Occurences de l'expression

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pour SAINT-EVREMOND

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LA COMÉDIE DES ACADÉMICIENS (1650)

Faret, qui ne rirait de notre Académie ? v.1 (Acte 1, scène 1, SAINT-AMANT)
Sont les admirateurs de notre suffisance. v.6 (Acte 1, scène 1, FARET)
Bois-Robert est plaisant autant qu'on saurait l'être ; v.33 (Acte 1, scène 1, FARET)
Il s'est assez bien mis dans l'esprit de son maître ; v.34 (Acte 1, scène 1, FARET)
Ne dois-je pas baiser votre sacré talon ? v.55 (Acte 1, scène 2, COLLETET)
Votre magnificence v.57 (Acte 1, scène 2, COLLETET)
Rien de saurait changer le commerce entre nous : v.59 (Acte 1, scène 2, GODEAU)
Je suis prêt à obéir à votre volonté. v.63 (Acte 1, scène 2, COLLETET)
Parlons comme autrefois, avecque liberté. v.64 (Acte 1, scène 2, GODEAU)
Seigneur, votre amitié m'est un honneur extrême. v.66 (Acte 1, scène 2, COLLETET)
Vous n'aviez pars besoin de votre dignité, v.83 (Acte 1, scène 2, COLLETET)
Pour vous mettre à couvert de la malignité. v.84 (Acte 1, scène 2, COLLETET)
En matière d'écrits : le bien est autre choses ; v.97 (Acte 1, scène 2, COLLETET)
Vous voulez me contrainte à louer votre ouvrage ? v.106 (Acte 1, scène 2, GODEAU)
J'ai tant loué le vôtre ! v.107 (Acte 1, scène 2, COLLETET)
Et notre Directeur le saura comme vous. v.123 (Acte 1, scène 3, COLLETET)
De notre Colletet "La Cane barbotante" ; v.150 (Acte 1, scène 3, GODEAU)
Et la paix régnera dans notre compagnie : v.158 (Acte 1, scène 3, SERISAY)
Donc, pour peu de temps, allons quelqu'autre part. v.164 (Acte 1, scène 3, SERISAY)
Illustre Colomby, vrai cousin de Malherbe, v.165 (Acte 1, scène 4, PORCHERES)
Desportes a subi notre commun destin : v.171 (Acte 1, scène 4, PORCHERES)
Et c'étaient des auteurs dont l'illustre génie v.173 (Acte 1, scène 4, PORCHERES)
Aurait pu faire honneur à notre compagnie. v.174 (Acte 1, scène 4, PORCHERES)
Vous direz de ma part, sans aucune autre forme, v.189 (Acte 1, scène 4, COLOMBY)
(Je voudrais bien aussi mettre en rime déesse.) v.206 (Acte 2, scène 1, CHAPELAIN)
Je ne suis pas assez maître de mon génie ; v.221 (Acte 2, scène 1, CHAPELAIN)
Pourraient, à mon avis, être faits de cristal. v.264 (Acte 2, scène 1, CHAPELAIN)
Tous les peintres fameux veulent qu'un nez soit tel : v.267 (Acte 2, scène 1, CHAPELAIN)
Quand à l'autre couplet, j'y reprends la nature, v.287 (Acte 2, scène 1, CHAPELAIN)
Où la réforme enfin doit être terminée. v.296 (Acte 2, scène 2, SERISAY)
Où doit être réglé tout langage de Cour. v.298 (Acte 2, scène 2, CHAPELAIN)
C'est Silhon irrité contre l'Académie, v.303 (Acte 2, scène 2, CHAPELAIN)
Silhon est violent, s'il parle contre nous... v.309 (Acte 2, scène 2, CHAPELAIN)
Godeau m'a répondu d'entreprendre l'affaire : v.312 (Acte 2, scène 2, BOISROBERT)
On blâmait autrefois les hommes ignorants ; v.326 (Acte 2, scène 2, SILHON)
Et qu'un autre que moi vous avait dérobée. v.348 (Acte 2, scène 3, BOISROBERT)
Et bien connaître l'homme était son exercice : v.356 (Acte 2, scène 3, MADEMOISELLE DE GOURNAI)
Je l'avoue aisément ; et votre expérience, v.363 (Acte 2, scène 3, BOISROBERT)
Et les grands de la Cour être valets soumis. v.370 (Acte 2, scène 3, MADEMOISELLE de GOURNAI)
Allez-vous-en ailleurs faire votre harangue. v.376 (Acte 2, scène 3, SERISAY)
De même le discours doit être variable. v.380 (Acte 2, scène 3, SERISAY)
Que les neuf belles soeurs, nos divines maîtresses, v.396 (Acte 3, scène 1, GODEAU)
Quatre mots seulement, Messieurs ; puis m'en aller. v.416 (Acte 3, scène 1, PORCHERES)
"Des affaires d'État", le fond de notre cour. v.424 (Acte 3, scène 1, SERISAY)
Et ne suivrons pas moins notre important ouvrage. v.426 (Acte 3, scène 1, SERISAY)
Je vois entre Faret suivi de Saint-Amant. v.435 (Acte 3, scène 1, GODEAU)
Dont le poète Bacchus réjouit votre cour. v.444 (Acte 3, scène 2, GOMBAUD)
Serait dûe à quelqu'autre avec plus d'apparence. v.474 (Acte 3, scène 3, GODEAU)
Vous êtes trop modeste ; et votre dignité... v.475 (Acte 3, scène 3, SERISAY)
Je le dois purement à votre courtoisie. v.477 (Acte 3, scène 3, GODEAU)
D'ôter de notre Langue OR, POURCE QUE, D'AUTANT ; v.480 (Acte 3, scène 3, GODEAU)
Les autres, à prouver des choses d'importance. v.490 (Acte 3, scène 3, SILHON)
Horace les fait naître, et puis les fait mourir ; v.503 (Acte 3, scène 3, CHAPELAIN)
IL CONSTE, IL NOUS APPERT, doivent être abolis, v.507 (Acte 3, scène 3, LA-TROUPE)
De même dans les mots, ce n'est pas être sage, v.517 (Acte 3, scène 3, SERISAY)
Cet et cent faux galants en leur fade entretien, v.523 (Acte 3, scène 3, L-ESTOILE)
Le Roi sera toujours ce que le Roi doit être, v.533 (Acte 3, scène 3, GOMBERVILLE)
Et ce n'est pas un mot qui le rend notre maître. v.534 (Acte 3, scène 3, GOMBERVILLE)
Beau titre que le CAR, au suprême pouvoir, v.535 (Acte 3, scène 3, GOMBAUD)
J'ai parlé contre un mot qui maintient le repos. v.544 (Acte 3, scène 3, GOMBAUD)
L'effort de votre esprit en chose imaginaire, v.545 (Acte 3, scène 3, GOMBERVILLE)
Ni vous autres, Messieurs, droit de vous quereller ; v.551 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR LE CHANCELLIER)
Peut-être voudrez-vous garder encore JADIS ? v.559 (Acte 3, scène 3, L-ESTOILE)
Aux stériles esprits, dans leur fade entretien, v.595 (Acte 3, scène 3, SERISAY)

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Dans les 1895 textes du corpus, il y a 1 textes (soit une présence dans 0,05 % des textes) dans lesquels il y a 64 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 64,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Total
1	LA COMÉDIE DES ACADÉMICIENS	24	17	23	64
	Total	24	17	23	64