, excuser un discours v.275 (Acte 1, scène 4, AMILCAR)
Seigneur, comment ce prince ose se faire attendre. v.314 (Acte 2, scène 1, FLAVIUS)
Seigneur, à ce discours souffrez que je comprenne. v.333 (Acte 2, scène 1, FLAVIUS)
Mais, Seigneur, jusqu'ici j'ai cru devoir me taire. v.338 (Acte 2, scène 1, FLAVIUS)
Mais depuis quand, Seigneur, v.383 (Acte 2, scène 1, FLAVIUS)
A commandé, Seigneur, que je vinsse vers vous v.391 (Acte 2, scène 2, FLAMINIUS)
Vous en avait, Seigneur, averti sans éclat. v.396 (Acte 2, scène 2, FLAMINIUS)
De son devoir, Seigneur, instruisent l'univers. v.416 (Acte 2, scène 2, FLAMINIUS)
Qu'en ferez-vous, Seigneur, si Rome est mécontente ! v.422 (Acte 2, scène 2, FLAMINIUS)
Seigneur, quand le Sénat s'abstiendrait d'un langage v.433 (Acte 2, scène 2, PRUSIAS)
Vous ne m'étonnez point, Seigneur, et la menace v.441 (Acte 2, scène 2, PRUSIAS)
Artamène avec moi, Seigneur, fit un traité v.447 (Acte 2, scène 2, PRUSIAS)
M'en défendre, Seigneur, est-ce commettre un crime ! v.458 (Acte 2, scène 2, PRUSIAS)
Seigneur, si de la vôtre elle n'est que la suite ! v.462 (Acte 2, scène 2, FLAMINIUS)
Seigneur, il me paraît qu'il n'était pas besoin v.563 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
Que je n'ai pu, Seigneur, m'expliquer qu'à demi. v.568 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
Lui ! Vous me surprenez, Seigneur : de quelle crainte v.569 (Acte 2, scène 3, PRUSIAS)
Rome ne le craint point, Seigneur ; mais sa pitié v.571 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
Ce devoir est, Seigneur, de n'oser entreprendre v.577 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
N'a point dessein, Seigneur, de vous faire un outrage ; v.586 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
Mais s'il est vrai, Seigneur, que vous dépendiez d'elle, v.593 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
Seigneur, de vos discours l'excessive licence v.605 (Acte 2, scène 3, PRUSIAS)
Expliquez-vous, Seigneur, et voyons si je puis v.619 (Acte 2, scène 3, PRUSIAS)
Mais, Seigneur, écoutez ce qui me reste à dire. v.626 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
Et c'est un choix, Seigneur, avantageux pour vous. v.628 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
Mais agréez, Seigneur, que l'aimable princesse v.633 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
Vous pouvez l'en avertir, Seigneur, v.636 (Acte 2, scène 3, PRUSIAS)
Observez donc aussi, Seigneur, que son courroux v.643 (Acte 2, scène 4, HIÉRON)
Et ces princes, Seigneur, sont-ils donc généreux, v.667 (Acte 2, scène 4, HIÉRON)
Mais je n'ai pas, Seigneur, dessein d'en faire usage. v.738 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Mes paisibles vertus ne valent pas, Seigneur, v.743 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Bien plus, Seigneur, je vois d'un oeil reconnaissant v.755 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Mais, Seigneur, il en prend un espoir qui l'abuse ; v.762 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Quoi ! Seigneur, vous seriez... Mais que dis-je ! Cessez, v.796 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Seigneur ; je plains des feux si tendres, si constants ; v.812 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Mais je ne puis, Seigneur ; et des liens si doux, v.815 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Non, Seigneur ; c'est en vain que le vôtre m'en presse ; v.822 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Je ne puis vous aimer, Seigneur, et vos soupçons v.827 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
Que dites-vous, Seigneur ! v.849 (Acte 3, scène 4, PRUSIAS)
Quelque intérêt, Seigneur, que votre Rome y prenne, v.853 (Acte 3, scène 4, PRUSIAS)
Plus d'un prince, Seigneur, demande Laodice ; v.857 (Acte 3, scène 4, PRUSIAS)
Qu'en dites-vous, Seigneur ! v.873 (Acte 3, scène 4, FLAMINIUS)
Seigneur, vous avez vu qu'il était nécessaire v.885 (Acte 3, scène 4, ANNIBAL)
Et sans m'estimer trop, j'assurerai, Seigneur, v.891 (Acte 3, scène 4, ANNIBAL)
Oui, je vais m'éloigner : mais prouvez-lui, Seigneur, v.935 (Acte 3, scène 4, ANNIBAL)
Ne vous y trompez pas, Seigneur ; Rome aujourd'hui v.939 (Acte 3, scène 5, FLAMINIUS)
Apaisez-la, Seigneur : une nombreuse armée v.945 (Acte 3, scène 5, FLAMINIUS)
Vous périrez, Seigneur ; et bientôt Artamène, v.953 (Acte 3, scène 5, FLAMINIUS)
Connaissez-le, Seigneur : Laodice m'est chère ; v.961 (Acte 3, scène 5, FLAMINIUS)
De quels ordres encor s'agissait-il, Seigneur ! v.1016 (Acte 3, scène 7, ANNIBAL)
Vivez, Seigneur, vivez ; j'estime trop moi-même v.1075 (Acte 4, scène 2, LAODICE)
Si vous deviez, Seigneur, essuyer un outrage, v.1084 (Acte 4, scène 2, LAODICE)
Seigneur, le temps me presse. v.1147 (Acte 4, scène 2, LAODICE)
Oui, Seigneur, vous serez content à votre tour, v.1165 (Acte 4, scène 3, LAODICE)
Vous vous trompez, Seigneur ; v.1185 (Acte 4, scène 3, LAODICE)
Ah ! Seigneur, oubliez cet honneur chimérique, v.1239 (Acte 4, scène 3, LAODICE)
Mais, Seigneur, qu'avec vous mon coeur s'est écarté v.1249 (Acte 4, scène 3, LAODICE)
Me trompé-je, Seigneur ! Ai-je trop présumé ! v.1253 (Acte 4, scène 3, LAODICE)
Oui, Seigneur, qu'avec soin votre âme y réfléchisse. v.1260 (Acte 4, scène 3, LAODICE)
Ah ! Seigneur, ma tendresse l'emporte ! v.1267 (Acte 4, scène 3, LAODICE)
Puisque après tout, Seigneur, pour tenir votre foi, v.1305 (Acte 4, scène 6, ANNIBAL)
Seigneur, je suis chez vous : y suis-je en sûreté ! v.1313 (Acte 4, scène 6, ANNIBAL)
Ici ! N'y craignez rien, Seigneur. v.1315 (Acte 4, scène 6, PRUSIAS)
Seigneur, je ne m'explique pas ; v.1321 (Acte 4, scène 7, PRUSIAS)
Non, Seigneur, Annibal a le coeur généreux. v.1330 (Acte 5, scène 1, HIÉRON)
Et vous verrez, Seigneur, Flaminius souscrire v.1335 (Acte 5, scène 1, HI?RON)
Eh ! Seigneur, éloignez ce scrupuleux soupçon : v.1338 (Acte 5, scène 1, HIÉRON)
Seigneur, tous mes serments vous ont assez prouvé v.1346 (Acte 5, scène 2, PRUSIAS)
Mais la gloire, Seigneur, en est si meurtrière, v.1356 (Acte 5, scène 2, PRUSIAS)
De ces périls, Seigneur, vous seul êtes la cause. v.1363 (Acte 5, scène 2, PRUSIAS)
Oui, Seigneur, vous êtes pardonnable. v.1372 (Acte 5, scène 2, ANNIBAL)
Seigneur, je le vois bien, trop coupable à vos yeux... v.1381 (Acte 5, scène 2, PRUSIAS)
Mais, Seigneur, finissons cet entretien fâcheux, v.1397 (Acte 5, scène 2, ANNIBAL)
Oui, Seigneur ; mais un jour vous connaîtrez mon zèle. v.1400 (Acte 5, scène 2, PRUSIAS)
Et cependant, Seigneur, gardez-vous de partir. v.1418 (Acte 5, scène 4, LAODICE)
Ah ! Seigneur, cet aveu me glace d'épouvante. v.1443 (Acte 5, scène 4, LAODICE)
Mais, Seigneur, permettez que je fasse un effort, v.1450 (Acte 5, scène 4, LAODICE)
À votre asile ! Ô ciel ! Seigneur où courez-vous ! v.1453 (Acte 5, scène 4, LAODICE)
Seigneur, puis-je espérer qu'oubliant l'un et l'autre v.1487 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
Seigneur, si votre estime a conçu ce projet, v.1493 (Acte 5, scène 9, ANNIBAL)
Seigneur, je viens ici vous demander au roi ; v.1497 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
Mais, Seigneur, le Sénat veut bien moins vous avoir v.1509 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
Seigneur, je suis certain du parti qu'il prendra, v.1517 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
Où vous deviez, Seigneur, présager vos injures, v.1532 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
Voilà, Seigneur, voilà la chute la plus fière v.1535 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
Puisque autrefois, Seigneur, vous les avez vaincus, v.1541 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
Seigneur, serait-il vrai ce qu'Amilcar nous dit ! v.1562 (Acte 5, scène 10, PRUSIAS)

LE TRIOMPHE DE PLUTUS (1739)

Bonjour, bonjour, seigneur Apollon. (Acte 1, scène 2, PLUTUS)
Écoutez, Seigneur Plutus, si elle a l'esprit délicat, je ne vous conseille pas de vous servir avec elle d'expressions si massives : un morceau à croquer ; lui en dire deux mots ; ce style de douanier la rebuterait. (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Nous aimons donc en même lieu, seigneur Plutus ? (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Voyez de quoi il s'agit : Monsieur est ami du seigneur Ergaste ; ils viennent d'arriver ensemble. (Acte 1, scène 6, SPINETTE)
Ma nièce, où est donc le seigneur Ergaste ? (Acte 1, scène 7, ARMIDAS)
Le seigneur Richard n'est-il pas dans la maison, Monsieur ? (Acte 1, scène 17, MUSICIEN)

L'HÃ‰RITIER DE VILLAGE (1729)

Voulez-vous me sarvir, mon ami, et avez-vous sarvi de gros seigneurs ? (Acte 1, scène 1, BLAISE)
Je n'ai qu'un aîné, le baron de Lydas, un seigneur languissant, un casanier incommodé du poumon ; il faut qu'il meure, et point de lignée ; j'aurai son bien, cela est net. (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
D'un autre côté, voilà Madame Damis, veuve de qualité, jeune et charmante ; ses facultés, vous les savez ; bonne seigneurie, grand château, ancien comme le temps, un peu délabré, mais on le maçonne. (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)

L'ÃŽLE DE LA RAISON ou LES PETITS HOMMMES (1727)

Monsieur, bous êtes mon maîtré, hommé de cour et grand seigneur ; bous mé démandez cé qué bous êtes ; mais jé né bous bois pas ; mettez-bous dans un microscope. (Acte 1, scène 2, FONTIGNAC)
Les voilà, Seigneur. (Acte 1, scène 3, L'INSULAIRE)
Vous me paraissez généreux, Seigneur ; secourez-moi, indiquez-moi, si vous le pouvez, de quoi reprendre ma figure naturelle. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Seigneur, je me rappelle un fait ; c'est que j'ai lü dans les registres de l'Etat, qu'il y a près de deux cents ans qu'on en prit de semblables à ceux-là ; ils sont dépeints de même. (Acte 1, scène 4, BLECTRUE)
Seigneur, dès ce moment je vais travailler à l'emploi que vous me donnez. (Acte 1, scène 4, BLECTRUE)
Je dis donc que j'ai entendu dire par le seigneur de noute village, qui était un songe-creux, que ceux-là qui n'étiont pas raisonnables, deveniont bian petits en la présence de ceux-là qui étiont raisonnables. (Acte 1, scène 8, BLAISE)
Seigneur Blectrue, laissons là l'instinct, il n'est fait que pour les bêtes ; il est vrai que nous sommes petits. (Acte 1, scène 10, LE POÈTE)
Mais, seigneur Blectrue, je ne les connais pas ; ne serait-ce pas plutôt un coup de magie ? (Acte 1, scène 10, LE POÈTE)
Seigneur Blectrue, charitable insulaire, conduisez-moi, je me remets entre vos mains ; voyez ce qu'il faut que je fasse. (Acte 1, scène 10, LE POÈTE)
Seigneur Blectrue, en voilà un qui veut absolument vous parler. (Acte 1, scène 15, MÉGISTE)
Oui, Seigneur, c'est moi-même, sur qui la raison a repris son empire. (Acte 3, scène 7, LA COMTESSE)
Permettez, Seigneur, qué j'emmène Madame ; l'esprit dé son frère fait lé mutin, il régimbe ; sa folie est ténace, et j'ai bésoin dé troupes auxiliaires. (Acte 3, scène 9, FONTIGNAC)
Oui, Seigneur, mettez le comble à vos bienfaits : je vous ai mille obligations ; joignez-y encore la grâce de m'accorder votre fils. (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)

L'Ã‰PREUVE (1740)

Y reconnaissez-vous votre valet de chambre, et n'ai-je pas l'air un peu trop seigneur ? (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Ne serait-ce pas lui, par hasard, que vous vous imaginez être l'homme en question, tout grand seigneur qu'il est par ses richesses ? (Acte 1, scène 6, LISETTE)

LE PRINCE TRAVESTI (1727)

Non, je n'en sache point de meilleure que celle de ton maître ; car on dit qu'il est grand seigneur. (Acte 1, scène 3, HORTENSE)
Tenez, d'un autre côté, je m'imagine quelquefois que vous êtes quelque grand seigneur ; car j'ai entendu dire qu'il y a eu des princes qui ont couru la prétantaine pour s'ébaudir, et peut-être que c'est un vertigo qui vous a pris aussi. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Comptez, vous, Monseigneur le conseiller ; n'est-ce pas trois sols que je perds ? (Acte 1, scène 13, ARLEQUIN)
Tu es chez le seigneur Lélio ; je serais curieux de savoir qui il est. (Acte 1, scène 13, FRÉDÉRIC)
Ne parlons point de votre argent, il est fort bon, je n'ai rien à lui dire ; mais, tenez, j'ai opinion que vous voulez me donner un office de fripon ; car qu'est-ce que vous voulez faire des paroles du seigneur Lélio, mon maître, là ? (Acte 1, scène 13, ARLEQUIN)
Allons, présentez-moi votre requête, appelez-moi un peu Monseigneur, pour voir comment cela fait ; je suis Frédéric à cette heure, et vous, vous êtes Arlequin. (Acte 1, scène 13, ARLEQUIN)
Oh tout bellement ; pendant que je suis Frédéric, je veux profiter un petit brin de ma seigneurie. (Acte 1, scène 13, ARLEQUIN)
Le seigneur Frédéric lui proposera de le servir contre un inconnu ; il refusera d'abord de le faire, parce qu'il s'imaginera que cela ne serait pas bien ; mais vous obtiendrez de lui ce qu'il aura refusé au seigneur Frédéric ; et de là, s'ensuivra pour vous deux une grosse fortune, dont vous jouirez mariés ensemble. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Vous m'aimez déjà, vous voulez m'épouser ; la prédiction est bien avancée ; à l'égard de la proposition du seigneur Frédéric, je ne sais ce que c'est ; mais vous savez bien ce qu'il vous a dit ; quant à moi, il m'a seulement recommandé de vous aimer, et je suis en bon train de cela, comme vous voyez.. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Je vous aime, cela est vrai ; je veux vous épouser, cela est encore vrai, et véritablement le seigneur Frédéric m'a proposé d'être un fripon ; je n'ai pas voulu l'être, et pourtant vous verrez qu'il faudra que j'en passe par là ; car quand une chose est prédite, elle ne manque pas d'arriver. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Prenez garde : on ne m'a pas prédit que le seigneur Frédéric vous proposerait une friponnerie ; on m'a seulement prédit que vous croiriez que c'en serait une. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Je suis un grand nigaud ; mais, au bout du compte, cela avait la mine d'une friponnerie, comme j'ai la mine d'Arlequin ; je suis fâché d'avoir vilipendé ce bon seigneur Frédéric ; je lui ai fait donner tout son argent ; par bonheur je ne suis pas obligé à restitution ; je ne devinais pas qu'il y avait une prédiction qui me donnait le tort. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Il ne s'agit plus à présent que d'obéir à ce qui est prédit, en faisant ce que souhaite le seigneur Frédéric, afin de gagner pour nous cette grosse fortune qui nous est promise. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Apparemment ; mais allons trouver le seigneur Frédéric, pour vous réconcilier avec lui. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Allez, mes amours, allez m'attendre chez le seigneur Frédéric. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
C'est que le seigneur Frédéric m'a promis tout plein mes poches d'argent, si je lui contais un peu ce que vous êtes, et tout ce que je sais de vous ; il m'a bien recommandé le secret, et je suis obligé de le garder en conscience ; ce que j'en dis, ce n'est que par manière de parler. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Bon, je vais tout d'un coup chercher le seigneur Frédéric. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Il faut examiner mûrement les choses ; après quoi, je conseillerai à la Princesse ce que je jugerai de mieux pour sa gloire et pour le bien de ses peuples ; le seigneur Frédéric dira ses raisons, et moi les miennes. (Acte 2, scène 8, LÉLIO)
Vous êtes ici dans une belle situation, et vous craignez d'en sortir, si la Princesse se marie ; mais le Roi mon maître est assez grand seigneur pour vous dédommager, et j'en réponds pour lui. (Acte 2, scène 8, L'AMBASSADEUR)
Non, le seigneur Frédéric a raison ; n'expliquons rien ; ce sont des illusions. (Acte 2, scène 8, L'AMBASSADEUR)
N'avez-vous pas vu le seigneur Frédéric ? (Acte 2, scène 10, ARLEQUIN)
Et puis je cours encore, patati, patata ; je jure, je rencontre un porteur d'eau, je renverse son eau : N'avez-vous pas vu le seigneur Frédéric ? (Acte 2, scène 10, ARLEQUIN)
Attends, attends, je vais te donner du seigneur Frédéric par les oreilles. (Acte 2, scène 10, ARLEQUIN)
Je ne suis qu'un chétif valet, et si pourtant, je voulais être homme de bien ; et lui, qui est riche et grand seigneur, il n'a jamais eu le coeur d'être honnête homme. (Acte 2, scène 11, ARLEQUIN)
Seigneur, je vous demande un moment d'entretien. (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
Moins que vous ne croyez, Seigneur ; c'est un homme estimable, plein d'honneur. (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
Laissons donc cela, Seigneur ; mais me croyez-vous sincère ? (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
Ha Seigneur ! (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
Très aisée, seigneur Frédéric ; vous avez raison ; dès que vous me renvoyez à votre conscience, tout est dit ; je sais quelle espèce de devoirs sa délicatesse peut vous dicter. (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
Je serais curieuse, seigneur Frédéric, de savoir par quelles voies vous rendriez Lélio suspect ; voyons, de grâce, jusqu'où l'industrie de votre iniquité pourrait tromper la Princesse sur un homme aussi ennemi du mal que vous l'êtes du bien ; car voilà son portrait et le vôtre. (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
Seigneur, daignez m'accorder une grâce ; je vous la demande avec la confiance que l'Ambassadeur d'un roi si vanté me paraît mériter. (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
Vous en dirai-je encore plus, Seigneur ? (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
Sauvez Lélio, Seigneur, engagez la Princesse à vous le confier ; vous serez charmé de l'avoir servi, quand vous le connaîtrez, et le roi de Castille même vous saura gré du service que vous lui rendrez. (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
Vous, Seigneur ! (Acte 3, scène 11, LA-PRINCESSE)

LES FAUSSES CONFIDENCES (1738)

Tournez-vous un peu, que je vous considère encore ; allons, Monsieur, vous vous moquez, il n'y a point de plus grand seigneur que vous à Paris : voilà une taille qui vaut toutes les dignités possibles, et notre affaire est infaillible, absolument infaillible ; il me semble que je vous vois déjà en déshabillé dans l'appartement de Madame. (Acte 1, scène 2, DUBOIS)

LA RÃ‰UNION DES AMOURS (1732)

Vous voilà, seigneur Cupidon ! (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Bonjour, Plutus ; seigneur Mercure, il y a aujourd'hui assemblée générale et c'est vous qui avez averti tous les dieux, de la part de Jupiter, de se trouver ici. (Acte 1, scène 3, CUPIDON)
Puisque vous m'exhortez à changer, vous avez donc envie de vous retirer, seigneur Mercure ? (Acte 1, scène 3, CUPIDON)
Qu'avez-vous, seigneur Apollon ? (Acte 1, scène 4, MERCURE)
En un mot, il y a mille épîtres où vous vous écriez : Que votre modestie se rassure, Monseigneur. (Acte 1, scène 6, LA VÉRITÉ)
Il me faut donc mille Monseigneurs modeste. (Acte 1, scène 6, LA V?RIT?)
Seigneur Apollon, je vous félicite de vos louables dispositions. (Acte 1, scène 7, MERCURE)
Voilà ce qui fait qu'on ne doit pas désespérer de vous, seigneur Mercure. (Acte 1, scène 7, APOLLON)
Qu'est-ce donc, seigneur Mercure ? (Acte 1, scène 13, CUPIDON)

LE TRIOMPHE DE L'AMOUR (1732)

Ne craignez rien, seigneur Phocion, touchez là, camarade Hermidas ; voilà comme je parle, moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Au seigneur Hermocrate. (Acte 1, scène 3, PHOCION)
Vous arrivez à propos, Seigneur, pour me débarrasser de lui. (Acte 1, scène 4, PHOCION)
J'ai dessein de saluer le seigneur Hermocrate, et de lui parler ; j'ai trouvé ce lieu-ci ouvert, et il veut que j'en sorte. (Acte 1, scène 4, PHOCION)
Je vous demande pardon, Seigneur, de l'accueil rustique de cet homme-là ; Hermocrate lui-même vous en fera ses excuses ; et vous êtes d'une physionomie qui annonce les égards qu'on vous doit. (Acte 1, scène 4, AGIS)
Il est vrai, Seigneur, que ce jardinier m'a traité brusquement ; mais vos politesses m'en dédommagent ; et si ma physionomie, dont vous parlez, vous disposait à me vouloir du bien, je la croirais en effet la plus heureuse du monde ; et ce serait, à mon gré, un des plus grands services qu'elle pût me rendre. (Acte 1, scène 4, PHOCION)
Il ne mérite pas que vous l'estimiez tant, mais, tel qu'il est, elle vous l'a rendu, Seigneur ; et quoiqu'il n'y ait qu'un instant que nous nous connaissions, je vous assure qu'on ne saurait être aussi prévenu pour quelqu'un que je le suis pour vous. (Acte 1, scène 4, AGIS)
Mais, Seigneur, puis-je vous demander pour qui mon amitié se déclare ? (Acte 1, scène 4, AGIS)
Il ne tiendra pas à moi que nous ne nous quittions jamais, Seigneur. (Acte 1, scène 4, PHOCION)
On m'a dit, Seigneur, que vous demandiez à parler à Hermocrate mon frère ; il n'est pas actuellement ici. (Acte 1, scène 5, LÉONTINE)
Expliquez-vous, Seigneur. (Acte 1, scène 5, LÉONTINE)
Oui, Seigneur. (Acte 1, scène 5, LÉONTINE)
Il est vrai, Seigneur, qu'à vous voir, vous paraissez bien digne de cette hospitalité vertueuse que vous avez reçue ailleurs ; mais il ne sera pas possible à Hermocrate de s'honorer du plaisir de vous l'offrir ; d'importantes raisons, qu'Agis sait bien, nous en empêchent ; je voudrais pouvoir vous les dire, elles nous justifieraient auprès de vous. (Acte 1, scène 5, LÉONTINE)
J'ai pourtant promis au seigneur Phocion de vous y engager ; et ce ne sera pas violer la loi que nous nous sommes faite, que d'en excepter un ami de la vertu. (Acte 1, scène 5, AGIS)
Seigneur, je suis fâchée des efforts inutiles que vous allez faire ; puisque vous le voulez pourtant, j'y consens. (Acte 1, scène 5, LÉONTINE)
Celui que je vous donnerai, Seigneur, c'est d'attendre Hermocrate, il est meilleur à consulter que moi. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Je ne sais de qui vous parlez, Seigneur, cette dame-là m'est inconnue, et c'est sans doute un portrait trop flatteur. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Seigneur, dispensez-moi d'écouter le reste, je ne sais ce que c'est que l'amour, et je vous conseillerais mal sur ce que je n'entends point. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Encore une fois, Seigneur, souffrez que je vous quitte ; on m'attend, et il y a longtemps que nous sommes ensemble. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Que faites-vous, Seigneur ? (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Oui, Seigneur, je l'avoue, un peu de beauté, dit-on, m'était échue en partage ; la nature m'avait départi quelques charmes que j'ai toujours méprisés. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Oui, Seigneur, c'est lui-même. (Acte 1, scène 7, AGIS)
Et si mon suffrage vaut quelque chose, je le joins à celui de Léontine, Seigneur. (Acte 1, scène 7, AGIS)
Je regarde comme des bienfaits ces instances qu'on vous fait pour moi, Seigneur ; jugez de ma reconnaissance pour vous, si elles ne sont pas inutiles. (Acte 1, scène 7, PHOCION)
Je vous rends grâces, Seigneur, de l'honneur que vous me faites : un disciple tel que vous ne me paraît pas avoir besoin d'un maître qui me ressemble ; cependant, pour en mieux juger, j'aurais confidemment quelques questions à vous faire. (Acte 1, scène 7, HERMOCRATE)
Ou je me trompe, Seigneur, ou vous ne m'êtes pas inconnu. (Acte 1, scène 8, HERMOCRATE)
Moi, Seigneur ? (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Je ne vous entends point, Seigneur. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Vous dites vrai, Seigneur. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Si je rougis, je ne me rends pas justice, Seigneur ; et c'est un mouvement que je désavoue ; le déguisement où je suis n'enveloppe aucun projet dont je doive être confuse. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Non, Seigneur, je ne viens point ici troubler le coeur d'Agis ; tout élevé qu'il est par vos mains, tout fort qu'il est de la sagesse de vos leçons, ce déguisement pour lui n'eût pas été nécessaire ; si je l'aimais, j'en aurais espéré la conquête à moins de frais, il n'aurait fallu que me montrer peut-être, que faire parler mes yeux : son âge et mes faibles appas m'auraient fait raison de son coeur. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Seigneur, épargnez à votre vertu le regret d'avoir offensé la mienne ; n'abusez point contre moi des apparences d'une aventure peut-être encore plus louable qu'innocente, que vous me voyez soutenir avec un courage qui doit étonner vos soupçons, et dont j'ose attendre votre estime, quand vous en saurez les motifs. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Elles ne ménageront point la fierté de mon sexe ; mais je n'en apporte ici ni la vanité ni l'industrie : j'y viens avec un orgueil plus noble que le sien, vous le verrez, Seigneur. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Vous le savez, Seigneur, et je viens de vous le dire ; je ne m'expliquerais pas mieux en nommant Hermocrate. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Vous êtes instruit, Seigneur. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Seigneur, écoutez-moi ; j'ai besoin de me justifier après l'aveu que je viens de faire. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Encore une fois, Seigneur, écoutez-moi. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Oui, Seigneur, je vous aime ; mais ne vous y trompez pas, il ne s'agit pas ici d'un penchant ordinaire ; cet aveu que je vous fais, il ne m'échappe point, je le fais exprès : ce n'est point à l'amour à qui je l'accorde, il ne l'aurait jamais obtenu ; c'est à ma vertu même à qui je le donne. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Seigneur, est-ce que vous les voyez, et craignez-vous de les sentir ? (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Seigneur, retirons-nous, marchons, rejoignons Léontine ; j'ai dessein de demeurer quelque temps ici, et vous me direz tantôt ce que vous aurez résolu là-dessus. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
Cet aveu change tout entre nous, Seigneur : je vous ai promis de demeurer en ces lieux ; mais la bonne foi me le défend, cela n'est plus possible, et je pars : vous auriez quelque jour des reproches à me faire ; je ne veux point vous tromper, et je vous rends jusqu'à l'amitié que vous m'aviez accordée. (Acte 2, scène 3, PHOCION)
Vous êtes toujours le mien, Seigneur, mais je ne suis plus le vôtre ; je ne suis qu'un des objets de cette haine dont vous parliez tout à l'heure. (Acte 2, scène 3, PHOCION)
Non, Seigneur ; cet habit vous abuse, il vous cache une fille infortunée qui échappe sous ce déguisement à la persécution de la Princesse. (Acte 2, scène 3, PHOCION)
Et moi, je le démêle pour vous : adieu, Seigneur. (Acte 2, scène 3, PHOCION)
Vous me haïssez, Seigneur. (Acte 2, scène 3, PHOCION)
Le jeune seigneur qu'on veut que j'épouse me paraît estimable ; après tout, plutôt que de prolonger un état aussi rebutant que le mien, ne vaudrait-il pas mieux me rendre ? (Acte 2, scène 3, PHOCION)
Non, Seigneur ; ma fuite en est une preuve. (Acte 2, scène 3, PHOCION)
Seigneur, personne n'est plus digne que vous de la qualité d'ami : celle d'amant ne vous convient que trop ; mais ce n'est pas à moi à vous le dire. (Acte 2, scène 3, PHOCION)
Et le seigneur Agis, promet-il quelque chose ; son coeur se mitonne-t-il un peu ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Le seigneur Hermocrate m'a ordonné d'examiner votre conduite, parce qu'il ne vous connaît point. (Acte 2, scène 6, ARLEQUIN)
N'est-il pas vrai, seigneur Phocion, qu'Hermidas n'a fait que s'amuser en lui disant cela ? (Acte 2, scène 6, LÉONTINE)
La voix vous manque, ma chère maîtresse ; Votre coeur prend congé de la compagnie, on le pille actuellement, et je vais faire venir le seigneur Hermocrate à votre secours. (Acte 2, scène 6, ARLEQUIN)
Je vous apporte ce que vous m'avez demandé, Seigneur ; voyez si vous en êtes content ; il serait encore mieux si j'avais travaillé d'après la personne présente. (Acte 2, scène 7, HERMIDAS)
C'est apparemment d'un portrait dont vous parlez, Seigneur ? (Acte 2, scène 7, LÉONTINE)
Donnez, Seigneur, j'observerai ce que vous dites là. (Acte 2, scène 7, HERMIDAS)
Et le seigneur Hermocrate qui vous gouverne... (Acte 2, scène 11, PHOCION)
Me retirer, Seigneur ! (Acte 2, scène 12, PHOCION)
Seigneur, n'avez-vous que cette industrie-là contre moi ? (Acte 2, scène 12, PHOCION)
Non, c'en est fait, Seigneur, je ne vous demande plus le repos de mon coeur ; vous me le rendez par l'aveu que vous me faites ; vous m'aimez, je suis tranquille et charmée. (Acte 2, scène 12, PHOCION)
Seigneur, je pars : mais je suis sûre de ma vengeance ; puisque vous m'aimez, votre coeur me la garde. (Acte 2, scène 12, PHOCION)
J'ai découvert un micmac, seigneur Hermocrate ; il s'agit d'une affaire de conséquence ; il n'y a que le diable et ces personnages-là qui le sachent ; mais il faut voir ce que c'est. (Acte 2, scène 13, ARLEQUIN)
Ce n'était point des mots ni des paroles, c'était un visage qu'il écrivait ; et ce visage-là, c'était vous, Seigneur Hermocrate. (Acte 2, scène 13, ARLEQUIN)
Par une raison toute naturelle, Seigneur ; j'étais bien aise d'avoir le portrait d'un homme illustre, et de le montrer aux autres. (Acte 2, scène 14, HERMIDAS)
Seigneur... (Acte 2, scène 14, HERMIDAS)
Si le seigneur Hermocrate voulait souffrir que je le finisse, il ne faudrait qu'un instant pour cela. (Acte 2, scène 14, HERMIDAS)
Puisque nous sommes seuls, et qu'il ne s'agit que d'un instant, ne le refusez pas, Seigneur. (Acte 2, scène 14, PHOCION)
Vous ne voyez point vos regards, ils sont charmants, Seigneur. (Acte 2, scène 14, PHOCION)
Seigneur, un peu de côté, je vous prie ; daignez m'envisager. (Acte 2, scène 14, HERMIDAS)
Levez un peu la tête, Seigneur. (Acte 2, scène 14, HERMIDAS)
Je venais vous prier, Seigneur, de nous laisser Phocion pour quelque temps ; mais j'augure que vous y consentez, et qu'il est inutile que je vous en parle. (Acte 2, scène 15, AGIS)
Seigneur, vous me comblez de joie : Vous m'avez dit que vous aviez été jaloux ; il ne me restait plus que le plaisir de le voir moi-même, et vous me le donnez : mon coeur vous remercie de l'injustice que vous me faites. (Acte 2, scène 16, PHOCION)
Il s'agit pourtant de me justifier : Agis n'est pas loin, je le vois encore ; qu'il revienne, rappelons-le, Seigneur ; je vais le chercher moi-même ; je vais lui parler, et vous verrez si je mérite vos soupçons. (Acte 2, scène 16, PHOCION)
Mais quel ordre donnez-vous au seigneur Ariston, à qui s'adressent vos lettres ? (Acte 3, scène 1, HERMIDAS)
Quel est donc le sujet de votre embarras, Seigneur ? (Acte 3, scène 7, AGIS)
De quelle espèce de faiblesse s'agit-il, Seigneur ? (Acte 3, scène 7, AGIS)
Mais, Seigneur, cette tendre amante qui se déguise, l'ai-je vue ici ? (Acte 3, scène 7, AGIS)
Allons, Seigneur, venez recevoir les hommages de vos sujets. (Acte 3, scène 11, PHOCION)

L'ILE DES ESCLAVES (1725)

Oh, diantre, il s'appelle par un nom, lui ; c'est le seigneur Iphicrate. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Changez de nom à présent ; soyez le seigneur Iphicrate à votre tour ; et vous, Iphicrate, appelez-vous Arlequin, ou bien Hé. (Acte 1, scène 2, TRIVELIN)
Seigneur Hé ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Seigneur Iphicrate, peut-on vous demander de quoi vous riez ? (Acte 1, scène 6, CLÉANTHIS)
Vous n'avez jusqu'ici regardé les gens que pour leur en donner ; vos beaux yeux n'ont fait que cela, dédaignent-ils la conquête du seigneur Iphicrate ? (Acte 1, scène 7, CLÉANTHIS)
Qu'est-ce que cela signifie, Seigneur Iphicrate ; pourquoi avez-vous repris votre habit ? (Acte 1, scène 10, CLÉANTHIS)
Non ; grand seigneur ? (Acte 1, scène 10, CLÉANTHIS)

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LA FAUSSE SUIVANTE OU LE FOURBE PUNI (1729)

Je pense que voilà le seigneur Trivelin ; c'est lui-même. (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Si j'avais épousé le seigneur Lélio, je serais tombée en de bonnes mains ! (Acte 1, scène 8, LE CHEVALIER)
Si je disais au seigneur Lélio que le coeur de la Comtesse commence à capituler pour le Chevalier, il se dépiterait plus vite, et partirait pour Paris où on l'attend. (Acte 2, scène 1, TRIVELIN)
À votre égard, seigneur Lélio, voici votre bague. (Acte 3, scène 9, LE CHEVALIER)

LA COLONIE (1750)

Laissons-là ces rieuses, Seigneur Timagène, et allons-nous-en ; adieu, femme, grand merci de ton assistance. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR SORBIN)
Non, Seigneur Timagène, nous ne pouvons pas mieux choisir ; le peuple n'a pas hésité sur Monsieur Sorbin, le reste des citoyens n'a eu qu'une voix pour vous, et nous sommes en de bonnes mains. (Acte 1, scène 12, HERMOCRATE)
Parlez-leur donc, Seigneur Timagène, sachez de quoi il est question. (Acte 1, scène 13, HERMOCRATE)
Seigneur Timagène, donnez vos ordres, et délivrez-nous de ces criailleries. (Acte 1, scène 13, HERMOCRATE)
Cependant le respect est un sot ; finissons, Monsieur Sorbin, qui êtes élu, mari, maître et chef de famille ; tout cela est bel et bon ; mais écoutez-moi pour la dernière fois, cela vaut mieux ; nous disons que le monde est une ferme, les Dieux là-haut en sont les Seigneurs, et vous autres hommes, depuis que la vie dure, en avez toujours été les fermiers tout seuls, et cela n'est pas juste, rendez-nous notre part de la ferme ; gouvernez, gouvernons ; obéissez, obéissons ; partageons le profit et la perte ; soyons maîtres et valets en commun ; faites ceci, ma femme ; faites ceci, mon homme ; voilà comme il faut dire, voilà le moule où il faut jeter les lois, nous le voulons, nous le prétendons, nous y sommes butées ; ne le voulez-vous pas ? (Acte 1, scène 14, MADAME SORBIN)
Je suis plus avancé que cela, Seigneur Hermocrate, je contente mon envie. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR SORBIN)
C'est vous qui êtes le plus mutin de la bande, Seigneur Hermocrate ; car voilà Monsieur Sorbin qui est le meilleur_acabit d'homme ; voilà moi qui m'afflige à faire plaisir ; voilà le Seigneur Timagène qui le trouve bon ; personne n'est tigre, il n'y a que vous ici qui portiez des griffes, et sans vous, nous partagerions la ferme. (Acte 1, scène 16, PERSINET)

LE DÃ‰NOUEMENT IMPRÃ‰VU (1727)

Le seigneur Eraste, mon maître, l'épousera pour femme, et moi pour maîtresse. (Acte 1, scène 8, CRISPIN)

LA DISPUTE (1747)

Où allons-nous, Seigneur, voici le lieu du monde le plus sauvage et le plus solitaire, et rien n'y annonce la fête que vous m'avez promise. (Acte 1, scène 1, HERMIANE)
Oui, Seigneur, je le soutiens encore. (Acte 1, scène 1, HERMIANE)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 17 textes (soit une présence dans 0,90 % des textes) dans lesquels il y a 310 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 18,24 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Prologue	Total
1	F?LICIE	2	0	0	0	0	0	2
2	LA DOUBLE INCONSTANCE	16	5	15	0	0	0	36
3	LE PÈRE PRUDENT ET ÉQUITABLE	5	0	0	0	0	0	5
4	ANNIBAL	15	28	21	14	23	0	101
5	LE TRIOMPHE DE PLUTUS	6	0	0	0	0	0	6
6	L'H?RITIER DE VILLAGE	3	0	0	0	0	0	3
7	L'?LE DE LA RAISON ou LES PETITS HOMMMES	10	0	2	1	0	0	13
8	L'?PREUVE	2	0	0	0	0	0	2
9	LE PRINCE TRAVESTI	7	17	10	0	0	0	34
10	LES FAUSSES CONFIDENCES	1	0	0	0	0	0	1
11	LA R?UNION DES AMOURS	9	0	0	0	0	0	9
12	LE TRIOMPHE DE L'AMOUR	40	32	5	0	0	0	77
13	L'ILE DES ESCLAVES	7	0	0	0	0	0	7
14	LA FAUSSE SUIVANTE OU LE FOURBE PUNI	2	1	1	0	0	0	4
15	LA COLONIE	7	0	0	0	0	0	7
16	LE D?NOUEMENT IMPR?VU	1	0	0	0	0	0	1
17	LA DISPUTE	2	0	0	0	0	0	2
	Total	135	83	54	15	23	0	310