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SAÃœL (1763)

Le plus puissant des rois, vous qui régnez sur les (Acte 1, scène 1, BAZA)
Est-ce votre gendre David qui vous cause ce mortel chagrin ? (Acte 1, scène 1, BAZA)
Vous deviez bien vous y attendre ; il était prêtre, et vous étiez guerrier ; il gouvernait avant vous ; on hait toujours son successeur. (Acte 1, scène 1, BAZA)
N'est-ce pas lui qui soulève contre vous votre gendre David ? (Acte 1, scène 1, BAZA)
Votre altesse royale est trop bien affermie par ses victoires, et le roi Agag, votre illustre prisonnier, vous est ici un sûr garant de la fidélité de votre peuple, également enchanté de votre victoire et de votre clémence ; voici qu'on l'amène devant votre altesse royale. (Acte 1, scène 1, BAZA)
Doux et puissant vainqueur, modèle des princes, qui savez vaincre et pardonner, je me jette à vos sacrés genoux ; daignez ordonner vous-même ce que je dois donner pour ma rançon ; je serai désormais un voisin, un allié fidèle, un vassal soumis ; je ne vois plus en vous qu'un bienfaiteur et un maître : je vous dois la vie, je vous devrai encore la liberté : j'admirerai, j'aimerai en vous l'image du Dieu qui punit et pardonne. (Acte 1, scène 2, AGAG)
Illustre prince, que le malheur rend encore plus grand, je n'ai fait que mon devoir en sauvant vos jours : les rois doivent respecter leurs semblables : qui se venge après la victoire est indigne de vaincre ; je ne mets point votre personne à rançon, elle est d'un prix inestimable : soyez libre ; les tributs que vous paierez à Israël seront moins des marques de soumission que d'amitié : c'est ainsi que les rois doivent traiter ensemble. (Acte 1, scène 2, SAÜL)
Que vous êtes puissante sur mon coeur ! (Acte 1, scène 2, AGAG)
Samuel, quelles nouvelles m'apportez-vous ? (Acte 1, scène 3, SAÜL)
Venez-vous de la part de Dieu, de celle du peuple, ou de la vôtre ? (Acte 1, scène 3, SA?L)
Il m'ordonne de vous dire qu'il s'est repenti de vous avoir fait régner. (Acte 1, scène 3, SAMUEL)
La plus belle des vertus serait regardée chez vous comme un crime ? (Acte 1, scène 3, AGAG)
Saül, ci-devant roi des Juifs, Dieu ne vous avait-il pas ordonné par ma bouche d'égorger tous les Amalécites, sans épargner ni les femmes, ni les filles, ni les enfants à la mamelle ? (Acte 1, scène 3, SAMUEL)
Préparez-vous à m'obéir ; et vous, Saül, avez-vous obéi à Dieu ? (Acte 1, scène 3, SAMUEL)
Vous vous êtes trompé, homme infidèle : Dieu vous réprouve, votre sceptre passera dans d'autres mains. (Acte 1, scène 3, SAMUEL)
Gardez-vous-en bien ; ne voyez-vous pas qu'il est suivi de tout le peuple, et que nous serions lapidés, si je résistais ; car en effet, j'avais promis... (Acte 1, scène 3, SAÜL)
Vous aviez promis une chose abominable ! (Acte 1, scène 3, BAZA)
Que voulez-vous de moi, impitoyables monstres ? (Acte 1, scène 3, AGAG)
Ne l'invoquez pas, vous en êtes indigne ; demeurez ici, il vous l'ordonne ; soyez témoin du sacrifice qui, peut-être, expiera votre crime. (Acte 1, scène 3, SAMUEL)
Ainsi donc vous m'allez donner la mort : ô mort, que vous êtes amère ! (Acte 1, scène 3, AGAG)
Dieu vous punira de l'avoir soufferte. (Acte 1, scène 3, BAZA)
Et vous, prince, apprenez à jamais qu'obéissance vaut mieux que sacrifice. (Acte 1, scène 3, SAMUEL)
Seigneur, pensez à votre sûreté ; David approche en armes, il est suivi de cinq cents brigands qu'il a ramassés ; vous n'avez ici qu'une garde faible. (Acte 1, scène 4, LE MESSAGER)
Seigneur, vous le voyez : David et Samuel étaient d'intelligence : vous êtes trahi de tous cotés, mais je vous serai fidèle jusqu'à la mort : quel parti prenez-vous ? (Acte 1, scène 4, BAZA)
Il est vrai, ma chère Michol, que je lui dois le bonheur de posséder vos charmes ; il m'en a coûté assez cher : il me fallut apporter à votre père deux cents prépuces de Philistins pour présent de noces : deux cents prépuces ne se trouvent pas si aisément : je fus obligé de tuer deux cents hommes pour venir à bout de cette entreprise ; et je n'avais pas la mâchoire d'âne de Samson : mais eût-il fallu combattre toutes les forces de Babylone et d'Égypte, je l'aurais fait pour vous mériter ; je vous adorais et je vous adore. (Acte 2, scène 1, DAVID)
Je ne veux que lui succéder : vous savez que j'ai respecté sa vie, et que, lorsque je le rencontrai dans une caverne, je ne lui coupai que le bout de son manteau ; la vie du père de ma chère Michol me sera toujours précieuse. (Acte 2, scène 1, DAVID)
Ma noble épouse, ne me condamnez pas sans m'entendre : vous savez qu'un jour, dans le village de Bethléem, Samuel répandit de l'huile sur ma tête : ainsi je suis roi, et vous êtes la femme d'un roi : si je me suis joint aux ennemis de la nation, si j'ai fait du mal à mes concitoyens, j'en ai fait davantage à ces ennemis mêmes. (Acte 2, scène 1, DAVID)
Non, je le jure par la verge d'Aaron, par la racine de Jessé, je vous serai toujours fidèle. (Acte 2, scène 1, DAVID)
Mon cher, mon tendre époux, maître de mon coeur et de ma vie, venez, sortez avec moi de ces lieux dangereux ; Saül arme contre vous, et Akis vous attend. (Acte 2, scène 2, ABIGAIL)
Monstre de perfidie, vous me jurez un amour éternel, et vous avez pris une autre femme ! (Acte 2, scène 2, MICHOL)
Auguste et aimable fille d'un grand roi, ne vous mettez pas en colère contre votre servante : un héros tel que David a besoin de plusieurs femmes ; et moi, je suis une jeune veuve qui ai besoin d'un mari : vous êtes obligée d'être toujours auprès du roi votre père ; il faut que David ait une compagne dans ses voyages et dans ses travaux ; ne m'enviez pas cet honneur, je vous serai toujours soumise. (Acte 2, scène 2, ABIGAIL)
Puisqu'il faut vous dire la vérité, ma chère Michol, j'étais à la tête de mes brigands, et usant du droit de la guerre, j'ordonnai à Nabal, mari d'Abigail, de m'apporter tout ce qu'il avait ; Nabal était un brutal qui ne savait pas les usages du monde, il me refusa insolemment : Abigail est née douce, honnête, et tendre ; elle vola tout ce qu'elle put à son mari pour me l'apporter : au bout de huit jours le brutal mourut... (Acte 2, scène 2, DAVID)
Je n'en ai que dix-huit en vous comptant : ce n'est pas trop pour un brave homme. (Acte 2, scène 2, DAVID)
Vous ne vous apercevrez jamais, ma chère Michol, que vous ayez des compagnes. (Acte 2, scène 2, DAVID)
Auguste reine, si toutes les autres pensent comme moi, vous aurez dix-sept esclaves de plus auprès de vous. (Acte 2, scène 2, ABIGAIL)
Mon maître, que faites-vous ici entre deux femmes ? (Acte 2, scène 3, ABIAR)
Saül avance de l'occident, et Akis de l'orient ; de quel côté voulez-vous marcher ? (Acte 2, scène 3, ABIAR)
Il le faut bien ; il y a plus à gagner avec Akis qu'avec Saül : consolez-vous, Michol ; adieu, Abigail. (Acte 2, scène 3, DAVID)
Restez, vous dis-je ; ceci n'est pas une affaire de femme ; chaque chose a son temps, je vais combattre : priez Dieu pour moi. (Acte 2, scène 3, DAVID)
Allez, allez, madame ; je vous promets bien d'en faire autant, dès que je serai mécontente de lui. (Acte 2, scène 4, ABIGAIL)
Votre Jonathas, savez-vous ? (Acte 2, scène 5, ÉBIND)
C'est une des femmes de votre gendre David, que vous avez autrefois tant aimé. (Acte 2, scène 6, MICHOL)
Mon père, je vois que votre mal vous prend ; si David était ici, il vous jouerait de la harpe ; car vous savez que la harpe est un spécifique contre les vapeurs hypocondriaques. (Acte 2, scène 6, MICHOL)
Taisez-vous, vous êtes une sotte ; je sais mieux que vous ce que j'ai à faire. (Acte 2, scène 6, SAÜL)
Mes capitaines, allez m'attendre ; Baza, demeurez : vous me voyez dans un mortel embarras ; j'ai mes vapeurs, il faut combattre : nous avons de puissants ennemis ; ils sont derrière la montagne de Gelboé ; je voudrais bien savoir quelle sera l'issue de cette bataille. (Acte 2, scène 7, SAÜL)
Il n'y a rien de plus aisé ; n'êtes-vous pas prophète tout comme un autre ? (Acte 2, scène 7, BAZA)
N'avez-vous pas même des vapeurs qui sont un véritable avant coureur des prophéties ? (Acte 2, scène 7, BAZA)
Oui, mon maître ; mais croyez-vous que le Seigneur lui réponde plutôt qu'à vous ? (Acte 2, scène 7, BAZA)
Vous feriez bien mieux de vous mettre à la tête de vos troupes : comment consulte-t-on une ombre ? (Acte 2, scène 7, BAZA)
Seigneur, au nom de Dieu, ne vous amusez point à toutes ces sottises, et allons mettre vos troupes en bataille. (Acte 2, scène 7, BAZA)
Qui de vous deux s'adresse à moi pour connaître l'avenir ? (Acte 2, scène 8, LA PYTHONISSE)
C'est donc pour vous que je forcerai la nature à interrompre le cours de ses lois éternelles ? (Acte 2, scène 8, LA PYTHONISSE)
Combien me donnerez-vous ? (Acte 2, scène 8, LA PYTHONISSE)
Vous en aurez pour votre argent. Les magiciens de Pharaon n'étaient auprès de moi que des ignorants ; ils se bornaient à changer en sang les eaux du Nil, je vais en faire davantage ; et premièrement je commande au soleil de paraître. (Acte 2, scène 8, LA PYTHONISSE)
L'on ne change jamais de caractère : elle vous menace, elle vous fait des yeux horribles. (Acte 2, scène 8, LA PYTHONISSE)
Pouvez-vous vous amuser à ces fadaises ? (Acte 2, scène 8, BAZA)
N'entendez-vous pas le son des trompettes ? (Acte 2, scène 8, BAZA)
Oui, milord ; votre altesse royale a très bien fait de faire pendre celui qui vous a apporté la nouvelle de la mort de Saül ; car il n'est jamais permis de dire qu'un roi est mort : cet acte de justice vous conciliera tous les esprits ; il fera voir qu'au fond vous aimiez votre beau-père, et que vous êtes un bon homme. (Acte 3, scène 1, JOAB)
Ne vous mettez point en peine ; je connais deux coquins qui doivent assassiner Isboseth, s'ils ne l'ont déjà fait ; vous les ferez pendre tous deux, et vous régnerez sur Juda et Israël. (Acte 3, scène 1, JOAB)
Dites-moi un peu, vous autres, Saül a-t-il laissé beaucoup d'argent ? (Acte 3, scène 1, DAVID)
Nous n'avons pas le sou ; vous savez qu'il y a deux ans, quand Saül fut élu roi, nous n'avions pas de quoi acheter des armes ; il n'y avait que deux sabres dans tout l'état, encore étaient-ils tout rouillés : les Philistins, dont nous avons presque tous été les esclaves, ne nous laissèrent pas dans nos chaumières seulement un morceau de fer pour raccommoder nos charrues ; aussi nos charrues nous sont-elles fort inutiles dans un mauvais pays pierreux, hérissé de montagnes pelées, où il n'y a que quelques oliviers avec un peu de raisin : nous n'avions pris au roi Agag que des boeufs, des chèvres et des moutons, parce que c'était là tout ce qu'il avait ; je ne crois pas que nous puissions trouver dix écus dans toute la Judée ; il y a quelques usuriers qui rognent les espèces à Tyr et à Damas ; mais ils se feraient empaler plutôt que de vous prêter un denier. (Acte 3, scène 1, ABIÉZER)
Seigneur, vous n'y pensez pas ! cet endroit est une espèce de désert, où il n'y a que des cailloux à deux lieues à la ronde. (Acte 3, scène 1, JOAB)
Milord, deux de vos serviteurs viennent d'assassiner Isboseth, qui avait l'insolence de vouloir succéder à son père, et de vous disputer le trône ; on l'a jeté par les fenêtres ; il nage dans son sang ; les tribus qui lui obéissaient ont fait serment de vous obéir, et l'on vous amène sa soeur Michol votre femme, qui vous avait abandonné, et qui venait de se marier à Phaltiel, fils de Saïs. (Acte 3, scène 1, UN MESSAGER)
Allez, mon cher Joab, qu'on l'enferme ; allez, mes amis, allez saisir tout ce que possédait Isboseth, apportez-le-moi, nous le partagerons ; vous, Joab, ne manquez pas de faire pendre ceux qui m'ont délivré d'Isboseth, et qui m'ont rendu ce signalé service ; marchez tous devant le Seigneur avec confiance ; j'ai ici quelques petites affaires un peu pressées : je vous rejoindrai dans peu de temps pour rendre tous ensemble des actions de grâces au Dieu des armées qui a donné la force à mon bras, et qui a mis sous mes pieds le basilic et le dragon. (Acte 3, scène 1, DAVID)
Ma chère Bethsabée, je ne veux plus aimer que vous : vos dents sont comme un mouton qui sort du lavoir ; votre gorge est comme une grappe de raisin, votre nez comme la tour du mont Liban ; le royaume que le Seigneur m'a donné ne vaut pas un de vos embrassements : Michol, Abigail, et toutes mes autres femmes, sont dignes tout au plus d'être vos servantes. (Acte 3, scène 2, DAVID)
Vous en disiez ce matin autant à la jeune Abigail. (Acte 3, scène 2, BETHSABÉE)
Il est vrai, elle peut me plaire un moment ; mais vous êtes ma maîtresse de toutes les heures ; je vous donnerai des robes, des vaches, des chèvres, des moutons ; car pour de l'argent, je n'en ai point encore ; mais vous en aurez quand j'en aurai volé dans mes courses sur les grands chemins, soit vers le pays des Phéniciens, soit vers Damas, soit vers Tyr. (Acte 3, scène 2, DAVID)
Qu'avez-vous, ma chère Bethsabée ? (Acte 3, scène 2, DAVID)
Vous pleurez ? (Acte 3, scène 2, DAVID)
Quelqu'une de mes femmes ou de mes concubines a-t-elle osé vous maltraiter ? (Acte 3, scène 2, DAVID)
Que ne l'avez-vous fait coucher avec vous ? (Acte 3, scène 2, DAVID)
J'ai fait ce que j'ai pu ; mais il me dit qu'il veut toujours rester auprès de vous : vous savez qu'il vous est tendrement attaché ; c'est un des meilleurs officiers de votre armée ; il veille auprès de votre personne quand les autres dorment ; il se met au-devant de vous quand les autres lâchent le pied ; s'il fait quelque bon butin, il vous l'apporte : enfin, il vous préfère à moi. (Acte 3, scène 2, BETHSABÉE)
Voilà une insupportable chenille : rien n'est si odieux que ces gens empressés, qui veulent toujours rendre service sans en être priés : allez, allez, je vous déferai bientôt de cet importun : qu'on me donne une table et des tablettes pour écrire. (Acte 3, scène 2, DAVID)
Milord, pour des tables, vous savez qu'il n'y en a point ici ; mais voici mes tablettes avec un poinçon, vous pouvez écrire sur mes genoux. (Acte 3, scène 2, BETHSABÉE)
Allons, écrivons : « Appui de ma couronne, comme moi serviteur de Dieu, notre féal Urie vous rendra cette missive : marchez avec lui, sitôt cette présente reçue, contre le corps des Philistins qui est au bout de la vallée d'Hébron ; placez le féal Urie au premier rang, abandonnez-le dès qu'on aura tiré la première flèche, de façon qu'il soit tué par les ennemis ; et s'il n'est pas frappé par-devant, ayez soin de le faire assassiner parderrière ; le tout pour le besoin de l'état : Dieu vous ait en sa sainte garde ! (Acte 3, scène 2, DAVID)
Vous voulez faire tuer mon pauvre mari ? (Acte 3, scène 2, BETHSABÉE)
Que voulez-vous lui dire ? (Acte 3, scène 2, BETHSABÉE)
Ne vous troublez pas. (Acte 3, scène 2, DAVID)
Vous serez exaucé, mon cher Urie. (Acte 3, scène 2, DAVID)
Demeurez ici, ma bien-aimée ; je suis obligé d'aller donner des ordres à peu près semblables, pour le bien du royaume ; je reviens à vous dans un moment. (Acte 3, scène 2, DAVID)
Non, cher amant, je ne vous quitte pas. (Acte 3, scène 2, BETHSABÉE)
Bethsabée, Bethsabée, c'est donc ainsi que vous m'enlevez le coeur de monseigneur ? (Acte 4, scène 1, ABIGAIL)
Vous voyez que je ne vous enlève rien, puisqu'il me quitte, et que je ne peux l'arrêter. (Acte 4, scène 1, BETHSABÉE)
Vous ne l'arrêtez que trop, perfide, dans les filets de votre méchanceté : tout Israël dit que vous êtes grosse de lui. (Acte 4, scène 1, ABIGAIL)
Quand cela serait, madame, est-ce à vous à me le reprocher ? (Acte 4, scène 1, BETHSABÉE)
N'en avez-vous pas fait autant ? (Acte 4, scène 1, BETHSAB?E)
Voilà un plaisant mariage ; on sait que vous avez empoisonné Nabal votre mari, pour épouser David, lorsqu'il n'était encore que capitaine. (Acte 4, scène 1, BETHSABÉE)
Point de reproches, madame, s'il vous plaît ; vous en feriez bien autant du bonhomme Urie, pour devenir reine ; mais sachez que je vais tout lui découvrir. (Acte 4, scène 1, ABIGAIL)
Je vous en défie. (Acte 4, scène 1, BETHSABÉE)
Quoi qu'il en soit, je serai votre reine, et je vous apprendrai à me respecter. (Acte 4, scène 1, BETHSABÉE)
Moi, vous respecter, madame ! (Acte 4, scène 1, ABIGAIL)
Madame, la Judée produira du froment au lieu de seigle, et on aura des chevaux au lieu d'ânes pour monter, avant que je sois réduite à cette ignominie : il appartient bien à une femme comme vous de faire l'impertinente avec moi ! (Acte 4, scène 1, ABIGAIL)
Ne vous en avisez pas, madame ; j'ai le bras bon, et je vous rosserais d'une manière... (Acte 4, scène 1, ABIGAIL)
Paix-là donc, paix-là : êtes-vous folles, vous autres ? (Acte 4, scène 2, DAVID)
Il est bien question de vous quereller, quand l'horreur des horreurs est sur ma maison. (Acte 4, scène 2, DAVID)
Voilà-t-il pas que mon fils Ammon, que vous connaissez, s'est avisé de violer sa soeur Thamar, et l'a ensuite chassée de sa chambre à grands coups de pied dans le cul ! (Acte 4, scène 2, DAVID)
Je croyais à votre air effaré qu'il vous avait volé votre argent. (Acte 4, scène 2, ABIGAIL)
Qui compte sur une femme, compte sur le vent : et vous, ma chère Bethsabée, m'abandonnerez-vous aussi ? (Acte 4, scène 3, DAVID)
C'est ainsi que finissent tous les mariages de cette espèce : que voulez-vous que je devienne si votre fils Absalon règne ? (Acte 4, scène 3, BETHSABÉE)
Et si Urie, mon mari, sait que vous avez voulu l'assassiner, vous voilà perdu et moi aussi. (Acte 4, scène 3, BETHSAB?E)
Vous pleurez le bonhomme ? (Acte 4, scène 3, DAVID)
Voilà-t-il pas que vous pleurez votre fils comme j'ai pleuré mon mari ! (Acte 4, scène 6, BETHSABÉE)
Sire, vous êtes le riche, Urie était le pauvre, et Bethsabée est la brebis. (Acte 4, scène 5, NATHAN)
Bon, puisque vous l'avouez, le Seigneur va transférer votre péché : c'est bien assez qu'Absalon ait couché avec toutes vos femmes : épousez la belle Bethsabée ; un des fils que vous aurez d'elle régnera sur tout Israël : je le nommerai aimable, et les enfants des femmes légitimes et honnêtes seront massacrés. (Acte 4, scène 5, NATHAN)
Dans le sang vous baignerez vos pieds ; v.2 (Acte 4, scène 5, DAVID)
Vous écraserez leur cervelle v.8 (Acte 4, scène 5, DAVID)
Je m'en vais, si vous continuez à chanter ainsi, et à sauter comme un ivrogne : vous montrez tout ce que vous portez : fi ! (Acte 4, scène 5, BETHSABÉE)
À présent que vous avez bien dansé, il faudrait mettre ordre à vos affaires. (Acte 4, scène 5, JOAB)
Oui, vous avez raison, il y a temps pour tout : retournons à Hérus-Chalaïm. (Acte 4, scène 5, DAVID)
Vous aurez toujours la guerre ; il faudrait avoir quelque argent de réserve, et savoir combien vous avez de sujets qui puissent marcher en campagne, et combien il en restera pour la culture des terres. (Acte 4, scène 5, JOAB)
Et vous l'êtes encore bien davantage : il me faut de l'argent, entendez-vous ? (Acte 5, scène 1, DAVID)
Cela n'empêche pas que ces fripons-là ne vous comptent tous les jours pour votre table trente boeufs gras, cent moutons gras, autant de cerfs, de chevreuils, de boeufs sauvages, et de chapons ; trente tonneaux de fleur de farine, et soixante tonneaux de farine ordinaire. (Acte 5, scène 1, JOAB)
Arrêtez donc, vous voulez rire ; il y aurait là de quoi nourrir six mois toute la cour du roi d'Assyrie, et toute celle du roi des Indes. (Acte 5, scène 1, DAVID)
C'est qu'on vole votre altesse royale, comme j'ai déjà eu l'honneur de vous le dire. (Acte 5, scène 1, JOAB)
Milord, vos livres font foi que vous avez cent huit mille talents d'or, deux millions vingt-quatre mille talents d'argent, et dix mille drachmes d'or ; ce qui fait au juste, au plus bas prix du change, un milliard trois cent vingt millions cinquante mille livres sterling. (Acte 5, scène 1, JOAB)
Vous ne me dites que des sottises tous tant que vous êtes : je saurai mon compte avant qu'il soit peu ; et vous, Yesès, a-t-on fait le dénombrement du peuple ? (Acte 5, scène 1, DAVID)
Oui, milord, vous avez onze cent mille hommes d'Israël, et quatre cent soixante-dix mille de Juda, d'enrôlés pour marcher contre vos ennemis. (Acte 5, scène 1, YESÈS)
Que voulez-vous, docteur Gag ? (Acte 5, scène 2, DAVID)
Je viens vous dire que vous avez commis un grand péché. (Acte 5, scène 2, GAG)
S'il vous plaît. (Acte 5, scène 2, DAVID)
Tout cela est bel et bon ; mais Dieu vous donne à choisir de la famine, de la guerre, ou de la peste. (Acte 5, scène 2, GAG)
Prophète de malheur, je veux au moins que tu puisses être puni de ta belle mission : j'aurais beau faire choix de la famine, vous autres prêtres, vous faites toujours bonne chère ; si je prends la guerre, vous n'y allez pas : je choisis la peste ; j'espère que tu l'auras, que tu crèveras comme tu le mérites. (Acte 5, scène 2, DAVID)
Il faut que vous ayez le diable dans le corps pour choisir la peste ; il est mort sur le champ soixante-dix mille personnes, et je crois que j'ai déjà le charbon : je tremble pour moi et pour mon fils Salomon, que je vous amène. (Acte 5, scène 3, BETHSABÉE)
J'ai pis que le charbon, je suis las de tout ceci : il faut donc que j'aie plus de pestiférés que de sujets : écoutez, je deviens vieux, vous n'êtes plus belle ; j'ai toujours froid aux pieds, il me faudrait une fille de quinze ans pour me réchauffer. (Acte 5, scène 3, DAVID)
En vérité, vous êtes un vilain débauché : fi ! (Acte 5, scène 3, BETHSABÉE)
À votre âge, que voulez-vous faire d'une petite fille ? (Acte 5, scène 3, BETHSAB?E)
Milord, la voilà qui vient, je vous la présente. (Acte 5, scène 3, JOAB)
Milord, j'aime bien mieux apprendre à régner sous vous. (Acte 5, scène 3, SALOMON)
Mon père, j'ai deux grâces à vous demander : la première, c'est de vouloir bien me nommer votre successeur, attendu que je suis le fils d'une princesse, et que Salomon est le fruit d'une bourgeoise adultère, auquel il n'est dû, par la loi, qu'une pension alimentaire, tout au plus : ne violez pas en sa faveur les lois de toutes les nations. (Acte 5, scène 4, ADONIAS)
Vous avez raison. Quelle est l'autre grâce que tu veux, petit misérable ? (Acte 5, scène 4, DAVID)
Milord, c'est la jeune Abisag de Sunam qui ne vous sert à rien ; je l'aime éperdument, et je vous prie de me la donner par testament. (Acte 5, scène 4, ADONIAS)
Je fais ce que je peux, mais vous êtes froid comme glace. (Acte 5, scène 4, ABISAG)
Ma dernière heure arrive, il faut faire mon testament, et pardonner en bon Juif à tous mes ennemis : Salomon, je vous fais roi juif ; souvenez-vous d'être clément et doux ; ne manquez pas, dès que j'aurai les yeux fermés, d'assassiner mon fils Adonias, quand même il embrasserait les cornes de l'autel. (Acte 5, scène 4, DAVID)
Voyez-vous ce Joab qui m'a servi dans mes guerres, et à qui je dois ma couronne ? (Acte 5, scène 4, DAVID)
Je vous prie, au nom du Seigneur, de le faire assassiner aussi, car il a mis du sang dans mes souliers. (Acte 5, scène 4, DAVID)
N'avez-vous plus personne à expédier ? (Acte 5, scène 4, SALOMON)
J'ai la mémoire mauvaise : attendez, il y a encore un certain Semeï qui m'a dit autrefois des sottises ; nous nous raccommodâmes ; je lui jurai, 1 par le Dieu vivant, que je lui pardonnerais ; il m'a très bien servi, il est de mon conseil privé ; vous êtes sage, ne manquez pas de le faire tuer en traître. (Acte 5, scène 4, DAVID)

ZULIME (1801)

Qui, lui ! vous oublier ! grand dieu, qu'il en est loin ! v.11 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Que vous prenez, Zulime, un déplorable soin ! v.12 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Outragez-vous ainsi le père le plus tendre, v.13 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Qui pour vous de son trône était prêt à descendre ; v.14 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Qui, vous laissant le choix de tant de souverains, v.15 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Quoi ! dans vous, dans sa fille, il trouve une ennemie ! v.17 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Dans cet affreux dessein seriez-vous affermie ? v.18 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Mes conseils autrefois ne vous révoltaient pas ; v.20 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Que mes soins plus heureux pourraient vous rendre à lui. v.24 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Vous pleurez, vous, Zulime ! et vous le trahissez ! v.28 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Vous le pouvez. Sachez que nos tristes rivages v.37 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Sans sa fille, sans vous, le verrons-nous paraître ? v.42 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Vous avez dans ce fort entraîné ses soldats ; v.43 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Avec qui fuyez-vous ? v.48 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Le reproche est trop juste, et vous m'êtes trop chère : v.50 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
À peine devant vous m'a-t-on laissé paraître ; v.62 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Vous pleurez malgré vous ; la nature outragée v.65 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
À vos justes remords n'osez-vous vous livrer ? v.67 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Qu'un maître redemande, et que vous condamnez. v.72 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
Mais vous lui devez plus qu'il ne vous dut jamais. v.76 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
C'est par ses seuls exploits enfin que vous vivez. v.83 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
Quel prix a-t-il reçu ? seigneur, vous le savez. v.84 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
Vous épargna du moins une paix si honteuse. v.94 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
Elle acquitte envers nous ce que vous nous devez. v.95 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
N'insultez point ici ceux qui vous ont sauvés : v.96 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
Je ne puis vous tromper... Tel est mon caractère. v.102 (Acte 1, scène 1, ZULIME)
Vous voulez donc charger d'un affront si nouveau v.103 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Vous me faites frémir. v.105 (Acte 1, scène 1, ZULIME)
Repentez-vous, Zulime ; v.105 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Porter les derniers coups au sein qui vous fît naître ! v.114 (Acte 1, scène 1, MOHADIR)
Vous voyez ce que j'aime, et ce que je redoute, v.117 (Acte 1, scène 2, ZULIME)
D'un père infortuné vous concevez l'injure ; v.121 (Acte 1, scène 2, ZULIME)
Mais Ramire expirait, vous éliez en danger. v.123 (Acte 1, scène 2, ZULIME)
Est-ce un crime, après tout, que de vous protéger ? v.124 (Acte 1, scène 2, ZULIME)
À ce départ enfin vous m'avez enhardie : v.126 (Acte 1, scène 2, ZULIME)
Hélas ! Ramire et moi nous vous devons la vie ; v.133 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
Vous rendez un héros, un prince à sa patrie : v.134 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
Tout ce que vous quittez est encore au dessus. v.140 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
Jetais votre captive, et vous ma protectrice ; v.141 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
Enfin que vous aimez... v.146 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
Eh ! ne voyez-vous pas avec quelle prudence v.161 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
À ne vous point flatter, v.164 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
Ce jour, ce même jour peut vous voir enfermée. v.170 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
Trop d'amour vous égare ; et les coeurs si troublés v.171 (Acte 1, scène 2, ATIDE)
Que fait-il ? est-ce vous, est-ce moi qu'il évite ? v.177 (Acte 1, scène 2, ZULIME)
Semble en notre défense agir comme vous-même ; v.182 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
Et pouvez-vous penser que je sois sans alarmes ? v.190 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Vous savez qui je quitte et qui j'ai pu trahir. v.192 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Je dépends de vous seul... Ah ! prince, avant ce jour, v.195 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Vous faites tout pour nous ; oui, madame, et nos coeurs v.200 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
N'ont pour vous rassurer dans votre défiance v.201 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
Esclave auprès de vous, mes yeux à peine ouverts v.203 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
Pour me prouver vos feux vous faut-il des serments ? v.208 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Je ne crains que mon sort ; puis-je vous soupçonner ? v.212 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Vous-même, devant moi, triste, sombre, égaré, v.219 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Vous ressentez le trouble où mon coeur est livré. v.220 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Vous vous faites tous deux une pénible étude v.221 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
Dérobez-vous, madame, aux peuples irrités v.223 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
Le vaisseau vous attend, Valence est votre asile. v.226 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
Vous avez tant de droits sur nous... et sur son coeur ! v.228 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
Vous condamnez sans doute une crainte odieuse. v.229 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
Votre amant vous doit tout ; vous êtes trop heureuse ! v.230 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
Dans ce moment, madame, on vient vous assiéger. v.232 (Acte 1, scène 4, IDAMORE)
Eh bien ! pour vous servir le ciel m'ouvre une voie : v.242 (Acte 1, scène 4, RAMIRE)
J'ai combattu pour eux, je combattrai pour vous. v.244 (Acte 1, scène 4, RAMIRE)
Et mon sort en tout temps sera de vous défendre. v.246 (Acte 1, scène 4, RAMIRE)
Vous n'irez point sans moi : non, cruel que vous êtes ; v.257 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Que Valence dans vous redemande un vengeur. v.267 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Voulez-vous me changer ? chéririez-vous un traître ? v.274 (Acte 1, scène 5, RAMIRE)
N'immolez que l'objet pour qui vous rougissez, v.283 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Qui vous forçait à feindre, et que vous haïssez. v.284 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Je vous adore, Atide, et l'amour qui m'enflamme v.285 (Acte 1, scène 5, RAMIRE)
Mais plus je vous adore, et plus je dois rougir v.287 (Acte 1, scène 5, RAMIRE)
Je les commets pour vous, et vous seule en doutez. v.292 (Acte 1, scène 5, RAMIRE)
Ce coeur est un perfide, et c'est pour vous, cruelle ! v.294 (Acte 1, scène 5, RAMIRE)
La fraude et les soupçons ne sont point faits pour vous. v.296 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
N'a point reçu de vous de promesse trompeuse. v.298 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Elle a cru des discours que vous ne dictiez pas. v.300 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Eh ! Peut-on s'étonner que vous ayez-su plaire ? v.301 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Peut-on vous reprocher ce charme involontaire v.302 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Qui vous soumit un coeur prompt à se désarmer ? v.303 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Ah ! Le mien m'est témoin que l'on doit vous aimer. v.304 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Promettre à d'autres yeux un coeur qui n'est qu'à vous ? v.308 (Acte 1, scène 5, RAMIRE)
Eh bien, punissez-moi de vous avoir sauvé. v.312 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Je n'y survivrai pas, vous n'en pouvez douter. v.316 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Je vous épargnerai la honte d'un parjure : v.318 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Je vous suis ; la chute ou la victoire, v.322 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Puis-je être loin de vous ? vous êtes en danger. v.324 (Acte 1, scène 5, ATIDE)
Vous voyez les sujets du triste Bénassar v.329 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Comment ! quel repentir peut vous troubler encore ? v.348 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Qui vous retient ? v.349 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Un plus grand intérêt doit vous déterminer. v.354 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Voudriez-vous livrer à l'horreur des supplices v.355 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Ceux qui vous ont voué leur vie et leurs services ? v.356 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Eh bien ! qui de vous tous me faut-il donc trahir ? v.358 (Acte 2, scène 1, RAMIRE)
Rougissez de tarder, Valence vous appelle ; v.368 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Les moments sont bien chers ; et si vous hésitez... v.369 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Gardez-vous d'arracher un voile nécessaire : v.371 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Vous n'employâtes point l'art trompeur des amants. v.374 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Enfin elle vous aime, elle se croit aimée. v.380 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Lorsque vous serez roi, jugez et décidez : v.385 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Ici Zulime règne, et vous en dépendez. v.386 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Vous vous connaissez mal en ces extrémités ; v.397 (Acte 2, scène 1, IDAMORE)
Il ne me reste plus qu'à m'attacher à vous v.421 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Ah ! vous percez un coeur destiné désormais v.441 (Acte 2, scène 2, RAMIRE)
Eh ! qui peut vous troubler, quand vous m'avez su plaire ? v.443 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Mais vous qui retrouvez un sceptre, une couronne, v.447 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Vous qui m'aimez enfin... v.450 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Pourrais-je vous trahir ? v.450 (Acte 2, scène 2, RAMIRE)
Hélas ! Je vous en crois sans peine : v.451 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Vous sauvâtes mes jours, je brisai votre chaîne ; v.452 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Je vois en vous, Ramire, un vengeur, un époux : v.453 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Vos bienfaits et les miens, tout me répond de vous. v.454 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Sous un ciel inconnu le destin vous envoie. v.455 (Acte 2, scène 2, RAMIRE)
C'est vous qui m'y guidez. v.457 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
C'est à vous de juger v.457 (Acte 2, scène 2, RAMIRE)
J'en ai quitté pour vous, hélas ! de plus sacrées. v.463 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
Mais en moi vous ne verriez qu'un traître, v.468 (Acte 2, scène 2, RAMIRE)
Vous m'arrachez le coeur ; achevez, quelle est-elle ? v.472 (Acte 2, scène 2, ZULIME)
N'ont pas cru vous trahir en partageant ses larmes. v.508 (Acte 2, scène 3, ATIDE)
Il approche, il vous cherche. v.509 (Acte 2, scène 3, ATIDE)
Devoir, nature, amour, qu'exigez-vous de moi ? v.510 (Acte 2, scène 3, ZULIME)
Donnez-lui tout mon sang, je vous le sacrifie ; v.512 (Acte 2, scène 3, RAMIRE)
Pouvez-vous bien, cruel, irriter mes ennuis ? v.514 (Acte 2, scène 3, ZULIME)
Allez, Atide ; et vous, évitez sa présence. v.516 (Acte 2, scène 3, ZULIME)
De me voir sans Ramire et de vous éviter. v.518 (Acte 2, scène 3, ZULIME)
Je vous connais toujours ; v.530 (Acte 2, scène 4, ZULIME)
De lever jusqu'à vous un regard criminel v.533 (Acte 2, scène 4, ZULIME)
Je vous aime encor plus que je ne vous fus chère. v.568 (Acte 2, scène 4, ZULIME)
Régnez, vivez heureux, ne vous consumez plus v.569 (Acte 2, scène 4, ZULIME)
Vous n'avez plus de fille, et je suis à Ramire. v.576 (Acte 2, scène 4, ZULIME)
Songez que cet esclave a combattu pour vous ; v.594 (Acte 2, scène 4, ZULIME)
Qu'il vous a délivré d'une main ennemie ; v.595 (Acte 2, scène 4, ZULIME)
Que j'acquitte envers lui ce que vous lui devez ; v.597 (Acte 2, scène 4, ZULIME)
Hélas ! Vous n'aimez point : vous ne concevez pas v.633 (Acte 1, scène 1, ZULIME)
Toute prête à partir, vous proposez, barbare, v.647 (Acte 1, scène 1, ZULIME)
Mais vous-même à l'instant, à vos devoirs fidèle, v.651 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
Vous disiez que l'amour vous rend trop criminelle. v.652 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
J'éprouve, croyez-moi, le chagrin qui vous tue : v.656 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
Vous m'en devez, du moins. v.657 (Acte 1, scène 1, ZULIME)
Hélas ! m'assurez-vous qu'il réponde à mes voeux v.661 (Acte 1, scène 1, ZULIME)
Ne vous suffit-il pas qu'on vous rende justice, v.668 (Acte 1, scène 1, ATIDE)
Déjà quelques guerriers, qui devaient vous défendre v.683 (Acte 1, scène 2, IDAMORE)
Honteux de vous prêter un sacrilège appui, v.685 (Acte 1, scène 2, IDAMORE)
Ramire, impatient, de vous seule occupé, v.689 (Acte 1, scène 2, IDAMORE)
Ramire, dites-vous ? v.693 (Acte 1, scène 2, ZULIME)
Il revient vous servir, surtout il veut vous voir. v.694 (Acte 1, scène 2, IDAMORE)
J'ai parlé, seigneur, comme vous-même ; v.700 (Acte 1, scène 3, IDAMORE)
Rien ne nous retient plus : je cours, je vous devance. v.704 (Acte 1, scène 3, IDAMORE)
Vous voulez de, l'Afrique abandonner les bords ; v.709 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
Moi craindre ! Ah ! C'est pour vous que j'ai connu la crainte, v.711 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Je vous y mène en reine, et mon peuple à genoux v.733 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
Avec son souverain fléchira devant vous. v.734 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
C'est trop vous efforcer d'excuser un perfide : v.736 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Madame, écoutez-vous ce désespoir mortel ? v.746 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
C'est votre ouvrage, hélas ! que vous allez détruire. v.747 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
Vous vous perdez ! Eh quoi, vous balancez, Ramire ! v.748 (Acte 1, scène 3, ATIDE)
Madame, épargnez-vous ces transports empressés ! v.749 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
J'ai prodigué pour vous la plus tendre amitié : v.754 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Vous m'en payez le prix ; je vais le reconnaître. v.755 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Sortez, rentrez aux fers où vous avez dû naître ; v.756 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
À mes yeux indignés ne vous présentez plus : v.758 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Vous ne flétrirez point cet objet malheureux, v.761 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
Ce coeur digne de vous, comme vous généreux. v.762 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
Si vous le connaissiez, si vous saviez... v.763 (Acte 1, scène 3, RAMIRE)
Du fruit de mes douleurs vous ne jouirez pas ; v.766 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Vous expierez tous deux mes feux illégitimes : v.767 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Je n'en ai commis qu'un, ce fut de vous servir, v.769 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Ce fut de vous sauver ; je cours vous en punir... v.770 (Acte 1, scène 3, ZULIME)
Non, je veux qu'à ses pieds vous vous jetiez sur l'heure : v.780 (Acte 1, scène 4, ATIDE)
Ramire, il faut me perdre et vous justifier, v.781 (Acte 1, scène 4, ATIDE)
Vous ! v.783 (Acte 1, scène 4, RAMIRE)
Mon coeur vous idolâtre... et je renonce à vous. v.786 (Acte 1, scène 4, ATIDE)
Vous, Atide ! v.787 (Acte 1, scène 4, RAMIRE)
Tout est entre vos mains ; Zulime vous adore : v.796 (Acte 1, scène 4, ATIDE)
Pensez-vous qu'à son père elle osât s'adresser ? v.798 (Acte 1, scène 4, ATIDE)
Vous voyez ces remparts qui ceignent notre asile, v.799 (Acte 1, scène 4, ATIDE)
Confiez-vous à moi ; mon amour le mérite. v.803 (Acte 1, scène 4, ATIDE)
Je vous réponds de tout, souffrez que je vous quitte ; v.804 (Acte 1, scène 4, ATIDE)
Non... je vous suis. v.805 (Acte 1, scène 4, RAMIRE)
Ah, prince ! On vous attend. v.881 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Il n'est plus de danger, l'amour seul vous défend. v.882 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
On n'attend plus que vous : la voile se déploie. v.895 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Ah, ciel ! qu'avez-vous fait ? v.896 (Acte 1, scène 6, RAMIRE)
Seront les derniers pleurs que vous verrez couler. v.897 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Vous êtes trop aimé, vous méritez de l'être. v.900 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Remplir tous les serments qu'Atide a faits pour vous. v.902 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Quoi ! Vous l'avez conduite à ce vaisseau funeste ? v.903 (Acte 1, scène 6, RAMIRE)
Elle vous y demande. v.904 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Elle part, dites-vous ? v.905 (Acte 1, scène 6, RAMIRE)
Des lieux que pour vous seul elle avait en horreur. v.906 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Eh ! Ne savez-vous pas que je la sacrifie ? v.908 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Vous êtes en otage auprès de Bénassar. v.909 (Acte 1, scène 6, RAMIRE)
Que dites-vous ? quel crime, et quel engagement ? v.913 (Acte 1, scène 6, ATIDE)
Bénassar vous poursuit, vous, Atide, et Zulime. v.915 (Acte 1, scène 7, IDAMORE)
Seigneur, je viens combattre et mourir avec vous. v.917 (Acte 1, scène 7, IDAMORE)
Sortons... Entendez-vous tous ces cris furieux ? v.926 (Acte 1, scène 7, IDAMORE)
Si vous vivez, ce jour est encor trop heureux. v.938 (Acte 1, scène 7, RAMIRE)
Il vous a dérobé, propice en sa colère, v.941 (Acte 4, scène 1, SÉRAME)
Plus il veut vous sauver de ces objets d'horreur, v.955 (Acte 4, scène 1, SÉRAME)
Et redoublant les maux dont l'excès vous dévore, v.957 (Acte 4, scène 1, S?RAME)
Peut-être vous rendraient plus criminelle encore. v.958 (Acte 4, scène 1, S?RAME)
Ai-je pu m'occuper que du mal qui vous tue ? v.961 (Acte 4, scène 1, SÉRAME)
Je vous laisse à regret dans ces horreurs mortelles. v.973 (Acte 4, scène 1, SÉRAME)
Croiriez-vous quelle main vient de le secourir ? v.996 (Acte 4, scène 3, SÉRAME)
Je ne vous nierai point que son coeur magnanime v.1025 (Acte 4, scène 4, MOHADIR)
Qu'il trompait à la fois et Bénassar et vous. v.1032 (Acte 4, scène 4, MOHADIR)
Quand elle aura dans vous triomphé de Ramire. v.1042 (Acte 4, scène 4, MOHADIR)
Gardez en ce moment de vous y présenter. v.1047 (Acte 4, scène 4, MOHADIR)
Mohadir, et c'est vous qui m'osez arrêter ? v.1048 (Acte 4, scène 4, ZULIME)
Vous devez obéir, et surtout épargner v.1051 (Acte 4, scène 4, MOHADIR)
Il vous aime, il est vrai ; mais, après tant d'injures, v.1053 (Acte 4, scène 4, MOHADIR)
Frémissez pour vous-même, un affront si cruel v.1055 (Acte 4, scène 4, MOHADIR)
Dans Ramire et dans vous il confondrait peut-être... v.1057 (Acte 4, scène 4, MOHADIR)
Osez-vous bien penser que je protège un traître ? v.1058 (Acte 4, scène 4, ZULIME)
Vous laissez un perfide au destin ! Qui l'accable : v.1065 (Acte 4, scène 5, SÉRAME)
Tous deux seront punis : ne songez plus qu'à vous : v.1067 (Acte 4, scène 5, SÉRAME)
Obtenez qu'il vous voie, et votre grâce est sûre : v.1077 (Acte 4, scène 5, SÉRAME)
Unissez-vous à lui pour venger son injure ; v.1078 (Acte 4, scène 5, S?RAME)
De ce parjure amant qu'enfin vous haïssez. v.1080 (Acte 4, scène 5, S?RAME)
Vous faisait sa victime ainsi que sa complice. v.1082 (Acte 4, scène 5, SÉRAME)
Des pleurs que vous versiez sa vanité s'honore : v.1085 (Acte 4, scène 5, SÉRAME)
Il vous trompe, il vous hait. v.1086 (Acte 4, scène 5, S?RAME)
Qui ? Vous ! v.1086 (Acte 4, scène 5, SÉRAME)
Et Ramire est perdu pour moi comme pour vous. v.1112 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Avez-vous vu Ramire ? v.1113 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
De ces indignes fers où vous l'avez plongé. v.1116 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Vous le voulez, madame, et vous serez contente ; v.1118 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Il ne vous reste ici qu'à terminer mon sort, v.1119 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Ah ! Si vous le vouliez, vous pourriez le défendre, v.1122 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Madame : vous l'aimez, et je connais l'amour ; v.1123 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Vous périrez des coups dont il perdra le jour ; v.1124 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Et, quelque sentiment qu'un père vous inspire, v.1125 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Il n'eut jamais que vous et le ciel pour appui ; v.1127 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Et n'est-ce pas à vous d'avoir pitié de lui ? v.1128 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Vous êtes mal gardée : on peut les réunir. v.1131 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Et vous me commandez encor de vous servir ? v.1132 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Quand je vous l'ai cédé, quand, vous donnant ma vie, v.1133 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Quand j'osais en ces lieux vous presser à genoux v.1135 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Que vous faut-il ? parlez, cruelle que vous êtes. v.1138 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Quel fruit recueillez-vous de toutes vos erreurs ? v.1139 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Et qui peut contre moi vous irriter ? v.1140 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Tout m'irrite, cruelle, et m'arme contre vous. v.1144 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Vous avez mérité que Ramire vous aime ; v.1145 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Vous me forcez enfin d'immoler pour vous-même v.1146 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Je vous sers, vous, madame, il le faut, et j'y cours ; v.1148 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Mais vous me répondrez... v.1149 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Eh bien ! j'aime Ramire : oui, je vous le déclare ; v.1150 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Je l'aime, je le cède, et vous vous indignez ! v.1151 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
J'ai sauvé votre amant, et vous vous en plaignez ! v.1152 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
J'en atteste le jour, ce jour que je vous doi, v.1156 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Que vous n'aurez jamais à redouter Atide. v.1157 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Ne vous figurez pas que ma douleur timide v.1158 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Je vous sacrifierais son empire et son coeur. v.1164 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Que voulez-vous de plus, s'il vit et s'il vous aime ? v.1166 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Vous en aurez la gloire, ayez-en l'avantage. v.1169 (Acte 4, scène 6, ATIDE)
Non, je ne vous crois point : je vois tout mon outrage ; v.1170 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Pour braver cent trépas n'a pas besoin de vous. v.1176 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Suivez-moi seulement ; je vous ferai connaître v.1177 (Acte 4, scène 6, ZULIME)
Il vous faut oublier jusqu'au nom de Ramire. v.1189 (Acte 4, scène 7, SÉRAME)
Madame, ah ! Gardez-vous d'un téméraire effort ! v.1191 (Acte 4, scène 7, SÉRAME)
Vous l'abandonneriez à cette indigne mort ? v.1192 (Acte 4, scène 7, ATIDE)
Oublieriez-vous ainsi la grandeur de votre âme ? v.1193 (Acte 4, scène 7, ATIDE)
Mais vous avez toujours des entrailles de père, v.1202 (Acte 5, scène 1, MOHADIR)
Je frémis comme vous de tous ces attentats v.1223 (Acte 5, scène 1, MOHADIR)
Vous-même l'avez dit, et j'ose le redire, v.1229 (Acte 5, scène 1, MOHADIR)
Est celui dont le bras vous avait défendu ; v.1231 (Acte 5, scène 1, MOHADIR)
Que vous l'avez vu même, en ce combat horrible, v.1233 (Acte 5, scène 1, MOHADIR)
Détourner loin de vous ses coups désespérés, v.1236 (Acte 5, scène 1, MOHADIR)
Respecter votre sang, vous sauver, vous défendre, v.1237 (Acte 5, scène 1, MOHADIR)
Qui levaient contre vous leurs bras ensanglantés. v.1240 (Acte 5, scène 1, MOHADIR)
Non, n'allez pas plus loin, frappez ; et vous, soldats, v.1263 (Acte 5, scène 2, ZULIME)
Vient d'armer contre vous sa main désespérée : v.1270 (Acte 5, scène 2, ZULIME)
J'allais vous arracher, au péril de vos jours, v.1271 (Acte 5, scène 2, ZULIME)
Je vous vois ; un regard a détruit mes fureurs ; v.1275 (Acte 5, scène 2, ZULIME)
Qui déchire mes sens, qui vous outrage encore. v.1286 (Acte 5, scène 2, ZULIME)
Arrachez-moi ce coeur que vous m'avez donné, v.1291 (Acte 5, scène 2, ZULIME)
Et qu'au moins votre fille expire en vous aimant. v.1296 (Acte 5, scène 2, ZULIME)
Seigneur, vous la voyez à vos pieds éperdue, v.1305 (Acte 5, scène 2, MOHADIR)
Vous l'avez trop aimée, hélas ! pour la punir. v.1307 (Acte 5, scène 2, MOHADIR)
Je dois tous deux vous perdre, ou la mettre en tes bras. v.1343 (Acte 5, scène 3, BÉNASSAR)
Vous me voyez, seigneur, v.1352 (Acte 5, scène 3, RAMIRE)
En vain j'adore en vous le plus tendre des pères, v.1366 (Acte 5, scène 3, RAMIRE)
En vain vous m'accablez de gloire et de bienfaits, v.1367 (Acte 5, scène 3, RAMIRE)
Vengez-vous sur moi seul, Atide est mon épouse. v.1370 (Acte 5, scène 3, RAMIRE)
Vous souffrirez qu'Atide, à ma honte, jouisse v.1381 (Acte 5, scène 3, ZULIME)
Vengez-moi, vengez-vous de ses traîtres appas, v.1383 (Acte 5, scène 3, ZULIME)
Vous ne punissez pas cet objet odieux ? v.1387 (Acte 5, scène 3, ZULIME)
Vous devez me punir : mais connaissez-moi mieux ; v.1388 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Je vous coûte à la fois la gloire et l'innocence. v.1394 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Je m'armais contre vous de vos propres bienfaits : v.1396 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Et lorsque vous sortez de ce gouffre d'horreur, v.1399 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Ma main vous y replonge, et vous perce le coeur. v.1400 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Mais j'aimais comme vous ; ce mot me justifie ; v.1402 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Il faut dire encor plus ; vous le savez, on m'aime. v.1405 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Je vous immolai tout ; je vous ai fait serment, v.1407 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Le serment est affreux, vous le sentez, madame ! v.1410 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
C'est un effort trop grand, vous ne l'espérez pas : v.1412 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Mais je vous ai juré d'immoler ma tendresse ; v.1413 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Ô ciel ! que faites-vous ? v.1416 (Acte 5, scène 3, ZULIME)
Éloignez-vous, fuyez, dérobez à ma vue v.1425 (Acte 5, scène 3, ZULIME)
Nos deux coeurs sont à vous. v.1431 (Acte 5, scène 3, ATIDE)
Hélas ! Vous n'aurez plus de reproche à me faire. v.1437 (Acte 5, scène 3, ZULIME)
Souvenez-vous de moi ; mais oubliez mon crime. v.1442 (Acte 5, scène 3, ZULIME)

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NANINE (1749)

Vous expliquer nettement sur mon compte. v.2 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Ni vous ni moi n'avons un coeur tout neuf ; v.3 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous êtes libre, et depuis deux ans veuf : v.4 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Qui ? Vous, madame ? v.11 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Vous avez l'air de me manquer de foi. v.20 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous savez que cette longue guerre, v.21 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Que mon mari vous faisait pour ma terre, v.22 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Votre promesse à ma foi vous engage ; v.25 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous différez, et qui diffère outrage. v.26 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Assurément vous n'attendez personne, v.30 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Qui vous a donc dit tout cela ? v.32 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Qui ? Vous ; v.32 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous, votre ton, votre air d'indifférence, v.33 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Ayez moins tort, ou défendez-vous mieux. v.36 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
L'excès, l'affront du goût qui vous surmonte ? v.38 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous me trompez ! v.40 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
J'étais à vous, vous aviez su me plaire, v.42 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Et j'espérais avec vous retrouver v.43 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Mais vous cherchez à détruire vos lois. v.47 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Je vous l'ai dit, l'amour a deux carquois : v.48 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Voilà les traits que vous prenez vous-même v.57 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Contre nous deux ; et vous voulez qu'on aime ! v.58 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Oui, j'aurai tort ! Quand vous vous détachez, v.59 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
C'est donc à moi que vous le reprochez. v.60 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Mais êtes-vous sans humeur, vous ? v.67 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
C'est fort bien dit, traître ! Vous prétendez, v.87 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Quand vous m'outrez, m'insultez, m'excédez, v.88 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Excuse en vous les bassesses du coeur ? v.92 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Fait tout mon tort. Un enfant vous domine, v.94 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous rougissez ! v.99 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Non, vous l'aimez, j'en suis très sûre. v.100 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous en êtes capable. v.103 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous oseriez trahir impudemment v.104 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
L'éclat vous plaît ; vous mettez la grandeur v.111 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
Serait chez vous, pour un peu de vertu, v.119 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Ne doit-on rien, s'il vous plaît, à son rang ? v.123 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous dégradez ainsi la qualité ! v.127 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Vous êtes fou ; quoi ! Le public, l'usage ! ... v.129 (Acte 1, scène 1, LA BARONNE)
Mais c'est, ne vous déplaise, v.150 (Acte 1, scène 2, BLAISE)
Vous verrez comme ce terrain-là v.179 (Acte 1, scène 2, BLAISE)
Ah ! Vous parlez de Nanine. v.189 (Acte 1, scène 3, BLAISE)
Tous deux ce soir je voudrais vous unir : v.200 (Acte 1, scène 3, LA BARONNE)
Approchez-vous ; venez, Mademoiselle. v.229 (Acte 1, scène 4, LA BARONNE)
Vous vous faites attendre v.234 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Un peu de temps ; avancez-vous. Comment ! v.235 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Il est vrai. Je vous jure, v.238 (Acte 1, scène 5, NANINE)
De tant de soins vous daigniez m'honorer ! v.243 (Acte 1, scène 5, NANINE)
Vous vous plaisiez vous-même à me parer. v.244 (Acte 1, scène 5, NANINE)
Songez combien vous m'aviez protégée : v.245 (Acte 1, scène 5, NANINE)
Voudriez-vous, madame, humilier v.247 (Acte 1, scène 5, NANINE)
D'où venez-vous ? v.250 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Avancez-vous... gardez-vous, je vous prie, v.261 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
D'imaginer que vous soyez jolie. v.262 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Vous me l'avez si souvent répété, v.263 (Acte 1, scène 5, NANINE)
Je vous devrais ma guérison, madame. v.266 (Acte 1, scène 5, NANINE)
Eh bien ! Voyez si vous les méritez. v.272 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Vous établir ; jugez si je vous aime. v.274 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Je vous donne une dot. Votre époux v.275 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Est fort bien fait, et très digne de vous ; v.276 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Et vous devez bien m'en remercier : v.279 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Hésitez-vous un moment d'y souscrire ? v.282 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Mes offres sont un ordre, entendez-vous ? v.283 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Il vous sied bien d'avoir l'impertinence v.286 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Vous abusez du caprice d'un jour, v.291 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Et vous verrez quel en est le retour. v.292 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Vous avez donc l'insolence de plaire ? v.294 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Vous m'entendez ; je vous ferai rentrer v.295 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Dans le néant dont j'ai su vous tirer. v.296 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Oui, des faveurs que vous vouliez me faire, v.301 (Acte 1, scène 5, NANINE)
Est-il bien vrai ? Me trompez-vous, Nanine ? v.313 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Le croyez-vous ? v.322 (Acte 1, scène 5, NANINE)
Monsieur_le_Comte, ah ! Je vous préviendrai. v.328 (Acte 1, scène 5, LA BARONNE)
Que dites-vous de monseigneur ? v.329 (Acte 1, scène 5, NANINE)
Et je vous rends ce que votre conduite, v.361 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Vous me charmez : je craignais son dépit. v.372 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Croyez surtout que je vous rends justice. v.381 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
J'admire encore à quel point vous avez v.383 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
J'en ai bien peu ; mais quoi ! Je vous ai vu, v.387 (Acte 1, scène 7, NANINE)
Et je vous ai tous les jours entendu : v.388 (Acte 1, scène 7, NANINE)
Vous avez trop relevé ma naissance ; v.389 (Acte 1, scène 7, NANINE)
Je vous dois trop ; c'est par vous que je pense. v.390 (Acte 1, scène 7, NANINE)
Dans le premier vos vertus vous ont mise. v.394 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Vous en êtes la preuve... ah çà, Nanine, v.401 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Permettez-moi qu'ici l'on vous destine v.402 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Un sort, un rang moins indigne de vous. v.403 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Ma mère arrive ; elle vous voit en fille ; v.406 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Doivent ici vous mettre sur un pied v.408 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Où vous tenait une femme hautaine. v.410 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Il vous fallait plus d'aisance et d'éclat : v.415 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Vous n'êtes pas encor dans votre état. v.416 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Qui ? Vous, obscure ! Vous ! v.429 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Puis-je de vous obtenir une grâce ? v.430 (Acte 1, scène 7, NANINE)
Qu'ordonnez-vous ? Parlez. v.431 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Elle vous traita mal : mais la nature, v.438 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
En récompense, a voulu vous doter v.439 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Vous en avez trop fait ; mais je me flatte v.441 (Acte 1, scène 7, NANINE)
Vous m'outragez. v.445 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Madame vous demande, v.445 (Acte 1, scène 8, GERMON)
Quoi ! L'on ne peut un moment vous parler, v.447 (Acte 1, scène 8, LE COMTE)
Avec douleur, sans doute, je vous laisse ; v.449 (Acte 1, scène 8, NANINE)
Mais vous savez qu'elle fut ma maîtresse. v.450 (Acte 1, scène 8, NANINE)
Elle n'en garde aucun, je vous assure. v.453 (Acte 1, scène 8, LE COMTE)
Vous gémissez... quoi ! Votre coeur murmure ? v.454 (Acte 1, scène 8, LE COMTE)
Qu'avez-vous donc ? v.455 (Acte 1, scène 8, LE COMTE)
Je vous quitte à regret ; v.455 (Acte 1, scène 8, NANINE)
Vous porterez cette somme complète v.466 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
Puis vous irez chercher ces gens là-bas ; v.468 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
C'est pour Nanine, entendez-vous ? v.472 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
Vous a sans nous éveillé si matin ? v.508 (Acte 2, scène 1, MARIN)
Qu'ordonnez-vous ? v.511 (Acte 2, scène 1, MARIN)
Vous voilà pris. v.520 (Acte 2, scène 1, MARIN)
Vous l'épousez ? v.523 (Acte 2, scène 1, MARIN)
Vous serez satisfait. v.524 (Acte 2, scène 1, MARIN)
Belle Nanine, est-ce vous que je vois ? v.563 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Quoi ! Vous voulez vous dérober à moi ! v.564 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Ah ! Répondez, expliquez-vous, de grâce. v.565 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Vous avez craint, sans doute, la menace v.566 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Vous n'auriez point de vous-même eu l'envie v.570 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
De ce dessein étiez-vous occupée ? v.574 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Répondez donc. Pourquoi me quittiez-vous ? v.575 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Vous me voyez tremblante à vos genoux. v.576 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Ce serait vous ? Qu'entends-je ! Ah, malheureux ! v.580 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Je vous l'avoue ; oui, je l'ai conjurée v.581 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Vous, vous punir ! Ah ! Nanine ! Et de quoi ? v.591 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
En vous fuyant, fut de vous offenser. v.604 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Cent fois pardon, si je vous ai déplu : v.608 (Acte 2, scène 3, NANINE)
De mes devoirs, de vous, de vos bienfaits. v.612 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Vous favorise, et noblement vous donne v.614 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Moi, j'en sais un moins indigne de vous : v.616 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Je vous réponds qu'il a des sentiments : v.619 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Et je me trompe, ou pour vous j'envisage v.621 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Ce nouveau bien que vous daignez me faire, v.625 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Vous pénétrez mon coeur reconnaissant : v.627 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Vous décidez mon sort. Eh bien ! Nanine, v.633 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Connaissez donc celui qu'on vous destine : v.634 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Vous l'estimez ; il est sous votre loi ; v.635 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Il vous adore, et cet époux... c'est moi. v.636 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Ce que vous méritez. v.640 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Quoi ! Vous m'aimez ? Ah ! Gardez-vous de croire v.641 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Qu'ainsi pour moi vous descendiez si bas : v.644 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Vous avez pris pitié de mon jeune âge ; v.649 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Formé par vous, ce coeur est votre ouvrage ; v.650 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Oui, je vous dois des refus. Oui, mon âme v.653 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Non, vous serez ma femme. v.654 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Quoi ! Tout à l'heure ici vous m'assuriez, v.655 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Vous l'avez dit, que vous refuseriez v.656 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Mais me haïssez-vous ? v.659 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Craindrais-je tant, si vous étiez haï ? v.660 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Eh ! Que prétendez-vous ? v.662 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Si vous m'aimez, croyez... v.664 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Vous oubliez... v.666 (Acte 2, scène 3, NANINE)
Oui, malgré vous, ma flamme impatiente v.669 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Adieu, Nanine, adieu, vous que j'adore. v.673 (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
En ma faveur vous a parlé, mignonne. v.694 (Acte 2, scène 5, BLAISE)
Car, vous voyez, Blaise est prêt à tout faire v.709 (Acte 2, scène 5, BLAISE)
Pour vous servir ; vite, point de mystère. v.710 (Acte 2, scène 5, BLAISE)
J'irais pour vous au fin fond de la France. v.722 (Acte 2, scène 5, BLAISE)
Vous arrivez : quel moment pour mon coeur ! v.756 (Acte 2, scène 7, LA BARONNE)
Quoi ! Je ne puis vous voir et vous entendre ! v.757 (Acte 2, scène 7, LA BARONNE)
Je vous conjure au moins de vouloir prendre v.759 (Acte 2, scène 7, LA BARONNE)
Ah, ah, rusée, ainsi vous trompiez Blaise ! v.770 (Acte 2, scène 7, LA BARONNE)
Vous m'enleviez en secret mon amant. v.771 (Acte 2, scène 7, LA BARONNE)
Vous avez feint d'aller dans un couvent ; v.772 (Acte 2, scène 7, LA BARONNE)
Et tout l'argent que le Comte vous donne, v.773 (Acte 2, scène 7, LA BARONNE)
Vous allez voir un trait assez risible. v.782 (Acte 2, scène 8, LA BARONNE)
Vous connaissez sans doute à Rémival v.783 (Acte 2, scène 8, LA BARONNE)
Ah ! Quels discours vous me tenez ? v.785 (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Ce billet-là vous le fera connaître. v.786 (Acte 2, scène 8, LA BARONNE)
Contentez-vous du tour abominable v.790 (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Que vous vouliez me jouer ce matin. v.791 (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Tenez, lisez. Ceci pourra vous plaire ; v.793 (Acte 2, scène 8, LA BARONNE)
Vous connaîtrez les moeurs, le caractère v.794 (Acte 2, scène 8, LA BARONNE)
Du digne objet qui vous a subjugué. v.795 (Acte 2, scène 8, LA BARONNE)
Eh bien ! Monsieur, que pensez-vous du style ? v.798 (Acte 2, scène 8, LA BARONNE)
Madame votre mère, entendez-vous ? v.807 (Acte 2, scène 9, GERMON)
Ce qu'elle écrit ; vous viendrez me le rendre. v.814 (Acte 2, scène 9, LE COMTE)
Si vous saviez à quel point sa personne v.817 (Acte 2, scène 9, GERMON)
Obéissez, ou je vous chasse. v.819 (Acte 2, scène 9, LE COMTE)
Vous devenez un homme raisonnable. v.821 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
Mais vous, de vos serments v.835 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
Souvenez-vous. v.836 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
Fort bien, je vous entends ; v.836 (Acte 2, scène 10, LE COMTE)
Vous savez bien... que j'attendais ma mère. v.842 (Acte 2, scène 10, LE COMTE)
Vous m'avez prévenu ; v.844 (Acte 2, scène 11, LE COMTE)
Mais vous extravaguez, mon très cher fils. v.847 (Acte 2, scène 11, LA MARQUISE)
Que vous aviez la tête un peu frappée : v.849 (Acte 2, scène 11, LA MARQUISE)
çà, je voudrais ici vous parler seule. v.853 (Acte 2, scène 11, LA MARQUISE)
Madame, il faut vous laisser le plaisir v.855 (Acte 2, scène 11, LA BARONNE)
Vous faites donc à la fin votre compte v.858 (Acte 2, scène 12, LA MARQUISE)
Qu'elle devait, monsieur, vous envoyer. v.888 (Acte 2, scène 13, GERMON)
Hem ! De qui parlez-vous ? v.900 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Vous la chassez ? Je n'entends point cela. v.903 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
C'est moi, mon fils, qui vous donnai Nanine. v.906 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Mais j'eus toujours chez vous peu de crédit : v.912 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Vous prétendez tout faire à votre tête. v.913 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Qu'il ne saurait communiquer qu'à vous ; v.919 (Acte 2, scène 13, GERMON)
Ah ! Vous avez du chagrin, je le crois ; v.923 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Vous m'en donnez aussi beaucoup à moi. v.924 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Qui me déplaît ! Non, vous n'êtes pas sage. v.926 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Que vous serez l'un de l'autre lassés. v.928 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Je vous prédis la pareille aventure v.929 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Et vous pourrez tirer un grand profit v.951 (Acte 2, scène 13, LA MARQUISE)
Nous pleurons tous en vous voyant sortir. v.953 (Acte 3, scène 1, GERMON)
De son pouvoir, et vous fait cet outrage : v.963 (Acte 3, scène 1, GERMON)
En cet état qu'allez-vous devenir ? v.969 (Acte 3, scène 1, GERMON)
Vous lui direz que je le remercie v.975 (Acte 3, scène 1, NANINE)
Vous me fendez le coeur, et tout à l'heure v.979 (Acte 3, scène 1, GERMON)
Je quitterais pour vous cette demeure ; v.980 (Acte 3, scène 1, GERMON)
J'irais partout avec vous m'établir : v.981 (Acte 3, scène 1, GERMON)
Qu'il est heureux ! Avec vous il va vivre : v.983 (Acte 3, scène 1, GERMON)
Chacun voudrait l'imiter, et vous suivre. v.984 (Acte 3, scène 1, GERMON)
Nous vous perdons... et monsieur se marie. v.988 (Acte 3, scène 1, GERMON)
Fort bien ; je vais vous obéir. v.1014 (Acte 3, scène 2, GERMON)
Eh ! Oui, vous dis-je. v.1016 (Acte 3, scène 2, GERMON)
Que vous êtes son maître ; v.1024 (Acte 3, scène 2, GERMON)
Que vous avez des vertus, des bontés... v.1025 (Acte 3, scène 2, GERMON)
Le jeune Hombert, dites-vous ? v.1034 (Acte 3, scène 2, GERMON)
Or çà, mon fils, vous épousez madame ? v.1055 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
Si vous le trouvez bon : v.1057 (Acte 3, scène 4, LA BARONNE)
Vous retirer ! Eh ! Ma mère, pourquoi ? v.1061 (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
Vous la chassez, et moi, je la marie ; v.1063 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
Le mal n'est pas si grand que vous le faites. v.1084 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
Moi, vous conter ? v.1087 (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
Vous avez bien la mine v.1087 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
Et vous pourriez... v.1089 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
Et vous aurez demain tout l'équipage. v.1092 (Acte 3, scène 5, MARIN)
Oui, tout ce que pour vous v.1093 (Acte 3, scène 5, MARIN)
Six beaux chevaux : et vous serez contente v.1095 (Acte 3, scène 5, MARIN)
Et vous verrez des étoffes nouvelles v.1099 (Acte 3, scène 5, MARIN)
Vous avez donc commandé tout cela ? v.1101 (Acte 3, scène 5, LA BARONNE)
Depuis longtemps il voudrait vous parler. v.1113 (Acte 3, scène 5, MARIN)
Je vous ai dit cent fois dans votre enfance v.1119 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Pardon, ma mère : il a fallu vous rendre v.1127 (Acte 3, scène 5, LE COMTE)
Approchez-vous, parlez, ne tremblez pas. v.1130 (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Je viens vous rendre... v.1133 (Acte 3, scène 6, LE PAYSAN)
Ami, relevez-vous : v.1133 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Vous avez l'air d'être un homme estimable. v.1136 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Dans ma maison cherchez-vous de l'emploi ? v.1137 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Vous ? v.1140 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Qu'a ce métier, s'il vous plaît, de honteux ? v.1158 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
çà, vous avez vu beaucoup de combats ; v.1165 (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Permettez-moi seulement de vous dire v.1168 (Acte 3, scène 6, LE PAYSAN)
Vous êtes donc né de condition ? v.1173 (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Que vouliez-vous de mieux ? v.1177 (Acte 3, scène 6, LE PAYSAN)
Vous, vos bontés, votre soin paternel, v.1182 (Acte 3, scène 6, LE PAYSAN)
Je suis venu soudain pour vous les rendre : v.1195 (Acte 3, scène 6, LE PAYSAN)
Ils sont à vous ; vous devez les reprendre, v.1196 (Acte 3, scène 6, LE PAYSAN)
C'est donc à vous qu'on a fait le message ? v.1204 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Quoi ! C'est à vous que le présent s'adresse ? v.1207 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Si vous saviez combien je suis coupable ! v.1215 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Vous devriez être sa protectrice. v.1219 (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Vous n'êtes pas, ma bru, si bienfaisante ; v.1227 (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Voyez, monsieur, ce que vous voulez faire. v.1231 (Acte 3, scène 6, LA BARONNE)
Entendez-vous ? v.1236 (Acte 3, scène 6, LA BARONNE)
Vous hésitez ? v.1238 (Acte 3, scène 6, LA BARONNE)
Vous la devez à tous les deux, je pense. v.1240 (Acte 3, scène 6, LA BARONNE)
Seriez-vous bien assez cruel, mon fils ? v.1241 (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Quel parti prendrez-vous ? v.1242 (Acte 3, scène 6, LA BARONNE)
Vous connaissez mon âme et sa franchise : v.1243 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Il faut parler. Ma main vous fut promise ; v.1244 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Que l'intérêt encor vous en revienne : v.1251 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Tout est à vous ; jouissez-en sans peine. v.1252 (Acte 3, scène 6, LE COMTE)
Quoi donc ? Quel titre ? Et que voulez-vous dire ? v.1275 (Acte 3, scène 7, LA MARQUISE)
Son seul aspect devrait vous en instruire. v.1276 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
Vous réparez quarante ans de malheur. v.1282 (Acte 3, scène 8, PHILIPPE HOMBERT)
Eh bien ! Parlez : auriez-vous la bonté v.1289 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
Que me demandez-vous ? Ah ! Je m'étonne v.1291 (Acte 3, scène 8, NANINE)
Que vous doutiez si mon coeur vous pardonne. v.1292 (Acte 3, scène 8, NANINE)
Je n'ai pas cru que vous pussiez jamais v.1293 (Acte 3, scène 8, NANINE)
Si vous avez oublié cet outrage, v.1295 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
J'ose y compter. Oui, je vous avertis v.1301 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
Je vous ai vue aux genoux de ma mère ; v.1303 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
Je vous ai vue embrasser votre père ; v.1304 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
Ce qui vous reste en des moments si doux... v.1305 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
Le daignez-vous permettre ? v.1308 (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
Que jusque-là vous prétendiez descendre. v.1312 (Acte 3, scène 8, PHILIPPE HOMBERT)
Opposez-vous à sa flamme... à la mienne ; v.1323 (Acte 3, scène 8, NANINE)
Voilà de vous ce qu'il faut que j'obtienne. v.1324 (Acte 3, scène 8, NANINE)
Puis-je jamais vous appeler ma mère ? v.1328 (Acte 3, scène 8, NANINE)

LE BRUTUS (1731)

Destructeurs des tyrans, vous qui n'avez pour rois v.1 (Acte 1, scène 1, BRUTUS)
Aujourd'hui, devant vous abaissant sa hauteur, v.9 (Acte 1, scène 1, BRUTUS)
Il attend dans ce temple, et c'est à vous de voir v.13 (Acte 1, scène 1, BRUTUS)
Ce nom d'ambassadeur a paru vous frapper ; v.29 (Acte 1, scène 1, VALÉRIUS)
Il la verra dans vous : vous êtes ses remparts. v.54 (Acte 1, scène 1, BRUTUS)
Rome et vous l'ordonnez : à regret j'y souscris. v.58 (Acte 1, scène 1, VALÉRIUS)
C'est sur vous seul ici que nos yeux sont ouverts ; v.61 (Acte 1, scène 1, VAL?RIUS)
C'est vous qui le premier avez rompu nos fers : v.62 (Acte 1, scène 1, VAL?RIUS)
Consuls, et vous, sénat, qu'il m'est doux d'être admis v.65 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Vous voyez quel orage éclate autour de vous ; v.85 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Porsenna l'est des rois que vous persécutez. v.93 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Mais vous, du nom romain vengeurs si redoutés, v.94 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Vous, des droits des mortels éclairés interprètes, v.95 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Vous, qui jugez les rois, regardez où vous êtes. v.96 (Acte 1, scène 2, ARONS)
J'ai vu chacun de vous, brûlant d'un autre zèle, v.99 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Qui peut de vos serments vous dégager ? v.104 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Et puisqu'il vous souvient d'avoir vu dans ces lieux v.109 (Acte 1, scène 2, BRUTUS)
Est-ce à vous de prétendre au droit de le punir ? v.121 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Vous, nés tous ses sujets ; vous, faits pour obéir ! v.122 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Vous pouvez raffermir, par un accord heureux, v.133 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Chez les Toscans, chez vous, elle a choisi ses rois ; v.150 (Acte 1, scène 2, BRUTUS)
Et moi, sur cet autel qu'ainsi vous profanez, v.173 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Je jure au nom du roi que vous abandonnez, v.174 (Acte 1, scène 2, ARONS)
À vous, à vos enfants, une guerre immortelle. v.176 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Sénateurs, arrêtez, ne vous séparez pas ; v.177 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Et donnez-vous des fers à ses royales mains v.181 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Sont-ils votre conquête, ou vous sont-ils donnés ? v.185 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Est-ce pour les ravir que vous le détrônez ? v.186 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Sénat, si vous l'osez, que Brutus les dénie. v.187 (Acte 1, scène 2, ARONS)
Vous connaissez bien mal et Rome et son génie. v.188 (Acte 1, scène 2, BRUTUS)
Au-dessus des trésors, que sans peine ils vous cèdent, v.191 (Acte 1, scène 2, BRUTUS)
Rome vous donne un jour ; ce temps doit vous suffire : v.208 (Acte 1, scène 2, BRUTUS)
Voilà ce que par moi le sénat vous annonce. v.211 (Acte 1, scène 2, BRUTUS)
Ce que vous avez vu dans le sénat romain. v.214 (Acte 1, scène 2, BRUTUS)
Mon sang, digne de vous, vous servir d'âge en âge ! v.220 (Acte 1, scène 2, BRUTUS)
Mais, je vous l'ai mandé, seigneur, j'ai des amis v.281 (Acte 1, scène 4, MESSALA)
Tout leur sang est à vous : mais ne prétendez pas v.289 (Acte 1, scène 4, MESSALA)
Mais vous m'aviez écrit que l'orgueilleux Titus... v.309 (Acte 1, scène 4, ARONS)
Ne nous rebutons pas. Préparez-vous, Albin, v.337 (Acte 1, scène 4, ARONS)
À vous rendre sur l'heure aux tentes de Tarquin. v.338 (Acte 1, scène 4, ARONS)
Quoi ! vous dont la douleur v.347 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Comment avez-vous pu dévorer si longtemps v.351 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
De vos feux devant moi vous étouffiez la flamme. v.353 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Éteignait-elle en vous de si chers sentiments ? v.355 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Le haïssez-vous plus que vous n'aimez Tullie ? v.357 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Et de quels sentiments auriez-vous à rougir ? v.372 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Puis-je ici vous parler, mais avec confiance ? v.397 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Non ; s'il vous faut rougir, rougissez en ce jour v.403 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Je vous verrais languir victime de l'État, v.407 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Et sans ce fier sénat, sans la guerre, sans vous... v.420 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Pardonnez : vous savez quel est son héritage ; v.421 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Je m'emporte, Seigneur ; mais si pour vous servir, v.423 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Si pour vous rendre heureux il ne faut que périr ; v.424 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Vous voyez des Toscans venir l'ambassadeur ; v.431 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Cet honneur qu'il vous rend... v.432 (Acte 2, scène 1, MESSALA)
Ah ! que vous étiez digne et d'un prix plus auguste, v.441 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Il est, il est des rois, j'ose ici vous le dire, v.445 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Sans craindre ces vertus qu'ils admirent en vous, v.447 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Je vous plains de servir sous ce maître farouche, v.449 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Devrait prendre de vous les ordres qu'il vous donne. v.454 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Et nous ne connaissons que vous pour ennemis. v.468 (Acte 2, scène 2, TITUS)
Ne vous flattez-vous point d'un charme imaginaire ? v.477 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Seigneur, ainsi qu'à vous la liberté m'est chère : v.478 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Vous vous perdez pour elle, et n'en jouissez pas. v.480 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Le sénat vous opprime, et le peuple vous brave ; v.485 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Ou hait votre grandeur, ou marche égal à vous. v.488 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Vous ne servez qu'un maître, et le reste vous sert. v.500 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Des faveurs de Tarquin vous goûteriez les charmes ! v.506 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Je vous l'ai déjà dit, il vous aimait, seigneur ; v.507 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Il aurait avec vous partagé sa grandeur : v.508 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Je la ramène au roi que vous abandonnez ; v.524 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Elle va, loin de vous et loin de sa patrie, v.525 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Vous cependant ici servez votre sénat, v.527 (Acte 2, scène 2, ARONS)
Vous pourriez être heureux ; v.543 (Acte 2, scène 3, MESSALA)
Vous gémissez pourtant ! v.553 (Acte 2, scène 3, MESSALA)
Vous l'achetez trop cher. v.554 (Acte 2, scène 3, MESSALA)
Arrêtez, Messala ; j'ai deux mots à vous dire. v.558 (Acte 2, scène 4, BRUTUS)
A vous. Un funeste poison v.559 (Acte 2, scène 4, BRUTUS)
Et vous serez content de mon obéissance. v.574 (Acte 2, scène 4, MESSALA)
Ce n'est pas tout : mon fils avec vous est lié ; v.575 (Acte 2, scène 4, BRUTUS)
Plus il se fie à vous, plus je dois espérer v.579 (Acte 2, scène 4, BRUTUS)
Vous ne voudrez jamais, abusant de son âge, v.581 (Acte 2, scène 4, BRUTUS)
Il sait vous imiter, servir Rome, et lui plaire ; v.585 (Acte 2, scène 4, MESSALA)
Si vous aimez mon fils, je me plais à le croire, v.605 (Acte 2, scène 4, BRUTUS)
Vous m'avez bien servi par tant de diligence. v.628 (Acte 3, scène 1, ARONS)
Avez-vous dans le camp réglé l'heure fatale ? v.631 (Acte 3, scène 1, ARONS)
Il vous doit, a-t-il dit, plus qu'à Porsenna même. v.640 (Acte 3, scène 1, ALBIN)
Eh bien ! qu'avez-vous fait ? v.650 (Acte 3, scène 2, ARONS)
Avez-vous de Titus fléchi le fier courage ? v.651 (Acte 3, scène 2, ARONS)
Dans le parti des rois pensez-vous qu'il s'engage ? v.652 (Acte 3, scène 2, ARONS)
Je vous l'avais prédit ; l'inflexible Titus v.653 (Acte 3, scène 2, MESSALA)
J'ai trouvé moins d'obstacle à vous donner son frère, v.668 (Acte 3, scène 2, MESSALA)
Quoi ! vous auriez déjà gagné Tibérinus ? v.670 (Acte 3, scène 2, ARONS)
Il est à vous, seigneur, et cherche à vous parler. v.690 (Acte 3, scène 2, MESSALA)
Mais je vous tromperais, si j'osais vous promettre v.715 (Acte 3, scène 2, MESSALA)
Vous, songez que Tarquin vous a donné la vie ; v.735 (Acte 3, scène 3, TULLIE)
Songez que mon destin va dépendre de vous. v.736 (Acte 3, scène 3, TULLIE)
Vous pourriez refuser le roi de Ligurie ; v.737 (Acte 3, scène 3, TULLIE)
Si Titus vous est cher, il sera votre époux. v.738 (Acte 3, scène 3, TULLIE)
Écouter mon devoir, me taire, et vous servir ; v.746 (Acte 3, scène 3, ARONS)
Des secrets qu'en mon sein vous craignez de répandre. v.748 (Acte 3, scène 3, ARONS)
Vers le voile sacré que vous jetez sur eux ; v.750 (Acte 3, scène 3, ARONS)
Mon devoir seulement m'ordonne de vous dire v.751 (Acte 3, scène 3, ARONS)
Que le ciel veut par vous relever cet empire, v.752 (Acte 3, scène 3, ARONS)
Mais puisqu'il vous connaît, il vous doit adorer. v.762 (Acte 3, scène 3, ARONS)
Présenté par vos mains, embelli par vous-même ? v.764 (Acte 3, scène 3, ARONS)
Parlez-lui seulement, vous pourrez tout sur lui ; v.765 (Acte 3, scène 3, ARONS)
Qu'il est ambitieux, et qu'il brûle pour vous. v.782 (Acte 3, scène 4, ALGINE)
Madame, est-il bien vrai ? daignez-vous voir encore v.799 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Si justement haï, si coupable envers vous, v.801 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Eh ! pouvez-vous douter de ce fatal pouvoir, v.805 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Vous ne l'avez que trop cet empire funeste ; v.807 (Acte 3, scène 5, TITUS)
L'amour vous a soumis mes jours, que je déteste v.808 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Le mien dépend de vous. v.810 (Acte 3, scène 5, TULLIE)
De moi ! Titus tremblant ne vous en croit qu'à peine ; v.811 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Lisez, rendez heureux, vous, Tullie, et mon père. v.815 (Acte 3, scène 5, TULLIE)
Je puis vous posséder, je vous aime, et vous perds. v.823 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Vous, Titus ? v.824 (Acte 3, scène 5, TULLIE)
A trahir Rome ou vous ; et je n'ai désormais v.826 (Acte 3, scène 5, TITUS)
D'être digne de vous, v.847 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Brûlant d'amour pour vous, de combattre pour elle ; v.849 (Acte 3, scène 5, TITUS)
De vous perdre, madame, et de vous mériter. v.851 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Moins malheureux cent fois quand vous l'avez haï. v.855 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Pardonnez, je ne puis vous quitter ni vous suivre : v.856 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Ni pour vous, ni sans vous, Titus ne saurait vivre ; v.857 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Eh bien ! si vous m'aimez, ayez l'âme romaine, v.860 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Je sais... que je vous aime... et ne me connais plus. v.871 (Acte 3, scène 5, TITUS)
Rome n'a pu vous rendre a vos dieux domestiques ; v.881 (Acte 3, scène 6, BRUTUS)
Tarquin même en ce temps, prompt à vous oublier, v.882 (Acte 3, scène 6, BRUTUS)
Je vous privai d'un père, et dus vous en servir. v.887 (Acte 3, scène 6, BRUTUS)
Allez, et que du trône, où le ciel vous appelle, v.888 (Acte 3, scène 6, BRUTUS)
Pour qu'on vous obéisse, obéissez aux lois ; v.890 (Acte 3, scène 6, BRUTUS)
Souvenez-vous de Rome, et songez à Tarquin : v.895 (Acte 3, scène 6, BRUTUS)
Le sénat vous la rend, Seigneur ; et c'est a vous v.898 (Acte 3, scène 6, BRUTUS)
Proculus va vous suivre a la porte Sacrée. v.900 (Acte 3, scène 6, BRUTUS)
Pourrai-je vous parler ? v.904 (Acte 3, scène 6, TITUS)
Un cour tel que le sien méritait d'être à vous. v.914 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
Tyrans que j'ai vaincus, je pourrais vous servir ! v.918 (Acte 3, scène 7, TITUS)
Peuples que j'ai sauvés, je pourrais vous trahir ! v.919 (Acte 3, scène 7, TITUS)
Vous eûtes les vertus d'un citoyen romain ; v.927 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
Il ne tiendra qu'a vous d'avoir celles d'un maître : v.928 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
Seigneur, vous serez roi dès que vous voudrez l'être. v.929 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
S'il n'eût vaincu par vous, il n'était qu'un rebelle. v.937 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
Rome va les aimer, si vous régnez sur elle. v.945 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
Messala, songez-vous que vous parlez à moi ? v.951 (Acte 3, scène 7, TITUS)
Que désormais en vous je ne vois plus qu'un traître, v.952 (Acte 3, scène 7, TITUS)
Et qu'en vous épargnant je commence de l'être ? v.953 (Acte 3, scène 7, TITUS)
Eh bien ! Apprenez donc que l'on va vous ravir v.954 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
L'inestimable honneur dont vous n'osez jouir ; v.955 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
Qu'un autre accomplira ce que vous pouviez faire. v.956 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
Et Tarquin, malgré vous, n'acceptera pour gendre v.960 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
A méconnu l'abîme où vous m'avez conduit. v.963 (Acte 3, scène 7, TITUS)
Vous pensez me réduire au malheur nécessaire v.964 (Acte 3, scène 7, TITUS)
Vous pouvez m'en punir ; v.966 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
Frappez, je le mérite en voulant vous servir. v.967 (Acte 3, scène 7, MESSALA)
L'ambassadeur toscan peut maintenant vous voir ; v.975 (Acte 3, scène 8, ALBIN)
C'est donc à vous, sénat, que tant d'amour s'immole ? v.980 (Acte 3, scène 8, TITUS)
A vous, ingrats !... Allons... Tu vois ce Capitole v.981 (Acte 3, scène 8, TITUS)
Que vous-même, seigneur, vous m'aviez demandée. v.1003 (Acte 4, scène 1, ARONS)
Hélas ! Que pour vous deux v.1004 (Acte 4, scène 1, ARONS)
Ah ! Cruel que vous êtes ; v.1007 (Acte 4, scène 1, TITUS)
Vous avez vu ma honte et mon abaissement ; v.1008 (Acte 4, scène 1, TITUS)
Vous avez vu Titus balancer un moment. v.1009 (Acte 4, scène 1, TITUS)
Que le fils de Brutus a pleuré devant vous. v.1013 (Acte 4, scène 1, TITUS)
Malgré vous et Tullie, et ses pleurs et ses charmes, v.1015 (Acte 4, scène 1, TITUS)
Loin de vous accabler, avec vous je soupire : v.1022 (Acte 4, scène 1, ARONS)
Elle en mourra, c'est tout ce que je peux vous dire. v.1023 (Acte 4, scène 1, ARONS)
Vous voulez... v.1027 (Acte 4, scène 2, MESSALA)
Dans quels soins votre amour vous engage ! v.1035 (Acte 4, scène 2, MESSALA)
Et que prétendez-vous par ce coup dangereux, v.1036 (Acte 4, scène 2, MESSALA)
Il faut, pour vous servir... v.1043 (Acte 4, scène 2, MESSALA)
On vous attend, madame. v.1047 (Acte 4, scène 3, ALGINE)
Je n'ai plus de raison, vous me l'avez ravie. v.1054 (Acte 4, scène 3, TITUS)
Dictez, si vous l'osez, les crimes de Titus. v.1057 (Acte 4, scène 3, TITUS)
Non, madame, il faut vous satisfaire : v.1103 (Acte 4, scène 3, TITUS)
Je le veux, j'en frémis ; et j'y cours pour vous plaire ; v.1104 (Acte 4, scène 3, TITUS)
Que vous m'avez vaincu sans pouvoir m'aveugler ; v.1110 (Acte 4, scène 3, TITUS)
Qui meurt d'amour pour vous, et déteste ses feux ; v.1114 (Acte 4, scène 3, TITUS)
Qui va s'unir à vous sous ces affreux augures, v.1115 (Acte 4, scène 3, TITUS)
Vous insultez, Titus, à ma funeste ardeur ; v.1117 (Acte 4, scène 3, TULLIE)
Vous sentez à quel point vous régnez dans mon cour. v.1118 (Acte 4, scène 3, TULLIE)
Vous ne périrez point. Je vais... v.1131 (Acte 4, scène 3, TITUS)
De reconnaître en vous l'héritier de leur roi. v.1146 (Acte 4, scène 5, MESSALA)
Vous pourriez refuser l'honneur qu'on vous prépare ? v.1164 (Acte 4, scène 6, BRUTUS)
Vous avez sauvé Rome, et n'êtes pas heureux ? v.1169 (Acte 4, scène 6, BRUTUS)
Vous, allez vers mon fils ; qu'à cette heure fatale v.1219 (Acte 4, scène 8, BRUTUS)
Enfin, le croirez-vous ? Rome avait des enfants v.1229 (Acte 5, scène 1, BRUTUS)
Devant vous à l'instant allait être conduit ; v.1238 (Acte 5, scène 1, BRUTUS)
Et qu'à vous, sénateurs, il destinait peut-être : v.1243 (Acte 5, scène 1, BRUTUS)
Voulez-vous profaner tous les droits des humains ? v.1270 (Acte 5, scène 2, ARONS)
Pensez-vous abaisser les rois dans leurs ministres ? v.1272 (Acte 5, scène 2, ARONS)
Vous frémissez. v.1305 (Acte 5, scène 3, BRUTUS)
Songez que vous êtes Brutus. v.1305 (Acte 5, scène 3, VALÉRIUS)
Expliquez-vous... v.1306 (Acte 5, scène 3, BRUTUS)
Je tremble à vous en dire plus. v.1306 (Acte 5, scène 3, VALÉRIUS)
Me trompez-vous, mes yeux ? Ô jours abominables ! v.1308 (Acte 5, scène 3, BRUTUS)
Mais il reste à vous dire un malheur plus affreux, v.1314 (Acte 5, scène 3, VALÉRIUS)
Pour vous, pour Rome entière, et pour moi plus sensible. v.1315 (Acte 5, scène 3, VAL?RIUS)
Je ne vous suivrai point, de peur que ma présence v.1327 (Acte 5, scène 3, BRUTUS)
C'est vous qui par mes mains fondiez sur la justice v.1331 (Acte 5, scène 4, BRUTUS)
Voulez-vous renverser ses sacrés fondements ? v.1333 (Acte 5, scène 4, BRUTUS)
Et contre votre ouvrage armez-vous mes enfants ? v.1334 (Acte 5, scène 4, BRUTUS)
Est que sur votre fils vous prononciez vous-même. v.1344 (Acte 5, scène 5, VALÉRIUS)
Vous seul. v.1345 (Acte 5, scène 5, VALÉRIUS)
C'est à vous à juger de son crime. v.1367 (Acte 5, scène 5, VALÉRIUS)
Mon esprit étonné vous plaint et vous admire ; v.1372 (Acte 5, scène 5, VALÉRIUS)
De vos fils c'est le seul qui vous reste. v.1383 (Acte 5, scène 6, PROCULUS)
Le sénat indulgent vous remet ses destins : v.1385 (Acte 5, scène 6, PROCULUS)
Vous saurez à l'État conserver ce grand homme. v.1387 (Acte 5, scène 6, PROCULUS)
Vous êtes père enfin. v.1388 (Acte 5, scène 6, PROCULUS)
Non, vous n'en avez plus. v.1394 (Acte 5, scène 7, TITUS)
Prononcez mon arrêt. Rome, qui vous contemple, v.1407 (Acte 5, scène 7, TITUS)
C'est trop vous offenser par cet aveu honteux, v.1425 (Acte 5, scène 7, TITUS)
Si je vous imitai, si j'aimai ma patrie, v.1431 (Acte 5, scène 7, TITUS)
Eut un regard de vous pour prix de ses remords, v.1438 (Acte 5, scène 7, TITUS)
Que vous l'aimiez encore, et que, malgré son crime, v.1439 (Acte 5, scène 7, TITUS)
En frémissant du coup qui doit vous accabler... v.1453 (Acte 5, scène 8, PROCULUS)
Vous connaissez Brutus, et l'osez consoler ! v.1454 (Acte 5, scène 8, BRUTUS)

TANIS ET ZÉLIDE (1733)

Oubliez-vous Phanor ? v.9 (Acte 1, scène 1, PANOPE)
Ah ! Que vous le voyez avec indifférence ! v.11 (Acte 1, scène 1, PANOPE)
Il a conduit vos pas : il vous aime ; il espère v.17 (Acte 1, scène 1, PANOPE)
Vous mériter par ses exploits. v.18 (Acte 1, scène 1, PANOPE)
Votre trône est tombé ; vous n'avez plus d'amis. v.28 (Acte 1, scène 1, PANOPE)
Vous qui bravez la mort, vous qui bravez les fers v.53 (Acte 1, scène 2, ZÉLIDE)
Comment avez-vous pu, dans ce bois enchanté, v.57 (Acte 1, scène 2, Z?LIDE)
Comment avez-vous pu vivre toujours sans maître v.60 (Acte 1, scène 2, Z?LIDE)
Mais Tanis parmi vous a-t-il quelque puissance ? v.67 (Acte 1, scène 2, ZÉLIDE)
Qu'iriez-vous faire, hélas ! aux remparts de Memphis ? v.74 (Acte 1, scène 3, TANIS)
Quel sort y pouvez-vous attendre ? v.75 (Acte 1, scène 3, TANIS)
Nos campagnes, nos bois, et nos coeurs sont a vous. v.76 (Acte 1, scène 3, TANIS)
Mais vous changez nos lois dès que vous paraissez. v.87 (Acte 1, scène 3, TANIS)
Au bout de l'univers je suis prêt à vous suivre. v.88 (Acte 1, scène 3, TANIS)
C'était peu de vous secourir ; v.89 (Acte 1, scène 3, TANIS)
C'est pour vous qu'il est doux de vivre, v.90 (Acte 1, scène 3, TANIS)
Et c'est en vous vengeant qu'il est doux de mourir. v.91 (Acte 1, scène 3, TANIS)
C'est à vous de me seconder ; v.93 (Acte 1, scène 4, PHANOR)
Tanis, et vous, bergers, allez, allez défendre v.94 (Acte 1, scène 4, PHANOR)
Vous nous avez vus dans ces lieux v.97 (Acte 1, scène 4, TANIS)
Délivrer la princesse, et vous sauver vous-même ; v.98 (Acte 1, scène 4, TANIS)
Arrêtez : quel transport à mes yeux vous divise ? v.108 (Acte 1, scène 4, ZÉLIDE)
Ma fortune vous est soumise v.109 (Acte 1, scène 4, Z?LIDE)
Tout est perdu pour moi si vous n'êtes unis. v.110 (Acte 1, scène 4, Z?LIDE)
Dont vous l'honorez à mes yeux : v.113 (Acte 1, scène 5, PHANOR)
Il combat pour vous-même ; est-ce à vous de vous plaindre ? v.117 (Acte 1, scène 5, ZÉLIDE)
Vous deviez plus d'égards aux exploits de Tanis. v.118 (Acte 1, scène 5, Z?LIDE)
Élevez jusqu'à vous un barbare, un pasteur. v.123 (Acte 1, scène 5, PHANOR)
Osez-vous ?... v.124 (Acte 1, scène 5, ZÉLIDE)
Oui, vous encouragez sa téméraire ardeur. v.125 (Acte 1, scène 5, PHANOR)
Pourquoi soupçonnez-vous que je puisse descendre v.128 (Acte 1, scène 5, ZÉLIDE)
Pouvez-vous à ce point outrager mon courage ? v.134 (Acte 1, scène 5, PHANOR)
Si l'égaler à vous c'est vous faire un outrage, v.135 (Acte 1, scène 5, ZÉLIDE)
Vous seule causez mes alarmes ; v.141 (Acte 1, scène 5, PHANOR)
Je n'ai point d'ennemis plus funestes que vous. v.142 (Acte 1, scène 5, PHANOR)
Pourquoi ne régnez-vous qu'en ces heureux bocages ? v.165 (Acte 2, scène 1, LE PRÊTRE D'ISIS)
Ne punirez-vous point ces implacables mages, v.166 (Acte 2, scène 1, LE PR?TRE D'ISIS)
Quels autres biens demandez-vous aux dieux ? v.173 (Acte 2, scène 1, LE CHOEUR DES BERGERS)
Vous n'êtes pas si fidèles. v.183 (Acte 2, scène 1, BERGERE)
Quoi ! vous ne suivez point leurs pas ? v.196 (Acte 2, scène 2, CLEOFIS)
Redoutez-vous Phanor ? v.200 (Acte 2, scène 2, CLEOFIS)
Osiris vous protège, il a conduit vos pas : v.216 (Acte 2, scène 2, CLEOFIS)
C'est lui qui vous rend invincible ; v.217 (Acte 2, scène 2, CLEOFIS)
Il vous avertissait, il ne menaçait pas. v.218 (Acte 2, scène 2, CLEOFIS)
Peut-on vous déplaire en l'aimant ? v.234 (Acte 2, scène 4, TANIS)
Princesse, dans mes yeux vous lisez mon offense ; v.235 (Acte 2, scène 5, TANIS)
Mon crime éclate devant vous. v.236 (Acte 2, scène 5, TANIS)
Je vois en vous mon défenseur. v.240 (Acte 2, scène 5, ZÉLIDE)
Je sens que le mien vous pardonne. v.242 (Acte 2, scène 5, Z?LIDE)
Un berger vous adore, et vous lui pardonnez ! v.243 (Acte 2, scène 5, TANIS)
Ah ! je tremblais à vous le dire : v.244 (Acte 2, scène 5, TANIS)
Depuis le jour que je vous vois, v.249 (Acte 2, scène 5, TANIS)
Vous voir, vous adorer, vous plaire, v.257 (Acte 2, scène 5, TANIS)
Mais quand vous m'êtes propice, v.259 (Acte 2, scène 5, TANIS)
Pensait toujours comme vous. v.262 (Acte 2, scène 5, TANIS)
Non, je ne puis douter que le ciel ne vous aime. v.263 (Acte 2, scène 5, ZÉLIDE)
Vous punir ? Vous, Tanis ! Quelle horrible injustice ! v.266 (Acte 2, scène 5, ZÉLIDE)
Comme vous l'êtes dans les cieux. v.278 (Acte 2, scène 5, TANIS_ZELIDE)
J'avais tout fait pour vous : l'amour m'en a puni : v.281 (Acte 2, scène 6, PHANOR)
Sous les lois d'un pasteur un vil amour vous range ! v.282 (Acte 2, scène 6, PHANOR)
Ah ! si vous ne craignez, dans vos indignes fers, v.283 (Acte 2, scène 6, PHANOR)
Vous venger ! et de qui ? v.286 (Acte 2, scène 6, TANIS)
Je ne crains l'univers ni vous. v.287 (Acte 2, scène 6, ZÉLIDE)
Prétendez-vous forcer un coeur v.289 (Acte 2, scène 6, Z?LIDE)
Êtes-vous mon tyran plus que mon défenseur ? v.291 (Acte 2, scène 6, Z?LIDE)
Ah ! Je rougis pour vous de votre aveuglement : v.296 (Acte 2, scène 6, PHANOR)
Vous avez fait du plus fidèle amant v.298 (Acte 2, scène 6, PHANOR)
Ne vous défendra pas de ma rage inflexible ; v.301 (Acte 2, scène 6, PHANOR)
Nous verrons si l'amant dont vous suivez la loi v.302 (Acte 2, scène 6, PHANOR)
Vous pouvez l'éprouver, et dès ce moment même ; v.305 (Acte 2, scène 6, TANIS)
Barbare que vous êtes, v.309 (Acte 2, scène 6, ZÉLIDE)
Vous daignez arrêter ses fureurs indiscrètes, v.311 (Acte 2, scène 6, TANIS)
Qui vous trouble à nos yeux : v.314 (Acte 2, scène 7, BERGERS)
Si vous aimez Tanis, il faut que je périsse : v.319 (Acte 2, scène 7, PHANOR)
Je suis moins barbare que vous. v.320 (Acte 2, scène 7, PHANOR)
Vous allez couronner une ardeur aussi pure v.335 (Acte 3, scène 1, TANIS)
Hâlez-vous d'embellir ce beau jour qui m'éclaire ; v.344 (Acte 3, scène 1, TANIS)
Hâtez-vous de combler mes voeux. v.345 (Acte 3, scène 1, TANIS)
Vous allez couronner une ardeur aussi pure v.348 (Acte 3, scène 1, TANIS)
Ciel ! Quels maux nous annoncez-vous ? v.383 (Acte 3, scène 3, TANIS_CHOEUR)
Grands dieux ! Voilà les maux que vous m'aviez prédits(2) ! v.398 (Acte 3, scène 3, TANIS)
On ne peut vous dompter ; on ose vous trahir. v.404 (Acte 3, scène 3, TANIS)
Je suis l'Amour et vous : tout m'anime, je pars. v.426 (Acte 3, scène 3, TANIS)
Je viens vous demander le prix de mon service ; v.468 (Acte 4, scène 2, PHANOR)
Vous me l'avez promis, et je dois l'espérer. v.469 (Acte 4, scène 2, PHANOR)
Qu'osez-vous demander ? v.474 (Acte 4, scène 2, OROES)
C'est à vous de former cette auguste alliance. v.475 (Acte 4, scène 2, PHANOR)
C'est beaucoup si l'on vous pardonne. v.479 (Acte 4, scène 2, OROES)
Vengez-moi, vengez-vous : prévenez le supplice v.484 (Acte 4, scène 3, PHANOR)
Qu'attendez-vous de leur justice ? v.486 (Acte 4, scène 3, PHANOR)
Que j'emporte au tombeau le bonheur d'être à vous ! v.512 (Acte 4, scène 5, TANIS)
Vous, gardez ces deux criminels ; v.532 (Acte 4, scène 6, OROES)
Vous, marchez, combattez, et vengez les autels. v.533 (Acte 4, scène 6, OROES)
Phanor combat pour vous, et je suis dans les chaînes ! v.535 (Acte 4, scène 7, TANIS)
Je n'ai pour vous que des voeux impuissants. v.537 (Acte 4, scène 7, TANIS)
Entendez-vous les cris des combattants ? v.540 (Acte 4, scène 7, ZÉLIDE)
Ces dieux de l'innocence arment pour vous leurs bras. v.548 (Acte 4, scène 7, TANIS)
Délivrez l'innocent qui n'espère qu'en vous ; v.558 (Acte 4, scène 7, TANIS_ZELIDE)
Le barbare qui vous outrage. v.560 (Acte 4, scène 7, TANIS, ZELIDE)
On vous redoute encore, on nous sépare, hélas ! v.561 (Acte 4, scène 7, ZÉLIDE)
Il méritait la mort ; il vous avait trahie. v.571 (Acte 5, scène 1, TANIS)
Vous êtes seul et désarmé, v.572 (Acte 5, scène 1, ZÉLIDE)
Je vous aime, je suis aimé : v.574 (Acte 5, scène 1, TANIS)
Tanis ! mon cher Tanis ! Sans vous, sans nos amours, v.576 (Acte 5, scène 1, ZÉLIDE)
Nous sommes enchaînés : vous êtes sans secours. v.579 (Acte 5, scène 1, Z?LIDE)
Moi, fuir, quand je puis vous venger ! v.582 (Acte 5, scène 1, TANIS)
Dérobez-vous à ces mages sanglants : v.584 (Acte 5, scène 1, ZÉLIDE)
Ah ! Vous êtes du sang des dieux ! v.589 (Acte 5, scène 1, ZÉLIDE)
Vous savez assez qu'à mes yeux v.590 (Acte 5, scène 1, Z?LIDE)
Vous seul étiez digne d'en être. v.591 (Acte 5, scène 1, Z?LIDE)
Qu'après m'avoir enfin rendu digne de vous. v.594 (Acte 5, scène 1, TANIS)
Vous allez remonter au rang de vos ancêtres ; v.600 (Acte 5, scène 1, TANIS)
Hélas ! je vous aime ; et je crains... v.604 (Acte 5, scène 1, ZÉLIDE)
Peuples, prosternez-vous ; terre entière, adorez v.606 (Acte 5, scène 2, OROES)
Vous osez en douter ! Que la voix du tonnerre v.624 (Acte 5, scène 2, OROES)
Éléments, faites-vous la guerre, v.627 (Acte 5, scène 2, OROES)
Confondez-vous avec horreur ! v.628 (Acte 5, scène 2, OROES)
Du Ténare dont vous sortez ! v.639 (Acte 5, scène 2, TANIS)
Vous, qui venez venger Zélide, v.640 (Acte 5, scène 3, TANIS)

L'INDISCRET (1725)

Je vous donne un conseil, et non pas des leçons ; v.4 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMIE)
C'est mon coeur qui vous parle, et mon expérience v.5 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Fait que ce coeur pour vous se trouble par avance. v.6 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Depuis deux mois au plus vous êtes à la cour : v.7 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Vous ne connaissez pas ce dangereux séjour ; v.8 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Ridicule une fois, on vous le croit toujours ; v.16 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Il faut que vous viviez pour vous moins que pour lui. v.24 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Je vois qu'il vous paraît injuste et ridicule ; v.26 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMIE)
Vous méprisez des soins pour vous bien importants : v.27 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Vous m'en croirez un jour ; il n'en sera plus temps. v.28 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Vous êtes indiscret : ma trop longue indulgence v.29 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Vous avez des talents, de l'esprit et du coeur ; v.32 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Parlez-en rarement, encor moins de vous-même. v.46 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Qu'avez-vous à répondre à cela ? v.52 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Du défaut qui par vous m'est ici reproché, v.56 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Je vous avoue enfin, madame, en confidence v.57 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Qu'avec vous trop longtemps j'ai gardé le silence v.58 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Sur un fait dont pourtant j'aurais dû vous parler : v.59 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Depuis deux jours entiers ; et vous n'en savez rien. v.68 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Plus l'aveu vous en plaît, plus mon coeur est content ; v.71 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Et mon bonheur s'augmente en vous le racontant. v.72 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
En doutez-vous ? v.75 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Songez au vrai bonheur qui vient s'offrir à vous : v.76 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMIE)
Est le meilleur parti qui soit pour vous en France. v.78 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Vous saurez flatter son caractère, v.81 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMIE)
Mais près d'elle, en un mot, quel sort vous a produit ? v.91 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMIE)
De vous adroitement je veux l'entretenir, v.104 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMIE)
Je vous y servirai ; mais n'en parlez qu'à moi. v.108 (Acte 1, scène 1, EUPH?MIE)
Non, il n'est point ailleurs, madame, je vous jure, v.109 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
A vous plaire à jamais je borne tous mes voeux. v.111 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Je venais pour vous dire... v.142 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Mais je ne prétends pas vous réjouir aussi ; v.144 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Vous avez sur les bras une fâcheuse affaire. v.145 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Contre vous en ces lieux déclament hautement : v.147 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Vous avez parlé d'eux un peu légèrement ; v.148 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Vous savez que le sexe assez peu m'intéresse. v.166 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Puis-je vous y servir ? v.171 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Moi d'en avoir trop su, vous d'en avoir trop dit. v.180 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Puisque vous le voulez enfin... v.185 (Acte 1, scène 3, TRASIMON)
Çà, pour vous égayer, pour vous plaire à tous deux, v.204 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Si vous êtes aimé, que votre sort est doux ! v.208 (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
Je voulais le cacher, mais j'aime à vous le dire v.212 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Eh ! pourquoi ne vous point écrire v.213 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Ce que cent fois mes yeux vous ont sans doute appris ? v.214 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Oui, mon cher Damis, je vous aime, v.215 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
A fait ce qu'il a pu pour ne vous point aimer. v.218 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Plus je vous montre ma tendresse, v.221 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Et plus à tous les yeux vous devez la cacher. v.222 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Vous prenez très grand soin d'obéir à la dame, v.223 (Acte 1, scène 6, TRASIMON)
Sans doute, et vous brûlez d'une discrète flamme. v.224 (Acte 1, scène 6, TRASIMON)
Vous trouvez donc la lettre... v.227 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Que vous seriez charmés si vous saviez son nom ! v.229 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Loin de vouloir ici vous forcer de parler... v.233 (Acte 1, scène 6, TRASIMON)
Non, je vous aime trop pour rien dissimuler. v.234 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Je vois que vous pensez, et la cour le publie, v.235 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
On le dit d'après vous, mais nous n'en croyons rien. v.237 (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
Vous m'y forcez ; allons, il faut bien vous l'apprendre : v.247 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Vous oubliez, monsieur, v.253 (Acte 1, scène 6, TRASIMON)
Vous nous la donnez bonne ; v.255 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
J'ai six cousines, moi, que je vous abandonne ; v.256 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Et je vous les verrais lorgner, tromper, quitter, v.257 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Elle n'aime que moi, je vous le dis encore ; v.264 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Et je l'épouserai pour vous faire enrager. v.265 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Et vous n'en serez pas, tout cousin que vous êtes. v.268 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Adieu, monsieur Damis : on peut vous faire voir v.269 (Acte 1, scène 6, TRASIMON)
L'on m'a donné, mon cher, un rendez-vous. v.298 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
Hortense doit vous voir ? v.304 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Hortense, ah ! Que mon coeur vous connaissait bien mal ! v.329 (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
Qui vous l'a dit ? v.332 (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Que jamais près de vous Damis m'aurait perdu ? v.338 (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Croyez-vous me charger d'une facile affaire ? v.355 (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Plutôt qu'un petit-maître allant en rendez-vous. v.362 (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Vous avez en vos mains un sien portrait ? v.366 (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Vous avez un billet que vous écrit la belle ? v.367 (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Mais reposez-vous de tout sur ma prudence. v.375 (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Au premier rendez-vous vous avez du dépit ? v.389 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
Doutez-vous qu'il vous aime ? v.396 (Acte 1, scène 10, NÉRINE)
Il vous rend ce portrait dont il est excédé. v.406 (Acte 1, scène 11, PASQUIN)
Allons, je vous conjure. v.408 (Acte 1, scène 11, PASQUIN)
De plus, il vous supplie v.412 (Acte 1, scène 11, PASQUIN)
Vous voyez, monseigneur, un des grisons secrets v.417 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
J'ai certain billet doux de sa part à vous rendre. v.419 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Hom... hom... « Vous méritez de me charmer. v.421 (Acte 1, scène 12, DAMIS)
Mais je ne saurais vous aimer. » v.423 (Acte 1, scène 12, DAMIS)
Je suis honteux pour vous d'un si cruel mépris. v.432 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Madame, vous voyez de quel air il déchire v.433 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Les billets qu'à l'ingrat vous daignâtes écrire. v.434 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Vous voyez devant vous l'ingrate met en pièces v.437 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Vous méritez, ma foi, d'avoir la préférence ; v.449 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Vous n'avez rien, madame, à désirer de moi ? v.459 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Vous n'avez nul besoin de mon petit emploi ? v.460 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Le ciel vous tienne en paix. v.461 (Acte 1, scène 12, PASQUIN)
Arrêtez. A ce point pouvez-vous me trahir ? v.467 (Acte 1, scène 13, DAMIS)
Laissez-moi m'efforcer, cruel, à vous haïr. v.468 (Acte 1, scène 13, HORTENSE)
Ainsi, du rendez-vous prompts à nous en aller, v.471 (Acte 1, scène 13, DAMIS)
Mais l'indigne billet que de vous j'ai reçu ? v.475 (Acte 1, scène 13, DAMIS)
Mais mon portrait enfin que vous m'avez rendu ? v.476 (Acte 1, scène 13, HORTENSE)
Moi, je vous ai rendu votre portrait, cruelle ? v.477 (Acte 1, scène 13, DAMIS)
Moi ! j'aurais pu jamais vous écrire, infidèle, v.478 (Acte 1, scène 13, HORTENSE)
S'il est vrai qu'aujourd'hui je vous ai renvoyé v.483 (Acte 1, scène 13, DAMIS)
Le voilà : pouvez-vous... v.490 (Acte 1, scène 13, HORTENSE)
Ah ! vous êtes perdu, l'on regarde Damis. v.512 (Acte 1, scène 16, PASQUIN)
Vous m'embarrassez fort. v.521 (Acte 1, scène 17, CLITANDRE)
Et vous, monsieur le traître, v.521 (Acte 1, scène 17, DAMIS)
Vous, le valet d'Hortense, ou qui prétendez l'être, v.522 (Acte 1, scène 17, DAMIS)
Il faut que vous mouriez en ce lieu de ma main. v.523 (Acte 1, scène 17, DAMIS)
Épargnez ce valet, c'est moi qui vous en prie. v.525 (Acte 1, scène 17, CLITANDRE)
Je vous en prie encore, et sérieusement. v.527 (Acte 1, scène 17, CLITANDRE)
Mais je vous apprendrai de surprenants secrets, v.531 (Acte 1, scène 17, PASQUIN)
Si vous me promettez de n'en parler jamais. v.532 (Acte 1, scène 17, PASQUIN)
Allons tous trois au bal, et je vous dirai tout. v.536 (Acte 1, scène 17, PASQUIN)
Mais qu'il vous déshonore, il m'importe, morbleu ! v.544 (Acte 1, scène 18, TRASIMON)
Il vous a promis là bien plus qu'il ne peut faire. v.554 (Acte 1, scène 18, TRASIMON)
Ne vous écartez point, restez près de ce bois ; v.564 (Acte 1, scène 18, HORTENSE)
Tâchez auprès de vous de retenir Clitandre : v.565 (Acte 1, scène 18, HORTENSE)
Je vous appellerai quand il en sera temps. v.567 (Acte 1, scène 18, HORTENSE)
Où toutes les beautés donnent leurs rendez-vous ? v.575 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Ah ! Julie, est-ce vous ? vous qui m'êtes si chère ! v.586 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Je vous connais malgré ce masque trop jaloux, v.587 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Et mon coeur amoureux m'avertit que c'est vous. v.588 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Vous êtes en ces lieux la seule que j'adore. v.593 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Non, de vous mon humeur n'est pas connue encore. v.594 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Si vous aviez un coeur qui n'eût aimé que moi. v.596 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Que de ses rendez-vous le nombre l'incommode, v.598 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Oh ! j'ai sur ce pied-là de quoi vous contenter : v.604 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Eh !... ma foi, vous n'avez qu'à parler, v.611 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Et je suis prêt, Julie, à vous tout immoler. v.612 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Voulez-vous qu'à jamais mon coeur vous sacrifie v.613 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Ah ! si vous aviez pu forcer à vous chérir v.620 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Enfin qui pour vous seul eût eu quelque faiblesse... v.625 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Mais vous m'accuseriez d'être trop indiscret. v.628 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Pourquoi donc à ce nom vous éloigner de moi ? v.631 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Je n'aime point Hortense alors que je vous vois ; v.632 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Elle n'est près de vous ni touchante ni belle : v.633 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Contraignons-nous encore. Écoutez, je vous prie ; v.638 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Comment avec Hortense êtes-vous, s'il vous plaît ? v.639 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Non, je ne vous mens point ; c'est la vérité pure. v.642 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Qu'elle vous ait cédé cette entière victoire. v.646 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Je vous dis que j'en ai la preuve par écrit. v.647 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Vous m'outrez de dépit. v.648 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Tenez donc : vous pouvez connaître l'écriture. v.650 (Acte 1, scène 20, DAMIS)
Il est temps ; Trasimon, Clitandre, montrez-vous. v.655 (Acte 1, scène 20, HORTENSE)
Si je ne vous suis point un objet de courroux, v.656 (Acte 1, scène 21, HORTENSE)
Si vous m'aimez encore, à vos lois asservie, v.657 (Acte 1, scène 21, HORTENSE)
Je vous offre ma main, ma fortune et ma vie. v.658 (Acte 1, scène 21, HORTENSE)
Je vous l'avais bien dit que je la rendrais sage. v.661 (Acte 1, scène 21, TRASIMON)

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LA FÊTE DE BELLÉBAT (1801)

Encore un coup, je vous prie, v.50 (Acte 1, scène 1, UN HABITANT)
L'Amour vous en rendra deux. v.51 (Acte 1, scène 1, UN HABITANT)
Qu'il nous faille aujourd'hui prier Dieu pour vous-même. v.120 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Dont vous auriez été le très digne aumônier, v.129 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous les suivrez bientôt; c'est donc ici, mon frère, v.131 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Qu'il faut que vous songiez à votre grande affaire. v.132 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Si vous aviez été toujours homme de bien , v.133 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Va bon prêtre, un nigaud, je ne vous dirais rien : v.134 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
N'ait pu vous enchanter par son pouvoir aimable ; v.148 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous ayez pu dompter la révolte des sens ; v.150 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous viviez en châtré ; c'est un bonheur extrême : v.151 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Avez-vous bien connu cette ardente ferveur, v.153 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
La charité fait tout : vous possédez en vain v.157 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous ne serez chrétien que par la charité. v.162 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Le curé se dispose à vous parler lui-même, v.240 (Acte 1, scène 2, LE BEDEAU)
Vous fait coadjuteur. v.265 (Acte 1, scène 2, LE BEDEAU)
Vous avez daigné me donner v.338 (Acte 1, scène 2, VOLTAIRE)
Que vous ayez à résigner. v.341 (Acte 1, scène 2, VOLTAIRE)
Vous formerez en moi votre heureux successeur : v.343 (Acte 1, scène 2, VOLTAIRE)
Vous êtes franc, vrai, sans façon, v.367 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Très peu complimenteur, et je vous en révère. v.368 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Je vous estimerai , mais sans vous en rien dire : v.371 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
C'est comme il faut vivre avec vous. v.372 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous savez railler sans médire, v.376 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Et vous possédez l'art charmant v.377 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous, aimable moitié de ce grand disputeur, v.379 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous, qui pensez toujours bien plus que vous et en dites, v.380 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous, de qui l'on estime et l'esprit et le coeur, v.381 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Lorsque vous ne songez qu'à cacher leurs mérites, v.382 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Car ce n'est que pour vous qu'il a toujours été v.385 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Que vous passez d'un vol rapide v.388 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Que vous unissez plaisamment v.390 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Mais ne peut-on tenir de vous qu'une couronne ? v.393 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous connaissez Alain, ce poète fameux, v.394 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous me pourriez payer d'un prix beaucoup plus doux ; v.398 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Doit quelque chose aux vers que je chante pour vous, v.400 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous êtes, cher de Baye, au printemps de votre âge ; v.402 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous promettez beaucoup, vous tiendrez davantage. v.403 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous plairez quand vous voudrez plaire : v.405 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous avez, jeune la Feuillade, v.408 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Gardez qu'un jour on ne vous plaigne v.412 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Et vous, cher Bonneval, que vous êtes heureux ! v.416 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous écrivez souvent sous l'aimable de Prie, v.417 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Et vous avez des vers le talent gracieux ; v.418 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Ainsi diversement vous passez votre vie v.419 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous enchantez également v.426 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
En Apollon vous êtes mon confrère. v.430 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous présidez à cette fête ; v.434 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous avez tout l'honneur de cet aimable jour. v.435 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Mais vous n'en recevez que des mains de l'amour. v.437 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Vous avez gagné mon coeur. v.447 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Dès que j'ai pu vous connaître. v.448 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Mon estime envers vous à l'instant va paraître ; v.449 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)
Je vous fais mon enfant de choeur. v.450 (Acte 1, scène 2, LE CHOEUR)

MARIAMNE (1724)

Oui, cette autorité qu'Hérode vous confie, v.1 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Semblaient vous annoncer une chute certaine. v.22 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Eh ! ne craignez-vous plus ces charmes tout-puissants, v.43 (Acte 1, scène 1, SALOME)
Vous avez vu cent fois ce monarque inflexible v.49 (Acte 1, scène 1, SALOME)
Vous l'avez vu frémir, soupirer et se plaindre ; v.53 (Acte 1, scène 1, SALOME)
Le fer encor sanglant, et que vous excitiez, v.59 (Acte 1, scène 1, SALOME)
Et vous rendra les traits qui tombent de vos mains. v.68 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Contre son amour même aura besoin de vous. v.72 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Au trône d'Ascalon vous êtes attendue ; v.74 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Vous mettront aisément à l'abri des tempêtes v.77 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Je n'aperçois pour vous que des destins meilleurs ; v.83 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Vous gouvernez Hérode, ou vous régnez ailleurs. v.84 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Vous n'avez pas mes yeux ! v.96 (Acte 1, scène 1, SALOME)
Vous pensez en effet qu'une femme sévère v.101 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Ne vous trompez-vous point ? cette âme impérieuse, v.109 (Acte 1, scène 1, MAZAEL)
Le roi revient enfin ; vous n'avez plus d'excuse : v.126 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Ni rougir d'un affront dont la honte est pour vous. v.132 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Il faut donc m'expliquer, il faut donc vous apprendre v.133 (Acte 1, scène 2, SOHEME)
D'ailleurs vous connaissez cette cour orageuse ; v.145 (Acte 1, scène 2, SOHEME)
Vous parlez beaucoup d'elle ! v.157 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Ignorez-vous, princesse, v.157 (Acte 1, scène 2, SOHEME)
J'abandonne Solime, et votre frère, et vous ; v.164 (Acte 1, scène 2, SOHEME)
Me dérobe à la vôtre et loin de vous m'entraîne. v.166 (Acte 1, scène 2, SOHEME)
J'en savais beaucoup plus que vous n'en avez dit. v.172 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Vous m'entendez peut-être ? En vain vous déguisez v.179 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Pour qui je suis trahie, et qui vous séduisez : v.180 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Mais si de ce palais, qui vous semble odieux, v.183 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Craignez d'en exciter qui vous suivraient peut-être v.185 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Jusqu'aux faibles États dont vous êtes le maître. v.186 (Acte 1, scène 2, SALOME)
Puissiez-vous écouter, dans cette affreuse cour, v.207 (Acte 1, scène 3, AMMON)
Vous conjure, Sohême, au nom de tant de pleurs, v.252 (Acte 1, scène 4, ELISE)
De vous rendre près d'elle, et d'y calmer la crainte v.253 (Acte 1, scène 4, ELISE)
Quelle horreur jetez-vous dans mon coeur étonné ! v.255 (Acte 1, scène 4, SOHEME)
Élise, je vous suis, je marche sur vos pas... v.267 (Acte 1, scène 4, SOHEME)
Dont vous faites instruire et la fille et la mère, v.272 (Acte 2, scène 1, MAZAEL)
Sa confiance en vous soit en effet trahie ; v.276 (Acte 2, scène 1, MAZAEL)
Il n'aura plus que vous dans ses perplexités v.277 (Acte 2, scène 1, MAZAEL)
Pour adoucir les traits par vous-même portés. v.278 (Acte 2, scène 1, MAZAEL)
Vous seule aurez fait naître et le calme et l'orage : v.279 (Acte 2, scène 1, MAZAEL)
Je viens auprès de vous partager votre joie : v.324 (Acte 2, scène 2, SALOME)
Rome me rend un frère, et vous rend un époux v.325 (Acte 2, scène 2, SALOME)
Couronné, tout-puissant, et digne enfin de vous, v.326 (Acte 2, scène 2, SALOME)
Je ne prétends de vous ni n'attends ce service : v.335 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Je vous connais, madame, et je vous rends justice ; v.336 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Jugeant de moi par vous, vous me craignez peut-être ; v.339 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Mais vous deviez du moins apprendre à me connaître. v.340 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
J'ai vu tous vos desseins, et je vous les pardonne ; v.343 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
C'est à vos seuls remords que je vous abandonne, v.344 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Je vous l'ai déjà dit, je veux tout oublier : v.350 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Je puis vous pardonner, mais je ne puis vous croire. v.352 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Je ne m'abaisse pas à me plaindre de vous. v.358 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Je ne vous retiens point, et vous pouvez, madame, v.359 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Dans son coeur aisément vous pouvez ranimer v.361 (Acte 2, scène 2, MARIAMNE)
Ah ! c'en est trop enfin ; vous auriez dû peut-être v.367 (Acte 2, scène 2, SALOME)
Vous me voyez tout perdre, et croyez tout ravir ; v.370 (Acte 2, scène 2, SALOME)
Votre victoire un jour peut vous être fatale. v.371 (Acte 2, scène 2, SALOME)
Vous triomphez... Tremblez, imprudente rivale ! v.372 (Acte 2, scène 2, SALOME)
Ah ! madame, à ce point pouvez-vous irriter v.373 (Acte 2, scène 3, ELISE)
Des ennemis ardents à vous persécuter ? v.374 (Acte 2, scène 3, ELISE)
Vous appelez la mort qui s'éloignait de vous. v.378 (Acte 2, scène 3, ELISE)
Vous n'avez plus ici de bras qui vous appuie ; v.379 (Acte 2, scène 3, ELISE)
Sohême va partir ; nul espoir ne vous reste. v.383 (Acte 2, scène 3, ELISE)
Vous le voyez trop bien ; sa sombre jalousie v.387 (Acte 2, scène 3, ELISE)
Et vous, mon cher Narbas, v.397 (Acte 2, scène 4, MARIAMNE)
Mon coeur vous est connu, vous savez mes desseins, v.401 (Acte 2, scène 4, MARIAMNE)
Vous avez vu ma mère, au désespoir réduite, v.403 (Acte 2, scène 4, MARIAMNE)
Tout injuste qu'il est, la vertu vous l'inspire. v.420 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Ouvrez les yeux, madame, et voyez où vous êtes : v.424 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Le sang de votre père a rejailli sur vous : v.426 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Enfin, si tant de maux ne vous étonnent pas, v.437 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Si d'un front assuré vous marchez au trépas, v.438 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Et vous connaissez trop ces oracles affreux v.441 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Qui depuis si longtemps vous font trembler pour eux. v.442 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Le ciel vous a prédit qu'une main étrangère v.443 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Eh ! qui vous répondra que lui-même aujourd'hui v.450 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Je suis prêt à vous suivre en tous temps, en tous lieux. v.458 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
S'il mérite sa gloire, il fera tout pour vous. v.466 (Acte 2, scène 4, NARBAS)
Je vous dois tout, seigneur ; et, dans mon infortune, v.479 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Ma douleur ne craint point de vous être importune, v.480 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Il faut que pour moi-même enfin je vous implore ; v.488 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Pour finir tous mes maux, c'est en vous que j'espère : v.508 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Je m'adresse à vous seul, à vous, à ce grand coeur, v.509 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
À vous à qui je dois ce jour que je respire : v.511 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Vous ne répondez rien ! Que faut-il que je pense v.515 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Mes gardes vous suivront jusque dans l'Italie ; v.519 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Il est assez puni si vous l'abandonnez. v.522 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Il ne vous verra plus, grâce à son injustice ; v.523 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
La douleur de vous perdre a trahi mon secret. v.526 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Sohême en vous aimant ne veut que vous servir, v.529 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Adorer vos vertus, vous venger, et mourir. v.530 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Qu'avec mes intérêts vous chérissiez ma gloire. v.532 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Vous ait rien dérobé de ma reconnaissance : v.540 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Tout espoir m'est ravi, je ne vous verrai plus ; v.541 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Je ne veux voir en vous qu'un héros magnanime v.543 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Un plus long entretien pourrait vous en priver, v.545 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Seigneur, et je vous fuis pour vous la conserver. v.546 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
À cette gloire, à vous, soigneux de m'immoler, v.549 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Je ne fuyais que vous, je veux vous fuir encore. v.551 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
J'y reste, s'il le faut, pour vous désabuser, v.553 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Pour vous respecter plus, pour ne plus m'exposer v.554 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Vous conduiront aux bords où s'adressent vos pas. v.558 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Je périrai du moins en combattant pour vous. v.562 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Dans mes derniers moments je vous aurai servie, v.563 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Il suffit, je vous crois : d'indignes passions v.565 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Oui, je vous devrai tout ; mais moi, je vous expose ; v.567 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Vous courez à la mort, et j'en serai la cause. v.568 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Comment puis-je vous suivre, et comment demeurer ? v.569 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Je n'ai de sentiment que pour vous admirer. v.570 (Acte 2, scène 5, MARIAMNE)
Du péril qui vous presse, et non de mon danger. v.573 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Tout vous menace ici, Rome est votre refuge ; v.576 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Mais songez que Sohême, en vous offrant ses voeux, v.577 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Ils vous arracheront aux mains des parricides. v.584 (Acte 2, scène 5, SOHEME)
Idamas le devance, et vous le connaissez. v.591 (Acte 3, scène 1, NARBAS)
Bientôt vous l'entendrez. Cependant Mariamne v.597 (Acte 3, scène 1, NARBAS)
C'est vous dont la bonté peut hâter sa sortie ; v.605 (Acte 3, scène 1, NARBAS)
Vous avez dans vos mains la fortune et la vie v.606 (Acte 3, scène 1, NARBAS)
Et vous, vieillard heureux, qui suivez son destin, v.620 (Acte 3, scène 1, SOHEME)
Votre sort est trop beau, vous vivrez auprès d'elle. v.622 (Acte 3, scène 1, SOHEME)
Mais parlez ; Rome enfin vient de vous rendre un maître : v.637 (Acte 3, scène 3, SOHEME)
Vous le savez assez, leur cabale attentive v.649 (Acte 3, scène 3, IDAMAS)
Seigneur, ainsi du roi vous fuirez la présence ? v.670 (Acte 3, scène 3, IDAMAS)
Vous de qui la vertu, le rang, l'autorité, v.671 (Acte 3, scène 3, IDAMAS)
Quoi ! vous versez des larmes ! v.686 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Vous, ce roi fortuné, si sage en ses desseins ! v.687 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Vous, la terreur du Parthe et l'ami des Romains ! v.688 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Que vous donnaient jadis Antoine et la victoire ; v.690 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Vous marchiez distingué de la foule des rois ; v.692 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Jadis par vous conquise et par vous défendue, v.694 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Des coeurs infortunés, qui vous cherchaient peut-être. v.710 (Acte 3, scène 4, IDAMAS)
Eh ! croyez-vous encor que je puisse être aimé ? v.712 (Acte 3, scène 4, HÉRODE)
Un seul coeur vous résiste, et l'on peut le gagner. v.715 (Acte 3, scène 4, IDAMAS)
Qui ? vous, seigneur ? v.723 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Seigneur, vous le voyez, sa haine envenimée v.733 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Vous coupable ? Eh ! seigneur, pouvez-vous oublier v.739 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Ce que la reine a fait pour vous justifier ? v.740 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Ses desseins contre vous, les complots de son père ? v.742 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Le dangereux Hircan vous eût toujours trahi : v.744 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Que, sans un coup d'État, vous n'auriez pu... v.746 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Digne de tant de biens que le ciel vous a faits, v.755 (Acte 3, scène 4, IDAMAS)
Puisse la reine aussi l'oublier comme vous ! v.759 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
Quoi ! seigneur, vous voulez... v.772 (Acte 3, scène 4, MAZAEL)
De la reine et de vous les discordes cruelles v.813 (Acte 3, scène 5, HÉRODE)
Ma soeur, pour mon repos, pour vous, pour toutes deux, v.815 (Acte 3, scène 5, H?RODE)
Un roi vous le commande ; un frère vous en prie. v.818 (Acte 3, scène 5, HÉRODE)
Murmurez, plaignez-vous, plaignez-moi ; mais partez. v.824 (Acte 3, scène 5, H?RODE)
Moi, seigneur, je n'ai point de plaintes à vous faire. v.825 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Vous croyez mon exil et juste et nécessaire ; v.826 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Lorsque vous commandez je ne sais qu'obéir. v.828 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Vous ne me verrez point, sensible à mon injure, v.829 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Attester devant vous le sang et la nature ; v.830 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Je ne vous vante plus cette amitié sincère, v.833 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Dont le zèle aujourd'hui commence à vous déplaire, v.834 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Mais avez-vous pensé que Mariamne oublie v.837 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Vous, qu'elle craint toujours, ne la craignez-vous plus ? v.839 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Ses voeux, ses sentiments, vous sont-ils inconnus ? v.840 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Et pensez-vous enfin que, lorsque votre tête v.846 (Acte 3, scène 5, SALOME)
L'amour qui vous séduit lui parlera pour vous ? v.848 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Et que sans vous enfin j'eusse été moins haï. v.856 (Acte 3, scène 5, HÉRODE)
Si vous pouviez savoir, si vous pouviez comprendre v.857 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Ah ! c'est trop l'épargner, vous tromper, et me taire. v.862 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Je m'expose à me perdre et cherche à vous servir : v.863 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Et je vais vous parler, dussiez-vous m'en punir. v.864 (Acte 3, scène 5, SALOME)
C'est peu de vous haïr ; un autre en est aimé. v.868 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Un autre en est aimé ! Pouvez-vous bien, barbare, v.869 (Acte 3, scène 5, HÉRODE)
Ma soeur, c'est donc ainsi que vous m'assassinez ! v.871 (Acte 3, scène 5, H?RODE)
Laissez-vous pour adieux ces traits empoisonnés, v.872 (Acte 3, scène 5, H?RODE)
Je vous ai longtemps crue, et les cieux m'en punissent. v.877 (Acte 3, scène 5, H?RODE)
Oui, c'est moi seul ici que vous persécutez. v.879 (Acte 3, scène 5, H?RODE)
Eh bien donc ! loin de vous... v.880 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Puisque vous le voulez... v.884 (Acte 3, scène 5, SALOME)
Votre épouse vous fuit ; Sohême vous l'enlève. v.890 (Acte 3, scène 6, MAZAEL)
Et vous allez, seigneur, la perdre pour jamais. v.896 (Acte 3, scène 6, MAZAEL)
Surprenons l'infidèle ; et vous allez juger v.899 (Acte 3, scène 6, HÉRODE)
Dans ces sombres chagrins qui peut donc vous plonger ? v.903 (Acte 4, scène 1, MAZAEL)
Madame, en se vengeant, le roi va vous venger : v.904 (Acte 4, scène 1, MAZAEL)
Vous avez vu tantôt ce spectacle inhumain ; v.907 (Acte 4, scène 1, MAZAEL)
Que vouliez-vous de plus ? que craignez-vous encore ? v.913 (Acte 4, scène 1, MAZAEL)
Mais, seigneur, contre vous Sohême est son appui. v.936 (Acte 4, scène 2, MAZAEL)
Non, ne vous vengez point, mais veillez sur vous-même ; v.937 (Acte 4, scène 2, MAZAEL)
Que dites-vous ? v.941 (Acte 4, scène 2, HÉRODE)
Ma soeur, vous approuvez la fureur qui m'anime ; v.946 (Acte 4, scène 2, HÉRODE)
Vous voyez mes chagrins, vous en avez pitié ; v.947 (Acte 4, scène 2, H?RODE)
Je vous sacrifiais au seul soin de lui plaire : v.950 (Acte 4, scène 2, H?RODE)
Je vous comptais déjà parmi mes ennemis ; v.951 (Acte 4, scène 2, H?RODE)
Je punissais sur vous sa haine et ses mépris. v.952 (Acte 4, scène 2, H?RODE)
Qu'avant la fin du jour vous en serez vengée ; v.954 (Acte 4, scène 2, H?RODE)
D'un spectacle funeste épargnez-vous l'horreur ; v.972 (Acte 4, scène 2, SALOME)
Je vois pour qui Sohême ainsi vous outrageait, v.976 (Acte 4, scène 2, HÉRODE)
Calmez-vous. v.985 (Acte 4, scène 2, SALOME)
Quoi ! seigneur, vous voulez vous montrer à sa vue ? v.989 (Acte 4, scène 2, SALOME)
Qu'on appelle la reine ; et vous, qu'on se retire. v.998 (Acte 4, scène 2, SALOME)
Vous serez répandu, sang de mes ennemis, v.1011 (Acte 4, scène 3, HÉRODE)
Pourquoi m'ordonnez-vous de paraître à vos yeux ? v.1020 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Voulez-vous de vos mains m'ôter ce faible reste v.1021 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous le pouvez : frappez, le coup m'en sera doux ; v.1023 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Et c'est l'unique bien que je tiendrai de vous. v.1024 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Oui, je me vengerai, vous serez satisfaite : v.1025 (Acte 4, scène 4, HÉRODE)
Indulgent pour vous seule, oubliait le passé, v.1028 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Lorsque vous partagiez mon empire et ma gloire v.1029 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Pourquoi prépariez-vous cette fuite si noire ? v.1030 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Quel dessein, quelle haine a pu vous posséder ? v.1031 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Ah ! seigneur, est-ce vous à me le demander ? v.1032 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Je ne veux point vous faire un reproche inutile : v.1033 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Et condamnez ma fuite après, si vous l'osez. v.1040 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Quoi ! lorsqu'avec un traître un fol amour vous lie ! v.1041 (Acte 4, scène 4, HÉRODE)
Perfide ! il vous sied bien de prononcer encore v.1049 (Acte 4, scène 4, HÉRODE)
Ce nom qui vous condamne et qui me déshonore ! v.1050 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Vos coupables dédains vous accusent assez, v.1051 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Et je crois tout de vous, si vous me haïssez. v.1052 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Quand vous me condamnez, quand ma mort est certaine, v.1053 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Que vous importe, hélas ! ma tendresse ou ma haine ? v.1054 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Et quel droit désormais avez-vous sur mon coeur, v.1055 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous qui l'avez rempli d'amertume et d'horreur ; v.1056 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous qui, depuis cinq ans, insultez à mes larmes, v.1057 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous, de tous mes parents destructeur odieux ; v.1059 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous, teint du sang d'un père expirant à mes yeux ? v.1060 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Les cieux me sont témoins que mon coeur tout à vous v.1063 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous chérirait encore en mourant par vos coups. v.1064 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Peut-être un jour, hélas ! vous connaîtrez leur mère ; v.1070 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous plaindrez, mais trop tard, ce coeur infortuné v.1071 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Que seul dans l'univers vous avez soupçonné ; v.1072 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Et qui vous eût aimé si vous l'aviez voulu. v.1076 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Puisque vous m'avez vu, vous triomphez de moi. v.1084 (Acte 4, scène 4, HÉRODE)
Vous n'avez plus besoin d'excuse et de défense ; v.1085 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Ma tendresse pour vous vous tient lieu d'innocence. v.1086 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
C'est moi qui vous implore et qui tremble à mon tour. v.1088 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Serez-vous aujourd'hui la seule inexorable ? v.1089 (Acte 4, scène 4, H?RODE)
Vous demandez ma main ! Juste ciel que j'implore, v.1097 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous savez de quel sang la sienne fume encore ! v.1098 (Acte 4, scène 4, MARIAMNE)
Vous auriez pu, perfide !... v.1132 (Acte 4, scène 5, HÉRODE)
Ah ! Seigneur, vous croiriez... v.1132 (Acte 4, scène 5, MARIAMNE)
Ah ! mon frère, aux Hébreux ne vous présentez pas. v.1136 (Acte 4, scène 6, SALOME)
Éloignez-vous, soldats ; daignez laisser du moins v.1149 (Acte 5, scène 1, MARIAMNE)
Vaine ombre de bonheur, que vous m'avez trompée ! v.1160 (Acte 5, scène 1, MARIAMNE)
A vos persécuteurs vous n'êtes plus livrée : v.1183 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Et du moins à demi mon bras vous a vengé. v.1186 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Cet appui dangereux que vous venez m'offrir. v.1194 (Acte 5, scène 2, MARIAMNE)
Il est honteux pour moi de vous devoir la vie : v.1196 (Acte 5, scène 2, MARIAMNE)
Que faites-vous, hélas ! malheureuse princesse ? v.1199 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Un moment peut vous perdre. On combat ; le temps presse : v.1200 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Faut-il qu'en vous servant toujours je vous offense ? v.1203 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Je vais donc, malgré vous, servir votre vengeance : v.1204 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Je cours à ce tyran qu'en vain vous respectez ; v.1205 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Le crime vous sépare. v.1211 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
N'arrêtez plus mes pas ; vengez-vous d'un barbare : v.1212 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Vous les déshonorez. v.1213 (Acte 5, scène 2, MARIAMNE)
Plus vous me commandez de ne point vous servir, v.1221 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Et plus je vous promets de vous désobéir. v.1222 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Ce temps que j'ai perdu sans combattre pour vous. v.1226 (Acte 5, scène 2, SOHEME)
Dans ces extrémités ne craignez que pour vous. v.1234 (Acte 5, scène 4, NARBAS)
Osez paraître, osez vous secourir vous-même ; v.1239 (Acte 5, scène 4, NARBAS)
Jetez-vous dans les bras d'un peuple qui vous aime ; v.1240 (Acte 5, scène 4, NARBAS)
Hélas ! où courez-vous ? dans quel désordre extrême ?... v.1263 (Acte 5, scène 4, NARBAS)
Sortez... Vous, qu'on la suive. v.1267 (Acte 5, scène 5, HÉRODE)
Sohême tout sanglant vous laisse la victoire : v.1271 (Acte 5, scène 6, IDAMAS)
Ce jour vous a comblé d'une nouvelle gloire. v.1272 (Acte 5, scène 6, IDAMAS)
Narbas, où courez-vous ? juste ciel ! vous pleurez ! v.1293 (Acte 5, scène 7, HÉRODE)
Ah ! malheureux ! que venez-vous me dire ? v.1295 (Acte 5, scène 7, HÉRODE)
Ma voix en vous parlant sur mes lèvres expire. v.1296 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
A sa vertu trahie, à vous, à votre gloire, v.1300 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
De vous montrer le bien que vous avez perdu, v.1301 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
Volait pour vous défendre au péril de ses jours. v.1306 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
Comment pourrai-je, hélas ! vous apprendre le reste ? v.1316 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
Elle a suivi leurs pas sans vous rien reprocher, v.1318 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
En pleurant Mariamne, on vous plaignait vous-même : v.1328 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
Mariamne en mourant ne pleure que sur vous ; v.1338 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
Puissiez-vous par ma mort finir vos injustices ! v.1339 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
Quoi ! vous me retenez ? quoi ! citoyens perfides, v.1351 (Acte 5, scène 7, HÉRODE)
Vous arrachez ce fer à mes mains parricides ? v.1352 (Acte 5, scène 7, H?RODE)
Vous pleurez ! vous n'osez vous approcher de moi ! v.1361 (Acte 5, scène 7, HÉRODE)
Avez-vous pu, seigneur, oublier son trépas ? v.1374 (Acte 5, scène 7, NARBAS)
Cruel ! Que dites-vous ? v.1375 (Acte 5, scène 7, HÉRODE)
Armez-vous contre moi, sujets qui la perdez ; v.1385 (Acte 5, scène 7, HÉRODE)

LE FANATISME (1753)

Nous chérissons en vous ce zèle paternel v.7 (Acte 1, scène 1, PHANOR)
Contre ses attentats vous pouviez autrefois v.11 (Acte 1, scène 1, PHANOR)
Tous nos vrais citoyens avec vous sont unis ; v.27 (Acte 1, scène 1, PHANOR)
L'idole dont le poids va vous écraser tous. v.36 (Acte 1, scène 1, ZOPIRE)
Quand vous verrez ces lieux par ses mains ravagés, v.47 (Acte 1, scène 1, PHANOR)
Vous avez tout perdu, fils, frère, épouse, fille ; v.49 (Acte 1, scène 1, PHANOR)
Quand vous touchez au port, vous expose au naufrage ? v.54 (Acte 1, scène 1, PHANOR)
Le ciel, vous le voyez, a remis en vos mains v.55 (Acte 1, scène 1, PHANOR)
Dans vos derniers combats par vous-même enlevée, v.58 (Acte 1, scène 1, PHANOR)
Vous n'êtes point tombée en de barbares mains ; v.91 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Par vous, par vos bienfaits, à parler enhardie, v.101 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
C'est de vous que j'attends le bonheur de ma vie. v.102 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Il vous a demandé de briser mes liens ; v.104 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Puissiez-vous l'écouter ! Et puissé-je lui dire v.105 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Ainsi de Mahomet vous regrettez les fers, v.107 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
J'entends : vous espérez partager quelque jour v.119 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Ah ! Qui que vous soyez, il n'est point né peut-être v.125 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Et vous semblez d'un sang fait pour donner des lois v.127 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Tout vous est étranger ! Cet état peut-il plaire ? v.133 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Quoi ! Vous servez un maître, et n'avez point de père ? v.134 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
J'aurais pu voir en vous l'appui de mes vieux ans ; v.136 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Le soin de vous former des destins plus propices v.137 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Mais non, vous abhorrez ma patrie et ma loi. v.139 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Comment puis-je être à vous ? Je ne suis point à moi. v.140 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Vous aurez mes regrets, votre bonté m'est chère ; v.141 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Ah ! Quels noms inouïs lui donnez-vous, seigneur ! v.144 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Vous me faites frémir, seigneur ; et, de mes jours, v.151 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Vous donnaient sur mon coeur une juste puissance ; v.154 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Que je vous plains, Palmire ! Et que sur vos erreurs v.159 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Et vous me refusez ! v.161 (Acte 1, scène 2, PALMIRE)
Oui. Je ne puis vous rendre v.161 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Oui, je crois voir en vous un bien trop précieux, v.163 (Acte 1, scène 2, ZOPIRE)
Que voulez-vous, Phanor ? v.165 (Acte 1, scène 3, ZOPIRE)
Omar vient, il s'avance vers vous. v.176 (Acte 1, scène 3, PHANOR)
Souffrirez-vous, grands dieux ! Qu'au gré de ses forfaits v.199 (Acte 1, scène 4, ZOPIRE)
Et vous, qui vous chargez des volontés d'un traître, v.201 (Acte 1, scène 4, ZOPIRE)
Ne rougissez-vous point de servir un tel maître ? v.202 (Acte 1, scène 4, ZOPIRE)
Ne l'avez-vous pas vu, sans honneur et sans biens, v.203 (Acte 1, scène 4, ZOPIRE)
Vous voyez, ai-je dit, les secrets de mon coeur : v.362 (Acte 2, scène 1, PALMIRE)
Ma vie est dans les camps dont vous m'avez tirée ; v.363 (Acte 2, scène 1, PALMIRE)
Le ciel vous favorise, et Mahomet s'avance. v.392 (Acte 2, scène 2, OMAR)
Et vous lui refusez le rang de citoyen ! v.398 (Acte 2, scène 2, OMAR)
Vient-il vous enchaîner, vous perdre, vous détruire ? v.399 (Acte 2, scène 2, OMAR)
Il vient vous protéger, mais surtout vous instruire : v.400 (Acte 2, scène 2, OMAR)
Vous, Séide, en ces lieux ! v.429 (Acte 2, scène 3, MAHOMET)
Le dieu qui vous inspire a marché devant moi. v.430 (Acte 2, scène 3, SÉIDE)
Prêt à mourir pour vous, prêt à tout entreprendre, v.431 (Acte 2, scène 3, S?IDE)
J'obéis à mon dieu ; vous, sachez m'obéir. v.434 (Acte 2, scène 3, MAHOMET)
Élevés près de vous dans notre tendre enfance, v.436 (Acte 2, scène 3, PALMIRE)
Loin de vous, loin de lui, j'ai langui prisonnière ; v.439 (Acte 2, scène 3, PALMIRE)
Empoisonneriez-vous l'instant de mon bonheur ? v.441 (Acte 2, scène 3, PALMIRE)
Que rien ne vous alarme, et rien ne vous étonne. v.443 (Acte 2, scène 3, MAHOMET)
Je veillerai sur vous comme sur l'univers. v.446 (Acte 2, scène 3, MAHOMET)
Vous, suivez mes guerriers ; et vous, jeune Palmire, v.447 (Acte 2, scène 3, MAHOMET)
C'est vous qu'à mon secours un dieu propice envoie, v.744 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Eh bien ! D'où vous vient cet effroi ? v.745 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Ô ciel ! Vous redoublez la douleur qui m'agite. v.747 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Je devrais l'être au moins du trouble où je vous vois. v.750 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Que dites-vous ? Surprise et tremblante à vos pieds, v.757 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Eh quoi ! N'avez-vous pas daigné, dans ce lieu même, v.759 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Vous rendre à nos souhaits, et consentir qu'il m'aime ? v.760 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Sont un lien de plus qui nous attache à vous. v.762 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Vous l'aimez à ce point ? v.768 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Nos penchants, dites-vous, ne viennent que de lui. v.773 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Oui. Vous devez trembler : v.777 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Attendez que ma voix veuille enfin vous apprendre v.779 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Et qui croire que vous ? v.781 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Allez, rassurez-vous, je n'ai point de colère. v.788 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Reposez-vous sur moi de vos vrais intérêts : v.790 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Si j'eus soin de vos jours, si vous m'appartenez, v.793 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Méritez des bienfaits qui vous sont destinés. v.794 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Qu'il garde ses serments ; qu'il soit digne de vous. v.797 (Acte 3, scène 3, MAHOMET)
Séide vous adore encor plus qu'il ne m'aime ; v.800 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Il voit en vous son roi, son père, son appui : v.801 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Je cours à vous servir encourager son âme. v.803 (Acte 3, scène 3, PALMIRE)
Vous allez éprouver, dans cet horrible jour, v.809 (Acte 3, scène 4, MAHOMET)
Vous avez sur mon être une entière puissance ; v.843 (Acte 3, scène 6, SÉIDE)
Ah ! Sans doute ce dieu, dont vous êtes l'image, v.847 (Acte 3, scène 6, SÉIDE)
Parlez : quels ennemis vous faut-il immoler ? v.853 (Acte 3, scène 6, SÉIDE)
Savez-vous qui je suis ? Savez-vous en quels lieux v.865 (Acte 3, scène 6, MAHOMET)
Ma voix vous a chargé des volontés des cieux ? v.866 (Acte 3, scène 6, MAHOMET)
Si la Mecque est sacrée, en savez-vous la cause ? v.871 (Acte 3, scène 6, MAHOMET)
Et quand ce dieu par vous veut venger son injure, v.876 (Acte 3, scène 6, MAHOMET)
Quand dieu vous a choisi, vous avez balancé ! v.878 (Acte 3, scène 6, MAHOMET)
Le prix était tout prêt ; Palmire était à vous : v.881 (Acte 3, scène 6, MAHOMET)
Mais vous bravez Palmire et le ciel en courroux. v.882 (Acte 3, scène 6, MAHOMET)
Les traits que vous portez vont tomber sur vous-mêmes ; v.884 (Acte 3, scène 6, MAHOMET)
Venez à mon secours, ô vous, de qui le bras v.897 (Acte 3, scène 7, SÉIDE)
Ah, Zopire ! Est-ce vous qui n'avez d'autre envie v.915 (Acte 3, scène 8, SÉIDE)
Non, seigneur, non ; mon coeur ne saurait vous haïr. v.938 (Acte 3, scène 8, SÉIDE)
Mais qu'en vous écoutant ma faiblesse a trahi. v.946 (Acte 3, scène 8, SÉIDE)
Ô serments ! Ô Palmire ! Ô vous, dieu des vengeances ! v.963 (Acte 3, scène 8, SÉIDE)
Traître, que faites-vous ? Mahomet vous attend. v.966 (Acte 3, scène 9, OMAR)
Pressentiment confus, faut-il que je vous croie ? v.987 (Acte 3, scène 11, ZOPIRE)
Vous me voyez, Palmire, en proie à cet orage, v.1098 (Acte 4, scène 3, SÉIDE)
C'est à vous de fixer mes fureurs incertaines : v.1101 (Acte 4, scène 3, S?IDE)
Vous connaissez la malédiction v.1112 (Acte 4, scène 3, SÉIDE)
C'est pour vous-même ici que ma débile voix v.1135 (Acte 4, scène 4, ZOPIRE)
Vous implore aujourd'hui pour la dernière fois. v.1136 (Acte 4, scène 4, ZOPIRE)
Dieux ! Si d'un scélérat vous respectez le sort... v.1139 (Acte 4, scène 4, ZOPIRE)
Je vous suis, ministres du trépas : v.1155 (Acte 4, scène 4, SÉIDE)
Vous me montrez l'autel ; vous conduisez mon bras. v.1156 (Acte 4, scène 4, S?IDE)
Quoi ! C'est vous ? v.1183 (Acte 4, scène 4, SÉIDE)
Près de ce corps sanglant vous êtes en danger. v.1196 (Acte 4, scène 4, PALMIRE)
Vous ! v.1240 (Acte 4, scène 5, SÉIDE)
Vous ne me trompiez pas quand vous parliez pour eux. v.1241 (Acte 4, scène 5, ZOPIRE)
Vous m'éclairiez sans doute. Ah ! Malheureux Séide ! v.1242 (Acte 4, scène 5, ZOPIRE)
Je bénis mon destin ; je meurs, mais vous vivez. v.1257 (Acte 4, scène 5, ZOPIRE)
Ô vous, qu'en expirant mon coeur a retrouvés, v.1258 (Acte 4, scène 5, ZOPIRE)
Séide, et vous, Palmire, au nom de la nature, v.1259 (Acte 4, scène 5, ZOPIRE)
Par ce sang paternel, par vous, par mon trépas, v.1261 (Acte 4, scène 5, ZOPIRE)
Vengez-vous, vengez-moi ; mais ne vous perdez pas. v.1262 (Acte 4, scène 5, ZOPIRE)
Vous immoler ce monstre, et hâter mon trépas ; v.1270 (Acte 4, scène 5, SÉIDE)
Me punir, vous venger. v.1271 (Acte 4, scène 5, S?IDE)
Madame, obéissez, si vous aimez Séide. v.1280 (Acte 4, scène 6, OMAR)
Mahomet vous protège, et son juste courroux, v.1281 (Acte 4, scène 6, OMAR)
Prêt à tout foudroyer, peut s'arrêter par vous. v.1282 (Acte 4, scène 6, OMAR)
On s'arme, on vient à vous, on prend votre défense. v.1288 (Acte 4, scène 6, PHANOR)
J'ai du peuple et de vous pesé la destinée, v.1336 (Acte 5, scène 2, MAHOMET)
Le grand événement qui vous remplit d'effroi, v.1337 (Acte 5, scène 2, MAHOMET)
Vous êtes en ces lieux libre, heureuse, et vengée. v.1340 (Acte 5, scène 2, MAHOMET)
Ne songez plus qu'au vôtre ; et si vous m'êtes chère, v.1343 (Acte 5, scène 2, MAHOMET)
Si Mahomet sur vous jeta des yeux de père, v.1344 (Acte 5, scène 2, MAHOMET)
Si vous le méritez, peut-être vous attend. v.1346 (Acte 5, scène 2, MAHOMET)
À l'aspect des grandeurs où vous n'osiez penser. v.1350 (Acte 5, scène 2, MAHOMET)
Et qui que vous soyez, fléchissez sous un maître. v.1384 (Acte 5, scène 2, MAHOMET)
Seul je les défendrai. Rangez-vous près de moi, v.1409 (Acte 5, scène 3, MAHOMET)
Et connaissez enfin qui vous avez pour roi. v.1410 (Acte 5, scène 3, MAHOMET)
Ce bras peut vous punir d'avoir osé douter. v.1422 (Acte 5, scène 4, MAHOMET)
Si je me veux venger, va vous réduire en poudre. v.1424 (Acte 5, scène 4, MAHOMET)
La mort est, à vos yeux, prête à fondre sur vous. v.1445 (Acte 5, scène 4, MAHOMET)
Si ce jour luit pour vous, ingrats, si vous vivez, v.1449 (Acte 5, scène 4, MAHOMET)
Rendez grâce au pontife à qui vous le devez. v.1450 (Acte 5, scène 4, MAHOMET)
Vengez la terre et vous, et le ciel que j'outrage. v.1476 (Acte 5, scène 4, MAHOMET)

OLYMPIE (1764)

Cet honneur, qu'avec vous Antigone partage, v.9 (Acte 1, scène 1, SOSTÈNE)
Sur qui vous étendiez tant de soins généreux, v.27 (Acte 1, scène 1, SOSTÈNE)
Et ne viens vous parler que de vos intérêts. v.44 (Acte 1, scène 1, SOSTÈNE)
Il doit aussi vous l'être : v.49 (Acte 1, scène 1, SOSTÈNE)
Ait altéré son coeur, et l'éloigne de vous. v.52 (Acte 1, scène 1, SOST?NE)
Mes remords et mes feux vous vengent-ils assez ? v.56 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
Quel sujet si pressant près de moi vous amène ? v.66 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Je ne puis vous comprendre ; v.85 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Qui peut vous inspirer un remords si pressant ? v.87 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
De sa mort, après tout, vous êtes innocent. v.88 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Sans qu'il vous confiât cet important dessein : v.95 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Vous étiez jeune encor ; vous serviez au festin, v.96 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Auriez-vous donc voulu que, vengeant Alexandre, v.121 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Vous sauvâtes un père. v.127 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Vous dissimulez trop. v.138 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Repentez-vous surtout d'abandonner l'Asie v.146 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Me le promettez-vous ? v.165 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Ami, je vous le jure ; v.165 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Je combattrai pour moi, pour vous, et pour la Grèce. v.169 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Dont le noeud respectable avec vous m'a lié. v.172 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Mais de cette amitié je vous demande un gage ; v.173 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Ce que vous demandez est-il en mon pouvoir ? v.175 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
C'est un ordre pour moi, vous n'avez qu'à vouloir. v.176 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Peut-être vous verrez avec quelque surprise v.177 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Heureux de vous servir, v.179 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Ils sont tous à vos pieds ; c'est à vous de choisir. v.180 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
De tant d'heureux travaux pour vous-même entrepris. v.184 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Et vous ne voulez pas sans doute m'offenser ? v.192 (Acte 1, scène 2, ANTIGONE)
Non ; vous verrez bientôt cette jeune captive ; v.193 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Vous-même jugerez s'il faut qu'elle vous suive, v.194 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Sans vous plaindre de moi, daignez au moins m'attendre ; v.201 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Des mystères nouveaux pourront vous y surprendre ; v.202 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Et vous déciderez si la terre a des rois v.203 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Seigneur, vous m'étonnez quand l'Asie en alarmes v.205 (Acte 1, scène 3, HERMAS)
Lorsque vous prétendez au souverain empire, v.209 (Acte 1, scène 3, HERMAS)
Je vous jure un amour aussi pur, aussi saint, v.239 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Et vous, filles des cieux, vous, augustes prêtresses, v.241 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Qu'il soit toujours chéri, toujours digne de vous ! v.248 (Acte 1, scène 2, OLYMPIE)
Mon coeur vous est connu. Son rang et sa couronne v.249 (Acte 1, scène 2, OLYMPIE)
Soyez-en les garants, vous qui les consacrez ; v.252 (Acte 1, scène 2, OLYMPIE)
Qu'il m'apprenne à vous plaire, et que votre justice v.253 (Acte 1, scène 2, OLYMPIE)
Antigone, en ces lieux vous m'avez entendu ; v.263 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Aux voeux que vous formiez ai-je assez répondu ? v.264 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
Vous-même prononcez si vous deviez prétendre v.265 (Acte 1, scène 2, CASSANDRE)
À son coeur égaré vous imputez peut-être v.289 (Acte 1, scène 5, HERMAS)
Sont, vous le savez trop, l'effet des passions ; v.292 (Acte 1, scène 5, HERMAS)
Mais il comptait sur vous. Les titres les plus saints v.307 (Acte 1, scène 5, HERMAS)
Seigneur, vous le savez, se cache à tous les yeux ; v.340 (Acte 2, scène 1, UNE-PRÊTRESSE)
Venez, vous ne pouvez, à vous-même contraire, v.357 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Vous avez prononcé d'irrévocables voeux, v.360 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Ce grand jour est le seul où Dieu vous a choisie v.361 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Soyez digne du Dieu que vous représentez. v.363 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Vous le savez. v.371 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Le ciel vous prescrit d'autres lois ; v.371 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Et quand vous présidez pour la première fois v.372 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Nous pensons comme vous ; mais la Divinité v.383 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Parlez... Vous frémissez ! v.385 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Vous frémirez vous-même... v.385 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Vous qui servez d'un Dieu la majesté suprême, v.386 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Qu'entre vous et ce Dieu mes secrets soient cachés ! v.388 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Nous vous le jurons tous. v.389 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Eh bien ! Si vous savez pour quel excès d'horreur v.399 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Si vous êtes instruit qu'il fit périr son maître ; v.401 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Et quel maître, grands dieux ! si vous pouvez connaître v.402 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Vous serez plus surpris lorsque vous apprendrez v.407 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Elle vous parle ici, ne l'interrogez plus. v.412 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
De quels coups vous frappez ceux qui sont votre image ! v.414 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Grand-prêtre, levez-vous. v.416 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Je ne suis plus pour vous la maîtresse du monde ; v.417 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Voyez-vous cette femme étrangère en ma cour ? v.427 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Du trône où vous étiez vous montez jusqu'à lui ; v.444 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Sur ce trône terrible, et par vous oublié, v.447 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Mais vous devez sentir l'horreur qui m'a troublée v.450 (Acte 2, scène 2, STATIRA)
Mais notre loi vous parle, et votre coeur l'écoute : v.454 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Vous l'avez embrassée. v.455 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Vous-même vous avez tracé votre carrière ; v.461 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Doit d'abord en ces lieux se jeter devant vous ; v.472 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
C'est à vous de bénir cet illustre hyménée. v.473 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Adieu je vous admire autant que je vous plains. v.483 (Acte 2, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Elle vient près de vous. v.484 (Acte 2, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Vous frémissez !... J'entends un horrible murmure v.485 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Et vous, de leurs décrets auguste confidente, v.493 (Acte 2, scène 3, OLYMPIE)
Ah ! J'en ai plus que vous !... Ma fille, embrassez-moi... v.496 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Du sort de votre époux êtes-vous informée ? v.497 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Quel est votre pays ? Quel sang vous a formée ? v.498 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
De l'innocence en vous que j'aime la candeur ! v.508 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Quoi ! D'un prince ou d'un roi vous ne seriez pas née ? v.510 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Vous, esclave ! v.517 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
En quels temps, en quels lieux fûtes-vous poursuivie v.522 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Par cet affreux destin qui vous mit dans les fers ? v.523 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Vous faites-vous un jeu des pleurs d'une mortelle ? v.534 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Que dites-vous ? v.539 (Acte 2, scène 3, OLYMPIE)
N'avez-vous d'une mère aucun ressouvenir ? v.547 (Acte 2, scène 3, STATIRA)
Hélas ! Vous soupirez, vous pleurez, et mes larmes v.553 (Acte 2, scène 3, OLYMPIE)
Eh quoi ! vous me serrez dans vos bras languissants ! v.555 (Acte 2, scène 3, OLYMPIE)
Vous faites pour parler des efforts impuissants ! v.556 (Acte 2, scène 3, OLYMPIE)
Que nous faudra-t-il faire, et qu'allez-vous entendre ? v.561 (Acte 2, scène 4, L'HIÉROPHANTE)
Qui longtemps comme vous fut dans l'obscurité, v.568 (Acte 2, scène 4, L'HIÉROPHANTE)
Ah ! Mon coeur déchiré me l'a dit avant vous. v.571 (Acte 2, scène 4, STATIRA)
Lorsque par votre hymen vous faites mon supplice ! v.574 (Acte 2, scène 4, STATIRA)
Quoi ! Vous seriez ma mère, et vous en gémissez ! v.575 (Acte 2, scène 4, OLYMPIE)
Si j'en crois mon amour, si vous êtes ma mère, v.581 (Acte 2, scène 4, OLYMPIE)
Le généreux Cassandre a-t-il pu vous déplaire ? v.582 (Acte 2, scène 4, OLYMPIE)
Oui, vous êtes son sang, vous n'en pouvez douter ; v.583 (Acte 2, scène 4, L'HIÉROPHANTE)
Puissiez-vous toutes deux avec lui réunies v.585 (Acte 2, scène 4, L'HI?ROPHANTE)
Quoi ! Vous êtes sa veuve ! Olympie est sa fille ! v.598 (Acte 2, scène 4, OLYMPIE)
Je devais à l'autel où vous nous unissiez v.607 (Acte 2, scène 4, OLYMPIE)
Et vous... dirai-je, hélas ! l'épouse de Cassandre ? v.626 (Acte 2, scène 5, L'HIÉROPHANTE)
Au pied de ces autels vous pouvez vous jeter. v.627 (Acte 2, scène 5, L'HI?ROPHANTE)
Dans quel profond abîme êtes-vous descendus ! v.647 (Acte 2, scène 6, STATIRA)
Vanité des grandeurs, je ne vous connais plus. v.648 (Acte 2, scène 6, STATIRA)
Ma mère, je vous suis... Ah dans ce jour funeste, v.649 (Acte 2, scène 6, OLYMPIE)
Rendez-moi digne au moins du grand nom qui vous reste : v.650 (Acte 2, scène 6, OLYMPIE)
Du grand nom d'Olympie abuse contre vous : v.660 (Acte 3, scène 1, SOSTÈNE)
Vous fait un crime affreux, un crime à détester, v.664 (Acte 3, scène 1, SOST?NE)
Vous le savez, grand Dieu ! n'approchent pas des miens. v.667 (Acte 3, scène 1, CASSANDRE)
Peut retirer la main qu'elle vous a donnée. v.694 (Acte 3, scène 1, SOSTÈNE)
Je meurs sans Olympie, et vous devez la rendre. v.710 (Acte 3, scène 2, CASSANDRE)
Peut-être plus que vous Olympie est à plaindre. v.721 (Acte 3, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Comment ? Que dites-vous ?... Eh ! Que peut-elle craindre ? v.722 (Acte 3, scène 2, CASSANDRE)
Vous l'apprendrez trop tôt. v.723 (Acte 3, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Du parti d'Antigone êtes-vous contre moi ? v.724 (Acte 3, scène 2, CASSANDRE)
Pour vous, pour Olympie, et pour d'autres, seigneur, v.735 (Acte 3, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Voyez si vous avez encor des droits sur elle. v.738 (Acte 3, scène 2, L'HIÉROPHANTE)
Je vous laisse. v.739 (Acte 3, scène 2, L'HI?ROPHANTE)
Quoi ! Vous baissez les yeux de vos larmes remplis ! v.740 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Vous détournez de moi ce front où la nature v.741 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Expliquez-vous, parlez. v.743 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Dans quels bras fuyez-vous mes regards désolés ? v.744 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Qui donc vous accompagne, et vous baigne de larmes ? v.746 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Vous m'avez plus frappé que n'eût fait le tonnerre ; v.769 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Si je vous apprenais que ma main fut trompée v.773 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Que je servais mon père en m'armant contre vous, v.775 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Tout est affreux pour vous !... Vous ne m'écoutez pas : v.780 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Je préfère (et ce choix n'a rien qui vous étonne) v.797 (Acte 3, scène 3, OLYMPIE)
La cendre qui vous couvre au sceptre qu'il me donne. v.798 (Acte 3, scène 3, OLYMPIE)
Je renais... Ah ! Grands dieux ! Vouliez-vous que ma main v.807 (Acte 3, scène 3, STATIRA)
Qu'exigiez-vous de moi ? Quel affreux ministère v.809 (Acte 3, scène 3, STATIRA)
Vous en avez pitié : vous ne prétendiez pas v.811 (Acte 3, scène 3, STATIRA)
M'arrêter dans le piège où vous guidiez mes pas. v.812 (Acte 3, scène 3, STATIRA)
Ni ses frayeurs, ni vous, ni les dieux, ni mes crimes, v.825 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Qui ne connaît plus qu'elle, et qui vous fait horreur. v.832 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Il faudra, malgré vous, que j'emporte au tombeau v.839 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
Vous voyez un des rois formés par Alexandre, v.865 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Vous pourriez remonter, du pied de cet autel, v.867 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Au premier rang du monde où vous plaça le ciel, v.868 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Votre sort est connu, tous les coeurs sont à vous ; v.871 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
M'avouerez-vous ici pour votre défenseur ? v.875 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Si vous servez mon sang, si votre offre est sincère. v.877 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Je me présente à vous armé de la vengeance. v.886 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Mais si vous arrachez aux mains d'un ravisseur v.891 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Si vous la protégez, si vous vengez son père, v.893 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Je ne vois plus en vous que mon dieu tutélaire. v.894 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Digne sang d'Alexandre, approuvez-vous mon zèle ? v.897 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Acceptez-vous mon offre, et pensez-vous comme elle ? v.898 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Je crois vous mériter ; soyez ma récompense. v.902 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Toute autre est un outrage, et c'est vous que je veux. v.903 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
De mon bras, de la reine, et surtout de vous-même ; v.906 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Prononcez : daignez-vous m'honorer d'un tel prix ? v.907 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Vous m'offrez votre main pour venger mes injures. v.918 (Acte 3, scène 5, OLYMPIE)
Que puis-je vous répondre ?... Ah ! dans de tels moments, v.919 (Acte 3, scène 5, OLYMPIE)
Ah ! je vous réponds d'elle, et le ciel vous la donne. v.925 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Mais vous la méritez en osant la défendre. v.929 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
C'est vous qu'en expirant désignait Alexandre ; v.930 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Il nomma le plus digne, et vous le devenez : v.931 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Son trône est votre bien quand vous le soutenez. v.932 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Que des dieux immortels la faveur vous seconde ! v.933 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Que leur main vous conduise à l'empire du monde ! v.934 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Vous verront sans regret au trône de mes pères ; v.937 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
En écarter pour vous cette fatalité v.939 (Acte 3, scène 5, STATIRA)
Montrez-vous avec elle aux peuples de l'Asie, v.942 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
Que je vous fasse entendre une timide voix. v.956 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Je vous chéris, ma mère, et je voudrais répandre v.957 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Le sang que je reçus de vous et d'Alexandre, v.958 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Vous m'y verrez soumise, et foulant à vos pieds v.963 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Ces trônes malheureux, pour vous seule oubliés. v.964 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Dieux ! M'avez-vous rendu la fille d'Alexandre ? v.974 (Acte 3, scène 6, STATIRA)
Je sens trop de quels coups je viens de vous frapper ; v.979 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Mais je vous chéris trop pour vouloir vous tromper. v.980 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Je vous jure v.993 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Par les dieux, par mon nom, par vous, par la nature, v.994 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Mon coeur vous est connu. Je vous ai dit que j'aime ; v.997 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Si ce coeur est à vous, et si vous l'emportez v.999 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
De mon père et de vous je me sens le courage : v.1002 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Et vous me connaîtrez en me voyant mourir. v.1004 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Arrachez-moi ce coeur ; vous verrez qu'un époux, v.1007 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Quelque cher qu'il me fût, y régnait moins que vous ; v.1008 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Vous y reconnaîtrez ce pur sang qui m'anime. v.1009 (Acte 3, scène 6, OLYMPIE)
Vous me l'aviez bien dit, les saints lieux profanés v.1019 (Acte 4, scène 1, HERMAS)
Par cet autre chemin s'avance contre vous. v.1024 (Acte 4, scène 1, HERMAS)
Entre Cassandre et vous le peuple se divise. v.1026 (Acte 4, scène 1, HERMAS)
Et le dieu qui vous parle, et ses solennités. v.1080 (Acte 4, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Pardonne, Dieu puissant ! Vous, rois, obéissez. v.1084 (Acte 4, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Je cède au ciel, à vous. v.1085 (Acte 4, scène 3, CASSANDRE)
Rendez-vous à la loi, respectez sa justice ; v.1093 (Acte 4, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Qu'osez-vous attenter, quand c'est à vous d'attendre v.1113 (Acte 4, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Il ne vous l'ôte point ce coeur docile et tendre, v.1133 (Acte 4, scène 4, SOSTÈNE)
Elle peut vous aimer sans trahir la nature. v.1137 (Acte 4, scène 4, SOST?NE)
C'est un malheur pour vous que permirent les dieux. v.1140 (Acte 4, scène 4, SOST?NE)
Vous n'avez point trempé dans la mort de son père ; v.1141 (Acte 4, scène 4, SOST?NE)
Hélas la voyez-vous en proie à ses douleurs ? v.1155 (Acte 4, scène 4, SOSTÈNE)
Non, vous ne l'êtes pas. v.1160 (Acte 4, scène 5, OLYMPIE)
Vous ai-je idolâtrée ? v.1171 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Libre dans vos bontés, maîtresse de vous-même, v.1173 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Cette voix favorable à l'époux qui vous aime, v.1174 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Aux lieux où je vous parle, à ces mêmes autels, v.1175 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Vous m'aimiez, Olympie ! v.1179 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Eh bien ! De mon rival si l'amour vous offense, v.1201 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Vous ne sauriez m'ôter un rayon d'espérance ; v.1202 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Ce refus est ma grâce, et je me crois à vous. v.1204 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Tout souillé que je suis du sang qui vous fit naître, v.1205 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Vous êtes, vous serez la moitié de mon être, v.1206 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Non, sans vous je n'en saurais sortir. v.1215 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
À me suivre à l'instant vous devez consentir. v.1216 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Ah ! Trop loin vous portez la vengeance ; v.1221 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Le ciel sait faire grâce, et vous savez punir ; v.1223 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Quand vous auriez Cassandre encor plus en horreur, v.1231 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Quand vous m'épouseriez pour me percer le coeur, v.1232 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Vous me suivrez... Il faut que mon sort s'accomplisse. v.1233 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
Ce supplice est sans terme, et j'en jure par vous. v.1235 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
À mon rival ainsi vous m'immolez ! v.1243 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
Je vais chercher la mort, puisque vous le voulez. v.1244 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
Sans vous, le jour m'est exécrable ; v.1246 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
Je vous arrache au temple, ou j'y meurs à vos yeux. v.1248 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
Vous aurez sur mon âme un absolu pouvoir, v.1252 (Acte 4, scène 7, OLYMPIE)
Je m'abandonne à vous, c'est par vous que je jure v.1254 (Acte 4, scène 7, OLYMPIE)
De vous sacrifier mes plus chers sentiments... v.1255 (Acte 4, scène 7, OLYMPIE)
Dieux ! Vous les receviez ; ô dieux ! Votre clémence v.1257 (Acte 4, scène 7, OLYMPIE)
Vous avez tout changé... mais changez donc mon coeur, v.1259 (Acte 4, scène 7, OLYMPIE)
Pontife, où courez-vous ? Protégez ma faiblesse. v.1273 (Acte 4, scène 8, OLYMPIE)
Vous tremblez !... Vous pleurez !... v.1274 (Acte 4, scène 8, OLYMPIE)
Résignez-vous au ciel ; vous n'avez plus que lui. v.1276 (Acte 4, scène 8, L'HIÉROPHANTE)
Hélas ! Que dites-vous ? v.1277 (Acte 4, scène 8, OLYMPIE)
Cassandre jusqu'à vous se frayait un chemin : v.1284 (Acte 4, scène 8, L'HIÉROPHANTE)
L'a cru maître à la fois et du temple et de vous : v.1288 (Acte 4, scène 8, L'HI?ROPHANTE)
Vous fit puiser la vie et la calamité. v.1292 (Acte 4, scène 8, L'HI?ROPHANTE)
Armez-vous de courage, il doit ici paraître. v.1313 (Acte 4, scène 8, L'HIÉROPHANTE)
Seigneur, sera perdue et pour vous et pour lui. v.1318 (Acte 5, scène 1, HERMAS)
Seigneur, le croyez-vous ? v.1343 (Acte 5, scène 1, HERMAS)
Mêleriez-vous du sang aux pleurs qu'on voit répandre ; v.1347 (Acte 5, scène 1, HERMAS)
Reculeront d'horreur, et ne vous suivront pas. v.1350 (Acte 5, scène 1, HERMAS)
L'ennemi qui deux fois vous priva d'une mère v.1367 (Acte 5, scène 1, ANTIGONE)
Je déplore sa perte autant que je vous plains : v.1374 (Acte 5, scène 1, ANTIGONE)
Si chère à mon espoir, et par vous révérée ; v.1376 (Acte 5, scène 1, ANTIGONE)
Consultez-vous, madame, et gardez sa promesse. v.1379 (Acte 5, scène 1, ANTIGONE)
Vous qui compatissez à l'horreur qui me presse, v.1380 (Acte 5, scène 3, OLYMPIE)
Vous, ministre d'un dieu de paix et de douceur, v.1381 (Acte 5, scène 3, OLYMPIE)
Auriez-vous bien, seigneur, assez de dureté v.1385 (Acte 5, scène 3, OLYMPIE)
Je pleure vos destins ; mais que puis-je pour vous ? v.1389 (Acte 5, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Vous avez entendu sa volonté dernière, v.1391 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Et si vous résistez à sa mourante voix, v.1393 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Votre main ne dépend que de vous et des dieux. v.1398 (Acte 5, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Bientôt tout va changer : vous pouvez, Olympie, v.1399 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
C'est à vous à sentir, dans ces extrémités, v.1405 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Ce que doit votre coeur au sang dont vous sortez. v.1406 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Seigneur, je vous l'ai dit ; cet hymen, et tout autre, v.1407 (Acte 5, scène 3, OLYMPIE)
Sont forcés maintenant à s'en remettre à vous. v.1414 (Acte 5, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Vous préviendrez d'un mot le trouble et le carnage v.1415 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Décidez-vous, princesse, et le peuple s'apaise. v.1424 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Quand vous aurez parlé, soutiendra votre choix : v.1426 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Malgré la juste horreur qu'il vous semble inspirer. v.1430 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Je subis mon destin ; vous voyez sa rigueur ; v.1433 (Acte 5, scène 3, OLYMPIE)
Vous acceptez les voeux et la main qu'il vous donne ? v.1436 (Acte 5, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Vous-même l'avouez ; et cette heure dernière, v.1439 (Acte 5, scène 3, OLYMPIE)
Au bûcher qui l'attend vous allez la porter ? v.1441 (Acte 5, scène 3, OLYMPIE)
Vous la recueillerez. v.1444 (Acte 5, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Hélas ! vous le devez ; nous partageons vos larmes : v.1451 (Acte 5, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Vous n'avez rien à craindre ; et ces rivaux en armes v.1452 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Vous les plaindrez peut-être, et les approuverez. v.1470 (Acte 5, scène 3, OLYMPIE)
De vos destins encor vous êtes la maîtresse, v.1471 (Acte 5, scène 3, L'HIÉROPHANTE)
Vous n'avez que ce jour ; il fuit, et le temps presse. v.1472 (Acte 5, scène 3, L'HI?ROPHANTE)
Levez-vous, et cessez de profaner du moins v.1497 (Acte 5, scène 5, OLYMPIE)
Statira vous dictait l'arrêt qu'il vous faut rendre. v.1504 (Acte 5, scène 6, ANTIGONE)
Vous en pouvez juger, puisque mon bras vengeur v.1506 (Acte 5, scène 6, ANTIGONE)
Je vous prends en ces lieux pour son juge et le mien. v.1509 (Acte 5, scène 6, ANTIGONE)
On vous verra, madame, et du moins je l'espère, v.1511 (Acte 5, scène 6, ANTIGONE)
Vous êtes dans ce temple encore ensevelie ; v.1515 (Acte 5, scène 6, ANTIGONE)
Il faut entre nous deux que vous vous déclariez. v.1517 (Acte 5, scène 6, ANTIGONE)
J'y consens ; mais je veux que vous me respectiez. v.1518 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Vous voyez ces apprêts, ces dons que je dois faire v.1519 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Vous choisissez ce temps, impétueux rivaux, v.1521 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Rois après son trépas, que, si je vous suis chère, v.1524 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Vous ne troublerez point mes devoirs et mon choix. v.1526 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Je le dois, je le jure ; et vous devez connaître v.1527 (Acte 5, scène 6, CASSANDRE)
Combien je vous respecte, et dédaigne ce traître. v.1528 (Acte 5, scène 6, CASSANDRE)
Vous-même l'avez dit, qu'Alexandre m'écoute. v.1532 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Connaissez donc ce coeur que vous persécutez, v.1534 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Et vous-mêmes jugez du parti qui me reste. v.1535 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Vous sentez tout l'excès de ma calamité : v.1537 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Ainsi vous pouvez me braver, v.1546 (Acte 5, scène 6, ANTIGONE)
A ses mânes, à vous, je ne fais point d'injure ; v.1548 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Cassandre, devant lui je vous donnai ma foi ; v.1550 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Je vous laisse en juger : vous connaissez vos crimes ; v.1552 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Il serait superflu de vous les reprocher : v.1553 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Je ne puis vous toucher ! v.1554 (Acte 5, scène 6, CASSANDRE)
Je ne puis adoucir cette horreur qui vous presse ! v.1555 (Acte 5, scène 6, CASSANDRE)
Il faut vous éclairer : gardez votre promesse. v.1556 (Acte 5, scène 6, OLYMPIE)
Attends ici le mien. Vous, mânes de ma mère, v.1563 (Acte 5, scène 7, OLYMPIE)
Vous, qu'un juste courroux doit encore animer, v.1565 (Acte 5, scène 7, OLYMPIE)
Vous recevrez des dons qui pourront vous calmer. v.1566 (Acte 5, scène 7, OLYMPIE)
De mon père et de vous ils sont dignes peut-être... v.1567 (Acte 5, scène 7, OLYMPIE)
Maîtres des vils humains, pourquoi les formiez-vous ? v.1590 (Acte 5, scène 7, ANTIGONE)
A quoi réservez-vous ma déplorable vie ? v.1592 (Acte 5, scène 7, ANTIGONE)

ZAÏRE (1732)

Aux nouveaux sentiments que ce lieu vous inspire. v.2 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Vous ne les tournez plus vers ces heureux climats v.7 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Vous ne me parlez plus de ces belles contrées v.9 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Ne soupirez-vous plus pour cette liberté ? v.15 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Ce nom d'esclave enfin, n'ont-ils rien qui vous gêne ? v.17 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Préférez-vous Solyme aux rives de la Seine ? v.18 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Avez-vous oublié v.27 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Ne voudriez-vous pas ?... v.48 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Comment ? Que prétendez-vous dire ? v.49 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Puisse cette grandeur qui vous est destinée, v.82 (Acte 1, scène 1, FATIME)
N'est-il point en secret de frein qui vous retienne ? v.85 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Ne vous souvient-il plus que vous fûtes chrétienne ? v.86 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Vous dit que d'un chrétien vous reçûtes le jour. v.92 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Que dis-je ? Cette croix qui sur vous fut trouvée, v.93 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Cette croix, dont cent fois mes soins vous ont parée, v.97 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Que vous deviez au Dieu que vous avez quitté. v.100 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Pourquoi donc aujourd'hui vous déclarer contre eux ? v.128 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Vous allez des chrétiens devenir l'ennemie ; v.130 (Acte 1, scène 1, FATIME)
Vous allez épouser leur superbe vainqueur. v.131 (Acte 1, scène 1, FATIME)
J'ai cru, sur mes projets, sur vous, sur mon amour, v.159 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Devoir en musulman vous parler sans détour. v.160 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
De ne choisir que vous pour maîtresse et pour femme, v.190 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
De partager mon coeur entre la guerre et vous. v.192 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Je sais vous estimer autant que je vous aime, v.197 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Et sur votre vertu me fier à vous-même. v.198 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Après un tel aveu, vous connaissez mon coeur ; v.199 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Vous sentez qu'en vous seule il a mis son bonheur. v.200 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Vous comprenez assez quelle amertume affreuse v.201 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Si vous ne receviez les dons que je vous fais v.203 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Je vous aime, Zaïre, et j'attends de votre âme v.205 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Je veux avec excès vous aimer et vous plaire. v.210 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Je viens vous épouser, mais c'est à ce seul prix ; v.212 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Me rend infortuné s'il ne vous rend heureuse. v.214 (Acte 1, scène 2, OROSMANE)
Vous, seigneur, malheureux ! Ah ! Si votre grand coeur v.215 (Acte 1, scène 2, ZAÏRE)
Quel mortel fut jamais plus heureux que vous l'êtes ! v.218 (Acte 1, scène 2, ZA?RE)
Ces noms nous sont communs : et j'ai par-dessus vous v.220 (Acte 1, scène 2, ZA?RE)
Et vous, allez, Zaïre, v.293 (Acte 1, scène 4, OROSMANE)
La pompe d'un hymen qui vous doit couronner. v.296 (Acte 1, scène 4, OROSMANE)
Que dites-vous, seigneur ? v.299 (Acte 1, scène 5, CORASMIN)
De ce soupçon jaloux écoutez-vous l'erreur ? v.300 (Acte 1, scène 5, CORASMIN)
Vous qui brisez les fers de tant de malheureux, v.316 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Vous, sauveur des chrétiens, qu'un Dieu sauveur envoie, v.317 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Paraissez, montrez-vous, goûtez la douce joie v.318 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Aux portes du sérail en foule ils vous demandent ; v.321 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
J'ai fait ce qu'à ma place on vous aurait vu faire. v.326 (Acte 2, scène 1, NÉRESTAN)
De remplir comme vous un si noble devoir ! v.332 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Jamais nos yeux sans vous ne reverraient la France. v.337 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Je vous offre pour eux ma liberté, ma vie ; v.366 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Disposez-en, seigneur, elle vous appartient. v.367 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Lusignan, comme à moi, ne vous est pas connu. v.376 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Ciel ! Si vous aviez vu ce temple abandonné, v.383 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Dans ce même sérail, seigneur, où je vous vois. v.440 (Acte 2, scène 1, NÉRESTAN)
Qui dans vos premiers ans vous sauva de leurs mains. v.448 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
M'en croirez-vous ? Le juste, aussi bien que le sage, v.453 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Vous pourriez de Zaïre employer la faveur v.455 (Acte 2, scène 1, CHATILLON)
Croyez-vous qu'Orosmane y daigne consentir ? v.463 (Acte 2, scène 1, NÉRESTAN)
C'est vous, digne Français, à qui je viens parler. v.475 (Acte 2, scène 2, ZAÏRE)
Le soudan le permet, cessez de vous troubler ; v.476 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Prisonnier dans Solyme, enfin je vous revis ; v.487 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Vous daignâtes bientôt, soit grandeur, soit pitié, v.491 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Vous l'apportez : le ciel a trompé vos bienfaits ; v.495 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Loin de vous, dans Solyme, il m'arrête à jamais. v.496 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Je ne puis vous quitter sans répandre des larmes. v.498 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Comme vous, des humains soulager la misère. v.501 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Vous me les rendez chers, et ces infortunés... v.503 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Vous, les protéger ! Vous, qui les abandonnez ! v.504 (Acte 2, scène 2, NÉRESTAN)
Vous, qui des Lusignan foulant aux pieds la cendre... v.505 (Acte 2, scène 2, N?RESTAN)
Je la viens honorer, seigneur, je viens vous rendre v.506 (Acte 2, scène 2, ZAÏRE)
Oui, Lusignan est libre, et vous l'allez revoir. v.508 (Acte 2, scène 2, ZA?RE)
Les chrétiens vous devraient une tête si chère ! v.510 (Acte 2, scène 2, NÉRESTAN)
Oui, seigneur, oui, vous l'êtes. v.521 (Acte 2, scène 3, ZAÏRE)
Vous vivez, vous calmez nos douleurs inquiètes. v.522 (Acte 2, scène 3, CHATILLON)
Chatillon, c'est donc vous ? C'est vous que je revois ! v.524 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Ce généreux Français, qui vous est inconnu, v.532 (Acte 2, scène 3, ZAÏRE)
Croit, en vous délivrant, égaler son grand coeur. v.536 (Acte 2, scène 3, ZA?RE)
Trop digne chevalier, quoi ! Vous passez les mers v.539 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Vous voyez qu'au tombeau je suis prêt à descendre : v.562 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Vous, généreux témoins de mon heure dernière, v.565 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Nérestan, Chatillon, et vous... de qui les pleurs v.567 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Qui répand devant vous des larmes que le temps v.571 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
De vos malheurs encor vous me voyez frémir. v.576 (Acte 2, scène 3, CHATILLON)
Vous... Seigneur !... Ce sérail éleva votre enfance ?... v.601 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Hélas ! De mes enfants auriez-vous connaissance ? v.602 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Depuis quand l'avez-vous ? v.605 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Seigneur, que faites-vous ? v.609 (Acte 2, scène 3, ZAÏRE)
Nérestan, si je dois vous nommer de ce nom, v.628 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Avez-vous dans le sein la cicatrice heureuse, v.629 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Je vous revois enfin, chère et triste famille, v.637 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Mon fils, digne héritier... vous... Hélas ! Vous, ma fille ! v.638 (Acte 2, scène 3, LUSIGNAN)
Je ne puis vous tromper ; sous les lois d'Orosmane... v.645 (Acte 2, scène 3, ZAÏRE)
Madame, le soudan m'ordonne de vous dire v.694 (Acte 2, scène 4, CORASMIN)
Qu'à l'instant de ces lieux il faut vous retirer, v.695 (Acte 2, scène 4, CORASMIN)
Et de ces vils chrétiens surtout vous séparer. v.696 (Acte 2, scène 4, CORASMIN)
Vous, Français, suivez-moi ; de vous je dois répondre. v.697 (Acte 2, scène 4, CORASMIN)
Ô vous que je n'ose nommer, v.700 (Acte 2, scène 4, LUSIGNAN)
Je vous le jure. v.702 (Acte 2, scène 4, ZAÏRE)
Vous étiez, Corasmin, trompé par vos alarmes ; v.703 (Acte 3, scène 1, OROSMANE)
Et vous avez, seigneur, encor cette indulgence ? v.747 (Acte 3, scène 1, CORASMIN)
Ma soeur, je puis donc vous parler ; v.769 (Acte 3, scène 4, NÉRESTAN)
Vous ne reverrez plus un trop malheureux père. v.771 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Demande en soupirant si vous êtes chrétienne. v.780 (Acte 3, scène 4, NÉRESTAN)
Quoi ! Je suis votre soeur, et vous pouvez penser v.781 (Acte 3, scène 4, ZAÏRE)
Le jour qui vous éclaire est pour vous à l'aurore ; v.784 (Acte 3, scène 4, NÉRESTAN)
Vous n'avez point reçu ce gage précieux v.785 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Par ces martyrs sacrés de qui vous êtes fille, v.788 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Que vous voulez ici recevoir aujourd'hui v.789 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Qui nous a rassemblés, qui m'a conduit vers vous. v.798 (Acte 3, scène 4, NÉRESTAN)
Vous apporter la vie, et dessiller vos yeux. v.802 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Ne vous apporte point la mort et l'anathème. v.804 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Vous, le sang de vingt rois, esclave d'Orosmane ! v.808 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Vous chrétienne, et ma soeur, esclave d'un soudan ! v.810 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Vous m'entendez... je n'ose en dire davantage : v.811 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Dieu, nous réserviez-vous à ce dernier outrage ? v.812 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Ah ! Cruel, poursuivez, vous ne connaissez pas v.813 (Acte 3, scène 4, ZAÏRE)
Ô ciel ! Que dites-vous ? Ah ! La mort la plus prompte v.827 (Acte 3, scène 4, NÉRESTAN)
Qui ? Vous ? Ma soeur ! v.829 (Acte 3, scène 4, NÉRESTAN)
L'épouser ! Est-il vrai, ma soeur ? Est-ce vous-même ? v.831 (Acte 3, scène 4, NÉRESTAN)
Vous, la fille des rois ? v.832 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Opprobre malheureux du sang dont vous sortez, v.833 (Acte 3, scène 4, NÉRESTAN)
Vous demandez la mort, et vous la méritez : v.834 (Acte 3, scène 4, N?RESTAN)
Mon père, mon pays, vous serez satisfaits ! v.906 (Acte 3, scène 5, ZAÏRE)
Mon peuple prosterné pour vous offre ses voeux : v.926 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Heureuses de vous suivre et de vous obéir, v.929 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Que dites-vous ? v.934 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Ce trouble à mes désirs vous rend encor plus chère ; v.939 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Et méprisant pour vous les trônes de l'Asie, v.948 (Acte 3, scène 6, ZAÏRE)
J'eusse pu sous mes pieds les fouler avec vous. v.950 (Acte 3, scène 6, ZA?RE)
Vous n'êtes point chrétienne ; élevée en ces lieux, v.957 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Vous suivez dès longtemps la foi de mes aïeux. v.958 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Cette aimable pitié, qu'il s'attire de vous, v.961 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Seigneur, si vous m'aimez, si je vous étais chère... v.963 (Acte 3, scène 6, ZAÏRE)
Si vous l'êtes, ah ! Dieu ! v.964 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Que dites-vous ? Ô ciel ! Est-ce vous qui parlez ? v.966 (Acte 3, scène 6, OROSMANE)
Il m'est affreux, seigneur, de vous déplaire ; v.968 (Acte 3, scène 6, ZAÏRE)
Vous seul causez son trouble, et vous vous en plaignez ! v.981 (Acte 3, scène 7, CORASMIN)
Vous accusez, seigneur, un coeur où vous régnez ! v.982 (Acte 3, scène 7, CORASMIN)
N'avez-vous pas, seigneur, permis, malgré nos lois, v.1009 (Acte 3, scène 7, CORASMIN)
Que je vous plains, Madame, et que je vous admire ! v.1039 (Acte 4, scène 1, FATIME)
C'est le Dieu des chrétiens, c'est Dieu qui vous inspire : v.1040 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Vous demandez sa grâce, il vous doit sa justice : v.1044 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Si vous ne voyez plus votre auguste famille, v.1047 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Le Dieu que vous servez vous adopte pour fille ; v.1048 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Vous êtes dans ses bras, il parle à votre coeur ; v.1049 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Mon_Dieu, vous l'ordonnez !... J'eusse été trop heureuse. v.1055 (Acte 4, scène 1, ZAÏRE)
Père, mère, chrétiens, vous mon_Dieu, vous mon maître, v.1072 (Acte 4, scène 1, ZAÏRE)
Vous qui de mon amant me privez aujourd'hui, v.1073 (Acte 4, scène 1, ZA?RE)
Quoi ! Vous ! Fille des rois, que vous prétendez suivre, v.1080 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Vous, dans les bras d'un Dieu, votre éternel appui... v.1081 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Ah ! Ne voyez-vous pas que pour vous consoler... v.1101 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Expose les chrétiens, qui n'ont que vous d'appui, v.1109 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Et va trahir le Dieu qui vous rappelle à lui. v.1110 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Et plus il vous adore, et moins il peut souffrir v.1113 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Qu'on vous ose annoncer un Dieu qu'il doit haïr. v.1114 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Et vous avez promis... v.1116 (Acte 4, scène 1, FATIME)
Vous ne m'entendrez point, amant faible et jaloux, v.1125 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
En reproches honteux éclater contre vous, v.1126 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Je viens vous déclarer que le plus froid mépris v.1129 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Ne vous préparez point à tromper ma tendresse, v.1131 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Vous ramène un amant qui ne vous connaît plus, v.1134 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Au rang que mon amour vous daignait présenter ; v.1138 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Que j'aime mieux vous perdre, et, loin de votre vue, v.1143 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Mourir désespéré de vous avoir perdue, v.1144 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Que de vous posséder, s'il faut qu'à votre foi v.1145 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Eh bien ! Puisqu'il est vrai que vous ne m'aimez plus, v.1150 (Acte 4, scène 2, ZAÏRE)
Que je vous adorai, que je vous abandonne, v.1152 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Que je renonce à vous, que vous le désirez, v.1153 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Que sous une autre loi... Zaïre, vous pleurez ? v.1154 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Je sais qu'il faut vous perdre, et mon sort l'a voulu : v.1157 (Acte 4, scène 2, ZAÏRE)
Mais, seigneur, mais mon coeur ne vous est pas connu. v.1158 (Acte 4, scène 2, ZA?RE)
Zaïre, vous m'aimez ! v.1161 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Vous m'aimez ! Eh ! Pourquoi vous forcez-vous, cruelle, v.1163 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Vous me désespérez. v.1186 (Acte 4, scène 2, ZAÏRE)
Vous m'êtes cher, sans doute, et ma tendresse extrême v.1187 (Acte 4, scène 2, ZA?RE)
Est le comble des maux pour ce coeur qui vous aime. v.1188 (Acte 4, scène 2, ZA?RE)
Ô ciel ! Expliquez-vous. Quoi ! Toujours me troubler ? v.1189 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Quel étrange secret me cachez-vous, Zaïre ? v.1191 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Eh ! Peut-on vous trahir ? v.1193 (Acte 4, scène 2, ZAÏRE)
Seigneur, entre eux et vous vous me verriez courir : v.1194 (Acte 4, scène 2, ZA?RE)
On ne vous trahit point, pour vous rien n'est à craindre ; v.1195 (Acte 4, scène 2, ZA?RE)
Vous, à plaindre ! Grand Dieu ! v.1197 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Je demande en tremblant une grâce de vous. v.1198 (Acte 4, scène 2, ZAÏRE)
Seule, loin de vous-même, et toute à mon ennui, v.1202 (Acte 4, scène 2, ZAÏRE)
Demain, tous mes secrets vous seront révélés. v.1205 (Acte 4, scène 2, ZA?RE)
De quelle inquiétude, ô ciel ! Vous m'accablez : v.1206 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Pouvez-vous ?... v.1207 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Si pour moi l'amour vous parle encore, v.1207 (Acte 4, scène 2, ZAÏRE)
Eh bien ! Il faut vouloir tout ce que vous voulez ; v.1209 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Allez, souvenez-vous que je vous sacrifie v.1211 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
En me parlant ainsi, vous me percez le coeur. v.1213 (Acte 4, scène 2, ZAÏRE)
Eh bien ! Vous me quittez, Zaïre ? v.1214 (Acte 4, scène 2, OROSMANE)
Pourra vous éclaircir, et calmer votre coeur. v.1246 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Où vous pouvez sans bruit, et sans être aperçue, v.1251 (Acte 4, scène 5, OROSMANE)
Il faut tout hasarder ; vous connaissez mon zèle : v.1253 (Acte 4, scène 5, OROSMANE)
Je vous attends ; je meurs, si vous n'êtes fidèle. » v.1254 (Acte 4, scène 5, OROSMANE)
Seigneur, à cet affront vous êtes insensible ? v.1258 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Vous, dont le coeur tantôt, sur un simple soupçon, v.1259 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Vous guérit d'un amour qui blessait votre gloire. v.1262 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Seigneur, si vous souffrez mon zèle, v.1290 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Si, parmi les horreurs qui doivent vous troubler, v.1291 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Vous vouliez... v.1292 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Hélas ! En cet état que pourrez-vous lui dire ? v.1294 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Ah ! Seigneur, vous allez, dans votre désespoir, v.1296 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Vous plaindre, menacer, faire couler ses larmes. v.1297 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Vos hontes contre vous lui donneront des armes ; v.1298 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
M'en croirez-vous ? Cachez cette lettre à sa vue. v.1301 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Seigneur, je crains pour vous ce funeste entretien ; v.1311 (Acte 4, scène 5, CORASMIN)
Seigneur, vous m'étonnez ; quelle raison soudaine, v.1321 (Acte 4, scène 6, ZAÏRE)
Quel ordre si pressant près de vous me ramène ? v.1322 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Eh bien ! Madame, il faut que vous m'éclaircissiez : v.1323 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Cet ordre est important plus que vous ne croyez ; v.1324 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Peut-être qu'en effet ce que j'ai fait pour vous, v.1327 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Ont arraché de vous quelque reconnaissance. v.1330 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Dans votre âme, avec vous, il est temps que je lise ; v.1333 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Jugez-vous : répondez avec la vérité v.1335 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Que vous devez au moins à ma sincérité. v.1336 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Vous, seigneur ! Vous osez me tenir ce langage ! v.1345 (Acte 4, scène 6, ZAÏRE)
Vous, cruel ! Apprenez que ce coeur qu'on outrage, v.1346 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
S'il ne vous aimait pas, est né pour vous braver. v.1348 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
A destiné pour vous ma malheureuse vie. v.1354 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Que tout autre, après vous, me serait odieux. v.1359 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Voulez-vous plus savoir, et me connaître mieux ? v.1360 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Voulez-vous que ce coeur, à l'amertume en proie, v.1361 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Ce coeur désespéré devant vous se déploie ? v.1362 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Tout ce que devant vous il déclare aujourd'hui ; v.1364 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Qu'il soupirait pour vous, avant que vos tendresses v.1365 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Qu'il vous aimait enfin, lorsque vous m'ignoriez ; v.1368 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Qu'il n'eut jamais que vous, n'aura que vous pour maître. v.1369 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Si mon coeur fut coupable, ingrat, c'était pour vous. v.1372 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Que dites-vous ? Quel trouble agite votre sein ? v.1376 (Acte 4, scène 6, ZAÏRE)
Je ne suis point troublé. Vous m'aimez ? v.1377 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Vous me glacez de crainte en me parlant d'amour. v.1380 (Acte 4, scène 6, ZAÏRE)
Vous m'aimez ? v.1381 (Acte 4, scène 6, OROSMANE)
Vous pouvez douter de ma tendresse ! v.1381 (Acte 4, scène 6, ZAÏRE)
Mais, encore une fois, quelle fureur vous presse ? v.1382 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Quels regards effrayants vous me lancez ! Hélas ! v.1383 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Vous doutez de mon coeur ? v.1384 (Acte 4, scène 6, ZA?RE)
Oui, je viens d'obéir ; mais vous ne pouvez pas v.1391 (Acte 4, scène 7, CORASMIN)
Vous la verrez sans doute avec indifférence, v.1393 (Acte 4, scène 7, CORASMIN)
Sans que l'amour sur vous en repousse les traits. v.1395 (Acte 4, scène 7, CORASMIN)
Vous ? Ô ciel ! Vous ? v.1397 (Acte 4, scène 7, CORASMIN)
Pourra vous assurer de ma fidélité. v.1435 (Acte 5, scène 2, L'ESCLAVE)
Allez, retirez-vous ; v.1439 (Acte 5, scène 2, FATIME)
On vous rappellera, soyez prêt ; laissez-nous. v.1440 (Acte 5, scène 2, FATIME)
D'un Dieu qui vous demande au. pied de ses autels. v.1444 (Acte 5, scène 3, FATIME)
Ce n'est point Nérestan, c'est Dieu qui vous appelle. v.1445 (Acte 5, scène 3, FATIME)
Ce n'est point leur danger dont vous êtes troublée ; v.1449 (Acte 5, scène 3, FATIME)
Ah ! Connaissez du moins l'erreur qui vous engage. v.1453 (Acte 5, scène 3, FATIME)
Vous tremblez d'offenser l'amant qui vous outrage ! v.1454 (Acte 5, scène 3, FATIME)
Quoi ! Ne voyez-vous pas toutes ses cruautés, v.1455 (Acte 5, scène 3, FATIME)
Même en vous adorant, menaçait sa maîtresse... v.1458 (Acte 5, scène 3, FATIME)
Vous soupirez pour lui ? v.1460 (Acte 5, scène 3, FATIME)
Ce jour souillé par vous !... Misérable Zaïre, v.1514 (Acte 5, scène 7, OROSMANE)
Ah ! Trop cruel ami, quoi ! Vous m'abandonnez ! v.1516 (Acte 5, scène 8, OROSMANE)
Eh ! Que prétendez-vous dans cette horreur extrême ? v.1526 (Acte 5, scène 8, CORASMIN)
Est-ce vous qui pleurez ? Vous, Orosmane ? Ô cieux ! v.1539 (Acte 5, scène 8, CORASMIN)
Ah ! Je tremble pour vous. v.1545 (Acte 5, scène 8, CORASMIN)
Est-ce vous, Nérestan, que j'ai tant attendu ? v.1560 (Acte 5, scène 9, ZAÏRE)
Avez-vous ordonné son supplice ? v.1575 (Acte 5, scène 10, OROSMANE)
Que peut-être il voudrait vous réunir tous deux. v.1600 (Acte 5, scène 10, FATIME)
Hélas ! Seigneur, où portez-vous vos pas ? v.1620 (Acte 5, scène 10, OROSMANE)
Jusqu'au port_de_Joppé vous conduirez leurs pas. v.1627 (Acte 5, scène 10, OROSMANE)

L'ENVIEUX (1738)

Puis-je vous demander si j'obtiendrai l'honneur v.12 (Acte 1, scène 2, ZOILIN)
Allez, vous vous moquez ; il n'est pas fait pour vous. v.64 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Vous le croyez, monsieur ? v.65 (Acte 1, scène 6, LAURE)
De vous avec Hortense, v.65 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Savez-vous, entre nous, quelle est la différence ? v.66 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Vous avez tout, jeunesse, esprit, grâces, beauté. v.68 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
À l'état de suivante, et vous placer au sien. v.72 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Vous m'éclairez beaucoup, vous me faites sentir v.75 (Acte 1, scène 6, LAURE)
Qui, vous, servir Hortense ? et pourquoi, je vous prie ? v.77 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Cependant vous voyez, il est chéri du maître ; v.89 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Vous ferez à merveille. v.97 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Il faut vous établir, et je vous le conseille. v.98 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Mais dès que je l'aurai, je vous jure ma foi v.100 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Aidez-moi seulement, je vous promets dans peu v.103 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
De vous faire épouser Nicodon, mon neveu. v.104 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Entre vous deux bientôt terminer cette affaire ; v.110 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Mais à condition que vous m'avertirez v.111 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
De ce qu'on fait ici, de ce que vous verrez ; v.112 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Je veux savoir par vous tout ce qu'ils ont dans l'âme. v.114 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Ne parlez qu'à moi seul et laissez-vous conduire. v.118 (Acte 1, scène 6, ZOILIN)
Plaisir, fortune, honneur, tout de vous dépendra. v.124 (Acte 1, scène 6, LAURE)
Mon oncle, je vous prie, v.126 (Acte 1, scène 7, NICODON)
L'auriez-vous déjà vu ? v.127 (Acte 1, scène 7, NICODON)
Dites-moi, s'il vous plaît, mon nigaud de neveu, v.132 (Acte 1, scène 7, ZOILIN)
Pourquoi voulez-vous prendre Ariston pour modèle ? v.134 (Acte 1, scène 7, ZOILIN)
Tandis que toujours seul vous périssez d'ennui. v.140 (Acte 1, scène 7, NICODON)
Vous n'avez qu'à parler. v.149 (Acte 1, scène 7, NICODON)
Je vous rencontre ici tous deux en ce moment. v.160 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Qui doit vous réjouir. v.162 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Vous connaissez, monsieur, ce beau poste vacant, v.163 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Vous pâlissez, mon oncle ! v.167 (Acte 1, scène 8, NICODON)
Quelque beau qu'il puisse être, est au-dessous de vous. v.188 (Acte 1, scène 8, ZOILIN)
(Car il en est encor) joignaient pour vous leurs voeux. v.192 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Je vous ai toujours vu penser en citoyen, v.196 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Et vous savez assez qu'à son devoir docile, v.197 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Je vis auprès de vous tout le reste est disgrâce. v.210 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Pour vous, pour mes amis, pour la société. v.215 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Vous parlez bien. Cédez à votre noble envie : v.225 (Acte 1, scène 8, ZOILIN)
Vous saurez le choisir prudent, discret, capable. v.229 (Acte 1, scène 8, ZOILIN)
À ce que vous voulez, je me console : au moins v.235 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Je trouve en vous toujours des consolations, v.239 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
C'est par exemple encore un trait digne de vous, v.247 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Vous ne connaissez pas ce misérable ouvrage ? v.261 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Vous avez bien raison. v.267 (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
Gardez-vous pour jamais de ces traîtres cyniques. v.269 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Vous hantez les cafés où ces pestes publiques v.270 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Vous êtes jeune, et simple, et sans expérience ; v.273 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Vous pouvez avec eux aisément vous gâter : v.275 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Madame vous protège, il le faut mériter. v.276 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Rendez-vous digne enfin de quelque honnête emploi. v.279 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Mais vous le protégez, et c'est là mon excuse. v.282 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Permettez qu'avec vous j'aille trouver Cléon, v.283 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Pour résigner l'emploi dont vous m'avez fait don. v.284 (Acte 1, scène 8, ARISTON)
Vous voulez vous moquer ; il me sied bien à moi v.291 (Acte 1, scène 9, NICODON)
Oh, oh ! vous le croyez ? v.305 (Acte 1, scène 9, NICODON)
Quel conte faites-vous ! v.313 (Acte 1, scène 9, NICODON)
Ariston, dites-vous, v.320 (Acte 1, scène 9, NICODON)
Pris, pour vous obéir, ces deux lettres. v.340 (Acte 1, scène 9, NICODON)
Dans un tout autre sens que vous semblez le croire. v.345 (Acte 1, scène 9, NICODON)
Mais enfin vous savez jusqu'où va sa bonté ; v.355 (Acte 1, scène 9, NICODON)
Vous croyez ? v.358 (Acte 1, scène 9, NICODON)
Avec un bon contrat qui vous soumette à moi ? v.364 (Acte 1, scène 10, LAURE)
Et sur quoi fondez-vous cette plaisante idée ? v.365 (Acte 1, scène 10, NICODON)
Sur l'aveu dont cent fois vous m'avez excédée, v.366 (Acte 1, scène 10, LAURE)
Sur l'amour, sur l'honneur qui vous tient engagé ! v.367 (Acte 1, scène 10, LAURE)
Seriez-vous à l'instant devenu fou ! v.373 (Acte 1, scène 10, LAURE)
Quelquefois, par hasard, perdez-vous la cervelle ? v.374 (Acte 1, scène 10, NICODON)
Apprenti petit-maître, oubliez-vous souvent v.375 (Acte 1, scène 10, LAURE)
Vous ne m'aimez donc plus ? Je ne sais qui m'arrête v.378 (Acte 1, scène 10, LAURE)
Pourquoi m'amusiez-vous par ces vaines sornettes ? v.389 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Écoutez c'est un traître, ou bien c'est vous qui l'êtes ; v.390 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Ou votre neveu ment, ou vous avez menti. v.392 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Je ne garantis pas qu'il vous soit bien fidèle, v.394 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Mais je vous garantis que vous seriez à lui, v.395 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Que je vous marierais, et peut-être aujourd'hui, v.396 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
A tout ce que l'on veut, et qui de vous dispose. v.398 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Ariston ne veut pas qu'on vous épouse. v.399 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Il dit de vous hier... il faisait une histoire... v.405 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Eh mais, vous jugez bien v.407 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Ne vous parlait-il point de ce jeune commis v.411 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Il voulait vous parler d'un étourdi de page... v.417 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Çà, vous voyez mon coeur et ma naïveté ; v.423 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Tout ce qu'on dit de vous, je vous l'ai rapporté. v.424 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Votre tour est venu : c'est à vous de m'apprendre v.425 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Tout ce que sur mon compte on vous a fait entendre. v.426 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Expliquez-vous nûment, sans détour, sans façon. v.428 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Vous drapaient joliment ; qu'ils en disaient de bonnes ! v.430 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Assurait que jamais vous n'aviez eu d'amis. v.432 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Hélas ! s'il disait vrai que vous seriez à plaindre ! v.433 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Il ajoutait encor qu'il faut toujours vous craindre. v.434 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Vous tranchait hardiment certain mot de fripon. v.436 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Disait que vous n'étiez qu'un pédant satirique, v.438 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Attendez : Libermont, qui très peu vous honore, v.449 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Mais peut-être il vous hait, et de plus vous méprise. v.457 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Beaucoup de mal de vous, puisqu'il en dit de moi ? v.459 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Je vous le traiterai de la bonne manière. v.461 (Acte 2, scène 1, LAURE)
Modérez-vous. v.462 (Acte 2, scène 1, ZOILIN)
Que l'on cherche Ariston ; courez partout, vous dis-je. v.466 (Acte 2, scène 2, HORTENSE)
Je lui dirai son fait vertement, je vous jure. v.473 (Acte 2, scène 2, LAURE)
Mais vous pourriez m'instruire v.477 (Acte 2, scène 2, HORTENSE)
Vous. Votre neveu perd-il le sens commun ? v.479 (Acte 2, scène 2, HORTENSE)
Ce petit accident vous fera grand honneur. v.488 (Acte 2, scène 2, ZOILIN)
Vous démêlez assez l'air de notre maison ; v.516 (Acte 2, scène 2, HORTENSE)
Vous connaissez Cléon, et sa délicatesse ; v.517 (Acte 2, scène 2, HORTENSE)
Vous aimez Ariston : réglez-vous là-dessus. v.520 (Acte 2, scène 2, HORTENSE)
En grondant le neveu, songez bien, je vous prie, v.525 (Acte 2, scène 2, LAURE)
Miséricorde ! Quoi ! Vous auriez l'impudence, v.546 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Innocent ! qui vous a de la sorte entêté ? v.551 (Acte 2, scène 3, LAURE)
D'où vous vient cette erreur ? v.552 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Vraiment, c'est bien à vous d'être vain ! v.553 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Ah ! si vous m'aviez vu, je me sentais si sot ! v.555 (Acte 2, scène 3, NICODON)
Oh ! qu'avez-vous donc fait ? v.567 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Et c'est vous qui causez tout cela ? v.572 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Et la mienne avec vous ? v.578 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Mon cher enfant, il faut que je vous donne v.581 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Défiez-vous de tout, ne vous mêlez de rien, v.583 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Ah ! ce n'est plus qu'à vous que je prétendrai plaire. v.585 (Acte 2, scène 3, NICODON)
Pour vous conduire en tout avec discernement, v.587 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Je veux prendre sur moi le soin de vous instruire : v.590 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Je vous dirai d'abord... v.591 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Faut-il vous répéter un conseil salutaire ? v.609 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Observez, écoutez, sachez longtemps vous taire. v.610 (Acte 2, scène 3, LAURE)
C'est en vous écoutant que je veux être instruit. v.611 (Acte 2, scène 3, NICODON)
Dans peu vous en verrez le fruit. v.612 (Acte 2, scène 3, NICODON)
Vous le dites du moins, j'en accepte l'augure ; v.613 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Ah ! Si vous acquériez ses manières, son ton, v.624 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Et l'on vous aimerait chaque jour davantage. v.626 (Acte 2, scène 3, LAURE)
Quelque vil scélérat, excité contre vous, v.667 (Acte 2, scène 4, LAURE)
Il faudra vous y suivre, et j'en suis fort fâchée. v.681 (Acte 2, scène 4, LAURE)
Oui, je vous l'avais dit, et vous deviez l'entendre. v.685 (Acte 2, scène 4, LAURE)
Que mon coeur vous aima ? qu'il suivit constamment v.688 (Acte 2, scène 4, HORTENSE)
Non, non, gardez-vous bien d'irriter sa colère. v.693 (Acte 2, scène 4, HORTENSE)
Dites-moi, s'il vous plaît, ce qu'il convient de faire. v.694 (Acte 2, scène 4, LAURE)
Vous le cherchiez. v.696 (Acte 2, scène 4, LAURE)
Vous me voyez saisi d'un juste étonnement ; v.700 (Acte 2, scène 5, ARISTON)
Je venais vous prier d'y présenter Clitandre. v.702 (Acte 2, scène 5, ARISTON)
Cléon, et vous, et moi, je vous le dis sans feindre, v.705 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
Plus que vous ne pensez nous sommes tous à plaindre. v.706 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
Vous devez par raison, surtout par probité, v.707 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
Gardez-vous de venir chez Cléon davantage ; v.709 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
À ces tristes conseils prompt à vous conformer, v.711 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
Je suis confus pour vous d'une telle incartade. v.713 (Acte 2, scène 6, CLITANDRE)
Vous êtes un fripon. v.720 (Acte 2, scène 6, LAURE)
Il vous appartient bien de critiquer ma vie, v.721 (Acte 2, scène 6, LAURE)
Ah ! je me marierai, je vous braverai tous, v.723 (Acte 2, scène 6, LAURE)
Et je ferai très bien mes affaires sans vous. v.724 (Acte 2, scène 6, LAURE)
Car, enfin, de tout temps Cléon vous favorise ; v.730 (Acte 2, scène 7, CLITANDRE)
On sait qu'Hortense et lui dans vous avaient trouvé v.731 (Acte 2, scène 7, CLITANDRE)
Vous ait de cet emploi si faussement flatté. v.754 (Acte 3, scène 1, ARISTON)
Ami, ce n'est pas moi, c'est vous qu'on a perdu. v.761 (Acte 3, scène 1, ARISTON)
Ariston, vous savez qu'à vous seul attachée, v.763 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Ne vous rebutez point. Voyez Cléon, Hortense. v.768 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Il faut vous l'avouer, cette obstination v.785 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
J'entrevois contre vous quelque orage sinistre. v.787 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Écrit très offensant dont on vous fait auteur. v.790 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Quoi qu'il en soit, on cherche à vous faire périr : v.806 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Moins vous le méritez, plus on veut vous détruire. v.807 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Dont l'éclat qui vous suit importune les yeux, v.810 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Sans qu'avec vous jamais il ait eu de querelle, v.811 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
De ce goût que pour vous Hortense a fait paraître, v.820 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
De ce qu'on vous estime, et qu'on vous croit heureux. v.822 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Ah ! vous mettez le comble à ma douleur profonde ! v.823 (Acte 3, scène 1, ARISTON)
Venez, monsieur, venez ; cachez-vous au plus vite, v.831 (Acte 3, scène 1, LE-LAQUAIS)
Esquivez-vous, vous dis-je ; ou vous êtes coffré. v.834 (Acte 3, scène 1, LE-LAQUAIS)
Vingt monstres bleus là-bas vous guettent au passage. v.836 (Acte 3, scène 1, LE-LAQUAIS)
Essayons si l'on peut vous cacher. v.837 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Je ne vous quitte point ; il faut que je partage v.847 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Dans l'horreur des prisons le sort qui vous outrage. v.848 (Acte 3, scène 1, CLITANDRE)
Ah ! vous voici, jeune homme ! v.855 (Acte 3, scène 1, ARISTON)
De vous donner... Je viens... v.856 (Acte 3, scène 3, NICODON)
Qu'est-ce qui vous étonne ? v.856 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
De quoi rougissez-vous ? pourquoi baisser les yeux ? v.857 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
N'osez-vous voir en face un homme malheureux ? v.858 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
S'il est préoccupé, vous avez tout à craindre. v.867 (Acte 3, scène 3, CLITANDRE)
Voyez-vous ce jeune homme ? Il m'aimait ; il m'inspire v.871 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Approchez-vous, prenez ces billets sur la place ; v.887 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
C'est de l'argent comptant, il faut vous en servir v.889 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Songez à vous instruire, et tâchez qu'à la fin v.893 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Si vous voyez Cléon, si vous voyez Hortense, v.895 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Dites-leur, s'il vous plaît, que ma reconnaissance v.896 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Hélas ! À qui faites-vous un tel don ? v.902 (Acte 3, scène 3, NICODON)
À vous que j'aime. v.903 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Mon fils, quelle douleur à mes yeux vous accable ? v.904 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Il s'attendrit pour vous. v.906 (Acte 3, scène 3, CLITANDRE)
Du bien qu'avec raison je vous ai destiné. v.909 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Me jeter, loin de vous, au fond de la rivière. v.912 (Acte 3, scène 3, NICODON)
Si vous saviez, monsieur... v.914 (Acte 3, scène 3, NICODON)
Pauvre enfant, vous pleurez ! v.914 (Acte 3, scène 3, ARISTON)
Avec bien du regret, monsieur, je vous arrête. v.927 (Acte 3, scène 4, L-EXEMPT)
Escorté de vos gens, avec vous, sous vos yeux ? v.933 (Acte 3, scène 4, ARISTON)
Au moins souffrez donc, je vous prie, v.940 (Acte 3, scène 4, CLITANDRE)
Venez, cher Ariston, et que je vous embrasse. v.952 (Acte 3, scène 5, CLÉON)
Qui, vous ! v.953 (Acte 3, scène 5, ARISTON)
Venez-vous insulter au comble du malheur ? v.954 (Acte 3, scène 5, ARISTON)
Moi, que l'on a trompé, qui reviens, qui vous aime ; v.956 (Acte 3, scène 5, CLÉON)
Moi, qui dans mon erreur ai pu vous outrager, v.957 (Acte 3, scène 5, CL?ON)
Monsieur, qu'avez-vous fait ? v.962 (Acte 3, scène 5, ARISTON)
Pourquoi le perdiez-vous ? v.967 (Acte 3, scène 5, ARISTON)
Hélas ! pardonnez-vous à mon époux, à moi ? v.973 (Acte 3, scène 6, HORTENSE)
J'ignore absolument quel trouble vous anime, v.975 (Acte 3, scène 6, ARISTON)
Vous allez de la chose être instruit pleinement ; v.978 (Acte 3, scène 6, CLÉON)
Mettez-vous là, de grâce, et dans cet entretien v.981 (Acte 3, scène 6, CL?ON)
Vous, monsieur, vous savez quel devoir est le vôtre. v.983 (Acte 3, scène 6, CL?ON)
Vous m'avez bien fait voir comme j'en suis trahi ; v.990 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Vous m'avez éclairci sur ses moeurs, sur ses vices : v.991 (Acte 3, scène 7, CL?ON)
Vous connaissez, je crois, quel est mon caractère ; v.995 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Ah ! monseigneur, il faut vous en estimer plus. v.997 (Acte 3, scène 7, ZOILIN)
Vous le croyez ? v.1002 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Comment traiteriez-vous un ingrat dont l'envie v.1003 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Eh bien, que feriez-vous ? v.1012 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
L'ingratitude horrible où vous l'avez forcé. v.1034 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
Qu'il parte. Allons, monsieur, hâtez-vous d'obéir. v.1037 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Dédaignez son offense, et laissez-vous fléchir. v.1038 (Acte 3, scène 7, ARISTON)
Cléon, vous me verrez demander à genoux v.1041 (Acte 3, scène 7, ARISTON)
Sa grâce au souverain, si je ne l'ai de vous. v.1042 (Acte 3, scène 7, ARISTON)
Généreux Ariston, vous êtes trop facile. v.1047 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Mon coeur admire en vous cette vertu tranquille. v.1048 (Acte 3, scène 7, CL?ON)
Étant homme privé, vous pouvez pardonner ; v.1049 (Acte 3, scène 7, CL?ON)
Je suis ce grand exemple, et je dois vous venger v.1053 (Acte 3, scène 7, CL?ON)

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ADÉLAÏDE DU GUESCLIN (1766)

Digne sang de Guesclin, vous qu'on voit aujourd'hui v.1 (Acte 1, scène 1, COUCY)
L'âme d'un vrai soldat, digne de vous peut-être. v.8 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Quoi que vous m'annonciez, je vous croirai sans peine. v.11 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Vous seule, à votre roi le pourriez rappeler, v.49 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Madame, et c'est de quoi je cherche à vous parler. v.50 (Acte 1, scène 1, COUCY)
J'aspirai jusqu'à vous, avant qu'aux murs de Lille v.51 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vendôme trop heureux vous donnât cet asile ; v.52 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Je crus que vous pouviez, approuvant mon dessein v.53 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Mais à de plus beaux noeuds je vous vois destinée. v.59 (Acte 1, scène 1, COUCY)
La guerre dans Cambrai vous avait amenée v.60 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vous méconnut assez pour oser vous poursuivre ; v.64 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Et qui n'aurait brigué l'honneur de vous défendre ? v.68 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vendôme vous sauva, Vendôme eut ce bonheur : v.70 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Il a par trop de droits mérité de vous plaire ; v.72 (Acte 1, scène 1, COUCY)
La justice et l'amour vous pressent de vous rendre : v.75 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Je n'ai rien fait pour vous, je n'ai rien à prétendre ; v.76 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Je me tais... Mais sachez que, pour vous mériter, v.77 (Acte 1, scène 1, COUCY)
À tout autre qu'à lui j'irais vous disputer ; v.78 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Mais Vendôme est mon chef, il vous adore, il m'aime ; v.80 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vous montrer votre gloire, et ce que vous devez v.85 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Au héros qui vous sert et par qui vous vivez. v.86 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Je réunis pour vous mon service et mes voeux ; v.89 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Songez que si l'hymen vous range sous sa loi, v.93 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Si ce prince est à vous, il est à votre roi. v.94 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Qu'avec étonnement, seigneur, je vous contemple ! v.95 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Que vous donnez au monde un rare et grand exemple ! v.96 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Il faut vous admirer quand on sait vous connaître : v.99 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Vous servez votre ami, vous servirez mon maître. v.100 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Seigneur, vous pouvez tout sur ce jeune courage. v.120 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Souvent on vous a vu, par vos conseils prudents, v.121 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Vous pouvez l'expliquer au prince qui vous aime, v.139 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Et de tous vos secrets l'entretenir vous-même : v.140 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Si vous aimez ce prince, et si, dans mes alarmes, v.143 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Avec quelque pitié vous regardez mes larmes, v.144 (Acte 1, scène 1, ADELAIDE)
Je vous ai déjà dit ce que j'ai dû vous dire ; v.152 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Je vous perdrais peut-être ; et mon soin dangereux, v.157 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vous, à vos intérêts rendez-vous moins contraire, v.159 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Pesez sans passion l'honneur qu'il veut vous faire. v.160 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Moi, libre entre vous deux, souffrez que, dès ce jour, v.161 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Je crains de l'affliger, je crains de vous trahir ; v.165 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Madame ; et puisque enfin la France vous est chère. v.168 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Je vous laisse y penser, et je cours près de lui. v.170 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vous, qu'un astre plus doux semblait avoir formée v.187 (Acte 1, scène 2, TAISE)
Vous refusez l'honneur qu'on offre à vos appas, v.189 (Acte 1, scène 2, TAISE)
Si Vendôme vous aime, et si, par son secours... v.193 (Acte 1, scène 2, TAISE)
Voilà donc en effet le soin qui vous dévore, v.196 (Acte 1, scène 2, TAISE)
Et vous pouviez cacher ce secret à ma foi ? v.201 (Acte 1, scène 2, TAISE)
Français, qu'avez-vous fait du héros que j'adore ? v.228 (Acte 1, scène 2, ADELAIDE)
Pour vous, pour votre amant, redoutez son courroux. v.237 (Acte 1, scène 2, TAISE)
Contraignez-vous. v.239 (Acte 1, scène 2, TAISE)
Vous seule adoucissez les maux que nous souffrons, v.241 (Acte 1, scène 3, VENDÔME)
Vous nous rendez plus pur l'air que nous respirons. v.242 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Cette gloire, sans vous obscure et languissante, v.247 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Ainsi, Seigneur... Coucy ne vous a point parlé ? v.257 (Acte 1, scène 3, ADELAIDE)
Vous parlez de Coucy, quand Vendôme vous aime ! v.260 (Acte 1, scène 3, VENDÔME)
Vous qui le chérissiez d'une amitié si tendre, v.263 (Acte 1, scène 3, ADELAIDE)
Vous qui devez au moins des larmes à sa cendre, v.264 (Acte 1, scène 3, ADELAIDE)
Pourriez-vous de l'hymen allumer le flambeau ? v.266 (Acte 1, scène 3, ADELAIDE)
Ah ! je jure par vous, vous qui m'êtes si chère, v.267 (Acte 1, scène 3, VENDÔME)
Que Nemours, après vous, fut toujours à mes yeux v.269 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Et pour m'en consoler, mon coeur n'aurait que vous. v.274 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Son infidèle voix vous a mal informée : v.276 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Si mon frère était mort, doutez-vous que son roi, v.277 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Malheureux par un frère, et fortuné par vous, v.298 (Acte 1, scène 3, VENDÔME)
Tout entier à vous seule, et bravant tant d'alarmes, v.299 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Je ne veux voir que vous, mon hymen, et vos charmes. v.300 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Qu'attendez-vous ? donnez à mon coeur éperdu v.301 (Acte 1, scène 3, VEND?ME)
Comment ! ô ciel ! qui vous arrête ? v.307 (Acte 1, scène 3, VENDÔME)
Quoi ! vous n'osez d'un mot rassurer ma tendresse ? v.312 (Acte 1, scène 4, VENDÔME)
Vous détournez les veux ! vous tremblez ! et je voi v.313 (Acte 1, scène 4, VEND?ME)
Que vous cachez des pleurs qui ne sont pas pour moi. v.314 (Acte 1, scène 4, VEND?ME)
Autant que je le dois je m'intéresse à vous. v.322 (Acte 1, scène 4, ADELAIDE)
Ah ! Que vous savez bien le chemin de mon coeur ? v.326 (Acte 1, scène 4, VENDÔME)
Que vous savez mêler la douceur à l'injure ! v.327 (Acte 1, scène 4, VEND?ME)
Content, rempli de vous, j'abandonne ces lieux, v.329 (Acte 1, scène 4, VEND?ME)
Vous voyez sans pitié sa tendresse alarmée. v.331 (Acte 1, scène 5, TAISE)
Que vous coûterez cher à ce coeur malheureux ! v.334 (Acte 1, scène 5, ADELAIDE)
Nous périssions sans vous, Coucy, je le confesse. v.335 (Acte 2, scène 1, VENDÔME)
C'est vous dont l'esprit ferme et les yeux pénétrants v.337 (Acte 2, scène 1, VEND?ME)
Que n'ai-je, comme vous, ce tranquille courage, v.339 (Acte 2, scène 1, VEND?ME)
Ce courage brillant, qu'en vous on voit paraître, v.343 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Sera maître de tout quand vous en serez maître : v.344 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Vous l'avez su régler, et vous avez vaincu. v.345 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Pour moi, de qui le bras faiblement vous seconde, v.348 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Je connais mon devoir, et je vous ai suivi. v.349 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Dans l'ardeur du combat je vous ai peu servi ; v.350 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Vous seul, seigneur, vous seul avez fait prisonnier v.353 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Vous l'avez pris vous-même, et, maître de sa vie, v.355 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Le sort au prince anglais voulut vous attacher ; v.382 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Vous suivez son parti, je suis votre fortune. v.384 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Comme vous aux Anglais le destin m'a lié : v.385 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Vous, par le droit du sang ; moi, par notre amitié : v.386 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Où me conduisez-vous ? v.393 (Acte 2, scène 2, NEMOURS)
Avez-vous par vos soins ?... v.405 (Acte 2, scène 2, VENDÔME)
Ô ciel ! de tous côtés vous remplissez mes voeux ! v.422 (Acte 2, scène 2, VENDÔME)
Ô ciel !... elle vous aime !... v.437 (Acte 2, scène 2, NEMOURS)
Madame, vous voyez que du sein du malheur, v.445 (Acte 2, scène 3, VENDÔME)
J'ai vaincu, je vous aime, et je retrouve un frère ; v.447 (Acte 2, scène 3, VEND?ME)
Sa présence à mon coeur vous rend encor plus chère. v.448 (Acte 2, scène 3, VEND?ME)
Plus vous l'aimez, madame, et plus il faut songer v.457 (Acte 2, scène 4, TAISE)
Eh ! Ne craignez-vous pas que tant d'empressement v.470 (Acte 2, scène 4, TAISE)
N'ouvre les yeux jaloux d'un prince qui vous aime ? v.471 (Acte 2, scène 4, TAISE)
Ah ! prince, en quel état laissez-vous votre frère ? v.480 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Je ne vous promis rien : vous n'avez point ma foi ; v.489 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Quoi ! lorsque de ma main je vous offrais l'hommage !. v.491 (Acte 2, scène 5, VENDÔME)
Par de justes respects je vous ai répondu. v.494 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Tout vous flattait sur moi d'un empire suprême v.496 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Tout vous a fait penser qu'un rang si glorieux, v.497 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Vous vous trompiez : il faut rompre enfin le silence. v.499 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Je vais vous offenser ; je me fais violence : v.500 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Mais, réduite à parler, je vous dirai, seigneur, v.501 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Et s'ils vous font rougir, c'est vous qui m'y forcez. v.510 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Pour m'accabler d'affronts, dût se servir de vous. v.514 (Acte 2, scène 5, VENDÔME)
Vous avez fait, madame, une secrète étude v.515 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Mais, vous qui m'outragez, me connaissez-vous bien ? v.521 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Vous reste-t-il ici de parti que le mien ? v.522 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Vous qui me devez tout, vous qui, sans ma défense, v.523 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
De ces mêmes Français, à qui vous vous vantez v.525 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
De conserver la foi d'un coeur que vous m'ôtez ! v.526 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Est-ce donc là le prix de vous avoir servie ? v.527 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Oui, vous m'avez sauvée ; oui, je vous dois la vie ; v.528 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Me la conserviez-vous pour la tyranniser ? v.530 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Je deviendrai tyran, mais moins que vous, cruelle ; v.531 (Acte 2, scène 5, VENDÔME)
De son coeur tout sanglant j'irai vous arracher ; v.538 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Je la mettrai, perfide, à vous désespérer. v.541 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Non, seigneur, la raison saura vous éclairer. v.542 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Je vous plains, vous pardonne, et veux vous respecter ; v.549 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Je vous ferai rougir de me persécuter ; v.550 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Aux fureurs d'un amant que vous désespérez. v.554 (Acte 2, scène 5, VENDÔME)
Je vois trop qu'avec vous Coucy d'intelligence, v.555 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Que vous voulez tous deux m'unir à votre roi, v.557 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Pourquoi recourez-vous à ces nouvelles armes ? v.560 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Aviez-vous donc besoin d'un secours étranger ? v.562 (Acte 2, scène 5, VEND?ME)
Je ne vous cache point que du soin qui me touche, v.564 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Vous les faites couler, que vos mains les essuient. v.568 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Vous les pourrez, seigneur, connaître avec le temps ; v.574 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Mais vous n'aurez jamais le droit de les contraindre, v.575 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Ni de les condamner, ni même de vous plaindre. v.576 (Acte 2, scène 5, ADELAIDE)
Quand vous avez vaincu, quand vous sauvez un frère, v.595 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Heureux de tous côtés, qui peut donc vous déplaire ? v.596 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Vous, v.598 (Acte 2, scène 7, VENDÔME)
Vous, dis-je ; et du refus qui vient de me confondre, v.599 (Acte 2, scène 7, VEND?ME)
C'est vous, ingrat ami, qui devez me répondre. v.600 (Acte 2, scène 7, VEND?ME)
Je sais qu'Adélaïde ici vous a parlé ; v.601 (Acte 2, scène 7, VEND?ME)
En vous nommant à moi, la perfide a tremblé ; v.602 (Acte 2, scène 7, VEND?ME)
Vous affectez sur elle un odieux silence, v.603 (Acte 2, scène 7, VEND?ME)
Elle cherche à me fuir, et vous à me quitter. v.605 (Acte 2, scène 7, VEND?ME)
Voulez-vous m'écouter ? v.606 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Pensez-vous que j'aime encor la gloire ? v.607 (Acte 2, scène 7, COUCY)
M'estimez-vous encore, et pourrez-vous me croire ? v.608 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Oui, jusqu'à ce moment je vous crus vertueux ; v.609 (Acte 2, scène 7, VENDÔME)
Je vous crus mon ami. v.610 (Acte 2, scène 7, VEND?ME)
Et vous allez juger si mon âme en est digne. v.612 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Vous eussiez par vos soins, par cet amour sincère, v.615 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Libre et juste auprès d'elle, à vous seul attaché, v.633 (Acte 2, scène 7, COUCY)
J'ai fait valoir les feux dont vous êtes touché ; v.634 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Et pour vous contre moi j'ai fait ce que j'ai dû. v.638 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Je m'immole à vous seul, et je me rends justice ; v.639 (Acte 2, scène 7, COUCY)
S'il est quelque rival qui vous ose outrager, v.641 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Tout mon sang est à vous, et je cours vous venger. v.642 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Et si vous me devez quelque reconnaissance, v.647 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Vous voyez quelle ardente et fière inimitié v.649 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Vous m'avez soupçonné de trop de politique, v.652 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Je vous le dis encore au sein de votre gloire ; v.655 (Acte 2, scène 7, COUCY)
De vous voir, ou trahir, ou prévenir par eux. v.662 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Ses retours sont fréquents, vous devez les connaître. v.667 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Vous vous verrez réduit à demander pardon. v.670 (Acte 2, scène 7, COUCY)
La gloire vous conduit : que la raison vous guide. v.671 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Mais qu'importe pour vous ses voeux et ses desseins ? v.677 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Mon bras contre un rival est prêt à vous servir ; v.689 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Je voudrais faire plus, je voudrais vous guérir. v.690 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Dans l'âme d'un Bourbon souffrirez-vous qu'il règne ? v.696 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Vos autres ennemis par vous sont abattus, v.697 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Et vous devez en tout l'exemple des vertus. v.698 (Acte 2, scène 7, COUCY)
Vous la verrez, seigneur. v.728 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Seigneur, en quel état votre douleur vous jette ! v.730 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Que vous ayez trouvé de si chers ennemis. v.736 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Vous êtes prisonnier du plus tendre des frères. v.738 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Il vous était lié v.739 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Que n'éprouvez-vous point de sa main secourable ! v.741 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Le haïssez-vous tant ? v.744 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Si contre un frère aimé vous avez combattu, v.747 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Mais le roi l'ordonnait, et tout vous justifie. v.749 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Je vous ai vu remplir, dans cet affreux combat, v.751 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Et vous avez rendu, par des faits incroyables, v.753 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Seigneur, je vous ai dit v.767 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
S'il s'en vantait lui-même, en pouvez-vous douter ? v.779 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Le ciel vous rend à mon âme attendrie ; v.781 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Je vous revois, cher prince, et mon coeur empressé... v.783 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Vous aviez en effet besoin de mon trépas : v.787 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Vous jouiriez en paix de votre ingratitude ; v.790 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
S'il peut vous en rester, périssaient avec moi. v.792 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Hélas ! Que dites-vous ? Quelle fureur subite... v.793 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
À vous seule asservi, v.795 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Je vous aimais trop bien pour n'être point trahi : v.796 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Mais que vous insultiez vous-même à ma fortune ! v.798 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Vous acceptiez la main qui m'a percé le flanc, v.800 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Et que vous osiez joindre à l'horreur qui m'accable, v.801 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Vous me plaignez, cruelle, et vous m'abandonnez ! v.808 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Je vous pardonne, hélas ! cette fureur extrême, v.809 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Tout, jusqu'à vos soupçons ; jugez si je vous aime. v.810 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Vous m'aimeriez ? Qui, vous ? Et Vendôme à l'instant v.811 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Entoure de flambeaux l'autel qui vous attend ! v.812 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Les moments de vous voir à me justifier ? v.816 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Pour vous persuader de si vrais sentiments, v.823 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Non, non ; vous connaissez le coeur d'Adélaïde ; v.825 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
C'est vous qui conduisez ce coeur faible et timide. v.826 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Mais mon frère vous aime ? v.827 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Que vous causez les pleurs dont mes yeux sont chargés, v.843 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Que mon coeur vous adore, et que vous m'outragez ! v.844 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Oui, vous êtes tous deux formés pour mon supplice : v.845 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Lui, par sa passion ; vous, par votre injustice ; v.846 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Vous, Nemours, vous, ingrat, que je vois aujourd'hui, v.847 (Acte 3, scène 2, ADELAIDE)
Et je suis son vainqueur, étant aimé de vous. v.856 (Acte 3, scène 2, NEMOURS)
Et vous, mon frère, et vous, soyez ici témoin v.859 (Acte 3, scène 3, VENDÔME)
L'amour, qui malgré vous nous a faits l'un pour l'autre, v.865 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Je prends mes lois de vous ; votre maître est le mien : v.867 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Vous, courez, mon cher frère, allez dès ce moment v.871 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Eh quoi ! Vous demeurez interdite et muette ? v.885 (Acte 3, scène 3, VENDÔME)
De mes soumissions êtes-vous satisfaite ? v.886 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Est-ce assez qu'un vainqueur vous implore à genoux ? v.887 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Faut-il encor ma vie, ingrate ? elle est à vous. v.888 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Vous n'avez qu'à parler, j'abandonne sans peine v.889 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Vous avez consulté le devoir, la nature ; v.898 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Dussé-je vous déplaire et forcer votre coeur, v.903 (Acte 3, scène 3, VENDÔME)
Vous osez ?... v.904 (Acte 3, scène 3, NEMOURS)
Avant que je vous cède, et que l'hymen nous lie, v.905 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Je ne puis être à vous. v.908 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Vous ne méritez pas que je daigne m'en plaindre. v.910 (Acte 3, scène 3, VENDÔME)
Vous auriez dû peut-être, avec moins de détour, v.911 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Mais je vous rends justice ; et ces séductions, v.915 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Je suis libre par vous : cet art que je déteste, v.921 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Je vous dédaigne assez tous deux pour vous unir, v.927 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Perfide ! et c'est ainsi que je dois vous punir. v.928 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Je devrais seulement vous quitter et me taire ; v.929 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Pour un autre que vous ma vie est destinée ; v.933 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Je vous en fais l'aveu, je m'y vois condamnée. v.934 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Oui, j'aime ; et je serais indigne, devant vous, v.935 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Vous avez regardé ma liberté, ma foi, v.939 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Je vous devais beaucoup ; mais une telle offense v.941 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
J'ai voulu votre estime, et vous me la devez. v.948 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Je vous dois ma colère, et sachez qu'elle égale v.949 (Acte 3, scène 3, VENDÔME)
Quoi donc ! Vous attendiez, pour oser m'accabler, v.951 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Vous vouliez ce témoin de l'affront que j'endure ? v.953 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Mon frère trop heureux ne vous connaissait pas. v.956 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Nommez donc mon rival : mais gardez-vous de croire v.957 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Je vous trompais, mon coeur ne peut feindre longtemps : v.959 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Je vous traîne à l'autel, à ses yeux expirants ; v.960 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Pourquoi d'un choix indigne osez-vous l'accuser ? v.967 (Acte 3, scène 3, NEMOURS)
Et pourquoi, vous, mon frère, osez-vous l'excuser ? v.968 (Acte 3, scène 3, VENDÔME)
Est-il vrai que de vous elle était ignorée ? v.969 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Que la nature en vous trouve une âme inflexible ? v.1006 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Vous, le prier ? plaignez-le plus que moi. v.1007 (Acte 3, scène 3, NEMOURS)
Plaignez-le : il vous offense, il a trahi son roi. v.1008 (Acte 3, scène 3, NEMOURS)
Allez. Madame, levez-vous. v.1012 (Acte 3, scène 3, VENDÔME)
Vous avez mis la mort dans ce coeur outragé ; v.1015 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Adieu : si vous voyez les effets de ma rage, v.1017 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
N'en accusez que vous ; nos maux sont votre ouvrage. v.1018 (Acte 3, scène 3, VEND?ME)
Je ne vous quitte pas : écoutez-moi, seigneur. v.1019 (Acte 3, scène 3, ADELAIDE)
Allez, cruelle, allez ; vous ne jouirez pas v.1027 (Acte 3, scène 4, VENDÔME)
Vous, veillez sur ce traître. v.1030 (Acte 3, scène 4, VEND?ME)
Le seriez-vous, seigneur ? Auriez-vous démenti v.1031 (Acte 3, scène 5, COUCY)
Le sang de ces héros dont vous êtes sorti ? v.1032 (Acte 3, scène 5, COUCY)
Auriez-vous violé, par cette lâche injure, v.1033 (Acte 3, scène 5, COUCY)
De pouvoir aujourd'hui vous réunir tous deux. v.1040 (Acte 3, scène 5, COUCY)
Si vous avez un coeur digne de votre race, v.1045 (Acte 3, scène 5, COUCY)
Rapprochez les partis : unissez-vous à moi v.1047 (Acte 3, scène 5, COUCY)
Ne vous en flattez pas ; vos soins sont inutiles. v.1050 (Acte 3, scène 5, NEMOURS)
Vous pourriez espérer de réunir deux frères, v.1053 (Acte 3, scène 5, NEMOURS)
Je vous plains tous les deux ; mais je sers votre frère. v.1066 (Acte 3, scène 5, COUCY)
Mon devoir a parlé ; je vous laisse, et j'y vole, v.1073 (Acte 3, scène 5, COUCY)
Je vous la donne. v.1075 (Acte 3, scène 5, NEMOURS)
Que ce fatal amour qui vous perdra tous deux. v.1080 (Acte 3, scène 5, COUCY)
Je ne puis me venger qu'en me privant de vous ! v.1088 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Il faut que je vous quitte !... v.1089 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Quoi ! vous m'abandonnez !... vous ordonnez ma fuite ! v.1090 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Vous êtes une esclave aux mains de mon rival. v.1092 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Vous voyez cet ami qui doit guider vos pas ; v.1095 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Tantôt à ce départ vous étiez résolue, v.1106 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Le dessein était pris : n'osez-vous l'achever ? v.1107 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Ah ! quand j'ai voulu fuir, j'espérais vous trouver. v.1108 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Je peux mourir pour vous, mais je ne peux vous suivre ; v.1114 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Vous suivrez cet ami par des détours obscurs, v.1115 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Qui vous rendront bientôt sous ces coupables murs. v.1116 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Je vois qu'il faut partir... cher Nemours, et sans vous ! v.1120 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Qui ! moi ? que je vous laisse au pouvoir d'un barbare ? v.1122 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Il vous a menacé, menace-t-il en vain ? v.1128 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Allez : si vous m'aimez, dérobez-vous aux coups v.1131 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Je frémis de vous voir encor sous sa puissance ; v.1137 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Cédez à mes douleurs ; qu'il vous perde : partez. v.1139 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Et vous vous exposez seul à ses cruautés ! v.1140 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Ne craignant rien pour vous, je craindrai peu mon frère ; v.1141 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Aussi bien que mon coeur mes pas vous sont soumis. v.1143 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Eh bien ! vous l'ordonnez, je pars, et je frémis ! v.1144 (Acte 4, scène 1, ADELAIDE)
Vous, mânes des Bourbons, princes, rois mes aïeux, v.1151 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Se montrer à jamais digne d'elle et de vous ! v.1156 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Quoi ! vous versez des larmes ! v.1158 (Acte 4, scène 1, NEMOURS)
Plus vous le défendez, plus il devient coupable ; v.1178 (Acte 4, scène 2, VENDÔME)
C'est vous qui le perdez, vous qui l'assassinez ; v.1179 (Acte 4, scène 2, VEND?ME)
Vous par qui tous nos jours étaient empoisonnés ; v.1180 (Acte 4, scène 2, VEND?ME)
Vous qui, pour leur malheur, armiez des mains si chères, v.1181 (Acte 4, scène 2, VEND?ME)
Puisse tomber sur vous tout le sang des deux frères ! v.1182 (Acte 4, scène 2, VEND?ME)
Vous pleurez ! mais vos pleurs ne peuvent me tromper : v.1183 (Acte 4, scène 2, VEND?ME)
Oui, je vous aime encor, le temps, le péril presse ; v.1186 (Acte 4, scène 2, VEND?ME)
Vous pouvez à l'instant parer le coup mortel ; v.1187 (Acte 4, scène 2, VEND?ME)
Ne vous laissez pas vaincre en ces affreux combats, v.1191 (Acte 4, scène 2, NEMOURS)
Et si vous succombiez à son lâche courroux, v.1195 (Acte 4, scène 2, NEMOURS)
Je n'en mourrais pas moins, mais je mourrais par vous. v.1196 (Acte 4, scène 2, NEMOURS)
Vous, cruel ! vous feriez cet affreux sacrifice ! v.1198 (Acte 4, scène 3, ADELAIDE)
De son vertueux sang vous pourriez vous couvrir ! v.1199 (Acte 4, scène 3, ADELAIDE)
Quoi ! voulez-vous... v.1200 (Acte 4, scène 3, ADELAIDE)
Je veux vous haïr et mourir, v.1200 (Acte 4, scène 3, VENDÔME)
Vous rendre malheureuse encor plus que moi-même, v.1201 (Acte 4, scène 3, VEND?ME)
Répandre devant vous tout le sang qui vous aime, v.1202 (Acte 4, scène 3, VEND?ME)
Et vous laisser des jours plus cruels mille fois v.1203 (Acte 4, scène 3, VEND?ME)
Je suis loin d'excuser ses crimes envers vous ; v.1240 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Et vous êtes perdu, si le peuple excité v.1243 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Quoi que vous décidiez, ma main est toute prête. v.1250 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Vous vouliez ce matin, par un heureux traité, v.1251 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Ne vous rebutez pas : ordonnez, et j'espère v.1253 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Mais s'il vous faut combattre, et courir au trépas, v.1255 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Vous savez qu'un ami ne vous survivra pas. v.1256 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Il est dans cette tour où vous seul commandez v.1264 (Acte 4, scène 5, VENDÔME)
Et vous m'aviez promis que contre un téméraire... v.1265 (Acte 4, scène 5, VEND?ME)
De qui me parlez-vous, seigneur ? de votre frère ? v.1266 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Vous leur avez promis de trahir la nature ? v.1270 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Et pour leur obéir vous lui percez le flanc ? v.1272 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Ainsi donc à l'amour vous le sacrifiez ? v.1276 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Et vous me chargez, moi, du soin de son supplice ! v.1277 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Je n'attends pas de vous cette prompte justice. v.1278 (Acte 4, scène 5, VENDÔME)
Vous ne vous plaindrez pas que Coucy vous trahisse. v.1290 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Dans de pareils moments, vous éprouviez la foi. v.1292 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Vous y voulez tomber, je m'y jette avec vous ; v.1296 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Et vous reconnaîtrez, au succès de mon zèle, v.1297 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Si Coucy vous aimait, et s'il vous fut fidèle. v.1298 (Acte 4, scène 5, COUCY)
En vous rendant ce malheureux service, v.1305 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Prince, je vous demande un autre sacrifice. v.1306 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Ne puis-je vous venger sans être son esclave ? v.1310 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Si vous voulez tomber, pourquoi prendre un appui ? v.1311 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Pour mourir avec vous ai-je besoin de lui ? v.1312 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Ce que je fais pour vous peut-être le mérite. v.1314 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Je l'avoue avec vous ; une nuit éternelle v.1329 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Mais je tiendrai parole, et je vais vous servir. v.1332 (Acte 4, scène 5, COUCY)
Seigneur, ils vous ont vu : leur foule est dispersée. v.1336 (Acte 5, scène 1, OFFICIER)
Ce soldat qu'en secret vous m'avez amené, v.1341 (Acte 5, scène 1, VENDÔME)
Vous, que sur nos remparts on porte nos drapeaux ; v.1349 (Acte 5, scène 1, VENDÔME)
Vous sortez d'un combat, un autre vous appelle ; v.1351 (Acte 5, scène 1, VEND?ME)
Imitez votre maître, et, s'il vous faut périr, v.1353 (Acte 5, scène 1, VEND?ME)
Vous recevrez de moi l'exemple de mourir. v.1354 (Acte 5, scène 1, VEND?ME)
Veut, seigneur, en secret vous parler un moment. v.1410 (Acte 5, scène 3, OFFICIER)
Vous l'emportez, seigneur, et puisque votre haine v.1416 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Ces affreux sentiments que vous nommez amour ?) v.1418 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Mon choix est fait, seigneur, et je me donne à vous : v.1425 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Par le droit des forfaits vous êtes mon époux. v.1426 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Brisez les fers honteux dont vous chargez un frère ; v.1427 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Je vous épargne un crime, et suis votre conquête ; v.1431 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Sachez que cette main que vous tyrannisez, v.1433 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Punira la faiblesse où vous me réduisez. v.1434 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Sachez qu'au temple même, où vous m'allez conduire... v.1435 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Mais vous voulez ma foi, ma foi doit vous suffire. v.1436 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Vous demandez sa vie... v.1441 (Acte 5, scène 4, VENDÔME)
Vous qui m'aviez promis... v.1442 (Acte 5, scène 4, ADELAIDE)
Oui, vous avez dicté sa sentence mortelle. v.1444 (Acte 5, scène 4, VENDÔME)
Ah ! revenez à vous, vivez pour me punir ; v.1446 (Acte 5, scène 4, VEND?ME)
Perce un coeur inhumain qui vous a trop aimée, v.1448 (Acte 5, scène 4, VEND?ME)
Oui, j'ai tué mon frère, et l'ai tué pour vous. v.1450 (Acte 5, scène 4, VEND?ME)
Tous les crimes affreux que vous m'avez fait faire. v.1452 (Acte 5, scène 4, VEND?ME)
Ah ciel ! que faites-vous ? v.1462 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Vous, d'un assassinat vous êtes le complice ? v.1464 (Acte 5, scène 5, ADELAIDE)
Je vous avais promis, seigneur, de vous servir. v.1466 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Du soin de vous venger charger une autre main ? v.1474 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Au prix de votre sang vous voudriez sauver v.1485 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Ce sang dont vos fureurs ont voulu vous priver ; v.1486 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Je peux donc m'expliquer, je peux donc vous apprendre v.1487 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Que de vous-même enfin Coucy sait vous défendre. v.1488 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Vous, gardez vos remords ; v.1490 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Et vous, séchez vos pleurs. v.1490 (Acte 5, scène 5, COUCY)
Les aveugles fureurs du feu qui vous dévore, v.1500 (Acte 5, scène 6, COUCY)
Sûr que le repentir vous ouvrirait les yeux. v.1502 (Acte 5, scène 6, COUCY)
D'expier devant vous, par le plus grand supplice, v.1512 (Acte 5, scène 6, VENDÔME)
Aimez-vous : mais au moins ne me haïssez pas. v.1522 (Acte 5, scène 6, VEND?ME)
Moi, vous haïr jamais ! Vendôme, mon cher frère ! v.1523 (Acte 5, scène 6, NEMOURS)
J'osai vous outrager... vous me servez de père. v.1524 (Acte 5, scène 6, NEMOURS)
La plus tendre amitié va me rejoindre à vous. v.1526 (Acte 5, scène 6, ADELAIDE)
Vous me payez trop bien de ma douleur soufferte. v.1527 (Acte 5, scène 6, ADELAIDE)
Mais vous m'apprenez tous à suivre la vertu. v.1529 (Acte 5, scène 6, VENDÔME)
Allez apprendre au roi, pour qui vous combattez, v.1533 (Acte 5, scène 6, VEND?ME)
Allez ; ainsi que vous, je vais le reconnaître. v.1535 (Acte 5, scène 6, VEND?ME)

L'ENFANT PRODIGUE (1738)

Jeune écolier qui vous parle en Caton, v.10 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Et vous êtes aussi v.13 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMON)
Vous avez fait, beau-père, en père sage, v.19 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Eh mais ! Quelle humeur vous emporte ? v.31 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMON)
Voulez-vous pas que ce maître étourdi, v.61 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Voulez-vous qu'il vienne sans façon v.65 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Qu'il vous batte, et qu'il m'enlève Lise ? v.67 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Ah ! Vous l'aviez trop longtemps enduré ; v.78 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Trouvez-vous donc à rappeler mes larmes ? v.88 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMON)
Votre commerce ici vous a conduit, v.101 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMON)
Mon amitié, ma douleur vous y suit ; v.102 (Acte 1, scène 1, EUPH?MON)
Ménagez-les : vous prodiguez sans cesse v.103 (Acte 1, scène 1, EUPH?MON)
Pardon ; mais diable, aussi vous aviez tort, v.106 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Pardon ; mais vous deviez... v.109 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Çà, pensez-vous que ce cadet si sage, v.112 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMON)
Vous radotez. v.127 (Acte 1, scène 1, RONDON)
Quoi que vous puissiez dire, v.127 (Acte 1, scène 1, EUPHÉMON)
Ce jour pour vous est un grand jour de crise. v.136 (Acte 1, scène 2, RONDON)
Non, vous dis-je. v.148 (Acte 1, scène 2, LISE)
Vous tairez-vous, radoteur complaisant, v.169 (Acte 1, scène 2, RONDON)
Jamais sans vous ma fille bien apprise, v.171 (Acte 1, scène 2, RONDON)
De vous aimer, si vous pouvez, tous deux, v.177 (Acte 1, scène 2, RONDON)
Qui vous allonge en cent mots superflus v.181 (Acte 1, scène 2, RONDON)
Vous fait l'amour en comptant son argent. v.210 (Acte 1, scène 3, MARTHE)
Si j'osais... mais vous m'avez ordonné v.229 (Acte 1, scène 3, MARTHE)
Qui vous aimait. v.233 (Acte 1, scène 3, MARTHE)
Mais autrefois vous m'avez paru croire v.243 (Acte 1, scène 3, MARTHE)
Qu'à vous aimer il avait mis sa gloire, v.244 (Acte 1, scène 3, MARTHE)
Que vous avez d'un si beau mariage. v.279 (Acte 1, scène 4, FIERENFAT)
Et vous aurez dans Cognac à la ronde, v.283 (Acte 1, scène 4, FIERENFAT)
Vous entendrez murmurer, « La voilà. » v.286 (Acte 1, scène 4, FIERENFAT)
Je vous en fais mon compliment, Madame ? v.291 (Acte 1, scène 4, FIERENFAT)
Que vous mêliez dans tous vos entretiens v.293 (Acte 1, scène 4, MARTHE)
Ce n'est pas vous probablement, ma mie, v.303 (Acte 1, scène 4, FIERENFAT)
C'est à Madame, ainsi donc s'il vous plaît, v.305 (Acte 1, scène 4, FIERENFAT)
Vous, Madame, v.307 (Acte 1, scène 4, FIERENFAT)
Avant la nuit vous aurez la bonté v.309 (Acte 1, scène 4, FIERENFAT)
Je suis à vous, empêchez qu'on m'enferme, v.316 (Acte 1, scène 4, MARTHE)
Il pourrait bien vous enfermer aussi. v.317 (Acte 1, scène 4, MARTHE)
Vous savez tous comme je le gouverne, v.343 (Acte 1, scène 5, FIERENFAT)
Qu'ai-je donc fait qui vous fâche si fort ? v.353 (Acte 1, scène 5, LISE)
Vous avez fait, que vous avez tous tort. v.354 (Acte 1, scène 5, RONDON)
Et je prétends vous marier tantôt, v.357 (Acte 1, scène 5, RONDON)
Malgré leurs dents, malgré vous, s'il le faut. v.358 (Acte 1, scène 5, RONDON)
Vous frémissez en voyant de plus près v.359 (Acte 2, scène 1, MARTHE)
Tout vous retrace une image adorée, v.374 (Acte 2, scène 1, LISE)
Vous plairait-il avec Monsieur son frère ? v.401 (Acte 2, scène 1, MARTHE)
Haïssez-vous, aimez-vous, parlez net. v.404 (Acte 2, scène 1, MARTHE)
Et veut ici vous faire compliment. v.436 (Acte 2, scène 2, LE-LAQUAIS)
Vous enlaidir, vous ôter vos attraits ; v.452 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Je pleure hélas ! Vous voyant si jolie. v.453 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Consolez-vous, Madame. v.454 (Acte 2, scène 3, LISE)
Je ne saurais, je vois que vous aurez v.455 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Tous les maris que vous demanderez ; v.456 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Vous me l'ôtez, vous allez m'en priver ; v.460 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Qui perdez-vous, et qui vous ai-je pris ? v.468 (Acte 2, scène 3, LISE)
Mais je ne puis vous rajeunir. v.476 (Acte 2, scène 3, LISE)
Mais de quel traître ici me parlez-vous ? v.479 (Acte 2, scène 3, LISE)
Que vous m'avez réduite au désespoir. v.488 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Vous voyez bien que la chose était sûre. v.501 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Qui jouissait de l'honneur de vous plaire. v.506 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
(Vous vous troublez) mon héros de collège, v.510 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Mais pensez-vous qu'il vous soit bien permis v.516 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Vous emparer d'une famille entière ; v.518 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Que vous, son père et les enfants que j'ai, v.523 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Que mon hymen vous rende malheureuse ; v.526 (Acte 2, scène 3, LISE)
Oui, je vous l'abandonne. v.533 (Acte 2, scène 3, LISE)
Vous êtes donc sans goût pour sa personne ; v.534 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Vous n'aimez point ? v.535 (Acte 2, scène 3, MADAME CROUPILLAC)
Que vous plaît-il ? v.544 (Acte 2, scène 4, RONDON)
Il criera moins que vous. v.557 (Acte 2, scène 4, RONDON)
Et je prendrai lui, son vieux père, ou vous. v.560 (Acte 2, scène 4, MADAME CROUPILLAC)
Vous-même. v.561 (Acte 2, scène 4, MADAME CROUPILLAC)
Oh ! Je vous en défie. v.561 (Acte 2, scène 4, RONDON)
Vous recevez ces visites chez moi ? v.564 (Acte 2, scène 5, RONDON)
Vous m'attirez toujours des algarades. v.565 (Acte 2, scène 5, RONDON)
Et vous, Monsieur, v.566 (Acte 2, scène 5, RONDON)
Quel sot démon vous force à courtiser v.567 (Acte 2, scène 5, RONDON)
C'est bien à vous, avec ce plat visage, v.569 (Acte 2, scène 5, RONDON)
De vous donner des airs d'être volage ; v.570 (Acte 2, scène 5, RONDON)
Il vous sied bien, grave et triste indolent, v.571 (Acte 2, scène 5, RONDON)
De vous mêler du métier de galant ; v.572 (Acte 2, scène 5, RONDON)
Mais vous, mais vous ! v.574 (Acte 2, scène 5, RONDON)
Détrompez-vous, beau-père ; v.574 (Acte 2, scène 5, FIERENFAT)
Et vous, Monsieur, dans votre sort prospère, v.595 (Acte 2, scène 5, LISE)
Oubliez-vous que vous avez un frère ? v.596 (Acte 2, scène 5, LISE)
Consolez-vous, nous savons les affaires, v.603 (Acte 2, scène 5, FIERENFAT)
En attendant, vous confisquez son bien, v.606 (Acte 2, scène 5, LISE)
C'est votre avis ; mais moi, je vous déclare, v.607 (Acte 2, scène 5, LISE)
Je vous le dis, ma main ni mes faveurs, v.633 (Acte 2, scène 5, LISE)
Mais l'intérêt, mon coeur vous le maintient, v.645 (Acte 2, scène 5, LISE)
Vous ne pouvez ? v.663 (Acte 2, scène 6, FIERENFAT)
Mais après tout, mon père, voulez-vous ? v.697 (Acte 2, scène 6, FIERENFAT)
Ne craignez rien, vous serez son époux ; v.698 (Acte 2, scène 6, EUPHÉMON)
Eh ! Vous n'êtes pas sage. v.712 (Acte 2, scène 6, RONDON)
Maudit de vous, de sa famille entière ! v.715 (Acte 2, scène 6, RONDON)
Mais regretter le fardeau qu'on vous ôte, v.727 (Acte 2, scène 6, RONDON)
Vous mit trois fois sur le bord du tombeau ; v.730 (Acte 2, scène 6, RONDON)
J'entends, j'entends, vous avez tout mangé ; v.897 (Acte 3, scène 2, MADAME CROUPILLAC)
Mais vous serez cent fois plus affligé, v.898 (Acte 3, scène 2, MADAME CROUPILLAC)
Quand vous saurez les excessives pertes, v.899 (Acte 3, scène 2, MADAME CROUPILLAC)
Soit ; je vous plains, adieu. v.903 (Acte 3, scène 2, EUPHÉMON FILS)
Dans Angoulême, au temps où vous battîtes v.907 (Acte 3, scène 2, MADAME CROUPILLAC)
Quatre huissiers, et la fuite vous prîtes ; v.908 (Acte 3, scène 2, MADAME CROUPILLAC)
Fort bien, je crois... Que diable vous importe ? v.916 (Acte 3, scène 2, MADAME CROUPILLAC)
De vous avoir interrompu, Madame. v.924 (Acte 3, scène 2, EUPHÉMON FILS)
Est-il à vous ? v.929 (Acte 3, scène 2, EUPHÉMON FILS)
Que dites-vous ?... Quoi, Madame, il l'épouse ? v.935 (Acte 3, scène 2, EUPHÉMON FILS)
Vous m'en voyez terriblement jalouse. v.936 (Acte 3, scène 2, MADAME CROUPILLAC)
Aidez-nous donc, Madame, je vous prie. v.952 (Acte 3, scène 2, JASMIN)
Moi, vous servir ? Hélas ! Madame, en quoi ? v.954 (Acte 3, scène 2, EUPHÉMON FILS)
C'est qu'il vous craint sans doute. v.967 (Acte 3, scène 2, JASMIN)
On peut tous deux vous occuper peut-être ; v.1007 (Acte 3, scène 3, EUPHÉMON)
Vous laisse encore une place vacante ; v.1019 (Acte 3, scène 3, EUPHÉMON)
Tous deux ce soir il faut qu'on vous présente, v.1020 (Acte 3, scène 3, EUPH?MON)
Vous le verrez chez Rondon, mon voisin, v.1021 (Acte 3, scène 3, EUPH?MON)
Qu'avez-vous donc ? v.1039 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
Qui ? Vous, son fils ? Ah ! Pardonnez de grâce, v.1047 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
Vous êtes fils d'un homme qu'on admire, v.1051 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
D'un homme unique ; et, s'il faut tout vous dire, v.1052 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
Il doit ce soir vous placer chez ce fils, v.1061 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
Vous sentiriez un peu de convoitise v.1080 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
Digne de vous, ce péché vous manquait. v.1082 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
Vous la r'aimez, n'ayant pas mieux à faire, v.1108 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
De vous fourrer, s'il se peut, chez Rondon ; v.1110 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
L'amour pourrait vous servir de ressource. v.1112 (Acte 3, scène 5, JASMIN)
Qui de vous deux sait lire ? v.1127 (Acte 3, scène 6, FIERENFAT)
Ciel !... Monsieur, je vous prie, v.1140 (Acte 3, scène 6, EUPHÉMON FILS)
De cet objet vous êtes donc charmé ? v.1141 (Acte 3, scène 6, EUPH?MON FILS)
En seriez-vous aimé ? v.1142 (Acte 3, scène 6, EUPHÉMON FILS)
Oui. Vous semblez bien curieux, mon drôle ! v.1143 (Acte 3, scène 6, FIERENFAT)
Il voudrait bien vous ressembler et plaire. v.1147 (Acte 3, scène 6, JASMIN)
Vous n'êtes pas trop corrigé, mon maître ! v.1155 (Acte 3, scène 6, JASMIN)
C'est fort bien fait, vous êtes trop heureux, v.1182 (Acte 4, scène 1, MADAME CROUPILLAC)
Si vous saviez, hélas ! Ce qui se passe v.1192 (Acte 4, scène 1, EUPHÉMON FILS)
Ce tremblement ne vous surprendrait plus. v.1194 (Acte 4, scène 1, EUPH?MON FILS)
Si vous pouvez, faites que l'on diffère v.1199 (Acte 4, scène 1, EUPHÉMON FILS)
Que vous puissiez lui parler sans témoins : v.1202 (Acte 4, scène 1, JASMIN)
Vous allez donc être enfin à son frère ? v.1231 (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Vous dire ici quatre mots à l'oreille ? v.1240 (Acte 4, scène 2, JASMIN)
Il voudrait bien vous parler. v.1247 (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Mon cher ami, Madame vous commande v.1248 (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Absolument il prétend vous parler. v.1253 (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Ce quelqu'un-là veut vous voir tout à l'heure, v.1255 (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Il faut, dit-il, qu'il vous parle, ou qu'il meure. v.1256 (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Souffrirez-vous... ? v.1262 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
Que voulez-vous, Monsieur ? v.1262 (Acte 4, scène 3, LISE)
Oui, vous devez en tout me méconnaître ; v.1267 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
Le plus affreux fut de vous offenser ; v.1274 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
J'ai reconnu, j'en jure, par vous-même, v.1275 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
Mon feu pour vous, ce feu saint et sacré, v.1281 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
Oui, je vous cherche à mon heure dernière ; v.1291 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
Je meurs au moins sans être haï de vous ! v.1294 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
C'est vous ? Ô ciel ! Vous qui cherchez ma vue, v.1296 (Acte 4, scène 3, LISE)
Que vous avez fait de tort à tous deux ! v.1298 (Acte 4, scène 3, LISE)
En vous voyant, semblent plus grands encore ; v.1300 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
Ils sont affreux, et vous les connaissez ; v.1301 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
Est-il bien vrai ? Malheureux que vous êtes ! v.1303 (Acte 4, scène 3, LISE)
De la vertu je perds en vous le prix. v.1310 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
Que vous avez gagné cette victoire ? v.1312 (Acte 4, scène 3, LISE)
Consultez-vous, ne trompez point mes voeux, v.1313 (Acte 4, scène 3, LISE)
Seriez-vous bien et sage et vertueux ? v.1314 (Acte 4, scène 3, LISE)
Oui, je le suis ; car mon coeur vous adore. v.1315 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
Vous, Euphémon ! Vous m'aimeriez encore ? v.1316 (Acte 4, scène 3, LISE)
Si je vous aime ? Hélas, je n'ai vécu v.1317 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
J'aimai mes jours, ils vous appartenaient ; v.1322 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
Oui, je vous dois mes sentiments, mon être, v.1323 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
De ma raison je vous dois le retour ; v.1325 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
Si je vous vois constant et raisonnable, v.1335 (Acte 4, scène 3, LISE)
C'en est assez, je vous vois trop aimable. v.1336 (Acte 4, scène 3, LISE)
Que dites-vous ? Juste ciel ! Vous pleurez ? v.1337 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
N'avez-vous point vu déjà votre père ? v.1340 (Acte 4, scène 3, LISE)
Si votre sort vous attache à mon frère, v.1347 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
Pour le changer vous n'irez pas si loin. v.1362 (Acte 4, scène 3, LISE)
Vous rallumez ces feux si légitimes, v.1367 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
Je vous suis cher, il est déshérité. v.1374 (Acte 4, scène 3, EUPH?MON FILS)
Pourquoi ? Si vous m'aimez ? v.1378 (Acte 4, scène 3, EUPHÉMON FILS)
Que vous avez embrassé mes genoux ; v.1381 (Acte 4, scène 3, LISE)
Laissez-le au moins ignorer que c'est vous. v.1382 (Acte 4, scène 3, LISE)
Qui se traitait, et que vous dérangez ; v.1389 (Acte 4, scène 4, JASMIN)
Contraignez-vous si vous m'aimez. v.1400 (Acte 4, scène 4, LISE)
Et vous semblez vous boucher les oreilles ; v.1408 (Acte 4, scène 4, FIERENFAT)
Vous, infidèle avec votre air sucré, v.1409 (Acte 4, scène 4, FIERENFAT)
Oui, quand vous connaîtrez v.1417 (Acte 4, scène 4, LISE)
Mes sentiments, vous les estimerez. v.1418 (Acte 4, scène 4, LISE)
Quel courroux vous anime ! v.1420 (Acte 4, scène 4, LISE)
Que d'un reproche il ose vous couvrir. v.1422 (Acte 4, scène 4, EUPHÉMON FILS)
Savez-vous bien que l'on perd son douaire, v.1423 (Acte 4, scène 4, FIERENFAT)
Savez-vous vous taire ? v.1424 (Acte 4, scène 4, EUPHÉMON FILS)
De tels appas n'étaient point faits pour vous, v.1433 (Acte 4, scène 4, EUPHÉMON FILS)
Il vous sied mal d'oser être jaloux ; v.1434 (Acte 4, scène 4, EUPH?MON FILS)
Retirez-vous. v.1439 (Acte 4, scène 4, LISE)
Ce qu'à Madame ici vous en devez, v.1442 (Acte 4, scène 4, EUPHÉMON FILS)
C'est vous, Monsieur, qui m'en devez, peut-être. v.1444 (Acte 4, scène 4, EUPH?MON FILS)
Vous... vous. v.1445 (Acte 4, scène 4, EUPHÉMON FILS)
Et comme il faut on vous estimera. v.1458 (Acte 4, scène 4, FIERENFAT)
Eh, cachez-vous ; de grâce rentrons vite : v.1459 (Acte 4, scène 5, LISE)
Si votre père apprenait que c'est vous, v.1461 (Acte 4, scène 5, LISE)
Pour l'insulter en ces lieux vous rappelle ; v.1464 (Acte 4, scène 5, LISE)
Que vous venez entre nos deux maisons v.1465 (Acte 4, scène 5, LISE)
Vous enfermer, hélas ! Sans vous entendre. v.1468 (Acte 4, scène 5, LISE)
Cachez-vous bien... v.1475 (Acte 4, scène 5, LISE)
Vous pouvez croire tout. v.1494 (Acte 4, scène 7, FIERENFAT)
Tudieu, l'honneur ! Oh voyez-vous ? Rondon v.1505 (Acte 4, scène 7, RONDON)
L'un vous traînait sa voix de pédagogue, v.1529 (Acte 5, scène 2, JASMIN)
Que tout ceci ne soit cruel pour vous ; v.1543 (Acte 5, scène 2, MARTHE)
Si vous saviez quels airs hautains et rudes, v.1546 (Acte 5, scène 2, MARTHE)
Prend contre vous, avec quelle insolence v.1549 (Acte 5, scène 2, MARTHE)
Vous feraient rire, ou vous feraient horreur. v.1552 (Acte 5, scène 2, MARTHE)
On vous accuse, on augmente, on murmure, v.1557 (Acte 5, scène 2, JASMIN)
Que vous ayez d'une tache si noire v.1570 (Acte 5, scène 2, MARTHE)
Oui, je suis prête à vous tout découvrir. v.1596 (Acte 5, scène 3, LISE)
Daignez... c'est tout ce que je puis vous dire. v.1605 (Acte 5, scène 3, LISE)
Vous serez obéie. v.1614 (Acte 5, scène 4, MARTHE)
Un siège... Hélas !... Monsieur, asseyez-vous, v.1615 (Acte 5, scène 5, LISE)
Vous m'outragez. v.1617 (Acte 5, scène 5, EUPHÉMON)
Non, mon coeur vous révère ; v.1617 (Acte 5, scène 5, LISE)
Je vous regarde à jamais comme un père. v.1618 (Acte 5, scène 5, LISE)
Qui, vous ? Ma fille ? v.1619 (Acte 5, scène 5, EUPHÉMON)
Écoutez-moi, vous allez reconnaître v.1625 (Acte 5, scène 5, LISE)
Pourriez-vous bien lui fermer aujourd'hui v.1647 (Acte 5, scène 5, LISE)
De ce portrait que voulez-vous conclure, v.1649 (Acte 5, scène 5, EUPHÉMON)
Hélas ! Monsieur, quand vous aurez appris v.1659 (Acte 5, scène 5, LISE)
Tout ce qu'il est, vous serez plus surpris ; v.1660 (Acte 5, scène 5, LISE)
Vous ! Vous pourriez à jamais le punir, v.1671 (Acte 5, scène 5, LISE)
Le pourriez-vous ? v.1676 (Acte 5, scène 5, LISE)
Hélas ! Vous oubliez, v.1676 (Acte 5, scène 5, EUPHÉMON)
Vous l'entendrez ; il vous attendrira. v.1684 (Acte 5, scène 5, LISE)
Que dites-vous ? v.1685 (Acte 5, scène 5, EUPHÉMON)
Peut-être ici vous le verrez mourir v.1687 (Acte 5, scène 5, LISE)
Vous sentez trop quel est mon trouble extrême ; v.1689 (Acte 5, scène 5, EUPHÉMON)
S'il respire, il vous aime. v.1690 (Acte 5, scène 5, LISE)
Mais sauriez-vous... v.1693 (Acte 5, scène 5, EUPHÉMON)
La vérité vous parle par ma bouche. v.1694 (Acte 5, scène 5, LISE)
Expliquez-vous, parlez-moi ; v.1700 (Acte 5, scène 5, EUPHÉMON)
Soyez hardis, vous êtes six contre un. v.1704 (Acte 5, scène 6, RONDON)
Qu'on poursuivait, et qui vous est soumis. v.1708 (Acte 5, scène 6, EUPHÉMON FILS)
À vos genoux vous voyez vos enfants ; v.1715 (Acte 5, scène 6, LISE)
Que d'expirer aimé de vous et d'elle, v.1722 (Acte 5, scène 6, EUPHÉMON FILS)
D'un malheureux vous détournez la vue, v.1725 (Acte 5, scène 6, EUPH?MON FILS)
D'un coeur plus pur il vous porte l'offrande, v.1734 (Acte 5, scène 6, LISE)
Il faut enfin que vous me connaissiez, v.1743 (Acte 5, scène 6, EUPHÉMON)
C'est vous, Monsieur, qui me la ravissiez ; v.1744 (Acte 5, scène 6, EUPH?MON)
M'envierez-vous l'inopiné retour v.1751 (Acte 5, scène 6, EUPH?MON)
Gardez mes biens, je vous les abandonne ; v.1753 (Acte 5, scène 6, EUPH?MON)
Vous les aimez... moi, j'aime sa personne ; v.1754 (Acte 5, scène 6, EUPH?MON)
Vous dans mes biens, moi, Monsieur, dans son coeur. v.1756 (Acte 5, scène 6, EUPH?MON)
Vite épousez, le Ciel vous favorise, v.1765 (Acte 5, scène 6, MADAME CROUPILLAC)
Car tout exprès pour vous il a fait Lise, v.1766 (Acte 5, scène 6, MADAME CROUPILLAC)
De tout mon coeur ; et vous, souffrez, mon père, v.1769 (Acte 5, scène 6, LISE)
Dont vous flattez mon fils le Président ; v.1796 (Acte 5, scène 6, EUPHÉMON)
Vous, mes enfants, dans ces moments prospères, v.1801 (Acte 5, scène 6, EUPH?MON)
Soyez unis, embrassez-vous en frères ; v.1802 (Acte 5, scène 6, EUPH?MON)

L'Ã‰COSSAISE (1766)

Monsieur Frélon, monsieur Frélon, vous vous faites bien des ennemis. (Acte 1, scène 1, FABRICE)
Non, sur mon âme ; ce n'est point du tout ce sentiment-là que vous faites naître : écoutez ; j'ai quelque amitié pour vous ; je suis fâché d'entendre parler de vous comme on en parle. (Acte 1, scène 1, FABRICE)
Comment faites-vous donc pour avoir tant d'ennemis, monsieur Frélon ? (Acte 1, scène 1, FABRICE)
Cela peut être, mais il n'y a encore que vous qui me l'ayez dit : on prétend que vous êtes un ignorant ; cela ne me fait rien : mais on ajoute que vous êtes malicieux, et cela me fâche, car je suis bonhomme. (Acte 1, scène 1, FABRICE)
J'ai le coeur bon, j'ai le coeur tendre ; je dis un peu de mal des hommes, mais j'aime toutes les femmes, monsieur Fabrice, pourvu qu'elles soient jolies ; et, pour vous le prouver, je veux absolument que vous m'introduisiez chez cette aimable personne qui loge chez vous, et que je n'ai pu encore voir dans son appartement. (Acte 1, scène 1, FRÉLON)
Monsieur Frélon, cette jeune personne-là n'est guère faite pour vous ; car elle ne se vante jamais, et ne dit de mal de personne. (Acte 1, scène 1, FABRICE)
N'en seriez-vous point amoureux, mon cher monsieur Fabrice ? (Acte 1, scène 1, FRÉLON)
Oui, qu'avez-vous à rire ? (Acte 1, scène 1, FABRICE)
Est-ce que vous ne croyez pas à la vertu, vous ? (Acte 1, scène 1, FABRICE)
Vous êtes monsieur Fabrice, à ce que je crois ? (Acte 1, scène 2, MONROSE)
À vous servir, monsieur, (Acte 1, scène 2, FABRICE)
On m'a dit que je serais mieux chez vous qu'ailleurs, que vous êtes un bon et honnête homme. (Acte 1, scène 2, MONROSE)
Vous trouverez ici, monsieur, toutes les commodités de la vie, un appartement assez propre, table d'hôte, si vous daignez me faire cet honneur, liberté de manger chez vous, l'amusement de la conversation dans le café. (Acte 1, scène 2, FABRICE)
Avez-vous ici beaucoup de locataires ? (Acte 1, scène 2, MONROSE)
Qu'on me prépare, je vous prie, un appartement où je puisse être en solitude... (Acte 1, scène 2, MONROSE)
Monsieur Frélon peut vous en instruire, car il en fait ; c'est l'homme du monde qui parle et qui écrit le plus : il est très-utile aux étrangers. (Acte 1, scène 2, FABRICE)
Je vais donner ordre que vous soyez bien servi. (Acte 1, scène 2, FABRICE)
Milord, permettez que je vous présente mes hommages et ma plume. (Acte 1, scène 2, FRÉLON)
Si vous avez quelque ami à qui vous vouliez donner des éloges, ou quelque ennemi dont on doive dire du mal, quelque auteur à protéger ou à décrier, il n'en coûte qu'une pistole par paragraphe. (Acte 1, scène 2, FRÉLON)
Si vous voulez faire quelque connaissance agréable ou utile, je suis encore votre homme. (Acte 1, scène 2, FR?LON)
Et vous ne faites point d'autre métier dans la ville ? (Acte 1, scène 2, MONROSE)
Et on ne vous a pas encore montré en public, le cou décoré d'un collier de fer de quatre pouces de hauteur ? (Acte 1, scène 2, MONROSE)
Et moi, je vous dis que les philosophes font baisser les fonds publics, et qu'il faut envoyer un autre ambassadeur à la Porte. (Acte 1, scène 3, LE SECOND INTERLOCUTEUR)
Messieurs, on a servi : surtout ne vous querellez point à table, ou je ne vous reçois plus chez moi. (Acte 1, scène 3, FABRICE)
Seriez-vous assez complaisante pour venir dîner en compagnie ? (Acte 1, scène 4, FABRICE)
Je n'ose ; car ma maîtresse ne mange point : comment voulez-vous que je mange ? (Acte 1, scène 4, POLLY)
Cela vous égayera. (Acte 1, scène 4, FABRICE)
Je vous enverrai donc secrètement ce qu'il vous faudra. (Acte 1, scène 4, FABRICE)
Je vous suis, monsieur Fabrice. (Acte 1, scène 4, FRÉLON)
Ma chère Polly, vous ne voulez donc jamais m'introduire chez votre maîtresse. (Acte 1, scène 4, FR?LON)
Vous rebutez toutes mes prières. (Acte 1, scène 4, FR?LON)
C'est bien à vous d'oser faire l'amoureux d'une personne de sa sorte ! (Acte 1, scène 4, POLLY)
D'une sorte qu'il faut respecter : vous êtes fait tout au plus pour les suivantes. (Acte 1, scène 4, POLLY)
C'est-à-dire que, si je vous en contais, vous m'aimeriez ? (Acte 1, scène 4, FRÉLON)
Pour trois raisons : c'est que vous êtes bel esprit, ennuyeux, et méchant, (Acte 1, scène 4, POLLY)
Qui vous a dit cela, langue de vipère ? (Acte 1, scène 4, POLLY)
Ma maîtresse est très-riche : si elle ne fait point de dépense, c'est qu'elle hait le faste : elle est vêtue simplement par modestie ; elle mange peu, c'est par régime ; et vous êtes un impertinent. (Acte 1, scène 4, POLLY)
Que connaissez-vous ? (Acte 1, scène 4, POLLY)
Que voulez-vous dire ? (Acte 1, scène 4, POLLY)
Monsieur Frélon, mon cher monsieur Frélon, si vous savez quelque chose, ne nous trahissez pas. (Acte 1, scène 4, POLLY)
Ou aimez-moi, ou craignez-moi : vous savez qu'il y a quelque chose. (Acte 1, scène 4, FRÉLON)
Non, il n'y a rien, sinon que ma maîtresse est aussi respectable que vous êtes haïssable : nous sommes très à notre aise, nous ne craignons rien, et nous nous moquons de vous. (Acte 1, scène 4, POLLY)
Il voulait absolument vous voir, et je le rembarrais... (Acte 1, scène , POLLY)
Ma chère maîtresse, on s'en aperçoit assez en me voyant : pour vous, ce n'est pas de même ; la grandeur d'âme vous soutient : il semble que vous vous plaisiez à combattre la mauvaise fortune ; vous n'en êtes que plus belle ; mais moi, je maigris à vue d'oeil : depuis un an que vous m'avez prise à votre service en Écosse, je ne me reconnais plus. (Acte 1, scène , POLLY)
Oui, madame, j'aimerais mieux mourir auprès de vous dans l'indigence, que de servir des reines. (Acte 1, scène , POLLY)
Que ne puis-je vous consoler ! (Acte 1, scène , POLLY)
Savez-vous bien que ce méchant Frélon se vante d'en avoir quelque connaissance ? (Acte 1, scène , POLLY)
Je ne sors jamais d'auprès de vous ; et puis le monde est si indifférent sur les malheurs d'autrui ! (Acte 1, scène , POLLY)
Je ne sais comment vous nommer, ni comment vous parler : vous m'imposez du respect. (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Je sors de table pour vous demander vos volontés... (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Mon cher hôte, croyez que toutes vos attentions me pénètrent le coeur ; que voulez-vous de moi ? (Acte 1, scène 6, LINDANE)
C'est moi qui voudrais bien que vous voulussiez avoir quelque volonté. (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Il me semble que vous n'avez pas dîné hier. (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Vous êtes plus que malade, vous êtes triste... (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Non, vous dis-je, elle n'est pas si belle, si bonne, si désirable que vous l'êtes. (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Que voulez-vous dire ? (Acte 1, scène 6, LINDANE)
Que vous touchez ici tout le monde, et que vous l'évitez trop. (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Écoutez : je ne suis qu'un homme simple, qu'un homme du peuple ; mais je vois tout votre mérite comme si j'étais un homme de la cour : ma chère dame, un peu de bonne chère : nous avons là-haut un vieux gentilhomme, avec qui vous devriez manger. (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Vous paraissez bien affligée, il paraît bien triste aussi : deux afflictions mises ensemble peuvent devenir une consolation. (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Souffrez au moins que ma femme vous fasse sa cour ; daignez permettre qu'elle mange avec vous, pour vous tenir compagnie. (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Je vous rends grâce avec sensibilité ; mais je n'ai besoin de rien. (Acte 1, scène 6, LINDANE)
Je n'y tiens pas : vous n'avez besoin de rien, et vous n'avez pas le nécessaire ! (Acte 1, scène 6, FABRICE)
Qui vous en a pu imposer si témérairement ? (Acte 1, scène 6, LINDANE)
Vous extravaguez, mon cher hôte. (Acte 1, scène 6, LINDANE)
Suivez-moi, il faut que je vous parle. (Acte 1, scène 7, LADY ALTON)
À vous, malheureux ! (Acte 1, scène 7, LADY ALTON)
Je ne crois pas un mot de ce que vous me dites, monsieur le cafetier. (Acte 2, scène 1, LADY ALTON)
Vous me mettez toute hors de moi-même. (Acte 2, scène 1, LADY ALTON)
Madame, revenez à vous. (Acte 2, scène 1, FABRICE)
Vous m'osez assurer que cette aventurière est une personne d'honneur, après qu'elle a reçu chez elle un homme de la cour : vous devriez mourir de honte. (Acte 2, scène 1, LADY ALTON)
Vous pouvez mépriser mon état, mais vous devez estimer ma probité ; et quant à celle que vous appelez une aventurière, si vous connaissiez ses moeurs, vous la respecteriez. (Acte 2, scène 1, FABRICE)
Laissez-moi, vous m'importunez. (Acte 2, scène 1, LADY ALTON)
Connaissez-vous les grandes passions, mademoiselle ? (Acte 2, scène 2, LADY ALTON)
Connaissez-vous l'amour véritable ? (Acte 2, scène 2, LADY ALTON)
Mais c'est la rage dont vous me parlez là. (Acte 2, scène 2, LINDANE)
Tant pis pour vous, madame. (Acte 2, scène 2, LINDANE)
Que vous importe, madame ? (Acte 2, scène 2, LINDANE)
Et de quel droit venez-vous m'interroger ? (Acte 2, scène 2, LINDANE)
êtes-vous mon juge ? (Acte 2, scène 2, LINDANE)
Je suis votre partie : si milord vient encore vous voir, si vous flattez la passion de cet infidèle, tremblez : renoncez à lui ou vous êtes perdue. (Acte 2, scène 2, LADY ALTON)
Je vois que vous l'aimez, que vous vous laissez séduire par un perfide ; je vois qu'il vous trompe, et que vous me bravez : mais sachez qu'il n'est point de vengeance à laquelle je ne me porte. (Acte 2, scène 2, LADY ALTON)
Avant de me venger, je veux vous confondre : tenez, connaissez le traître ; voilà les lettres qu'il m'a écrites ; voilà sont portrait qu'il m'a donné. (Acte 2, scène 2, LADY ALTON)
Arrêtez, madame ; si vous continuiez à en dire du mal, je l'aimerais peut-être encore. (Acte 2, scène 2, LINDANE)
Vous êtes venue ici pour achever de m'ôter la vie ; vous n'aurez pas de peine. (Acte 2, scène 2, LINDANE)
Gazetier littéraire, approchez ; m'avez-vous servie ? (Acte 2, scène 3, LADY ALTON)
Avez-vous emplové vos correspondances ? (Acte 2, scène 3, LADY ALTON)
M'avez-vous obéi ? (Acte 2, scène 3, LADY ALTON)
Avez-vous découvert quelle est cette insolente qui fait le malheur de ma vie ? (Acte 2, scène 3, LADY ALTON)
Vous voyez bien que, dans un temps de trouble, une Écossaise qui se cache est une ennemie de l'État. (Acte 2, scène 3, FRÉLON)
Voyez-vous, cela pourrait avoir des suites, et on mettrait votre rivale en prison. (Acte 2, scène 3, FRÉLON)
Madame, je vous conseille de faire usage de tout ce que vous saurez, et même de ce que vous ne saurez pas. (Acte 2, scène 3, FRÉLON)
Adieu, mon maître ; faisons la paix : vous êtes un honnête homme, vous ; mais vous avez dans votre maison un vilain griffonneur. (Acte 2, scène 4, LADY ALTON)
Vous voilà de retour, monsieur Freeport ; comment vous trouvez-vous de votre voyage à la Jamaïque ? (Acte 2, scène , FABRICE)
Voulez-vous les feuilles de Frélon ? (Acte 2, scène , FABRICE)
Avez-vous beaucoup de monde chez vous ? (Acte 2, scène , FREEPORT)
Qui logez-vous à présent ? (Acte 2, scène , FREEPORT)
Vous êtes bien tendre ; je ne m'attendris point, moi ; je n'admire personne ; mais j'estime... (Acte 2, scène , FREEPORT)
Monsieur, vous me paraissez peu civil, et vous devriez respecter davantage ma solitude et mon sexe. (Acte 2, scène , LINDANE)
Qu'on m'apporte mon chocolat, vous dis-je. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Madame, pourquoi ne vous asseyez-vous pas quand je suis assis ? (Acte 2, scène , FREEPORT)
Monsieur, c'est que vous ne devriez pas l'être ; c'est que je suis très-étonnée ; c'est que je ne reçois point de visite d'un inconnu. (Acte 2, scène , LINDANE)
Je suis très connu ; je m'appelle Freeport, loyal négociant, riche ; informez-vous de moi à la Bourse. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Monsieur, je ne connais personne en ce pays-là, et vous me feriez plaisir de ne point incommoder une femme à qui vous devez quelques égards. (Acte 2, scène , LINDANE)
Je ne prétends point vous incommoder ; je prends mes aises, prenez les vôtres ; je lis les gazettes ; travaillez en tapisserie, et prenez du chocolat avec moi... (Acte 2, scène , FREEPORT)
Comme vous voudrez. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Écoutez, Je ne suis pas homme à compliment ; on m'a dit de vous... (Acte 2, scène , FREEPORT)
Le plus grand bien qu'on puisse dire d'une femme : vous êtes pauvre et vertueuse ; mais on ajoute que vous êtes fière, et cela n'est pas bien. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Et qui vous a dit tout cela, monsieur ? (Acte 2, scène , POLLY)
C'est un tour qu'il vous joue : il vous a trompé, monsieur ; non pas sur la fierté, qui n'est que le partage de la vraie modestie ; non pas sur la vertu, qui est mon premier devoir ; mais sur la pauvreté, dont il me soupçonne. (Acte 2, scène , LINDANE)
Vous ne dites pas la vérité, et cela est encore plus mal que d'être fière : je sais mieux que vous que vous manquez de tout, et quelquefois même vous vous dérobez un repas. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Taisez-vous ; est-ce que vous êtes fière aussi, vous ? (Acte 2, scène , FREEPORT)
J'ai fait un voyage à la Jamaïque, qui m'a valu cinq mille guinées ; je me suis fait une loi (et ce doit être celle de tout bon chrétien) de donner toujours le dixième de ce que je gagne ; c'est une dette que ma fortune doit payer à l'état malheureux où vous êtes... (Acte 2, scène , FREEPORT)
Oui, où vous êtes, et dont vous ne voulez pas convenir. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Ce que vous faites pour moi me surprend plus encore que ce que vous dites ; mais je n'accepterai certainement point l'argent que vous m'offrez : il faut vous avouer que je ne me crois pas en état de vous le rendre. (Acte 2, scène , LINDANE)
Qui vous parle de le rendre ? (Acte 2, scène , FREEPORT)
Vous êtes cent fois plus singulière que lui. (Acte 2, scène , POLLY)
Madame, dans, l'état où vous êtes, abandonnée de tout le monde, avez-vous perdu l'esprit de refuser un secours que le ciel vous envoie par la main du plus bizarre et du plus galant homme du monde ? (Acte 2, scène , POLLY)
Si vous ne prenez pas pour vous, madame, prenez pour moi ; je vous sers dans votre malheur, il faut que je profite au moins de cette bonne fortune. (Acte 2, scène , POLLY)
Ma maîtresse a caché son état à ceux qui pouvaient lui rendre service ; vous l'avez su malgré elle : obligez-la, malgré elle, à ne pas se priver du nécessaire que le ciel lui envoie par vos mains généreuses, (Acte 2, scène , POLLY)
Et vous vous perdez de folie, ma chère maîtresse, (Acte 2, scène , POLLY)
Si vous m'aimez, ne me réduisez pas à mourir de faim par vanité, (Acte 2, scène , POLLY)
Vous avez mal fait de feindre, et vous faites très-mal de refuser, Milord ne dira rien, car il vous abandonne. (Acte 2, scène , POLLY)
Entendez-vous, mademoiselle ? (Acte 2, scène , POLLY)
Monsieur, elle craint que l'on ne dise que vous l'aimez. (Acte 2, scène , POLLY)
Rassurez-vous, mademoiselle, je ne vous aime point du tout. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Si je viens dans quelques années à vous aimer par hasard, et vous aussi à m'aimer, à la bonne heure... (Acte 2, scène , FREEPORT)
Comme vous vous aviserez je m'aviserai. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Si vous vous en passez, je m'en passerai. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Si vous dites que je vous ennuie, vous m'ennuierez. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Si vous voulez ne me revoir jamais, je ne vous reverrai jamais. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Si vous voulez que je revienne, je reviendrai. (Acte 2, scène , FREEPORT)
Tenez, prenez cette bourse que monsieur a laissée par mégarde ; remettez-la-lui, je vous en charge ; assurez-le de mon estime, et sachez que je n'ai besoin du secours de personne. (Acte 2, scène , LINDANE)
Monsieur Freeport, je vous reconnais bien à cette bonne action : mais comptez que mademoiselle vous trompe, et qu'elle en a très grand besoin. (Acte 2, scène , FABRICE)
Est-ce vous qui me trahissez ? (Acte 2, scène , LINDANE)
Je vais vous obéir, puisque vous le voulez. (Acte 2, scène , FABRICE)
Vous avez là bien opéré, Madame ; le ciel daignait vous secourir ; vous voulez mourir dans l'indigence ; vous voulez que je sois la victime d'une vertu dans laquelle il entre peut-être un peu de vanité ; et cette vanité nous perd l'une et l'autre. (Acte 2, scène 7, POLLY)
Que dites-vous ? (Acte 2, scène 7, POLLY)
Que vous me faites verser de larmes, et que vous me glacez d'effroi ! (Acte 2, scène 7, POLLY)
Que voulez-vous faire ? (Acte 2, scène 7, POLLY)
Pourquoi ne vous êtes-vous pas expliquée avec milord ? (Acte 2, scène 7, POLLY)
Vous pâlissez, vos yeux s'obscurcissent... (Acte 2, scène 7, POLLY)
Pourquoi me rendez-vous à la vie ? (Acte 2, scène 7, LINDANE)
C'était cette belle demoiselle, dont je vous ai parlé, qui s'évanouissait ; mais ce ne sera rien. (Acte 2, scène 8, FABRICE)
Tant mieux, vous m'avez effrayé. (Acte 2, scène 8, MONROSE)
Voici André, le laquais de milord ; je serai instruite de tout mon malheur, André, vous apportez ici une lettre de milord, n'est-il pas vrai ? (Acte 3, scène 1, LADY ALTON)
Non, Madame, je vous jure. (Acte 3, scène 1, ANDRÉ)
Ne m'en avez-vous pas apporté plusieurs de sa part ? (Acte 3, scène 1, LADY ALTON)
Oui ; mais celle-ci n'est pas pour vous : c'est pour une personne qu'il aime à la folie. (Acte 3, scène 1, ANDRÉ)
Que non, madame ; il vous aimait si tranquillement ! (Acte 3, scène 1, ANDRÉ)
Mais ici ce n'est pas de même ; il ne dort ni ne mange ; il court jour et nuit ; il ne parle que de sa chère Lindane : cela est tout différent, vous dis-je. (Acte 3, scène 1, ANDR?)
N'importe, je vous dis que cette lettre est pour moi : n'est-elle pas sans dessus ? (Acte 3, scène 1, LADY ALTON)
Toutes les lettres que vous m'avez apportées n'étaient-elles pas sans dessus aussi ? (Acte 3, scène 1, LADY ALTON)
Je vous dis qu'elle est pour moi ; et, pour vous le prouver, voici dix guinées de port que je vous donne. (Acte 3, scène 1, LADY ALTON)
Oui, madame, vous m'y faites penser, vous avez raison, la lettre est pour vous, je l'avais oublié... (Acte 3, scène 1, ANDRÉ)
Mais cependant, comme elle n'était pas pour vous, ne me décelez pas : dites que vous l'avez trouvée chez Lindane. (Acte 3, scène 1, ANDR?)
« Il y a deux jours, il y a un siècle que je m'arrache au bonheur d'être à vos pieds, mais c'est pour vos seuls intérêts : je sais qui vous êtes, et ce que je vous dois : je périrai, ou les choses changeront. (Acte 3, scène 1, LADY ALTON)
Mes amis agissent : comptez sur moi comme sur l'amant le plus fidèle, et sur un homme digne peut-être de vous servir. » (Acte 3, scène 1, LADY ALTON)
Et qu'il faut qu'elle vienne tout à l'heure, tout à l'heure : entendez-vous ? (Acte 3, scène 2, LADY ALTON)
Qu'elle ne craigne point, vous dis-je. (Acte 3, scène 2, LADY ALTON)
Que voulez-vous, madame ? (Acte 3, scène 2, LINDANE)
Venez-vous insulter encore à ma douleur ? (Acte 3, scène 2, LINDANE)
Non ; je viens vous rendre heureuse. (Acte 3, scène 2, LADY ALTON)
Je sais que vous n'avez rien ; je suis riche, je suis grande dame ; je vous offre un de mes châteaux sur les frontières d'Écosse, avec les terres qui en dépendent ; allez y vivre avec votre famille, si vous en avez ; mais il faut dans l'instant que vous abandonniez milord pour jamais, et qu'il ignore, toute sa vie, votre retraite. (Acte 3, scène 2, LADY ALTON)
Madame, c'est lui qui m'abandonne ; ne soyez point jalouse d'une infortunée ; vous m'offrez en vain une retraite ; j'en trouverai sans vous une éternelle, dans laquelle je n'aurai pas au moins à rougir de vos bienfaits. (Acte 3, scène 2, LINDANE)
Comme vous me répondez, téméraire ! (Acte 3, scène 2, LADY ALTON)
Monsieur Fabrice, vous me voyez ici souvent : c'est votre faute. (Acte 3, scène 3, LADY ALTON)
J'en suis fâchée plus que vous ; mais vous m'y reverrez encore vous dis-je. (Acte 3, scène 3, LADY ALTON)
À propos, vous me faites songer ; elle est, comme vous dites, belle et honnête. (Acte 3, scène 3, FREEPORT)
Vous me faites songer, vous dis-je, à cette petite créature : beau maintien, conduite sage, belle tête, démarche noble. (Acte 3, scène 3, FREEPORT)
Notre hôte m'a confié que vous en aviez agi avec elle d'une manière admirable. (Acte 3, scène 3, MONROSE)
N'en auriez-vous pas fait autant à ma place ? (Acte 3, scène 3, FREEPORT)
Que trouvez-vous donc là d'admirable ? (Acte 3, scène 3, FREEPORT)
Que dites-vous ? (Acte 3, scène 3, MONROSE)
Lisez vous-même ; je ne me trompe pas. (Acte 3, scène 3, FREEPORT)
Vous vous appelez Fabrice ? (Acte 3, scène 4, LE MESSAGER)
Oui, Monsieur ; en quoi puis-je vous servir ? (Acte 3, scène 4, FABRICE)
Vous tenez un café et des appartements ? (Acte 3, scène 4, LE MESSAGER)
Vous avez chez vous une jeune Écossaise nommée Lindane ? (Acte 3, scène 4, LE MESSAGER)
Vous êtes un grand brutal, monsieur le messager d'État. (Acte 3, scène 4, FREEPORT)
Votre personne et rien, c'est la même chose ; votre maison ne vous appartient peut-être pas ; votre bien, où est-il ? (Acte 3, scène 4, LE MESSAGER)
Mon bon monsieur Freeport, donnerai-je les cinq cents guinées que je garde, et qu'elle a refusées aussi noblement que vous les avez offertes ? (Acte 3, scène 4, FABRICE)
Monsieur, vous êtes étonné peut-être du procédé de M. (Acte 3, scène 5, FABRICE)
Êtes-vous cette jeune et aimable personne née en Écosse, qui... (Acte 3, scène 7, MONROSE)
Ne savez-vous aucune nouvelle de votre pays ? (Acte 3, scène 7, MONROSE)
Et qui sont vos parents, je vous prie ? (Acte 3, scène 7, MONROSE)
J'entends ; c'est vous apparemment qui servez cette jeune personne dont on m'a tant parlé ; je me méprenais. (Acte 3, scène 7, MONROSE)
Vous me faites bien de l'honneur. (Acte 3, scène 7, POLLY)
Vous savez sans doute qui est votre maîtresse ? (Acte 3, scène 7, MONROSE)
Mais je vous demande si vous ne connaissez pas sa famille. (Acte 3, scène 7, MONROSE)
Monsieur, ma maîtresse veut être inconnue : elle n'a point de famille ; que me demandez-vous là ? (Acte 3, scène 7, POLLY)
Dites-moi, je vous prie, quel est l'âge de votre maîtresse ? (Acte 3, scène 7, MONROSE)
Je ne sais pas pourquoi vous faites tout seul tant de réflexions sur son âge. (Acte 3, scène 7, POLLY)
Monsieur, il est impossible que vous voyiez à présent ma maîtresse ; elle est dans l'affliction la plus cruelle. (Acte 3, scène 7, POLLY)
Tout ce que vous me dites redouble mon empressement. (Acte 3, scène 7, MONROSE)
Mon cher compatriote, vous m'attendrissez : attendez encore quelques moments. (Acte 3, scène 7, POLLY)
Je vais à elle : je reviendrai à vous. (Acte 3, scène 7, POLLY)
On vous cherche... (Acte 3, scène 8, FABRICE)
Que voulez-vous dire ? (Acte 3, scène 8, MONROSE)
On vous cherche, Monsieur. (Acte 3, scène 8, FABRICE)
Je ne sais qui vous êtes : mais on est venu me demander qui vous étiez : on rôde autour de la maison, on s'informe, on entre, on passe, on repasse, on guette, et je ne serai point surpris si, dans peu, on vous fait le même compliment qu'à cette jeune et chère demoiselle, qui est, dit-on, de votre pays. (Acte 3, scène 8, FABRICE)
Partez vite, croyez-moi ; notre ami Freeport ne serait peut-être pas d'humeur à faire pour vous ce qu'il a fait pour une belle personne de dix-huit ans. (Acte 3, scène 8, FABRICE)
Je vous entendais à peine... (Acte 3, scène 8, MONROSE)
Venez, que je vous parle un moment dans quelque endroit plus solitaire, et surtout que je puisse ensuite entretenir cette jeune Écossaise. (Acte 3, scène 8, MONROSE)
Ah : je vous avais bien dit que vous seriez enfin curieux de la voir. (Acte 3, scène 8, FABRICE)
Je suis obligé de vous l'avouer, monsieur Frélon ; si tout ce qu'on dit est vrai, vous me feriez plaisir de ne plus fréquenter chez nous. (Acte 4, scène 1, FABRICE)
Tout ce qu'on dit est toujours faux : quelle mouche vous pique, monsieur Fabrice ? (Acte 4, scène 1, FRÉLON)
Vous venez écrire ici vos feuilles : mon café passera pour une boutique de poison. (Acte 4, scène 1, FABRICE)
Ceci mérite qu'on y pense, voyez-vous ? (Acte 4, scène 1, FREEPORT)
On prétend que vous dites du mal de tout le monde. (Acte 4, scène 1, FABRICE)
De tout le monde, entendez-vous ? (Acte 4, scène 1, FREEPORT)
On commence même à dire que vous êtes un délateur ; mais je ne veux pas le croire. (Acte 4, scène 1, FABRICE)
Entendez-vous ? (Acte 4, scène 1, FREEPORT)
De goût ou de dégoût, vous me faites tort, vous dis-je. (Acte 4, scène 1, FABRICE)
Au contraire, c'est moi qui achalandé votre café ; c'est moi qui l'ai mis à la mode ; c'est ma réputation qui vous attire du monde. (Acte 4, scène 1, FRÉLON)
Monsieur Fabrice, monsieur Fabrice, arrêtez, s'il vous plaît : on peut attaquer mes moeurs ; mais pour ma réputation d'auteur, je ne le souffrirai jamais. (Acte 4, scène 1, FRÉLON)
Laissez là vos écrits : savez-vous bien, puisqu'il faut tout vous dire, que vous êtes soupçonné d'avoir voulu perdre Mlle Lindane ? (Acte 4, scène 1, FABRICE)
On prétend que c'est vous qui l'avez accusée d'être Écossaise, et qui avez aussi accusé ce brave gentilhomme de la-haut d'être Écossais. (Acte 4, scène 1, FABRICE)
On ajoute que vous avez eu plusieurs conférences avec les gens de cette dame si colère qui est venue ici, et avec ceux de ce milord qui n'y vient plus ; que vous redites tout, que vous envenimez tout. (Acte 4, scène 1, FABRICE)
Seriez-vous un mauvais sujet, en effet ? (Acte 4, scène 1, FREEPORT)
Je suis très aise de vous revoir, mon brave et honnête homme : comment se porte cette belle et respectable personne que vous avez le bonheur de posséder chez vous ? (Acte 4, scène , LORD MURRAY)
Milord, elle a été très-malade depuis qu'elle ne vous a vu ; mais je suis sûr quelle se portera mieux aujourd'hui. (Acte 4, scène , FABRICE)
Monseigneur, permettez-vous que je vous dédie un tome ?... (Acte 4, scène , FRÉLON)
C'est vous qui avez appris à mes gens l'arrivée de ce vieux gentilhomme venu d'Écosse : c'est vous qui l'avez dépeint, qui êtes allé faire le même rapport aux gens du ministre d'État. (Acte 4, scène , LORD MURRAY)
Vous m'avez rendu service, sans le savoir ; je ne regarde pas à l'intention : on prétend que vous vouliez nuire, et que vous avez fait du bien : tenez, voilà pour le bien que vous avez fait ; mais si vous avisez jamais de prononcer le nom de cet homme et de Mlle Lindane, je vous ferai jeter par les fenêtres de votre grenier. (Acte 4, scène , LORD MURRAY)
Je crois que c'est la seule fois de sa vie qu'elle vous trompera. (Acte 4, scène 3, POLLY)
Gardez-vous-en bien ; elle est actuellement avec un gentilhomme, si vieux, si vieux, qui est de son pays, et ils se disent des choses si intéressantes ! (Acte 4, scène 3, POLLY)
Je vous y prends enfin, perfide ! (Acte 4, scène 4, LADY ALTON)
Oui, Madame, vous êtes sûre de tout. (Acte 4, scène 4, LORD MURRAY)
Avant d'en aimer une autre, je vous ai déclaré que je ne vous aimais plus. (Acte 4, scène 4, LORD MURRAY)
Quand je vous ai juré de l'amour, j'en avais ; quand je vous ai promis de vous épouser, je voulais tenir ma parole. (Acte 4, scène 4, LORD MURRAY)
Je vous quitte pour la vertu, pour la douceur, et pour les grâces. (Acte 4, scène 4, LORD MURRAY)
Je sais que vous êtes vindicative, envieuse plutôt que jalouse, emportée plutôt que tendre : mais vous serez forcée à respecter celle que j'aime. (Acte 4, scène 4, LORD MURRAY)
Allez, lâche, je connais l'objet de vos amours mieux que vous ; je sais qui elle est ; je sais qui est l'étranger arrivé aujourd'hui pour elle ; je sais tout : des hommes plus puissants que vous sont instruits de tout ; et bientôt on vous enlèvera l'indigne objet pour qui vous m'avez méprisée. (Acte 4, scène 4, LADY ALTON)
Madame, arrêtez-vous ; un mot ; expliquez-vous, écoutez... (Acte 4, scène 4, LORD MURRAY)
Vous êtes, comme je vous l'ai déjà dit, un inconstant, un volage, un coeur faux, un traître, un perfide, un homme abominable. (Acte 4, scène 4, LADY ALTON)
Il faut vous l'avouer ; ma maîtresse est arrêtée par l'ordre du gouvernement : je crois que je le suis aussi ; et, sans un homme, qui est la bonté même, et qui a bien voulu être notre caution, nous serions en prison à l'heure que je vous parle : on m'avait fait jurer de n'en rien dire ; mais le moyen de se taire avec vous ? (Acte 4, scène 5, POLLY)
Chaque mot que vous m'avez dit me perce l'âme. (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Vous, née dans le Locaber ! (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Ô vous ! (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Digne du plus beau sort du monde, coeur magnanime, âme élevée, vous m'avouez que vous êtes d'une de ces familles proscrites, dont le sang a coulé sur les échafauds, dans nos guerres civiles, et vous vous obstinez à me cacher votre nom et votre naissance ! (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Ce que je dois à mon père me force au silence : il est proscrit lui-même ; on le cherche, je l'exposerais peut-être, si je me nommais : vous m'inspirez du respect et de l'attendrissement ; mais je ne vous connais pas : je dois tout craindre. (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Vous voyez que je suis suspecte moi-même ; que je suis arrêtée et prisonnière ; un mot peut me perdre. (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Dites-moi du moins quel âge vous aviez quand la destinée cruelle vous sépara de votre père, qui fut depuis si malheureux ? (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Vous versez des larmes ! (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Tout ce que je vous ai dit m'en fait bien répandre. (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Achevez, je vous en conjure. (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Quand votre père eut quitté sa famille pour ne plus la revoir, combien restâtes-vous auprès de votre mère ? (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Reconnaîtriez-vous ce portrait ? (Acte 4, scène 6, MONROSE)
C'est le portrait même de ma mère : mes larmes l'arrosent, et mon coeur, qui se fend, s'échappe vers vous. (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Oui, c'est là votre mère, et je suis ce père infortuné dont la tête est proscrite, et dont les mains tremblantes vous embrassent. (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Comment osez-vous venir dans cette ville ? (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Je tremble pour vous au moment que je goûte le bonheur de vous voir. (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Ma chère fille, vous connaissez toutes les infortunes de notre maison ; vous savez que la maison des Murray, toujours jalouse de la nôtre, nous plongea dans ce précipice. (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Vous venez, dites-vous, pour tuer milord Murray ? (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Oui, je vous vengerai, je vengerai ma famille, ou je périrai ; je ne hasarde qu'un reste de jours déjà proscrits. (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Ma fille, je vous plains d'être née d'un père si malheureux. (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Je suis plus à plaindre que vous ne pensez... (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Êtes-vous bien résolu à cette entreprise funeste ? (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Mon père, je vous conjure, par cette vie fatale que vous m'avez donnée, par vos malheurs, par les miens, qui sont peut-être plus grands que les vôtres, de ne me pas exposer à l'horreur de vous perdre lorsque je vous retrouve... (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Vous m'attendrissez ; votre voix pénètre mon coeur ; je crois entendre celle de votre mère. (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Que voulez-vous ? (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Que vous cessiez de vous exposer, que vous quittiez cette ville si dangereuse pour vous... (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Mon père, je renoncerai à tout pour vous... (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Je suis prête à vous suivre : je vous accompagnerai, s'il le faut, dans quelque île affreuse des Orcades ; je vous y servirai de mes mains ; c'est mon devoir, je le remplirai... (Acte 4, scène 6, LINDANE)
Vous voulez que je renonce à vous venger ? (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Cette vengeance me ferait mourir : partons, vous dis-je. (Acte 4, scène 6, LINDANE)
L'amour paternel l'emporte : puisque vous avez le courage de vous attacher à ma funeste destinée, je vais tout préparer pour que nous quittions Londres avant qu'une heure se passe ; soyez prête, et recevez encore mes embrassements et mes larmes. (Acte 4, scène 6, MONROSE)
Vous rêvez, mademoiselle ; vous le reverrez dans quelques minutes. (Acte 4, scène 7, POLLY)
Mais, Mademoiselle, écoutez-moi donc ; je vous jure que milord... (Acte 4, scène 7, POLLY)
Père infortuné, je ne penserai désormais qu'à vous. (Acte 4, scène 7, LINDANE)
Je vous jure que vous avez tort, que milord n'est point perfide, que c'est le plus aimable homme du monde, qu'il vous aime de tout son coeur, qu'il m'en a donné des marques. (Acte 4, scène 7, POLLY)
Vous n'écoutez rien : reprenez vos esprits, ma chère maîtresse ; on vous aime. (Acte 4, scène 7, POLLY)
Je vous suivrai jusqu'au bout du monde : mais on vous aime, vous dis-je. (Acte 4, scène 7, POLLY)
Cela perce le coeur, Mademoiselle : Polly fait votre paquet, vous nous quittez. (Acte 5, scène 1, FABRICE)
Mon cher hôte, et vous, monsieur, à qui je dois tant, vous qui avez déployé un caractère si généreux, car on m'a dit ce que vous avez fait pour moi, vous ne me laissez que la douleur de ne pouvoir reconnaître vos bienfaits ; mais je ne vous oublierai de ma vie. (Acte 5, scène 1, LINDANE)
Si vous êtes contente de nous, il ne faut point vous en aller : est-ce que vous craignez quelque chose ? (Acte 5, scène 1, FREEPORT)
Vous avez tort ; une fille n'a rien à craindre. (Acte 5, scène 1, FREEPORT)
Je pleure aussi en vous parlant. (Acte 5, scène 1, FABRICE)
Je veux que vous m'écriviez, si vous vous en allez, mademoiselle : je vous ferai toujours du bien... (Acte 5, scène 1, FREEPORT)
Je vous le jure avec la plus vive reconnaissance ; et si jamais la fortune... (Acte 5, scène 1, LINDANE)
Mademoiselle, pardonnez ; mais je songe que vous ne pouvez partir, que vous êtes ici sous la caution de M. (Acte 5, scène 1, FABRICE)
Freeport, et qu'il perd cinq cents guinées si vous nous quittez. (Acte 5, scène 1, FABRICE)
Allez, mademoiselle, partez quand il vous plaira : écrivez-moi, revoyez-moi, quand vous reviendrez... (Acte 5, scène 1, FREEPORT)
Car j'ai conçu pour vous beaucoup d'estime et d'affection. (Acte 5, scène 1, FREEPORT)
Restez ici, vous ; vous, courez à la chancellerie, et rapportez moi le parchemin qu'on expédie, dès qu'il sera scellé. (Acte 5, scène , LORD MURRAY)
Vous, qu'on aille préparer tout dans la nouvelle maison que je viens de louer. (Acte 5, scène , LORD MURRAY)
Je ne partirai point sans vous témoigner encore ma reconnaissance et mes regrets. (Acte 5, scène , LINDANE)
Non, non ; point de ces cérémonies-là, vous m'attendririez peut-être : je vous dis que je n'aime point... (Acte 5, scène , FREEPORT)
Je vous verrai pourtant encore une fois ; je resterai dans la maison, je veux vous voir partir. (Acte 5, scène , FREEPORT)
Allons, Fabrice, aider ce bon gentilhomme de là-haut : je me sens, vous dis-je, de la bonne volonté pour cette demoiselle. (Acte 5, scène , FREEPORT)
Dans quelle maison vous êtes ! (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Elle ne vous convient pas : une plus digne de vous vous attend. (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Belle Lindane, vous baissez les yeux, et vous pleurez ! (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Quel est cet homme qui vous parlait ? (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Vous aurait-il causé quelque chagrin ? (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Croyez que j'aimerais mieux mourir que de mériter le moindre de vos reproches : je n'ai été absent que pour vous, je n'ai songé qu'à vous, je vous ai servie malgré vous ; si, en revenant ici, j'ai trouvé cette femme vindicative et cruelle qui voulait vous perdre, je ne me suis échappé un moment que pour prévenir ses desseins funestes. (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Moi, ne vous avoir pas écrit ! (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Cruelle, pourquoi m'avez-vous caché votre nom illustre, et l'état malheureux où vous êtes, si peu fait pour ce grand nom ? (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Qui vous l'a dit ? (Acte 5, scène 3, LINDANE)
Vous vous trahissiez vous-même ; je vous ai servie. (Acte 5, scène 3, POLLY)
Vous me connaissez : vous savez quelle haine a toujours divisé nos deux maisons ; votre père a fait condamner le mien à la mort ; il m'a réduite à cet état que j'ai voulu vous cacher. (Acte 5, scène 3, LINDANE)
Et vous, son fils ! (Acte 5, scène 3, LINDANE)
Vous ! (Acte 5, scène 3, LINDANE)
Vous osez m'aimer ! (Acte 5, scène 3, LINDANE)
Je vous adore, et je le dois. (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Mon coeur, ma fortune, mon sang est à vous ; confondons ensemble deux noms ennemis : j'apporte à vos pieds le contrat de notre mariage ; daignez l'honorer de ce nom qui m'est si cher. (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Et il faut que je parte, et que je vous quitte pour jamais. (Acte 5, scène 3, LINDANE)
Que vous partiez ! (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Que vous me quittiez ! (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Vous me verrez plutôt expirer à vos pieds. (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Daignez-vous m'aimer ? (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Vous ne partirez point, mademoiselle ; j'y mettrai bon ordre : vous prenez toujours des résolutions désespérées. (Acte 5, scène 3, POLLY)
Qui a pu vous inspirer le dessein de me fuir, de rendre tous mes soins inutiles ? (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Que ne me parlez-vous ? (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Non, je jure par vous qu'il ne vous enlèvera pas. (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Milord, gardez qu'il ne vous voie ; il n'est venu ici que pour finir ses malheurs en vous arrachant la vie, et je ne fuyais avec lui que pour détourner cette horrible résolution. (Acte 5, scène 3, LINDANE)
Le voici qui vient me chercher : si vous m'aimez, ne vous montrez pas à lui, privez-vous de ma vue, épargnez-lui l'horreur de la vôtre, éloignez-vous du moins pour quelque temps. (Acte 5, scène 3, LINDANE)
Mais vous m'y forcez : je vais rentrer ; je vais prendre des armes qui pourront faire tomber les siennes de ses mains. (Acte 5, scène 3, LORD MURRAY)
Je ne vous abandonnerai jamais : cependant daignez souffrir que je reste encore. (Acte 5, scène 4, LINDANE)
Après m'avoir si fort pressé vous-même de partir ! (Acte 5, scène 4, MONROSE)
Avez-vous changé de dessein ? (Acte 5, scène 4, MONROSE)
Avez-vous retrouvé et perdu en si peu de temps le sentiment de la nature ? (Acte 5, scène 4, MONROSE)
Je vous suivrai... (Acte 5, scène 4, LINDANE)
Mais, encore une fois, attendez quelque temps ; accordez cette grâce à celle qui vous doit des jours si remplis d'orages ; ne me refusez pas des instants précieux. (Acte 5, scène 4, LINDANE)
Ils sont précieux en effet, et vous les perdez : songez-vous que nous sommes à chaque moment en danger d'être découverts, que vous avez été arrêtée, qu'on me cherche, que vous pouvez voir demain votre père périr par le dernier supplice ? (Acte 5, scène 4, MONROSE)
N'importe, vous êtes mon père, je vous suis. (Acte 5, scène 4, LINDANE)
Adieu, monsieur; nous partons le coeur plein de vos bontés : je n ai jamais connu de ma vie un plus digne homme que vous ; vous me faites pardonner au genre humain. (Acte 5, scène , MONROSE)
Vous partez donc avec cette dame ? (Acte 5, scène , FREEPORT)
Je n'approuve point cela ; vous devriez rester. (Acte 5, scène , FREEPORT)
Il me vient des idées qui vous conviendront peut-être : demeurez. (Acte 5, scène , FREEPORT)
Que faites-vous, mon père ? (Acte 5, scène , LINDANE)
C'est ainsi que vous me trahissez ? (Acte 5, scène , MONROSE)
Monsieur, point de violence dans ma maison, je vous en conjure : vous me perdriez. (Acte 5, scène , FABRICE)
Vous êtes le père de cette respectable personne, n'est-il pas vrai ? (Acte 5, scène , LORD MURRAY)
Vous oseriez !... (Acte 5, scène , LINDANE)
C'est ainsi que je me bats contre vous. (Acte 5, scène , LORD MURRAY)
Et c'est à vous, c'est à vous, Murray, que je dois tout ! (Acte 5, scène , MONROSE)
Vous triomphez de moi plus que si j'étais tombé sous vos coups. (Acte 5, scène , MONROSE)

ORESTE (1750)

Relégué comme vous dans ce séjour d'effroi, v.12 (Acte 1, scène 1, PAMMÈNE)
Hélas ! est-ce vous que je vois, v.44 (Acte 1, scène 2, IPHISE)
Vous annonce en leur nom leur horrible bonheur. v.48 (Acte 1, scène 2, ÉLECTRE)
Un destin moins affreux permet que je vous voie ; v.49 (Acte 1, scène 2, IPHISE)
Pouvez-vous en ces lieux moins que n'ont pu les crimes ? v.66 (Acte 1, scène 2, ÉLECTRE)
Craignez-vous de frapper ? craignez-vous de mourir ? v.68 (Acte 1, scène 2, ?LECTRE)
Je vous pardonne, hélas ! cette douleur captive, v.85 (Acte 1, scène 2, ÉLECTRE)
Il vous ménage au moins. De son indigne loi v.87 (Acte 1, scène 2, ?LECTRE)
Vous n'êtes point esclave, et d'opprobres nourrie, v.89 (Acte 1, scène 2, ?LECTRE)
C'est là, c'est en ces lieux, où vous n'osez pleurer, v.95 (Acte 1, scène 2, ?LECTRE)
Permettez que ma voix puisse encore en vous deux v.119 (Acte 1, scène 2, PAMMÈNE)
Avez-vous donc des dieux oublié les promesses ? v.121 (Acte 1, scène 2, PAMM?NE)
Avez-vous oublié que leurs mains vengeresses v.122 (Acte 1, scène 2, PAMM?NE)
Qu'il doit punir Égisthe au lieu même où vous êtes, v.125 (Acte 1, scène 2, PAMM?NE)
Dieux qui la préparez, que vous tardez longtemps ! v.132 (Acte 1, scène 2, IPHISE)
Vous le voyez, Pammène ; Égisthe renouvelle v.137 (Acte 1, scène 2, ÉLECTRE)
Sage et prudent vieillard, oui, vous m'ouvrez les yeux. v.144 (Acte 1, scène 2, ÉLECTRE)
Hélas ! vous me rendez un rayon d'espérance. v.146 (Acte 1, scène 2, ?LECTRE)
Dieux, vous rendrez Oreste aux larmes de sa soeur ; v.151 (Acte 1, scène 2, ?LECTRE)
Pammène, éloignez-vous; mes filles, demeurez. v.164 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Vous dévoiler enfin mes sentiments secrets. v.168 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Qui ? vous, madame, ô ciel ! vous m'aimeriez encore ? v.185 (Acte 1, scène 3, ÉLECTRE)
Quoi ! vous n'oubliez point ce sang qu'on déshonore ? v.186 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Ah ! si vous conservez des sentiments si chers, v.187 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Vous me faites frémir ; votre esprit inflexible v.189 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Vous portez le poignard dans ce coeur agité ; v.191 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Vous frappez une mère, et je l'ai mérité. v.192 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Eh bien ! Vous désarmez une fille éperdue. v.193 (Acte 1, scène 3, ÉLECTRE)
Aux fers de mon tyran par vous-même livrée, v.197 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
D'Égisthe dans mon coeur je vous ai séparée. v.198 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Ce sang que je vous dois ne saurait se trahir : v.199 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
J'ai pleuré sur ma mère, et n'ai pu vous haïr. v.200 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Ah ! si le ciel enfin vous parle et vous éclaire, v.201 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
S'il vous donne en secret un remords salutaire, v.202 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Ne le repoussez pas ; laissez-vous pénétrer v.203 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
À la secrète voix qui vous daigne inspirer ; v.204 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Livrez-vous tout entière à ce dieu qui vous guide ; v.206 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Qu'il punisse un tyran, qu'il règne, qu'il vous aime, v.209 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Qu'il venge Agamemnon, ses filles, et vous-même ; v.210 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Électre, levez-vous ; v.211 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
J'ai plaint les fers honteux dont vous êtes chargée ; v.213 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Et vous l'avez forcé d'appesantir son bras. v.216 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Qui tant de fois pour vous ai voulu le fléchir, v.219 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
N'imputez qu'à vous seule un affront qui m'outrage ; v.221 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Mais, si vous vous hâtez, si vos soins imprudents v.227 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Vous hasardez sa vie, et vous êtes perdue ; v.230 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Est-ce ainsi qu'en effet vous plaignez ma misère ? v.234 (Acte 1, scène 3, ÉLECTRE)
À quoi vous sert, hélas ! ce remords passager ? v.235 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Vous menacez Électre, et votre fils lui-même ! v.237 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Vous menacez Oreste !... Hélas ! loin d'espérer v.239 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Votre époux, puisque ainsi vous l'osez appeler, v.243 (Acte 1, scène 3, ?LECTRE)
Vous pensez que je viens, heureuse et triomphante, v.261 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Vous pleurez dans les fers; et moi, dans ma grandeur. v.264 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
N'implorez plus les dieux ; ils vous ont exaucée, v.266 (Acte 1, scène 3, CLYTEMNESTRE)
Quel est donc cet effroi dont vous me pénétrez ? v.272 (Acte 1, scène 4, CLYTEMNESTRE)
Ah ! Trop cruel Égisthe, où guidiez-vous mes pas ? v.287 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Quoi ! Ces solennités qui vous étaient si chères, v.289 (Acte 1, scène 5, ÉGISTHE)
Laissez gémir Iphise, et vous ressouvenez v.299 (Acte 1, scène 5, ÉGISTHE)
Quel nom prononcez-vous ? Tout mon coeur en frémit. v.311 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Pourquoi tenter les dieux ? pourquoi vous présenter v.315 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Aux coups qu'il vous faut craindre, et qu'on peut éviter ? v.316 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Plus que vous ne pensez on prend notre défense. v.325 (Acte 1, scène 5, ÉGISTHE)
Vous savez qu'en secret j'ai fait partir Plistène : v.330 (Acte 1, scène 5, ÉGISTHE)
Oui, Plistène, mon fils, adopté par vous-même, v.333 (Acte 1, scène 5, ÉGISTHE)
Des périls que toujours vous voulez soupçonner : v.336 (Acte 1, scène 5, ?GISTHE)
Il vous tient lieu de fils, n'en connaissez plus d'autre. v.337 (Acte 1, scène 5, ?GISTHE)
Vous savez, pour unir ma famille et la votre, v.338 (Acte 1, scène 5, ?GISTHE)
Plistène me seconde : en un mot, il vous sert. v.343 (Acte 1, scène 5, ?GISTHE)
Vous frémissez, Madame... v.345 (Acte 1, scène 5, ?GISTHE)
Égisthe, vous savez qui j'ai privé du jour... v.347 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Qu'attendez-vous ici des Dieux et des oracles ? v.354 (Acte 1, scène 5, ÉGISTHE)
Vous rappelez des temps dont ils sont irrités. v.356 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
De mon coeur étonné vous voyez le tumulte. v.357 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Ce n'est pas que pour vous mon amitié s'altère : v.365 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Il n'est point d'intérêt que mon coeur vous préfère ; v.366 (Acte 1, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Vous êtes mon épouse, et surtout vous régnez ; v.371 (Acte 1, scène 5, ÉGISTHE)
Écoutez-vous du sang le dangereux murmure, v.373 (Acte 1, scène 5, ?GISTHE)
Ô qui que vous soyez, tournez vers nous la vue ! v.443 (Acte 2, scène 2, PYLADE)
La terre où je vous parle est pour nous inconnue ; v.444 (Acte 2, scène 2, PYLADE)
Vous voyez deux amis et deux infortunés, v.445 (Acte 2, scène 2, PYLADE)
Quel souverain commande aux lieux où je vous vois ? v.458 (Acte 2, scène 2, ORESTE)
Dans ce péril nouveau gardez de vous trahir. v.461 (Acte 2, scène 2, PYLADE)
Étranger généreux, vous vous attendrissez ; v.473 (Acte 2, scène 2, PAMMÈNE)
Vous voulez retenir les pleurs que vous versez : v.474 (Acte 2, scène 2, PAMM?NE)
Vous, seigneur ! Ô destins ! Ô céleste justice ! v.492 (Acte 2, scène 2, PAMMÈNE)
Vous, lui sacrifier ! Parmi ses ennemis, v.493 (Acte 2, scène 2, PAMM?NE)
Je vous fuis, je vous joins, évitez sa présence. v.496 (Acte 2, scène 2, PAMM?NE)
Il faut vous cacher à ses yeux. v.497 (Acte 2, scène 2, PYLADE)
À qui dans ce moment parliez-vous dans ces lieux ? v.498 (Acte 2, scène 3, ÉGISTHE)
Vous l'avez donc voulu ; votre crainte inquiète v.519 (Acte 2, scène 4, ÉGISTHE)
Leur silence ne sert qu'à vous désespérer : v.521 (Acte 2, scène 4, ?GISTHE)
Mais Égisthe vous parle, et doit vous rassurer. v.522 (Acte 2, scène 4, ?GISTHE)
À vous-même opposée, et par vos voeux trahie, v.523 (Acte 2, scène 4, ?GISTHE)
Fiez-vous à mes soins, vivez, régnez en paix, v.529 (Acte 2, scène 4, ?GISTHE)
Vous voulez qu'aujourd'hui je brise ses liens, v.537 (Acte 2, scène 4, ?GISTHE)
Que j'unisse par vous ses intérêts aux miens ? v.538 (Acte 2, scène 4, ?GISTHE)
Vous voulez terminer cette haine fatale, v.539 (Acte 2, scène 4, ?GISTHE)
Je me flatte avec vous qu'un si triste esclavage v.543 (Acte 2, scène 4, ?GISTHE)
Ma fille, approchez-vous ; et d'un oeil moins austère v.555 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Je gémis en secret, comme vous soupirez, v.557 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
J'obtiens grâce pour vous ; vos droits vous sont rendus. v.561 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Ah ! parlez-vous d'Oreste ? achevez, disposez. v.566 (Acte 2, scène 5, ÉLECTRE)
Je parle de vous-même, et votre âme obstinée v.567 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
De tant d'abaissement c'est peu de vous tirer : v.569 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Électre, au trône un jour il vous faut aspirer. v.570 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Vous pouvez, si ce coeur connaît le vrai courage, v.571 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
C'est à vous de passer, des fers que vous portez, v.573 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
À ce suprême rang des rois dont vous sortez. v.574 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
D'Égisthe contre vous j'ai su fléchir la haine ; v.575 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Il veut vous voir en fille, il vous donne Plistène. v.576 (Acte 2, scène 5, CLYTEMNESTRE)
Songez-vous au héros dont Électre est la fille, v.584 (Acte 2, scène 5, ÉLECTRE)
Madame ? osez-vous bien, par un crime nouveau, v.585 (Acte 2, scène 5, ?LECTRE)
Mais enfin c'est par vous qu'elle m'est annoncée. v.596 (Acte 2, scène 5, ?LECTRE)
Vous n'avez plus de fils ; son assassin cruel v.601 (Acte 2, scène 5, ?LECTRE)
Oreste, dites-vous ? v.665 (Acte 2, scène 7, ÉLECTRE)
J'ai couru vous chercher sur ce triste rivage, v.680 (Acte 2, scène 7, IPHISE)
Je vous crois ; j'attends tout ; mais n'est-ce point un piège v.695 (Acte 2, scène 7, ÉLECTRE)
Ah ! que m'avez-vous dit ? v.701 (Acte 2, scène 7, ÉLECTRE)
Non ; vous êtes trompée, et le ciel nous trahit. v.702 (Acte 2, scène 7, ?LECTRE)
Loin de vous fuir, Iphise, il vous aurait parlé. v.706 (Acte 2, scène 7, ?LECTRE)
Ce fer vous rassurait, et j'en suis alarmée. v.707 (Acte 2, scène 7, ?LECTRE)
Vous vous perdez ; songez qu'un maître impitoyable v.715 (Acte 2, scène 7, IPHISE)
Venez à ce tombeau, vous pouvez l'honorer ; v.721 (Acte 2, scène 7, IPHISE)
Et l'on ne vous a pas défendu d'y pleurer. v.722 (Acte 2, scène 7, IPHISE)
Ah ! si vous me trompez, vous m'arrachez la vie ! v.728 (Acte 2, scène 7, ÉLECTRE)
Il s'informe, il s'agite, il veut surtout vous voir : v.737 (Acte 3, scène 1, PAMMÈNE)
Vous-même vous mêlez la crainte à mon espoir. v.738 (Acte 3, scène 1, PAMM?NE)
Lève les mains au ciel, et demande où vous êtes. v.748 (Acte 3, scène 1, PAMM?NE)
Vous n'amenez, hélas ! qu'Oreste et son ami. v.754 (Acte 3, scène 1, PAMM?NE)
Son coeur trop plein de vous ne peut se contenir. v.781 (Acte 3, scène 1, PAMMÈNE)
Vous balancez ! songez aux menaces terribles v.783 (Acte 3, scène 1, PYLADE)
Que vous faisaient ces dieux dont les secours sensibles v.784 (Acte 3, scène 1, PYLADE)
Vous ont rendu la vie au milieu du trépas. v.785 (Acte 3, scène 1, PYLADE)
Contre leurs volontés si vous faites un pas, v.786 (Acte 3, scène 1, PYLADE)
Ce moment vous dévoue à leur haine fatale. v.787 (Acte 3, scène 1, PYLADE)
Tremblez de voir sur vous, dans ces lieux détestés v.789 (Acte 3, scène 1, PYLADE)
Tomber tous ces fléaux du sang dont vous sortez. v.790 (Acte 3, scène 1, PYLADE)
Ne distinguez-vous point le faible et le coupable, v.796 (Acte 3, scène 1, ORESTE)
Ces songes imposteurs dont vous osiez jouir. v.814 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
Oreste, cher Oreste ! en vain je vous rappelle, v.820 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
En vain pour vous revoir j'ai prolongé mes jours. v.821 (Acte 3, scène 2, ?LECTRE)
Hélas ! ainsi que vous j'aurais été trompée. v.824 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
Eh ! qui donc êtes-vous, étrangers malheureux ; v.825 (Acte 3, scène 2, ?LECTRE)
Et qu'osez-vous chercher sur ce rivage affreux ? v.826 (Acte 3, scène 2, ?LECTRE)
Hélas ! Vous voyez qui je suis : v.833 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
Eh ! Que demandez-vous v.837 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
Je vous plains toutes deux : je déteste un devoir v.841 (Acte 3, scène 2, ORESTE)
Cruel, qu'osez-vous dire ? v.851 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
Que faites-vous ? cessez. v.855 (Acte 3, scène 2, ORESTE)
Et c'est vous qui partagez mes pleurs ? v.861 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
S'il n'est pas mort par vous, si vos mains généreuses v.863 (Acte 3, scène 2, ?LECTRE)
Si vous plaignez son trépas et ma mort, v.865 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
Répondez-moi ; comment avez-vous su son sort ? v.866 (Acte 3, scène 2, ?LECTRE)
Étiez-vous son ami ? dites-moi qui vous êtes, v.867 (Acte 3, scène 2, ?LECTRE)
Vous surtout, dont les traits... Vos bouches sont muettes ; v.868 (Acte 3, scène 2, ?LECTRE)
Quand vous m'assassinez, vous êtes attendris ! v.869 (Acte 3, scène 2, ?LECTRE)
Que dites-vous ? v.871 (Acte 3, scène 2, ÉLECTRE)
Vous ne me trompiez point, sa douleur m'en instruit. v.881 (Acte 3, scène 3, ÉGISTHE)
Mère trop inhumaine ; ils sont dignes de vous. v.890 (Acte 3, scène 3, ÉLECTRE)
C'est nous-mêmes : j'ai dû vous offrir ces présents, v.897 (Acte 3, scène 4, ORESTE)
Ce glaive, cet anneau... vous devez le connaître : v.899 (Acte 3, scène 4, ORESTE)
Quoi ! ce serait par vous qu'au tombeau descendu... v.901 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
Si vous m'avez servi, le prix vous en est dû. v.902 (Acte 3, scène 4, ÉGISTHE)
De quel sang êtes-vous ? Qui vois-je en vous paraître ? v.903 (Acte 3, scène 4, ?GISTHE)
D'où vient qu'à ses bienfaits vous n'avez point recours ? v.918 (Acte 3, scène 4, ÉGISTHE)
Le ciel veille sur vous, il soutient votre empire ; v.931 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
Le fils d'Agamemnon vous était odieux. v.934 (Acte 3, scène 4, ORESTE)
Je ne vous cache point qu'il me fut redoutable. v.935 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
À vous ? v.936 (Acte 3, scène 4, ORESTE)
Vous savez qu'errant et malheureux, v.937 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
Vous me faites frémir, vous qui m'en délivrez. v.942 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
Que dites-vous ? où l'aviez-vous connu ? v.946 (Acte 3, scène 4, ÉGISTHE)
De vous percer le sein. v.950 (Acte 3, scène 4, ORESTE)
C'est d'Électre surtout que vous m'avez vengé v.954 (Acte 3, scène 4, ÉGISTHE)
Je la mets dans vos fers ; elle va vous servir : v.961 (Acte 3, scène 4, ?GISTHE)
C'est m'acquitter vers vous bien moins que la punir. v.962 (Acte 3, scène 4, ?GISTHE)
Défendez-vous encor ce sang qui vous déteste ? v.967 (Acte 3, scène 4, ÉGISTHE)
Vous... laissez cette rendre à mon juste courroux. v.969 (Acte 3, scène 4, ?GISTHE)
J'accepte vos présents ; cette cendre est à vous. v.970 (Acte 3, scène 4, ORESTE)
Vous-même, croyez-moi, quittons ces tristes bords, v.973 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
Les dieux de ma famille à qui vous insultez, v.978 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
Et vous... dans Épidaure allez chercher mon fils ; v.993 (Acte 3, scène 4, ÉGISTHE)
Dans tous ces entretiens que je tremble pour vous ! v.997 (Acte 3, scène 5, PYLADE)
Tout prêt de l'insulter, tout prêt de vous trahir ; v.1001 (Acte 3, scène 5, PYLADE)
Au nom d'Agamemnon vous m'avez fait frémir. v.1002 (Acte 3, scène 5, PYLADE)
Jamais plus de périls ne vous ont assiégé. v.1022 (Acte 3, scène 6, PAMMÈNE)
Eh bien ! il faut paraître ; il faut vous découvrir v.1049 (Acte 3, scène 6, PAMMÈNE)
Le peu de vos sujets à vous suivre excités, v.1078 (Acte 4, scène 1, PYLADE)
Soumettez-vous ; c'est tout ce que je puis vous dire. v.1111 (Acte 4, scène 2, PYLADE)
Dont vous osez douter, quand je meurs dans vos bras, v.1146 (Acte 4, scène 3, ÉLECTRE)
Ma soeur, ah ! si jamais Électre vous fut chère, v.1148 (Acte 4, scène 3, ?LECTRE)
Allez ; informez-vous de ce que fait Pammène, v.1151 (Acte 4, scène 3, ?LECTRE)
Peut-être on craint en vous ces éclats douloureux, v.1165 (Acte 4, scène 3, IPHISE)
On se cache de vous ; Pammène vous évite ; v.1167 (Acte 4, scène 3, IPHISE)
J'ignore comme vous quel projet il médite : v.1168 (Acte 4, scène 3, IPHISE)
Laissez-moi lui parler, laissez-moi vous servir. v.1169 (Acte 4, scène 3, IPHISE)
Ne vous préparez pas un nouveau repentir. v.1170 (Acte 4, scène 3, IPHISE)
Filles de la vengeance, armez-vous, armez-moi ; v.1181 (Acte 4, scène 4, ÉLECTRE)
Oreste, Agamemnon, Électre, vous appellent : v.1184 (Acte 4, scène 4, ?LECTRE)
Ciel ! Électre, est-ce vous, furieuse, tremblante ? v.1207 (Acte 4, scène 5, ORESTE)
Ah ! Je crois voir en vous un dieu qui m'épouvante. v.1208 (Acte 4, scène 5, ÉLECTRE)
Sitôt que je vous vois, tout mon coeur est changé. v.1214 (Acte 4, scène 5, ÉLECTRE)
Quoi, c'est vous qui tantôt me remplissiez d'alarmes ! v.1215 (Acte 4, scène 5, ?LECTRE)
Le nom d'Agamemnon vient de vous échapper. v.1217 (Acte 4, scène 5, ÉLECTRE)
Cessez... Je suis... Gardez qu'on ne vous voie ! v.1223 (Acte 4, scène 5, ORESTE)
Ah ! Vous me remplissez de terreur et de joie ! v.1224 (Acte 4, scène 5, ÉLECTRE)
Si vous aimez un frère... v.1225 (Acte 4, scène 5, ORESTE)
Ne lui résistez pas : oui, vous êtes mon frère, v.1228 (Acte 4, scène 5, ÉLECTRE)
Vous l'êtes, je vous vois, je vous embrasse ; hélas ! v.1229 (Acte 4, scène 5, ?LECTRE)
Ses ordres menaçants me dérobaient à vous. v.1234 (Acte 4, scène 5, ORESTE)
Unissez-vous à moi, chers amis de mon frère. v.1247 (Acte 4, scène 6, ÉLECTRE)
Quoi ! vous avez trahi ce dangereux mystère ! v.1248 (Acte 4, scène 6, PYLADE)
Pouvez-vous... v.1249 (Acte 4, scène 6, PYLADE)
Quoi ! Vous lui reprochez de finir ma misère ? v.1251 (Acte 4, scène 6, ÉLECTRE)
Dérobiez-vous Oreste à mes embrassements ? v.1254 (Acte 4, scène 6, ?LECTRE)
À quoi m'exposiez-vous ? Quelle rigueur étrange... v.1255 (Acte 4, scène 6, ?LECTRE)
Je voulais le sauver : qu'il vive, et qu'il vous venge. v.1256 (Acte 4, scène 6, PYLADE)
Princesse, on vous observe en ces lieux détestés ; v.1257 (Acte 4, scène 6, PAMMÈNE)
Oui, vous êtes mon maître : Égisthe est obéi. v.1266 (Acte 4, scène 6, ÉLECTRE)
Tout vous devient contraire. v.1268 (Acte 4, scène 6, PAMMÈNE)
Ministres de mes lois, hâtez-vous d'arrêter, v.1274 (Acte 4, scène 7, ÉGISTHE)
Quoi donc ! à mon aspect vous semblez tous frémir ? v.1281 (Acte 4, scène 7, ÉGISTHE)
Arrêtez ! Osez-vous bien, barbare... v.1283 (Acte 4, scène 7, ÉLECTRE)
Électre, frémissez pour vous comme pour eux ; v.1286 (Acte 4, scène 7, ÉGISTHE)
Ah ! Daignez m'écouter ; et si vous êtes mère, v.1288 (Acte 4, scène 8, ÉLECTRE)
Pour ces deux étrangers laissez-vous attendrir. v.1293 (Acte 4, scène 8, ?LECTRE)
Peut-être que dans eux le ciel vous daigne offrir v.1294 (Acte 4, scène 8, ?LECTRE)
Dont vous avez tant craint les terribles vengeances ; v.1296 (Acte 4, scène 8, ?LECTRE)
Quel intérêt pour eux vous peut donc inspirer ? v.1298 (Acte 4, scène 8, CLYTEMNESTRE)
Vous voyez que les dieux ont respecté leur vie ; v.1299 (Acte 4, scène 8, ÉLECTRE)
Le ciel vous les confie, et vous répondez d'eux. v.1301 (Acte 4, scène 8, ?LECTRE)
L'un d'eux... Si vous saviez... Tous deux sont malheureux. v.1302 (Acte 4, scène 8, ?LECTRE)
Voulez-vous me braver ? v.1310 (Acte 4, scène 8, CLYTEMNESTRE)
Ou bien ignorez-vous qu'une main ennemie v.1311 (Acte 4, scène 8, CLYTEMNESTRE)
Quoi ! Vous hésiteriez à demander sa grâce ! v.1328 (Acte 4, scène 8, ÉLECTRE)
Il est mort ; c'en est fait, puisque vous balancez. v.1330 (Acte 4, scène 8, ?LECTRE)
L'un des deux est Oreste, en pouvez-vous douter ? v.1396 (Acte 5, scène 3, ÉGISTHE)
Cessez de vous tromper, cessez de le défendre. v.1397 (Acte 5, scène 3, ?GISTHE)
Croyez-vous... v.1401 (Acte 5, scène 3, CLYTEMNESTRE)
À vous ? v.1412 (Acte 5, scène 3, ÉGISTHE)
Je dois la refuser, afin de vous servir. v.1420 (Acte 5, scène 3, ÉGISTHE)
Tout ce qui vous fléchit me révolte et m'irrite. v.1422 (Acte 5, scène 3, ?GISTHE)
Votre audace vous perd. v.1428 (Acte 5, scène 3, IPHISE)
Où me réduisez-vous ? v.1428 (Acte 5, scène 3, ÉLECTRE)
Vous passez mon espoir. Non, madame, jamais v.1467 (Acte 5, scène 3, ÉLECTRE)
Vous comblez la mesure, esclave téméraire. v.1470 (Acte 5, scène 3, ÉGISTHE)
Quel démon vous aveugle, ô reine malheureuse ? v.1473 (Acte 5, scène 3, ?GISTHE)
Et de qui prenez-vous la défense odieuse ? v.1474 (Acte 5, scène 3, ?GISTHE)
Vous vous troublez ! v.1478 (Acte 5, scène 4, ÉGISTHE)
Paraissez ; c'est à vous, seigneur, d'être obéi. v.1480 (Acte 5, scène 4, DIMAS)
Vous, retenez ses soeurs ; et vous, suivez mes pas. v.1487 (Acte 5, scène 4, ÉGISTHE)
Suivez-le, montrez-vous, ne craignez rien, parlez, v.1491 (Acte 5, scène 5, IPHISE)
« L'osez-vous ? » À ces mots, au son de cette voix, v.1540 (Acte 5, scène 7, PYLADE)
Vous connaissez les lois qu'Argos tient de ses dieux : v.1584 (Acte 5, scène 8, PAMMÈNE)
Ah, ma soeur ! ah, Pylade ! entendez-vous ces cris ? v.1605 (Acte 5, scène 8, IPHISE)
Je vous suis aux enfers, éternelles victimes ; v.1615 (Acte 5, scène 9, ORESTE)
Je dispute avec vous de tourments et de crimes. v.1616 (Acte 5, scène 9, ORESTE)
Qu'avez-vous fait, cruel ? v.1617 (Acte 5, scène 9, ÉLECTRE)
Vous... v.1620 (Acte 5, scène 9, ÉLECTRE)
Eh bien, quel est l'exil que vous me destinez ? v.1633 (Acte 5, scène 9, ORESTE)
Quel est le nouveau crime ou vous me condamnez ? v.1634 (Acte 5, scène 9, ORESTE)
Parlez... Vous prononcez le nom de la Tauride ; v.1635 (Acte 5, scène 9, ORESTE)
À des dieux moins cruels, moins barbares que vous. v.1638 (Acte 5, scène 9, ORESTE)

LES ORIGINAUX OU MONSIEUR DU CAP-VERT (1732)

Nous sommes près du jardin du président Bodin : n'est-ce pas cela que vous cherchez ? (Acte 1, scène 1, NUIT-BLANCHE)
Monsieur, la fille du président Bodin vous aurait déjà donné rendez-vous ? (Acte 1, scène 1, NUIT-BLANCHE)
Je vous trouve bien impertinent avec votre déjà il y a un mois entier que je l'aime, et qu'elle le sait ; il y a par conséquent bientôt un mois qu'elle aurait dû m'accorder cette petite faveur. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
De grâce, monsieur, où avez-vous déjà fait connaissance avec cette demoiselle dont le coeur est si aisé, et l'accès si difficile ? (Acte 1, scène 1, NUIT-BLANCHE)
Est-ce vous, Monsieur le Chevalier ? (Acte 1, scène 2, FANCHON)
Oui, c'est moi, mademoiselle, qui fais, comme vous voyez, l'amour à l'espagnole, et qui serais très heureux d'être traité à la française, et de dire à vos genoux que je vous adore, au lieu de vous le crier sous les fenêtres, au hasard d'être entendu d'autres que de vous. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Cette discrétion me plaît : mais parlez-moi franchement, m'aimez-vous ? (Acte 1, scène 2, FANCHON)
Je me sens toute disposée à vous plaindre ; mais si vous m'aimiez autant que vous dites, vous vous seriez déjà introduit auprès de mon père et de ma mère, et vous seriez le meilleur ami de la maison, au lieu de faire ici le pied de grue et de sauter les murs d'un jardin. (Acte 1, scène 2, FANCHON)
C'est votre affaire ; et, afin que vous puissiez y réussir, je vais vous faire connaître le génie des gens que vous avez à ménager. (Acte 1, scène 2, FANCHON)
De tout mon coeur, pourvu que vous commenciez par vous. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Et moi, je deviendrais peut-être encore plus folle que tout cela si vous m'aimiez aussi sincèrement que vous venez de me l'assurer. (Acte 1, scène 2, FANCHON)
Que vous me donnez d'envie de figurer dans votre famille ! (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Mais, il serait bon que vous me parlassiez un peu de la vôtre ; car je ne connais encore de vous que vos lettres. (Acte 1, scène 2, FANCHON)
Vous m'embarrassez fort : il me serait impossible de donner du ridicule à mes parents. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Vous n'avez donc ni père ni mère ? (Acte 1, scène 2, FANCHON)
Ne peut-on pas savoir au moins de quelle profession vous êtes ? (Acte 1, scène 2, FANCHON)
Je suis jeune, gai, honnête homme ; je joue, je bois, je fais, comme vous voyez, l'amour : on ne m'en demande pas davantage. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Je suis assez bien venu partout ; enfin je vous aime de tout mon coeur : c'est une maladie que votre astrologue de père n'a pas prévue, et que votre bonne femme de mère ne guérira pas, et qui durera peut-être plus que vous et moi ne voudrions. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Votre humeur me fait plaisir ; mais je crains bien d'être aussi malade que vous je ne vous en dirais pas tant si nous étions de plain-pied ; mais je me sens un peu hardie, de loin... (Acte 1, scène 2, FANCHON)
Adieu ; je jugerai de votre amour si vous vous tirez de ce mauvais pas en habile homme. (Acte 1, scène 2, FANCHON)
Je vous ai déjà dit, mon toutou, que votre astrologie n'est bonne qu'à donner des rhumes ; vous devriez laisser là vos lunettes et vos astres. (Acte 1, scène 3, LA PRÉSIDENTE)
Que ne vous occupez-vous, comme moi, de choses utiles ? (Acte 1, scène 3, LA PR?SIDENTE)
Et vous, monsieur, qui vous fait entrer dans la mienne, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
Excusez, monsieur, si, n ayant pas l'honneur de vous connaître... (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
On m'a assuré que vous aviez ici ce qui me guérirait. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Oui, oui, je vous guérirai ; je vous entreprends, et je veux que ma poudre et mon dissolvant... (Acte 1, scène 3, LA PRÉSIDENTE)
C'est ma femme, monsieur, que je vous présente. (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
Mais parlons un peu raison, s'il vous plaît. (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
Ne disiez-vous pas qu'en vous promenant près de ma maison vous aviez... (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
Oui, monsieur, je vous disais que j'avais découvert un nouvel astre au-dessus de cette fenêtre, et qu'en le contemplant j'étais entré dans votre jardin. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Je le contemplais, j'ose dire, avec amour ; je ne pouvais en écarter mes yeux j'ai même, puisqu'il faut vous le dire, été fâché quand vous avez paru. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Pardonnez, monsieur, à ce que je vous dis ; ne me regardez pas d'un aspect malin, et ne soyez pas en opposition avec moi : vous devez savoir l'empressement que j'avais de vous faire ma cour. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Et où l'avez-vous vu ? (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
Vous me faites palpiter le coeur. (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
Je l'ai vu, vous dis-je. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
C'était tout juste ici ; mais cela est disparu dès que vous êtes venu dans le jardin. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Mon pauvre jeune homme, ne vous arrêtez point aux visions cornues de mon mari. (Acte 1, scène 3, LA PRÉSIDENTE)
Oui, madame ; je me sentais tout en feu avant que vous parussiez. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Madame, ce n'est que depuis que j'ai l'honneur de vous parler : c'était tout autre chose auparavant. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Pauvre enfant vous avez pourtant la couleur bonne et l'oeil assez vif. (Acte 1, scène 3, LA PRÉSIDENTE)
Çà, ne déguisez rien : avez-vous la liberté du... (Acte 1, scène 3, LA PR?SIDENTE)
Et rien ne vous a donné du soulagement ? (Acte 1, scène 3, LA PRÉSIDENTE)
Je me suis mis entre les mains d'un médecin charmant, qui a entrepris ma cure ; mais je commence à croire qu'il faudra que vous daigniez l'aider : heureux si vous pouvez consulter avec lui sur les moyens de me mettre dans l'état où j'aspire. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Vous n'avez qu'à l'amener, je le purgerai lui-même, je vous en réponds. (Acte 1, scène 3, LA PRÉSIDENTE)
Or çà, monsieur, point de compliments entre gens du métier : vous souperez avec nous ce soir, si vous le trouvez bon ; et cela en famille avec ma femme, ma fille la comtesse, et ma fille Fanchon. (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
Monsieur, vous ne pouviez, je vous jure, me faire un plus grand plaisir. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Vous voulez me tuer ce pauvre garçon ; et moi, je vous dis qu'après souper il prendra trois de mes pilules. (Acte 1, scène 3, LA PRÉSIDENTE)
Mes filles, voici un de mes malades que je vous recommande je veux que vous en ayez soin ce soir à souper. (Acte 1, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
C'est que vous ne regardez pas avec les mêmes yeux que moi. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Madame_la_Comtesse, serez-vous toujours triste ? (Acte 1, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
Vous diriez Démocrite et Héraclite l'une a l'air d'une veuve affligée ; et cette étourdie-ci rit toujours. (Acte 1, scène 4, LA PR?SIDENTE)
Madame, vous me traitez de veuve ; il est trop vrai que je le suis. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Vous m'avez mariée, et je n'ai point de mari : monsieur le comte s'est mis dans la tête qu'il dérogerait s'il m'aimait. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
J'ai le malheur de respecter des noeuds qu'il néglige, et de l'aimer parce qu'il est mon mari, comme il me méprise parce que je suis sa femme : je vous avoue que j'en suis inconsolable. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Le comte ne vous voit point du tout la nuit, rarement le jour. (Acte 1, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
Je vois bien que vous êtes plus habile que moi : oui, vous êtes venu tout à propos pour me tirer de bien des embarras. (Acte 1, scène 4, LE PRÉSIDENT)
Il n'y a rien que je ne voulusse faire pour vous. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Vous voyez, monsieur, mes deux filles : l'une est malheureuse parce qu'elle a un mari ; et celle-ci commence à l'être parce qu'elle n'en a point. (Acte 1, scène 4, LE PRÉSIDENT)
C'est mon ancien ami : vous croyez bien que j'ai tiré sa nativité. (Acte 1, scène 4, LE PRÉSIDENT)
Je lui avais promis de plus Fanchon avant qu'elle fût née ; en un mot, ce qui me confond, c'est que je vois clairement que Fanchon sera mariée bientôt, et encore plus clairement que Monsieur du Cap-Vert ne sera de retour que dans un an : il faut que vous m'aidiez à débrouiller cette difficulté. (Acte 1, scène 4, LE PR?SIDENT)
Cela me paraît très aisé, mon père : vous verrez que je serai mariée incessamment, et que je n'épouserai pas votre marin. (Acte 1, scène 4, FANCHON)
Et sur quoi pensez-vous, monsieur, que le capitaine ne sera pas mon gendre ? (Acte 1, scène 4, LE PRÉSIDENT)
Je suis aussi de Bayonne, moi qui vous parle. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Je crois que le pays d'où vous êtes sera le pays de mon mari. (Acte 1, scène 4, FANCHON)
Que fait au mariage de ma fille que vous soyez de Bayonne ou de Pampelune ? (Acte 1, scène 4, LE PRÉSIDENT)
Je vois que vous ne savez pas le passé aussi bien que l'avenir. (Acte 1, scène 4, LE PRÉSIDENT)
Je vous apprends qu'il n'est plus marié, que sa femme est morte il y a quinze ans, qu'il en avait environ cinquante quand il l'a perdue, et que, dès qu'il sera de retour, il épousera Fanchon. (Acte 1, scène 4, LE PR?SIDENT)
Allons, mon malade, ne vous amusez point ici. (Acte 1, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
Donnez-moi la main, et venez vous mettre à table à côté de moi. (Acte 1, scène 4, LA PR?SIDENTE)
Que puis-je pour vous, moi qui suis si fort embarrassée pour moi-même ? (Acte 1, scène 5, FANCHON)
À vous venger de votre glorieux et impertinent mari ? (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Il n'en vaut pas la peine, puisqu'il ne vous aime pas. (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Mais voilà malheureusement la raison pour quoi vous êtes si fort attachée à lui : s'il était à vos pieds, vous seriez peut-être indifférente. (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Que vous êtes bonne, ma soeur, d'être honnête femme ! (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Oui, mais à condition que vous prendrez part à ma folie. (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Pourvu que vous me prêtiez quelque secours pour m'empêcher d'être l'esclave du corsaire qu'on me destine. (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Et moi, je vous communiquerai mes petites idées... (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Je n'ai pas plus dormi que vous. (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Vous ne songez guère combien le chevalier me tourne la tête. (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Et moi, je vous plains. (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Qui vous dédaigne, qui prodigue avec des filles d'opéra ce que vous lui avez apporté en mariage, un débauché, un fat... (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Il ne tient pourtant qu'à vous : cela ne finira pas sitôt. (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Ma soeur, s'il vous faisait l'honneur de vous traiter comme sa femme, et si vous connaissiez sa personne aussi bien que vous connaissez ses vices, peut-être en peu de temps seriez-vous tranquille sur son compte. (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Enfin vous voilà donc résolue d'employer à sa conversion tout ce que vous tenez de la libéralité de mon père ? (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Vous me donnez un emploi singulier entre un mari et sa femme. (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Retirez-vous ; allez faire votre cour à sa toilette : je prendrai mon temps pour lui parler. (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Souvenez-vous de moi dans l'occasion, je vous en prie, et empêchez qu'on ne m'envoie sur mer. (Acte 2, scène 1, FANCHON)
Je vous ai déjà dit, mons des Coutures, que les paniers de mes habits ne sont jamais assez amples : il faut, s'il vous plaît, les faire aussi larges que ceux des femmes, afin que l'on puisse un peu être seul dans le fond de son carrosse. (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
Et vous, mons du Toupet, songez un peu plus à faire fuir la perruque en arrière : cela donne plus de grâce au visage. (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
Vous voilà, comtesse ! (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
Je suis fort aise de vous voir, madame. (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
Pourrait-on avoir l'honneur de vous dire un mot, monsieur ? (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Prenez ce miroir, page ; et vous, mons de l'Étrier... (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
Vous voici encore, madame ? (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
Je vous croyais partie avec mes autres créanciers. (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
Vous ne voulez donc pas m'écouter ? (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Mauvaise plaisanterie à part, il faut pourtant que je vous parle. (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Avez-vous résolu, monsieur, de me faire mourir de chagrin ? (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Comment donc, madame, en quoi vous ai-je déplu, s'il vous plaît ? (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
C'est moi qui ne vous déplais que trop. (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Il y a six mois que nous sommes mariés, et vous me traitez comme si nous étions brouillés depuis trente ans. (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Vous voilà toute prête à pleurer ! (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
De quoi vous plaignez-vous ? (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
N'avez-vous pas une très grosse pension ? (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
N'êtes-vous pas maîtresse de vos actions ? (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Plût à Dieu que vous fussiez jaloux ! (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Insultez-vous ainsi à mon attachement ? (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Vous ne me donnez que des marques d'aversion était-ce pour cela que je vous ai épousé ? (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Mais vous m'avez épousé, madame, vous m'avez épousé pour être dame de qualité, pour prendre le pas sur vos compagnes avec qui vous avez été élevée, pour les faire crever de dépit. (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Moi, je vous ai épousée... (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Je vous ai épousée, madame, pour ajouter deux cent mille écus à mon bien. (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
De ces deux cent mille écus, j'en ai déjà mangé cent mille ; par conséquent, je ne vous dois plus que la moitié des égards que je vous devais. (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Quand j'aurai mangé les cent mille autres, je serai tout à fait quitte avec vous. (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Raillerie à part, je vous aime ; je ne veux pas que vous soyez malheureuse, mais j'exige que vous ayez un peu d'indulgence. (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Vous m'outrez : vous vous repentirez peut-être un jour de m'avoir désespérée. (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Qu'avez-vous ? (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Venez-vous ici gronder votre mari de quelque tour que vous aura joué votre amant ? (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Comtesse, parlez-moi avec confiance : qui aimez-vous actuellement ? (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Que ne puis-je aimer quelque autre que vous ! (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
On dit que vous soupâtes hier avec le chevalier du Hasard. (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Il est vraiment aimable : je veux que vous me le présentiez. (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
vous ne pensez donc pas qu'une femme puisse aimer son mari ? (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Voilà comme vous êtes ; vous croyez que toutes les femmes sont faites sur le modèle de celles avec qui vous vous ruinez ; vous pensez qu'il n'y en a point d'honnêtes. (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Voilà donc tous les sentiments que j'obtiendrai de vous ? (Acte 2, scène 3, LA COMTESSE)
Croyez-moi, le président et la présidente ont beau faire, je ne veux pas vivre sitôt en bourgeois ; et puisque vous êtes madame la comtesse des Apprêts, je veux que vous souteniez votre dignité, et que vous n'ayez rien de commun avec votre mari que le nom, les armes, et les livrées. (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Vous ne savez pas votre monde ; vous vous imaginez qu'un mari et une femme sont faits pour vivre ensemble : quelle idée ! (Acte 2, scène 3, LE COMTE)
Vous pourriez bien dire : Monsieur le président, petit maroufle ! (Acte 2, scène 4, LE PRÉSIDENT)
Par Saturne, monsieur le comte, vous en usez bien indignement avec nous, et c'est un phénomène bien étrange que votre conduite. (Acte 2, scène 4, LE PRÉSIDENT)
Vous nous méprisez, moi, ma femme et ma fille, comme si vous étiez une étoile de la première grandeur. (Acte 2, scène 4, LE PR?SIDENT)
Vous nous traitez en bourgeois. (Acte 2, scène 4, LE PR?SIDENT)
Quand vous seriez au zénith de la fortune, apprenez qu'il est d'un malhonnête homme de mépriser sa femme, et la famille dans laquelle on est entré. (Acte 2, scène 4, LE PR?SIDENT)
Je vous le dis, il faudra que nous nous séparions ; et de partout le zodiaque ! (Acte 2, scène 4, LE PR?SIDENT)
(Car vous me faites jurer) (Acte 2, scène 4, LE PR?SIDENT)
Si j'étais madame la comtesse, je vous ferais coucher avec moi, mon petit mignon, ou je vous dévisagerais. (Acte 2, scène 4, LE PR?SIDENT)
N'est-ce pas une honte qu'on ne puisse vous guérir de cette maladie ? (Acte 2, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
Et où on seriez-vous, si Monsieur le président en eût toujours usé ainsi avec moi ? (Acte 2, scène 4, LA PR?SIDENTE)
Vous n'auriez pas touché six cents sacs de mille livres que nous vous avons donnés en dot. (Acte 2, scène 4, LA PR?SIDENTE)
Savez-vous bien que ma fille est l'élixir des femmes, et que vous ne la méritez pas pour épouse, ni moi pour belle-mère, ni M. (Acte 2, scène 4, LA PR?SIDENTE)
Allez, vous êtes un monstre. (Acte 2, scène 4, LA PR?SIDENTE)
Je suis charmé de vous voir et de vous entendre, ma chère présidente... (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
Bonjour, mons du Hasard, bonjour : vraiment, je suis fort aise de vous voir. (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
Comment trouvez-vous madame la comtesse, mons le chevalier ? (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
Ne vous sentez-vous rien pour elle ? (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
Ne pourrai-je point vous être bon à quelque chose à la cour, mons le chevalier ? (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
Il faudra que vous veniez prendre huit tableaux de cavagnole chez la grosse duchesse. (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
Président, présidente, voilà midi qui sonne ; allez, allez dîner : vous dînez de bonne heure, vous autres. (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
Vous viendrez me voir quelque matin, monsieur le chevalier. (Acte 2, scène 4, LE COMTE)
Au lieu de cent prêteurs vous avez cent créanciers. (Acte 2, scène 5, MONSIEUR DE L'ÉTRIER)
J'ai l'honneur d'être votre écuyer, et vous n'avez point de chevaux. (Acte 2, scène 5, MONSIEUR DE L'?TRIER)
Vous avez un page qui n'a point de chemises, des laquais sans gages, des terres en décret : ma foi, j'oserais vous conseiller d'accepter quelque bonne somme du beau-père, et de lui faire un petit comte des Apprêts. (Acte 2, scène 5, MONSIEUR DE L'?TRIER)
Mais ne la trouvez-vous pas jolie ? (Acte 2, scène 5, MONSIEUR DE L'ÉTRIER)
Elle est vertueuse, elle vous aime. (Acte 2, scène 5, MONSIEUR DE L'ÉTRIER)
Parlons de ce que j'aime : aurez-vous de l'argent ? (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
Comment, mons de l'Étrier, vous n'avez pu trouver de l'argent chez des bourgeois ? (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
Ma chère enfant, qui vous amène si matin dans mon appartement ? (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
L'envie de vous rendre un petit service. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Aimable créature, toute soeur de ma femme que vous êtes, vous me feriez tourner la tête si vous vouliez. (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
Je voudrais vous la changer un peu. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Je vous le jure, ma chère enfant. (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
Plus noble que vous ne pensez : les intentions justifient tout ; et quand vous saurez de quoi il est question, vous aurez meilleure opinion de moi, et vous verrez que tout ceci est en tout bien et en tout honneur. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Qui a de la confiance en moi, m'a priée de vous dire... (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Que vous êtes le plus... (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Écoutez jusqu'au bout : vous allez être bien surpris. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Elle vous trouve donc, comme j'avais l'honneur de vous le dire, extrêmement ridicule, vain comme un paon, dupe comme une buse, fat comme Narcisse ; mais, au travers de ces défauts, elle croit voir en vous des agréments. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Vous l'indignez, et vous lui plaisez ; elle se flatte que si vous l'aimiez, elle ferait de vous un honnête homme. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Elle dit que vous ne manquez pas d'esprit, et elle espère de vous donner du jugement. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
La seule chose où elle en manque, c'est en vous aimant ; mais c'est son unique faiblesse : elle est folle de vous, comme vous l'êtes de vous-même. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Elle sait que vous êtes endetté par-dessus les oreilles ; elle a voulu vous donner des preuves de sa tendresse qui vous enseignassent à avoir des procédés généreux ; elle a vendu toutes ses nippes, elle en a tiré vingt mille francs en billets et en or, qui déchirent mes poches depuis une heure. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Tenez, les voilà ; ne me demandez pas son nom ; promettez-moi seulement un rendez-vous pour elle ce soir, dans votre chambre, et corrigez-vous pour mériter ses bontés. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
Elle est belle comme le jour ; et vous êtes un misérable, indigne que la petite Fanchon se mêle de vos affaires. (Acte 2, scène 6, FANCHON)
J'ai épousé une belle femme (ad honores), j'ai le noble plaisir de la mépriser ; à peine manqué-je un peu d'argent, que voilà une femme de la première volée, titrée sans doute, qui me prête mille louis d'or, et qui ne veut être payée que par un rendez-vous ! (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Oui, madame, vous serez payée ; je vous attends chez moi tout le jour ; et, pour la première fois de ma vie, je passerai mon après-dînée sans sortir. (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Est-ce vous, mademoiselle Fanchon ? (Acte 2, scène 8, LE PAGE)
Qu'on me dise qui vous êtes ! (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Et n'êtes-vous pas assez grand pour le dire vous-même, jeune muguet ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP VERT)
Monsieur, monsieur, doucement vous êtes ici chez un seigneur qui a bien voulu épouser la fille aînée du président Bodin. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DE L'ÉTRIER)
Monsieur, puisque vous êtes le gendre de... (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Appelez-le monseigneur, s'il vous plaît. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DE L'ÉTRIER)
Je pense que vous êtes fou, mon drôle : j'aimerais autant appeler galion une chaloupe, ou donner le nom d'esturgeon à une sole. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Écoutez, gendre du président, j'ai à vous avertir... (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP VERT)
Arrêtez, arrêtez ; l'ami, êtes-vous gentilhomme ? (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Eh bien donc, je ne prendrai pas la peine de vous faire sortir moi-même. (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
si votre chiourme branle, je vous coulerai tous à fond de cale, esclaves. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Monsieur, ce n'est pas pour vous manquer de respect... (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DE L'ÉTRIER)
Taisez-vous, ou je vous lâcherai une bordée. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
C'est donc vous, monsieur le freluquet, qui avez épousé Catau ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP VERT)
Oui, monsieur : asseyez-vous donc, monsieur. (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Savez-vous que je suis monsieur du Cap-Vert ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Je vous l'apprends donc. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Avez-vous jamais été à Rio-Janeiro ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP VERT)
Monsieur le blanc-poudré, je voudrais que vous eussiez été là, vous seriez mort de peur. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Il y faisait chaud, mon enfant, je vous en réponds. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP VERT)
Connaissez-vous celui qui nous commandait ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP VERT)
Celui qui vous commandait ? (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Et non, cornes de fer, ce n'était ni un duc, ni un de vos marquis ; c'était un drôle qui a pris plus de vaisseaux anglais dans sa vie que vous n'avez trompé de bégueules et écrit de fades billets doux. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Si vous vouliez m'en prêter dix mille, vous me feriez plaisir. (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Je ne vous prêterais pas du tabac à fumer, mon petit mignon, entendez-vous, avec vos airs d'importance ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Tout ce que j'ai est pour ma femme : vous avez épousé l'aînée Catau, et je viens exprès pour épouser la cadette Fanchon, et être votre beau-frère. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP VERT)
Vous ! (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Vous pouvez épouser Fanchon tant qu'il vous plaira ; mais vous ne serez point mon beau-frère : je vous avertis que je ne signe point au contrat de mariage. (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Que vous signiez ou que vous ne signiez pas, qu'est-ce que cela me fait ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Ce n'est pas vous que j'épouse, et je n'ai que faire de votre signature. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP VERT)
Je vous conseille, monsieur du Cap-Vert, de l'aller attendre ailleurs. (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
J'attends du monde à qui j'ai donné rendez-vous. (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Je ne vous empêche pas de l'attendre. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Que dites-vous là de la mer, beau garçon ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Cela est très aisé à comprendre : j'arrive de la côte de Zanguebar, et je viens débarquer chez vous, et épouser Fanchon. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Vous perdez la tramontane. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Dressez vos lunettes, observez-moi ; je n'ai point changé de pavillon : ne reconnaissez-vous pas mons du Cap-Vert, votre ancien camarade de collège ? (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP VERT)
Il n'y a que trente-cinq ans que nous nous sommes quittés, et vous ne me remettez pas ! (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP VERT)
Ma fille, monsieur, s'habille pour paraître devant vous ; mais je ne crois pas que vous vouliez l'épouser sitôt. (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Vous voulez vous marier aujourd'hui avec le visage que vous portez ? (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Allez, vous vous moquez : il faut que vous soyez auparavant quinze jours entre mes mains. (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Présidente, quelle proposition me faites-vous là ? (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Voyez ce jeune homme que je vous présente : quel teint ! (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Comment dites-vous ? (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Depuis hier ce jeune homme et vous... (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP VERT)
C'est moi qui l'ai mis dans l'état où vous le voyez. (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Je ne comprends rien à toutes les lanternes que vous me dites, vous autres. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Je vous dis qu'il faut que vous soyez saigné et purgé dûment avant de songer à rien. (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Après un voyage de long cours, vous devez avoir amassé des humeurs de quoi infecter une province : vous autres marins, vous avez de si vilaines maladies ! (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Parlez pour vous, messieurs du continent : les gens de mer sont des gens propres ; mais vous !. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Je vous en quitterai pour cinquante pilules. (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
Souffrez que je vous dise, par l'intérêt que je prends à ce mariage... (Acte 2, scène 9, LE CHEVALIER)
Quel intérêt prenez-vous, s'il vous plaît, à ce mariage ? (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Je vous conseille de ne rien précipiter, et de suivre l'avis de madame : j'ai des raisons importantes pour cela, j'ose vous le dire. (Acte 2, scène 9, LE CHEVALIER)
L'équipage de ce bâtiment-ci est composé d'étranges gens, j'ose vous le dire : un fat me refuse la porte, un doucereux me fait des révérences et me donne des conseils sans me connaître ; l'un me parle de ma nativité, l'autre veut qu'on me purge. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Puisque vous voilà : nous allons préparer Fanchon à vous venir trouver. (Acte 2, scène 9, LE PRÉSIDENT)
Monsieur, je ne me sens pas de joie de vous voir. (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Vraiment, je le crois bien que vous ne vous sentez pas de joie en me voyant : pourquoi en sentiriez-vous ? (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Vous ne me connaissez pas. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP VERT)
Vous vous moquez de moi. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Qui êtes-vous ? (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP VERT)
Et que me voulez-vous ? (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP VERT)
Qui vous en empêche ? (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Vous avez raison il n'y a qu'un plaisir au-dessus de celui-là. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Et quel, monsieur, s'il vous plaît ? (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Que vous êtes heureux, monsieur, que vous êtes heureux ! (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Vous avez sans doute vu le cap de Bonne-Espérance, monsieur ? (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Je veux vous faire lire le récit d'un petit combat assez drôle que je donnai à la vue du cap : je vous assure que je menai mes gens galamment. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Vous me ferez la plus insigne faveur : ah ! (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Monsieur, que c'est dommage qu'un homme comme vous se marie ! (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Voilà qui est fait ; il ne sera plus question de vous dans les gazettes ; vous n'aurez plus le plaisir de l'abordage ; vous allez languir dans les douces chaînes d'un hymen plein de charmes ; une beauté tendre, touchante, voluptueuse, va vous enchanter dans ses bras. (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Ne savez-vous pas que Vénus est sortie du sein de la mer ? (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Vous ! (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Vous comptez donc réellement épouser cette jeune demoiselle ? (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Vraiment, je crois bien que vous n'en ferez rien... (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Je me sens attaché tendrement à vous. (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Je dois vous parler vrai : elle n'a pas assez d'embonpoint pour un capitaine de vaisseau. (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Elle est folle, folle à lier, vous dis-je (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Puisqu'il ne vous faut rien cacher, elle a une inclination. (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Enfin, pour vous dire tout, elle a deux enfants en nourrice. (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
La voici qui vient reconnaître l'ennemi : mon amiral, voilà donc l'écueil contre lequel vous échouez. (Acte 2, scène 11, LE CHEVALIER)
À votre place, j'irais me jeter la tête la première dans la mer : un grand homme comme vous ! (Acte 2, scène 11, LE CHEVALIER)
Taisez-vous, babillard. (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP-VERT)
C'est donc vous, Fanchon, qui m'allez appartenir ? (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP VERT)
C'est donc vous, monsieur, dont mon père m'a entretenue si souvent ? (Acte 2, scène 11, FANCHON)
Il y a cinquante ans que vous êtes son intime ami ? (Acte 2, scène 11, FANCHON)
Voudriez-vous faire à sa fille un petit plaisir ? (Acte 2, scène 11, FANCHON)
Vous me paraissez timide : qu'est-ce que c'est ? (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP-VERT)
J'arrive pourtant exprès pour cette affaire, et pour me donner à vous avec tous mes agrès : vous m'étiez promise avant que vous fussiez née. (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Je consommerai tout cela ce soir, vers les dix heures, si vous le trouvez bon, m'amie. (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP VERT)
Mais entre nous, monsieur du Cap-Vert, vous figurez-vous qu'à mon âge, et faite comme je suis, il soit si plaisant pour moi de vous épouser, d'être empaquetée dans votre bord comme votre pacotille, et d'aller vous servir d'esclave aux antipodes ? (Acte 2, scène 11, FANCHON)
Vous vous imaginez donc, la belle, que je vous épouse pour votre plaisir ? (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Apprenez que c'est pour moi que je me marie, et non pas pour vous. (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP VERT)
M'amie, il me faut une femme, votre père m'en doit une, vous voilà ; préparez-vous à m'épouser. (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP VERT)
Savez-vous bien ce que risque un mari de soixante-cinq ans quand il épouse une fille de quinze ? (Acte 2, scène 11, FANCHON)
N'avez-vous jamais ouï-dire qu'il y a eu autrefois des cocus dans le monde ? (Acte 2, scène 11, FANCHON)
Et qui vous dit ces belles nouvelles-là ? (Acte 2, scène 11, FANCHON)
C'est vous qui... (Acte 2, scène 11, FANCHON)
Adieu, adieu : vous entendrez bientôt parler de moi. (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Me voilà au désespoir : ce loup marin-là vous épousera comme il le dit, au moins. (Acte 2, scène 12, LE CHEVALIER)
Si vous étiez assez raisonnable pour faire avec moi une folie, pour m'épouser, ce serait bien le vrai moyen de désorienter notre corsaire. (Acte 2, scène 12, LE CHEVALIER)
J'en suis un peu tentée ; mais, chevalier, pensez-vous que mon père veuille absolument me sacrifier à ce vilain homme ? (Acte 2, scène 12, FANCHON)
Il ne tient qu'à vous de faire mon bonheur et le vôtre. (Acte 2, scène 12, LE CHEVALIER)
Je ne me sens pas le courage de faire d'emblée un coup si hardi : je vois qu'il faut que vous m'y accoutumiez par degrés. (Acte 2, scène 12, FANCHON)
Ma belle Fanchon, si vous m'aimiez... (Acte 2, scène 12, LE CHEVALIER)
Je ne vous aime que trop : vous m'attendrissez, vous m'allez faire pleurer, vous me déchirez le coeur ; allez-vous-en. (Acte 2, scène 12, FANCHON)
Mais enfin, ma soeur, vous lui avez parlé ? (Acte 2, scène 13, LA COMTESSE)
Je vous en réponds, et de la bonne manière : monsieur le chevalier y était présent. (Acte 2, scène 13, FANCHON)
Je ne comprends rien à ce que vous me dites. (Acte 2, scène 13, LA COMTESSE)
Mon père s'obstine à vouloir vous donner pour mari ce grand vilain Monsieur du Cap-Vert ? (Acte 2, scène 13, LA COMTESSE)
Que je vous plains, ma soeur ! (Acte 2, scène 13, LA COMTESSE)
Mais avez-vous parlé à monsieur le comte ? (Acte 2, scène 13, LA COMTESSE)
Monsieur le chevalier vous en prie avec moi. (Acte 2, scène 13, FANCHON)
Vous êtes soeurs ; vous devez vous rendre la vie douce l'une à l'autre ; et je voudrais vous rendre service à toutes deux. (Acte 2, scène 13, LE CHEVALIER)
Mais avez-vous vu monsieur le comte ? (Acte 2, scène 13, LA COMTESSE)
Mais dites si vous avez fait quelque chose pour moi. (Acte 2, scène 13, LA COMTESSE)
Voyez-vous, ma soeur, si l'on me force à épouser cet homme-là, je suis fille à mettre le feu aux poudres, et à sauter en l'air avec son maudit vaisseau, lui, l'équipage, et moi. (Acte 2, scène 13, FANCHON)
Si je ne puis parvenir à rendre mon mari raisonnable, vous me verrez expirer de douleur. (Acte 2, scène 13, LA COMTESSE)
Vous avez toutes deux la tête pleine de votre affaire. (Acte 2, scène 13, LE CHEVALIER)
Daignez rentrer l'une et l'autre, et souffrez que je vous donne mes petits avis pour le bonheur de tous trois. (Acte 2, scène 13, LE CHEVALIER)
Il est vrai : ayant su que mon rendez-vous n'était que pour le soir, j'ai été jouer chez la grosse duchesse ; j'ai tout perdu. (Acte 3, scène 1, LE COMTE)
Argent mal acquis ne profite pas, comme vous voyez. (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE L'ÉTRIER)
C'est-à-dire, notre beau-frère, que vous avez perdu l'argent que je vous avais donné tantôt. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Quand voulez-vous me faire voir cette généreuse inconnue, cette beauté, cette divinité qui se transforme en pluie d'or pour m'obtenir ? (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Vous ne pourrez la voir que ce soir, sur le tard : mais je viens vous consoler. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
il me prend fantaisie de vous payer ce que je dois à cette aimable personne. (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Vous vous en apercevrez assez. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Si vous vouliez être honnête homme au lieu d'être petit-maître, vous conduire en homme sage au lieu de vous ruiner en grand seigneur, elle vous adorera toute sa vie. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Soyez sûr qu'elle ne vivra que pour vous, et que son amour ne sera point incommode ; qu'elle chérira votre personne, votre honneur, votre famille, comme sa personne, son honneur, sa famille propre ; que vous goûterez ensemble un bonheur dont vous n'avez point d'idée... (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Ma chère Fanchon, vous m'éblouissez, vous me ravissez ! (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Vous voilà ému de tout ce que je viens de dire ; vous le seriez bien davantage si... (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Enfin, que diriez-vous si je vous donnais de sa part cinquante mille livres en diamants ? (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Écoutez bien : ce n'est pas parce que vous avez du mérite que l'on vous traite ainsi ; mais c'est afin que vous en ayez, si vous pouvez. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Je vous ai parlé assez longtemps de vos affaires ; venons aux miennes : je vous rends, je crois, un assez joli service ; il faut me récompenser. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
que voulez-vous que je fasse ? (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Je lui parlerai, je lui parlerai, et du bon ton : oui, fiez-vous à moi. (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Elle a plus d'envie de vous voir que vous n'en avez de la remercier : elle viendra bientôt, je vous jure. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Vous savez que l'on court après son argent ; mais ceux qui l'ont reçu sont d'ordinaire fort tranquilles. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Adieu ; je vais chercher une femme qui vous aime : servez-moi seulement contre un homme que je n'aime point. (Acte 3, scène 2, FANCHON)
C'est sans doute celle à qui j'ai tourné la tête : je vous avoue que j'ai quelque curiosité de la voir. (Acte 3, scène 3, LE COMTE)
Madame, c'est donc vous qui avez bien voulu me faire des avances si solides, et qui... (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
De qui me parlez-vous ? (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
S'il vous plaît, comment nommez-vous ce pauvre homme-là ? (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
sérieusement, vous seriez un peu madame du Cap-Vert ? (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
Écoutez : vous arrivez fort mal à propos pour moi, mais encore plus mal à propos pour lui. (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
J'en ai bien épousé une, moi qui vous parle. (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
Est-ce donc vous, ma bonne, qui m'avez envoyé... (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
M'amie, il y a ici deux affaires importantes : la première est un rendez-vous que vous venez interrompre ; la seconde est le mariage de Monsieur du Cap-Vert, que je ne serai pas fâché d'empêcher. (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
C'est un brutal ; il est bon de le mortifier un peu : je vous prends sous ma protection. (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
Retirez-vous un peu, s'il vous plaît. (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
Allez, ma bonne, on vous présentera à Monsieur du Cap-Vert dans l'occasion. (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
Et vous, à qui diable en avez-vous de ne vouloir pas que je vous parle ? (Acte 3, scène 6, LE CHEVALIER)
J'ai affaire ici : retirez-vous, vous dis-je ; songez seulement à éloigner Monsieur du Cap-Vert. (Acte 3, scène 6, FANCHON)
Croyez-vous que je n'ai pas ici d'autres intérêts à ménager que les vôtres ? (Acte 3, scène 6, FANCHON)
Vous me désespérez.. (Acte 3, scène 6, LE CHEVALIER)
Vous m'excédez. (Acte 3, scène 6, FANCHON)
Absolument vous ne saurez rien. (Acte 3, scène 6, FANCHON)
Vous voulez être jaloux. (Acte 3, scène 6, FANCHON)
Je n'aime ni les curieux ni les jaloux, je vous en avertis : si vous étiez mon mari, je ne vous pardonnerais jamais ; mais je vous le passe, parce que vous n'êtes que mon amant. (Acte 3, scène 6, FANCHON)
Mais où avez-vous laissé Monsieur du Cap-Vert ? (Acte 3, scène 7, FANCHON)
Il est là-bas qui gronde tout le monde, et qui jure qu'il vous épousera dans un quart_d_heure. (Acte 3, scène 7, LA COMTESSE)
Il est à sa toilette qui se poudre pour vous recevoir. (Acte 3, scène 7, FANCHON)
Non, si vous parlez bas, si vous déguisez le son de votre voix, et s'il n'y a point de lumières. (Acte 3, scène 7, FANCHON)
Ne pleurez donc point : Songez-vous bien que je vais peut-être mourir de douleur dans un quart_d_heure, moi qui vous parle ? (Acte 3, scène 7, FANCHON)
Voici votre fat de mari : emmitouflez-vous bien dans vos coiffes, s'il vous plaît. (Acte 3, scène 7, FANCHON)
Oui, c'est elle-même préparez-vous à lui rendre vos hommages. (Acte 3, scène 8, FANCHON)
Adieu ; comportez-vous en honnête homme. (Acte 3, scène 8, FANCHON)
Généreuse inconnue, vous m'accablez de bienfaits, vous daignez joindre à tant de bontés celle de venir jusque dans mon appartement, et vous m'enviez le bonheur de votre vue, qui est pour moi d'un prix mille fois au-dessus de vos diamants ! (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Je crains que, si vous me voyez, votre reconnaissance diminue : je voudrais être sûre de votre amour avant que vous puissiez lire le mien dans mes yeux. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Doutez-vous que je ne vous adore, et qu'en vous voyant je ne vous en aime davantage ? (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Je jure, par ces mains adorables, que j'aurai pour vous la passion la plus tendre. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Je vous avoue que je n'ai jamais rien désiré que d'être aimée de vous ; et si vous me connaissiez bien, vous avoueriez peut-être que je le mérite, malgré ce que je suis. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Est-il possible qu'il puisse mépriser une femme comme vous ? (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Il n'y a que vous qui puissiez m'en venger : mais il faut que vous me donniez tout votre coeur ; sans cela, je serais encore plus malheureuse qu'auparavant. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Souffrez donc que je vous venge des cruautés de votre indigne mari ; souffrez qu'à vos pieds... (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Je vous assure que c'est lui qui s'attire cette aventure : s'il m'aimait, je vous jure qu'il aurait en moi la femme la plus tendre, la plus soumise, la plus fidèle. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Il mérite bien le tour que vous lui jouez. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Vous êtes mon unique ressource dans le monde. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Je me suis flattée que, dans le fond, vous êtes un honnête homme ; qu'après les obligations que vous m'avez, vous vous ferez un devoir de bien vivre avec moi. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Ce que vous faites pour moi me touche sensiblement ; et, quoique je ne connaisse de vous que ces mains charmantes que je tiens entre les miennes, je vous aime déjà comme si je vous avais vue. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Attendez encore un instant, vous serez peut-être étonné de ce que je vais vous dire. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Je compte souper avec vous ce soir, et ne vous pas quitter sitôt : en vérité, je ne crois pas qu'il y ait en cela aucun mal. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Vous en estimer moins, pour avoir fait le bonheur de ma vie ! (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Encore un mot, je vous prie. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Je vous aime plus pour vous que pour moi : promettez-moi d'être un peu plus rangé dans vos affaires, et d'ajouter le mérite solide d'un homme sage et modeste aux agréments extérieurs que vous avez. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Je ne puis être heureuse si vous n'êtes heureux vous-même, et vous ne pourrez jamais l'être sans l'estime des honnêtes gens. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Vous n'êtes venue ici que pour me faire aimer la vertu ! (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Oui, je veux que ce soit elle qui me fasse aimer de vous : c'est elle qui m'a conduite ici, qui règne dans mon coeur, qui m'intéresse pour vous, qui me fait tout sacrifier pour vous ; c'est elle qui vous parle sous des apparences criminelles ; c'est elle qui me persuade que vous m'aimerez. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Non, madame, vous êtes un ange descendu du ciel : chaque mot que vous me dites me pénètre l'âme. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Si je vous aimerai, grand Dieu !.,. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Jurez-moi que vous m'aimerez quand vous m'aurez vue. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Oui, je vous le jure à vos pieds, par tout ce qu'il y a de plus tendre, de plus respectable, de plus sacré dans le monde. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Souffrez que le page qui vous a introduite apporte enfin des flambeaux : je ne puis demeurer plus longtemps sans vous voir. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Vous allez être bien surpris. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Est-il possible que ce soit vous ? (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Voyez si vous êtes honnête homme, et si vous tiendrez vos promesses. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)
Vous avez touché mon coeur : vos bontés l'emportent sur mes défauts. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
On ne se corrige pas tout d'un coup : je vivrai avec vous en bourgeois ; je vous aimerai ; mais qu'on n'en sache rien, s'il vous plaît. (Acte 3, scène 9, LE COMTE)
Levez-vous ; vous remercierez votre père après. (Acte 3, scène 10, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Vous voilà bien malade ! (Acte 3, scène 10, LA PRÉSIDENTE)
Je vois bien qu'il vous faut tirer d'intrigue... (Acte 3, scène 10, LE COMTE)
Que je suis aise de vous voir ! (Acte 3, scène 11, FANCHON)
Ma bonne dame du Cap-Vert, vous ne pouviez venir plus à-propos ; je vous en remercie. (Acte 3, scène 11, LE CHEVALIER)
À qui en parlez-vous ? (Acte 3, scène 11, LE CHEVALIER)
Vous êtes donc aussi de Bayonne, monsieur le fat ? (Acte 3, scène 11, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Point d'injures, s'il vous plaît : oui, la maison des Apprêts est aussi de Bayonne. (Acte 3, scène 11, LE COMTE)
Et comment avez-vous connu Mme Éberne ? (Acte 3, scène 11, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Vous... (Acte 3, scène 11, MADAME-DU-CAP-VERT)
Vous... (Acte 3, scène 11, MADAME DU CAP VERT)
Madame Rafle vous a élevé ? (Acte 3, scène 11, MONSIEUR DU CAP-VERT)
Approchez, approchez, madame Rafle, et reconnaissez, comme vous pourrez, ces deux espèces-là. (Acte 3, scène 12, MADAME-DU-CAP-VERT)
Allez, allez, je vois bien ce qui vous tient ; vous vous imaginez qu'on peut retrouver vos enfants : cela ne se peut pas. (Acte 3, scène 12, LE PRÉSIDENT)
Vous savez comment celui-ci est venu : c'était un petit mystère. (Acte 3, scène 12, MADAME-DU-CAP-VERT)
Qu'est-ce que vous dites là ? (Acte 3, scène 12, LE PRÉSIDENT)
Quelles vapeurs avez-vous dans la tête ? (Acte 3, scène 12, LA PRÉSIDENTE)
Vous seriez effectivement ma mère ? (Acte 3, scène 12, LE CHEVALIER)
Si vous êtes mon père, vous êtes donc un homme de qualité ? (Acte 3, scène 12, LE COMTE)
Mais, mais, que me demandez-vous là ? (Acte 3, scène 12, LE COMTE)
Que me demandez-vous là ? (Acte 3, scène 12, LE COMTE)
Contentez-vous d'être fils de votre père, gendre de votre beau-père, et mari de votre femme. (Acte 3, scène 12, LA COMTESSE)
Par un dessein beaucoup plus raisonnable que le vôtre, mon père, avec le respect que je vous dois : je voulais épouser mademoiselle, dont je suis amoureux, et qui me convient un peu mieux qu'à vous. (Acte 3, scène 12, LE CHEVALIER)
J'ai amené quelques Turcs avec moi, qui vont vous donner un petit ballet en attendant la noce. (Acte 3, scène 12, MONSIEUR DU CAP-VERT)

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AGATHOCLE (1779)

C'est donc vous, ô ma fille ! Ô malheureuse Ydace ! v.115 (Acte 1, scène 1, YDASAN)
Je vous ai vu, mon père, et vers vous j'ai volé. v.117 (Acte 1, scène 2, YDACE)
Chez les Syracusains qui vous a rappelé ? v.118 (Acte 1, scène 2, YDACE)
Y seriez-vous tombé dans mon état funeste ? v.119 (Acte 1, scène 2, YDACE)
Qu'y venez-vous chercher ? v.120 (Acte 1, scène 2, YDACE)
Mon sang, ma chère fille... Ô vous, dont la bonté v.121 (Acte 1, scène 2, YDASAN)
Vous, hélas ! de vos biens les malheureux débris v.134 (Acte 1, scène 2, YDACE)
Ne vous laisseraient plus qu'une indigence affreuse ! v.135 (Acte 1, scène 2, YDACE)
Surtout que de son trône on vous laisse approcher. v.158 (Acte 1, scène 2, PRETRESSE)
Contre un fils du tyran vous qui me protégez ; v.161 (Acte 1, scène 3, YDACE)
Vous qui voyez l'abîme où mes pas sont plongés, v.162 (Acte 1, scène 3, YDACE)
Mes prières, mes cris, pourront-ils vous défendre ? v.168 (Acte 1, scène 3, PRETRESSE)
Polycrate vous compte au rang de ces beautés v.181 (Acte 1, scène 3, PRETRESSE)
Ah ! que m'avez-vous dit ? Sa bonté généreuse v.207 (Acte 1, scène 3, YDACE)
De ce coeur éperdu touchez-vous la blessure ? v.211 (Acte 1, scène 3, YDACE)
Loin d'Argide et de vous ma timide jeunesse v.219 (Acte 1, scène 3, YDACE)
Vous lisez dans mon coeur, vous voyez mon danger : v.225 (Acte 1, scène 3, YDACE)
Vous aider à porter le fardeau de vos jours ! v.230 (Acte 1, scène 3, PRETRESSE)
Mais surtout de vous-même et de votre courage. v.235 (Acte 1, scène 3, PRETRESSE)
Vous luttez, je le vois, contre un fatal orage : v.236 (Acte 1, scène 3, PRETRESSE)
Croit, en vous écoutant, que les dieux m'ont parlé. v.242 (Acte 1, scène 3, YDACE)
Prince, vous connaissez les droits du genre humain ? v.266 (Acte 2, scène 1, YDASAN)
Mon frère, il ne vous fait qu'une juste demande. v.275 (Acte 2, scène 1, ARGIDE)
Où ma main vous servait et frappait les tyrans. v.278 (Acte 2, scène 1, YDASAN)
Vous pouviez lui répondre avec plus de bonté ; v.281 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Blâmez-vous ce dessein que mon coeur vous confie ? v.291 (Acte 2, scène 2, POLYCRATE)
Qui ? moi ! prétendez-vous que je vous justifie ? v.292 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Quel besoin auriez-vous de mon consentement ? v.293 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Si ce Carthaginois n'a de vous qu'un refus, v.298 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Vous rallumez la guerre. v.299 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Pensez-vous m'alarmer, m'inspirer votre crainte ? v.312 (Acte 2, scène 2, POLYCRATE)
Prétendez-vous instruire Agathocle et son fils ? v.313 (Acte 2, scène 2, POLYCRATE)
J'avais compté sur vous... v.315 (Acte 2, scène 2, POLYCRATE)
Votre ami véritable, ardent à vous complaire, v.316 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Quand vous exigerez de ma foi, de mon coeur, v.317 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Quel dessein vous anime ? v.319 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Vous voulez que je serve à vous noircir d'un crime ? v.320 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Un crime, dites-vous ? v.321 (Acte 2, scène 2, POLYCRATE)
Un crime ! vous osez... v.323 (Acte 2, scène 2, POLYCRATE)
Oui, j'ose vous apprendre v.323 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
La dure vérité que vous craignez d'entendre. v.324 (Acte 2, scène 2, ARGIDE)
Seigneur, le roi vous mande. v.348 (Acte 2, scène 2, ELPENOR)
Arme à mes yeux surpris et votre frère et vous ? v.354 (Acte 2, scène 3, ELPENOR)
Hélas ! je vous ai vus ennemis dès l'enfance ; v.355 (Acte 2, scène 3, ELPENOR)
Vous me faites frémir. v.357 (Acte 2, scène 3, ELPENOR)
Mais j'appris de vous-même à braver les pervers : v.358 (Acte 2, scène 3, ARGIDE)
Allume entre vous deux ces fatales querelles ! v.364 (Acte 2, scène 3, ELPENOR)
Je vous en crois sans peine, et mes regards discrets v.377 (Acte 2, scène 3, ELPENOR)
Il aime votre frère, il vous craint. v.381 (Acte 2, scène 3, ELPENOR)
Est-ce vous qui fuyez, captive infortunée ? v.387 (Acte 2, scène 4, ARGIDE)
Je vous prends sous ma garde au péril de ma vie. v.407 (Acte 2, scène 4, ARGIDE)
Je vis par vous... v.411 (Acte 2, scène 4, YDACE)
Prêtresse de Cérès, unissez-vous à moi ; v.417 (Acte 2, scène 4, ARGIDE)
Qu'aucun de vous n'exige et qu'il n'ose accepter v.421 (Acte 2, scène 4, ARGIDE)
Protégez cet objet que je vous ai rendu ; v.425 (Acte 2, scène 4, ARGIDE)
En s'approchant de vous, méritaient des autels ? v.438 (Acte 2, scène 5, YDACE)
Hélas ! vous faisiez craindre à mon âme offensée v.439 (Acte 2, scène 5, YDACE)
Je l'admire avec vous ; je crois voir aujourd'hui v.441 (Acte 2, scène 5, PRETRESSE)
Et vous versez des larmes ! v.452 (Acte 2, scène 5, PRETRESSE)
Faut-il que je vous quitte ! Ah ! que n'est-il mon maître ! v.456 (Acte 2, scène 5, YDACE)
Croyez-moi, chère Ydace ; il vous faut dès ce jour v.457 (Acte 2, scène 5, PRETRESSE)
Argide et ses vertus sont pour vous trop à craindre : v.460 (Acte 2, scène 5, PRETRESSE)
Dieux ! si vous protégez ce coeur faible et timide, v.463 (Acte 2, scène 5, YDACE)
Vous lui devez l'honneur, vous lui devez la vie : v.509 (Acte 3, scène 1, PRETRESSE)
Qu'un favorable dieu vous guide sur les ondes ! v.514 (Acte 3, scène 1, PRETRESSE)
Souvenez-vous de moi sous un ciel plus heureux. v.515 (Acte 3, scène 1, PRETRESSE)
Sans doute avec regret de vous je me sépare ; v.517 (Acte 3, scène 1, YDASAN)
Elle vous attendait pour quitter Syracuse : v.525 (Acte 3, scène 2, EGESTE)
Le roi désespéré vous a proscrits tous deux. v.556 (Acte 3, scène 2, EGESTE)
Je ne puis, Ydasan, que vous suivre au supplice : v.562 (Acte 3, scène 2, EGESTE)
Mais ne pouvez-vous pas, prêtresse qu'on révère, v.565 (Acte 3, scène 2, EGESTE)
Comme vous il est père, et je crains ses douleurs ; v.576 (Acte 3, scène 2, EGESTE)
Mon coeur toujours soumis cherchait à vous aimer : v.596 (Acte 3, scène 3, ARGIDE)
Suivez votre courroux, baignez-vous dans mon sang : v.604 (Acte 3, scène 3, ARGIDE)
Je n'en dois point sentir... vous en aurez peut-être. v.606 (Acte 3, scène 3, ARGIDE)
Je ne sais que vous plaindre et que vous respecter. v.608 (Acte 3, scène 3, ARGIDE)
Et je vous ai servi, vous, dis-je, et ma patrie. v.610 (Acte 3, scène 3, ARGIDE)
Vous êtes souverain, commandez ; je suis prêt. v.612 (Acte 3, scène 3, ARGIDE)
Vous, veillez sur Argide, et marchez sur ses pas. v.632 (Acte 3, scène 4, AGATHOCLE)
Vous, répondez d'Ydace, et surtout de son père. v.633 (Acte 3, scène 4, AGATHOCLE)
Ah ! revenez à vous ! un père qui menace v.674 (Acte 4, scène 1, PRETRESSE)
Non, seigneur, non, vous ne voudrez pas v.699 (Acte 4, scène 2, PRETRESSE)
Vous n'immolerez point la moitié de vous-même. v.701 (Acte 4, scène 2, PRETRESSE)
Mais ne vous perdez point dans un jour si funeste ; v.709 (Acte 4, scène 2, PRETRESSE)
Ne vengez point un fils sur un fils qui vous reste, v.710 (Acte 4, scène 2, PRETRESSE)
Et ne vous privez point de l'unique secours v.711 (Acte 4, scène 2, PRETRESSE)
Que le ciel vous gardait dans vos malheureux jours. v.712 (Acte 4, scène 2, PRETRESSE)
Mais voyez les horreurs où vous allez courir : v.716 (Acte 4, scène 2, YDACE)
Le fils dont vous pleurez la mort trop méritée v.717 (Acte 4, scène 2, YDACE)
Si vous vous obstinez à vouloir son supplice, v.722 (Acte 4, scène 2, YDACE)
Soulever contre vous les dieux et les humains : v.724 (Acte 4, scène 2, YDACE)
Vous serez détesté de toute la nature, v.725 (Acte 4, scène 2, YDACE)
Détesté de vous-même... et l'âme auguste et pure, v.726 (Acte 4, scène 2, YDACE)
Implorera pour vous la clémence des dieux ; v.728 (Acte 4, scène 2, YDACE)
Elle a causé la mort du fils que vous pleurez. v.755 (Acte 4, scène 3, ELPENOR)
Je gémis avec vous que ce fils intrépide v.761 (Acte 4, scène 3, ELPENOR)
Et j'ose encor vous dire v.777 (Acte 4, scène 3, ELPENOR)
Ne vous préparez point un horrible avenir : v.788 (Acte 4, scène 3, ELPENOR)
Du trouble où je vous vois que faut-il augurer ? v.795 (Acte 4, scène 3, ELPENOR)
Qu'ordonnez-vous d'un fils ? v.796 (Acte 4, scène 3, ELPENOR)
Et je ne vous ai vu que pour mourir ensemble ! v.800 (Acte 5, scène 1, PRETRESSE)
Rassasié de sang, n'ira point jusqu'à vous. v.814 (Acte 5, scène 1, YDASAN)
Tout corrompu qu'il est, respecte en vous ses dieux. v.818 (Acte 5, scène 1, YDASAN)
De ma fille, après tout, vous n'êtes point complice ; v.819 (Acte 5, scène 1, YDASAN)
Je vous quitte attendri ; pardonnez à mes larmes. v.823 (Acte 5, scène 1, YDASAN)
Seigneur, que dites-vous ? v.829 (Acte 5, scène 2, YDASAN)
Ils sont purs comme vous : nos âmes rassemblées v.847 (Acte 5, scène 2, ARGIDE)
Pour que vous refusiez d'en orner mon tombeau. v.854 (Acte 5, scène 2, YDACE)
Non, Argide, avec vous la mort n'est point cruelle : v.855 (Acte 5, scène 2, YDACE)
Couple digne du ciel ! il est ouvert pour vous ; v.858 (Acte 5, scène 2, PRETRESSE)
En quels horribles lieux me parlez-vous d'amour ! v.862 (Acte 5, scène 2, YDASAN)
Eh bien ! je vous unis ; eh bien ! dieux que j'atteste, v.863 (Acte 5, scène 2, YDASAN)
Voilà mes voeux pour vous, chers et tendres amants, v.873 (Acte 5, scène 2, YDASAN)
C'est moi qui vous l'annonce : écoutez en silence... v.880 (Acte 5, scène 3, AGATHOCLE)
Vous me voyez au trône, et c'est le digne prix v.881 (Acte 5, scène 3, AGATHOCLE)
Je le crus digne enfin de vous donner des lois. v.906 (Acte 5, scène 3, AGATHOCLE)
Peuples, voilà le roi qu'il vous faut reconnaître : v.911 (Acte 5, scène 3, AGATHOCLE)
Vous m'étonnez, mon père ; et peut-être à mon tour v.930 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
Je vais dans ce moment vous étonner vous-même... v.931 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
Vous daignez me céder ce brillant diadème, v.932 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
J'ose accepter de vous cet auguste partage, v.935 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
Un sage m'instruisit ; mais c'est vous que j'imite ; v.939 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
Vous êtes au-dessus des honneurs souverains ; v.941 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
Vous les foulez aux pieds, seigneur, et je les crains. v.942 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
De porter après vous ce fardeau redoutable ! v.944 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
Je règne... votre roi vous rend la liberté. v.946 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
Je vous la fais à tous... Puisse le ciel propice v.948 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)
Ce peuple vous chérit ; vous êtes plus que reine. v.952 (Acte 5, scène 3, ARGIDE)

LE DROIT DU SEIGNEUR (1763)

Vous savez tout, du moins vous avez l'air v.2 (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
De tout savoir ; car vous lisez sans cesse v.3 (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Ah ! Vous êtes pressant. v.50 (Acte 1, scène 1, LE BAILLIF)
Et très pressé... Voyez-vous ? L'âge avance. v.51 (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Elle vous aime avec quelque tendresse, v.59 (Acte 1, scène 1, LE BAILLIF)
Vous et vos biens ; elle eut de vous promesse v.60 (Acte 1, scène 1, LE BAILLIF)
Entendez-vous, qui seule ici me tente. v.68 (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Entendez-vous, magister trop rétif ? v.69 (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Oui, j'entends bien : vous êtes trop hâtif ; v.70 (Acte 1, scène 1, LE BAILLIF)
Et pour signer vous devriez attendre v.71 (Acte 1, scène 1, LE BAILLIF)
Oui, vous avez raison : ça m'embarrasse ; v.128 (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Mais, palsembleu, vous m'avouerez aussi v.130 (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Tout aussitôt je vous la réduirai v.170 (Acte 1, scène 2, MATHURIN)
Vous ne bâclerez rien, non ; je m'oppose v.224 (Acte 1, scène 4, COLETTE)
Gardez-vous bien, s'il vous plaît, ma voisine, v.227 (Acte 1, scène 4, COLETTE)
De vous laisser enjôler sur sa mine : v.228 (Acte 1, scène 4, COLETTE)
Ah ! Croyez-vous qu'il le donne, mon père ? v.272 (Acte 1, scène 4, ACANTE)
Vous n'êtes plus la maîtresse au logis, v.277 (Acte 1, scène 5, MATHURIN)
Chacun rebèque ; et je vous avertis v.278 (Acte 1, scène 5, MATHURIN)
Qui contredit, s'il vous plaît, quand j'ordonne ? v.283 (Acte 1, scène 5, BERTHE)
Serait-ce vous, mon mari ? Vous ? v.284 (Acte 1, scène 5, BERTHE)
Allez, allez, épargnez-vous ce soin ; v.289 (Acte 1, scène 5, BERTHE)
Comme elle, enfin, vous passâtes par là ; v.314 (Acte 1, scène 5, DIGNANT)
Je m'en souviens, vous étiez fort revêche. v.315 (Acte 1, scène 5, DIGNANT)
Ni vous ni moi : la belle a le maintien v.329 (Acte 1, scène 5, MATHURIN)
Ne m'en faites pas, vous, et que je sorte v.360 (Acte 1, scène 6, COLETTE)
Approchez-vous... faites la révérence, v.418 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Vous l'avez dit, je suis Colette. v.420 (Acte 2, scène 1, COLETTE)
N'avez-vous pas trente ans, et davantage ? v.422 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Çà, vous avez des raisons péremptoires ? v.430 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Mais vous coupez le fil v.432 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Vous a-t-il fait injure ? v.434 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Il vous a fait sans doute des promesses ? v.437 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Au lieu d'écrits, vous avez des témoins ? v.448 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
On ne vous a rien fait, rien écrit. v.460 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Épouvantable, et vous n'en parliez pas ! v.464 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Que prétendez-vous donc ? v.477 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Quels attentats encontre vous sont faits ; v.480 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Écrivez donc tout ce qu'il vous plaira. v.484 (Acte 2, scène 1, COLETTE)
Traître baillif, qu'entendez-vous ? v.488 (Acte 2, scène 1, COLETTE)
Depuis une heure en vain je vous écoute : v.493 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Vous n'avez rien prouvé, je vous déboute. v.494 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Vous. v.495 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Non, non, baillif ; vous aurez beau conclure, v.501 (Acte 2, scène 1, COLETTE)
Instrumenter et signer, je vous jure v.502 (Acte 2, scène 1, COLETTE)
Consolez-vous, sachez que vous aurez v.507 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Affaire à moi quand vous vous marierez. v.508 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Oh ! je vous en défie. v.510 (Acte 2, scène 1, LE BAILLIF)
Oui ; l'ingrat vous est promis. v.515 (Acte 2, scène 3, COLETTE)
Quel chemin vous prenez ! v.640 (Acte 2, scène 4, BERTHE)
Êtes-vous folle ? Et quand on doit se rendre v.641 (Acte 2, scène 4, BERTHE)
Vous me glacez : votre mauvaise humeur v.643 (Acte 2, scène 4, BERTHE)
Jusqu'à la fin vous sera reprochée. v.644 (Acte 2, scène 4, BERTHE)
On vous marie, et vous êtes fâchée. v.645 (Acte 2, scène 4, BERTHE)
Pardon, mon père ; hélas ! Vous excusez v.650 (Acte 2, scène 4, ACANTE)
Mon embarras, vous le favorisez, v.651 (Acte 2, scène 4, ACANTE)
Et vous sentez quelle douleur amère v.652 (Acte 2, scène 4, ACANTE)
Oui... Vous serez de la cérémonie. v.670 (Acte 2, scène 5, DIGNANT)
De vous prier, devant ma belle-mère, v.686 (Acte 2, scène 5, ACANTE)
Et comme vous en secret j'ai pensé. v.692 (Acte 2, scène 5, DIGNANT)
Vous êtes fin, Monsieur le Chevalier ; v.711 (Acte 2, scène 6, CHAMPAGNE)
Très à propos vous venez le premier. v.712 (Acte 2, scène 6, CHAMPAGNE)
Vous vous doutez qu'on marie une fille ; v.714 (Acte 2, scène 6, CHAMPAGNE)
Tout comme vous, buvant, aimant les belles, v.741 (Acte 2, scène 6, CHAMPAGNE)
Il mangea tout, et ne vous laissa rien. v.743 (Acte 2, scène 6, CHAMPAGNE)
Eh que ne prenez-vous cette Dormène ? v.749 (Acte 2, scène 6, CHAMPAGNE)
Mais croyez-vous que monseigneur rira ? v.772 (Acte 2, scène 6, CHAMPAGNE)
Que je voudrais que vous eussiez mon goût ! v.819 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Que vous et moi nous sommes différents ! v.823 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
En attendant, vous savez qu'on apprête v.825 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Je vous reconnais là, toujours vous-même. v.834 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Mon cher parent, vous m'avez fait cent fois v.835 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Trembler pour vous, par vos galants exploits. v.836 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Daignez en croire un parent qui vous aime. v.841 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Si vous n'avez du respect pour vous-même, v.842 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Quelque grand nom que vous puissiez porter, v.843 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Vous ne pourrez vous faire respecter. v.844 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Pour avoir pris le train que vous prenez, v.847 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Vous eût frappé, vous seriez raisonnable. v.858 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Eh bien ! Je vous présage v.861 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Que vous serez las du libertinage. v.862 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Vous vous trompez : de son coeur on est maître v.865 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Eut des attraits pour moi comme pour vous ; v.868 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Je ne suis pas si timide que vous ; v.876 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Quoi ! Vous pensez être dans tous les temps v.879 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Très fort je vous respecte ; v.881 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Et je voudrais vous marier aussi. v.900 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Vous avez donc, malgré votre réserve, v.921 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Oui, Monseigneur, vous me rendrez justice ; v.953 (Acte 1, scène 2, COLETTE)
Vous ne souffrirez pas qu'il me trahisse ; v.954 (Acte 1, scène 2, COLETTE)
Vous voyez bien qu'en effet elle m'aime. v.965 (Acte 1, scène 2, MATHURIN)
De vous, Colette, aussi. v.975 (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Vous aurez soin, baillif, en homme sage, v.981 (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
[Que vous] allez devenir amoureux. v.988 (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Oui, vous. v.989 (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Vous le serez ; j'en ris déjà d'avance. v.990 (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Gageons, vous dis-je, une discrétion. v.991 (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Vous perdrez. v.992 (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Quand près de vous il daignera se rendre, v.1001 (Acte 1, scène 3, DIGNANT)
Quand sans témoin il pourra vous entendre, v.1002 (Acte 1, scène 3, DIGNANT)
Je vous dois tout... D'où vient que vous pleurez ? v.1008 (Acte 1, scène 3, ACANTE)
Ah ! Je le dois... de vous je me sépare, v.1009 (Acte 1, scène 3, DIGNANT)
Pouvait sur vous les verser désormais, v.1012 (Acte 1, scène 3, DIGNANT)
Puis il lui parle ; il vous la considère ; v.1037 (Acte 1, scène 4, LE BAILLIF)
Et quand finit, s'il vous plaît, l'entretien ? v.1040 (Acte 1, scène 4, MATHURIN)
Asseyez-vous ; attendez en ce lieu v.1063 (Acte 1, scène 4, LE BAILLIF)
Asseyez-vous. Lorsqu'ici je vous vois, v.1083 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Les faibles dons qu'il convient de vous faire ; v.1086 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Ils paraîtront bien indignes de vous. v.1087 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
De vous prier de daigner recevoir v.1092 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Mais est-il vrai qu'il vous donne un époux v.1099 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Qui, vous causant d'invincibles dégoûts, v.1100 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
J'en suis fâché... Vous deviez être heureuse. v.1102 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
En vous parlant, en vous ouvrant mon coeur ; v.1104 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Mais vous n'avez pas tort. v.1123 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Vous demander, non pas un autre époux, v.1124 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Eh ! Relevez-vous donc... Que tout m'étonne v.1129 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Je l'avouerai, vous ne paraissez faite v.1133 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
D'où tenez-vous, dans ce séjour obscur, v.1135 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
C'est vous surtout, vous qui, dans ce moment, v.1147 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Non, belle Acanthe, il vous faut demeurer. v.1156 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Voilà mon sort ; vous en êtes le maître. v.1169 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Tout me surprend. Dites-moi, s'il vous plaît, v.1175 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Celle qui prend à vous tant d'intérêt, v.1176 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Qui vous chérit, ayant su vous connaître, v.1177 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
J'ai des projets. En un mot, voulez-vous v.1183 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Le seul bonheur de vous faire ma cour, v.1188 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Acanthe, allez... Vous pénétrez mon coeur : v.1191 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Oui, vous pourrez, Acanthe, avec honneur v.1192 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Auprès de vous ? Ah ! Ciel ! v.1194 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Elle vous aime ; v.1194 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Elle a raison... J'ai, vous dis-je, un projet : v.1195 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Et cependant vous voilà fiancée, v.1197 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Quoi ! Vous daignez me plaindre ? Ah ! Qu'à mes yeux v.1203 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Avec décence on pourra vous tirer... v.1207 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Ah ! Le voudriez-vous ? v.1208 (Acte 1, scène 6, ACANTE)
Vous le savez comme moi. v.1289 (Acte 4, scène 3, MATHURIN)
Fort bien ; vous vous fâchez, mon maître ; v.1290 (Acte 4, scène 3, MATHURIN)
Savez-vous pas qu'à peine chez son père v.1293 (Acte 4, scène 3, MATHURIN)
Volez, vous dis-je ; et s'il faut ma présence, v.1302 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
Et vous son père, et vous qui l'aimiez tant, v.1307 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
Vous qui perdez une si chère enfant, v.1308 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
Avez-vous pu souffrir, sans la défendre, v.1310 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
Un tel malheur semble peu vous toucher. v.1312 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
Vous m'étonnez. v.1314 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
Allez-vous-en, laissez-moi, sortez tous. v.1319 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
Non ; vous, restez. v.1321 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
Non ; vous, vous dis-je. v.1321 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
De vous parler ? v.1343 (Acte 4, scène 4, DIGNANT)
Vous avez lu ce qu'on vous a porté, v.1347 (Acte 4, scène 4, DIGNANT)
Ce gros paquet qu'on vous a présenté ?... v.1348 (Acte 4, scène 4, DIGNANT)
Vous me faites frémir. v.1350 (Acte 4, scène 4, DIGNANT)
Hélas ! Vous deviez croire v.1354 (Acte 4, scène 4, DIGNANT)
Qu'aura-t-on fait, et qu'allez-vous connaître ? v.1358 (Acte 4, scène 4, DIGNANT)
En d'autres temps aurait de quoi vous plaire ; v.1362 (Acte 4, scène 4, DIGNANT)
Mais pourquoi donc lui serviez-vous de père ? v.1370 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
J'en avais l'ordre, et j'ai dû vous prier v.1372 (Acte 4, scène 4, DIGNANT)
Fondant en pleurs : elle veut vous parler. v.1375 (Acte 4, scène 4, LE DOMESTIQUE)
Pardonnez-moi, j'allais chez vous, madame, v.1377 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Je ne viens point vous demander raison v.1387 (Acte 4, scène 5, DORMÈNE)
Comment ? Chez vous ? v.1389 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
En vous parlant expire dans ma bouche. v.1393 (Acte 4, scène 5, DORMÈNE)
Est pour vous-même. v.1406 (Acte 4, scène 6, LE MARQUIS)
Quel coup horrible : ô ciel ! Qu'avez-vous dit ? v.1431 (Acte 4, scène 6, LE MARQUIS)
Entre vos mains vous avez cet écrit, v.1432 (Acte 4, scène 6, DORMÈNE)
Le voyez-vous ? v.1447 (Acte 4, scène 6, LE MARQUIS)
N'accroisse pas le chagrin qui vous tue ; v.1450 (Acte 4, scène 6, LE MARQUIS)
Est-ce vous, v.1459 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Vous, malheureux ? v.1460 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Qu'avez-vous fait ? v.1461 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Et dont je viens vous demander pardon. v.1464 (Acte 4, scène 7, LE CHEVALIER)
Vous, des remords ! Vous ! Est-il bien possible ? v.1465 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Plus que vous ne pensez ; mais votre coeur v.1467 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
À l'amitié ? Vous sentez-vous capable v.1469 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Je vous dirai v.1475 (Acte 4, scène 7, LE CHEVALIER)
M'a conjuré de la rendre chez vous ; v.1500 (Acte 4, scène 7, LE CHEVALIER)
Que dites-vous ? v.1503 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
De vous surtout elle a parlé longtemps. v.1527 (Acte 4, scène 7, LE CHEVALIER)
Et si pour moi vous conservez, Gernance, v.1553 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
D'avoir sur vous un assez grand empire v.1557 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Pour lui cacher ce que vous allez lire. v.1558 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Oui, je vous le promets, oui. v.1559 (Acte 4, scène 7, LE CHEVALIER)
Vous verrez v.1559 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Allez, vous tremblerez, vous dis-je. v.1561 (Acte 4, scène 7, LE MARQUIS)
Vous l'emportez... v.1580 (Acte 4, scène 8, LE MARQUIS)
Parlez, madame ; avez-vous vu son frère v.1581 (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
Son coeur est bon ; il est conduit par vous. v.1584 (Acte 4, scène 9, DORMÈNE)
Que dites-vous ? v.1589 (Acte 4, scène 9, DORMÈNE)
Vous trouvez le moyen, v.1603 (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
Et vous n'osez donner le superflu ! v.1611 (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
Ô juste ciel ! Qu'avez-vous résolu ? v.1612 (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
Vous êtes juste et sage. v.1613 (Acte 4, scène 9, DORMÈNE)
Fut par vous seuls jusqu'ici malheureux. v.1616 (Acte 4, scène 9, DORM?NE)
Je vous le jure. v.1625 (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
Et que voulez-vous faire ? v.1625 (Acte 4, scène 9, DORMÈNE)
Que feriez-vous, s'il vous plaît, à ma place ? v.1630 (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
Qu'avez-vous ? v.1633 (Acte 4, scène 9, DORMÈNE)
Allons, j'ai pris mon parti : je vous laisse ; v.1637 (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
J'étais tout prêt de l'être moins que vous. v.1664 (Acte 5, scène 1, LE MARQUIS)
Vous avez donc perdu votre gageure ? v.1665 (Acte 5, scène 1, LE CHEVALIER)
Vous aimez donc ? v.1666 (Acte 5, scène 1, LE CHEVALIER)
Oh ! non , je vous le jure : v.1666 (Acte 5, scène 1, LE MARQUIS)
Vous moquez-vous ? Contenter tout le monde, v.1689 (Acte 5, scène 1, LE CHEVALIER)
Voulez-vous être heureuse ? v.1697 (Acte 5, scène 2, LE MARQUIS)
Vous voudriez un époux et du bien ? v.1700 (Acte 5, scène 2, LE MARQUIS)
Eh ! Bien donc, je vous donne v.1701 (Acte 5, scène 2, LE MARQUIS)
Que Mathurin vous épouse aujourd'hui. v.1703 (Acte 5, scène 2, LE MARQUIS)
Qui vous voudrez, j'obéis sans réplique. v.1705 (Acte 5, scène 2, COLETTE)
Venez, je vais vous dire ma pensée. v.1721 (Acte 5, scène 2, LE MARQUIS)
Eh ! Quoi, vous me fuyez ! v.1772 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Osez-vous bien paraître en ma présence ? v.1773 (Acte 5, scène 4, ACANTE)
Oui, vous devez oublier mon offense ; v.1774 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Par moi, vous dis-je, il veut vous consoler. v.1775 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Conservez-vous au fond de votre coeur v.1779 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Vous devez être en horreur à vous-même. v.1781 (Acte 5, scène 4, ACANTE)
Répare tout et doit vous apaiser. v.1783 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Madame, à moi ! Quel nom vous me donnez ! v.1787 (Acte 5, scène 4, ACANTE)
Ah ! Que puis-je vous dire ? v.1794 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Ce nom m'est cher : allez, vous oublierez v.1795 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Mon attentat quand vous me connaîtrez ; v.1796 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Vous trouverez très bon que je vous aime. v.1797 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Je ne sais pas quel destin vous anime ; v.1801 (Acte 5, scène 4, ACANTE)
J'en serai digne, et je vous le promets. v.1804 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Je le désire, et me plais à vous croire; v.1805 (Acte 5, scène 4, ACANTE)
Vous êtes né pour connaître la gloire : v.1806 (Acte 5, scène 4, ACANTE)
Non, c'est en vain que vous vous offensez ; v.1808 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Je ne suis point amoureux, je vous jure : v.1809 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
Et vous aussi, vous m'accablez, mon père, v.1825 (Acte 5, scène 5, ACANTE)
Vous m'amenez vous-même dans ces lieux. v.1827 (Acte 5, scène 5, ACANTE)
Mon père, au moins, c'est en vous que j'espère. v.1829 (Acte 5, scène 5, ACANTE)
Ô cher objet, vous n'avez plus de père. v.1830 (Acte 5, scène 5, DIGNANT)
Que dites-vous ? v.1831 (Acte 5, scène 5, ACANTE)
Sont nés d'un sang dont vous êtes plus digne ; v.1833 (Acte 5, scène 5, DORMÈNE)
Préparez-vous au changement insigne v.1834 (Acte 5, scène 5, DORM?NE)
Oui, je le suis, oui ; vous êtes ma soeur. v.1839 (Acte 5, scène 5, LE CHEVALIER)
Ces mouvements dont vous êtes atteinte v.1850 (Acte 5, scène 5, LE CHEVALIER)
Sont naturels, et tout vous sera dit. v.1851 (Acte 5, scène 5, LE CHEVALIER)
Dans ce moment, Acante, il vous suffit v.1852 (Acte 5, scène 5, DORMÈNE)
Vous me devez un peu de confiance. v.1854 (Acte 5, scène 5, DORM?NE)
Vous la verrez : vous serez dans ses bras. v.1856 (Acte 5, scène 5, LE CHEVALIER)
Qui, cette nuit je vous mène auprès d'elle. v.1857 (Acte 5, scène 5, DORMÈNE)
Vous honorez son nom. v.1860 (Acte 5, scène 5, LE CHEVALIER)
Abusez-vous de mon esprit crédule, v.1861 (Acte 5, scène 5, ACANTE)
Et voulez-vous me rendre ridicule ? v.1862 (Acte 5, scène 5, ACANTE)
Ah ! Pardonnez : vous étiez là, Madame ? v.1870 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Vous paraissez étrangement ému ! v.1871 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Moi ? Point du tout. Vous serez convaincu v.1872 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Je dépendrai de vous plus que jamais. v.1876 (Acte 5, scène 6, ACANTE)
Je ferai, moi, tout ce que vous voudrez ; v.1879 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Que vous m'obligerez. v.1880 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Belle Dormene, oubliez- vous l'offense v.1881 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
C'eût été vous (et je vous l'ai mandé) v.1891 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Voudriez-vous, Madame, qu'à ma place v.1893 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Prît avec vous d'indissolubles noeuds ? v.1896 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Daignerez vous accepter un château v.1899 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Pardonnez-vous cette offre ? v.1901 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Je n'ai de voix que pour vous admirer. v.1904 (Acte 5, scène 6, DORMÈNE)
Je vous soumets l'empire de mon âme. v.1906 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Mais seconderez-vous mon bienfaiteur ! v.1908 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Consultez-vous, méritez mon estime, v.1909 (Acte 5, scène 6, DORMÈNE)
Et... Vous, Acante... v.1911 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Acante, vous qui venez de renaître, v.1913 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Vous qu'une mère ici va reconnaître, v.1914 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Vous commencez, une nouvelle vie, v.1917 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Je veux... Souffrez qu'à votre mère, à vous, v.1919 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
L'acte est passé : vous vivrez honorées ; v.1922 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Dormene et vous, les douceurs fortunées v.1925 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Eh quoi ! Ma soeur, vous n'êtes, point contente ! v.1929 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Quoi ! vous pleurez ! v.1930 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Elle doit être à vous... Ah ! Permettez v.1935 (Acte 5, scène 6, ACANTE)
Qu'avez-vous donc ? Qu'ai-je fait ? v.1940 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Vous partez. v.1941 (Acte 5, scène 6, ACANTE)
Mais je vois bien que vous en ferez deux. v.1948 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Vous payerez ; la gageure est perdue. v.1949 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Je vous l'avoue... Oui, mon âme est vaincue, v.1950 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Dormene et Laure, Acante, et vous et moi, v.1951 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)
Aimable Acante ; allons, que je vous mène v.1953 (Acte 5, scène 6, LE MARQUIS)

SAMSON (1732)

Mais vous, Bacchus, dont la valeur v.27 (Prologue, scène 1, HERCULE)
Trouvez-vous à troubler le monde ? v.30 (Prologue, scène 1, HERCULE)
Va paraître en ce lieu, comme vous enchanté. v.79 (Prologue, scène 1, LA VERTU)
Enfants du ciel, que ferez-vous ? v.107 (Acte 2, scène 1, UN CORYPHÉE)
Demeurez : votre roi par ma voix vous l'ordonne. v.124 (Acte 2, scène 2, LE-GRAND-PRÊTRE)
Vous rampez dans nos fers, ainsi que vos ancêtres, v.126 (Acte 2, scène 2, LE GRAND PR?TRE)
Rebut des nations, vous déclarez la guerre v.134 (Acte 2, scène 2, LE-GRAND-PRÊTRE)
Ont porté parmi vous ces monstres qu'ils adorent ? v.140 (Acte 2, scène 3, SAMSON)
Pleurez vos dieux, craignez pour vous. v.148 (Acte 2, scène 3, SAMSON)
Vous ne méritez pas v.150 (Acte 2, scène 3, SAMSON)
Redoutez-vous ces dieux renversés par mes mains ? v.162 (Acte 2, scène 4, SAMSON)
Il vous armera du tonnerre ; v.169 (Acte 2, scène 4, SAMSON)
Vous serez redoutés du reste de la terre, v.170 (Acte 2, scène 4, SAMSON)
Si vous ne redoutez que lui. v.171 (Acte 2, scène 4, SAMSON)
Vous m'avez, c'est assez ; tous vos maux vont finir. v.173 (Acte 2, scène 4, SAMSON)
En domptant les lions, j'appris à vous servir. v.176 (Acte 2, scène 4, SAMSON)
Samson, les séduit et vous brave : v.206 (Acte 3, scène 1, UN PHILISTIN)
Que dites-vous ? un seul homme, un barbare, v.224 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
Qui vous peut immoler. v.230 (Acte 3, scène 2, SAMSON)
Si vous êtes un dieu, je vous dois mon hommage ; v.233 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
Si vous êtes un homme, osez-vous me braver ? v.234 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
Qui vous tient sous ses lois, v.239 (Acte 3, scène 2, SAMSON)
Vous parle par ma voix. v.241 (Acte 3, scène 2, SAMSON)
Qu'il daigne m'annoncer par vous ? v.243 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
La crainte où je vous vois, mes exploits, mon courage. v.245 (Acte 3, scène 2, SAMSON)
Vous allez l'éprouver ; voyez si sa nature v.252 (Acte 3, scène 2, SAMSON)
Eh bien ! Vous avez vu quelle était sa puissance, v.262 (Acte 3, scène 2, SAMSON)
Embrasez-vous, vastes forêts. v.268 (Acte 3, scène 2, SAMSON)
Vous que le ciel console après des maux si grands, v.288 (Acte 3, scène 3, SAMSON)
Éveillez-vous, punissez la furie v.319 (Acte 4, scène 1, LE ROI)
Votre peuple vous prie : v.321 (Acte 4, scène 1, LE ROI)
Vous n'avez d'espoir qu'en l'Amour. » v.341 (Acte 4, scène 1, ORACLE)
Vous m'invitez au repos. v.373 (Acte 4, scène 2, SAMSON)
Parlez, vous m'allez enchanter : v.402 (Acte 4, scène 1, SAMSON)
Se taisent pour vous écouter. v.405 (Acte 4, scène 1, SAMSON)
Je vous prendrais pour elle, et croirais la flatter. v.432 (Acte 4, scène 1, SAMSON)
Combattez et régnez : la gloire vous appelle. v.440 (Acte 4, scène 2, LES HÉBREUX)
Je vous suis, je le dois ; j'accepte vos présents. v.441 (Acte 4, scène 2, SAMSON)
Que la paix vous attire. v.448 (Acte 4, scène 2, DALILA)
Vénus vient vous sourire, v.449 (Acte 4, scène 2, DALILA)
L'Amour vous tend les bras. v.450 (Acte 4, scène 2, DALILA)
Prêtresse de Vénus, vous, sa brillante image, v.464 (Acte 4, scène 2, SAMSON)
Fiez-vous à vos yeux de mon impatience. v.469 (Acte 4, scène 2, SAMSON)
Est-il un plus grand bien que celui de vous voir ? v.470 (Acte 4, scène 2, SAMSON)
Et vous êtes mon seul espoir. v.472 (Acte 4, scène 2, SAMSON)
Oui, le roi vous accorde à ce héros terrible ; v.492 (Acte 4, scène 1, LE-GRAND-PRÊTRE)
Mais vous entendez à quel prix : v.493 (Acte 4, scène 1, LE GRAND PR?TRE)
Dépendront du secret que vous aurez appris. v.497 (Acte 4, scène 1, LE GRAND PR?TRE)
Et vous sauvez par vos appas v.513 (Acte 4, scène 3, SAMSON)
C'est pour vous mériter que j'accorde la paix. v.515 (Acte 4, scène 3, SAMSON)
Et je ne veux que vous pour prix de mes bienfaits. v.517 (Acte 4, scène 3, SAMSON)
Tout vous craint en ces lieux ; on s'empresse à vous plaire. v.518 (Acte 4, scène 3, DALILA)
Vous régnez sur vos ennemis ; v.519 (Acte 4, scène 3, DALILA)
Mais de tous les sujets que vous venez de faire, v.520 (Acte 4, scène 3, DALILA)
Mon cour vous est le plus soumis. v.521 (Acte 4, scène 3, DALILA)
Que tardez-vous encore ? v.527 (Acte 4, scène 3, SAMSON)
Venez, qu'un pur amour vous amène aux autels v.528 (Acte 4, scène 3, SAMSON)
Si vous m'aimez, il ne l'est plus. v.533 (Acte 4, scène 3, DALILA)
Chantez ; Vénus doit vous entendre ; v.557 (Acte 4, scène 4, UNE PRÊTRESSE)
Possédez à jamais ce cour qui vous possède, v.574 (Acte 4, scène 4, SAMSON)
Venez : vous vous troublez.... v.576 (Acte 4, scène 4, SAMSON)
Je crains de vous déplaire, et je dois vous parler. v.579 (Acte 4, scène 4, DALILA)
Ah ! devant vous, c'est à moi de trembler. v.580 (Acte 4, scène 4, SAMSON)
Parlez, que voulez-vous ? v.581 (Acte 4, scène 4, SAMSON)
Que me demandez-vous ? C'est un secret terrible v.590 (Acte 4, scène 4, SAMSON)
Ainsi, vous doutez de ma foi ? v.592 (Acte 4, scène 4, DALILA)
Vous doutez, et m'aimez !... v.593 (Acte 4, scène 4, DALILA)
Que dites-vous ?... v.600 (Acte 4, scène 4, SAMSON)
Parlez, c'est l'amour qui vous prie. v.601 (Acte 4, scène 4, DALILA)
Eh bien ! vous le voulez ; l'amour me justifie : v.604 (Acte 4, scène 4, SAMSON)
Ces cheveux, dites-vous ? v.610 (Acte 4, scène 4, DALILA)
Que faites-vous, peuple parjure ? v.626 (Acte 4, scène 5, DALILA)
Non, lâches ! non, ce bras n'est pas vaincu par vous ; v.639 (Acte 4, scène 5, SAMSON)
Vous abusiez de ma faiblesse. v.644 (Acte 4, scène 6, DALILA)
Vous avez préparé, par mes fatales mains, v.645 (Acte 4, scène 6, DALILA)
Vous m'avez fait aimer le plus grand des humains v.647 (Acte 4, scène 6, DALILA)
Vous et vos peuples criminels ! v.653 (Acte 4, scène 6, DALILA)
Arrêtez ; je dois vous instruire v.762 (Acte 6, scène 4, SAMSON)

SÉMIRAMIS (1749)

Et peut-être avec moi bientôt vous gémirez v.15 (Acte 1, scène 1, MITRANE)
Quand vous venez de près ce que vous admirez. v.16 (Acte 1, scène 1, MITRANE)
Depuis qu'elle ordonna que vous vinssiez ici. v.36 (Acte 1, scène 1, MITRANE)
Vous : ce fut, seigneur, au milieu de ces fêtes, v.37 (Acte 1, scène 1, MITRANE)
J'ai pleuré comme vous ce vieillard vénérable ; v.73 (Acte 1, scène 1, MITRANE)
Vous avez à l'empire ajouté des provinces ; v.81 (Acte 1, scène 1, MITRANE)
Vous êtes devenu l'ouvrage de vos mains. v.83 (Acte 1, scène 1, MITRANE)
Vous le verrez ici, non loin de sa demeure, v.110 (Acte 1, scène 1, MITRANE)
Voix puissante des dieux, que voulez-vous de moi ? v.124 (Acte 1, scène 2, ARSACE)
Ces monuments secrets que vous semblez attendre. v.126 (Acte 1, scène 3, MITRANE)
Vous daignâtes l'aimer. v.131 (Acte 1, scène 3, ARSACE)
Vous amène à mes yeux plus que l'ordre d'un père. v.133 (Acte 1, scène 3, OROÈS)
Son fils me l'est encor plus que vous ne croyez. v.135 (Acte 1, scène 3, ORO?S)
C'est donc vous que je touche, v.137 (Acte 1, scène 3, OROÈS)
Restes chers et sacrés ; je vous vois, et ma bouche v.138 (Acte 1, scène 3, ORO?S)
Que l'on nous laisse seuls ; allez, et vous, Mitrane, v.141 (Acte 1, scène 3, ORO?S)
Ciel ! que m'apprenez-vous ? v.152 (Acte 1, scène 3, ARSACE)
Sur ce grand intérêt, qui peut-être vous touche, v.181 (Acte 1, scène 3, OROÈS)
Ne trahisse un secret que mon dieu vous confie. v.185 (Acte 1, scène 3, ORO?S)
Il y va de vos jours. Vous, mages, approchez ; v.187 (Acte 1, scène 3, ORO?S)
Vous voyez cet Assur, dont la grandeur hautaine v.190 (Acte 1, scène 3, ORO?S)
À qui, dieu tout puissant, donnez-vous les grandeurs ? v.192 (Acte 1, scène 3, ORO?S)
Je pourrai vous parler en présence des dieux. v.195 (Acte 1, scène 3, OROÈS)
Redoutez-les, Arsace, ils ont sur vous les yeux. v.196 (Acte 1, scène 3, ORO?S)
Vous font abandonner vos camps et vos drapeaux ? v.208 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Des rives de l'Oxus quel sujet vous amène ? v.209 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Quoi ! la reine vous mande ? v.211 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Mais savez-vous bien v.211 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
L'âge, les temps, les lieux, vous l'apprendront peut-être ; v.218 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Que venez-vous chercher près de Sémiramis ? v.220 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Vous osez davantage. v.222 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Vous ne m'expliquez pas vos voeux présomptueux : v.223 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Vous ne connaissez pas à qui vous insultez. v.228 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Qui ? vous ! associer la race d'un Sarmate v.229 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Je veux bien par pitié vous donner un avis : v.231 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Si vous osez porter jusqu'à Sémiramis v.232 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
L'injurieux aveu que vous osez me faire, v.233 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Vous m'avez entendu, frémissez, téméraire : v.234 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
J'y cours de ce pas même, et vous m'enhardissez : v.236 (Acte 1, scène 4, ARSACE)
Vous n'avez pas celui d'outrager un soldat v.239 (Acte 1, scène 4, ARSACE)
Qui servit et la reine, et vous-même, et l'état. v.240 (Acte 1, scène 4, ARSACE)
Je vous parais hardi ; mon feu peut vous déplaire : v.241 (Acte 1, scène 4, ARSACE)
Mais vous me paraissez cent fois plus téméraire, v.242 (Acte 1, scène 4, ARSACE)
Vous qui, sous votre joug prétendant m'accabler, v.243 (Acte 1, scène 4, ARSACE)
Vous croyez assez grand pour me faire trembler. v.244 (Acte 1, scène 4, ARSACE)
Pour vous punir peut-être ; et je vais vous apprendre v.245 (Acte 1, scène 4, ASSUR)
Ô voiles de la mort, quand viendrez-vous couvrir v.255 (Acte 1, scène 5, SÉMIRAMIS)
Abîmes, fermez-vous ; fantôme horrible, arrête : v.257 (Acte 1, scène 5, S?MIRAMIS)
Ninus, en vous chassant de son lit et du troue, v.273 (Acte 1, scène 5, OTANE)
En vous perdant, madame, eût perdu Babylone. v.274 (Acte 1, scène 5, OTANE)
Pour le bien des mortels vous prévîntes ses coups ; v.275 (Acte 1, scène 5, OTANE)
Babylone et la terre avaient besoin de vous : v.276 (Acte 1, scène 5, OTANE)
Les arides déserts par vous rendus fertiles, v.278 (Acte 1, scène 5, OTANE)
A déposé pour vous au tribunal des dieux. v.284 (Acte 1, scène 5, OTANE)
Assur fut en effet plus coupable que vous ; v.288 (Acte 1, scène 5, OTANE)
Vous doit son nouveau lustre, et moi, ma liberté. v.366 (Acte 2, scène 1, AZÉMA)
Vous seul, portant la foudre au fond de leurs déserts, v.370 (Acte 2, scène 1, AZ?MA)
Je vous dois tout ; mon coeur en est la récompense : v.372 (Acte 2, scène 1, AZ?MA)
Je ne serai qu'à vous. Mais notre amour nous perd. v.373 (Acte 2, scène 1, AZ?MA)
Vous pouviez déployer, sincère impunément, v.377 (Acte 2, scène 1, AZ?MA)
Vous outragez Assur, vous devez le connaître ; v.379 (Acte 2, scène 1, AZ?MA)
Vous ne pouvez le perdre, il menace, il est maître ; v.380 (Acte 2, scène 1, AZ?MA)
Il vous aime ! qui ? lui ! v.383 (Acte 2, scène 1, ARSACE)
J'en atteste l'amour, j'en jure par vous-même, v.396 (Acte 2, scène 1, AZÉMA)
Un exil avec vous, à ce trône avec lui. v.398 (Acte 2, scène 1, AZ?MA)
Il vous craint, il vous hait. v.408 (Acte 2, scène 1, AZ?MA)
Mais je ne le crains pas, étant aimé de vous. v.409 (Acte 2, scène 1, ARSACE)
La mortelle, après vous, la plus semblable aux dieux ! v.422 (Acte 2, scène 1, ARSACE)
Mettre à ses pieds mes voeux jusqu'à vous élevés, v.425 (Acte 2, scène 1, ARSACE)
Qui révoltent Assur, et que vous approuvez. v.426 (Acte 2, scène 1, ARSACE)
Je fais de vous aimer ma gloire et mon devoir. v.458 (Acte 2, scène 1, AZÉMA)
Quand vous avez paru, vous est donc prodigué ? v.466 (Acte 2, scène 2, ASSUR)
Vous avez en secret entretenu la reine ; v.467 (Acte 2, scène 2, ASSUR)
Mais vous a-t-elle dit que votre audace vaine v.468 (Acte 2, scène 2, ASSUR)
La reine a-t-elle enfin du moins daigné vous dire v.475 (Acte 2, scène 2, ASSUR)
Dans quel piège en ces lieux votre orgueil vous attire ? v.476 (Acte 2, scène 2, ASSUR)
Instruit à respecter le sang qui vous fit naître, v.479 (Acte 2, scène 2, ARSACE)
Sans redouter en vous l'autorité d'un maître, v.480 (Acte 2, scène 2, ARSACE)
Je sais ce qu'on vous doit, surtout en ces climats, v.481 (Acte 2, scène 2, ARSACE)
Et je m'en souviendrais, si vous n'en parliez pas. v.482 (Acte 2, scène 2, ARSACE)
Le besoin de l'État, tout semble vous unir. v.486 (Acte 2, scène 2, ARSACE)
Si j'osais, comme vous, me vanter devant elle. v.492 (Acte 2, scène 2, ARSACE)
Mais il vous trompe au moins dans l'un de vos projets, v.497 (Acte 2, scène 2, ARSACE)
Si vous comptez Arsace au rang de vos sujets. v.498 (Acte 2, scène 2, ARSACE)
Mais puis-je en liberté m'expliquer avec vous v.501 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
Ce mot en dit assez ; vous connaissez mes droits : v.513 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
Mais pour vous et pour moi j'aurais trop à rougir v.517 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
Je puis vous étonner ; cet austère langage v.523 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
Mais je parle aux héros, aux rois, dont vous sortez, v.525 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
À tous ces demi-dieux que vous représentez. v.526 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
Que pour vous rendre un sceptre, et non pour vous l'ôter v.534 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
C'est ma main qui vous l'offre, et du moins je me flatte v.535 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
Que vous n'immolez pas à l'amour d'un Sarmate v.536 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
La majesté d'un nom qu'il vous faut respecter, v.537 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
Et le trône du monde où vous devez monter. v.538 (Acte 2, scène 3, ASSUR)
Reposez-vous sur moi, sans insulter Arsace, v.539 (Acte 2, scène 3, AZÉMA)
Si le ciel a parlé, seigneur, qu'il vous choisisse v.559 (Acte 2, scène 3, AZ?MA)
Elle règne, en un mot. Et vous qui gouvernez, v.561 (Acte 2, scène 3, AZ?MA)
Vous prenez à ses pieds les lois que vous donnez ; v.562 (Acte 2, scène 3, AZ?MA)
Dit qu'il nous faut un maître, et qu'il faut vous nommer. v.578 (Acte 2, scène 4, CÉDAR)
Si la reine vous cède, et nomme un héritier, v.629 (Acte 2, scène 4, CÉDAR)
De vous et d'Azéma l'union désirée v.631 (Acte 2, scène 4, C?DAR)
Tout vous porte à l'empire, et tout parie pour vous. v.633 (Acte 2, scène 4, C?DAR)
Seigneur, Sémiramis vous ordonne d'attendre ; v.647 (Acte 2, scène 5, OTANE)
Elle veut en secret vous voir et vous entendre, v.648 (Acte 2, scène 5, OTANE)
Seigneur, il faut enfin que je vous ouvre un coeur v.661 (Acte 2, scène 7, SÉMIRAMIS)
Qui longtemps devant vous dévora sa douleur. v.662 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Madame, c'est à vous d'achever votre ouvrage, v.675 (Acte 2, scène 7, ASSUR)
Quand la terre obéit, que craignez-vous des dieux ? v.678 (Acte 2, scène 7, ASSUR)
Et vous me demandez le sujet de ma crainte ! v.680 (Acte 2, scène 7, SÉMIRAMIS)
Vous ! v.681 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Je vous avouerai que je suis indigné v.681 (Acte 2, scène 7, ASSUR)
Peut-il vous effrayer par tous ses vains prestiges ? v.691 (Acte 2, scène 7, ASSUR)
S'il vous faut de Bélus éterniser le sang, v.697 (Acte 2, scène 7, ASSUR)
Je viens vous en parler. Ammon et Babylone v.699 (Acte 2, scène 7, SÉMIRAMIS)
Vous le savez assez, mon superbe courage v.703 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Cet honneur, je le sais, n'appartenait qu'à vous ; v.710 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Vous deviez l'espérer, mais vous pûtes connaître v.711 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Je vous fis, sans former un lien si fatal, v.713 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Vous voulez dans l'état vous former un parti : v.725 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Vous m'opposez le sang dont vous êtes sorti. v.726 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
De vous et d'Azéma mon successeur peut naître ; v.727 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Vous briguez cet hymen, elle y prétend peut-être. v.728 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
C'est à vous déjuger si le dieu qui m'accable v.732 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Si vous reconnaissez encor Sémiramis, v.734 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Mais soit qu'un si grand choix honore un autre ou vous, v.737 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Je vous parais timide et faible ; désormais v.749 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Elle convient aux rois, et surtout à vous-même : v.752 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Et je vous apprendrai qu'on peut, sans s'avilir, v.753 (Acte 2, scène 7, S?MIRAMIS)
Vous avez méprisé jusqu'à la beauté même, v.803 (Acte 3, scène 1, OTANE)
Sans que vous daignassiez vous en apercevoir. v.806 (Acte 3, scène 1, OTANE)
Quoi ! de l'amour enfin connaissez-vous les charmes ? v.807 (Acte 3, scène 1, OTANE)
Et pouvez-vous passer de ces sombres alarmes v.808 (Acte 3, scène 1, OTANE)
Au tendre sentiment qui vous parle aujourd'hui ? v.809 (Acte 3, scène 1, OTANE)
Que je vous dois d'encens, ô puissance céleste, v.831 (Acte 3, scène 1, SÉMIRAMIS)
En m'embrasant d'un feu par vous-même inspiré ! v.834 (Acte 3, scène 1, S?MIRAMIS)
Mais vous avez prévu la douleur et la rage v.835 (Acte 3, scène 1, OTANE)
Peut appuyer le choix que vous prétendez faire. v.860 (Acte 3, scène 1, OTANE)
Je vais nommer un roi ; vous couronnez sa tête : v.863 (Acte 3, scène 2, SÉMIRAMIS)
On dirait qu'en secret vous condamnez mes voeux. v.869 (Acte 3, scène 2, SÉMIRAMIS)
Mais vous interprétez les volontés célestes. v.871 (Acte 3, scène 2, SÉMIRAMIS)
De vos mages, de vous, que la présence auguste v.899 (Acte 3, scène 2, SÉMIRAMIS)
Vous, dont le sang s'apaise, et dont la voix m'inspire, v.919 (Acte 3, scène 4, SÉMIRAMIS)
Ô mânes redoutés, et vous, dieux de l'empire, v.920 (Acte 3, scène 4, S?MIRAMIS)
Ô reine, à vous servir ma vie est consacrée : v.924 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Je vous devais mon sang ; et quand je l'ai versé, v.925 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Puisqu'il coula pour vous, je fus récompensé. v.926 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Je n'ose devant vous rappeler la mémoire v.931 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Pour un fils téméraire, et coupable envers vous, v.934 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Craint, même en vous servant, de vous faire une offense. v.936 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Vous, m'offenser ? qui, vous ? ah ! ne le craignez pas. v.937 (Acte 3, scène 5, SÉMIRAMIS)
Vous donnez votre main, vous donnez vos états. v.938 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Sur ces grands intérêts, sur ce choix que vous faites, v.939 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Souffrez que loin de lui, malgré moi loin de vous, v.950 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Je retourne aux climats où je vous ai servie. v.951 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Ah ! que m'avez-vous dit ? Vous, fuir ! Vous, me quitter ! v.954 (Acte 3, scène 5, SÉMIRAMIS)
Vous pourriez craindre Assur ? v.955 (Acte 3, scène 5, S?MIRAMIS)
Peut-être avez-vous su mes désirs orgueilleux : v.957 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Espérez tout ; je vous ferai connaître v.959 (Acte 3, scène 5, SÉMIRAMIS)
Ne redoutez-vous point sa sourde ambition ? v.966 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Des sujets tels que vous sont mon plus noble appui. v.970 (Acte 3, scène 5, SÉMIRAMIS)
Je vous en fais l'arbitre ; et vous les soutiendrez. v.974 (Acte 3, scène 5, S?MIRAMIS)
Ah ! puisque ainsi mes voeux sont par vous entendus, v.978 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Puisque vous avez lu dans le fond de mon âme... v.979 (Acte 3, scène 5, ARSACE)
Rassurez-vous, madame : v.980 (Acte 3, scène 5, SÉMIRAMIS)
Quel que soit mon époux, je vous garde en ces lieux v.981 (Acte 3, scène 5, S?MIRAMIS)
Destinée à mon fils, vous m'êtes toujours chère ; v.983 (Acte 3, scène 5, S?MIRAMIS)
Et je vous vois encore avec des yeux de mère. v.984 (Acte 3, scène 5, S?MIRAMIS)
Placez-vous l'un et l'autre avec ceux que ma voix v.985 (Acte 3, scène 5, S?MIRAMIS)
Les décrets de nos dieux vous seront révélés : v.990 (Acte 3, scène 6, OROÈS)
Pontife, et vous, seigneur, on va nommer un roi : v.1001 (Acte 3, scène 6, AZÉMA)
Il suffit ; prenez place, et vous, peuple, écoutez. v.1018 (Acte 3, scène 6, SÉMIRAMIS)
Qui, dignes de me suivre et de vous gouverner, v.1030 (Acte 3, scène 6, S?MIRAMIS)
Il vous faut un héros digne d'un tel empire, v.1047 (Acte 3, scène 6, S?MIRAMIS)
Adorez le héros qui va régner sur vous ; v.1054 (Acte 3, scène 6, S?MIRAMIS)
Vous, qui sanctifiez de si pures tendresses, v.1059 (Acte 3, scène 6, SÉMIRAMIS)
Ninus et Ninias vous sont rendus en lui. v.1061 (Acte 3, scène 6, S?MIRAMIS)
C'est le ciel qui m'inspire et qui vous donne un roi ; v.1091 (Acte 3, scène 6, SÉMIRAMIS)
Cet oracle est affreux plus que vous ne pensez. v.1094 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Le ciel m'a tout ravi ; je vous perds. v.1096 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Vous voyez trop, cruelle, à ma douleur profonde, v.1107 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Si ce coeur vous préfère à l'empire du monde. v.1108 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Vous en étiez l'objet ; j'avais tout fait pour vous ; v.1110 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Jusqu'à vous mériter avait porté sa vue. v.1112 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Que l'empire ni vous ne me sont destinés. v.1122 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
De l'hymen avec vous alluma le flambeau, v.1126 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Mais son fils est à vous ; mais son fils est mon roi ; v.1134 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Arsace est à vous seule. Ah, cruelle ! arrêtez. v.1165 (Acte 4, scène 1, ARSACE)
Je vois quel trouble affreux a dû vous pénétrer : v.1169 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
À de plus grands assauts il faut vous préparer. v.1170 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Ninus attend de vous, pour apaiser ses cris, v.1177 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
Dans une heure à sa tombe, Arsace, il faut vous rendre, v.1183 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
Et que vous-même ici vous m'avez présenté. v.1186 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Ce sang qui devant eux doit être offert par vous. v.1189 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
La victime y sera ; c'est assez vous instruire. v.1191 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Reposez-vous sur eux du soin de la conduire. v.1192 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Mais vous ne parlez point, seigneur, de Ninias ; v.1194 (Acte 4, scène 2, ARSACE)
Vous ne me dites point comment son père même v.1195 (Acte 4, scène 2, ARSACE)
Sa femme ! vous ! la reine ! ô ciel ! Sémiramis ! v.1197 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
Eh bien ! voici l'instant que je vous ai promis. v.1198 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Elle vous parle ici ; vous sentez son murmure ; v.1212 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
Votre coeur, malgré vous, gémit épouvanté. v.1213 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Il parle, il vous attend ; Ninus est votre père ; v.1219 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Vous êtes Ninias ; la reine est votre mère. v.1220 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Vous-même : en doutez-vous encore ? v.1223 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
Qu'il attaquait en vous les sources de la vie, v.1227 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Vous arracha mourant à cette cour impie. v.1228 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Assur, comblant sur vous ses crimes inouïs, v.1229 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
De son fils qu'il perdit il vous donna la place ; v.1239 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Vous ne fûtes connu que sous le nom d'Arzace : v.1240 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Vous me rendez la mort dont vous m'avez sauvé. v.1246 (Acte 4, scène 2, ARSACE)
Douterez-vous encor ? v.1254 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
C'est de vous que je tiens cet affreux témoignage. v.1260 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
Phradate en cet écrit vous apprend tout le reste ; v.1263 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Lisez : il vous confirme un secret si funeste. v.1264 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Allez ; dans les horreurs dont vous êtes troublé, v.1273 (Acte 4, scène 2, OROÈS)
Le ciel vous conduira comme il vous a parlé. v.1274 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Ne vous regardez plus comme un homme ordinaire ; v.1275 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Vous n'avez pas le droit d'interroger vos maîtres. v.1280 (Acte 4, scène 2, ORO?S)
Sémiramis vous cherche, elle vient sur mes pas ; v.1289 (Acte 4, scène 3, MITRANE)
Vous ne répondez point : un désespoir farouche v.1291 (Acte 4, scène 3, MITRANE)
Fixe vos yeux troublés, et vous ferme la bouche ; v.1292 (Acte 4, scène 3, MITRANE)
Vous pâlissez d'effroi, tout votre corps frémit. v.1293 (Acte 4, scène 3, MITRANE)
Qu'est-ce qui s'est passé ? qu'est-ce qu'on vous a dit ? v.1294 (Acte 4, scène 3, MITRANE)
Seigneur, est-ce bien vous ? faites-vous cet outrage v.1296 (Acte 4, scène 3, MITRANE)
À ce coeur qui pour vous dédaigna tant de rois ? v.1298 (Acte 4, scène 3, MITRANE)
Son espérance en vous est-elle confondue ? v.1299 (Acte 4, scène 3, MITRANE)
Ou n'attend plus que vous ; venez, maître du monde : v.1303 (Acte 4, scène 4, SÉMIRAMIS)
Vous régnez, je vous aime ; Assur en vain frémit. v.1314 (Acte 4, scène 4, S?MIRAMIS)
Vous m'avez dit que son bras criminel v.1318 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Qu'en vous donnant ma main j'ai cru devoir attendre ? v.1324 (Acte 4, scène 4, SÉMIRAMIS)
De la terreur en vous laissent encor la trace ; v.1327 (Acte 4, scène 4, S?MIRAMIS)
Soyez tel qu'à mes pieds je vous ai vu paraître, v.1331 (Acte 4, scène 4, S?MIRAMIS)
Lorsque vous redoutiez d'avoir Assur pour maître. v.1332 (Acte 4, scène 4, S?MIRAMIS)
Quels transports ! Quels discours ! Qui ? Moi ! Que je vous fuie ? v.1340 (Acte 4, scène 4, SÉMIRAMIS)
De moment en moment vous glacez mon courage ; v.1344 (Acte 4, scène 4, S?MIRAMIS)
Je tremble en vous offrant ce sacré diadème ; v.1347 (Acte 4, scène 4, S?MIRAMIS)
Ma bouche en frémissant prononce, « Je vous aime ; » v.1348 (Acte 4, scène 4, S?MIRAMIS)
M'entraîne ici vers vous, m'en repousse à l'instant, v.1350 (Acte 4, scène 4, S?MIRAMIS)
Ah ! je ne puis... osez-vous ?... v.1358 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Cessez... à chaque mot vous trouveriez la mort. v.1362 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Ne me résistez plus, ou je vous crois coupable. v.1364 (Acte 4, scène 4, SÉMIRAMIS)
Dieux, qui conduisez tout, c'est vous qui m'y forcez ! v.1365 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Vous allez trop savoir, c'en est fait. v.1369 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Qu'il perce de vos mains ce coeur qui vous révéra, v.1379 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Ah ! je suis votre fils ; et ce n'est pas à vous, v.1389 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Quoi que vous ayez fait, d'embrasser mes genoux. v.1390 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Ninias vous implore, il vous aime, il vous jure v.1391 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Le ciel est apaisé, puisqu'il vous rend un fils : v.1394 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Livrez l'infâme Assur au dieu qui vous pardonne. v.1395 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Je veux avec l'Asie encor vous admirer. v.1398 (Acte 4, scène 4, ARSACE)
Cet effroyable hymen, dont je vous vois frémir. v.1406 (Acte 5, scène 1, OTANE)
En vous rendant un fils, vous arrache à l'inceste. v.1408 (Acte 5, scène 1, OTANE)
Vous disaient que le jour d'un nouvel hyménée v.1411 (Acte 5, scène 1, OTANE)
Ninias vous révère. Un secret sacrifice v.1415 (Acte 5, scène 1, OTANE)
Que craignez-vous d'un fils ? quel noir pressentiment ! v.1425 (Acte 5, scène 1, OTANE)
Ah, princesse ! parlez, que me demandez-vous ? v.1458 (Acte 5, scène 2, SÉMIRAMIS)
Il me trahit, n'importe, il doit vivre pour vous. v.1462 (Acte 5, scène 2, AZÉMA)
Quoi ! l'hymen qui vous lie... v.1463 (Acte 5, scène 2, AZÉMA)
Quels dangers ?... hâtez-vous... v.1466 (Acte 5, scène 2, SÉMIRAMIS)
Madame, vous savez v.1466 (Acte 5, scène 2, AZÉMA)
Que peut-être au moment que ma voix vous implore... v.1467 (Acte 5, scène 2, AZ?MA)
Ô ciel ! qui vous l'a dit ? comment ? par quel détour ? v.1481 (Acte 5, scène 2, SÉMIRAMIS)
Fiez-vous à mon coeur éclairé par l'amour ; v.1482 (Acte 5, scène 2, AZÉMA)
Eh bien ! chère Azéma, ce ciel parle par vous : v.1498 (Acte 5, scène 2, SÉMIRAMIS)
Arsace est votre roi ; vous n'avez plus de reine ; v.1515 (Acte 5, scène 2, SÉMIRAMIS)
Me l'avez-vous rendu pour le ravir encore ? v.1524 (Acte 5, scène 3, AZÉMA)
Ah ! cher prince, arrêtez. Ninias, est-ce vous ? v.1525 (Acte 5, scène 4, AZÉMA)
Vous, le fils de Ninus, mon maître et mon époux ? v.1526 (Acte 5, scène 4, AZ?MA)
Ah ! vous me revoyez confus de me connaître. v.1527 (Acte 5, scène 4, NINIAS)
Gardez-vous de remplir cet affreux ministère. v.1532 (Acte 5, scène 4, AZÉMA)
Vous n'irez point dans ce lieu redoutable ; v.1535 (Acte 5, scène 4, AZÉMA)
Un traître y tend pour vous un piège inévitable. v.1536 (Acte 5, scène 4, AZ?MA)
C'est vous que dans la tombe on va sacrifier ; v.1538 (Acte 5, scène 4, AZÉMA)
Il vous attend. v.1541 (Acte 5, scène 4, AZ?MA)
Que voulez-vous ? quel sang doit aujourd'hui couler ? v.1569 (Acte 5, scène 5, AZÉMA)
Impénétrables dieux, vous me faites trembler. v.1570 (Acte 5, scène 5, AZ?MA)
Vous êtes teint de sang, pâle, glacé d'horreur. v.1586 (Acte 5, scène 6, AZÉMA)
Vous me voyez couvert du sang du parricide. v.1587 (Acte 5, scène 6, NINIAS)
Mais, je vous l'avouerai, ses sanglots redoublés, v.1601 (Acte 5, scène 6, NINIAS)
D'un sang proscrit par vous vous les voyez fumantes ; v.1612 (Acte 5, scène 6, NINIAS)
Vous avez satisfait la nature et les morts. v.1614 (Acte 5, scène 6, AZÉMA)
La reine l'ordonna, je viens vous le livrer. v.1622 (Acte 5, scène 8, OTANE)
Je viens vous l'annoncer, je viens le reconnaître ; v.1627 (Acte 5, scène 8, OROÈS)
Qu'avez-vous fait ? v.1641 (Acte 5, scène 8, MITRANE)
Je vous suis dans la tombe, et vous serez vengée. v.1652 (Acte 5, scène 8, NINIAS)
D'une mère expirante approchez-vous tous deux ; v.1669 (Acte 5, scène 8, SÉMIRAMIS)

LE BARON D'OTRANTE (1784)

Est de vous voir heureux dans votre baronnie v.10 (Acte 1, scène 1, LE CONSEILLER)
D'un seigneur tel que vous c'est l'unique destin. v.11 (Acte 1, scène 1, LE CONSEILLER)
Vous avez dix-huit ans. v.17 (Acte 1, scène 1, LE CONSEILLER)
Nul ne l'est plus que vous. v.37 (Acte 1, scène 1, LE CONSEILLER)
Ne vous mêlez de rien, chacun pour vous travaille. v.39 (Acte 1, scène 1, LE CONSEILLER)
Vous serez harangué c'est le premier devoir v.47 (Acte 1, scène 1, LE CONSEILLER)
Vous avez une voix si tendre et si touchante ! v.68 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Vous ne songez à rien, et l'on vous fait accroire v.72 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
Je le suis avec vous, j'y mets toute ma gloire. v.74 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Sachez que pour me plaire il vous faudra changer : v.75 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
D'une mollesse indigne il faut vous corriger ; v.76 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Vous avez des vertus, vous avez du courage ; v.78 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
On ne vous a donné que des leçons stériles : v.80 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
On s'est moqué de vous, et votre oisiveté v.81 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Qui vous avaient donné de méchantes leçons, v.84 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
Et qui vous nourrissaient d'orgueil et de fadaise, v.85 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Et je me sens tout autre alors que je vous vois. v.88 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Mais mon coeur plein de vous, et plein de ma conquête, v.90 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Étant aimé de vous, j'en vaudrai beaucoup mieux. v.92 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Je reprendrai pour vous la voix que j'ai perdue. v.94 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
Pour jamais je vous chérirai ; v.95 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Vous n'avez plus d'asile. v.111 (Acte 1, scène 4, LE CONSEILLER)
Madame !... Entendez-vous les tambours... Les clameurs ?... v.124 (Acte 1, scène 5, LA GOUVERNANTE)
Irène, vous voyez si dans cette posture v.139 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Si ce Turc est galant, de vous tirer d'affaire. v.160 (Acte 1, scène 6, IRÈNE)
Peut-être direz-vous, par mes soins relevé, v.161 (Acte 1, scène 6, IR?NE)
Vous savez du baron le bizarre destin ? v.165 (Acte 1, scène 1, IRÈNE)
On peut vous plaire, et non vous mériter. v.224 (Acte 1, scène 1, IRÈNE)
Mon coeur, mon tendre coeur ne vous connaissait pas. v.242 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
Non, il n'est point de Turc qui vous soit comparable. v.243 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Je compte avoir l'honneur de souper avec vous. v.246 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Que si vous permettez que j'aille avant soupé v.256 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
C'est le plus grand plaisir que vous me puissiez faire. v.258 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Au nom du tendre amour je vous en prie encor. v.260 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
Un héros tel que vous, formé pour la tendresse, v.261 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Tout est prêt pour vous délivrer. v.273 (Acte 3, scène 1, IRÈNE)
L'amour vous protége et m'inspire. v.275 (Acte 3, scène 1, IR?NE)
Lorsque vous me voyez une étrille à la main, v.279 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Si vous riez, c'est de moi-même. v.280 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Je vous aimai dans la grandeur ; v.286 (Acte 3, scène 1, IRÈNE)
Je vous aime dans l'esclavage. v.287 (Acte 3, scène 1, IR?NE)
Vous, gardez cette porte ; et vous, vous m'attendrez v.301 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Déesse de mon coeur, c'est trop vous arrêter : v.310 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
J'y cours ; vous m'y verrez : mais que votre tendresse v.315 (Acte 3, scène 1, IRÈNE)
Je ne pense qu'à vous, quand je lui dis que j'aime ; v.319 (Acte 3, scène 1, IR?NE)
En buvant avec lui, je bois avec vous-même ; v.320 (Acte 3, scène 1, IR?NE)
En acceptant son coeur je vous donne le mien : v.321 (Acte 3, scène 1, IR?NE)
Gardez de vous méprendre, et laissez-vous conduire. v.328 (Acte 3, scène 2, LE BARON)

IRÈNE (1778)

Il sait vous respecter, et peut-être il vous aime. v.44 (Acte 1, scène 1, ZOÉ)
Vous cherchez à nourrir une injuste douleur. v.45 (Acte 1, scène 1, ZO?)
Que craignez-vous ? v.46 (Acte 1, scène 1, ZO?)
Sert l'empereur et vous sans vous inquiéter, v.49 (Acte 1, scène 1, ZOÉ)
Fidèle à ses serments jusqu'à vous éviter. v.50 (Acte 1, scène 1, ZO?)
Alexis, dites-vous ? v.103 (Acte 1, scène 2, IRÈNE)
Memnon sera fidèle au sang dont vous sortez. v.122 (Acte 1, scène 2, MEMNON)
Ne vous étonnez point quand sa sombre colère v.139 (Acte 1, scène 3, ZOÉ)
S'échappe en vous parlant, et peint son caractère. v.140 (Acte 1, scène 3, ZO?)
Sont les droits qui vers vous m'ont enfin rappelé. v.173 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Le suis-je encor par vous ? N'osez-vous reconnaître v.175 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Dans le sang dont je suis le sang qui vous fit naître ? v.176 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Prince, que dites-vous ? Dans quel temps, dans quels lieux, v.177 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
Par ce retour fatal étonnez-vous mes yeux ? v.178 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Vous connaissez trop bien quel joug m'a captivée, v.179 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Qui ne vous permet plus de vous montrer à moi. v.182 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Il vous aurait suffi d'éviter ma présence. v.184 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Vous n'avez pas prévu ce que vous hasardez. v.185 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Vous me faites frémir : seigneur, vous vous perdez. v.186 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Si je craignais pour vous je serais plus coupable ; v.187 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Quoi donc ! Suis-je à Byzance ? Est-ce vous que je vois ? v.189 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Est-ce un sultan jaloux qui vous tient sous ses lois ? v.190 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Êtes-vous dans la Grèce une esclave d'Asie, v.191 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Vous le savez assez, tout est changé pour moi. v.198 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
Il ne craindrait que vous ! Quoi ! Vos derniers sujets v.201 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Ne vous fut point transmis pour servir dans ses chaînes. v.212 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Et que j'ai défendu moins pour lui que pour vous. v.217 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Je le suis de vous seule, et jamais mon courage v.219 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Vous cachez des malheurs dont vos pleurs sont garants ; v.221 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Ah ! Vous me la deviez. v.227 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
Et c'est à vous de croire v.227 (Acte 1, scène 3, IRÈNE)
Je fais des voeux pour vous, et vous m'épouvantez. v.229 (Acte 1, scène 3, IR?NE)
Seigneur, César vous mande. v.230 (Acte 1, scène 5, GARDE)
Mais je tremble pour vous : un maître soupçonneux v.245 (Acte 1, scène 6, ZOÉ)
Vous condamne peut-être, et vous proscrit tous deux. v.246 (Acte 1, scène 6, ZO?)
Parmi tant de dangers que prétendez-vous faire ? v.247 (Acte 1, scène 6, ZO?)
Oui, vous êtes mandé ; mais César délibère. v.255 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Osait lever sur vous le glaive despotique, v.264 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Comptez sur vos amis : vous verrez devant eux v.265 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Nicéphore vous craint depuis qu'il vous offense. v.271 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Tout me criait : venez, montrez-vous à l'état. v.282 (Acte 2, scène 1, ALEXIS)
La honte ! Elle est pour vous de servir sous un v.291 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Il vous aime : au trône il vous appelle. v.300 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
J'enflamme cette ardeur ; et j'ose encor vous dire v.303 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Que je vous répondrais des coeurs de tout l'empire. v.304 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Paraissez seulement, mon prince, et vous ferez v.305 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Ils avaient moins que vous d'amis et de courage ; v.327 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Vous régnez aujourd'hui, seigneur, si vous l'osez. v.330 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Vient vous dicter ses lois dans ce lieu retiré. v.337 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
L'attendrez-vous encore ? v.338 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
A conçu contre vous quelques secrets desseins, v.341 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Je vous laisse avec lui. v.343 (Acte 2, scène 1, MEMNON)
Aux bords du Pont-Euxin vous m'avez bien servi ; v.345 (Acte 2, scène 2, NICÉPHORE)
D'un regard attentif ici l'on vous contemple : v.347 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
Vous donnez à ce peuple un dangereux exemple. v.348 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
Vous ne deviez paraître aux murs de Constantin v.349 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
Connaissent peu ces lois que vous voulez prescrire ; v.352 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
D'un corps auguste et saint, et par vous respecté. v.354 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
Soyez-le, croyez-moi ; mais puisqu'il vous rappelle, v.356 (Acte 2, scène 2, NICÉPHORE)
C'est moi qui vous renvoie aux bords du Pont-Euxin. v.357 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
Vous n'avez plus d'excuse : et si vers le Bosphore v.359 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
L'astre du jour qui luit vous revoyait encore, v.360 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
Vous n'êtes plus pour moi qu'un sujet révolté. v.361 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
Vous ne le serez pas avec impunité... v.362 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
Voilà ce que César a prétendu vous dire. v.363 (Acte 2, scène 2, NIC?PHORE)
Les grands de qui la voix vous a donné l'empire, v.364 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
Qui m'ont fait de l'état le premier après vous, v.365 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
Et vous-même avec eux vous me rendrez justice. v.368 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
Vous me laisserez vivre entre ces murs sacrés v.369 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
Vous ne m'ôterez point un droit inviolable v.371 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
Vous osez le prétendre ? v.373 (Acte 2, scène 2, NICÉPHORE)
Au sang qu'il a pour vous tant de fois répandu, v.378 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
N'obéirez-vous point ? v.385 (Acte 2, scène 2, NICÉPHORE)
Servez l'empire et moi, vous qui m'obéissez. v.386 (Acte 2, scène 2, NICÉPHORE)
Sous Memnon et sous moi vous avez combattu ; v.421 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
Où courez-vous ? Ô ciel ! v.425 (Acte 2, scène 4, IRÈNE)
Alexis ! Arrêtez : que faites-vous ? Cruel ! v.426 (Acte 2, scène 4, IR?NE)
Demeurez ; rendez-vous à mes soins légitimes ; v.427 (Acte 2, scène 4, IR?NE)
Prévenez votre perte ; épargnez-vous des crimes. v.428 (Acte 2, scène 4, IR?NE)
Ils vous cherchent tous deux dans ces périls v.437 (Acte 2, scène 4, IR?NE)
Je les écouterai quand vous serez vengée. v.440 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
Ne vous exposez point à ce peuple en furie. v.467 (Acte 2, scène 6, ZOÉ)
Mais ne vous perdez pas en voulant la sauver : v.470 (Acte 2, scène 6, ZO?)
Voulez-vous du remords ajouter les terreurs ? v.498 (Acte 3, scène 1, ZOÉ)
C'est pour vous qu'il revoit ces dangereux mortels v.501 (Acte 3, scène 1, ZO?)
Vous trouverez en lui les consolations v.505 (Acte 3, scène 1, ZO?)
Jetez-vous dans ses bras. v.507 (Acte 3, scène 1, ZO?)
Est-ce vous qu'en ces lieux mon désespoir contemple ? v.511 (Acte 3, scène 2, IRÈNE)
Quoi ! Vous quittez pour moi le séjour de la paix ! v.513 (Acte 3, scène 2, IR?NE)
Hélas ! Qu'avez-vous vu dans celui des forfaits ? v.514 (Acte 3, scène 2, IR?NE)
Je viens vous arracher de ces murs odieux. v.526 (Acte 3, scène 2, LÉONCE)
Si vous avez perdu dans ce combat funeste v.527 (Acte 3, scène 2, L?ONCE)
Un empire, un époux, que la vertu vous reste. v.528 (Acte 3, scène 2, L?ONCE)
Ne vous annonce pas ce grand événement ; v.546 (Acte 3, scène 3, MEMNON)
Des lauriers que ses mains n'ont cueillis que pour vous. v.550 (Acte 3, scène 3, MEMNON)
Dans ce séjour de sang vous ne pouvez plus vivre v.556 (Acte 3, scène 4, LÉONCE)
Sans vous rendre exécrable à la postérité. v.557 (Acte 3, scène 4, L?ONCE)
Je ne vous dirai point qu'il n'appartient qu'à vous v.561 (Acte 3, scène 4, L?ONCE)
Je ne vous parle point d'un père qui vous aime ; v.572 (Acte 3, scène 4, L?ONCE)
C'est vous que j'en veux croire ; écoutez votre coeur. v.573 (Acte 3, scène 4, L?ONCE)
J'y trouvai cette paix que vous cherchiez en vain ; v.585 (Acte 3, scène 4, LÉONCE)
Je vous y conduirai ; j'en connais le chemin : v.586 (Acte 3, scène 4, L?ONCE)
Par le dieu qui m'amène, et dont l'oeil vous éclaire, v.588 (Acte 3, scène 4, L?ONCE)
Que vous accomplirez dans ces tristes remparts v.589 (Acte 3, scène 4, L?ONCE)
Quand je dois l'oublier, pourquoi m'en parlez-vous ? v.594 (Acte 3, scène 4, IRÈNE)
Je sais que j'aurais dû vous demander pour grâce v.595 (Acte 3, scène 4, IR?NE)
Ces fers que vous m'offrez, et qu'il faut que j'embrasse. v.596 (Acte 3, scène 4, IR?NE)
Dans le port avec vous il faut tout oublier. v.598 (Acte 3, scène 4, IR?NE)
Je lui vais obéir, je vais vous satisfaire ; v.604 (Acte 3, scène 4, IR?NE)
Adieu : souvenez-vous de ce serment terrible. v.607 (Acte 3, scène 4, LÉONCE)
Les miens dans tous les temps vous sont assujettis. v.618 (Acte 3, scène 5, ZOÉ)
Souveraine de nom, vous serviez sous un maître ; v.623 (Acte 3, scène 5, ZO?)
Et quand vous êtes libre, et que vous devez l'être, v.624 (Acte 3, scène 5, ZO?)
Vous replonge à l'instant dans la captivité ! v.626 (Acte 3, scène 5, ZO?)
Le devoir, tout vous tient sous un joug tyrannique. v.628 (Acte 3, scène 5, ZO?)
Tout ce que je vous dois, un empire et mon coeur. v.646 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Il n'était rien sans vous : la justice céleste v.648 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Quel bonheur effroyable ! Ah, prince ! Oubliez-vous v.653 (Acte 3, scène 6, IRÈNE)
Que vous êtes couvert du sang de mon époux ? v.654 (Acte 3, scène 6, IR?NE)
Ce sang sauvait le vôtre, et vous m'en punissez ! v.673 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Grâce au seul nom d'époux, est pour vous respectable ! v.676 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Ses jours vous sont sacrés ! Et votre défenseur v.677 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Contre votre tyran quand j'osais vous défendre, v.679 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Je n'étais point ingrate : un jour vous apprendrez v.681 (Acte 3, scène 6, IRÈNE)
Vous plaindrez une femme en qui, dès son enfance, v.683 (Acte 3, scène 6, IR?NE)
Vous saurez qu'il en coûte alors qu'on sacrifie v.687 (Acte 3, scène 6, IR?NE)
Quoi ! Vous pleurez, Irène ! Et vous m'abandonnez ! v.689 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Vous vengez Nicéphore et me donnez la mort. v.698 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Le destin vous seconde ; il veut qu'une autre expire. v.700 (Acte 3, scène 6, IRÈNE)
Et vous daignez parler avec tant de bonté ! v.701 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Et vous vous obstinez à tant de cruauté ! v.702 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Serez-vous à vous-même à tout moment contraire ? v.704 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Un père, je le vois, vous contraint de me fuir : v.705 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
À quel autre auriez-vous promis de vous trahir ? v.706 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Vous n'avez point cherché cette affreuse victoire ; v.708 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Vous ne renoncez point au sang dont vous sortez, v.709 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Votre père vous trompe : une imprudente erreur, v.713 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
C'est un nouveau tyran dont la main vous opprime : v.715 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Il s'immola lui-même et vous fit sa victime. v.716 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Plus cruel envers vous que Nicéphore même, v.719 (Acte 3, scène 6, ALEXIS)
Madame, on vous attend : Léonce votre père, v.727 (Acte 3, scène 7, ZOÉ)
Sont prêts à vous conduire, hélas ! Selon vos voeux, v.729 (Acte 3, scène 7, ZO?)
Tout est prêt : je vous suis... v.731 (Acte 3, scène 7, IRÈNE)
Et moi, je vous devance ; v.731 (Acte 3, scène 7, ALEXIS)
Que voulez-vous de moi, dangereux Alexis ? v.745 (Acte 3, scène 8, IRÈNE)
Me forcez-vous au crime, et voulez-vous encore v.747 (Acte 3, scène 8, IR?NE)
Quoi ! Vous n'avez osé, timide et confondue, v.749 (Acte 4, scène 1, ZOÉ)
Ah ! Madame ! En secret auriez-vous pu sentir v.751 (Acte 4, scène 1, ZO?)
Vous replacer au trône, et vous donner sa main. v.772 (Acte 4, scène 1, ZOÉ)
Il ne souffrira point que vous osiez jamais v.775 (Acte 4, scène 1, ZO?)
Disposer de vous-même, et sortir du palais. v.776 (Acte 4, scène 1, ZO?)
Que vous êtes en proie à de tristes combats ! v.779 (Acte 4, scène 1, ZOÉ)
Vous fuyez votre amant. v.788 (Acte 4, scène 1, ZOÉ)
Je vous vois résister au feu qui vous dévore. v.789 (Acte 4, scène 1, ZOÉ)
Alexis ne veut vivre et régner que pour vous. v.791 (Acte 4, scène 1, ZOÉ)
Contre vous de sa foudre a-t-il voulu s'armer ? v.799 (Acte 4, scène 1, IRÈNE)
Ainsi, loin du palais où vous fûtes nourrie, v.801 (Acte 4, scène 1, ZOÉ)
Vous allez, belle Irène, enterrer votre vie ! v.802 (Acte 4, scène 1, ZO?)
Vous avez trop appris qu'elle est à dédaigner : v.819 (Acte 4, scène 2, LÉONCE)
C'est loin du trône enfin que vous allez régner. v.820 (Acte 4, scène 2, L?ONCE)
Je vous l'ai déjà dit, sans regret je le quitte. v.821 (Acte 4, scène 2, IRÈNE)
Je ne vous quitte pas. v.823 (Acte 4, scène 2, LÉONCE)
Écoutez votre maître à qui le sang vous lie, v.825 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Celui qui d'un tyran vous a tous délivrés, v.827 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Ce vainqueur malheureux que vous désespérez. v.828 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Contre moi vous seconde, et croit impunément v.831 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Je vous ai tous servis, vous, Irène et Byzance ; v.833 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Mon coeur vous est ouvert, et vous savez si j'aime. v.837 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Vous venez m'enlever la moitié de moi-même, v.838 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Vous qui, dès le berceau nous unissant tous deux, v.839 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Vous, par qui tant de fois elle me fut promise, v.841 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Vous me la ravissez lorsque je l'ai conquise, v.842 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Lorsque je l'ai sauvée, et vous, et tout l'état ! v.843 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Mortel trop vertueux, vous n'êtes qu'un ingrat. v.844 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Vous m'osez proposer que mon coeur s'en détache ! v.845 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Rendez-la-moi, cruel, ou que je vous l'arrache : v.846 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Embrassez un fils tendre, et né pour vous chérir, v.847 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Ou craignez un vengeur armé pour vous punir. v.848 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Je vous parle en son nom comme au nom de l'empire, v.858 (Acte 4, scène 3, LÉONCE)
Vous êtes aveuglé ; je dois vous découvrir v.859 (Acte 4, scène 3, L?ONCE)
Le crime et les dangers où vous voulez courir. v.860 (Acte 4, scène 3, L?ONCE)
Vous osez dédaigner les éternelles lois, v.868 (Acte 4, scène 3, L?ONCE)
Ce coeur que vous percez s'est attendri sur vous. v.872 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Ne verrez-vous dans moi qu'un ennemi coupable ? v.874 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Et regretterez-vous votre persécuteur v.875 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Aux superstitions qui vous servent de loi ; v.880 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Dans ce coeur malheureux qui veut vous révérer, v.883 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Vous disputez, Léonce, et moi je suis sensible. v.889 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Je le suis comme vous... le ciel est inflexible. v.890 (Acte 4, scène 3, LÉONCE)
Vous le faites parler : vous me forcez, cruel, v.891 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
La main qui vous sauva n'a plus qu'à se venger. v.895 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Je briserai l'autel défendu par vous-même, v.897 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Vous me verrez, ingrat, sur ces vastes ruines, v.902 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Je vous plains de régner. v.907 (Acte 4, scène 3, LÉONCE)
Retirez-vous ; fuyez. v.911 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Non, vous n'attendrez point : décidez tout à l'heure v.913 (Acte 4, scène 3, ALEXIS)
Voilà mon sang, vous dis-je, et je l'offre à vos coups. v.915 (Acte 4, scène 3, LÉONCE)
Respectez mon devoir ; il est plus fort que vous. v.916 (Acte 4, scène 3, L?ONCE)
Eh bien ! Zoé, que venez-vous m'apprendre ? v.933 (Acte 4, scène 5, ALEXIS)
Dans son appartement gardez-vous de vous rendre. v.934 (Acte 4, scène 5, ZOÉ)
On ne verrait en vous qu'un tyran furieux, v.943 (Acte 4, scène 5, ZO?)
De la religion vous braviez les ministres. v.946 (Acte 4, scène 5, ZO?)
L'impératrice en pleurs vous conjure à genoux v.947 (Acte 4, scène 5, ZO?)
César, y pensez-vous ? Ce vieillard intraitable, v.973 (Acte 4, scène 6, MEMNON)
Eh ! Ne craignez-vous point, par cette violence, v.977 (Acte 4, scène 6, MEMNON)
Non ; j'y suis résolu... je vous dois ma grandeur, v.979 (Acte 4, scène 6, ALEXIS)
Je vous l'ai dit : Irène, en sa juste colère, v.987 (Acte 5, scène 1, MEMNON)
Vous vous trompiez, César ; j'ai prévu vos alarmes ; v.999 (Acte 5, scène 1, MEMNON)
Vous avez contre vous tourné vos propres armes. v.1000 (Acte 5, scène 1, MEMNON)
C'en est fait ; je vous plains. v.1001 (Acte 5, scène 1, MEMNON)
C'était avec regret ; mais je vous ai servi : v.1002 (Acte 5, scène 1, MEMNON)
Mais, après cette injure, auriez-vous espéré v.1005 (Acte 5, scène 1, MEMNON)
De ramener à vous un esprit ulcéré ? v.1006 (Acte 5, scène 1, MEMNON)
Venez, venez, Zoé, vous que chérit Irène ; v.1015 (Acte 5, scène 2, ALEXIS)
Vous connaissez l'autel qu'éleva dans ces lieux v.1025 (Acte 5, scène 2, ALEXIS)
Mais depuis que Léonce ici vous a parlé, v.1037 (Acte 5, scène 2, ZOÉ)
De Léonce et de vous tout entière occupée, v.1044 (Acte 5, scène 2, ZO?)
Hélas ! Elle vous aime, et sans doute me craint. v.1049 (Acte 5, scène 2, ALEXIS)
Si vous pouvez beaucoup sur ce coeur noble et tendre, v.1051 (Acte 5, scène 2, ALEXIS)
Elle avance vers vous, mais sans vous regarder ; v.1061 (Acte 5, scène 2, ZOÉ)
Irène, est-ce bien vous ? Quoi ! Loin de me répondre, v.1063 (Acte 5, scène 2, ALEXIS)
D'un pareil entretien vous pénétrez la cause, v.1068 (Acte 5, scène 3, IRÈNE)
Et l'on saura bientôt si j'ai dû vous parler : v.1069 (Acte 5, scène 3, IR?NE)
D'un reproche assez grand je puis vous accabler ; v.1070 (Acte 5, scène 3, IR?NE)
Teint du sang d'un époux vous m'enlevez un père ; v.1072 (Acte 5, scène 3, IR?NE)
Vous cherchez contre vous encore à soulever v.1073 (Acte 5, scène 3, IR?NE)
Cet empire et ce ciel que vous osez braver. v.1074 (Acte 5, scène 3, IR?NE)
Et je ne viens à vous que pour vous retirer v.1077 (Acte 5, scène 3, IR?NE)
Du fond de cet abîme où je vous vois entrer. v.1078 (Acte 5, scène 3, IR?NE)
Sur mon sort avec vous que sa bouche prononce : v.1088 (Acte 5, scène 3, IR?NE)
À vous faire oublier cette affreuse journée : v.1096 (Acte 5, scène 3, ALEXIS)
Si trop de sang pour vous fut versé dans la Thrace, v.1099 (Acte 5, scène 3, ALEXIS)
Vous régnerez tous deux : ma tendresse n'aspire v.1103 (Acte 5, scène 3, ALEXIS)
Et le ciel qui m'entend, et vous, et mon amour. v.1106 (Acte 5, scène 3, ALEXIS)
Le ciel vous l'arracha ; pour vous elle était née. v.1109 (Acte 5, scène 3, ALEXIS)
Vous rendez sa raison, vous calmez ses esprits... v.1138 (Acte 5, scène 4, IRÈNE)
Je ne vous entends plus, si je vois Alexis ! ... v.1139 (Acte 5, scène 4, IR?NE)
Je vous ramène un père, et je me suis flatté v.1154 (Acte 5, scène 5, ALEXIS)
Souvenez-vous de moi... plaignez tous deux mon sort... v.1162 (Acte 5, scène 5, IRÈNE)

L'HÃ”TE ET L'HÃ”TESSE (1801)

Messieurs, peut-on, sans manquer an respect qu'on vous doit, vous demander qui vous êtes ? (Acte 1, scène 2, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
Mettez-vous là, Monsieur et Madame. (Acte 1, scène 2, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
Messieurs les Tartares, pourquoi êtes-vous armés ? (Acte 1, scène 2, LE MA?TRE D'H?TEL)
Venez-vous enlever notre voyageuse ? (Acte 1, scène 2, LE MA?TRE D'H?TEL)
Nous la défendrions contre toute la Tartarie, entendez-vous ? (Acte 1, scène 2, LE MA?TRE D'H?TEL)
J'entends ; vous le voudriez bien, mais vous ne l'osez pas. (Acte 1, scène 2, LE MAÎTRE-D'HÔTEL)

LE COMTE DE BOURSOUFLE (1766)

Monsieur, si vous aviez eu les soixante mille livres de rente, vous les auriez déjà mangées, et vous n'auriez plus de ressources ; mais monsieur le comte de Boursoufle aura pitié de vous ; il vient ici pour épouser la fille du Baron, qui aura cinq cent mille francs de biens : vous aurez un petit présent de noces. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Je ne connais pas Monsieur le Comte ; mais il me semble que je viens de voir arriver ici monsieur Maraudin, votre ami et le sien, et celui du baron, et celui de tout le monde ; cet homme qui noue plus d'intrigues qu'il n'en peut débrouiller, qui fait des mariages et des divorces, qui prête, qui emprunte, qui donne, qui vole, qui fournit des maîtresses aux jeunes gens, des amants aux jeunes femmes, qui se rend redouté et nécessaire dans toutes les maisons, qui fait tout, qui est partout : il n'est pas encore pendu, profitez du temps, parlez-lui; cet homme-là vous tirera d'affaire. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Un fripon aime à la fin l'intrigue pour l'intrigue même ; il est actif, vigilant ; il rend service vivement avec un très mauvais coeur ; tandis que les honnêtes gens, qui ont le meilleur coeur du monde, vous plaignent avec indolence, vous laissent dans la misère, et vous ferment la porte au nez. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Voilà monsieur Maraudin qui n'a pas tant de probité peut-être, mais qui pourra vous être utile. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Bonjour, mon très agréable chevalier, embrassez-moi, mon très cher ; par quel heureux hasard vous rencontré-je ici ? (Acte 1, scène , MARAUDIN)
Voilà de très mauvaises raisons ; allez, allez, consolez- vous , Dieu a soin des cadets ; il faudra bien que votre frère jette sur vous quelques regards de compassion. (Acte 1, scène , MARAUDIN)
C'est moi qui le marie, et je veux qu'il y ait un pot de vin pour vous dans ce marché. (Acte 1, scène , MARAUDIN)
Je crois que Mademoiselle de La Cochonnière vous aurait épousé tout aussi volontiers que monsieur le comte. (Acte 1, scène , MARAUDIN)
La baronne est morte de l'ennui de vivre avec le baron ; et la fille, à qui tout ce bien-là appartient, ne peut être mariée par son vilain père qu'à un homme excessivement riche ; jugez s'il vous l'aurait donnée à vous qui venez de manger votre légitime. (Acte 1, scène , MARAUDIN)
J'en demande pardon à Monsieur son frère ; mais Monsieur le comte est presque aussi avare que fat ; vous n'êtes ni l'un ni l'autre, et si vous aviez son bien, vous feriez... (Acte 1, scène , MARAUDIN)
C'est selon que monsieur vous traitera. (Acte 1, scène , MARAUDIN)
Mon frère, je suis ravi de vous... (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Monsieur, vous allez trouver en ce pays... (Acte 1, scène 3, MARAUDIN)
Mon frère, je vous trouve très bien, et je me flatte... (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Je vous ai déjà dit mille fois que mes perruques ne fuient point assez en arrière ; vous avez la fureur d'enfoncer mon visage dans une épaisseur de cheveux qui me rend ridicule, sur mon honneur. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Vous voilà, Chonchon. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Monsieur Maraudin, comment trouvez-vous mon habit de noces ? (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Pourquoi vous adressez-vous à lui, à sa personne ? (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
Que ne parlez-vous à sa perruque, à sa broderie, à son équipage? (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
Page, levez un peu ce miroir, haut, plus haut ; vous êtes fort maladroit, page, foi de seigneur. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Mais, mon frère, voudrez-vous bien enfin... (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Je vous ai mandé il y a un an qu'il était mort. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Vous venez pour être de la noce, monsieur Chonchon ; cela n'est pas maladroit. (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Pourrai-je, pendant ce temps-là, avoir l'honneur de vous dire un petit mot ? (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Mon frère, j'ai d'abord à vous dire... (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Réellement, Chonchon, croyez-vous que cet habit me siée assez bien ? (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
J'ai donc à vous dire, mon frère, que je n'ai presque, rien eu en partage, que je suis prêt à vous abandonner tout ce qui peut me revenir de mon bien, si vous avez la générosité de me donner dix mille francs une fois payés. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Vous y gagneriez encore, et vous me tireriez d'un bien cruel embarras ; je vous aurais la plus sensible obligation. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Chonchon, vous voyez bien que je n'ai pas le temps de parler d'affaires. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
vous n'opposez à des prières dont je rougis, que cette indifférence insultante dontvousm'accablez? (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Mais, Chonchon, mais en vérité, vous n'y pensez pas. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Vous ne savez pas combien un seigneur a de peine à vivre à Paris, combien coûte un berlingot, cela est incroyable ; foi de seigneur, on ne peut pas voir le bout de l'année. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Vous m'abandonnez donc ? (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Vous avez voulu vivre comme moi ; cela ne vous allait pas, il est bon que vous pâtissiez un peu. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Vous me mettez au désespoir ; et vous vous repentirez d'avoir si peu écouté la nature. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
La nature vous avait donné une honnête légitime, et elle ne m'ordonne pas d'être un sot, parce que vous avez été dissipateur. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Vous me poussez à bout. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Puisque la nature se tait dans vous, elle se taira en moi, et j'aurai du moins le plaisir de vous dire que vous êtes le plus grand fat de la terre, le plus indigne de votre fortune, le coeur le plus dur, le plus... (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Mon_Dieu, vous êtes loin d'avoir les airs de la cour. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Eh bien, Monsieur, avez-vous gagné quelque chose sur l'âme de ce courtisan poli ? (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
Et à quoi, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
Cela peut servir à vous ôter les scrupules que vous auriez de lui faire du mal, et c'est déjà un très grand bien. (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
N'est-il pas vrai que si vous lui aviez obligation, et si vous l'aimiez tendrement, vous ne pourriez jamais vous résoudre à épouser mademoiselle de La Cochonnière au lieu de lui ? (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Mais à présent que vous voilà débarrassé du poids de la reconnaissance et des liens de l'amitié, vous êtes libre, et je veux vous aider à vous venger en vous rendant heureux. (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Monsieur le baron n'a jamais vu votre frère aîné ; je puis vous annoncer sous son nom, puisque en effet votre nom est le sien ; vous ne mentirez point ; et il est bien doux de pouvoir tromper quelqu'un sans être réduit au chagrin de mentir : il faut que l'honneur conduise toutes nos actions. (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Je vous aime au moins une fois plus que lui : faites-moi un billet de vingt mille francs, et je vous fais épouser la fille du baron. (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
L'honneur me poignarde, voyez-vous. (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Un homme enfin dont vous ne tirerez jamais rien, qui dépense cinquante mille francs en chiens et en chevaux, et qui laisserait périr son frère de misère. (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Et vous vous feriez scrupule de supplanter un pareil homme ! (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Et vous ne goûteriez pas une joie parfaite en lui escroquant légitimement les cinq cent mille livres qu'il croit déjà tenir, mais qu'il mérite si peu ! (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Et vous ne ririez pas de tout votre coeur en tenant ce soir entre vos bras la fille du Baron, et vous balanceriez à me faire (pour l'honneur) un billet de vingt mille francs par corps à prendre sur les plus clairs deniers de mademoiselle de La Cochonnière ! (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Allez, vous êtes indigne d'être riche, si vous manquez l'occasion de l'être. (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Vous avez raison ; mais je sens là quelque chose qui me répugne : étrange chose que le coeur humain ! (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
C'est que vous étiez en colère quand vous vouliez vous battre, et que vous êtes plus brave qu'habile. (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
Allez, allez, monsieur, laissez-vous conduire par monsieur Maraudin ; il en sait plus que vous ; mettez votre conscience entre ses mains ; j'en réponds sur la mienne ; j'y suis intéressé ; j'ai besoin que vous soyez riche. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
Allons, êtes-vous fou ? (Acte 1, scène 5, MARAUDIN)
C'est vous, mon bravemonsieur de Maraudin ; pardon, il faut être un peu sur ses gardes quand on a une jeune fille dans sou château ; il y a tant, de gens dans le monde qui enlèvent les filles ! (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Cela est vrai, et je viens aussi pour enlever mademoiselle Thérèse, et je vous amène un gendre. (Acte 2, scène 2, MARAUDIN)
Pensez-vous que j'irai donner à Mademoiselle Thérèse un petit mari, haut comme ma jambe, comme on en voit tant à la cour ? (Acte 2, scène 2, MARAUDIN)
Ne vous attendez pas à lui voir de ces parures frivoles, de ces étoffes superbes, de ces bijoux à la mode. (Acte 2, scène 2, MARAUDIN)
Un buffle, corbleu, un buffle ; voilà ce qu'il faut en temps de guerre ; mon gendre me charme par le récit que vous m'en faites. (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Oui, un buffle ; il en trouvera ici ; il sera plus content de vous encore que vous de lui. (Acte 2, scène 2, MARAUDIN)
Parbleu, vous avez la physionomie d'un honnête homme. (Acte 2, scène 3, LE BARON)
En vérité, Monsieur, vous me faites rougir, et je suis confus de paraître devant vous ; mais monsieur Maraudin qui sait l'état de mes affaires vous aura dit... (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
Oui, oui, j'ai dit tout ce qu'il fallait dire ; vous aurez un digne beau-père et une digne femme. (Acte 2, scène 3, MARAUDIN)
Réjouissez- vous, madame Barbe, voici un mari pour Thérèse. (Acte 2, scène 3, MARAUDIN)
La, la, apaisez-vous, je n'ai pas de si méchantes nouvelles à vous apprendre, et on ne voulait pas vous traiter en petite fille ; on voulait vous parler d'un mari ; mais puisque vous êtes toujours bourrue... (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Aga, avec votre mari ; ces contes bleus-là me fatiguent les oreilles, entendez-vous, madame Barbe? (Acte 2, scène 4, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Il y a deux ans qu'on se moque de moi, mais je sais bien ce que je ferai, je me marierai bien sans vous, tous tant que vous êtes ; on n'est pas une sotte, quoiqu'on soit élevée loin de Paris, et Jacqueline-Thérèse de La Cochonnière ne sera pas toujours en prison ; c'est moi qui vous le dis, madame Barbe. (Acte 2, scène 4, MADEMOISELLE TH?R?SE)
Tudieu, comme vous y allez! (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Eh bien, puisque je suis si mal reçue, adieu donc ; vous dira qui voudra les nouvelles du logis. (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Cela est bien dénaturé de traiter ainsi madame Barbe qui vous a élevée. (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Rien ; je suis une duègne, je suis une importune ; vous ne saurez rien. (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Allez, ne pleurez point, Monsieur le Comte de Boursoufle est arrivé, et vous allez être Madame la Comtesse. (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Contenez-vous donc un peu ; tenez, voilà votre mari qui vient ; voyez s'il n'est pas beau et bien fait. (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Non vraiment, gardez-vous-en bien ; il faut au contraire se tenir sur la réserve. (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Il vous mépriserait si vous lui témoigniez trop d'affection. (Acte 2, scène 4, MADAME BARBE)
Je suis votre très humble servante ; je suis enchantée de vous voir ; comment vous portez-vous? (Acte 2, scène 5, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Vous venez pour m'épouser, vous me comblez de joie. (Acte 2, scène 5, MADEMOISELLE TH?R?SE)
Madame, je faisais mon plus cher désir de l'accueil gracieux dont vous m'honorez ; mais je n'osais en faire mon espérance. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Préféré par monsieur votre père, je ne me tiens point heureux si je ne le suis par vous ; c'est de vous seule que je voulais vous obtenir ; vos premiers regards font de moi un amant, et c'est un titre que je veux conserver toute ma vie. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Dès que vous le souhaiterez, Madame. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Si vous avez envie d'aller au plus tôt briller à la cour, mademoiselle, daignez donc hâter le moment de mon bonheur. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Monsieur votre père veut retarder le mariage de quelques jours ; je vous avoue que ce retardement me mettrait au désespoir. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Je sais que vous avez des amants jaloux de ma félicité, qui songent à vous enlever, et qui voudraient vous enfermer à la campagne pour votre vie. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Le plus sûr moyen de leur dérober la possession de vos charmes est de vous donner à moi par un prompt hyménée qui vous mettra en liberté, et moi au comble du bonheur ; il faudrait m'épouser plus tôt que plus tard, (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Vous épouser ! (Acte 2, scène 5, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Qu'à cela ne tienne, dans le moment, dans l'instant, je ne demande pas mieux, je vous jure ; et je voudrais déjà que cela fût fait. (Acte 2, scène 5, MADEMOISELLE TH?R?SE)
Vous ne vous sentez donc pas de répugnance pour un époux qui vous adore. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Au contraire, je vous aime de tout mon coeur ; Madame Barbe prétend que je ne devais vous en rien dire ; mais c'est une radoteuse, et je ne vois pas, moi, quel grand mal il y a à vous dire que je vous aime, puisque vous êtes mon mari, et que vous m'aimez. (Acte 2, scène 5, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Papa, quand nous marierez-vous ? (Acte 2, scène 6, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Mademoiselle votre fille, Monsieur, daigne recevoir les empressements de mon coeur avec une bonté que vous autorisez. (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
Qu'est-ce que vous dites là ? (Acte 2, scène 6, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Je vous le répète, monsieur, il y a des gens en campagne pour enlever ce trésor, et si vous n'y prenez garde, mademoiselle de La Cochonnière est perdue aujourd'hui pour vous et pour son mari. (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
Ce parti est très raisonnable, et l'on ne peut rien de plus juste ; mais si vous commenciez par prendre la précaution de marier tout d'un coup les deux futurs, cela préviendrait merveilleusement tous les méchants desseins. (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
Les ravisseurs auront beau venir après cela, Mademoiselle Thérèse leur dira : Messieurs, vous êtes venus trop tard, la place est prise. (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
Oui ; mais s'ils me disent : ça ne fait rien, quand vous seriez mariée cent fois davantage, mademoiselle Thérèse, nous vous aimons, vous êtes belle, et il faut que nous vous enlevions. (Acte 2, scène 6, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Ne voyez-vous rien à travers ces arbres ? (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
N'entendez-vous rien ? (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
Vous avez un père homme de courage, et votre mari aura l'honneur de le seconder. (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
Colin, Martinet, Jérôme, tirez vos arquebuses par les meurtrières sur les gens qui voudront entrer malgré vous. (Acte 2, scène 6, LE BARON)
En vérité, monsieur le baron, c'est dommage que vous ne commandiez pas dans quelque place frontière, et que vous n'ayez pas été gouverneur de Philipsbourg. (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
Rentrez donc, et gardez-vous de vous montrer. (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
Que lui voulez-vous, monsieur l'aventurier? (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Vous devriez un peu vous douter qui je suis. (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Écoutez, bon homme, je viens ici avec une lettre de Monsieur Maraudin, et mon dessein était d'épouser Mademoiselle de La Cochonnière ; mais tant que vous me tiendrez à la porte, il n'y a pas d'apparence que nous puissions conclure cette affaire. (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Vous veniez pour épouser ma fille : fort bien. (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Comment vous nommez - vous, s'il vous plaît ? (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Vous faites le mauvais plaisant, Baron. (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Non, non, je voudrais savoir comment vous vous nommez. (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Vous me liez trop fort ; vous allez gâter toute ma broderie. (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Baron, vous me paraissez un fou un peu violent : n'avez-vous jamais de bons intervalles ? (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Pour peu qu'il vous reste un grain de raison, ne sauriez-vous me dire comment la tête vous a tourné, et pourquoi vous faites ainsi garrotter le comte votre gendre ? (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Me tiendrez-vous long-temps dans cette posture? (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Expliquez- vous, s'il vous plaît ; n'attendiez-vous pas le comte de Boursoufle? (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Ne m'insultez donc point, s'il vous plaît ; je vous ai déjà dit que j'ai l'honneur d'être ce comte de Boursoufle, et que j'ai la lettre du sieur Maraudin dans ma poche ; fouillez plutôt. (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Vous me dites des choses incroyables, sur mon honneur. (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
Monsieur le Comte, Monsieur Maraudin, venez, venez, montrez à ce coquin qui vous êtes. (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Ma belle demoiselle, vous me paraissez naïve. (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Pourrait-on savoir de vous ce que veut dire toute cette incartade? (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Est-ce ainsi que vous recevez tous les gens qui viennent pour avoir l'honneur de vous donner la main? (Acte 2, scène 8, LE COMTE)
Merci de mon honneur : que faites-vous là, Thérèse ? (Acte 2, scène 9, LE BARON)
Vous osez parler à ce fripon ! (Acte 2, scène 9, LE BARON)
Dénichez, ou vous ne serez mariée de dix ans. (Acte 2, scène 9, LE BARON)
Je suis madame la comtesse, afin que vous le sachiez. (Acte 3, scène 1, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Ne partez vous pas tout à l'heure pour Paris, monsieur le comte? (Acte 3, scène 1, MADEMOISELLE TH?R?SE)
Plût au ciel, madame, que je pusse vous y conduire tout à l'heure, et que monsieur votre père daignât le permettre ! (Acte 3, scène 1, LE CHEVALIER)
Vous voudriez quitter sitôt un si brave homme de père ! (Acte 3, scène 1, MARAUDIN)
Brave homme, tant qu'il vous plaira : j'aime bien papa, mais il m'ennuie à crever, et je veux partir. (Acte 3, scène 1, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Vous me voyez fort embarrassé. (Acte 3, scène 2, LE BARON)
En voici une qu'il prétend que vous lui avez donnée pour moi. (Acte 3, scène 2, LE BARON)
Ne voyez-vous pas qu'il est le chef d'une troupe de voleurs ? (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Oui, vous avez raison, il sera pendu ; c'est sans difficulté ; je me suis d'abord aperçu que Ce n'était point un homme de qualité, car il n'avait rien de mon air et de mes façons. (Acte 3, scène 2, LE BARON)
Je suis bien aise de confronter ce scélérat devant vous ; j'ai donné ordre qu'on nous l'amène, pour être jugé selon les lois du royaume par monsieur le bailli que j'attends. (Acte 3, scène 2, LE BARON)
Vous voulez absolument que je parle à cet homme-là. (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Vous avez raison, Monsieur le Comte ; qu'avons nous à dire à cet animal-là ? (Acte 3, scène 2, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Ma foi, je ne me soucie pas trop non plus de lui parler, et vous permettrez... (Acte 3, scène 2, MARAUDIN)
Monsieur Maraudin, tout ceci est un peu singulier ; foi de seigneur, vous êtes un fripon. (Acte 3, scène 3, LE COMTE)
Je vous avais bien dit qu'il connaît tout le monde ; je me souviens même de l'avoir vu quelque part. (Acte 3, scène 3, MARAUDIN)
Est-ce vous qui me jouez ce tour ? (Acte 3, scène 3, LE COMTE)
Monsieur le Comte, avec quelle insolence il vous parle ! (Acte 3, scène 3, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Monsieur, je vous l'ai déjà dit, je ne veux pas me commettre avec cet homme-là, il me fait rougir. (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
Cela est difficile ; vous m'avez traité indignement, et je vous ai fait du mal. (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
Que me voulez-vous ? (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
Il n'est plus temps, vous m'avez appris à entendre mes intérêts ; il n'y a pas d'apparence que je vous cède une fille de cinq cent mille francs pour une légitime de vingt mille. (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
Point, car j'ai eu quelque scrupule en épousant Thérèse, et vous n'en aviez point eu en me faisant mourir de faim. (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
Je prendrai la dot, et je vous laisserai la femme. (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
Oui, je suis venu en toute diligence, et je ne puis trop vous remercier de l'heureuse occasion que vous me donnez de faire pendre quelqu'un ; je n'ai point encore eu cet honneur depuis que je suis en charge ; je vous devrai toute ma réputation. (Acte 3, scène 5, LE BAILLI)
Vous êtes plus heureux que vous ne pensez ; notre homme a des complices, et vous avez sept ou huit personnes pour le moins à qui il faudra donner la question. (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Par quelle aventure étrange vous vois-je traité de la sorte ? (Acte 3, scène 5, LE BAILLI)
Monsieur le comte, je me jette à vos genoux : j'ai été trompé par ce scélérat de Maraudin et par cet autre coquin-ci ; mais je vais les faire brûler tout à l'heure pour vous satisfaire. (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Monsieur le bailli, vous voyez que vous n'y perdrez rien ; voilà toujours un criminel à expédier. (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Saisissez-vous de celui-ci, qui a pris insolemment le nom d'un autre pour ravir ma fille. (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Vieux fou de baron, écoutez ; j'ai l'honneur, comme je vous l'ai dit, d'être ce comte de Boursoufle avec soixante mille livres de rente. (Acte 3, scène 5, LE COMTE)
Tout ça ne fait rien, papa ; j'épouserai encore Monsieur le comte ; vous n'avez qu'à dire. (Acte 3, scène 5, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Mademoiselle, je vous supplie de vous souvenir... (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
J'ai tout oublié ; vous êtes un cadet qui n'avez rien, et je serai grande dame avec Monsieur le Comte. (Acte 3, scène 5, MADEMOISELLE THÉRÈSE)
Il est vrai, Monsieur le Baron, que je ne suis pas riche ; mais je vous promets de faire une grande fortune à la guerre. (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
Et vous, Madame, je me flatte que vous me pardonnerez la petite supercherie que monsieur Maraudin vous a faite, et qui me vaut l'honneur de vous posséder. (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
Voyez-vous deux quel est celui dont je suis la femme. (Acte 3, scène 5, MADEMOISELLE THÉRÈSE)

LA MORT DE CÉSAR (1736)

J'ai vaincu ce dernier, et c'est assez vous dire v.185 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Romains, vous m'entendez, vous savez mon espoir, v.195 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Ainsi vous voulez donc dans vos témérités, v.227 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Vous qui m'appartenez par le droit de l'épée, v.229 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Vous qui ne respirez, qu'autant que mon courroux v.231 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Retenu trop longtemps s'est arrêté sur vous : v.232 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Vous qui devant Sylla garderiez le silence ; v.234 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Vous que ma bonté seule invite à m'outrager, v.235 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Voilà ce qui vous donne une âme assez hardie, v.237 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Si vous n'avez su vaincre, apprenez à servir. v.243 (Acte 1, scène 3, CESAR)
Écoute... et vous, sortez. v.251 (Acte 1, scène 3, CESAR)
A lui parler du moins vous pourriez consentir. v.319 (Acte 2, scène 1, ANTOINE)
Vous ne connaissez pas qui vous osez haïr, v.320 (Acte 2, scène 1, ANTOINE)
Et vous en frémiriez, si vous pouviez apprendre... v.321 (Acte 2, scène 1, ANTOINE)
Ah ! J'en frémis déjà, mais c'est de vous entendre. v.322 (Acte 2, scène 1, BRUTUS)
Ennemi des Romains que vous avez vendus, v.323 (Acte 2, scène 1, BRUTUS)
Pensez-vous ou tromper, ou corrompre Brutus ? v.324 (Acte 2, scène 1, BRUTUS)
Allez ramper sans moi, sous la main qui vous brave ; v.325 (Acte 2, scène 1, BRUTUS)
Je sais tous vos desseins, vous brûlez d'être esclave ; v.326 (Acte 2, scène 1, BRUTUS)
Vous voulez un monarque, et vous êtes Romain ! v.327 (Acte 2, scène 1, BRUTUS)
Vous que j'ai vus périr, vous, immortels courages, v.341 (Acte 2, scène 2, BRUTUS)
Vous ranimez en moi ces vives étincelles v.345 (Acte 2, scène 2, BRUTUS)
Vous vivez dans Brutus, vous mettez dans mon sein, v.347 (Acte 2, scène 2, BRUTUS)
Je périrai, Romains, ou vous serez sans maître. v.358 (Acte 2, scène 2, BRUTUS)
Il est temps de vous suivre, et d'imiter Caton. v.436 (Acte 2, scène 4, CASSIUS)
Toi, Cimber, toi, Cinna ; vous, Romains indomptés, v.463 (Acte 2, scène 4, CASSIUS)
Avez-vous une autre âme, et d'autres volontés ? v.464 (Acte 2, scène 4, CASSIUS)
Non, ce n'est qu'avec vous que je veux partager v.483 (Acte 2, scène 4, BRUTUS)
Nous le jurons par vous, Héros, dont les images v.521 (Acte 2, scène 4, BRUTUS)
Où suis-je ? Qu'ai-je lu ? Me trompez-vous mes yeux ? v.563 (Acte 2, scène 5, BRUTUS)
Vous tremblerez, ingrats, au bruit de mes vengeances. v.602 (Acte 2, scène 5, CESAR)
L'honneur en est à vous, Cimber, Casca, Probus, v.611 (Acte 3, scène 1, CASSIUS)
Il se confie à vous. v.631 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Un malheur, un secret, qui vous fera trembler. v.632 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Je dois sa mort à Rome, à vous, à vos neveux, v.636 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Vous, Amis, qui voyez le destin qui m'accable, v.646 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Est-il quelqu'un de vous d'un esprit assez fort, v.648 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Je m'en remets à vous. Quoi ! Vous baissez les yeux ! v.651 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Et vous, braves amis, parlez, que pensez-vous ? v.699 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Je ne vous cèle rien : ce coeur s'est ébranlé ; v.707 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Après l'affreux serment que vous m'avez vu faire, v.709 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Ont souhaité la mort que vous lui préparez. v.716 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Je vous dirai bien plus, sachez que je l'estime : v.717 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Ne vous alarmez point : ce nom que je déteste, v.721 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
Le sénat, Rome, et vous, vous avez tous ma foi : v.723 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
J'en frissonne à vos yeux, mais je vous suis fidèle. v.726 (Acte 3, scène 2, BRUTUS)
De la Terre et de vous méritait mieux l'hommage ? v.870 (Acte 3, scène 6, DOLABELLA)
Peuples, imitez-moi : vous n'avez plus de maître. v.878 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Vous trahissez, Romains, le sang de ce grand homme ! v.881 (Acte 3, scène 7, DOLABELLA)
Il vous asservit tous, son sang est répandu. v.883 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Est-il quelqu'un de vous de si peu de vertu, v.884 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Mais vous n'applaudissez, vous aimez tous la gloire. v.889 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Je sais que devant vous Antoine va paraître ; v.893 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Amis, souvenez-vous que César fut son maître ; v.894 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Il vous méprise assez pour penser vous séduire. v.898 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Vous rentrez dans vos droits indignement perdus, v.903 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
César vous les ravit, je vous les ai rendus : v.904 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Vous, Romains, seulement consentez d'être heureux : v.911 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Ne vous trahissez pas, c'est tout ce que je veux ; v.912 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
S'il vous accuse, que lui-même il périsse. v.914 (Acte 3, scène 7, ROMAINS)
Souvenez-vous, Romains, de ces serments sacrés. v.915 (Acte 3, scène 7, CASSIUS)
Hélas ! Vous avez tous pensé comme moi-même. v.921 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Qui de vous en effet n'eût expiré pour lui ? v.924 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Contre ses meurtriers, je n'ai rien à vous dire, v.933 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
De son pouvoir sur vous appesanti le faix ? v.940 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Tout le prix de son sang fut prodigué pour vous. v.944 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Du monde qu'il soumit, vous triomphez en paix v.947 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Vous le savez, Grands Dieux ! Vous dont il fut l'image ; v.950 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Vous, Dieux, qui lui laissiez le monde à gouverner, v.951 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Vous savez, si son coeur aimait à pardonner ! v.952 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Oui, Brutus est son fils, mais vous qui m'écoutez, v.963 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Vous étiez ses enfants dans son coeur adoptés. v.964 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Hélas ! Si vous saviez sa volonté dernière ! v.965 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Ses trésors sont vos biens ; vous en allez jouir ; v.967 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Au delà du tombeau César veut vous servir. v.968 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
C'est vous seuls qu'il aimait, c'est pour vous qu'en Asie v.969 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Romains priverez-vous des honneurs du bûcher v.979 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Ce père, cet ami, qui vous était si cher ? v.980 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Du plus grand des Romains voilà ce qui vous reste : v.982 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Voilà ce dieu vengeur idolâtré par vous, v.983 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Amis, en cet état connaissez-vous César ? v.988 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Vous les voyez, Romains, vous touchez ces blessures, v.989 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)
Entendez-vous sa voix ? Réveillez-vous, Romains, v.1003 (Acte 3, scène 8, ANTOINE)

CHARLOT OU LA COMTESSE DE GIVRY. (1767)

Mais cela devrait vous dérider. v.7 (Acte 1, scène 1, BABET)
Je ne vous vis jamais que pleurer ou bouder. v.8 (Acte 1, scène 1, BABET)
Il assiégeait, vous dis-je... une ville en Champagne... v.18 (Acte 1, scène 1, L'INTENDANT)
Et s'il en avait plus, vous auriez davantage. » v.35 (Acte 1, scène 1, L'INTENDANT)
Vous me faites pleurer. v.40 (Acte 1, scène 1, LE COURRIER)
« Pardonnez, dit le roi, ne vous étonnez pas ; v.45 (Acte 1, scène 1, L'INTENDANT)
Qu'en dites-vous, nourrice ! v.48 (Acte 1, scène 1, L'INTENDANT)
Vous faire, en l'attendant, trente contes de lui. v.50 (Acte 1, scène 1, L'INTENDANT)
Je le suis plus que vous. v.63 (Acte 1, scène 1, MADAME AUBONNE)
Ils vous écrèment tout, et jamais n'aiment rien. v.101 (Acte 1, scène 2, GUILLOT)
Çà, je vous disais donc qu'auprès d'une abbaye v.115 (Acte 1, scène 2, L'INTENDANT)
Que vous a fait Guillot ? v.129 (Acte 1, scène 3, BABET)
Je vous l'ai dit cent fois ; mais vous n'en tenez compte. v.131 (Acte 1, scène 3, MADAME AUBONNE)
Vous me faites mourir de douleur et de honte. v.132 (Acte 1, scène 3, MADAME AUBONNE)
Allez, vous radotez... Monsieur Rente, à l'instant v.133 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Ayez-en, je vous prie, v.135 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
A peine émancipé, vous épuisez ma caisse. v.140 (Acte 1, scène 3, L'INTENDANT)
Quel temps prenez-vous là ? quoi ! dans le même jour v.141 (Acte 1, scène 3, L'INTENDANT)
Où le roi vient chez vous avec toute sa cour ! v.142 (Acte 1, scène 3, L'INTENDANT)
Songez-vous bien aux frais où tout nous précipite ? v.143 (Acte 1, scène 3, L'INTENDANT)
Je ne m'attendais pas, quand je vous allaitai, v.149 (Acte 1, scène 3, MADAME AUBONNE)
Que vous auriez un coeur si plein de dureté. v.150 (Acte 1, scène 3, MADAME AUBONNE)
Vous m'ennuyez. v.151 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Vous n'aimez pas le roi ! vous, méchant ! v.153 (Acte 1, scène 3, BABET)
Non, vous ne l'aimez pas. v.154 (Acte 1, scène 3, BABET)
Nous l'envoyons à vous, mais il n'écoute pas. v.162 (Acte 1, scène 4, MADAME AUBONNE)
Consolez-vous, nourrice ; v.163 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Mon coeur en tous les temps vous a rendu justice, v.164 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Et mon fils vous la doit : on pourra l'attendrir. v.165 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Ah ! vous ne savez pas ce qu'il me fait souffrir. v.166 (Acte 1, scène 4, MADAME AUBONNE)
Étant cru mort longtemps, vous sauvâtes sa vie : v.168 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
S'il ne vous aimait pas, qui pourrait-il chérir ? v.170 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Et vous, tout est-il préparé ? v.173 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Vous savez de vos soins combien je vous sais gré. v.174 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Laissez-moi, je vous prie. v.179 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Que vous écoutez peu, mais qui ne doit rien taire, v.180 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Dans l'âge où vous entrez, sans plainte et sans rigueur, v.181 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Vous avez repoussé ma tendre complaisance ; v.184 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Vous présentant à tout, n'ont pu rien vous apprendre : v.187 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Le fils de la nourrice, à qui vous insultiez, v.189 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Apprenait aisément ce que vous négligiez v.190 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Faisait assidûment ce que vous deviez faire. v.192 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Vous l'oubliez, madame, et m'en parlez souvent. v.193 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
Le contrat qui vous doit engager à Julie. v.212 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Que du seul intérêt vous parliez le langage ? v.216 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Ah ! mon fils, apprenez du moins à vous connaître. v.219 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Dompter cette humeur brusque où le penchant vous livre. v.231 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Vous vous moquez de nous : v.237 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Votre frère de lait vous rendrait-il jaloux ? v.238 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Auriez-vous bien le coeur à ce point endurci ? v.242 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Peut-il par son mérite être envers vous coupable ? v.244 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Si vous étiez ingrat, que pourrai-je espérer ? v.249 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Pour ne vous point haïr il faudrait expirer. v.250 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Ah ! vous m'attendrissez ; madame, je vous jure v.251 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
Mon fils, j'aurais voulu de vous, v.253 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Madame, vous savez qu'à monsieur votre fils, v.265 (Acte 1, scène 6, CHARLOT)
Il vient chez vous, il vient dans vos belles retraites ; v.271 (Acte 1, scène 6, CHARLOT)
Et ce n'est que pour lui que des lieux où vous êtes v.272 (Acte 1, scène 6, CHARLOT)
Auprès de vous, madame, un asile assuré. v.282 (Acte 1, scène 6, CHARLOT)
Daignez-vous approuver le parti que j'embrasse ? v.283 (Acte 1, scène 6, CHARLOT)
J'ose chérir en vous madame votre mère. v.292 (Acte 1, scène 6, CHARLOT)
Je vous rendrai toujours tout ce que je vous dois. v.294 (Acte 1, scène 6, CHARLOT)
C'est le roi ; je l'ai vu tout comme je vous vois. v.298 (Acte 1, scène 7, BABET)
Je vous suis... Je rougis ; ma toilette v.303 (Acte 1, scène 7, JULIE)
Ne le voyez-vous pas v.305 (Acte 1, scène 7, GUILLOT)
Pour s'informer au juste, et pour vous avertir, v.314 (Acte 1, scène 7, L'INTENDANT)
Vous ramenait en hâte une troupe altérée, v.315 (Acte 1, scène 7, L'INTENDANT)
Vous rendre tous heureux ; c'est là ce qui soutient, v.334 (Acte 1, scène 7, LA COMTESSE)
Vous me rendez confuse, et mon âme attendrie v.336 (Acte 1, scène 7, MADAME AUBONNE)
Comment me trouvez-vous ? v.351 (Acte 2, scène 1, JULIE)
Vous seriez peu fâchée, excusez ma franchise, v.352 (Acte 2, scène 1, MADAME AUBONNE)
Ce grand prince ici même aujourd'hui vous marie ; v.360 (Acte 2, scène 1, MADAME AUBONNE)
Qui sera par madame avec vous présenté. v.362 (Acte 2, scène 1, MADAME AUBONNE)
Vous semblez n'y penser qu'avec indifférence, v.363 (Acte 2, scène 1, MADAME AUBONNE)
Madame, j'ai trouvé chez vous votre bouquet. v.401 (Acte 2, scène 2, CHARLOT)
La bonne, vous pleurez ! v.412 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Quoi ! pouvez-vous sans joie et sans vous attendrir, v.414 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Oh les mots n'y font rien... mais vous êtes trop bonne. v.424 (Acte 2, scène 2, MADAME AUBONNE)
Vous le flattez beaucoup. v.429 (Acte 2, scène 2, MADAME AUBONNE)
Je voudrais répéter... Vous dansez comme un ange. v.431 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Vous avez réussi dans les jeux, dans les arts, v.433 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Et je danserai mieux vous ayant pour modèle. v.439 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Ah ! vous seule en servez... mais le respect, le zèle, v.440 (Acte 2, scène 2, CHARLOT)
Je cours en chercher un, s'il vous plaît. v.442 (Acte 2, scène 2, CHARLOT)
Vous chantez à merveille ; et votre voix, je pense, v.443 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Asseyez-vous, ma mère, et voyez votre fils. v.445 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Vous êtes donc l'auteur de la chanson ? v.458 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Pour vous !... je n'oserais v.464 (Acte 2, scène 2, CHARLOT)
Achevons la leçon que de vous je veux prendre. v.467 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Vous seule ornez ces lieux. v.472 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Partage avec vous v.482 (Acte 2, scène 2, JULIE)
Avec monsieur Charlot vous êtes familière. v.488 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Vous dansez aux chansons dans un coin du logis ! v.489 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Profitez-vous beaucoup ? Et les payez-vous cher ? v.494 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Si vous êtes fâché de cette préférence, v.496 (Acte 2, scène 3, JULIE)
Si mon petit menuet vous donne quelque ennui, v.497 (Acte 2, scène 3, JULIE)
Que n'avez-vous appris..., à danser comme lui ? v.498 (Acte 2, scène 3, JULIE)
Vous aviez assuré votre adorable mère v.500 (Acte 2, scène 3, CHARLOT)
Que d'un peu d'amitié vous vouliez m'honorer ; v.501 (Acte 2, scène 3, CHARLOT)
Ce noble et digne objet, respectable à vous-même, v.503 (Acte 2, scène 3, CHARLOT)
En la servant, monsieur, j'ai cru vous obéir. v.506 (Acte 2, scène 3, CHARLOT)
Je ne le puis souffrir près de vous... En un mot, v.513 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Je n'ai point de reproche à recevoir de vous ; v.517 (Acte 2, scène 3, JULIE)
Eh bien ! vous méritez une telle algarade. v.519 (Acte 2, scène 3, MADAME AUBONNE)
Vous vous faites haïr... Monsieur, prenez-y garde : v.520 (Acte 2, scène 3, MADAME AUBONNE)
Vous n'êtes ni poli, ni bon, ni circonspect : v.521 (Acte 2, scène 3, MADAME AUBONNE)
Vous deviez à Julie un peu plus de respect, v.522 (Acte 2, scène 3, MADAME AUBONNE)
Et sur votre alphabet je doute qu'on vous loue. v.532 (Acte 2, scène 3, CHARLOT)
Il paraît que le lait dont vous fûtes nourri v.533 (Acte 2, scène 3, CHARLOT)
Je crois que vous seriez assez sage, assez grand, v.537 (Acte 2, scène 3, CHARLOT)
Non, vous n'aurez jamais ce brutal de marquis : v.549 (Acte 2, scène 4, MADAME AUBONNE)
Brisera ce lien qui doit trop vous déplaire... v.552 (Acte 2, scène 4, MADAME AUBONNE)
Vous savez qu'on apprête v.572 (Acte 2, scène 5, BABET)
Il ne donnera plus des soufflets, je vous jure, v.596 (Acte 2, scène 6, GUILLOT)
Hélas ! vous répandez des larmes. v.603 (Acte 2, scène 6, JULIE)
Non, vous dis-je, il est mort, il n'est plus d'espérance ; v.647 (Acte 2, scène 7, L'INTENDANT)
Vous, monsieur, si jamais dans leur triste maison, v.679 (Acte 3, scène 1, CHARLOT)
Après cet attentat, vous prononcez mon nom, v.680 (Acte 3, scène 1, CHARLOT)
J'ose vous conjurer de bien dire à madame v.681 (Acte 3, scène 1, CHARLOT)
Vous tous qui m'écoutez, pardonnez-moi mes pleurs, v.688 (Acte 3, scène 1, CHARLOT)
Les filles ont recours à vous dans la maison. v.731 (Acte 3, scène 3, BABET)
Hélas ! de le sauver prenez sur vous le soin : v.740 (Acte 3, scène 3, BABET)
Chacun vous aidera ; tout le château vous prie. v.741 (Acte 3, scène 3, BABET)
Ne m'abandonnez pas... je n'ai que vous au monde. v.750 (Acte 3, scène 4, LA COMTESSE)
Vous m'avez tenu lieu d'une mère, et mon coeur v.751 (Acte 3, scène 4, JULIE)
Ah ! j'avais espéré vous rendre fortunée. v.754 (Acte 3, scène 4, LA COMTESSE)
Le roi même en ces lieux devait vous marier : v.756 (Acte 3, scène 4, LA COMTESSE)
Vous aviez protégé ce jeune malheureux. v.775 (Acte 3, scène 4, JULIE)
Révéler votre sort et mon crime envers vous. v.788 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Je ne mérite pas que vous me fassiez grâce. v.790 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Madame, je l'ai vu tout comme je vous vois : v.792 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Charlot est plein de vie, et vous êtes sa mère. v.798 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Hélas ! vous auriez pu sur son noble visage v.801 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Il vous souvient assez qu'en ces temps pleins d'effroi v.803 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Vous voulûtes bientôt le tenir dans vos bras ; v.807 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Je vous donnai le mien. Vous fûtes trop flattée v.809 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
De la fatale erreur où vous fûtes jetée. v.810 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Vos soins vous attachaient à cette créature, v.813 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Et l'habitude en vous tint lieu de la nature. v.814 (Acte 3, scène 5, MADAME AUBONNE)
Je vous rends votre fils, et j'honore sa mère ; v.825 (Acte 3, scène 6, LE-ROI)

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PANDORE (1762)

Je vous appelle en vain, vous ne m'entendez pas : v.2 (Acte 1, scène 1, PROMÉTHÉE)
Oiseaux, tendres oiseaux, vous chantez, vous aimez : v.11 (Acte 1, scène 1, PROM?TH?E)
Parlez, qui voulez-vous plonger v.54 (Acte 1, scène 2, NÉMÉSIS)
Vous êtes malfaisants, vous n'êtes point mes dieux. v.65 (Acte 1, scène 2, PROMÉTHÉE)
Replongez-vous dans les ténèbres : v.70 (Acte 1, scène 2, PROM?TH?E)
Ah ! Trop cruels amis ! Pourquoi déchaîniez-vous, v.81 (Acte 1, scène 2, PROMÉTHÉE)
Il vous apporte un nouveau jour : v.112 (Acte 2, scène 1, DRYADE)
Embellissez-vous. v.119 (Acte 2, scène 1, CHOEUR-des-NYMPHES)
Terre qui me portez, vous n'êtes point ma mère : v.153 (Acte 2, scène 1, PANDORE)
Dont vous tenez le jour. v.164 (Acte 2, scène 1, NYMPHES, TITANS)
C'est vous, c'est vous, sans doute, à qui je dois la vie. v.167 (Acte 2, scène 1, PANDORE)
Vous semblez encor m'animer. v.169 (Acte 2, scène 1, PANDORE)
Vous ne pouviez répondre, et j'osais vous aimer. v.172 (Acte 2, scène 1, PROMÉTHÉE)
Vous parlez, et je vous adore. v.173 (Acte 2, scène 1, PROM?TH?E)
Vous m'aimez ! Cher auteur de mes jours commencés, v.174 (Acte 2, scène 1, PANDORE)
Vous m'aimez ! Et je vous dois l'être ! v.175 (Acte 2, scène 1, PANDORE)
La terre m'enchantait : que vous l'embellissez ! v.176 (Acte 2, scène 1, PANDORE)
Mon coeur vole vers vous, il se rend à son maître : v.177 (Acte 2, scène 1, PANDORE)
Vous n'en sauriez trop dire, et la simple nature v.180 (Acte 2, scène 1, PROMÉTHÉE)
Larmes que j'ignorais, vous coulez de mes yeux. v.202 (Acte 2, scène 1, PANDORE)
Dieux, vous m'arrachez mon partage : v.215 (Acte 2, scène 1, PROMÉTHÉE)
Il était plus divin que vous : v.216 (Acte 2, scène 1, PROM?TH?E)
Vous étiez malheureux, vous étiez en courroux v.217 (Acte 2, scène 1, PROM?TH?E)
Ils m'ont dit en s'ouvrant : Vous m'aimez, je vous aime. v.222 (Acte 2, scène 1, PROM?TH?E)
Vous régnez, vous plairez, vous la rendrez sensible, v.237 (Acte 3, scène 1, MERCURE)
Vous allez éblouir ses yeux à peine ouverts. v.238 (Acte 3, scène 1, MERCURE)
Que craignez-vous ? Pandore à peine a vu le jour, v.245 (Acte 3, scène 1, MERCURE)
Vous déploierez en vain ma gloire et ma splendeur : v.255 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Vous n'avez rien de si beau qu'elle. v.256 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
La terre vous désire, v.289 (Acte 3, scène 1, LES-TROIS-GRACES)
Mon amant ne vous voit pas. v.295 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Il ne vous entend pas. v.297 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Vous tenez de la terre un corps faible et mortel, v.300 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Et vous devez cette âme inaltérable et pure v.301 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
C'est pour les dieux que vous venez de naître : v.303 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Quoi ! Méconnaissez-vous le maître du tonnerre ? v.311 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Dans les palais des dieux regrettez-vous la terre. v.312 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Non, vous n'en connaissez qu'une image infidèle, v.315 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Dont vous sentiez une étincelle, v.318 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Ah ! Vous avez pour vous la grandeur et la gloire : v.322 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Vous êtes dieu, l'encens doit vous suffire : v.324 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Vous êtes dieu, comblez mes voeux. v.325 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Je veux vous rendre heureuse, et par vous je veux l'être. v.328 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Plaisirs, vous triomphez dès qu'on peut vous connaître. v.332 (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Le dieu des dieux est seul digne de vous. v.334 (Acte 3, scène 1, CHOEUR)
Le dieu des dieux est seul digne de vous. v.342 (Acte 3, scène 1, CHOEUR)
Le dieu des dieux est seul digne de vous. v.348 (Acte 3, scène 1, CHOEUR)
Oui, j'aime, oui, doux plaisirs, vous redoublez ma flamme : v.349 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Mais vous redoublez ma douleur. v.350 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Dieux charmants, si c'est vous qui faites le bonheur, v.351 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Quoi ! Vous le puniriez, vous qui causez sa peine ? v.364 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Vous n'êtes qu'un tyran jaloux et tout-puissant. v.365 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Je vous punirai par ma haine. v.367 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Jugez de mon amour, puisque je vous implore. v.370 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Désirs naissants, que vous étiez trompeurs ! v.377 (Acte 3, scène 1, PANDORE)
Dieux et Titans, que faites-vous ? v.413 (Acte 4, scène 1, CHOEURS DES NYMPHES)
Vous confondez, par vos terribles coups, v.414 (Acte 4, scène 1, CHOEURS DES NYMPHES)
Précipitez-vous aux enfers. v.421 (Acte 4, scène 1, LES-DIEUX)
Précipitez-vous aux enfers. v.431 (Acte 4, scène 1, DIEUX-TITANS)
Arrêtez : le Destin, qui vous commande à tous, v.432 (Acte 4, scène 1, LE-DESTIN)
Eh quoi ! Vous me quittez, cher amant que j'adore ? v.461 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Êtes-vous soumis ou vainqueur ? v.462 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
La victoire est à moi, si vous m'aimez encore. v.463 (Acte 5, scène 1, PROMÉTHÉE)
Eh quoi ! Vous me quittez, cher amant que j'adore ? v.465 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Que faites-vous ? Hélas ! Daignez me croire. v.472 (Acte 5, scène 1, PROMÉTHÉE)
Sont des pièges nouveaux que vous tendent les dieux. v.474 (Acte 5, scène 1, PROM?TH?E)
Quoi ! Vous pensez... ? v.475 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Eh bien ! Vous le voulez : il faut vous satisfaire. v.478 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Je soumets ma raison : je ne veux que vous plaire. v.479 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
De vous croire toujours. v.481 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Vous me le promettez ? v.482 (Acte 5, scène 1, PROMÉTHÉE)
J'en jure par vous-même. v.483 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Vous voyez l'éloquent Mercure : v.508 (Acte 5, scène 1, UNE-NYMPHE)
Je vous l'ai déjà dit, Prométhée est jaloux : v.512 (Acte 5, scène 1, NÉMÉSIS)
Il porte à trop d'excès les droits qu'il a sur vous. v.516 (Acte 5, scène 1, NÉMÉSIS)
Devait-il jamais vous défendre v.517 (Acte 5, scène 1, N?M?SIS)
De voir ce don charmant que vous tenez des dieux ? v.518 (Acte 5, scène 1, N?M?SIS)
Il n'a point fait pour vous ce que vous méritez. v.522 (Acte 5, scène 1, NÉMÉSIS)
Il put en vous formant vous donner des beautés v.523 (Acte 5, scène 1, N?M?SIS)
Dont vous manquez peut-être encore. v.524 (Acte 5, scène 1, N?M?SIS)
Vous me faites frémir ! v.527 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Vous serez, en ouvrant ce trésor enchanté, v.530 (Acte 5, scène 1, NÉMÉSIS)
Vous régnerez sur votre époux : v.532 (Acte 5, scène 1, N?M?SIS)
Ah ! C'est trop vous en défendre : v.540 (Acte 5, scène 1, NÉMÉSIS)
Je ne veux que vous apprendre v.542 (Acte 5, scène 1, N?M?SIS)
Mais n'abusez-vous point de ma faible innocence ? v.544 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Auriez-vous tant de cruauté ? v.545 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Au nom de votre époux, rendez-vous à ma voix. v.553 (Acte 5, scène 1, NÉMÉSIS)
Ce nom l'emporte, et je vous crois : v.554 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Ah ! Je suis indigne de vous : v.596 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Que vous rendiez heureuse, v.602 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Ce jour que je vous dois. v.603 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Vous avez donc ouvert cette boîte odieuse ? v.609 (Acte 5, scène 1, PROMÉTHÉE)
Tous les biens sont à vous, l'Amour vous reste encore. v.615 (Acte 5, scène 1, L'AMOUR)
Je combattrai pour vous le Destin rigoureux. v.616 (Acte 5, scène 1, L'AMOUR)
Vous qui vivez dans moi, vous, l'âme de mon âme, v.621 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Dont vous nous embrasez tous deux. v.623 (Acte 5, scène 1, PANDORE)
Vous serez leur jouissance. v.631 (Acte 5, scène 1, L'AMOUR)
Fussiez-vous trompeurs, v.632 (Acte 5, scène 1, L'AMOUR)
C'est vous qu'on implore : v.633 (Acte 5, scène 1, L'AMOUR)
Par vous on jouit, v.634 (Acte 5, scène 1, L'AMOUR)

L'ORPHELIN DE LA CHINE (1755)

Quoi ! C'est lui dont les voeux vous furent adressés ! v.46 (Acte 1, scène 1, ASSELI)
Est-ce vous, époux infortuné ? v.105 (Acte 1, scène 2, IDAME)
Hélas ! Qu'avez-vous vu ? v.107 (Acte 1, scène 2, IDAME)
J'ai revolé vers vous. Les ravisseurs sanglants v.145 (Acte 1, scène 2, ZAMTI)
Étan, où courez-vous, interdit, consterné ? v.173 (Acte 1, scène 3, ZAMTI)
Vous êtes observés ; la fuite est impossible ; v.175 (Acte 1, scène 3, ETAN)
Que vous dirai-je ? Hélas ! Leurs têtes exposées v.187 (Acte 1, scène 3, ETAN)
C'est vous qui l'élevez : votre soin téméraire v.223 (Acte 1, scène 4, OCTAR)
Je vous ordonne, au nom du vainqueur des humains, v.225 (Acte 1, scène 4, OCTAR)
Pour peu que vous tardiez, le sang et le carnage v.228 (Acte 1, scène 4, OCTAR)
Et la destruction commencera par vous. v.230 (Acte 1, scène 4, OCTAR)
La nuit vient, le jour fuit ; vous, avant qu'il finisse, v.231 (Acte 1, scène 4, OCTAR)
Si vous aimez la vie, allez, qu'on obéisse. v.232 (Acte 1, scène 4, OCTAR)
Vous ne répondez rien ; vos soupirs élancés v.237 (Acte 1, scène 5, IDAME)
Êtes-vous en état de tenir vos promesses ? v.244 (Acte 1, scène 5, IDAME)
Ah ciel ! Eh quoi ! Vous voudriez v.245 (Acte 1, scène 5, ZAMTI)
Je vous dirais : mourons, et, lorsque tout succombe, v.251 (Acte 1, scène 5, IDAME)
Vous baissez vos regards, vos cheveux se hérissent, v.259 (Acte 1, scène 5, IDAME)
Vous pâlissez, vos yeux de larmes se remplissent : v.260 (Acte 1, scène 5, IDAME)
Mais que résolvez-vous ? v.262 (Acte 1, scène 5, IDAME)
Ou ma bouche ou ma main vous était infidèle. v.284 (Acte 1, scène 6, ETAN)
On presse ; et cet enfant, qui vous est étranger... v.290 (Acte 1, scène 6, ETAN)
Et que deviendrez-vous sans ce gage funeste ? v.304 (Acte 1, scène 6, ETAN)
Que pourrez-vous répondre au vainqueur irrité ? v.305 (Acte 1, scène 6, ETAN)
Vous, seigneur ? v.307 (Acte 1, scène 6, ETAN)
Ah ! Que m'ordonnez-vous ? v.311 (Acte 1, scène 6, ETAN)
Vous m'avez arraché ce serment téméraire. v.315 (Acte 1, scène 6, ETAN)
Il vous devra des jours pour souffrir commencés ; v.345 (Acte 2, scène 2, ETAN)
Ô vous, à qui je rends ces services fidèles ! v.347 (Acte 2, scène 2, ZAMTI)
Osez-vous en ces lieux gémir en liberté ? v.349 (Acte 2, scène 2, ETAN)
L'avez-vous commandé ce sacrifice horrible ? v.368 (Acte 2, scène 3, IDAME)
Non, vous ne serez point plus dur et plus barbare v.371 (Acte 2, scène 3, IDAME)
Vous pleurez, malheureux ! v.373 (Acte 2, scène 3, IDAME)
Vous êtes citoyenne avant que d'être mère. v.376 (Acte 2, scène 3, ZAMTI)
Vainement de mon fils vous prolongiez les jours ; v.418 (Acte 2, scène 3, ZAMTI)
Vainement vous cachiez cette fatale offrande : v.419 (Acte 2, scène 3, ZAMTI)
Et mon fils, qu'au trépas vous croyez arracher, v.425 (Acte 2, scène 3, ZAMTI)
C'est mon sang qu'à Gengis il vous faut demander. v.433 (Acte 2, scène 3, ZAMTI)
Dont la nature et vous combattez mon devoir. v.462 (Acte 2, scène 3, ZAMTI)
Trop faible épouse, hélas ! Si vous pouviez connaître... v.463 (Acte 2, scène 3, ZAMTI)
Quoi ! Vous osez reprendre v.471 (Acte 2, scène 4, OCTAR)
Ce dépôt que ma voix vous ordonna de rendre ? v.472 (Acte 2, scène 4, OCTAR)
Vous aurez cet enfant. v.478 (Acte 2, scène 4, ZAMTI)
Non, vous ne l'obtiendrez, cruels, qu'avec ma vie. v.479 (Acte 2, scène 4, IDAME)
Octar, je vous destine à porter mes drapeaux v.501 (Acte 2, scène 5, GENGIS)
Vous, dans l'Inde soumise, humble dans sa défaite, v.503 (Acte 2, scène 5, GENGIS)
D'un tel ressouvenir vous seriez occupé ! v.521 (Acte 2, scène 6, OCTAR)
Octar, je vous défends que l'on s'informe d'elle. v.564 (Acte 2, scène 6, GENGIS)
Vous avez en ces lieux des soins plus importants. v.565 (Acte 2, scène 6, OCTAR)
"Arrêtez, c'est mon fils que vous assassinez ! v.574 (Acte 2, scène 7, OSMAN)
C'est mon fils ! On vous trompe au choix de la victime." v.575 (Acte 2, scène 7, OSMAN)
Frappez ; voilà le sang que vous me demandez. " v.585 (Acte 2, scène 7, OSMAN)
Seigneur, le croiriez-vous ? Cette femme éperdue v.638 (Acte 3, scène 1, OSMAN)
Qu'à vos pieds en ces lieux vous daignerez l'admettre. v.646 (Acte 3, scène 1, OSMAN)
Vous devez vous venger, je m'y suis attendue ; v.662 (Acte 3, scène 2, IDAME)
Rassurez-vous ; sortez de cet effroi pressant... v.664 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Ne craignez rien pour vous, votre empereur oublie v.670 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
De vous, de votre époux, qui prétend m'imposer ? v.680 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Vous savez si je dois haïr ce téméraire. v.682 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Vous, Seigneur ! v.683 (Acte 3, scène 2, IDAME)
Vous me l'avez promis ; sa grâce est prononcée. v.685 (Acte 3, scène 2, IDAME)
En un mot, vous savez jusqu'où je suis trahi. v.688 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Vous êtes dès longtemps instruite à m'outrager : v.691 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Quel est donc ce mortel, pour vous si respectable, v.694 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Qui sous ses lois, madame, a pu vous captiver ? v.695 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Qui !... Lui ? Mais depuis quand formâtes-vous v.700 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Depuis que loin de nous le sort, qui vous seconde, v.701 (Acte 3, scène 2, IDAME)
Depuis que de vous deux je dus être vengé, v.704 (Acte 3, scène 2, GENGIS)
Ah ! Seigneur, est-ce ainsi que la pitié vous presse ? v.717 (Acte 3, scène 3, IDAME)
Sur cet enfant, madame, expliquez-vous sur l'heure, v.721 (Acte 3, scène 3, GENGIS)
Ce dépôt respectable à tout autre qu'à vous. v.732 (Acte 3, scène 3, IDAME)
Tous ces champs de carnage auraient dû vous suffire. v.738 (Acte 3, scène 3, IDAME)
Vous deviez ignorer ce sacrifice affreux : v.748 (Acte 3, scène 3, IDAME)
Qui ne vous a trahi qu'à force de vertu : v.756 (Acte 3, scène 3, IDAME)
Et l'autre est respectable alors qu'il vous offense. v.758 (Acte 3, scène 3, IDAME)
Allez, suivez l'époux à qui le sort vous lie. v.782 (Acte 3, scène 3, GENGIS)
Est-ce à vous de prétendre encore à me toucher ? v.783 (Acte 3, scène 3, GENGIS)
Et quel droit avez-vous de me rien reprocher ? v.784 (Acte 3, scène 3, GENGIS)
Vous sentez quels affronts il faudrait réparer. v.788 (Acte 3, scène 3, GENGIS)
Puisqu'il faut vous parler, v.795 (Acte 3, scène 4, OCTAR)
S'il est des ennemis qu'on vous doive immoler, v.796 (Acte 3, scène 4, OCTAR)
Si vous voulez couper d'une race odieuse, v.797 (Acte 3, scène 4, OCTAR)
Vous ne lui devez plus que votre inimitié. v.816 (Acte 3, scène 4, OCTAR)
Cet amour, dites-vous, qui vous touche pour elle, v.817 (Acte 3, scène 4, OCTAR)
En ont éteint dans vous les restes languissants ; v.820 (Acte 3, scène 4, OCTAR)
Vous êtes tout-puissant, et n'êtes point vengé ! v.827 (Acte 3, scène 4, OCTAR)
Et qu'importe pour vous qu'une esclave de plus v.847 (Acte 3, scène 4, OCTAR)
Eh bien ! Que résout-elle, et que m'apprenez-vous ? v.871 (Acte 3, scène 5, GENGIS)
Idamé, dites-vous, attend la mort de moi ? v.880 (Acte 3, scène 5, GENGIS)
Quels ordres donnez-vous v.883 (Acte 3, scène 6, OCTAR)
Vous commandiez que notre vigilance v.885 (Acte 3, scène 6, OCTAR)
Peut-être elle vous trompe. v.888 (Acte 3, scène 6, OCTAR)
Voulez-vous de ces rois conserver ce qui reste ? v.889 (Acte 3, scène 6, OCTAR)
Allez, au pied des murs hâtez-vous de vous rendre ; v.907 (Acte 4, scène 1, GENGIS)
Eh bien ! Vous avez vu ce mandarin farouche ? v.919 (Acte 4, scène 2, GENGIS)
Ne vous abaissez point à soupirer pour elle ; v.928 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Qui vous ose braver quand la terre obéit. v.930 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Pouvez-vous de ce peuple admirer la faiblesse ? v.955 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Mais c'est vous qui cédez, qui souffrez un outrage, v.960 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Vous qui tendez les mains, malgré votre courroux, v.961 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Vous qui vous exposez à la plainte importune v.963 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Leurs clameurs jusqu'à vous par ma voix retentissent ; v.968 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Je vous parle en leur nom comme au nom de l'état. v.969 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Vous voulez... v.974 (Acte 4, scène 2, OCTAR)
Quoi ! Vous voulez jouir encor de mon effroi ? v.998 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Ne rougissez-vous pas d'accabler ma misère ? v.1000 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Cessez à vos frayeurs de vous abandonner : v.1001 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Et mon coeur pour vous seule a connu la clémence. v.1004 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Peut-être le destin voulut vous faire naître v.1007 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Vous m'entendez, je règne, et vous pourriez reprendre v.1011 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Un pouvoir que sur moi vous deviez peu prétendre. v.1012 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Et le vainqueur du monde à vous seule est soumis. v.1014 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
S'il vous fut odieux, le trône a quelques charmes ; v.1015 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Vous presse autant que moi de former ces liens. v.1018 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Ce langage, sans doute, a de quoi vous surprendre : v.1019 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Vous la devez, madame, au vainqueur des humains ; v.1025 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Témugin vient à vous vingt sceptres dans les mains. v.1026 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Vous baissez vos regards, et je ne puis comprendre v.1027 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Je ne le cèle point, vous m'avez étonnée : v.1032 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Et, quand je répondrai, vous serez plus surpris. v.1034 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Il vous souvient du temps et de la vie obscure v.1035 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Ciel ! Que m'avez-vous dit ? Ô ciel ! Vous m'aimeriez ! v.1041 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Vous ! v.1042 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
J'ai dit que ces voeux, que vous me présentiez, v.1042 (Acte 4, scène 4, IDAME)
De nos parents sur nous vous savez le pouvoir : v.1046 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Quoi ! Vous m'auriez aimé ! v.1056 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
C'est à vous de connaître v.1056 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Je le préfère à vous, au trône, à vos grandeurs. v.1061 (Acte 4, scène 4, IDAME)
À remporter sur vous cette illustre victoire, v.1064 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Portez ailleurs les dons que vous me proposez, v.1069 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Détachez-vous d'un coeur qui les a méprisés ; v.1070 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Et, puisqu'il faut toujours qu'Idamé vous implore, v.1071 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Quoi ! Lorsque envers vous-même il s'est rendu coupable ; v.1084 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Vous arrachant un fils, l'a conduit à la mort ! v.1086 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Tout m'étonne dans vous, mais aussi tout m'outrage : v.1091 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Je vous aime encore plus quand vous me résistez : v.1093 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Vous subjuguez mon coeur, et vous le révoltez. v.1094 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Les lois vivent encore, et l'emportent sur vous. v.1098 (Acte 4, scène 4, IDAME)
Les lois que vous suivez m'ont été trop fatales. v.1103 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Vos moeurs, que vous vantez, vos usages austères, v.1111 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Doit remettre en mes mains votre empereur et vous : v.1114 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Pensez-y ; vous savez jusqu'où va ma vengeance, v.1116 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Et songez à quel prix vous pouvez désarmer v.1117 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Un maître qui vous aime, et qui rougit d'aimer. v.1118 (Acte 4, scène 4, GENGIS)
Ma voix, sans balancer, vous condamne à la mort ! v.1122 (Acte 4, scène 5, IDAME)
Que ne pouvez-vous point, puisque vous savez plaire ! v.1128 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
Vous seule adouciriez le destin des vaincus : v.1130 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
Dans nos calamités, le ciel, qui vous seconde, v.1131 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
Veut vous opposer seule à ce tyran du monde ; v.1132 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
Vous avez vu tantôt son courage irrité v.1133 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
Se dépouiller pour vous de sa férocité. v.1134 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
On vous respecte en lui ; ce vainqueur sanguinaire v.1139 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
Sur les débris du monde a craint de vous déplaire. v.1140 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
Enfin, souvenez-vous que, dans ces mêmes lieux, v.1141 (Acte 4, scène 5, ASSELI)
Quoi ! Je vous vois deux fois sa captive en un jour ! v.1220 (Acte 5, scène 1, ASSELI)
Que pouviez-vous ? Hélas ! v.1224 (Acte 5, scène 1, ASSELI)
Pensez-vous qu'il donnât un ordre si funeste ? v.1253 (Acte 5, scène 1, ASSELI)
Et vous doutez encor d'asservir ses fureurs ? v.1260 (Acte 5, scène 1, ASSELI)
S'il ne vous aimait pas, parlerait moins de haine. v.1262 (Acte 5, scène 1, ASSELI)
Ah ! Que résolvez-vous ? v.1265 (Acte 5, scène 1, ASSELI)
L'abandonnerez-vous ? v.1274 (Acte 5, scène 1, ASSELI)
Veillez sur ces enfants ; et vous à cette porte, v.1289 (Acte 5, scène 2, OCTAR)
Éloignez-vous. v.1291 (Acte 5, scène 2, OCTAR)
La victoire est chez vous implacable, inhumaine ; v.1298 (Acte 5, scène 2, IDAME)
Vous n'êtes plus ici sous vos antiques rois, v.1303 (Acte 5, scène 2, OCTAR)
Les vertus de l'époux que vous m'avez donné. v.1312 (Acte 5, scène 3, IDAME)
Vous n'avez pas conçu l'excès de votre crime, v.1317 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous, que j'avais aimée, et que je dus haïr ; v.1319 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous, qui me trahissiez, et que je dois punir. v.1320 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vengez-vous d'une femme à son devoir fidèle ; v.1325 (Acte 5, scène 4, IDAME)
Je viens pour vous punir, je puis tout pardonner. v.1328 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Moi, pardonner ! à vous ! Non, craignez ma vengeance : v.1329 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
De votre indigne époux je ne vous parle pas ; v.1331 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Depuis que vous l'aimez, je lui dois le trépas : v.1332 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous retenez mon bras, et j'en suis indigné ; v.1335 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Il le faut oublier, si vous voulez qu'il vive. v.1338 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Il a péri pour vous : votre chaîne odieuse v.1341 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
C'est vous qui m'y forcez ; et je ne conçois pas v.1343 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
À mes voeux absolus vous forcer de vous rendre ; v.1346 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous tenez dans vos mains plus d'une destinée ; v.1353 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Tout dépendra de vous, puisque enfin je vous aime. v.1358 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Oui, je vous aime encor ; mais ne présumez pas v.1359 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Gardez-vous d'insulter à l'excès de faiblesse v.1361 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
C'est un danger pour vous que l'aveu que je fais : v.1363 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Et je vous punirais de vous avoir aimée. v.1366 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous ferez d'un seul mot le sort de cet empire ; v.1369 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Si je vous dois enfin ma haine ou mon amour. v.1372 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Cet amour est indigne et de vous et de moi : v.1375 (Acte 5, scène 4, IDAME)
Vous me devez justice ; et si vous êtes roi, v.1376 (Acte 5, scène 4, IDAME)
Je la veux, je l'attends pour moi contre vous-même. v.1377 (Acte 5, scène 4, IDAME)
Je la rappelle en vous, lorsque vous l'oubliez ; v.1379 (Acte 5, scène 4, IDAME)
Et vous-même en secret vous me justifiez. v.1380 (Acte 5, scène 4, IDAME)
Eh bien ! Vous le voulez ; vous choisissez ma haine, v.1381 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous l'aurez ; et déjà je la retiens à peine : v.1382 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Je ne vous connais plus ; et mon juste courroux v.1383 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Me rend la cruauté que j'oubliais pour vous. v.1384 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
C'en est fait, et c'est vous qui les assassinez. v.1388 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous aviez un amant, vous n'avez plus qu'un maître, v.1390 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Inhumaine, est-ce à vous d'en attendre aujourd'hui ? v.1396 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Levez-vous : je suis prêt encore à vous entendre. v.1397 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Que voulez-vous ? Parlez. v.1399 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous ! v.1401 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous jugerez après si j'ai dû résister. v.1403 (Acte 5, scène 4, IDAME)
Il m'enleva son prince, il vous a possédée. v.1409 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Qu'il la tienne de vous, qu'il vous doive son sort ; v.1411 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Vous, suivez-moi. Quel soin m'abaisse et me transporte ! v.1414 (Acte 5, scène 4, GENGIS)
Arrêtez, malheureux ! Ô ciel ! Qu'alliez-vous faire ? v.1474 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Vous apprendrez tous deux à souffrir mon empire, v.1486 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Il va l'être, madame, et vous allez l'apprendre. v.1490 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Vous me rendiez justice, et je vais vous la rendre. v.1491 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Tous deux je vous admire, et vous m'avez vaincu. v.1493 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
D'être au-dessous de vous au milieu de ma gloire. v.1495 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Vous m'avez avili : je veux vous égaler. v.1497 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Je l'apprends ; je vous dois cette gloire suprême : v.1499 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Je viens vous réunir : je viens vous protéger. v.1501 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
De l'enfant de vos rois, que ma main vous confie ; v.1503 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Je vous remets ce droit, dont j'allais abuser. v.1505 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Vous verrez si l'on peut se fier à ma foi. v.1508 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Je fus un conquérant, vous m'avez fait un roi. v.1509 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Rendez leur ministère aussi saint que vous-même ; v.1511 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Triomphez de la force, elle vous doit hommage : v.1515 (Acte 5, scène 6, GENGIS)
Ciel ! Que viens-je d'entendre ? Hélas ! Puis-je vous croire ? v.1518 (Acte 5, scène 6, IDAME)
Êtes-vous digne enfin, seigneur, de votre gloire ? v.1519 (Acte 5, scène 6, ZAMTI)
Ah ! Vous ferez aimer votre joug aux vaincus. v.1520 (Acte 5, scène 6, ZAMTI)
Qui peut vous inspirer ce dessein ? v.1521 (Acte 5, scène 6, IDAME)

SOCRATE (1759)

Ma chère confidente, et mes chers affidés, vous savez combien d'argent je vous ai fait gagner aux dernières fêtes de Cérès. (Acte 1, scène 1, ANITUS)
Je me marie, et j'espère que vous ferez votre devoir dans cette grande occasion. (Acte 1, scène 1, ANITUS)
Oui, sans doute, monseigneur, pourvu que vous nous en fassiez gagner encore davantage. (Acte 1, scène 1, DRIXA)
Il me faudra, madame Drixa, deux beaux tapis de Perse : vous, Terpandre, je ne vous demande que deux grands candélabres d'argent, et à vous une demi-douzaine de robes de soie brochées d'or. (Acte 1, scène 1, ANITUS)
Vous regagnerez tout cela au centuple. C'est le meilleur moyen de mériter les faveurs des dieux et des déesses. (Acte 1, scène 1, ANITUS)
Donnez beaucoup, et vous recevrez beaucoup ; et surtout ne manquez jamais d'ameuter le peuple contre tous les gens de qualité qui ne font point assez de voeux, et qui ne présentent point assez d'offrandes. (Acte 1, scène 1, ANITUS)
Allez, mes chers amis, les dieux vous maintiennent dans des sentiments si pieux et si justes ! (Acte 1, scène 1, ANITUS)
Et comptez que vous prospérerez, vous, vos enfants, et les enfants de vos petits-enfants. (Acte 1, scène 1, ANITUS)
C'est de quoi nous sommes sûrs ; car vous l'avez dit. (Acte 1, scène 1, TERPANDRE)
Ma chère madame Drixa, je crois que vous ne trouverez pas mauvais que j'épouse Aglaé ; mais je ne vous en aime pas moins, et nous vivrons ensemble comme à l'ordinaire. (Acte 1, scène 2, ANITUS)
Si vous aimez Aglaé, j'aime le jeune Sophronime ; et Xantippe, la femme de Socrate, m'a promis qu'elle me le donnerait en mariage. (Acte 1, scène 2, DRIXA)
Vous aurez toujours les mêmes droits sur moi. Je suis seulement fâchée que ce jeune homme soit élevé par ce vilain Socrate, et qu'Aglaé soit encore entre ses mains. (Acte 1, scène 2, DRIXA)
C'était un de ces sobres et sérieux extravagants, qui ont d'autres moeurs que les nôtres, qui sont d'un autre siècle et d'une autre patrie ; un de nos ennemis jurés, qui pensent avoir rempli tous leurs devoirs quand ils ont adoré la Divinité, secouru l'humanité, cultivé l'amitié, et étudié la philosophie ; de ces gens qui prétendent insolemment que les dieux n'ont pas écrit l'avenir sur le foie d'un boeuf ; de ces raisonneurs impitoyables qui trouvent à redire que les prêtres sacrifient des filles, ou passent la nuit avec elles, selon le besoin : vous sentez que ce sont des monstres qui ne sont bons qu'à étouffer. (Acte 1, scène 2, ANITUS)
Le voici : vous lui faites trop d'honneur. (Acte 1, scène 2, DRIXA)
Je vous laisse, et je vais parler de mon jeune homme à Xantippe. (Acte 1, scène 2, DRIXA)
Les dieux vous conduisent, ma chère Drixa ; servez-les toujours, gardez-vous de ne croire qu'un seul dieu, et n'oubliez pas mes deux beaux tapis de Perse. (Acte 1, scène 2, ANITUS)
Je me sens élevé au-dessus de moi-même toutes les fois que je vous vois, et je respecte en vous la nature humaine. (Acte 1, scène 3, ANITUS)
C'est beaucoup si vous me supportez. (Acte 1, scène 3, SOCRATE)
Vous supporter ! (Acte 1, scène 3, ANITUS)
Je vous admire : je voudrais vous ressembler, s'il était possible ; et c'est pour être plus souvent témoin de vos vertus, pour entendre plus souvent vos leçons, que je veux épouser votre belle pupille Aglaé, dont la destinée dépend de vous. (Acte 1, scène 3, ANITUS)
C'est sur quoi je ne puis vous donner aucun éclaircissement ; son père, ce tendre ami dont les volontés me sont sacrées, m'a défendu, par ce même testament, de divulguer l'état de la fortune de sa fille. (Acte 1, scène 3, SOCRATE)
On dit qu'un petit écervelé, nommé Sophronime, lui fait la cour à cause de sa fortune ; mais je suis persuadé que vous éconduirez un pareil personnage, et qu'un homme comme moi n'aura point de rival. (Acte 1, scène 3, ANITUS)
Je sais ce que je dois penser d'un homme comme vous : mais ce n'est pas à moi de gêner les sentiments d'Aglaé. (Acte 1, scène 3, SOCRATE)
Je vous laisse toute la liberté de vous expliquer avec lui. (Acte 1, scène 4, SOCRATE)
Quelque choix que vous fassiez, je l'approuve. (Acte 1, scène 4, SOCRATE)
Généreux Socrate, c'est avec bien du regret que je vous vois partir. (Acte 1, scène 4, AGLAÉ)
Il paraît, aimable Aglaé, que vous avez une grande confiance dans le bon Socrate. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
S'il dirige vos sentiments, pourriez-vous me dire ce que vous pensez de Cérès, de Cybèle, de Vénus ? (Acte 1, scène 4, ANITUS)
J'en penserai tout ce que vous voudrez. (Acte 1, scène 4, AGLAÉ)
C'est bien dit : vous ferez aussi tout ce que je voudrai. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Vous voyez que le sage Socrate consent à notre union ; Xantippe, sa femme, presse ce mariage. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Vous savez quels sentiments vous m'avez inspirés. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Vous connaissez mon rang et mon crédit ; vous voyez que mon bonheur, et peut-être le vôtre, ne dépendent que d'un mot de votre bouche. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Je vais vous répondre avec la vérité que ce grand homme qui sort d'ici m'a instruite à ne dissimuler jamais, et avec la liberté qu'il me laisse. (Acte 1, scène 4, AGLAÉ)
Je respecte votre dignité, je connais peu votre personne, et je ne puis me donner à vous. (Acte 1, scène 4, AGLA?)
Vous ne pouvez ! (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Vous qui êtes libre ! (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Cruelle Aglaé, vous ne le voulez donc pas ? (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Songez-vous bien à l'affront que vous me faites ? Je vois trop que Socrate me trahit ; c'est lui qui dicte votre réponse ; c'est lui qui donne la préférence à ce jeune Sophronime, à mon indigne rival, à cet impie... (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Je l'aime, j'en suis aimée : il ne tient qu'à moi d'être sa femme ; mais je ne serai pas plus à lui qu'à vous. (Acte 1, scène 4, AGLAÉ)
Tout ce que vous me dites m'étonne. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Vous osez m'avouer que vous aimez Sophronime ? (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Oui, j'ose vous l'avouer, parce que rien n'est plus vrai. (Acte 1, scène 4, AGLAÉ)
Et quand il ne tient qu'à vous d'être heureuse avec lui, vous refusez sa main ? (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Non assurément ; car n'ayant jamais cherché à vous plaire, je ne crains point de vous déplaire. (Acte 1, scène 4, AGLAÉ)
Vous craignez donc d'offenser les dieux, en préférant un profane comme Sophronime à un ministre des autels ? (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Point du tout ; je suis persuadée que l'Être suprême se soucie fort peu que je vous épouse ou non. (Acte 1, scène 4, AGLAÉ)
Ma chère fille, ce n'est pas ainsi qu'il faut parler ; vous devez dire les dieux et les déesses. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Prenez garde, j'entrevois en vous des sentiments dangereux, et je sais trop qui vous les a inspirés. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Sachez que Cérès, dont je suis le grand-prêtre, peut vous punir d'avoir méprisé son culte et son ministre. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Vous en savez trop : mais enfin j'espère vous convertir. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Êtes-vous bien résolue à ne point épouser Sophronime ? (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Écoutez : je vous aime ; j'ai voulu faire votre bonheur, et vous placer dans un haut rang. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Croyez-moi, ne m'offensez pas, ne rejetez point votre fortune ; songez qu'il faut sacrifier tout à un établissement avantageux ; que la jeunesse passe, et que la fortune reste ; que les richesses et les honneurs doivent être votre unique but ; que je vous parle de la part des dieux et des déesses. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Je vous conjure d'y faire réflexion. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Adieu, ma chère fille : je vais prier Cérès qu'elle vous inspire, et j'espère encore qu'elle touchera votre coeur. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
Adieu encore une fois : souvenez-vous que vous m'avez promis de ne point épouser Sophronime. (Acte 1, scène 4, ANITUS)
C'est à moi que je l'ai promis, non à vous. (Acte 1, scène 4, AGLAÉ)
Chère Aglaé, je vois Anitus, ce prêtre de Cérès, ce méchant homme, cet ennemi juré de Socrate, sortir d'auprès de vous, et vos yeux semblent mouillés de quelques larmes. (Acte 1, scène 5, SOPHRONIME)
Non, Sophronime, il n'y a que vous qui puissiez faire couler mes larmes. (Acte 1, scène 5, AGLAÉ)
Moi, qui vous adore, qui me flatte d'être aimé de vous, qui ne vis que pour vous, qui voudrais mourir pour vous ! (Acte 1, scène 5, SOPHRONIME)
Vous pleurez, et j'en suis la cause ! qu'ai-je donc fait ? (Acte 1, scène 5, SOPHRONIME)
Vous n'en pouvez commettre. (Acte 1, scène 5, AGLAÉ)
Je pleure, parce que vous méritez toute ma tendresse, parce que vous l'avez, et qu'il me faut renoncer à vous. (Acte 1, scène 5, AGLA?)
Quels mots funestes avez-vous prononcés ! (Acte 1, scène 5, SOPHRONIME)
Non, je ne puis le croire ; vous m'aimez, vous ne pouvez changer. (Acte 1, scène 5, SOPHRONIME)
Vous m'avez promis d'être à moi, vous ne voulez point ma mort. (Acte 1, scène 5, SOPHRONIME)
Je veux que vous viviez heureux, Sophronime, et je ne puis vous rendre heureux. (Acte 1, scène 5, AGLAÉ)
J'espérais, mais ma fortune m'a trompée : je jure que, ne pouvant être à vous, je ne serai à personne. (Acte 1, scène 5, AGLA?)
Je l'ai déclaré à cet Anitus qui me recherche, et que je méprise ; je vous le déclare, le coeur pénétré de la plus vive douleur, et de l'amour le plus tendre. (Acte 1, scène 5, AGLA?)
Puisque vous m'aimez, je dois vivre ; mais si vous me refusez votre main, je dois mourir. (Acte 1, scène 5, SOPHRONIME)
Je me vois ici le plus infortuné des hommes, entre les deux êtres par qui je respire : c'est vous qui m'avez appris la sagesse ; c'est Aglaé qui m'a appris à sentir l'amour. (Acte 1, scène 6, SOPHRONIME)
Vous avez donné votre consentement à notre hymen : la belle Aglaé, qui semblait le désirer, me refuse ; et, en me disant qu'elle m'aime, elle me plonge le poignard dans le coeur. (Acte 1, scène 6, SOPHRONIME)
Je faisais mon bonheur de vous unir ensemble : si elle a changé d'avis, j'en suis surpris, j'en suis affligé ; mais il faut écouter ses raisons : si elles sont justes, il faut s'y conformer. (Acte 1, scène 6, SOCRATE)
Quand vous eûtes accepté le testament secret de mon père, sage et généreux. (Acte 1, scène 6, AGLAÉ)
Socrate, vous me dîtes qu'il me laissait un bien honnête, avec lequel je pourrais m'établir. (Acte 1, scène 6, AGLA?)
Je formai dès lors le dessein de donner cette fortune à votre cher disciple Sophonime, qui n'a que vous d'appui, et qui ne possède pour toute richesse que sa vertu : vous avez approuvé ma résolution. Vous concevez quel était mon bonheur de faire celui d'un Athénien que je regarde comme votre fils. (Acte 1, scène 6, AGLA?)
Elle m'a montré le testament de mon père, qui est mort dans la pauvreté, qui ne me laisse rien, et qui me recommande à l'amitié dont vous fûtes unis. (Acte 1, scène 6, AGLA?)
Je vous l'avais bien dit, Socrate, que ses raisons ne vaudraient rien : si elle m'aime, ne suis-je pas assez riche ? (Acte 1, scène 6, SOPHRONIME)
Mes enfants, Xantippe est bien indiscrète de vous avoir montré ce testament ; mais croyez, belle Aglaé, qu'elle vous a trompée. (Acte 1, scène 6, SOCRATE)
J'aurais voulu vous offrir un trône ; mais si vous daignez vivre avec moi, notre pauvreté respectable est au-dessus du trône de Crésus. (Acte 1, scène 6, SOPHRONIME)
Jamais mes soins n'ont été mieux récompensés ; jamais mon espérance n'a été plus remplie. Mais encore une fois, Aglaé, croyez-moi, ma femme vous a mal instruite. (Acte 1, scène 6, SOCRATE)
Vous êtes plus riche que vous ne pensez. (Acte 1, scène 6, SOCRATE)
Ce n'est pas à elle, c'est à moi que votre père vous a confiée. (Acte 1, scène 6, SOCRATE)
Et moi je vous dis que vous vous trompez, qu'il vous a laissé de quoi vivre heureuse avec le vertueux Sophronime, et qu'il faut que vous veniez tous deux signer le contrat tout-à-l'heure. (Acte 1, scène 6, SOCRATE)
Allons, allons, ma fille, ne vous amusez point aux visions de mon mari ; la philosophie est fort bonne, quand on est à son aise ; mais vous n'avez rien ; il faut vivre : vous philosopherez après. J'ai conclu votre mariage avec Anitus, digne prêtre, homme puissant, homme de crédit : venez, suivez-moi ; il ne faut ni lenteur ni contradiction ; j'aime qu'on m'obéisse, et vite ; c'est pour votre bien : ne raisonnez pas, et suivez-moi. (Acte 1, scène 7, XANTIPPE)
Laissez-la dire, et fiez-vous à moi de votre bonheur. (Acte 1, scène 7, SOCRATE)
C'est bien à vous, avec votre sagesse et votre démon familier, et votre ironie, et toutes vos fadaises qui ne sont bonnes à rien, à vous mêler de marier des filles ! (Acte 1, scène 7, XANTIPPE)
Vous êtes un bonhomme, mais vous n'entendez rien aux affaires de ce monde, et vous êtes trop heureux que je vous gouverne. (Acte 1, scène 7, XANTIPPE)
Allons, Aglaé, venez, que je vous établisse. (Acte 1, scène 7, XANTIPPE)
Et vous, qui restez là tout étonné, j'ai aussi votre affaire : Drixa est votre fait : vous me remercierez tous deux, tout sera conclu dans la minute ; je suis expéditive, ne perdons point de temps : tout cela devrait déjà être terminé. (Acte 1, scène 7, XANTIPPE)
Je vous l'ai déjà dit ; elle avait plus qu'elle ne croyait. (Acte 2, scène 1, SOCRATE)
Qu'il vous suffise de jouir tous deux d'une fortune que vous méritez : pour moi, je dois le secret aux morts comme aux vivants. (Acte 2, scène 1, SOCRATE)
Je n'ai plus qu'une crainte, c'est que ce prêtre de Cérès, à qui vous m'avez préféré, ne venge sur vous les refus d'Aglaé : c'est un homme bien à craindre. (Acte 2, scène 1, SOPHRONIME)
Rien n'est plus vrai ; mais je mourrais de douleur, si la félicité que je vous dois portait vos ennemis à vous forcer de mettre en usage votre héroïque constance. (Acte 2, scène 1, SOPHRONIME)
Nous vous aimons trop, Socrate, pour en abuser. (Acte 2, scène 2, SOPHRONIME)
Regardez-nous comme vos enfants ; mais que vos enfants ne vous soient point à charge. (Acte 2, scène 2, SOPHRONIME)
Vous n'êtes pas riche, et vous faites ce que les puissants de la terre ne feraient pas ! (Acte 2, scène 2, SOPHRONIME)
Levez-vous, mes enfants, vous m'attendrissez trop. Écoutez-moi : ne faut-il pas respecter les volontés des morts ? (Acte 2, scène 2, SOCRATE)
Votre père, Aglaé, que je regardais comme la moitié de moi-même, ne m'a-t-il pas ordonné de vous traiter comme ma fille ? (Acte 2, scène 2, SOCRATE)
J'ai accepté son testament, je l'exécute : le peu que je vous donne est inutile à ma vieillesse, qui est sans besoins. (Acte 2, scène 2, SOCRATE)
Enfin, si j'ai dû obéir à mon ami, vous devez obéir à votre père : c'est moi qui le suis aujourd'hui ; c'est moi qui, par ce nom sacré, vous ordonne de ne me pas accabler de douleur en me refusant. (Acte 2, scène 2, SOCRATE)
Mais retirez-vous, j'aperçois Xantippe. (Acte 2, scène 2, SOCRATE)
J'ai mes raisons pour vous conjurer de l'éviter dans ces moments. (Acte 2, scène 2, SOCRATE)
Que vous nous ordonnez des choses cruelles ! (Acte 2, scène 2, AGLAÉ)
Vraiment, vous venez de faire là un beau chef-d'oeuvre ; par ma foi, mon cher mari, il faudrait vous interdire. (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Voyez, s'il vous plaît, que de sottises ! (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Je promets Aglaé au prêtre Anitus, qui a du crédit parmi les grands ; je promets Sophronime à cette grosse marchande Drixa, qui a du crédit chez le peuple ; et vous mariez vos deux étourdis ensemble pour me faire manquer à ma parole : ce n'est pas assez, vous les dotez de la plus grande partie de votre bien. Vingt mille drachmes ! (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Justes dieux, vingt mille drachmes ! n'êtes-vous pas honteux ? (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
De quoi vivrez-vous à l'âge de soixante et dix ans ? (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Qui paiera vos médecins, quand vous serez malade ? vos avocats, quand vous aurez des procès ? (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Enfin que ferai-je, quand ce fripon, ce cou tors d'Anitus et son parti, que vous auriez eus pour vous, s'attacheront à vous persécuter, comme ils ont fait tant de fois ? (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Le ciel confonde les philosophes et la philosophie, et ma sotte amitié pour vous ! (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Vous vous mêlez de conduire les autres, et il vous faudrait des lisières ; vous raisonnez sans cesse, et vous n'avez pas le sens commun. (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Si vous n'étiez pas le meilleur homme du monde, vous seriez le plus ridicule et le plus insupportable. (Acte 2, scène 3, XANTIPPE)
Je vous ai déjà donné tout le bien que je pouvais vous céder par les lois ; je donne presque tout ce qui me reste à la fille de mon ami : le peu que je garde me suffit. (Acte 2, scène 3, SOCRATE)
À l'égard de la philosophie que vous me reprochez, elle m'enseigne à souffrir l'indignation d'Anitus, et vos injures ; à vous aimer malgré votre humeur. (Acte 2, scène 3, SOCRATE)
Madame Xantippe, voilà comme vous êtes maîtresse chez vous ! (Acte 2, scène 5, DRIXA)
Ma pauvre madame Drixa, ne vous fâchez pas contre mon mari ; je me suis assez fâchée contre lui : c'est un imbécile, je le sais bien ; mais, dans le fond, c'est bien le meilleur coeur du monde : cela n'a point de malice ; il fait toutes les sottises possibles, sans y entendre finesse, et avec tant de probité, que cela désarme. (Acte 2, scène 5, XANTIPPE)
Que voulez-vous que j'y fasse ? (Acte 2, scène 5, XANTIPPE)
Je me vengerai, vous dis-je. (Acte 2, scène 5, DRIXA)
Nos injures sont communes, respectable Anitus : vous êtes trahi comme moi. (Acte 2, scène 6, DRIXA)
Ce malhonnête homme de Socrate donne presque tout son bien à Aglaé, uniquement pour vous désespérer. (Acte 2, scène 6, DRIXA)
Il faut que vous en tiriez une vengeance éclatante. (Acte 2, scène 6, DRIXA)
On a déjà intenté contre lui quelques accusations ; il faut que vous m'aidiez tous à les renouveler ; nous le mettrons en danger de sa vie ; alors je lui offrirai ma protection, à condition qu'il me cède Aglaé, et qu'il vous rende votre beau Sophronime ; par là nous remplirons tous nos devoirs : il sera puni par la crainte que nous lui aurons donnée : j'obtiendrai ma maîtresse, et vous aurez votre amant. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Vous parlez comme la sagesse elle-même : il faut que quelque divinité vous inspire. (Acte 2, scène 6, DRIXA)
Écoutez, ma chère Drixa, vous êtes dévote ? (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Allez prendre quelque dévot du peuple avec vous ; et quand les juges passeront, criez à l'impiété. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Vous n'avez qu'à l'accuser hardiment de ne point croire aux dieux : c'est le plus court. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Vous serez parfaitement secondés. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Allez, mes chers amis ; recommandez-vous à Cérès : vous viendrez crier, au signal que je donnerai ; c'est le sûr moyen de gagner le ciel, et surtout de vivre heureux, sur la terre. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Infatigable Nonoti, profond Chomos, délicat Bertios, avez-vous fait contre ce méchant Socrate les petits ouvrages que je vous ai commandés ? (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Prenez garde, Nonoti, je vous ai défendu la prolixité. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Vous êtes ennuyeux de votre naturel : vous pourriez lasser la patience de la cour. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Allez porter votre délation au second juge, qui est un excellent philosophe : je vous réponds que vous serez bientôt défait de votre ennemi Socrate. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Allez, dis-je, dépêchez-vous. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Savant Chomos, qu'avez-vous fait ? (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Portez cette pièce au quatrième juge : c'est un homme qui n'a pas le sens commun, et qui vous entendra parfaitement. (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Et vous, Bertios ? (Acte 2, scène 6, ANITUS)
Personne ne nous entend ici : je sais que vous êtes un fripon ; vous ne me regardez pas comme un honnête homme ; je ne puis vous nuire, parce que vous êtes grand-prêtre ; vous ne pouvez me perdre, parce que je suis grand-juge : mais Socrate peut nous faire tort à l'un et à l'autre en nous démasquant ; nous devons donc commencer, vous et moi, par le faire mourir, et puis nous verrons comment nous pourrons nous exterminer l'un l'autre à la première occasion. (Acte 2, scène 8, MÉLITUS)
Fort bien, mon cher ami ; comptez sur moi comme sur vous-même dans ce moment, mais rancune tenant toujours. (Acte 2, scène 8, MÉLITUS)
De quoi vous plaignez-vous ? (Acte 2, scène 1, ANITUS)
Voilà des accusations très graves et très vraisemblables : on m'avait déjà averti de tout ce que vous nous dites. (Acte 2, scène 1, MÉLITUS)
N'êtes-vous pas d'avis, messieurs, qu'on le mette en prison tout-à-l'heure ? (Acte 2, scène 1, MÉLITUS)
C'est ce que cette bonne dévote voulait dire : il faut l'entendre, mais ne se pas laisser surprendre à ce qu'il dira ; car vous savez que ces philosophes sont d'une subtilité diabolique : ce sont eux qui ont troublé tous les états où nous apportions la concorde. (Acte 2, scène 1, ANITUS)
On traîne mon mari en prison : n'avez-vous pas honte, messieurs les juges, de traiter ainsi un homme de son âge ? (Acte 2, scène 10, XANTIPPE)
Je vous l'avais bien dit, mon mari, que vous vous attireriez quelque méchante affaire : voilà ce que c'est que de doter des filles. (Acte 2, scène 10, XANTIPPE)
Vous voyez comme il corrompt la jeunesse. (Acte 2, scène 10, MÉLITUS)
Cessez, ma femme, cessez, mes enfants, de vous opposer à la volonté du ciel : elle se manifeste par l'organe des lois. (Acte 2, scène 10, SOCRATE)
Dans ma maison, dans Athènes, dans les cachots, je suis également libre : et puisque je vois en vous tant de reconnaissance et tant d'amitié, je suis toujours heureux. (Acte 2, scène 10, SOCRATE)
Voilà comme ils sont tous ; ils vous poussent des arguments jusque sous la potence. (Acte 2, scène 10, MÉLITUS)
Nous le voulons bien, vénérable Anitus ; vous pouvez lui parler avant qu'il comparaisse devant notre tribunal. (Acte 2, scène 10, UN JUGE)
Vertueux Socrate, le coeur me saigne de vous voir en cet état. (Acte 2, scène 11, ANITUS)
Vous avez donc un coeur ? (Acte 2, scène 11, SOCRATE)
Oui, et je suis prêt à tout faire pour vous. (Acte 2, scène 11, ANITUS)
Vraiment, je suis persuadé que vous avez déjà beaucoup fait. (Acte 2, scène 11, SOCRATE)
Écoutez ; votre situation est plus dangereuse que vous ne pensez : il y va de votre vie. (Acte 2, scène 11, ANITUS)
Ce n'est pas tout ; votre réputation, qui doit vous être chère, sera flétrie dans tous les siècles. (Acte 2, scène 11, ANITUS)
Non seulement tous les dévots et toutes les dévotes riront de votre mort, vous insulteront, allumeront le bûcher si on vous brûle, serreront la corde si on vous étrangle, broieront la ciguë si on vous empoisonne ; mais ils rendront votre mémoire exécrable à tout l'avenir. (Acte 2, scène 11, ANITUS)
Vous pouvez aisément détourner de vous une fin si funeste : je vous réponds de vous sauver la vie, et même de vous faire déclarer par les juges le plus sage des hommes, ainsi que vous l'avez été par l'oracle d'Apollon ; il ne s'agit que de me céder votre jeune pupille Aglaé, avec la dot que vous lui donnez, s'entend ; nous ferons aisément casser son mariage avec Sophronime. (Acte 2, scène 11, ANITUS)
Vous jouirez d'une vieillesse paisible et honorée, et les dieux et les déesses vous béniront. (Acte 2, scène 11, ANITUS)
Vous ne devriez pas siéger ici ; vous êtes prêtre de Cérès. (Acte 3, scène 1, UN JUGE)
Écoutez, Socrate ; vous êtes accusé d'être mauvais citoyen, de corrompre la jeunesse, de nier la pluralité des dieux, d'être hérétique, déiste, et athée : répondez. (Acte 3, scène 1, MÉLITUS)
Juges athéniens, je vous exhorte à être toujours bons citoyens comme j'ai toujours tâché de l'être, à répandre votre sang pour la patrie comme j'ai fait dans plus d'une bataille. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
À l'égard de la jeunesse dont vous parlez, ne cessez de la guider par vos conseils, et surtout par vos exemples ; apprenez-lui à aimer la véritable vertu, et à fuir la misérable philosophie de l'école. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
L'article de la pluralité des dieux est d'une discussion un peu plus difficile ; mais vous m'entendrez aisément. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Il n'y a qu'un dieu, vous dis-je ; sa nature est d'être infini ; nul être ne peut partager l'infini avec lui. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Peut-être a-t-il daigné former des génies, des démons, plus puissants et plus éclairés que les hommes ; et, s'ils existent, ce sont des créatures comme vous ; ce sont ses premiers sujets, et non pas des dieux : mais rien dans la nature ne nous avertit qu'ils existent, tandis que la nature entière nous annonce un dieu et un père. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Si par Minerve vous n'entendiez que la sagesse de dieu, si par Neptune vous n'entendiez que ses lois immuables, qui élèvent et qui abaissent les mers, je vous dirais : Il vous est permis de révérer Neptune et Minerve, pourvu que dans ces emblèmes vous n'adoriez jamais que l'Être éternel, et que vous ne donniez pas occasion aux peuples de s'y méprendre. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Gardez-vous de tourner jamais la religion en métaphysique : la morale est son essence. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Miltiade, Cimon, Thémistocle, Aristide, que vous avez persécutés, valaient bien, peut-être, Persée, Hercule, et Bacchus ; il n'y a d'autre manière d'être les enfants de dieu que de chercher à lui plaire, et d'être justes. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Socrate, vous vous mêlez toujours de faire des raisonnements ; ce n'est pas là ce qu'il nous faut : répondez net et avec précision. (Acte 3, scène 1, MÉLITUS)
Vous êtes-vous moqué du hibou de Minerve ? (Acte 3, scène 1, M?LITUS)
Quand vous proposez des choses ridicules à croire, trop de gens alors se déterminent à ne rien croire du tout ; ils ont assez d'esprit pour voir que votre doctrine est impertinente ; mais ils n'en ont pas assez pour s'élever jusqu'à la loi véritable ; ils savent rire de vos petits dieux, et ils ne savent pas adorer le dieu de tous les êtres, unique, incompréhensible, incommunicable, éternel, et tout juste, comme tout puissant. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Croyez-vous que le soleil tourne, et que l'aréopage soit de droit divin ? (Acte 3, scène 1, ANITUS)
Vous n'êtes pas en droit de me faire des questions ; mais je suis en droit de vous enseigner ce que vous ignorez. Il importe peu pour la société que ce soit la terre qui tourne ; mais il importe que les hommes qui tournent avec elle soient justes. La vertu seule est de droit divin ; et vous, et l'aréopage, n'avez d'autres droits que ceux que la nation vous a donnés. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Vous l'avez entendu, auguste aréopage, institué par le ciel ; cet homme dangereux nie que le soleil tourne, et que vos charges soient de droit divin. (Acte 3, scène 1, ANITUS)
Si ces horribles opinions se répandent, plus de magistrats, et plus de soleil : vous n'êtes plus ces juges établis par les lois fondamentales de Minerve, vous n'êtes plus les maîtres de l'état, vous ne devez plus juger que suivant les lois ; et si vous dépendez des lois, vous êtes perdus. (Acte 3, scène 1, ANITUS)
Socrate, les Dieux vous condamnent, par notre bouche, à boire de la ciguë tant que mort s'ensuive. (Acte 3, scène 1, MÉLITUS)
Nous sommes tous mortels ; la nature vous condamne à mourir tous dans peu de temps, et probablement vous aurez tous une fin plus triste que la mienne. (Acte 3, scène 1, SOCRATE)
Êtes-vous condamné à l'amende ? (Acte 3, scène 3, XANTIPPE)
Êtes-vous banni ? (Acte 3, scène 3, XANTIPPE)
Êtes-vous absous ? (Acte 3, scène 3, XANTIPPE)
Que vous m'avez donné d'inquiétude ! (Acte 3, scène 3, XANTIPPE)
Tâchez, je vous prie, que cela n'arrive pas une seconde fois. (Acte 3, scène 3, XANTIPPE)
Non, ma femme, cela n'arrivera pas deux fois, je vous en réponds ; ne soyez en peine de rien. (Acte 3, scène 3, SOCRATE)
Vous nous voyez aussi alarmés de votre sort que votre femme Xantippe : nous avons obtenu des juges la permission de vous voir. (Acte 3, scène 3, CRITON)
Souffrez que nous baisions ces fers que vous honorez, et qui sont la honte d'Athènes. (Acte 3, scène 3, CRITON)
Est-il possible qu'Anitus et les siens aient pu vous mettre en cet état ? (Acte 3, scène 3, CRITON)
Tenez, Socrate, voilà ce que le Sénat vous envoie. (Acte 3, scène 3, LE GEÔLIER)
Mon cher ami, je vous demande pardon pour ma femme ; elle a toujours grondé son mari, elle vous traite de même : je vous prie d'excuser cette petite vivacité. (Acte 3, scène 3, SOCRATE)
Par quelle horrible injustice nous êtes-vous ravi ? (Acte 3, scène 3, UN DES DISCIPLES)
Vous allez mourir ! (Acte 3, scène 3, UN DES DISCIPLES)
Voici le breuvage de l'immortalité. Ce n'est pas ce corps périssable qui vous a aimés, qui vous a enseignés, c'est mon âme seule qui a vécu avec vous; et elle vous aimera à jamais. (Acte 3, scène 3, SOCRATE)
Vous souriez ? (Acte 3, scène 3, UN DES DISCIPLES)
Qu'avez-vous fait ? (Acte 3, scène 3, CRITON)
En vérité, mon mari, vous me fendez le coeur, et j'étranglerais tous les juges de mes mains. Je vous grondais, mais je vous aimais ; et ce sont des gens polis qui vous empoisonnent. (Acte 3, scène 3, XANTIPPE)
Calmez-vous, ma bonne Xantippe ; ne pleurez point, mes amis : il ne sied pas aux disciples de Socrate de répandre des larmes. (Acte 3, scène 3, SOCRATE)
Faut-il que vous soyez une de ces victimes ? (Acte 3, scène 3, CRITON)
Il est vrai que j'aurais voulu joindre à la consolation de vous voir celle d'embrasser aussi Sophronime et Aglaé : je suis étonné de ne les pas voir ici ; ils auraient rendu mes derniers moments encore plus doux qu'ils ne sont. (Acte 3, scène 3, SOCRATE)
Ils ignorent que vous avez consommé l'iniquité de vos juges : ils parlent au peuple ; ils encouragent les magistrats qui ont pris votre parti. (Acte 3, scène 3, CRITON)
Aglaé révèle le crime d'Anitus : sa honte va être publique : Aglaé et Sophonime vous sauveraient peut-être la vie. (Acte 3, scène 3, CRITON)
Cher Socrate, pourquoi avez-vous précipité vos derniers moments ? (Acte 3, scène 3, CRITON)
Divin Socrate, ne craignez rien ; Xantippe, consolez-vous ; dignes disciples de Socrate, ne pleurez plus. (Acte 3, scène 4, AGLAÉ)
Le peuple est à la porte de la prison, et attend que vous paraissiez, pour vous conduire chez vous en triomphe. (Acte 3, scène 4, SOPHRONIME)
Pourquoi obéissiez-vous ? (Acte 3, scène 4, UN DES DISCIPLES)
Vous avez trop tardé. (Acte 3, scène 4, XANTIPPE)
Je vais mourir : mais l'exemple d'amitié et de grandeur d'âme que vous donnez au monde ne périra jamais. (Acte 3, scène 4, SOCRATE)
Mes disciples bien aimés, écoutez toujours la voix de la philosophie, qui méprise les persécuteurs, et qui prend pitié des faiblesses humaines ; et vous, ma fille Aglaé, mon fils Sophronime, soyez toujours semblables à vous-mêmes. (Acte 3, scène 4, SOCRATE)
Que nous sommes à plaindre de n'avoir pu mourir pour vous ! (Acte 3, scène 4, AGLAÉ)

SOPHONISBE (1774)

Qu'on l'amène, vous dis-je. Époux infortuné, v.15 (Acte 1, scène 1, SYPHAX)
Que voulez-vous, Syphax ? Et quelle tyrannie v.29 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Mais vous les employez dans votre tribunal v.35 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Pour vous, pour votre femme également honteuse. v.46 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Nos murs sont assiégés ; vous n'avez plus d'appui, v.47 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Seigneur, si vous l'osez, condamnez cet écrit. v.52 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
« Vous êtes de mon sang ; je vous fus longtemps chère, v.53 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Et vous persécutez vos parents malheureux. v.54 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Soyez digne de vous ; le brave est généreux : v.55 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Répondez : quel reproche avez-vous à me faire ? v.59 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Pouvez-vous l'ignorer ? et faut-il vous l'apprendre ? v.63 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Elle combat pour vous, et sur ce mur fatal v.69 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Elle arbore avec vous l'étendard d'Annibal : v.70 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Mais si jusqu'à la fin le ciel vous abandonne, v.71 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Si vous êtes vaincu, je veux qu'on vous pardonne. v.72 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
C'est donc pour votre roi que vous demandez grâce ? v.76 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
L'imploreront pour vous, et ne l'obtiendront pas. v.78 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Et mon rival en tout ; se flatta de vous plaire ; v.80 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Que de vous souvenir de son feu téméraire. v.83 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Seigneur, je ne veux point, dans l'état où vous êtes, v.87 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Mais vos maux sont les miens ; qu'ils puissent vous toucher. v.89 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Et d'attendre avec vous l'esclavage ou la mort. v.94 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Je vous donnai ma main, prenez encor ma vie. v.96 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Mais si je suis coupable en implorant pour vous v.97 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Le vainqueur irrité dont vous êtes jaloux, v.98 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Si j'ai voulu briser le joug qui vous accable, v.99 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Si je veux vous sauver, la faute est excusable. v.100 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Vous avez, croyez-moi, des soins plus importants. v.101 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Vous l'êtes ; j'ai des yeux : le fond de votre coeur, v.121 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Quoi que vous en disiez, était pour mon vainqueur. v.122 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
L'amour auprès de vous ne guida point mes pas ; v.125 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Je voulais un vrai zèle, et vous n'en avez pas. v.126 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Ne recherchent sur vous le sang de votre roi. v.130 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Je péris glorieux, et vous mourrez punie : v.136 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Vous n'aurez, en tombant, que la honte et l'horreur v.137 (Acte 1, scène 2, SYPHAX)
Non, seigneur ; malgré vous je marche sur vos pas ; v.141 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Vous m'accablez en vain, je ne vous quitte pas, v.142 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Je cherche autant que vous une mort glorieuse ; v.143 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Je vous suis. v.145 (Acte 1, scène 2, SOPHONISBE)
Il vous laisse, et vous devez tout craindre. v.147 (Acte 1, scène 3, PHAEDIME)
Je vous vois tous les deux également à plaindre : v.148 (Acte 1, scène 3, PHAEDIME)
Vous coupable ! Il l'était d'oublier aujourd'hui v.157 (Acte 1, scène 3, PHAEDIME)
Son malheur l'aigrissait ; il vous rendra justice. v.163 (Acte 1, scène 3, PHAEDIME)
Vous verriez aisément son amitié renaître. v.171 (Acte 1, scène 3, PHAEDIME)
Il doit vous respecter, puisqu'il doit vous connaître. v.172 (Acte 1, scène 3, PHAEDIME)
Le roi, couvert de sang, m'ordonne de vous dire v.215 (Acte 1, scène 4, ACTOR)
Que loin de ce palais vous vous laissiez conduire. v.216 (Acte 1, scène 4, ACTOR)
Je vous suis, Actor. Vous lui direz v.217 (Acte 1, scène 4, SOPHONISBE)
Ceux qui veillaient sur vous se sont tous écartés. v.227 (Acte 2, scène 1, PHAEDIME)
Il ne vous reste plus que des femmes tremblantes, v.229 (Acte 2, scène 1, PHAEDIME)
On entre, on vient à vous : je reconnais Actor. v.263 (Acte 2, scène 1, PHAEDIME)
Ministre de mon roi, qui vous amène encor ? v.264 (Acte 2, scène 2, SOPHONISBE)
Qu'a-t-on fait ? que deviens-je ? et qu'allez-vous m'apprendre ? v.265 (Acte 2, scène 2, SOPHONISBE)
Il garde jusqu'ici le silence sur vous : v.300 (Acte 2, scène 2, ACTOR)
Il vient suivi des siens ; il vous cherche peut-être. v.325 (Acte 2, scène 2, ACTOR)
Actor, vous que je vois, dans ce moment prospère, v.333 (Acte 2, scène 3, MASSINISSE)
Je vous prends à témoin si l'inhumanité v.335 (Acte 2, scène 3, MASSINISSE)
Mais vous savez assez tout ce qu'elle a perdu. v.351 (Acte 2, scène 3, ACTOR)
Le sang de son époux fut par vous répandu ; v.352 (Acte 2, scène 3, ACTOR)
Ils l'ont mal défendue ; et, pour vous dire plus, v.355 (Acte 2, scène 3, MASSINISSE)
Je règne ; et je suis las, puisqu'il faut vous le dire, v.382 (Acte 2, scène 4, MASSINISSE)
Cependant nous devons vous apprendre v.385 (Acte 2, scène 4, ALAMAR)
Qui peut-être aujourd'hui fut écrit pour vous-même. v.389 (Acte 2, scène 4, ALAMAR)
Romains, vous n'avez point de triomphe plus beau... v.400 (Acte 2, scène 4, MASSINISSE)
S'honorer de vous rendre un légitime hommage ; v.411 (Acte 2, scène 5, SOPHONISBE)
Qui marchait devant vous, que suivait la fureur, v.413 (Acte 2, scène 5, SOPHONISBE)
Et qui vous a donné cette grande victoire ; v.414 (Acte 2, scène 5, SOPHONISBE)
C'est vous, auguste reine, en tout temps révérée, v.422 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
La lettre que tantôt vous m'avez adressée, v.426 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Quoi, seigneur ! jusqu'à vous ma lettre est parvenue ! v.430 (Acte 2, scène 5, SOPHONISBE)
Et par tant de bontés vous m'aviez prévenue ! v.431 (Acte 2, scène 5, SOPHONISBE)
Je n'ai plus qu'une grâce a prétendre de vous. v.433 (Acte 2, scène 5, SOPHONISBE)
Qui ? vous en leur pouvoir ! et d'un pareil affront v.440 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Vous auriez soupçonné qu'on pût couvrir mon front ! v.441 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Je commande dans Cirthe ; et c'est assez vous dire v.442 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Que les Romains sur vous n'ont point ici d'empire. v.443 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
En vous le demandant je n'en ai point douté. v.444 (Acte 2, scène 5, SOPHONISBE)
Ils vous respecteront ; vos frayeurs sont injustes. v.450 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Vous avez attesté tous ces mânes augustes, v.451 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Je les prends à témoin, et c'est pour vous apprendre v.454 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Que j'ai pu, comme vous, mériter d'en descendre. v.455 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Il finirait pour vous, si je l'avais suivi. v.460 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Le sang dont vous sortez n'aura jamais servi : v.461 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Et même cet amour par vous trop dédaigné. v.468 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Je règne dans ces murs où vous avez régné ; v.469 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Je vous les rends, madame, et voilà ma vengeance. v.471 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Sophonisbe, il suffit que vous me connaissiez. v.473 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
Vous me rendrez justice, et c'est ma récompense. v.474 (Acte 2, scène 5, MASSINISSE)
S'il respecte dans vous le nom de vos aïeux, v.493 (Acte 2, scène 6, PHAEDIME)
Autorisent les feux que vous vous reprochiez : v.500 (Acte 2, scène 6, PHAEDIME)
Vous viviez sous le nom de reine détrônée, v.503 (Acte 2, scène 6, PHAEDIME)
Qu'on vous laisse un vain titre, et qu'un bandeau royal v.504 (Acte 2, scène 6, PHAEDIME)
L'amour ira plus loin ; j'ose vous en flatter : v.508 (Acte 2, scène 6, PHAEDIME)
Songez qu'au rang des rois vous pouvez remonter : v.512 (Acte 2, scène 6, PHAEDIME)
Vous présentait un sceptre au lieu de l'esclavage, v.531 (Acte 2, scène 6, PHAEDIME)
Reine, il faut vous apprendre v.534 (Acte 2, scène 7, ACTOR)
Je reviens à vos pieds périr ou vous défendre. v.543 (Acte 2, scène 7, ACTOR)
Expliquez-vous, Lélie, avec cette franchise v.567 (Acte 3, scène 1, MASSINISSE)
Après avoir vaincu n'oseriez-vous parler ? v.573 (Acte 3, scène 1, MASSINISSE)
Que pensez-vous, du moins, que Scipion prétende ? v.574 (Acte 3, scène 1, MASSINISSE)
Il viendra dans ces lieux vous apprendre lui-même v.579 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Sur vos grands intérêts vous pourrez conférer. v.581 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Il vous annoncera ses projets sur l'Afrique. v.582 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Vous savez qu'Annibal est déjà vers Utique ; v.583 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Cette guerre nouvelle à vous deux est commune. v.587 (Acte 3, scène 1, LELIE)
De la reine, seigneur, vous ne me parlez pas v.589 (Acte 3, scène 1, MASSINISSE)
C'est vous en dire assez. v.591 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Mais si vous demandez, seigneur, ce que je pense v.595 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Seigneur, et c'est à vous de recevoir ses lois, v.604 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Vous qui dans les combats brûliez de le répandre, v.618 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Quel étrange intérêt pourriez-vous bien y prendre, v.619 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Vous, de sa race entière éternel ennemi, v.620 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Vous, du peuple romain le vengeur et l'ami ? v.621 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Seigneur, qui vous a donc changé ? v.636 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Quoi ! vous seriez trahi quand vous seriez vengé ! v.637 (Acte 3, scène 1, LELIE)
En quelque rang qu'il soit, doit vous être sacré : v.645 (Acte 3, scène 1, MASSINISSE)
Et vous insulteriez une femme, une reine ! v.646 (Acte 3, scène 1, MASSINISSE)
Vous oseriez charger de votre indigne chaîne v.647 (Acte 3, scène 1, MASSINISSE)
Parlez à Scipion, vous pourrez le fléchir. v.649 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Seigneur, ne dépendra ni de vous ni de lui ; v.653 (Acte 3, scène 1, MASSINISSE)
Et vous ne voudrez pas, par des caprices vains, v.656 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Vous priver des bontés qu'ont pour vous les Romains. v.657 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Il vous chérit encor, mais craignez qu'un refus v.660 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Ne vous attire ici des ordres absolus. v.661 (Acte 3, scène 1, LELIE)
Des ordres ! vous, Romains ! ingrats, dont ma vaillance v.662 (Acte 3, scène 2, MASSINISSE)
Verrez-vous dans vos mains flétrir tant de lauriers ? v.673 (Acte 3, scène 2, MASSINISSE)
Vous avez entendu ce discours téméraire. v.674 (Acte 3, scène 2, MASSINISSE)
Me seconderez-vous ? v.686 (Acte 3, scène 2, MASSINISSE)
Il n'est rien avec vous qu'un Numide redoute. v.687 (Acte 3, scène 2, ALAMAR)
Nous vous en tracerons dans le sang des Romains. v.697 (Acte 3, scène 2, ALAMAR)
La nuit approche ; allez, je viendrai vous guider ; v.708 (Acte 3, scène 2, MASSINISSE)
Vous savez en ces lieux combien Rome est haïe, v.710 (Acte 3, scène 2, MASSINISSE)
Revolez à mon camp, je vous joins dans une heure ; v.722 (Acte 3, scène 2, MASSINISSE)
Je marche à votre tête ; et, s'il vous faut périr, v.724 (Acte 3, scène 2, MASSINISSE)
Je n'attends que de vous le destin de ma vie. v.727 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Vous avez, d'un seul mot, écarté les orages v.730 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Par vous seul confondue, et par vous rassurée, v.734 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Je n'en eus pas besoin : vous aurez des asiles v.743 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Et ce n'est pas à vous désormais de trembler. v.745 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Répandu par les miens, rejaillît jusqu'à vous. v.749 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
La cendre de Syphax ne peut vous accuser ; v.752 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Vous n'avez qu'un parti, celui de m'épouser ; v.753 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Ah ! que m'avez-vous dit ? Sophonisbe éperdue v.758 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Seigneur, je vous ai fui, je vous ai rebuté ; v.761 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Je n'acceptai sa main que pour vous faire outrage ; v.763 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Mais connaissez mon coeur, il vous aima toujours. v.765 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Est-il possible ! ô dieux ! vous, dont l'âme inhumaine v.766 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Vous m'aimiez, Sophonisbe ! et dans ses déplaisirs, v.768 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Massinisse accablé vous coûtait des soupirs ! v.769 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Je le voulus en vain : c'est à vous de juger v.772 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
D'un bonheur inouï vous venez me flatter ; v.780 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Vous m'offrez votre main, je ne puis l'accepter. v.781 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Vous ! quels dieux ennemis à vos bontés s'opposent ? v.782 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Je meurs sans être à vous. v.788 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Connaissez qui je suis, et qui vous insultez : v.789 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
C'est ce même serment qui devant vous m'amène ; v.790 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Vous, seigneur ! vous pourriez enfin vous repentir v.792 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
De vous être abaissé jusques à la servir ? v.793 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Je me repens de tout, puisque je vous adore ; v.794 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Je ne vois plus que vous, si vous m'aimez encore. v.795 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
J'apporte à cet autel, en vous donnant la main, v.796 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Plus irrité que vous, et plus qu'Annibal même, v.798 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Oui, je déteste Rome autant que je vous aime. v.799 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Écoutez ; vous n'avez qu'un instant ; v.800 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Vos fers sont préparés... un trône vous attend. v.801 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Scipion va venir... Carthage vous appelle ; v.802 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Et si vous balancez, c'est un crime envers elle. v.803 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Vous m'unissez à lui pour punir les Romains ! v.809 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Parmi des flots de sang ma main va vous conduire : v.819 (Acte 3, scène 3, MASSINISSE)
Ils savent mieux que vous cet art de l'Italie. v.830 (Acte 3, scène 3, SOPHONISBE)
Il veut que, sans tarder, à vous-même on l'annonce ; v.834 (Acte 3, scène 4, PHAEDIME)
C'est à vous de garder le palais et la tour, v.842 (Acte 4, scène 1, LELIE)
Vous avez désarmé sans peine et sans effort v.846 (Acte 4, scène 1, LELIE)
Vous, gardez cette porte ; et vous, veillez ici. v.863 (Acte 4, scène 1, LELIE)
Venez-vous m'annoncer son ordre irrévocable ? v.865 (Acte 4, scène 2, MASSINISSE)
Pouvez-vous écouter ce que je dois vous dire ? v.868 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Vous paraissez troublé ! v.869 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Aux projets des Romains, que vous me présentez, v.870 (Acte 4, scène 2, MASSINISSE)
Le trône de Syphax déjà vous est rendu ; v.874 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Pour vous favoriser, on joint la Mazénie : v.877 (Acte 4, scène 2, LELIE)
On vous a déjà dit que Cirthe, Hippone, Utique, v.880 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Décidez maintenant si vous voulez demain v.882 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Carthage ! Oubliez-vous qu'Annibal la défend, v.886 (Acte 4, scène 2, MASSINISSE)
Que sur votre chemin ce héros vous attend ? v.887 (Acte 4, scène 2, MASSINISSE)
Vous voyez vos devoirs et tous vos avantages. v.892 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Vous-même devant moi ne vous respectez pas : v.903 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Vous me verriez bientôt prêt à vous satisfaire ; v.914 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Ils sont, ainsi que vous, tombés en ma puissance. v.921 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Vous avez abusé de notre confiance : v.922 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Et nous vous épargnons des malheurs superflus. v.924 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Si vous voulez de Rome obtenir quelque grâce, v.925 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Rentrez dans le devoir dont vous osiez sortir. v.928 (Acte 4, scène 2, LELIE)
On vous rendra, seigneur, vos soldats et vos armes, v.929 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Et quand vous cesserez de préférer en vain v.931 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Vous avez combattu sous nous avec courage ; v.933 (Acte 4, scène 2, LELIE)
Venez-vous insulter à mon heure dernière ? v.954 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Dans l'abîme où je suis venez-vous m'enfoncer ; v.955 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Je viens vous embrasser. v.956 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Vous devez pardonner si de votre conduite v.958 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Mais je me dois à Rome, et beaucoup plus qu'à vous. v.964 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Mais, à quelque attentat que l'on vous ait porté, v.968 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Voulez-vous maintenant écouter la justice, v.969 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Vous les avez toujours sans réserve attestés : v.972 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Les voici ; c'est par vous qu'à moi-même promise v.973 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Avez-vous contre moi quelque droit légitime ? v.977 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Vous plaindrez-vous toujours que Rome vous opprime ? v.978 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Ils étaient imprudents ; mais vous m'aimiez alors : v.984 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Je vous confiai tout, ma colère et ma flamme. v.985 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Sophonisbe est ma femme, et vous la ravissez ! v.992 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Elle n'est point à vous, elle est notre captive ; v.993 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
La loi des nations pour jamais vous en prive ; v.994 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Je ne veux point ici vous parler de moi-même ; v.997 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Mais jeune comme vous, et dans un rang suprême, v.998 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Vous savez si mon coeur a jamais succombé v.999 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
A ce piège fatal où vous êtes tombé. v.1000 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Soyez digne de vous, vous pouvez encor l'être. v.1001 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Il est vrai qu'en Espagne, où vous régnez en maître, v.1002 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
La gloire, l'intérêt, seigneur,. vous ont touché ; v.1004 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Vous n'enlevâtes point une femme éplorée, v.1005 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Pourquoi démentez-vous pour un infortuné v.1007 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Cet exemple éclatant que. vous avez donné ? v.1008 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
L'Espagnol vous bénit, mais je vous dois ma haine ; v.1009 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Vous lui rendez sa femme, et m'arrachez la mienne. v.1010 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Consul, il me suffit ; j'avais cru vous connaître, v.1017 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Je m'étais bien trompé : mais vous êtes le maître. v.1018 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Ces dieux, dont vous savez interpréter la loi, v.1019 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Voulez-vous en effet qu'à Rome on la conduise ? v.1022 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Que vous-même avec moi vous l'aviez résolu. v.1024 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Ne vous figurez pas qu'un appareil frivole, v.1025 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
L'honneur ! Quoi, vous osez !... Mais je ne puis prétendre, v.1041 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Quand je suis désarmé, que vous vouliez m'entendre. v.1042 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
Je vous ai déjà dit que vous seriez content ; v.1043 (Acte 4, scène 4, MASSINISSE)
N'attendez qu'un ami, si vous êtes fidèle. v.1049 (Acte 4, scène 4, SCIPION)
Eh bien ! connaissez-vous quelle horreur vous opprime, v.1065 (Acte 4, scène 6, MASSINISSE)
Savez-vous des Romains la barbare insolence, v.1069 (Acte 4, scène 6, MASSINISSE)
Dieux des Carthaginois ! vous à qui je m'immole v.1097 (Acte 4, scène 7, MASSINISSE)
Vous que ma femme implore, et qui l'abandonnez, v.1099 (Acte 4, scène 7, MASSINISSE)
Donnerez-vous la force à mes sens forcenés, v.1100 (Acte 4, scène 7, MASSINISSE)
Pensez-vous qu'il s'obstine encore à nous braver ? v.1114 (Acte 5, scène 1, SCIPION)
Pouvez-vous y compter ? Vous fiez-vous à lui ? v.1122 (Acte 5, scène 1, LELIE)
Surtout de Sophonisbe il faut vous assurer. v.1129 (Acte 5, scène 1, LELIE)
Plus que vous ne pensez vous devient nécessaire v.1131 (Acte 5, scène 1, LELIE)
Ennemi des grands noms, et peut-être de vous. v.1134 (Acte 5, scène 1, LELIE)
Fera taire l'envie à vous nuire obstinée ; v.1136 (Acte 5, scène 1, LELIE)
Reconnaître dans vous son maître et son vainqueur ; v.1142 (Acte 5, scène 2, PHAEDIME)
Vous, jusques à ma flotte ayez soin de guider v.1149 (Acte 5, scène 2, SCIPION)
Et la reine et les siens, qu'il vous faudra garder. v.1150 (Acte 5, scène 2, SCIPION)
Ne vous repentez pas de votre fermeté. v.1153 (Acte 5, scène 3, SCIPION)
La victime par vous si longtemps désirée v.1155 (Acte 5, scène 3, MASSINISSE)
S'est offerte elle-même : elle vous est livrée. v.1156 (Acte 5, scène 3, MASSINISSE)
La raison vous rend à vos amis. v.1158 (Acte 5, scène 3, SCIPION)
Vous revenez à moi : pardonnez à Lélie v.1159 (Acte 5, scène 3, SCIPION)
D'avoir réparé tout en vous domptant vous-même. v.1164 (Acte 5, scène 3, SCIPION)
Épargnez-vous, seigneur, un vain remercîment : v.1165 (Acte 5, scène 3, MASSINISSE)
Vous pleurez ! v.1167 (Acte 5, scène 3, SCIPION)
Ce regret qui vous presse v.1167 (Acte 5, scène 3, SCIPION)
Que votre âme subjugue, et que vous oublierez. v.1169 (Acte 5, scène 3, SCIPION)
Si vous avez un coeur vous vous en souviendrez. v.1170 (Acte 5, scène 3, MASSINISSE)
J'aurais de son destin voulu vous laisser maître ; v.1172 (Acte 5, scène 3, SCIPION)
Je vous la rends, Romains, elle est à vous. v.1178 (Acte 5, scène 3, MASSINISSE)
Ce coeur, ce noble coeur que vous avez percé. v.1186 (Acte 5, scène 3, MASSINISSE)

TANCRÈDE (1760)

Vous assembler chez moi pour chasser nos tyrans, v.3 (Acte 1, scène 1, ARGIRE)
Je ne veux point ici vous rappeler ces temps v.35 (Acte 1, scène 1, ARGIRE)
Je servirai l'état, vous, et votre famille ; v.50 (Acte 1, scène 1, ORBASSAN)
Je marche à Solamir, et je cours vous venger. v.52 (Acte 1, scène 1, ORBASSAN)
Vous savez qu'à regret on m'y vit condescendre. v.141 (Acte 1, scène 1, ARGIRE)
Blâmez-vous le sénat ? v.142 (Acte 1, scène 1, LOREDAN)
À mon gendre Orbassan vous daignez l'accorder. v.157 (Acte 1, scène 1, ARGIRE)
Vous suivre est pour mes ans un assez beau partage ; v.158 (Acte 1, scène 1, ARGIRE)
Je serai près de vous ; j'aurai cet avantage. v.159 (Acte 1, scène 1, ARGIRE)
Et vous auront vu vaincre avant de se fermer. v.162 (Acte 1, scène 1, ARGIRE)
Nous combattrons sous vous, seigneur ; nous osons croire v.163 (Acte 1, scène 1, LOREDAN)
Pourrai-je en vous d'un fils trouver le caractère ? v.169 (Acte 1, scène 2, ARGIRE)
Dois-je compter sur vous ? v.170 (Acte 1, scène 2, ARGIRE)
Je vous l'ai dit assez : v.170 (Acte 1, scène 2, ORBASSAN)
Mon coeur qui vous haït ne vous eût estimé, v.175 (Acte 1, scène 2, ORBASSAN)
Mon hymen à pour but l'honneur de vous complaire, v.182 (Acte 1, scène 2, ORBASSAN)
Pourra fléchir en vous ce courage rigide. v.191 (Acte 1, scène 2, ARGIRE)
Vous sentez que ma fille, au sortir de l'enfance, v.194 (Acte 1, scène 2, ARGIRE)
Vous-même pardonnez à mon humeur austère : v.200 (Acte 1, scène 2, ORBASSAN)
Vous regarder en elle, et m'honorer moi-même. v.208 (Acte 1, scène 2, ORBASSAN)
Votre père, le ciel, vous donnent un époux ; v.211 (Acte 1, scène 3, ARGIRE)
Vous connaissez son nom, son rang, sa renommée ; v.215 (Acte 1, scène 3, ARGIRE)
Du noeud qui vous rejoint votre fille est le gage ; v.229 (Acte 1, scène 3, ARMENAIDE)
Vous le devez, madame ; et, loin de m'opposer v.235 (Acte 1, scène 3, ORBASSAN)
Loin de vous détourner d'un soin si légitime, v.237 (Acte 1, scène 3, ORBASSAN)
Des droits que j'ai sur vous je craindrais d'abuser. v.238 (Acte 1, scène 3, ORBASSAN)
Vous semblez interdite, et vos yeux pleins d'effroi, v.243 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Dans vos propres foyers vous priva d'un asile ; v.253 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Vous remit dans vos biens, vous rendit vos honneurs, v.269 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Se reposa sur vous du destin de ses armes, v.270 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Je sais quel intérêt, quel espoir vous anime ; v.276 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Il sera fortuné, c'est à vous de m'en croire. v.280 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Je vous aime, ma fille, et j'aime votre gloire. v.281 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Je vous donne au héros qui marche contre lui, v.285 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Quel appui ! Vous vantez sa superbe fortune ; v.288 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Et si vous l'avez vu dans les murs de Byzance, v.303 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Vous savez qu'il nous hait. v.304 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Pour ce fier Orbassan contre vous s'animèrent, v.308 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Qu'ils ravirent vos biens, et qu'ils vous opprimèrent, v.309 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Tancrède aurait pour vous affronté le trépas. v.310 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Rendez-vous aux conseils d'un père qui vous guide ; v.312 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Conformez-vous au temps, conformez-vous aux lieux. v.313 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Consolez mes vieux ans dont vous faites l'espoir. v.321 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Et je mourrai content si vous vivez heureuse. v.324 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Je vous ai consacré mes sentiments, ma vie ; v.327 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Au crédit d'Orbassan trop d'intérêt vous lie : v.329 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Comment ? Que dites-vous ? v.333 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Vous offense peut-être, et vous semble une injure. v.334 (Acte 1, scène 4, ARMENAIDE)
Vous seule, vous, ma fille, en abusant trop d'elles. v.342 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Vous me l'avez bien dit, je suis né malheureux : v.347 (Acte 1, scène 4, ARGIRE)
Je sens combien cet ordre est douloureux pour vous. v.360 (Acte 1, scène 6, FANIE)
Quand la route par vous fut une fois choisie. v.364 (Acte 1, scène 6, FANIE)
Peu de coeurs comme vous tiennent contre l'absence. v.381 (Acte 1, scène 6, FANIE)
Mais il est loin de vous. v.389 (Acte 1, scène 6, FANIE)
Si vous l'avez toujours présent à la pensée, v.436 (Acte 2, scène 1, FANIE)
Vous avez su du moins le taire en écrivant. v.437 (Acte 2, scène 1, FANIE)
Je ne puis cependant vous cacher mon effroi. v.443 (Acte 2, scène 1, FANIE)
Hélas ! Qu'en d'autres lieux sa bonté vous rassemble. v.446 (Acte 2, scène 1, FANIE)
Vous aviez paru craindre. v.483 (Acte 2, scène 1, FANIE)
Contre vous, après tout, serait-elle écoutée ? v.491 (Acte 2, scène 1, FANIE)
Retirez-vous !... Sortez. v.516 (Acte 2, scène 2, ARGIRE)
Qu'entends-je ? Vous, mon père ! v.516 (Acte 2, scène 2, ARMENAIDE)
Aviez-vous fait le vôtre ? v.528 (Acte 2, scène 2, ARMENAIDE)
Vous n'exigerez pas qu'un père malheureux v.537 (Acte 2, scène 3, ARGIRE)
Vous ne le voulez pas... c'est un barbare effort : v.541 (Acte 2, scène 3, ARGIRE)
Mais vous-même avez vu cette lettre coupable ; v.545 (Acte 2, scène 3, LOREDAN)
Seigneur, je vous entends. v.553 (Acte 2, scène 3, ARGIRE)
Je cède à ma douleur... je m'abandonne à vous... v.556 (Acte 2, scène 3, ARGIRE)
Sur le point d'être à vous et marchant à l'autel, v.572 (Acte 2, scène 4, CATANE)
Orbassan, comme vous nous sentons votre injure ; v.590 (Acte 2, scène 4, CATANE)
Son supplice vous venge, et ne vous flétrit pas. v.593 (Acte 2, scène 4, CATANE)
Grand Dieu ! Vous connaissez l'objet de tous mes voeux ; v.600 (Acte 2, scène 5, ARMENAIDE)
Vous connaissez mon coeur : est-il donc si coupable ? v.601 (Acte 2, scène 5, ARMENAIDE)
Vous voulez voir encor cet objet condamnable ? v.602 (Acte 2, scène 5, CATANE)
Je le sais comme vous : un même soin m'anime. v.606 (Acte 2, scène 5, ORBASSAN)
Éloignez-vous, soldats. v.607 (Acte 2, scène 5, ORBASSAN)
Qu'osez-vous attenter ? v.607 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
À mes derniers moments venez-vous insulter ? v.608 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Je vous donnais ma main, je vous avais choisie ; v.610 (Acte 2, scène 6, ORBASSAN)
Et pour vous, pour l'état, et surtout pour ma gloire, v.619 (Acte 2, scène 6, ORBASSAN)
Ce titre me suffit ; je me respecte en vous ; v.622 (Acte 2, scène 6, ORBASSAN)
Vous ? v.627 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
J'en exige un de vous, non tel que la contrainte v.641 (Acte 2, scène 6, ORBASSAN)
Je puis mourir pour vous, mais je dois être aimé. v.646 (Acte 2, scène 6, ORBASSAN)
Vous me forcez, seigneur, à la reconnaissance ; v.652 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Mon dernier sentiment est de vous estimer. v.654 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Connaissez-moi ; sachez que mon coeur vous offense ; v.655 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Je ne vous trahis point : je n'avais rien promis. v.657 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Je ne peux vous aimer ; je ne peux à ce prix v.660 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Je ne puis vous tromper, n'attendez rien de moi. v.669 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Je vous parais coupable après un tel outrage ; v.670 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Si jusqu'à vous complaire il pouvait s'oublier. v.672 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
De vous pour mon époux ni pour mon chevalier. v.674 (Acte 2, scène 6, ARMENAIDE)
Mais quitte envers ma gloire, aussi bien qu'envers vous, v.679 (Acte 2, scène 6, ORBASSAN)
Ô mort ! Affreuse mort ! Puis-je vous soutenir ? v.690 (Acte 2, scène 7, ARMENAIDE)
Que ne puis-je avant vous expirer en ces lieux ! v.700 (Acte 2, scène 7, FANIE)
Je le suis comme vous : les citoyens sont frères. v.717 (Acte 3, scène 1, TANCRÈDE)
Deux ans dans l'orient sous vous j'ai combattu ; v.718 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
Je vous vis effacer l'éclat de vos ancêtres ; v.719 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
Né dans votre maison, je vous suis asservi. v.722 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
Vous ne devez être que mon ami. v.723 (Acte 3, scène 1, TANCRÈDE)
Cette place y conduit : plus loin vous contemplez v.729 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
Vous, qu'on suspende ici mes chiffres effacés ; v.741 (Acte 3, scène 1, TANCRÈDE)
Vous direz qu'un guerrier, qui veut être inconnu, v.752 (Acte 3, scène 1, TANCR?DE)
Comme vous l'avez su, le respectable Argire. v.756 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
Où je vous ai reçu, grâce à mon heureux sort, v.771 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
On vous y persécute, ils sont affreux pour moi. v.774 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
Quel que soit le dessein, seigneur, qui vous inspire, v.787 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
Puisque vous m'envoyez, je réponds du succès. v.788 (Acte 3, scène 1, ALDAMON)
La gloire vous attend aux tentes des césars ; v.823 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
Elle n'est point pour vous dans ces affreux remparts : v.824 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
Fuyez ; vous n'y verriez que la honte et le crime. v.825 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
Seigneur, vous enlevait le bien de vos aïeux. v.836 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
Que le ciel irrité vient de lancer sur vous. v.840 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
L'infidèle, seigneur, vous trahissait tous deux. v.847 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
Ah ! Seigneur, arrêtez ; il faut donc tout vous dire : v.874 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
Ces portiques, ces lieux que vous voyez déserts, v.890 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
Éloignez-vous, venez. v.892 (Acte 3, scène 3, ALDAMON)
Vous voyez le moins grand de ces dignes guerriers. v.902 (Acte 3, scène 4, TANCRÈDE)
Je venais... pardonnez... dans l'état où vous êtes, v.903 (Acte 3, scène 4, TANCR?DE)
Ah ! Vous êtes le seul qui m'osiez consoler ; v.905 (Acte 3, scène 4, ARGIRE)
Vous-même, pardonnez à mon désordre extrême. v.907 (Acte 3, scène 4, ARGIRE)
Plein de respect pour vous, touché comme vous-même v.909 (Acte 3, scène 4, TANCRÈDE)
Honteux, et frémissant de vous interroger ; v.910 (Acte 3, scène 4, TANCR?DE)
Malheureux comme vous... ah ! Par pitié... de grâce, v.911 (Acte 3, scène 4, TANCR?DE)
Il s'en présentera, gardez-vous d'en douter. v.934 (Acte 3, scène 4, TANCRÈDE)
De quel espoir, seigneur, daignez-vous me flatter ? v.935 (Acte 3, scène 4, ARGIRE)
Pour vous, pour votre gloire, et pour votre vertu. v.939 (Acte 3, scène 4, TANCRÈDE)
Vous rendez quelque vie à ce coeur abattu. v.940 (Acte 3, scène 4, ARGIRE)
Je demande de vous, seigneur, pour récompense, v.946 (Acte 3, scène 4, TANCRÈDE)
Ah ! Seigneur, c'est le ciel, c'est Dieu qui vous envoie. v.949 (Acte 3, scène 4, ARGIRE)
Hélas ! Qui vois-je en vous ? v.955 (Acte 3, scène 4, ARGIRE)
Vous voyez un vengeur. v.955 (Acte 3, scène 4, TANCRÈDE)
Nous marcherons à lui. Vous, si vous m'en croyez, v.961 (Acte 3, scène 5, ORBASSAN)
Des sentiments si grands sont bien dignes de vous. v.969 (Acte 3, scène 5, ORBASSAN)
Mais vous, qui n'avez point cet affreux ministère, v.979 (Acte 3, scène 5, ORBASSAN)
Qui peut vous retenir, et qui peut vous forcer v.980 (Acte 3, scène 5, ORBASSAN)
On vient ; éloignez-vous. v.982 (Acte 3, scène 5, ORBASSAN)
Et qui donc êtes-vous ? v.983 (Acte 3, scène 5, ORBASSAN)
Peut-être autant que vous à l'état nécessaire. v.985 (Acte 3, scène 5, TANCRÈDE)
Chevaliers, citoyens, vous qui tous avez part v.993 (Acte 3, scène 6, ARMENAIDE)
Ce n'est pas devant vous que je me justifie. v.995 (Acte 3, scène 6, ARMENAIDE)
Que ce ciel qui m'entend juge entre vous et moi. v.996 (Acte 3, scène 6, ARMENAIDE)
Oui, je vous outrageais, j'ai trahi votre loi ; v.998 (Acte 3, scène 6, ARMENAIDE)
Et vous, mon père, et vous, témoin de mon supplice, v.1006 (Acte 3, scène 6, ARMENAIDE)
Vous, sachez, compagnons, qu'en quittant la carrière, v.1039 (Acte 3, scène 6, ORBASSAN)
Viens ; et vous, chevaliers, j'espère qu'aujourd'hui v.1043 (Acte 3, scène 6, TANCRÈDE)
Ah ! Que me voulez-vous ? v.1046 (Acte 3, scène 7, ARMENAIDE)
Vous m'avez condamnée. v.1047 (Acte 3, scène 7, ARMENAIDE)
Voulez-vous, ô mon_Dieu, qui prenez sa défense, v.1048 (Acte 3, scène 7, ARGIRE)
Quels bienfaits à mes yeux daignez-vous accorder ? v.1050 (Acte 3, scène 7, ARGIRE)
Mais, si vous êtes père, ôtez-moi de ces lieux ; v.1058 (Acte 3, scène 7, ARMENAIDE)
Vous nous avez privés d'un brave chevalier, v.1068 (Acte 4, scène 1, LOREDAN)
Si je puis vous servir, qu'importe qui je sois ? v.1076 (Acte 4, scène 1, LOREDAN)
Demeurez ignoré, puisque vous voulez l'être ; v.1077 (Acte 4, scène 1, LOREDAN)
Nous perdons notre appui, mais vous le remplacez. v.1083 (Acte 4, scène 1, LOREDAN)
Rendez-nous le héros que vous nous ravissez ; v.1084 (Acte 4, scène 1, LOREDAN)
Solamir vous attend. v.1086 (Acte 4, scène 1, LOREDAN)
Oui, je vous ai promis v.1086 (Acte 4, scène 1, TANCRÈDE)
De marcher avec vous contre vos ennemis ; v.1087 (Acte 4, scène 1, TANCR?DE)
Je le hais plus que vous ; mais, quoi qu'il en puisse être, v.1090 (Acte 4, scène 1, TANCR?DE)
À la victoire ; et vous, qui l'allez partager, v.1104 (Acte 4, scène 1, LOREDAN)
Vous serez averti quand il faudra vous rendre v.1105 (Acte 4, scène 1, LOREDAN)
Ne remplirez-vous pas l'indispensable usage v.1114 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
Qui vous doit son honneur, ses jours, sa liberté, v.1116 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
Eh quoi ! Pour la servir vous cherchiez le trépas, v.1120 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
Et vous fuyez loin d'elle ? v.1121 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
Je vois trop à quel point son crime vous irrite ; v.1122 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
Mais pour ce crime, enfin, vous avez combattu. v.1123 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
La loi vous persécute, et l'amour vous outrage. v.1139 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
Je vous suis au combat ; je vous suis pour jamais, v.1141 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
Elle vous a paru tantôt moins criminelle. v.1154 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
L'univers, disiez-vous, au mensonge est livré ; v.1155 (Acte 4, scène 2, ALDAMON)
"Puissiez-vous vivre en maître au sein de Syracuse, v.1166 (Acte 4, scène 2, TANCRÈDE)
Je vous suis, c'en est fait. v.1184 (Acte 4, scène 3, TANCRÈDE)
À vos pieds, comme moi, va tomber devant vous. v.1187 (Acte 4, scène 4, ARMENAIDE)
Je n'ose vous nommer... et vous baissez la vue... v.1192 (Acte 4, scène 4, ARMENAIDE)
Ne puis-je vous revoir, en cet affreux séjour, v.1193 (Acte 4, scène 4, ARMENAIDE)
Vous êtes consterné... mon âme est confondue ; v.1195 (Acte 4, scène 4, ARMENAIDE)
Je crains de vous parler... quelle contrainte, hélas ! v.1196 (Acte 4, scène 4, ARMENAIDE)
Vous détournez les yeux... vous ne m'écoutez pas. v.1197 (Acte 4, scène 4, ARMENAIDE)
Envers vous, envers lui, j'ai rempli mon devoir, v.1201 (Acte 4, scène 4, ARMENAIDE)
Mon coeur vous en dégage... et le vôtre est le maître v.1204 (Acte 4, scène 4, ARMENAIDE)
Qu'ai-je donc fait, Tancrède ? Ai-je pu vous déplaire ? v.1219 (Acte 4, scène 5, ARMENAIDE)
Tout parlait contre vous, jusqu'à votre silence, v.1236 (Acte 4, scène 5, FANIE)
De vos communs tyrans armés contre vous deux. v.1239 (Acte 4, scène 5, FANIE)
Que je n'osais nommer, que vous avez proscrit, v.1274 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Ce que je vous confie en craignant tout pour lui. v.1280 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Je puis me plaindre à vous, je le sais... mais, mon père, v.1291 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Que mon coeur désolé tremble de vous en faire ; v.1293 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Ils sont trop malheureux. C'est en vous que j'espère ; v.1296 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Ah ! Rendez-moi l'honneur que vous m'avez ôté. v.1298 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Moi rester ! Je vous suis aux combats. v.1302 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Qu'à l'indigne échafaud où vous me conduisiez. v.1305 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Seigneur, il n'est plus temps que vous me refusiez : v.1306 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
J'ai quelques droits sur vous ! Mon malheur me les donne. v.1307 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Quoi ! Ces affreuses lois, dont le poids vous opprime, v.1321 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Vous frémissez, mon père ; ah ! Vous deviez frémir v.1330 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Au superbe Orbassan vous pûtes vous unir v.1332 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Quand vous m'avez forcée à vous désobéir. v.1334 (Acte 4, scène 6, ARMENAIDE)
Vous, observez ses pas. v.1342 (Acte 4, scène 6, ARGIRE)
Seigneur, il a longtemps combattu près de vous ; v.1381 (Acte 5, scène 1, LOREDAN)
Quand du chemin d'Etna vous fermiez le passage, v.1385 (Acte 5, scène 1, CATANE)
Nous revenions vers vous, conduits par la victoire : v.1402 (Acte 5, scène 1, CATANE)
Ô vous, de qui la force est égale à l'audace, v.1435 (Acte 5, scène 2, ARGIRE)
Vous qui du faix des ans n'êtes point affaiblis, v.1436 (Acte 5, scène 2, ARGIRE)
Quand j'apprendrai de vous qu'il vit sans m'outrager, v.1452 (Acte 5, scène 3, ARMENAIDE)
Sachez (il faut enfin m'en vanter devant vous) v.1480 (Acte 5, scène 3, ARMENAIDE)
Par ses mânes, par vous, vous, trop malheureux père, v.1486 (Acte 5, scène 3, ARMENAIDE)
De nous aimer en vous, d'être unis pour vous plaire, v.1487 (Acte 5, scène 3, ARMENAIDE)
C'est ce même Aldamon qui sous vous a servi. v.1507 (Acte 5, scène 4, FANIE)
Entendez-vous ces cris qui vantent sa vaillance ? v.1512 (Acte 5, scène 4, FANIE)
Que vous avez de lui trop longtemps attendu. v.1517 (Acte 5, scène 4, FANIE)
Tout vous rit, tout vous sert, tout venge votre outrage ; v.1518 (Acte 5, scène 4, FANIE)
Je vous apporte ici de funestes adieux. v.1545 (Acte 5, scène 5, ALDAMON)
Doit vous apprendre, hélas ! Sa dernière pensée. v.1547 (Acte 5, scène 5, ALDAMON)
Ô mes yeux ! Lirez-vous ce sanglant caractère ? v.1555 (Acte 5, scène 5, ARMENAIDE)
J'aurais voulu, cruelle, en m'exposant pour vous, v.1559 (Acte 5, scène 5, ARMENAIDE)
Vous avoir conservé la gloire avec la vie... " v.1560 (Acte 5, scène 5, ARMENAIDE)
Vous en êtes la cause... ah ! Devant qu'il expire... v.1575 (Acte 5, scène 5, ARMENAIDE)
Ô fille infortunée ! On conduit devant vous v.1577 (Acte 5, scène 6, LOREDAN)
Ah ! Vous m'avez trahi ! v.1599 (Acte 5, scène 6, TANCRÈDE)
Aménaïde... Ô ciel ! Est-il vrai ? Vous m'aimez ? v.1609 (Acte 5, scène 6, TANCRÈDE)
Vous m'aimez ! ô bonheur plus grand que mes revers ! v.1614 (Acte 5, scène 6, TANCRÈDE)
Mais il faut vous quitter, ma mort est douloureuse ! v.1622 (Acte 5, scène 6, TANCRÈDE)
Hélas ! Mon cher fils, puissiez-vous v.1628 (Acte 5, scène 6, ARGIRE)
Il meurt et vous pleurez... v.1636 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)
Vous cruels, vous tyrans, qui lui coûtez la vie ! v.1637 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)
Que l'enfer engloutisse et vous et ma patrie, v.1638 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)
Il meurt, et vous vivez ! v.1643 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)
Vous vivez, je le suis... je l'entends, il m'appelle... v.1644 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)
Je vous laisse aux tourments qui vous sont réservés. v.1646 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)
Arrêtez... vous n'êtes point mon père ; v.1647 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)
Vous fûtes leur complice... Ah ! Pardonnez, hélas ! v.1649 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)
Je meurs en vous aimant... j'expire entre tes bras, v.1650 (Acte 5, scène 6, ARMENAIDE)

LE DUC D'ALENÇON (1751)

Vous me voyez jeté dans le parti contraire ; v.5 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vous sûtes mes desseins, vous connaissez mon cour ; v.7 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vous m'aviez destiné vous-même à votre soeur. v.8 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Mais il faut vous parler, et vous faire connaître v.9 (Acte 1, scène 1, COUCY)
L'âme d'un vrai soldat, digne de vous peut-être. v.10 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Seigneur, vous pouvez tout. v.11 (Acte 1, scène 1, DANGESTE)
Seigneur, et c'est de quoi je cherche à vous parler. v.44 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Vous montrer votre gloire, et ce que vous devez v.67 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Au héros qui vous sert et par qui vous vivez. v.68 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Je réunis pour vous mon service et mes voeux : v.71 (Acte 1, scène 1, COUCY)
Qu'avec étonnement, seigneur, je vous contemple ! v.81 (Acte 1, scène 1, DANGESTE)
Que vous donnez au monde un rare et grand exemple ! v.82 (Acte 1, scène 1, DANGESTE)
Il faut vous admirer, quand on sait vous connaître ; v.85 (Acte 1, scène 1, DANGESTE)
Vous servez votre ami, vous servirez mon maître. v.86 (Acte 1, scène 1, DANGESTE)
Dangeste, demeurez. Vous connaissez trop bien v.91 (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Vous savez si je l'aime, et si je l'ai servie ; v.93 (Acte 1, scène 2, LE DUC)
Seigneur, songez-vous bien que de cette journée v.109 (Acte 1, scène 3, COUCY)
Oui, vous me verrez vaincre, ou mourir son époux. v.111 (Acte 1, scène 3, LE DUC)
Je vous parle du vôtre, et vous parlez d'amour. v.128 (Acte 1, scène 3, COUCY)
Le dauphin vous offrait une honorable paix... v.135 (Acte 1, scène 3, COUCY)
Eh ! Quel autre intérêt pourriez-vous écouter ? v.147 (Acte 1, scène 3, COUCY)
Vous poussez à l'excès l'amour et la colère. v.149 (Acte 1, scène 3, COUCY)
On le doit, on le peut ; je ne vous flatte pas ; v.151 (Acte 1, scène 3, COUCY)
Mais, en vous condamnant, je suivrai tous vos pas ; v.152 (Acte 1, scène 3, COUCY)
Vous y voulez tomber, et j'y cours avec vous. v.156 (Acte 1, scène 3, COUCY)
C'est vous dont l'esprit ferme et les yeux pénétrants v.165 (Acte 2, scène 1, LE DUC)
Que n'ai-je, comme vous, ce tranquille courage, v.167 (Acte 2, scène 1, LE DUC)
Prince, ce feu guerrier qu'en vous on voit paraître v.171 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Sera maître de tout quand vous en serez maître. v.172 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Vous l'avez su régler, et vous avez vaincu ; v.173 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Pour moi, de qui le bras faiblement vous seconde, v.176 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Dans l'ardeur du combat je vous ai peu servi ; v.178 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Mais l'État, la patrie, il faut vous en parler. v.206 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Vous, placé près du trône, à ce trône attaché, v.217 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Si les malheurs des temps vous en ont arraché, v.218 (Acte 2, scène 1, COUCY)
À des noeuds étrangers s'il fallut vous résoudre, v.219 (Acte 2, scène 1, COUCY)
Que vous soyez tombé sous de tels ennemis, v.266 (Acte 2, scène 3, DANGESTE)
La plus tendre amitié vous unissait tous deux. v.270 (Acte 2, scène 3, DANGESTE)
Prisonnier comme vous dans ces murs odieux, v.289 (Acte 2, scène 3, DANGESTE)
Elle vous aime ! v.341 (Acte 2, scène 4, NEMOURS)
Et vous, mon frère, et vous, soyez ici témoin v.349 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
De l'ennemi des rois vous avez craint l'hommage. v.355 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Vous aimez, vous servez une cour qui m'outrage. v.356 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Eh bien ! il faut céder : vous disposez de moi. v.357 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
L'amour qui, malgré vous, nous a faits l'un pour l'autre, v.359 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Vous, courez, mon cher frère ; allez de ce moment v.361 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Que me voulez-vous dire ? Et pourquoi tant d'alarmes ? v.371 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Vous ne connaissez pas ses redoutables charmes. v.372 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Entre nous... c'en est trop. Qui vous l'a dit, cruel ? v.374 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Mais de vous, en effet, était-elle ignorée ? v.375 (Acte 2, scène 4, LE DUC)
Allez, cruel, allez ! Vous ne jouirez pas v.425 (Acte 2, scène 5, LE DUC)
Dangeste, suivez-moi ; vous, veillez sur ce traître. v.428 (Acte 2, scène 5, LE DUC)
Le seriez-vous, Seigneur ? Auriez-vous démenti v.429 (Acte 2, scène 6, COUCY)
Le sang de ces héros dont vous êtes sorti ? v.430 (Acte 2, scène 6, COUCY)
Auriez-vous violé, par cette lâche injure, v.431 (Acte 2, scène 6, COUCY)
De pouvoir aujourd'hui vous réunir tous deux ; v.438 (Acte 2, scène 6, COUCY)
Si vous avez un coeur digne de votre race, v.443 (Acte 2, scène 6, COUCY)
Rapprochez les partis ; unissez-vous à moi v.445 (Acte 2, scène 6, COUCY)
Ne vous en flattez pas : vos soins sont inutiles. v.448 (Acte 2, scène 6, NEMOURS)
Vous pourriez espérer de réunir deux frères v.451 (Acte 2, scène 6, NEMOURS)
Je vous plains tous les deux, mais je sers votre frère ; v.464 (Acte 2, scène 6, COUCY)
Mais le prince m'attend ; je vous laisse, et j'y vole ; v.471 (Acte 2, scène 6, COUCY)
Je vous la donne. v.473 (Acte 2, scène 6, NEMOURS)
Que ce fatal amour qui vous perdra tous deux. v.478 (Acte 2, scène 6, COUCY)
Ah ! Seigneur, où l'avez-vous conduite ? v.487 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Quoi ! Vous l'abandonnez, vous ordonnez sa fuite ! v.488 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Cependant vous restez au pouvoir d'un barbare. v.500 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Il vous a menacé : menace-t-il en vain ? v.506 (Acte 3, scène 1, DANGESTE)
Et vous êtes perdu si le peuple excité v.549 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Quoi que vous décidiez, ma main est toute prête. v.556 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Vous vouliez ce matin, par un heureux traité, v.557 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Ne vous rebutez pas ordonnez, et j'espère v.559 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Mais s'il vous tant combattre et courir au trépas, v.561 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Vous savez qu'un ami ne vous survivra pas. v.562 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Il est dans cette tour où vous seul commandez. v.570 (Acte 3, scène 3, LE DUC)
Vous leur avez promis de trahir la nature ? v.580 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Et, pour leur obéir, vous lui percez le flanc ! v.582 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Ainsi donc à l'amour vous le sacrifiez, v.586 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Et vous me chargez, moi, du soin de son supplice ! v.587 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Je n'attends pas de vous cette prompte justice. v.588 (Acte 3, scène 3, LE DUC)
Vous ne vous plaindrez pas qu'un ami vous trahisse. v.604 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Je me rends, non à vous, non à votre fureur, v.605 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Dans de pareils moments, vous éprouviez la foi ; v.610 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Et vous reconnaîtrez, au succès de mon zèle, v.611 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Si Coucy vous aimait, et s'il vous fut fidèle. v.612 (Acte 3, scène 3, COUCY)
Vous m'entendez ; volez, et servez ma vengeance. v.616 (Acte 3, scène 4, LE DUC)
Vous, que sur nos remparts on porte nos drapeaux ; v.621 (Acte 3, scène 4, LE DUC)
Veut, seigneur, en secret vous parler un moment. v.670 (Acte 3, scène 5, L-OFFICIER)
Je vous avais promis, Seigneur, de vous servir. v.678 (Acte 3, scène 6, COUCY)
Du soin de vous venger charger une autre main ? v.686 (Acte 3, scène 6, COUCY)
Au prix de votre sang vous voudriez sauver v.697 (Acte 3, scène 6, COUCY)
Ce sang dont vos fureurs ont voulu vous priver, v.698 (Acte 3, scène 6, COUCY)
Je peux donc m'expliquer ; je peux donc vous apprendre v.699 (Acte 3, scène 6, COUCY)
Que de vous-même enfin Coucy sait vous défendre ; v.700 (Acte 3, scène 6, COUCY)
Mais gardez vos remords ; et vous séchez vos pleurs. v.702 (Acte 3, scène 6, COUCY)
Les aveugles fureurs du feu qui vous dévore, v.712 (Acte 3, scène 7, COUCY)
Sûr que dans quelque temps vous ouvririez les yeux. v.714 (Acte 3, scène 7, COUCY)
D'expier devant vous, par le plus grand supplice, v.720 (Acte 3, scène 7, LE DUC)
Je m'arrache le coeur en vous rendant heureux : v.729 (Acte 3, scène 7, LE DUC)
Aimez-vous, mais au moins pardonnez-moi tous deux. v.730 (Acte 3, scène 7, LE DUC)
La plus tendre amitié va me rejoindre à vous : v.734 (Acte 3, scène 7, DANGESTE)
Vous nous payez trop bien de nos douleurs souffertes. v.735 (Acte 3, scène 7, DANGESTE)
Mais vous m'apprenez tous à suivre la vertu. v.737 (Acte 3, scène 7, LE DUC)
Allons apprendre au roi, pour qui vous combattez, v.741 (Acte 3, scène 7, LE DUC)
Et vous faire oublier, après tant de tourments, v.745 (Acte 3, scène 7, LE DUC)

LA FEMME QUI A RAISON (1759)

C'est pour vous amasser, avec sa ladrerie, v.18 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Un bien que vous savez dépenser noblement ; v.19 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Je suis bonne, et vous devez connaître v.25 (Acte 1, scène 1, MADAME DURU)
Eh ! mon_Dieu, point du tout ; vous vous moquez, je pense. v.30 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Qui, vous ? Vous, du respect pour un Monsieur Duru ? v.31 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Fort bien. Nous vous verrions, si nous l'en avions cru, v.32 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Vous êtes Demoiselle ; et quand l'adversité, v.35 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Avec Monsieur Duru vous fit en biens commune, v.37 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Et vous aviez, je crois, un peu trop de douceur, v.40 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Voulez-vous pas encore aller sacrifier v.43 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Vous devriez, ma foi, la conclure aujourd'hui. v.48 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Eh ! De ce plein pouvoir que ne vous servez-vous v.51 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Ce serait mon bonheur de vous avoir pour gendre v.54 (Acte 1, scène 1, MADAME DURU)
Au nom du cher objet qui de vous tient le jour, v.68 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Oh, çà, vous aimez donc ma fille à la folie ? v.74 (Acte 1, scène 1, MADAME DURU)
Vous aurez quatre enfants, qui d'une âme soumise, v.77 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
D'un coeur toujours à vous... v.78 (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Quel rocher ! Vous voyez un homme ici, ma fille v.81 (Acte 1, scène 2, MADAME DURU)
Le rendant importun, ne vous déplaise un peu. v.84 (Acte 1, scène 2, MADAME DURU)
Oh ! Non, ne craignez rien ; s'il n'a pu vous déplaire v.85 (Acte 1, scène 2, ÉRISE)
J'aime à vous obéir. Comment ne pas vouloir v.87 (Acte 1, scène 2, ?RISE)
Ce que vous commandez, ce qui fait mon devoir, v.88 (Acte 1, scène 2, ?RISE)
Vous l'avez commandé, mon coeur en est témoin. v.91 (Acte 1, scène 2, ÉRISE)
Nous sommes deux ici contre vous. Ah Madame ! v.93 (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Vous l'avez allumée, et vous ne voudrez point v.95 (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Voir mourir sans s'unir ce que vous avez joint. v.96 (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Parlez donc, aidez-moi. Qu'avez-vous à sourire? v.97 (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Mais vous parlez si bien que je n'ai rien à dire ; v.98 (Acte 1, scène 2, ÉRISE)
C'est pitié de vous voir ainsi sécher tous deux, v.103 (Acte 1, scène 2, MADAME DURU)
Je l'aime éperdument, et mon coeur vous conjure v.114 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
Voyez-vous, je suis homme à perdre la raison ; v.116 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
C'est un plaisir divin qui n'appartient qu'à vous, v.123 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
Et vous serez, ma mère, heureuse autant que nous. v.124 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
Ah ! vous êtes si bonne ! Auriez-vous la rigueur v.127 (Acte 1, scène 3, ÉRISE)
Vous l'aimez, voulez-vous le rendre misérable ? v.130 (Acte 1, scène 3, ?RISE)
Désespérerez-vous par tant de cruautés, v.131 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
J'ai donné ma parole et je vous la tiendrai. v.144 (Acte 1, scène 3, MADAME DURU)
Toujours des mais ? Vous allez encor dire v.145 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Qh ! Laissez-moi parler. Vous saurez, mes enfants, v.147 (Acte 1, scène 3, MADAME DURU)
J'ai dépensé beaucoup à vous bien élever ; v.155 (Acte 1, scène 3, MADAME DURU)
Il vous en reste assez. v.171 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
Il vient pour un grand cas, dit-il, qui vous importe. v.182 (Acte 1, scène 4, MARTHE)
Si tard, Monsieur Gripon ! Quel sujet vous attire ? v.185 (Acte 1, scène 5, MADAME DURU)
Je m'en vais vous le dire. v.186 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
L'ordre de votre père que je vous porte ici. v.188 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
La proposition, mes enfants, doit vous plaire. v.197 (Acte 1, scène 5, MADAME DURU)
Comment la trouvez-vous ? v.198 (Acte 1, scène 5, MADAME DURU)
Tout comme vous, ma mère. v.198 (Acte 1, scène 5, DAMIS, ÉRISE)
Que ça vous satisfasse, ou que ça vous déplaise, v.201 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
Vous, à coeur mon affaire ? v.204 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
Vous les voyez en moi, corps pour corps, trait pour trait, v.219 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
Oh ! Monsieur, je vous jure v.221 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Et vous, qui souriez, vous ne me dites rien ? v.227 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
Je dis la même chose, et je vous promets bien v.228 (Acte 1, scène 5, ÉRISE)
Il n'est point tendre amant, vous répondez fort mal. v.231 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
Je vous jure qu'il l'est. v.232 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
L'ami de la maison, mêlez-vous, je vous prie, v.233 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
Vous aurez des enfants, souples, respectueux, v.239 (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRIPON)
Eh ! Que faites-vous donc vers le soir ? v.252 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Allez, vous nous ravissez l'âme. v.258 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
Sans vous déplaire, v.261 (Acte 1, scène 5, MARTHE)
Peut-ou vous proposer une excellente affaire ? v.262 (Acte 1, scène 5, MARTHE)
Vous donnez aux enfants du logis v.263 (Acte 1, scène 5, MARTHE)
Vous pourriez, et je vous en conjure v.266 (Acte 1, scène 5, MARTHE)
Eh bien ! Vous laissez-vous tous les quatre effrayer v.271 (Acte 1, scène 6, MARTHE)
Madame, vous voyez qu'il est indispensable, v.273 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
Madame, on vous y force, et tout vous autorise, v.277 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Résolvez-vous, Madame, ou nous sommes perdus. v.284 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Je peux vous assurer que c'est aussi le mien. v.296 (Acte 1, scène 6, MADAME DURU)
Que devant vous encor je n'en saurais rougir. v.306 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
À peine hier au soir sortîtes-vous d'ici, v.310 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Ah ! Si vous connaissiez cette ardeur vive et pure v.319 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Si vous saviez... v.323 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Vous ignorez les feux dont je suis consumé. v.325 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Mon cher Monsieur Gripon, vous n'avez point aimé. v.326 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Comment ; vous aussi, vous ? v.327 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Vous concevez donc bien l'emportement extrême, v.328 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Je le vois bien ; enfin, vous me le pardonnez ? v.333 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Je reviendrai ce soir vous marier tous deux. v.354 (Acte 2, scène 1, MONSIEUR GRIPON)
Au bout de trente jours vous ne retrouvez rien. v.394 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR DURU)
Bonjour, compère. Eh bien, vous avez terminé v.398 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR GRIPON)
Je vous trouve un peu vieux. v.400 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR GRIPON)
Je vous dis que j'enrage. v.400 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR DURU)
J'ai pour vous dans mes mains, en beaux et bons papiers, v.405 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR GRIPON)
Revenez-vous bien riche ? v.407 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR GRIPON)
Moquez-vous du monde. v.407 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR GRIPON)
Vous voyez quel logis et quel train. La coquine !... v.412 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR DURU)
Et cela fait plaisir. Écoutez, je vous prie ; v.468 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Où courez-vous si vite, aimable et chère enfant ? v.469 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Quoi ! Vous êtes suivante ; et de qui, ma mignonne ? v.471 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Savez-vous qui je suis ? v.474 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Non ; mais je vois assez ce que vous pouvez être. v.475 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Vous faire ici du bien, même en argent comptant. v.478 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Vous me ferez plaisir. Mais, Monsieur, le temps presse, v.479 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Que vous me surprenez ; je ne m'attendais pas v.485 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Quoi ! Cela vous surprend... Vous bonhomme, à votre âge ? v.487 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Faut-il tout vous apprendre ? v.492 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
D'où diable venez-vous.? v.493 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Vous me paraissez neuf quoiqu'antique. v.494 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Vous tenez donc maison ? v.496 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Et dans cette maison que fait-on, s'il vous plaît, v.497 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
De quoi vous mêlez-vous ? v.498 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Vous, Monsieur ? v.499 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Monsieur Duru vous fait ce présent par ma main. v.502 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
C'est à vous de montrer l'excès de votre zèle v.504 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Que, par malheur pour vous, vous n'avez jamais vu. v.506 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DURU)
Quelque amant ! Vous osez attaquer notre honneur ! v.509 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Quelque amant, dites-vous ? v.513 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Que ce n'est pas à vous à fourrer votre nez v.514 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Et vous êtes un sot avec vos questions. v.517 (Acte 2, scène 2, MARTHE)
Qu'avez vous donc, Monsieur, qui parlez seul ainsi. v.545 (Acte 2, scène 7, LE MARQUIS)
Mais j'étais étonné que vous fussiez ici. v.546 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DURU)
Ne serait pas content de vous y voir paraître. v.548 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DURU)
Lui mécontent de moi ? Qui vous à dit cela ? v.549 (Acte 2, scène 7, LE MARQUIS)
Chez qui vous avez pris des façons si commodes, v.551 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DURU)
Le connaissez-vous ? v.552 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DURU)
Mais vous connaissez fort Madame ? v.554 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DURU)
Si vous avez besoin de sa protection, v.557 (Acte 2, scène 7, LE MARQUIS)
Faites donc moins de bruit, je vous ai déjà dit, v.573 (Acte 2, scène 8, LE MARQUIS)
Quel est donc cet homme, je vous prie ? v.580 (Acte 2, scène 8, ÉRISE)
Est-ce que mon mari, Monsieur, vous a fâché ? v.585 (Acte 2, scène 8, ÉRISE)
À mon père, Monsieur, lorsque vous écrirez, v.589 (Acte 2, scène 8, ÉRISE)
Eh bien, je vous en fais la confidence entière. v.595 (Acte 2, scène 8, LE MARQUIS)
Je vous en donne ici ma parole d'honneur. v.614 (Acte 2, scène 8, LE MARQUIS)
N'avez-vous donc pas vu les débris de la noce ? v.615 (Acte 2, scène 8, LE MARQUIS)
Vous m'avez tous bien l'air d'aimer le fruit précoce, v.616 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DURU)
On peut vous pardonner cette vivacité. v.622 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DURU)
Vous paraissez d'ailleurs un homme assez aimable, v.623 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DURU)
Ah ! Gardez-vous-en bien, Monsieur ; elle repose. v.628 (Acte 2, scène 8, ÉRISE)
Vous voilà bien au fait. Je vais avec Madame, v.635 (Acte 2, scène 8, LE MARQUIS)
Toute à vous. v.643 (Acte 2, scène 8, ÉRISE)
Ouvrez, vous dis-je, il faut qu'enfin tout se découvre. v.652 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR DURU)
Sans doute, et vous l'avez voulu. v.663 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR GRIPON)
Vous radotez. v.665 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR DURU)
Morbleu, vous vous moquez ; tout est fait. v.669 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR DURU)
Vous a fait cette nuit presser ce mariage ? v.674 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR DURU)
Vous payerez bien cher ce détestable tour ! v.684 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR DURU)
Lâches, vous apprendrez que c'est moi qui suis Maître. v.685 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR DURU)
Êtes-vous avocat? v.713 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DURU)
Êtes-vous marié ? v.714 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DURU)
Vous êtes curieux et poli, je le vois. v.720 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Je veux savoir de vous celle qui, par surprise, v.721 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DURU)
Vous savez, cher Gripon, qu'un ordre de mon père v.726 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Et qui donc êtes-vous, s'il vous plaît, v.739 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Quoi ! C'est vous, mon mari, mon cher époux ?... v.757 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Oh ! Pardon ; j'ignorais que vous fussiez chez vous. v.760 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Et qui vous aurait cru le mari de Madame ? v.762 (Acte 3, scène 5, MARTHE)
Vous retrouvez ici toute votre famille ; v.769 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Que voulez-vous de plus ? Faut-il après douze ans v.771 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Vous n'êtes point ma femme ; elle était ménagère ; v.773 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DURU)
C'est ainsi qu'à profit vous placiez mon argent ? v.787 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DURU)
Je puis avoir des torts, vous quelques préjugés. v.791 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Modérez-vous de grâce, écoutez et jugez. v.792 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Quand vous eûtes acquis, dans votre heureux voyage, v.798 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Monsieur, je vous en écrivis. v.832 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Cette union est sage, et doit vous le paraître. v.833 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Vous le serez toujours. v.840 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Tout ici doit vous plaire, v.841 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
Serez-vous inflexible ? v.842 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
Vite, attendrissez-vous. v.844 (Acte 3, scène 5, MARTHE)
Croyez-moi, mettez-vous aussi de la partie. v.846 (Acte 3, scène 5, MARTHE)
Personne n'attendait que vous vinssiez ici. v.847 (Acte 3, scène 5, MARTHE)
La maison va fort bien, vous voilà, restez-y. v.848 (Acte 3, scène 5, MARTHE)
Soyez gai comme nous, ou que Dieu vous renvoie, v.849 (Acte 3, scène 5, MARTHE)
Nous vous promettons tous de vous tenir en joie. v.850 (Acte 3, scène 5, MARTHE)
Eh bien, vous rendez-vous ? v.857 (Acte 3, scène 5, MADAME DURU)
Mais, ne mangez, pas tout, Madame, je vous prie. v.862 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DURU)
Dix fois cent mille francs par vous sont-ils placés ? v.864 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DURU)

ROME SAUVÉE (1750)

Faiblesses des humains, évanouissez-vous. v.24 (Acte 1, scène 1, CATILINA)
Avez-vous réuni les chefs des conjurés ? v.27 (Acte 1, scène 2, CATILINA)
Vous m'avez bien servi ; l'amour m'a servi mieux. v.67 (Acte 1, scène 2, CATILINA)
Vous, courez dans Préneste, où nos amis secrets v.71 (Acte 1, scène 2, CATILINA)
Vous, près du Capitole, allez soudain vous rendre. v.74 (Acte 1, scène 2, CATILINA)
Songez qui vous servez, et gardez vos serments. v.75 (Acte 1, scène 2, CATILINA)
Je vous suis en tremblant sous ces murs ténébreux. v.80 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Vous détournez de moi des yeux tristes et sombres. v.86 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
(Je ne vous parle point des dangers de sa mère, v.90 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Et je ne vois, hélas ! Que ceux que vous courez) : v.91 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Expliquez-vous. v.93 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Si vous daignez m'aimer, si vous êtes à moi, v.96 (Acte 1, scène 3, CATILINA)
Vous voyez le sénat, le peuple divisés, v.99 (Acte 1, scène 3, CATILINA)
Je le souhaite au moins. Mais me tromperiez-vous ? v.103 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
En vous justifiant, vous redoublez ma crainte. v.105 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Notre hymen lui déplut, vous le savez assez : v.111 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Du pouvoir que sur moi l'amour vous a donné ! v.116 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Vous avez un parti ; mais Cicéron, mon père, v.117 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Peut-être Nonnius vient vous perdre aujourd'hui. v.119 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Je ne puis m'expliquer, mais souvenez-vous bien v.123 (Acte 1, scène 3, CATILINA)
Je vous ouvre à tous deux, et vous devez m'en croire, v.129 (Acte 1, scène 3, CATILINA)
Que voulez-vous ? Pourquoi forcer votre destin ? v.132 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Ne vous suffit-il pas, dans la paix, dans la guerre, v.133 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Pour tomber de plus haut, où voulez-vous monter ? v.135 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Vous-même, environne d'une troupe en furie, v.145 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Et votre épouse enfin mourante auprès de vous. v.148 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Je cours, je vous demande au milieu des ténèbres : v.150 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Je vous retrouve, hélas ! et vous me replongez v.151 (Acte 1, scène 3, AURELIE)
Quand je sers et l'état, et vous, et mes amis. v.155 (Acte 1, scène 3, CATILINA)
Il vous mande en secret. v.166 (Acte 1, scène 4, MARTIAN)
Allez, souvenez-vous que vos nobles ancêtres v.173 (Acte 1, scène 4, CATILINA)
Quoi ! Vous femme et Romaine, et du sang d'un Néron, v.175 (Acte 1, scène 4, CATILINA)
Vous seriez sans orgueil et sans ambition ? v.176 (Acte 1, scène 4, CATILINA)
Où votre aveuglement vous conduit par le crime. v.194 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Qui ? Vous ? v.195 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
Vous feignez de penser que Rome et le sénat v.199 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Votre orgueil l'attendait, mais en étiez-vous digne ? v.202 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Pour vous faire espérer de dispenser des lois v.207 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Si j'avais vu dans vous ce que vous deviez être. v.210 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Vous pouviez de l'état être un jour le soutien : v.211 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Pensez-vous affaiblir ma gloire et ma puissance, v.213 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Tremblez que votre nom ne finisse dans vous. v.220 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Vous abusez beaucoup, magistrat d'une année, v.221 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
Si j'en avais usé, vous seriez dans les fers, v.223 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Vous, l'éternel appui des citoyens pervers ; v.224 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Vous qui, de nos autels souillant les privilèges, v.225 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Vous enfin, qui sans moi seriez peut-être à craindre. v.230 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Vous avez corrompu tous les dons précieux v.231 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Que, pour un autre usage, ont mis en vous les dieux ; v.232 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Je détournais de vous des regards paternels, v.235 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Dans le rang des Verrès ne vous mit point encore ; v.238 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Jusqu'à trahir l'État vous avez attenté. v.240 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Sachez que je vous crois leur chef ou leur complice ; v.250 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Que malgré vous encore il est de vrais Romains ; v.252 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Sentira comme vous l'équité qui m'anime. v.254 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Vous n'avez vu dans moi qu'un rival de grandeur, v.255 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Qui va dans un moment vous forcer de répondre v.257 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Au tribunal des lois qui doivent vous confondre ; v.258 (Acte 1, scène 5, CICERON)
De ces lois que je venge, et que vous renversez. v.260 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Je vous ai déjà dit, seigneur, que votre place v.261 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
Ah ! Si vous soupçonnez ceux qui savent combattre, v.282 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
Vous-même jugez-vous ; l'avez-vous mérité ? v.288 (Acte 1, scène 5, CICERON)
Si vous avez voulu me parler en ami, v.291 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
Vous vous êtes trompé, je suis votre ennemi : v.292 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
Si c'est en citoyen, comme vous je crois l'être, v.293 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
C'est trop souffrir le zèle où vous vous emportez. v.300 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
Je veux que vous sachiez que le plus grand de tous v.303 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
N'est pas d'être accusé, mais protégé par vous. v.304 (Acte 1, scène 5, CATILINA)
Vous prenez dans César une assurance entière ; v.438 (Acte 2, scène 2, SURA)
Vous lui donnez Préneste ; il devient notre appui. v.439 (Acte 2, scène 2, SURA)
Pensez-vous me forcer à dépendre de lui ? v.440 (Acte 2, scène 2, SURA)
Ce n'est qu'au premier rang que vous devez prétendre. v.442 (Acte 2, scène 2, CATILINA)
Pourquoi vous abaisser à briguer ce soutien ? v.448 (Acte 2, scène 2, SURA)
Pourquoi le rechercher alors que je vous sers ? v.451 (Acte 2, scène 2, SURA)
Peut-être qu'à vous seul il daignera céder, v.463 (Acte 2, scène 2, SURA)
Je ne souffrirai point, puisqu'il faut vous le dire, v.465 (Acte 2, scène 2, SURA)
Je vous ai prodigué mon service et ma foi, v.467 (Acte 2, scène 2, SURA)
Et je renonce à vous, s'il l'emporte sur moi. v.468 (Acte 2, scène 2, SURA)
Je ferai plus, peut-être ; en un mot, vous pensez v.475 (Acte 2, scène 2, CATILINA)
Enfin donc sans César vous n'entreprenez rien ? v.483 (Acte 2, scène 2, SURA)
Allez, j'espère en vous plus que dans César même. v.485 (Acte 2, scène 2, CATILINA)
Vous tous, braves guerriers de tout rang, de tout âge, v.601 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous tous, mes vrais amis, mes égaux, mes soutiens. v.604 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Encor quelques moments, un dieu qui vous seconde v.605 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
La peine était pour vous, le fruit pour vos tyrans. v.608 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous permettaient de loin d'adorer leur puissance. v.614 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Le jour de la vengeance est arrivé pour vous. v.615 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous pourriez dédaigner une telle victoire ; v.618 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
A l'heure où je vous parle on doit saisir Préneste ; v.625 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
C'est là que, par les droits que vous donne la guerre, v.633 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous, des gladiateurs aurons-nous les cohortes ? v.638 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Leur joignez-vous surtout ces braves vétérans, v.639 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous, du mont Célius êtes-vous assuré ? v.644 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous, au mont Aventin que tout soit mis en cendre. v.646 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Dès que de Mallius vous verrez les drapeaux, v.647 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous l'avez tous juré, doit être Cicéron : v.651 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous avez dans vos mains le destin de la terre ; v.661 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
C'est reprendre vos droits, et c'est vous ressaisir v.663 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
De l'univers dompté qu'on osait vous ravir. v.664 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Vous, de ces grands desseins les auteurs magnanimes, v.665 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Et vous, dignes Romains, jurez par cette épée, v.669 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Allez, et cette nuit Rome entière est à vous. v.676 (Acte 2, scène 6, CATILINA)
Sitôt que du sénat vous me verrez sortir, v.684 (Acte 3, scène 1, CATILINA)
Vous avez partagé leur trahison funeste ; v.737 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Repentez-vous, ingrate, ou périssez comme eux..." v.738 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Ce billet peut vous perdre. v.741 (Acte 3, scène 2, CETHEGUS)
Il faut tout vous apprendre, il faut tout éclaircir. v.742 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Vous, dans ce jour de sang marqué pour ma puissance, v.744 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Voulez-vous préférer un père à votre époux ? v.745 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Pour la dernière fois dois-je compter sur vous ? v.746 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Que quand j'en serai maître, et quand vous régnerez. v.758 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Partez, daignez me croire, et laissez-vous conduire ; v.763 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Et ce n'est pas à vous de partager mes soins : v.765 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Vainqueur et couronné, cette nuit je vous joins. v.766 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Tout vous est confié ; la carrière est ouverte, v.775 (Acte 3, scène 2, CETHEGUS)
Vous pensez que mes yeux timides, consternés, v.781 (Acte 3, scène 2, AURELIE)
Malgré moi sur vos pas vous m'avez su conduire. v.783 (Acte 3, scène 2, AURELIE)
Et c'est un crime affreux dont on doit vous punir, v.785 (Acte 3, scène 2, AURELIE)
Que vous avez tous fait de ma crédulité. v.790 (Acte 3, scène 2, AURELIE)
Ainsi vous vous rangez parmi mes ennemis ? v.802 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Et vous mêlez enfin la menace à l'effroi ? v.809 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
C'est assez m'offenser. Écoutez : je vous aime ; v.815 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Vous n'avez pas osé regarder la couronne ; v.819 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Jugez de mon amour, puisque je vous pardonne : v.820 (Acte 3, scène 2, CATILINA)
Mais... me trahiriez-vous ? v.843 (Acte 3, scène 3, CATILINA)
Te rendre à ton pays, et vous sauver tous deux. v.846 (Acte 3, scène 3, AURELIE)
Je me rends... Je vous cède... Il faut vous satisfaire... v.871 (Acte 3, scène 3, CATILINA)
Mais... Songez qu'un époux est pour vous plus qu'un père v.872 (Acte 3, scène 3, CATILINA)
Si je prends un parti, c'est vous qui m'y forcez. v.874 (Acte 3, scène 3, CATILINA)
Vous, fidèle affranchi, brave et prudent Septime, v.907 (Acte 3, scène 4, CATILINA)
Et vous, cher Martian, qu'un même zèle anime, v.908 (Acte 3, scène 4, CATILINA)
Vous... Ciel ! Que vois-je ? v.916 (Acte 3, scène 4, CATILINA)
Où portes-tu tes pas ? Vous, CÉTHÉGUS, parlez... v.917 (Acte 3, scène 5, CICERON)
Sénateurs, affranchis, qui vous a rassemblés ? v.918 (Acte 3, scène 5, CICERON)
Sont-ils, ainsi que vous, des Romains consulaires, v.924 (Acte 3, scène 5, CICERON)
Vous-mêmes, frémissez. Licteurs, qu'on m'obéisse. v.931 (Acte 3, scène 5, CICERON)
Vous m'avez cru perdu ; marchez, et je suis maître. v.956 (Acte 3, scène 6, CATILINA)
Qu'allez-vous ordonner de ce coeur furieux ? v.962 (Acte 3, scène 6, CATILINA)
Tout prêt à vous servir, je tremblerai peut-être. v.964 (Acte 3, scène 6, CATILINA)
Je vous entends assez, Caton ; qu'osez-vous dire ? v.1000 (Acte 4, scène 2, CETHEGUS)
Caton, que faites-vous ? et quel affreux langage ! v.1011 (Acte 4, scène 2, CESAR)
Vous révoltez les coeurs, au lieu de les gagner. v.1013 (Acte 4, scène 2, CESAR)
Sur les coeurs corrompus vous cherchez à régner. v.1014 (Acte 4, scène 2, CATON)
Je suis tranquille ici, ne vous en plaignez pas. v.1018 (Acte 4, scène 2, CESAR)
Quand César est pour vous ? Pompée est regretté ? v.1022 (Acte 4, scène 2, CESAR)
Ah ! Dans quels vains débats perdez-vous ces instants ? v.1025 (Acte 4, scène 3, CICERON)
Qu'elle vous tend les bras, et que ses sept collines v.1027 (Acte 4, scène 3, CICERON)
Que dites-vous ? v.1031 (Acte 4, scène 3, CATON)
Pour sauver Rome et vous, arrive de Preneste. v.1039 (Acte 4, scène 3, CICERON)
Oui, sénat, j'ai tout fait, et vous voyez la main v.1053 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
Il vous parle pour elle ; et moi je l'ai vengée. v.1072 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
Je l'ai su, j'ai sauvé l'état, Rome, et vous-mêmes. v.1080 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
Qui de vous peut encor m'accuser ? v.1084 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
Et vous souffrez qu'il parle, et qu'il s'en vante à vous ? v.1091 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Vous souffrez qu'il vous trompe, alors qu'il vous opprime ? v.1092 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Et vous souffrez, Romains, que mon accusateur v.1094 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
Si Rome existe encore, amis, si vous vivez, v.1102 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
C'est moi, c'est mon audace à qui vous le devez. v.1103 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
Sénat, le péril croît, quand vous délibérez. v.1110 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
Eh bien ! Sur ma conduite êtes-vous éclairés ? v.1111 (Acte 4, scène 4, CATILINA)
Qui de vous peut penser, qu'un vieillard magnanime v.1113 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Ô vous des nations jadis heureux arbitres, v.1129 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Attendez-vous ici, sans force et sans secours, v.1130 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Fermerez-vous les yeux au bord des précipices ? v.1132 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Si vous ne vous vengez, vous êtes ses complices. v.1133 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Vous n'avez qu'un moment : jugez entre elle et lui. v.1135 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Agissez-vous pour vous, en nous parlant pour lui ? v.1151 (Acte 4, scène 4, CICERON)
César, vous m'entendez ; et Rome trop à plaindre v.1152 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Il vous voit, vous menace, et marque ses victimes : v.1165 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Mais vous n'en avez plus. v.1174 (Acte 4, scène 4, CICERON)
Ô vous ! Sacrés vengeurs, v.1174 (Acte 4, scène 5, AURELIE)
Mon père par ma voix vous demande vengeance : v.1177 (Acte 4, scène 5, AURELIE)
Justes dieux ! Où me réduisez-vous ? v.1199 (Acte 4, scène 6, AURELIE)
Vous gardez le silence à l'aspect de ce traître ! v.1201 (Acte 4, scène 6, CICERON)
Vous baissez devant lui vos yeux intimidés ! v.1202 (Acte 4, scène 6, CICERON)
Il frémit devant vous ! Achevez, répondez. v.1203 (Acte 4, scène 6, CICERON)
Ah ! je vous ai trahis ; c'est moi qui suis coupable. v.1204 (Acte 4, scène 6, AURELIE)
Non, vous ne l'êtes point... v.1205 (Acte 4, scène 6, CATILINA)
Ce jour menace Rome, et vous, et l'univers. v.1210 (Acte 4, scène 6, AURELIE)
Ma faiblesse a tout fait, et c'est moi qui vous perds. v.1211 (Acte 4, scène 6, AURELIE)
Sénateurs, vous tremblez, vous ne vous joignez pas v.1230 (Acte 4, scène 6, CICERON)
Il vous impose, encor ? Vous laissez impunie v.1232 (Acte 4, scène 6, CICERON)
C'en est fait ; le signal vous appelle aux combats. v.1255 (Acte 4, scène 6, CATILINA)
Vous, Sénat incertain, qui venez de m'entendre, v.1256 (Acte 4, scène 6, CATILINA)
Les Gaulois sont dans Rome, il vous faut des Camilles ! v.1265 (Acte 4, scène 6, CICERON)
Vous, César, vous trempiez dans ce complot funeste ! v.1273 (Acte 4, scène 7, CICERON)
César, étiez-vous fait pour servir des tyrans ? v.1275 (Acte 4, scène 7, CICERON)
Vous, si les derniers cris d'Aurélie expirante, v.1280 (Acte 4, scène 7, CICERON)
Ont réveillé dans vous l'esprit de vos aïeux, v.1282 (Acte 4, scène 7, CICERON)
Je ne vous ferai point d'inutiles reproches, v.1285 (Acte 4, scène 7, CICERON)
Vous, sénateurs blanchis dans l'amour de la loi, v.1287 (Acte 4, scène 7, CICERON)
Amis de la vertu, séparez-vous des traîtres. v.1289 (Acte 4, scène 7, CICERON)
Je partage avec vous les malheurs de l'état ; v.1310 (Acte 5, scène 1, CLODIUS)
Celui qui vous sauva les condamne au supplice. v.1320 (Acte 5, scène 1, CATON)
De quoi vous plaignez-vous ? Est-ce de sa justice ? v.1321 (Acte 5, scène 1, CATON)
En craignez-vous la suite, et la méritez-vous ? v.1323 (Acte 5, scène 1, CATON)
Quand vous devez la vie aux soins de ce grand homme, v.1324 (Acte 5, scène 1, CATON)
Vous osez l'accuser d'avoir trop fait pour Rome ! v.1325 (Acte 5, scène 1, CATON)
Et vous considérez, entourés d'ennemis, v.1334 (Acte 5, scène 1, CATON)
Si celui qui vous sert vous a trop bien servis ! v.1335 (Acte 5, scène 1, CATON)
Vous parlez en censeur ; il nous faut un soutien. v.1339 (Acte 5, scène 1, CLODIUS)
Vous parlez de dangers ! Pensez-vous nous instruire v.1344 (Acte 5, scène 1, CLODIUS)
Vous redoutez César ! Eh ! qui n'est informé v.1346 (Acte 5, scène 1, CLODIUS)
Vous montrez tous nos maux : montrez-vous le remède ? v.1349 (Acte 5, scène 1, CLODIUS)
Que l'on veille à la fois sur César et sur vous. v.1351 (Acte 5, scène 1, CATON)
Sénat, en vous servant il la faut acheter : v.1358 (Acte 5, scène 2, CICERON)
Qu'ordonnez-vous, consul, et quels sont vos desseins ? v.1423 (Acte 5, scène 3, CESAR)
Vous avez mérité que Rome vous soupçonne. v.1425 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Je veux laver l'affront dont vous êtes chargé, v.1426 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Au salut des Romains je vous crois nécessaire ; v.1428 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Je vous connais : je sais ce que vous pouvez faire. v.1429 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Je sais quels intérêts vous peuvent éblouir ; v.1430 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Vous êtes dangereux, vous êtes magnanime. v.1432 (Acte 5, scène 3, CICERON)
En me plaignant de vous, je vous dois mon estime. v.1433 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Partez ; justifiez l'honneur que je vous fais. v.1434 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Le monde entier sur vous a les yeux désormais. v.1435 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Méritez que Caton vous aime et vous admire. v.1437 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Dans l'art des Scipions vous n'avez qu'un rival. v.1438 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Vous l'êtes, c'est sur vous que mon espoir se fonde : v.1440 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Je vais mourir, seigneur, ou vous justifier. v.1443 (Acte 5, scène 3, CESAR)
De son ambition vous allumez les flammes. v.1444 (Acte 5, scène 3, CATON)
Ces murs sont embrasés, vous tombez avec eux. v.1464 (Acte 5, scène 3, CHEF-LICTEURS)
S'élèvent contre vous, et condamnent vos lois. v.1472 (Acte 5, scène 3, CHEF LICTEURS)
Réclament contre vous les droits de nos ancêtres, v.1474 (Acte 5, scène 3, CHEF LICTEURS)
Vos égaux après tout, que vous deviez entendre, v.1477 (Acte 5, scène 3, CLODIUS)
Par vous seul condamnés, n'ayant pu se défendre, v.1478 (Acte 5, scène 3, CLODIUS)
Vous aurez tout le temps de me persécuter ; v.1483 (Acte 5, scène 3, CICERON)
à l'état malgré vous j'ai consacré mes jours ; v.1491 (Acte 5, scène 3, CICERON)
Je l'ai servi peut-être, et vous m'aviez connu. v.1504 (Acte 5, scène 3, CESAR)
J'aimai Catilina ; mais vous voyez mon coeur ; v.1531 (Acte 5, scène 3, CESAR)

LES PÉLOPIDES (1772)

Favoriser mon zèle et s'apaiser pour vous ! v.50 (Acte 1, scène 1, POLÉMON)
Nous faisons nos destins, quoi que vous puissiez dire ; v.67 (Acte 1, scène 1, POLÉMON)
Vous avez trop aigri leur mortelle amertume. v.112 (Acte 1, scène 2, HIPPODAMIE)
Ciel ! Érope, est-ce vous ? Qui ? Vous dans ces asiles ! v.115 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Qui vous ramène, hélas ! dans ce temple funeste, v.119 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
L'aspect de ce lieu saint doit vous épouvanter. v.121 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Vous ne l'êtes que trop ; vos dangereux appas v.125 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Ont produit des forfaits que vous n'expierez pas. v.126 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Je devrais vous haïr, vous m'êtes toujours chère ; v.127 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Je vous plains ; vos malheurs accroissent ma misère. v.128 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Parlez, vous arrivez vers ces dieux en courroux, v.129 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Du théâtre de sang où l'on combat pour vous. v.130 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
De quelque ombre de paix avez-vous l'espérance ? v.131 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Je cherche, ainsi que vous, des dieux moins implacables. v.136 (Acte 1, scène 3, ÉROPE)
Est-ce à vous de vous joindre aux pleurs d'Hippodamie ? v.140 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
À vous qui les causez ? Plût au ciel qu'en vos yeux v.141 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Peut-être que sans vous, cessant de se haïr, v.145 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Vous m'arrachez deux fils pour avoir trop su plaire. v.148 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Mais voulez-vous me croire et vous joindre à ma voix ; v.149 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Ou vous ai-je parlé pour la dernière fois ? v.150 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Le jour qu'il vous ravit l'objet de ses amours v.153 (Acte 1, scène 3, ÉROPE)
De tous mes sentiments je vous rendrai l'arbitre. v.155 (Acte 1, scène 3, ?ROPE)
Je vous chéris en mère ; et c'est à ce saint titre v.156 (Acte 1, scène 3, ?ROPE)
Vous jugerez, à reine, entre Thyeste et moi. v.158 (Acte 1, scène 3, ?ROPE)
Vous avez sur un fils encor quelque puissance. v.164 (Acte 1, scène 3, ÉROPE)
Et Tantale, et Pélops, et mes deux fils, et vous, v.177 (Acte 1, scène 3, HIPPODAMIE)
Un Dieu vengeur me suit... mais vous, qu'avez-vous fait ? v.202 (Acte 1, scène 3, ÉROPE)
Vous êtes innocente, et les dieux vous punissent ! v.203 (Acte 1, scène 3, ?ROPE)
Sur vous comme sur moi leurs coups s'appesantissent ! v.204 (Acte 1, scène 3, ?ROPE)
Hélas ! c'était à vous d'éteindre entre leurs mains v.205 (Acte 1, scène 3, ?ROPE)
Ils me sacrifieront ; mais vous les calmerez. v.214 (Acte 1, scène 4, ÉROPE)
Ah ! vous êtes ma fille ; v.215 (Acte 1, scène 4, HIPPODAMIE)
Où courez-vous ?... Rentrez... que vos larmes tarissent, v.219 (Acte 2, scène 1, POLÉMON)
Il venait (je ne puis vous dissimuler rien) v.233 (Acte 2, scène 1, POLÉMON)
Les deux frères pour vous s'égorgeaient à mes yeux. v.238 (Acte 2, scène 1, POL?MON)
Vos fils l'écouteront ; vous les verrez se rendre ; v.252 (Acte 2, scène 1, POLÉMON)
Je lui rends déjà grâce, et non moins à vous-même. v.267 (Acte 2, scène 1, HIPPODAMIE)
Et vous, ma fille, et vous que j'ai plainte et que j'aime, v.268 (Acte 2, scène 1, HIPPODAMIE)
Ah dieux !... Et croyez-vous v.273 (Acte 2, scène 1, ÉROPE)
Cachez-vous pour Thyeste ; il est perdu pour vous. v.286 (Acte 2, scène 1, HIPPODAMIE)
Dieux qui me confondez, vous amenez Thyeste ! v.287 (Acte 2, scène 1, ÉROPE)
Mon fils, qui vous ramène en mes bras maternels ? v.289 (Acte 2, scène 2, HIPPODAMIE)
Osez-vous reparaître aux pieds de ces autels ? v.290 (Acte 2, scène 2, HIPPODAMIE)
Expier envers vous ma criminelle offense, v.295 (Acte 2, scène 2, THYESTE)
Vous le pouvez, sans doute, en sachant vous dompter. v.297 (Acte 2, scène 2, POLÉMON)
Souffrez encore un mot : si vous persévériez, v.313 (Acte 2, scène 2, POL?MON)
Craignez que le parti que vous avez gagné v.317 (Acte 2, scène 2, POL?MON)
Ne tourne contre vous son courage indigné. v.318 (Acte 2, scène 2, POL?MON)
Vous pourriez pour tout prix d'une imprudence vaine, v.319 (Acte 2, scène 2, POL?MON)
J'ai senti mes malheurs plus que vous ne pensez. v.321 (Acte 2, scène 2, THYESTE)
M'a plongé cet amour que vous nommez un crime. v.324 (Acte 2, scène 2, THYESTE)
Je ne m'excuse point (devant vous condamné) v.325 (Acte 2, scène 2, THYESTE)
Je vous dirai pourtant qu'avant l'hymen fatal v.329 (Acte 2, scène 2, THYESTE)
Ne vous aveuglez point ; rien n'excuse un coupable. v.336 (Acte 2, scène 2, HIPPODAMIE)
Atrée, ainsi que vous, est mon sang, est mon fils : v.342 (Acte 2, scène 2, HIPPODAMIE)
Tenir sans la pencher la balance entre vous, v.345 (Acte 2, scène 2, HIPPODAMIE)
Il me reste pour vous des amis, des soldats, v.386 (Acte 2, scène 5, THYESTE)
Mon amour, mon courage ; et c'est à vous de croire v.387 (Acte 2, scène 5, THYESTE)
Ce n'est pas vous du moins qui fûtes criminelle. v.392 (Acte 2, scène 5, THYESTE)
Malgré vous, en un mot, vous fûtes ma conquête. v.396 (Acte 2, scène 5, THYESTE)
Dans ce temple avec vous il vient jurer la paix. v.425 (Acte 2, scène 6, POLÉMON)
Grands dieux ! Vous me forcez de haïr vos bienfaits. v.426 (Acte 2, scène 6, THYESTE)
Vous allez à l'autel confirmer vos promesses. v.427 (Acte 2, scène 6, POLÉMON)
De vous remettre aux mains d'un époux qui vous aime, v.436 (Acte 2, scène 6, POL?MON)
Mon sang devait couler... vous le savez, grands dieux ! v.438 (Acte 2, scène 6, ÉROPE)
Quoi ! Vous avez promis, et vous vous parjurez ! v.442 (Acte 2, scène 6, POLÉMON)
Vous écoutiez tantôt la voix de la justice. v.447 (Acte 2, scène 6, POLÉMON)
Mon amitié pour vous, qui se lasse et s'irrite, v.451 (Acte 2, scène 6, POLÉMON)
Je vous tins lieu de père : et ce père offensé v.453 (Acte 2, scène 6, POL?MON)
Je sers Atrée et vous, mais l'état davantage ; v.455 (Acte 2, scène 6, POL?MON)
Et si l'un de vous deux rompt la foi qui l'engage, v.456 (Acte 2, scène 6, POL?MON)
Moi ! Vous, mon fils !... Quel trouble a pu vous égarer ? v.462 (Acte 2, scène 7, THYESTE)
Au redoutable Atrée, et surtout à vous-même. v.468 (Acte 2, scène 7, ÉROPE)
Vous n'accomplirez point ce projet odieux ! v.469 (Acte 2, scène 7, THYESTE)
Je vous disputerai à mon frère, à nos dieux. v.470 (Acte 2, scène 7, THYESTE)
Vous en serez témoins, vous, peuples réunis : v.483 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Vous en serez garants. Ma débile paupière v.485 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Vous, gardez ce parvis ; vous, veillez à ces portes. v.490 (Acte 3, scène 1, ATRÉE)
Vous deviez l'amener dans ce sacré parvis. v.499 (Acte 3, scène 1, ATR?E)
Et vous serez sans doute apaisé comme lui. v.504 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Je pensais qu'à mes soins vous auriez répondu. v.508 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Atrée est mécontent ; mais il vous est soumis. v.512 (Acte 3, scène 1, ATRÉE)
Ah ! Je voulais de vous, après tant de souffrance, v.513 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Je ne vous parle point des droits de l'amitié, v.516 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Thyeste vous est cher ; il vous suffit, madame. v.518 (Acte 3, scène 1, ATRÉE)
Vous déchirez mon coeur après l'avoir percé. v.519 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Vous avez en tout temps repoussé ma tendresse, v.522 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Je conçois vos chagrins, et je vous les pardonne. v.525 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Je n'en bénis pas moins ce jour qui vous couronne ; v.526 (Acte 3, scène 1, HIPPODAMIE)
Qu'on se retire... Et vous, au fond de ma pensée, v.529 (Acte 3, scène 2, ATRÉE)
Quels qu'ils soient, vous savez si mon zèle est sincère. v.533 (Acte 3, scène 2, POLÉMON)
Il peut vous irriter; mais, seigneur, une mère, v.534 (Acte 3, scène 2, POL?MON)
Qu'à ma confusion vous venez de lui faire ? v.537 (Acte 3, scène 2, POL?MON)
C'était de vous surtout qu'elle devait attendre v.541 (Acte 3, scène 2, POL?MON)
Vous en devez tous deux ; et la reine et moi-même, v.549 (Acte 3, scène 2, POLÉMON)
Ne vous souvient-il plus qu'au jour de son trépas v.551 (Acte 3, scène 2, POL?MON)
Et vous en possédez la plus riche contrée, v.553 (Acte 3, scène 2, POL?MON)
Par votre droit d'aînesse à vous seul assurée. v.554 (Acte 3, scène 2, POL?MON)
De mon frère en tout temps vous fûtes le soutien. v.555 (Acte 3, scène 2, ATRÉE)
Et vous, s'il se repent, vous devez l'oublier, v.560 (Acte 3, scène 2, POLÉMON)
Vous n'êtes point placé sur un trône d'Asie, v.561 (Acte 3, scène 2, POL?MON)
Craignez qu'en s'éclairant Argos ne vous haïsse... v.569 (Acte 3, scène 2, POL?MON)
Vous n'avez point perdu le grand talent d'instruire. v.573 (Acte 3, scène 2, ATRÉE)
Je vous ai dû beaucoup, je le sais ; mais peut-être v.577 (Acte 3, scène 2, ATR?E)
Oubliez-vous trop tôt que je suis votre maître. v.578 (Acte 3, scène 2, ATR?E)
Puisse ce titre heureux longtemps vous demeurer ! v.579 (Acte 3, scène 2, POLÉMON)
Vous voyez la discorde y verser son poison. v.592 (Acte 3, scène 3, IDAS)
Mais que craindriez-vous d'un parti sans puissance ? v.593 (Acte 3, scène 3, IDAS)
Vous êtes maître ici. v.596 (Acte 3, scène 3, IDAS)
Vous pouvez saris rougir la revoir et l'aimer. v.615 (Acte 3, scène 3, IDAS)
Contre vos sentiments pourquoi vous animer ? v.616 (Acte 3, scène 3, IDAS)
À vous rendre une épouse elle est intéressée. v.622 (Acte 3, scène 3, IDAS)
Hippodamie enfin doit vous la présenter. v.628 (Acte 3, scène 3, IDAS)
Vous revoyez, mon fils, une mère affligée, v.645 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Revient vous dire enfin, du pied des saints autels, v.647 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Tout ce que je demande, avant de vous quitter, v.664 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
C'est de vous voir signer cette paix nécessaire, v.665 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Vous n'avez point encore accompli ce devoir. v.667 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Voulez-vous que deux fois elle me soit ravie, v.678 (Acte 3, scène 4, ATRÉE)
Vous pouvez accomplir le voeu qui vous engage. v.682 (Acte 3, scène 4, ATR?E)
Est-ce donc Polémon, ou mon frère, ou vous-même, v.689 (Acte 3, scène 4, ATR?E)
Vous êtes-vous tous trois en secret accordés v.691 (Acte 3, scène 4, ATR?E)
Pour détruire une paix que vous me demandez ? v.692 (Acte 3, scène 4, ATR?E)
Vous interprétez mal une juste pitié v.695 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Votre mère pour vous, du fond de ces retraites, v.697 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Forma toujours des voeux, tout cruel que vous êtes. v.698 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Entre Thyeste et vous, Érope sans secours v.699 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Mais puisque vous daignez la recevoir encore, v.701 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Puisque vous lui rendez cette main qui l'honore v.702 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Je puis me plaindre à vous, mais son bonheur commence. v.706 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Vous l'aimez, c'est assez. Sur moi, sur Polémon, v.711 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Vous conceviez, mon fils, un injuste soupçon. v.712 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Si vous vous défiez de l'amour d'une mère ? v.714 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Vous rendez quelque calme à mes esprits troublés ; v.715 (Acte 3, scène 4, ATRÉE)
Vous m'ôtez un fardeau dont mes sens accablés v.716 (Acte 3, scène 4, ATR?E)
Oubliez mon courroux ; c'est à vous que je doi v.719 (Acte 3, scène 4, ATR?E)
Idas, il vous consulte ; allez et confirmez v.727 (Acte 3, scène 4, HIPPODAMIE)
Il n'est ici de rang ni de place pour vous v.739 (Acte 3, scène 6, HIPPODAMIE)
Argos chérit dans vous la compagne d'Atrée. v.742 (Acte 3, scène 6, HIPPODAMIE)
Ma mère !... J'ose encore ainsi vous appeler, v.751 (Acte 3, scène 6, ÉROPE)
Ils ne sont point pour moi... je vous eu ferai juge. v.753 (Acte 3, scène 6, ?ROPE)
Vous m'arrachez, madame, à l'unique refuge v.754 (Acte 3, scène 6, ?ROPE)
Vous me rendez au jour, le jour m'est en horreur. v.756 (Acte 3, scène 6, ?ROPE)
Vous, vos enfants, et moi, pour nous frapper ensemble. v.758 (Acte 3, scène 6, ?ROPE)
D'une mère en tout temps prête à vous consoler. v.763 (Acte 3, scène 6, HIPPODAMIE)
Ah ! Qui protégez-vous ? v.764 (Acte 3, scène 6, ÉROPE)
Où voulez-vous aller ? v.764 (Acte 3, scène 6, HIPPODAMIE)
Je vous suis. v.765 (Acte 3, scène 6, HIPPODAMIE)
Empoisonner des jours que vous rendiez heureux ! v.774 (Acte 4, scène 1, THYESTE)
Que dans une heure au moins je vous ouvre un passage. v.796 (Acte 4, scène 1, THYESTE)
Lui, vous parler !... Mais vous, dans ce mortel ennui, v.801 (Acte 4, scène 1, THYESTE)
Qu'avez-vous résolu ? v.802 (Acte 4, scène 1, THYESTE)
Pour la première fois vous l'avez prononcé : v.806 (Acte 4, scène 1, THYESTE)
Et l'on ose exiger que Thyeste vous cède ! v.807 (Acte 4, scène 1, THYESTE)
Vaincu, je sais mourir ; vainqueur, je vous possède. v.808 (Acte 4, scène 1, THYESTE)
Puisqu'il veut vous parler, croyez que sa colère v.835 (Acte 4, scène 2, MÉGARE)
S'apaise enfin pour vous, et n'en veut qu'à son frère. v.836 (Acte 4, scène 2, M?GARE)
Vous êtes sa conquête... il a su l'obtenir. v.837 (Acte 4, scène 2, M?GARE)
De cette heureuse paix qui vous réconcilie. v.856 (Acte 4, scène 3, POLÉMON)
Elle m'envoie à vous. Nous connaissons tous deux v.857 (Acte 4, scène 3, POL?MON)
Vous me voyez chargé des intérêts d'Argos, v.865 (Acte 4, scène 3, POL?MON)
Vous devez sur ce prince avoir quelque puissance : v.871 (Acte 4, scène 3, POL?MON)
Je vous conjure encor d'écouter sa prière. v.884 (Acte 4, scène 3, POLÉMON)
Vous le voyez, Atrée est terrible et jaloux ; v.885 (Acte 4, scène 4, MÉGARE)
Ne vous exposez point à son juste courroux. v.886 (Acte 4, scène 4, M?GARE)
Vous n'avez qu'un moment. v.893 (Acte 4, scène 4, MÉGARE)
Je sais trop que sur moi vous avez tous les droits, v.901 (Acte 4, scène 5, ÉROPE)
Levez-vous : je rougis de vous revoir encore, v.911 (Acte 4, scène 5, ATRÉE)
Entre mon frère et moi vous n'avez point d'époux ; v.913 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Qu'attendez-vous d'Atrée, et que méritez-vous ? v.914 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
De Thyeste et de vous eût égalé l'offense, v.916 (Acte 4, scène 5, ATRÉE)
Vous pourriez désarmer cette main vengeresse ; v.920 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Vous pourriez des replis de mon coeur ulcéré v.921 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Pouvez-vous, osez-vous me rendre votre foi ? v.926 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Voici le temple même où vous fûtes ravie, v.927 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Où le flambeau d'hymen fut par vous allumé, v.929 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Du moins vous étiez prête à former les promesses v.931 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Si vous me refusez, vous êtes sa complice ; v.935 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
C'est vous qui me forcez à vous ouvrir mon coeur. v.938 (Acte 4, scène 5, ÉROPE)
J'étais à vous, sans doute, et mon père Eurysthée v.943 (Acte 4, scène 5, ?ROPE)
À vous, à ma famille arracha votre épouse ; v.948 (Acte 4, scène 5, ?ROPE)
Que disputant un trône, et prompt à vous armer, v.953 (Acte 4, scène 5, ?ROPE)
Vous haïssiez un frère, et ne pouviez m'aimer... v.954 (Acte 4, scène 5, ?ROPE)
Je ne le devais pas... je vous aimai peut-être. v.955 (Acte 4, scène 5, ATRÉE)
Mais... Achevez, Érope ; abjurez-vous un traître ? v.956 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
M'apportez-vous un coeur qu'il ne mérite pas ? v.958 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Vous allez vous venger de cette criminelle : v.963 (Acte 4, scène 5, ÉROPE)
Il est, ainsi que vous, de la race des dieux ; v.970 (Acte 4, scène 5, ?ROPE)
Seigneur, avec son père on vous réconcilie; v.971 (Acte 4, scène 5, ?ROPE)
Rassurez-vous... le doute était mon seul supplice... v.975 (Acte 4, scène 5, ATRÉE)
Et la moitié d'un tronc, et vous-même avec lui... v.978 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Je ne puis m'opposer au noeud qui vous enchaîne, v.983 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Ne vous figurez pas qu'une vaine tendresse v.987 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Satisfait de vous perdre et de vous oublier, v.990 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Je veux à mon rival vous rendre ici moi-même... v.991 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Vous tremblez. v.992 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Ont saisi mes esprits que vous épouvantez. v.994 (Acte 4, scène 5, ÉROPE)
Ne vous alarmez point ; le ciel parle, et je cède. v.995 (Acte 4, scène 5, ATRÉE)
Vous auriez dû plus tôt m'apprendre sa victoire, v.999 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
Et de vous pardonner me préparer la gloire... v.1000 (Acte 4, scène 5, ATR?E)
À ses parents, à vous, les chemins sont ouverts ; v.1005 (Acte 4, scène 5, ATRÉE)
Je vous ferai frémir, Grèce légère et vaine, v.1027 (Acte 4, scène 6, ATRÉE)
Sur Thyeste et sur moi venez vous acharner. v.1033 (Acte 4, scène 6, ATR?E)
Paraissez, dieux vengeurs, je vais vous étonner. v.1034 (Acte 4, scène 6, ATR?E)
Vous pouvez à mon frère annoncer mes bienfaits... v.1041 (Acte 4, scène 7, ATRÉE)
Si vous les approuvez, mes voeux, sont satisfaits. v.1042 (Acte 4, scène 7, ATR?E)
Craignez-vous pour mon frère ? v.1045 (Acte 4, scène 7, ATRÉE)
Je ne puis vous blâmer de cet aveu sincère, v.1051 (Acte 5, scène 1, THYESTE)
Quoi ! je vous vois sans cesse à vous-même contraire ! v.1056 (Acte 5, scène 1, THYESTE)
Quel triomphe ! Êtes-vous hors de sa dépendance ? v.1067 (Acte 5, scène 1, ÉROPE)
Votre frère avec vous est-il d'intelligence ? v.1068 (Acte 5, scène 1, ?ROPE)
Vous-même, en m'enlevant, l'avez-vous respecté ? v.1089 (Acte 5, scène 1, ÉROPE)
Vous venez avec moi d'entendre les promesses v.1095 (Acte 5, scène 2, HIPPODAMIE)
Mon coeur vous est connu ; vous savez s'il souhaite v.1111 (Acte 5, scène 2, POLÉMON)
Vous êtes arrivés par une route affreuse v.1119 (Acte 5, scène 2, HIPPODAMIE)
Au but que vous marquait cette fin trop heureuse. v.1120 (Acte 5, scène 2, HIPPODAMIE)
Sans outrager l'hymen, vous me donnez un fils ; v.1121 (Acte 5, scène 2, HIPPODAMIE)
Si vos terreurs encor vous laissent des soupçons, v.1125 (Acte 5, scène 2, HIPPODAMIE)
Vous, ma mère, et les dieux, vous serez son appui, v.1129 (Acte 5, scène 2, THYESTE)
Ah ! princesse, à quoi m'obligez-vous ! v.1133 (Acte 5, scène 2, MÉGARE)
C'est vous qui l'adoptez et qui m'en répondez. v.1137 (Acte 5, scène 2, THYESTE)
Voyez ce que vous hasardez. v.1138 (Acte 5, scène 2, THYESTE)
Vous savez, belle Érope, en tous les temps trop chère, v.1143 (Acte 5, scène 2, HIPPODAMIE)
Reines, on vous attend. Atrée est à l'autel. v.1145 (Acte 5, scène 3, IDAS)
Les goûter avec vous, tandis que dans ces lieux, v.1149 (Acte 5, scène 3, IDAS)
C'est à Thyeste, à vous, de venir commencer v.1153 (Acte 5, scène 3, IDAS)
Vous savez que les dieux sont aux rois plus propices, v.1159 (Acte 5, scène 3, IDAS)
Suivez, sans vous troubler, une mère adorée. v.1163 (Acte 5, scène 3, THYESTE)
Vous ne les suivez pas ? v.1169 (Acte 5, scène 4, IDAS)
Vous devez y veiller : je dois compte au sénat v.1173 (Acte 5, scène 4, POLÉMON)
Que font-ils en ces lieux ?... Et vous, répondez-moi ; v.1177 (Acte 5, scène 4, POL?MON)
Vous aimez la vertu, même en flattant le roi ; v.1178 (Acte 5, scène 4, POL?MON)
Vous ne voudriez pas de la moindre injustice, v.1179 (Acte 5, scène 4, POL?MON)
Fût-ce pour le servir, vous rendre le complice ? v.1180 (Acte 5, scène 4, POL?MON)
Mais il règne ; on l'outrage ; il peut vous commander v.1182 (Acte 5, scène 4, POLÉMON)
Osez-vous accuser le roi d'être parjure ? v.1187 (Acte 5, scène 4, IDAS)
Ne vous a-t-il pas dit qu'on le verrait vengé ?* v.1194 (Acte 5, scène 4, POLÉMON)
Où vous allez tous trois prononcer les serments. v.1210 (Acte 5, scène 5, POLÉMON)
Vous les écouterez, dieux souverains du monde ; v.1211 (Acte 5, scène 5, HIPPODAMIE)
Vous les voulez finir ; et la religion v.1213 (Acte 5, scène 5, HIPPODAMIE)
Si du trône des cieux vous ne dédaignez pas v.1217 (Acte 5, scène 5, HIPPODAMIE)
Approchez-vous, mon fils. D'où naît cette contrainte ? v.1223 (Acte 5, scène 5, HIPPODAMIE)
Je les veux pour vengeurs, si vous vous parjurez. v.1230 (Acte 5, scène 5, THYESTE)
Affreux soupçons, vous êtes éclaircis. v.1246 (Acte 5, scène 5, POLÉMON)
J'ai voulu de ce sang vous abreuver tous deux. v.1250 (Acte 5, scène 5, ATRÉE)
Mon sein vous a portés, je suis la plus coupable. v.1255 (Acte 5, scène 5, HIPPODAMIE)

LES DEUX TONNEAUX (1734)

Nous sommes comme vous du temple de Bacchus ; v.14 (Acte 1, scène 1, UNE SUIVANTE)
Comme vous nous lui rendons gloire : v.15 (Acte 1, scène 1, UNE SUIVANTE)
Vous vous moquez de nous. v.23 (Acte 1, scène 1, UNE SUIVANTE)
Vous me paraissez dépité : v.55 (Acte 1, scène 1, UNE SUIVANTE)
N'auriez-vous point été tenté v.56 (Acte 1, scène 1, UNE SUIVANTE)
Vous la traitez de nymphe et de divinité ; v.60 (Acte 1, scène 1, UNE SUIVANTE)
Si vous en êtes rebuté, v.61 (Acte 1, scène 1, UNE SUIVANTE)
Vous faites des chansons contre elle. v.62 (Acte 1, scène 1, UNE SUIVANTE)
Les exercer pour vous. v.126 (Acte 1, scène 2, GRÉGOIRE)
Ah ! Que vous marchez lentement ! v.145 (Acte 1, scène 2, PRESTINE)
Ah ! Vous avez, je pense, assez d'autres affaires. v.173 (Acte 1, scène 3, PRESTINE)
Savez-vous à quel homme on a voulu donner v.174 (Acte 1, scène 3, PRESTINE)
Ces gens-là sur un mot vous font vite un concert ; v.197 (Acte 1, scène 3, PRESTINE)
Ma belle dame, au moins prenez bien garde à vous. v.211 (Acte 1, scène 4, PHÉBÉ)
Prenez bien garde à vous, madame. v.214 (Acte 1, scène 4, PHÉBÉ)
Auprès de votre amant qui peut donc vous troubler ? v.218 (Acte 1, scène 4, PRESTINE)
Je vous dis que c'est là... que sera le garçon ; v.231 (Acte 2, scène 1, LE PÈRE DE DAPHNIS)
Là... vous ; et puis Prestine à côté de sa soeur, v.233 (Acte 2, scène 1, LE P?RE DE DAPHNIS)
Futur, et vous, future, v.240 (Acte 2, scène 2, GRÉGOIRE)
Je vais vous présenter la coupe nuptiale. v.247 (Acte 2, scène 2, GR?GOIRE)
Hélas ! Si vous voulez, ma bouche en fera cent ; v.253 (Acte 2, scène 2, GLYCÈRE)
Buvez, tendres époux, vous jurerez après : v.260 (Acte 2, scène 2, GRÉGOIRE)
Vous recevrez des dieux des faveurs infinies. v.261 (Acte 2, scène 2, GR?GOIRE)
Rendez-moi cette coupe. Eh quoi ! Vous frémissez ! v.277 (Acte 2, scène 2, GRÉGOIRE)
Çà, jurez à présent ; vous, Daphnis, commencez. v.278 (Acte 2, scène 2, GR?GOIRE)
C'est à vous de jurer, Glycère, à votre tour, v.295 (Acte 2, scène 2, GRÉGOIRE)
Est-ce vous qui parlez, ma Glycère ? v.312 (Acte 2, scène 2, DAPHNIS)
En étiez-vous jaloux ? M'ôtez-vous ce que j'aime ? v.317 (Acte 2, scène 2, DAPHNIS)
Mon père, vous avez beaucoup d'expérience, v.354 (Acte 2, scène 3, PRESTINE)
Vous raisonnez on ne peut mieux : v.355 (Acte 2, scène 3, PRESTINE)
Quand on vous mariera, prenez bien garde à vous. v.361 (Acte 2, scène 3, PRESTINE)
Mon père, vous avez beaucoup d'expérience, v.400 (Acte 2, scène 3, PRESTINE)
Vous raisonnez on ne peut mieux : v.401 (Acte 2, scène 3, PRESTINE)
Quand on vous mariera, prenez bien garde à vous. v.407 (Acte 2, scène 3, PRESTINE)
Monsieur Grégoire, approchez-vous. v.432 (Acte 2, scène 4, DAPHNIS)
Il vous faut tous deux boire v.476 (Acte 2, scène 4, GRÉGOIRE)
Vous le savez, grands dieux ! si ce coeur est sincère. v.527 (Acte 3, scène 1, GLYCÈRE)
Où donc est-il allé ? Ne l'avez-vous point vu ? v.533 (Acte 3, scène 1, GLYC?RE)
Réjouissez-vous tous. v.575 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
Je veux que vous dansiez avec mon père et moi. v.577 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
Ma soeur, je viens vous apporter v.587 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
Et quand j'aurai pu tout vous conter, v.591 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
Tout comme moi vous voudrez chanter, v.592 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
Comme moi je vous verrai rire. v.593 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
D'abord, ma pauvre soeur, il faut vous faire entendre v.597 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
Que vous avez fait fort mal v.598 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
Je vous l'avais bien dit, Grégoire est un vaurien, v.603 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)
Malignement vous a fait boire. v.620 (Acte 3, scène 4, PRESTINE)

LES SCYTHES (1757)

Le croiriez-vous, mon père ? Elle est belle, et l'ignore. v.77 (Acte 1, scène 1, INDATIRE)
Vous y résolvez-vous ? v.303 (Acte 2, scène 1, SULMA)
Je vous admire en tout ; mais le coeur est-il maître v.331 (Acte 2, scène 1, SULMA)
De chercher loin de vous un bonheur incertain ! v.354 (Acte 2, scène 1, SULMA)
J'ai vécu pour vous seule ; et votre destinée v.355 (Acte 2, scène 1, SULMA)
Mais je vous l'avouerai, ce n'est pas sans horreur v.357 (Acte 2, scène 1, SULMA)
D'où vient qu'à cet aspect vous paraissez frémir ? v.378 (Acte 2, scène 1, SULMA)
Notre culte, Obéide, est simple comme vous. v.441 (Acte 2, scène 3, HERMODAN)
Peuple juste, écoutez ; je m'en remets à vous. v.465 (Acte 2, scène 4, ATHAMARE)
Le neveu de Cyrus vous fait juge entre nous. v.466 (Acte 2, scène 4, ATHAMARE)
Apprenez que dans moi vous voyez un coupable ; v.467 (Acte 2, scène 4, ATHAMARE)
Vous voyez dans Somaze un vieillard vénérable v.468 (Acte 2, scène 4, ATHAMARE)
Dans les lieux où vous êtes v.523 (Acte 2, scène 5, HIRCAN)
Gardez-vous d'écouter ces fureurs indiscrètes. v.524 (Acte 2, scène 5, HIRCAN)
Mais si vous écoutiez... v.551 (Acte 2, scène 5, HIRCAN)
Seigneur contraignez vous. v.572 (Acte 3, scène 1, HIRCAN)
Vous n'étiez pas encore arrivé vers l'autel, v.591 (Acte 3, scène 1, HIRCAN)
Quand vous avez sur vous attiré ses regards. v.599 (Acte 3, scène 1, HIRCAN)
Il serait bien affreux, j'ose ici vous le dire, v.617 (Acte 3, scène 1, HIRCAN)
Que vous eussiez quitté le soin de votre Empire, v.618 (Acte 3, scène 1, HIRCAN)
Pensez-vous être encor dans les murs d'Ecbatane ? v.637 (Acte 3, scène 1, HIRCAN)
Ici vous péririez : vous êtes dans des lieux v.639 (Acte 3, scène 1, HIRCAN)
Voyez-vous Indatire ? Il s'avance à leur tête. v.650 (Acte 3, scène 1, HIRCAN)
Grands dieux ! Vous me voulez conduire en sa présence. v.654 (Acte 3, scène 1, ATHAMARE)
Non, demeurez, ne vous détournez pas. v.663 (Acte 3, scène 2, ATHAMARE)
Mon père - il vous respecte - il ne me verra plus : v.783 (Acte 3, scène 3, OBÉIDE)
J'ai cru vous plaire au moins ; - j'ai cru que sans fierté v.787 (Acte 3, scène 3, OBÉIDE)
Comment recevez-vous cette offre ? v.796 (Acte 3, scène 3, OBÉIDE)
Seigneur, vous vous borniez à me persuader ; v.807 (Acte 3, scène 3, OBÉIDE)
Vous savez si, du sort bravant les injustices, v.809 (Acte 3, scène 3, OB?IDE)
S'il en fallait encor, je les ferais pour vous. v.811 (Acte 3, scène 3, OB?IDE)
Allez, - Vous n'avez point de reproche à me faire. v.814 (Acte 3, scène 3, OB?IDE)
Votre pays, la cour qui vous vit naître, v.825 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Un prince généreux... qui vous plaisait peut-être, v.826 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Vous les abandonnez sans crainte et sans pitié ? v.827 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Haïriez-vous toujours la cour et la patrie ? v.829 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Madame, c'en est trop ; c'est trop vous immoler v.847 (Acte 3, scène 5, SULMA)
À ces préjugés vains qui viennent vous troubler, v.848 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Ne sera donc jamais retombé que sur vous ! v.852 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Quand vous le consolez, faut-il qu'il vous opprime ? v.853 (Acte 3, scène 5, SULMA)
C'est en ses États que le ciel vous fît naître. v.858 (Acte 3, scène 5, SULMA)
M'en croirez-vous ? partez, marchez sous sa conduite. v.861 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Si vous avez d'un père accompagné la fuite, v.862 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Il est temps à la fin qu'il vous suive à son tour ; v.863 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Que sa douleur farouche, à vous perdre obstinée, v.865 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Vous pleurez cependant, et votre oeil qui s'égare v.873 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Je vous vis descendue aux plus humbles emplois ; v.876 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Quel parti prenez vous ? v.879 (Acte 3, scène 5, SULMA)
Que vous avilissiez l'honneur de votre rang, v.889 (Acte 4, scène 1, HIRCAN)
Jusqu'à vous compromettre avec un misérable, v.892 (Acte 4, scène 1, HIRCAN)
L'univers vous dément ; le ciel sait animer v.910 (Acte 4, scène 1, HIRCAN)
Vous hasardez beaucoup. v.918 (Acte 4, scène 1, HIRCAN)
Ils mourront à vos pieds, et vous n'en doutez pas. v.925 (Acte 4, scène 1, HIRCAN)
Où le ciel vous fit tous égaux par l'indigence. v.944 (Acte 4, scène 2, ATHAMARE)
Bientôt je vous suivrai : v.1045 (Acte 4, scène 3, INDATIRE)
Ô ma fille, est-ce vous ? v.1109 (Acte 4, scène 7, SOZAME)
Où voulez-vous aller, et sans force et sans armes ? v.1127 (Acte 4, scène 7, OBÉIDE)
Princes audacieux, quel exemple pour vous ! v.1153 (Acte 4, scène 8, SOZAME)
Du poids de sa grandeur vous accabler peut-être. v.1160 (Acte 4, scène 8, OBÉIDE)
Ne crains rien : - Toi, jeune homme, et vous, braves guerriers, v.1161 (Acte 4, scène 8, HERMODAN)
Ah ! Laissez-moi mourir, Seigneur, sans vous entendre. v.1176 (Acte 4, scène 8, OBÉIDE)
Vous vous taisez tous deux : craignez-vous de me dire v.1177 (Acte 5, scène 1, OBÉIDE)
Moi ! - Je dois vous venger ! v.1198 (Acte 5, scène 1, OBÉIDE)
Sont faites pour vous seuls, et me sont étrangères. v.1202 (Acte 5, scène 1, OBÉIDE)
Vous aimez la justice ainsi que la vengeance : v.1210 (Acte 5, scène 1, OB?IDE)
Et si hais vos moeurs, et si je vous refuse ! v.1217 (Acte 5, scène 1, OBÉIDE)
Il vous faut de ma main cette grande victime ! v.1221 (Acte 5, scène 1, HERMODAN)
Et vous verrez après ce qui vous reste à faire. v.1230 (Acte 5, scène 1, OBÉIDE)
Je vous rappellerai quand il en sera temps. v.1236 (Acte 5, scène 1, OBÉIDE)
Eh bien, qu'ordonnez-vous ? v.1237 (Acte 5, scène 2, OBÉIDE)
Avez-vous bien connu mes sentiments secrets ? v.1244 (Acte 5, scène 2, OBÉIDE)
Dans le fond de mon coeur avez-vous daigné lire ? v.1245 (Acte 5, scène 2, OB?IDE)
Vous voyez cet autel, v.1248 (Acte 5, scène 2, OBÉIDE)
Vous savez quels tourments un refus lui prépare. v.1250 (Acte 5, scène 2, OB?IDE)
Parlez : - sur son tombeau voulez-vous habiter ? v.1252 (Acte 5, scène 2, OB?IDE)
À ces tigres armés voulez-vous annoncer v.1259 (Acte 5, scène 2, OBÉIDE)
Il l'est : - Mais je suis Scythe, - et le fus pour vous plaire : v.1277 (Acte 5, scène 2, OBÉIDE)
Je tiendrai ma parole : - allez, il vous attend. v.1283 (Acte 5, scène 2, OBÉIDE)
Vous prétendez qu'au moins ce peuple impitoyable v.1289 (Acte 5, scène 2, OBÉIDE)
Je vous en crois : - le reste est dans la main des Dieux. v.1291 (Acte 5, scène 2, OB?IDE)
Vous avez traversé cette fouie sanglante ! v.1305 (Acte 5, scène 4, SULMA)
Vous affrontiez la mort de tous côtés présente ; v.1306 (Acte 5, scène 4, SULMA)
Immolerait l'amant que vous avez aimé, v.1311 (Acte 5, scène 4, SULMA)
Unissez-vous à moi, mais pour l'exterminer ! v.1328 (Acte 5, scène 4, OBÉIDE)
Vous n'êtes point réduite à la nécessité v.1343 (Acte 5, scène 4, SULMA)
Mais cet amour secret qui vous parle pour lui ? v.1347 (Acte 5, scène 4, SULMA)
S'ils connaissaient l'amour qui vous a consumée, v.1361 (Acte 5, scène 4, SULMA)
Ah ! Vous rendez la vie à mes sens effrayés ! v.1379 (Acte 5, scène 4, SULMA)
Je vous haïrais trop si vous obéissiez. v.1380 (Acte 5, scène 4, SULMA)
Vous frémissez. v.1382 (Acte 5, scène 4, SULMA)
C'est assez ; je vous crois. Vous avez donc juré v.1391 (Acte 5, scène 5, OBÉIDE)
Connaissez dans quel sang vous enfoncez mes mains. v.1412 (Acte 5, scène 5, OBÉIDE)
Vous jurez d'épargner tous mes concitoyens : - v.1419 (Acte 5, scène 5, OBÉIDE)
Dieux ! Vîtes-vous jamais deux plus malheureux pères ! v.1426 (Acte 5, scène 5, HERMODAN)

MORT DE CATON (1768)

Malgré la cruauté du fort qui vous outrage, v.11 (Acte 1, scène 1, SOTER)
Il semble vous promettre un sort moins rigoureux. v.26 (Acte 1, scène 1, SOTER)
Je l'espère du moins, et vous allez connaître v.31 (Acte 1, scène 1, SOTER)
Qu'un Dieu vous favorise et vous venge peut-être. v.32 (Acte 1, scène 1, SOTER)
Tout vous annonce ici le rivage d'Utique, v.36 (Acte 1, scène 1, SOTER)
Dieux ! Me conduisez-vous sur ces bords étrangers v.45 (Acte 1, scène 1, SEXTUS)
Rappelez-vous, Seigneur, qu'aux champs de Mitilène, v.47 (Acte 1, scène 1, SOTER)
Ô Dieux de la Patrie, avez-vous pu permettre v.75 (Acte 1, scène 2, CATON)
Que dites-vous, Seigneur ? Quel funeste dessein ? v.93 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Ô Dieux, souffrirez-vous que des armes sanglantes v.99 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Vous forçait à combattre en cette extrémité, v.102 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Hélas ! N'en doutez point, sur vous seul, ô mon père, v.103 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Mais quoi ! Dans cet instant n'avez-vous plus, Seigneur, v.113 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Quoi ! Du sang des humains n'êtes-vous plus avare ? v.115 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Rome a besoin de vous pour soutenir ses droits ; v.130 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Seigneur, j'admire en vous cette audace intrépide v.147 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Avec un tel courage, il faut vous l'avouer, v.149 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Vous méritez de vaincre et de vous signaler ; v.150 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Pouvez-vous résister au vainqueur de Pompée ? v.152 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
Si vous aimez un fils, si Rome vous est chère, v.196 (Acte 1, scène 3, PORCIUS)
De ces deux inconnus vous n'avez rien à craindre, v.207 (Acte 1, scène 4, DÉMÉTRIUS)
Et vous devez plutôt les chérir et les plaindre. v.208 (Acte 1, scène 4, D?M?TRIUS)
Eh bien ! Qu'ordonnez-vous, mon père ? v.337 (Acte 1, scène 5, PORCIUS)
C'est ici que Caton va vous entretenir v.349 (Acte 2, scène 1, PORCIUS)
Des devoirs qu'en ce jour vous avez à remplir, v.350 (Acte 2, scène 1, PORCIUS)
Songez qu'en ce moment l'Univers vous contemple, v.351 (Acte 2, scène 1, PORCIUS)
Que vous devez au monde un rare et grand exemple ; v.352 (Acte 2, scène 1, PORCIUS)
C'est à vous de venger Pompée et les Romains. v.354 (Acte 2, scène 1, PORCIUS)
La vertu de Caton devrait vous rassurer. v.366 (Acte 2, scène 1, PORCIUS)
Si la vertu du moins peut encor vous toucher, v.377 (Acte 2, scène 1, PORCIUS)
Vous enseigner la route où vous devez marcher. v.378 (Acte 2, scène 1, PORCIUS)
Vous n'avez plus de chef ; un coup affreux du sort v.381 (Acte 2, scène 2, CATON)
Nous a ravi Pompée, et vous savez sa mort. v.382 (Acte 2, scène 2, CATON)
Mais ne vous bornez pas à de simples regrets ; v.385 (Acte 2, scène 2, CATON)
Et vous devez bien plus que des pleurs à sa cendre. v.388 (Acte 2, scène 2, CATON)
Romains, vous le voyez, armé de sa puissance, v.391 (Acte 2, scène 2, CATON)
Lui-même il vient ici vous demander vengeance ; v.392 (Acte 2, scène 2, CATON)
Il vous invite encor à marcher sur ses pas v.393 (Acte 2, scène 2, CATON)
Il vous recommandait l'honneur de la Patrie. v.396 (Acte 2, scène 2, CATON)
De son ombre plaintive entendez-vous la voix v.397 (Acte 2, scène 2, CATON)
« Citoyens, vous dit-elle, instruments de ma gloire, v.399 (Acte 2, scène 2, CATON)
Je viens vous rappeler mes services passés, v.401 (Acte 2, scène 2, CATON)
Prenez soin de Sextus ; si Rome vous est chère, v.403 (Acte 2, scène 2, CATON)
En secourant le fils, vous vengerez le père. v.404 (Acte 2, scène 2, CATON)
Romains, vous l'entendez, c'est à vous de juger v.405 (Acte 2, scène 2, CATON)
Si vous devez le plaindre au lieu de le venger. » v.406 (Acte 2, scène 2, CATON)
N'auriez-vous combattu que pour le choix d'un maître ? v.460 (Acte 2, scène 2, CATON)
Auriez-vous pu former cet indigne, projet ? v.461 (Acte 2, scène 2, CATON)
Que vous alliez combattre aux champs de Thessalie ? v.463 (Acte 2, scène 2, CATON)
Osiez-vous préférer un homme à la Patrie ? v.464 (Acte 2, scène 2, CATON)
Hélas ! Vous fallait-il prendre part aux alarmes, v.468 (Acte 2, scène 2, CATON)
Si de la liberté vous n'êtes les soutiens ? v.470 (Acte 2, scène 2, CATON)
Vous donne-t-elle enfin le droit de trahir Rome . v.472 (Acte 2, scène 2, CATON)
Romains, pour vous confondre, en faut-il davantage ? v.475 (Acte 2, scène 2, CATON)
Ah ! Que n'imitez-vous l'indigne Ptolomée, v.483 (Acte 2, scène 2, CATON)
Vous avez en vos mains le fils du Grand Pompée ? v.484 (Acte 2, scène 2, CATON)
Que n'allez-vous porter sa tête au fier vainqueur, v.485 (Acte 2, scène 2, CATON)
S'il vous faut obtenir un indigne pardon, v.489 (Acte 2, scène 2, CATON)
Vous l'obtiendrez, cruels, en lui faisant ce don. v.490 (Acte 2, scène 2, CATON)
J'ose au moins le penser, et vous devez m'en croire, v.523 (Acte 2, scène 2, CATON)
Pour vous, pour votre honneur et pour sa propre gloire ; v.524 (Acte 2, scène 2, CATON)
Et je vous dois l'honneur d'une telle victoire ; v.552 (Acte 2, scène 2, CATON)
Un instant de faiblesse a pu vous égarer, v.553 (Acte 2, scène 2, CATON)
Allez, braves amis, montrez-vous à leur tête, v.567 (Acte 2, scène 2, CATON)
Je vais vous suivre. v.569 (Acte 2, scène 2, CATON)
Qu'attendez-vous, Seigneur, pour marcher aux combats ? v.593 (Acte 2, scène 3, PORCIUS)
Entendez-vous les cris de nos braves soldats, v.594 (Acte 2, scène 3, PORCIUS)
Qui peut vous retenir ainsi ? v.598 (Acte 2, scène 3, PORCIUS)
Ô mon fils ! Ô Sextus ! Vous entendez sa voix, v.605 (Acte 2, scène 3, CATON)
Vous voyez à quel prix il faut venger nos droits ! v.606 (Acte 2, scène 3, CATON)
Ô mânes de Pompée ! Il est temps de vous suivre ! v.716 (Acte 3, scène 1, CATON)
N'en accusez que vous, et non pas ma vertu, v.729 (Acte 3, scène 2, CATON)
Si vous jugez, Romains, qu'il n'est pas d'autre voie v.743 (Acte 3, scène 2, CATON)
César est le parti qui vous convient le mieux ; v.746 (Acte 3, scène 2, CATON)
Je ne vous retiens plus, les moments vous sont chers. v.749 (Acte 3, scène 2, CATON)
Mais, au moins, si César vous accorde la vie, v.751 (Acte 3, scène 2, CATON)
Que le soin de mes jours ne vous arrête pas ; v.778 (Acte 3, scène 2, CATON)
Un instant peut vous perdre, et non pas me sauver, v.781 (Acte 3, scène 2, CATON)
Allez, d'un tel malheur sachez vous préserver. v.782 (Acte 3, scène 2, CATON)
Je le jure par vous, Dieux ! Du profond abîme... v.879 (Acte 3, scène 3, SEXTUS)
Votre fils malheureux est tout ce qui vous reste ; v.920 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Pour défendre vos jours, vous n'avez plus que lui. v.922 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Avec un tel secours que prétendez-vous faire ? v.923 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
À la commune loi pensez-vous vous soustraire ? v.924 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Que voulez-vous, mon père ? En ce péril extrême v.983 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Vous ne me parlez pas... v.984 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
De vous même. v.984 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
La vertu, du malheur vous met-elle à couvert ? v.993 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Le crime vous trahit, elle-même vous perd. v.994 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Vous cherchez à périr les armes à la main ; v.998 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Vous voulez me ravir jusqu'aux jours de mon père. v.1000 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Grands Dieux ! Opposez-vous à cette cruauté, v.1001 (Acte 3, scène 4, PORCIUS)
Vous demande, Seigneur, un moment d'entretien. v.1005 (Acte 3, scène 5, DÉMÉTRIUS)
Pour vous offrir la paix, pour vous sauver la vie, v.1011 (Acte 3, scène 5, PORCIUS)
Mon père, à vos genoux vous voyez votre fils, v.1065 (Acte 3, scène 6, PORCIUS)
Au nom de la Patrie, ah ! Laissez-vous toucher ; v.1070 (Acte 3, scène 6, PORCIUS)
Vous vous attendrissez ! Que faut-il que j'espère ? v.1076 (Acte 3, scène 6, PORCIUS)
Le Vainqueur généreux, c'est vous en dire assez, v.1126 (Acte 3, scène 7, PORCIUS)
La mort vous environne. v.1128 (Acte 3, scène 7, PORCIUS)
Ô Ciel ! Qu'avez-vous fait ? v.1129 (Acte 3, scène 7, PORCIUS)

LES GUÈBRES (1769)

N'avez-vous avec moi, dans quinze ans de hasards, v.3 (Acte 1, scène 1, CESENE)
J'espérais près de vous montrer quelque valeur, v.8 (Acte 1, scène 1, CESENE)
Mais vous n'en recevez que des tyrans d'un temple ; v.10 (Acte 1, scène 1, CESENE)
De vous voir en ces lieux leur premier satellite. v.14 (Acte 1, scène 1, CESENE)
Moins violent que vous, je les ai dévorés : v.16 (Acte 1, scène 1, IRADAN)
Eh quoi ! Si des Persans vous embrassiez l'erreur, v.44 (Acte 1, scène 1, CESENE)
Aux serments d'un tribun seriez-vous moins fidèle ? v.45 (Acte 1, scène 1, CESENE)
Seriez-vous moins vaillant ? Auriez-vous moins de zèle ? v.46 (Acte 1, scène 1, CESENE)
Et pourquoi vous charger de l'affreux ministère v.49 (Acte 1, scène 1, CESENE)
Que partage avec vous un sénat sanguinaire ? v.50 (Acte 1, scène 1, CESENE)
Hélas ! Vous savez trop qu'en nos courses premières v.69 (Acte 1, scène 1, IRADAN)
Je pense comme vous, et vous me connaissez ; v.99 (Acte 1, scène 1, IRADAN)
Pourquoi donc voulez-vous de nos malheureux jours, v.107 (Acte 1, scène 1, CESENE)
Veut qu'on ouvre à l'instant, et prétend vous parler. v.123 (Acte 1, scène 2, MEGATISE)
C'en est trop, mon frère, je vous quitte ; v.125 (Acte 1, scène 2, CESENE)
Et, si vous le pouvez, sauvez les malheureux. v.132 (Acte 1, scène 2, CESENE)
Ministres de nos dieux, quel sujet vous attire ? v.133 (Acte 1, scène 3, IRADAN)
Je leur dois obéir ; mais que m'annoncez-vous ? v.136 (Acte 1, scène 3, IRADAN)
Vous devez avec nous prononcer son arrêt ; v.143 (Acte 1, scène 3, LE-GRAND-PRETRE)
Elle mourra, vous dis-je ; v.146 (Acte 1, scène 3, LE-GRAND-PRETRE)
Elle exige de vous le respect et la crainte : v.158 (Acte 1, scène 3, LE-GRAND-PRETRE)
Et César vous dira comme il faut obéir. v.160 (Acte 1, scène 3, LE GRAND PRETRE)
Oui, sur vous. v.162 (Acte 1, scène 3, LE-GRAND-PRETRE)
Sur vous aussi peut-être. v.162 (Acte 1, scène 3, IRADAN)
Je sais quels sont vos droits ; mais vous pourriez apprendre v.165 (Acte 1, scène 3, IRADAN)
Vous, soldats, conduisez, mais au nom de la loi, v.176 (Acte 1, scène 3, IRADAN)
Approchez-vous, ma fille, et reprenez vos sens. v.183 (Acte 1, scène 4, IRADAN)
Vous avez à nos yeux, par un impur encens, v.184 (Acte 1, scène 4, LE-GRAND-PRETRE)
A nos préceptes saints vous avez résisté ; v.187 (Acte 1, scène 4, LE GRAND PRETRE)
Rien ne vous lavera de tant d'impiété. v.188 (Acte 1, scène 4, LE GRAND PRETRE)
Ma fille, est-il bien vrai que vous ne suiviez pas v.195 (Acte 1, scène 4, IRADAN)
Osez, sans vous troubler, dire où vous êtes née, v.205 (Acte 1, scène 4, IRADAN)
Je ne puis vous tromper, ces lieux sont ma patrie. v.210 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
Vous punissez mon culte, il vous est inconnu. v.220 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
Que vous imaginez résider dans les airs, v.223 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
Nous enseigna ce Dieu que vous méconnaissez. v.235 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
Que par des dieux sans nombre en vain vous remplacez, v.236 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
Et dont je crains pour vous la justice immortelle. v.237 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
Prêtres, voilà mon_Dieu : frappez, si vous l'osez. v.248 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
Vous ne l'oserez point ; sa candeur et son âge, v.249 (Acte 1, scène 4, IRADAN)
Adouciront en vous cette âpre austérité v.251 (Acte 1, scène 4, IRADAN)
Pour moi, je vous l'avoue, un pouvoir invincible v.253 (Acte 1, scène 4, IRADAN)
Moi, pour vous obéir, je serais parricide ? v.269 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
J'ai parlé, j'ai tout dit, et j'ai pu vous confondre ; v.273 (Acte 1, scène 4, ARZAME)
On vous y forcera... Garde de nos prisons, v.275 (Acte 1, scène 4, LE-GRAND-PRETRE)
C'est au nom de César, et vous répondrez d'elle. v.277 (Acte 1, scène 4, LE GRAND PRETRE)
Je veux bien présumer que vous serez fidèle v.278 (Acte 1, scène 4, LE GRAND PRETRE)
Ô pouvoirs souverains, on vous en rend coupables !.. v.282 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Vous, jeune malheureuse, ayez un peu d'espoir. v.283 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Vous me voyez chargé d'un funeste devoir ; v.284 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Par un cruel arrêt vous condamne à périr ; v.287 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Un soldat vous absout, et veut vous secourir. v.288 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Vous pourriez désarmer leur barbare injustice, v.294 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
J'ose vous en prier. v.296 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Vous me faites frémir, et j'ai peine à comprendre v.297 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Vous prodiguez vos jours à peine commencés. v.300 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Ainsi vous surmontez vos mortelles alarmes, v.309 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Vous, si jeune et si faible ! et je verse des larmes ! v.310 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Je pleure, et d'un oeil sec vous voyez le trépas ! v.311 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Non, malheureuse enfant, vous ne périrez pas : v.312 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Je veux, malgré vous-même, obtenir votre grâce ; v.313 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Mon coeur fermé pour eux s'ouvre quand vous parlez : v.324 (Acte 1, scène 5, ARZAME)
Nos moeurs, vous le voyez, sont simples et rustiques v.341 (Acte 1, scène 5, ARZAME)
Vivez, ô noble objet ! Ce coeur vous en conjure. v.345 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Lui par qui je vous vois et que vous révérez ; v.347 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
S'il est sacré pour vous, vos jours sont plus sacrés, v.348 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Vous la suivrez, soldats ; mais c'est pour observer v.351 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Contre leurs attentats vous prendrez sa défense. v.353 (Acte 1, scène 5, IRADAN)
Méritent-ils, seigneur, les soins que vous prenez ? v.356 (Acte 1, scène 5, ARZAME)
Non, ce n'est pas pour moi que vous serez terribles : v.370 (Acte 1, scène 6, IRADAN)
Vous adorez les dieux de l'inhumanité, v.375 (Acte 1, scène 6, IRADAN)
Et je sers contre vous le Dieu de la bonté. v.376 (Acte 1, scène 6, IRADAN)
Ce que vous m'apprenez de sa simple innocence, v.377 (Acte 2, scène 1, CESENE)
Je triomphe avec vous des monstres des enfers ! v.408 (Acte 2, scène 1, IRADAN)
« Vous savez, ai-je dit, que nos lois souveraines v.413 (Acte 2, scène 1, IRADAN)
Vous l'approuvez, mon frère, et je n'en doute pas ; v.427 (Acte 2, scène 1, IRADAN)
Vous n'accomplissiez pas vos destins généreux, v.436 (Acte 2, scène 1, CESENE)
Je vous croirais parjure, et vous seriez complice v.437 (Acte 2, scène 1, CESENE)
Arzame, dites-vous, a dans le plus bas rang v.439 (Acte 2, scène 1, CESENE)
Son aspect déjà vous justifie. v.457 (Acte 2, scène 1, CESENE)
Arzame, c'est à vous que mon coeur sacrifie ; v.458 (Acte 2, scène 2, IRADAN)
Repoussait loin de vous la persécution. v.460 (Acte 2, scène 2, IRADAN)
Un noeud qui fait ma gloire, et qui vous est utile, v.465 (Acte 2, scène 2, IRADAN)
Qui contre vos tyrans vous ouvre un prompt asile, v.466 (Acte 2, scène 2, IRADAN)
Qui vous peut en secret donner la liberté v.467 (Acte 2, scène 2, IRADAN)
Elle vous a portée aux écueils de la mort, v.471 (Acte 2, scène 2, IRADAN)
Dans un orage affreux qui vous ramène au port ; v.472 (Acte 2, scène 2, IRADAN)
Je vous présente un frère ; il va tout préparer v.475 (Acte 2, scène 2, IRADAN)
A votre frère, à vous, pour tant de bienfaisance, v.477 (Acte 2, scène 2, ARZAME)
Goûtez, en vous aimant, un sort toujours prospère ; v.481 (Acte 2, scène 2, ARZAME)
Vous qui faites sur moi tomber ce noble choix, v.483 (Acte 2, scène 2, ARZAME)
Vont préparer pour vous les fêtes annoncées ; v.486 (Acte 2, scène 2, CESENE)
Je partage le vôtre, et vois en vous ma soeur. v.488 (Acte 2, scène 2, CESENE)
Ne craignez rien, parlez à l'époux qui vous aime. v.493 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Que je voudrais pour vous répandre tout le sang v.495 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Ah ! Que me dites-vous ? Et quelle défiance ! v.497 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Tout le mien coulera plutôt qu'on vous offense ; v.498 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
C'en est trop... bornez-vous, Seigneur, à la pitié ; v.504 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Mais daignez m'assurer qu'un secret qui vous touche v.505 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Je vous le jure. v.507 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Vous semblez hésiter, v.507 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Vous pleurez, et j'entends votre coeur qui soupire. v.509 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Écoutez, s'il se peut, ce que je dois vous dire : v.510 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Vous ne connaissez pas la loi que nous suivons ; v.511 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Barbare ! Ah ! que m'avez-vous dit ? v.523 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Vous avez donc un frère ? v.525 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
De nos Guèbres chéris, et chez vous condamnés. v.528 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Je ne suis plus pour vous qu'une vile étrangère, v.529 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Que je vous dois la vie, et qu'enfin vous m'aimez. v.532 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Seigneur, je vous l'ai dit, j'adore en vous mon père ; v.533 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Mais plus je vous chéris, et moins j'ai dû me taire. v.534 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Rendez ce triste coeur, qui n'a pu vous tromper, v.535 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Ne croit pas en effet vous avoir entendue. v.538 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Je dois me souvenir combien vous m'étiez chère : v.542 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Malgré tout mon courroux, mon honneur vous sait gré v.544 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Mais je vous vois toujours d'un regard de pitié : v.548 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Je ne vous aime plus, mais je vous sers encore. v.549 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Puisque je dois mourir, c'est de mourir par vous, v.552 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Mon coeur s'attache à vous, tout ingrate et coupable : v.562 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Je ne puis vous haïr, vous quitter, ni vous voir. v.564 (Acte 2, scène 3, IRADAN)
Et moi, seigneur, et moi, plus que vous confondue, v.565 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Et je crois voir en vous un père courroucé v.567 (Acte 2, scène 3, ARZAME)
Mon frère, tout est prêt, les autels vous demandent ; v.569 (Acte 2, scène 4, CESENE)
Les prêtresses d'hymen, les flambeaux vous attendent ; v.570 (Acte 2, scène 4, CESENE)
Doit vous accompagner à ces autels obscurs, v.572 (Acte 2, scène 4, CESENE)
Que dites-vous ? v.584 (Acte 2, scène 4, CESENE)
À ce rang avili qu'avec vous je déteste, v.586 (Acte 2, scène 4, IRADAN)
Fuyons dans la retraite où vous vouliez vous rendre ; v.589 (Acte 2, scène 4, IRADAN)
Vous pleurez votre fille, et je pleure mon fils. v.592 (Acte 2, scène 4, IRADAN)
Vous me glacez d'effroi ; quel trouble et quels desseins ! v.599 (Acte 2, scène 4, CESENE)
Vous laisseriez Arzame à ses vils assassins, v.600 (Acte 2, scène 4, CESENE)
À ses bourreaux ? Qui ? Vous ! v.601 (Acte 2, scène 4, CESENE)
Et je n'ai point de vous mérité cet outrage : v.606 (Acte 2, scène 4, IRADAN)
Vous m'offensez. v.607 (Acte 2, scène 4, IRADAN)
Dans quel saisissement vous me jetez tous deux ! v.608 (Acte 2, scène 4, ARZAME)
Hélas ! vous disputez pour une malheureuse ; v.609 (Acte 2, scène 4, ARZAME)
Vous en voulez trop faire, et trop sacrifier ; v.611 (Acte 2, scène 4, ARZAME)
Du pouvoir souverain par vous-même attesté ? v.616 (Acte 2, scène 5, LE-GRAND-PRETRE)
Arrêtez... devant moi qu'un de vous se présente, v.626 (Acte 2, scène 5, CESENE)
Vous n'êtes plus soldats quand vous servez ces prêtres. v.629 (Acte 2, scène 5, IRADAN)
Fuyez, vous dis-je. v.631 (Acte 2, scène 5, CESENE)
Et vous, objet infortuné, v.631 (Acte 2, scène 5, IRADAN)
Vous appelez la foudre, et c'est moi qui la lance ! v.642 (Acte 2, scène 5, LE-GRAND-PRETRE)
Des humains avec vous je fuirai l'injustice. v.665 (Acte 2, scène 6, IRADAN)
Ah !... La connaissez-vous ? v.677 (Acte 2, scène 7, LE JEUNE ARZEMON)
Quoi ! ces lieux, dites-vous, sont en votre puissance, v.701 (Acte 2, scène 7, LE JEUNE ARZEMON)
De la mort, dites-vous, ma soeur est menacée ; v.705 (Acte 2, scène 7, LE JEUNE ARZEMON)
Vous la persécutez ! v.706 (Acte 2, scène 7, LE JEUNE ARZEMON)
Je vous offre mon bras, v.817 (Acte 3, scène 2, MEGATISE)
C'est tout ce que je puis... Je ne vous quitte pas. v.818 (Acte 3, scène 2, MEGATISE)
Pensez-vous qu'Iradan puisse leur résister ? v.902 (Acte 3, scène 3, MEGATISE)
Êtes-vous sûre enfin de sa persévérance ? v.903 (Acte 3, scène 3, MEGATISE)
Comment ! Que dites-vous ? Quel crime a-t-on pu faire ? v.915 (Acte 3, scène 4, ARZAME)
Seigneur, je vous ai vu, dans ce séjour du crime, v.963 (Acte 3, scène 4, MEGATISE)
Que vous la promettiez pour les mieux abuser ? v.966 (Acte 3, scène 4, MEGATISE)
La faute en est à vous, vous qui la protégez. v.969 (Acte 3, scène 4, MEGATISE)
J'ai dû vous épargner la douleur de me voir. v.1128 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
Vous l'avez ordonné, vous lui rendez justice ; v.1134 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
Et vous me demandez ce que je veux !... La mort, v.1135 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
La mort ; vous le savez. v.1136 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
Je vous les rends, seigneur, je ne veux point de grâce : v.1141 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
Il faut que devant vous il meure avec sa soeur. v.1144 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
Vous me l'aviez promis ; votre pitié m'outrage. v.1145 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
Si vous en aviez l'ombre, et si votre courage, v.1146 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
Pourquoi de tant de maux prolongez-vous le terme ? v.1150 (Acte 4, scène 3, ARZAME)
Daignez-vous accorder la grâce qu'il demande ? v.1165 (Acte 4, scène 4, MEGATISE)
Il faut que je vous venge : allons, il en est temps. v.1168 (Acte 4, scène 4, CESENE)
À mes derniers moments quel dieu vient vous offrir ? v.1179 (Acte 4, scène 5, ARZAME)
Voulez-vous qu'à vos yeux... v.1180 (Acte 4, scène 5, ARZAME)
Je veux vous secourir. v.1180 (Acte 4, scène 5, LE VIEIL ARZÉMON)
Devant vous, ô ma soeur ! Dont la juste colère, v.1198 (Acte 4, scène 6, LE JEUNE ARZEMON)
J'apporte à ces douleurs, dont l'excès vous dévore, v.1201 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Et vous allez peut-être en verser de nouvelles ; v.1206 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Mais vous les chérirez. v.1207 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZ?MON)
Le lieu, le nouveau poste, et le rang où vous êtes ! v.1210 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Enfin je vous retrouve. v.1212 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZ?MON)
Vous allez donc livrer aux mains qui les attendent v.1213 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Il vous souvient des jours de carnage et d'effroi, v.1216 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Vous engagea tous deux. v.1230 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Je les sais mieux que vous ; ils m'ont ici conduit. v.1232 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Vous aviez deux enfants dans Émesse embrasée : v.1233 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZ?MON)
Hélas ! vous saurez tout : je dois d'abord vous dire v.1238 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Que me préparez-vous, ô cieux ! Que dois-je croire ? v.1265 (Acte 4, scène 6, IRADAN)
C'est pour vous qu'en ces lieux je l'avais apporté. v.1272 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)
Vous en croirez les traits qu'une mère expirante v.1273 (Acte 4, scène 6, LE VIEIL ARZ?MON)
Quoi ! Je naquis de vous ! v.1280 (Acte 4, scène 6, ARZAME)
Du nom de père, hélas ! osé-je vous nommer ? v.1284 (Acte 4, scène 6, LE JEUNE ARZEMON)
Vous pouvez le souffrir ! Le trône s'humilie v.1297 (Acte 4, scène 6, CESENE)
J'en étais incapable ; eux seuls vous ont frappé. v.1300 (Acte 4, scène 6, LE JEUNE ARZEMON)
Le ciel vous a rendus à nos embrassements. v.1334 (Acte 5, scène 1, IRADAN)
Sanctifié par vous, recevra votre foi ; v.1338 (Acte 5, scène 1, IRADAN)
Hélas ! L'espérez-vous ? v.1343 (Acte 5, scène 1, ARZAME)
Des formes de nos lois on peut vous affranchir. v.1346 (Acte 5, scène 1, IRADAN)
Le temps fera le reste et si vous persistez v.1349 (Acte 5, scène 1, IRADAN)
Vous forcerez du moins vos tyrans à se taire. v.1352 (Acte 5, scène 1, IRADAN)
Je ne puis vous parler, je demeure éperdu, v.1357 (Acte 5, scène 1, LE JEUNE ARZEMON)
Vous me donnez Arzame ! v.1359 (Acte 5, scène 1, LE JEUNE ARZEMON)
Quelle nouvelle heureuse apportez-vous enfin ? v.1361 (Acte 5, scène 2, IRADAN)
Vous n'irez point sans moi. v.1427 (Acte 5, scène 2, IRADAN)
Quelle erreur vous entraîne ? v.1427 (Acte 5, scène 2, CESENE)
Vivez, vengez ma mort un jour, si vous pouvez. v.1430 (Acte 5, scène 2, CESENE)
On va vous arrêter. v.1451 (Acte 5, scène 3, ARZAME)
C'est un événement qui pourra vous surprendre, v.1464 (Acte 5, scène 4, LE VIEIL ARZÉMON)
Levez-vous, écoutez mes arrêts équitables. v.1539 (Acte 5, scène 6, L-EMPEREUR)
Pères, enfants, soldats, vous êtes tous coupables, v.1540 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Seigneur, auprès de vous interdisent les plaintes. v.1544 (Acte 5, scène 6, IRADAN)
Vous vous trompiez ; c'est trop vous défier de moi : v.1545 (Acte 5, scène 6, L-EMPEREUR)
Vous avez outragé l'empereur et la loi ; v.1546 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Je vous eusse écoutés ; la voix de l'innocence v.1552 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Il se fie à César ; vous deviez l'imiter. v.1561 (Acte 5, scène 6, L-EMPEREUR)
Approchez, Arzémon ; venez vous présenter : v.1562 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Vous avez élevé la soeur avec le frère ; v.1564 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Je vous pardonne à tous. C'est à vous de connaître v.1588 (Acte 5, scène 6, L-EMPEREUR)
Votre frère avec vous me suivra dans l'armée ; v.1592 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Je vous verrai de près combattre sous mes yeux : v.1593 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Vous m'avez offensé ; vous m'en servirez mieux. v.1594 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Méritez ma faveur, qui vous est destinée. v.1596 (Acte 5, scène 6, L EMPEREUR)
Notre religion est de mourir pour vous. v.1614 (Acte 5, scène 6, LE VIEIL ARZÉMON)

LES LOIS DE MINOS (1773)

Le sort vous a réduit à combattre à la fois v.25 (Acte 1, scène 1, DICTIME)
Et chaque instant pour vous redouble nos alarmes : v.28 (Acte 1, scène 1, DICTIME)
Confidents de nos dieux, et vous, roi des crétois, v.102 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Vous, archontes vaillants, qui marchez à la guerre v.103 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Nos suffrages, Teucer, vous ont donné son rang : v.113 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Vous ne le tenez point des droits de votre sang ; v.114 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Nous vous avons choisi quand par Idoménée v.115 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Soyez digne du trône où vous êtes monté ; v.117 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Favoris de la gloire, et vous, prêtres des dieux, v.138 (Acte 1, scène 2, TEUCER)
Et vous, prêtres des dieux, faites des voeux pour nous, v.170 (Acte 1, scène 2, TEUCER)
La loi parle, il suffit : vous n'êtes en effet v.173 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Et ce n'est pas à vous de juger sa justice. v.176 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Quel nouvel intérêt vous agite et vous presse ? v.183 (Acte 1, scène 2, PHARES)
Vous voulez que Cydon cède au joug de la Crète ; v.187 (Acte 1, scène 2, PHARES)
La pitié qui vous touche a pénétré mon coeur. v.190 (Acte 1, scène 3, DICTIME)
S'il naquit parmi vous, s'il lance le tonnerre, v.216 (Acte 1, scène 3, ASTERIE)
Il faut du sang au peuple, et vous le connaissez ; v.237 (Acte 1, scène 3, MERIONE)
La loi qui vous révolte est injuste peut-être ; v.239 (Acte 1, scène 3, MERIONE)
Mais en Crète elle est sainte, et vous n'êtes pas maître v.240 (Acte 1, scène 3, MERIONE)
Et pourquoi dans Minos voulez-vous révérer v.245 (Acte 1, scène 3, TEUCER)
Ce que dans Busiris on vous vit abhorrer ? v.246 (Acte 1, scène 3, TEUCER)
Vous osez ! ... v.253 (Acte 1, scène 3, TEUCER)
Sénat, vous apprendrez un jour à pardonner. v.273 (Acte 1, scène 4, TEUCER)
Le conseil est rompu. Vous, braves combattants, v.281 (Acte 1, scène 4, TEUCER)
Tels sont mes sentiments. Vous pouvez décider v.289 (Acte 1, scène 4, TEUCER)
Si j'ai droit à l'honneur d'oser vous commander, v.290 (Acte 1, scène 4, TEUCER)
Servez-la ; mais surtout, si vous craignez les dieux, v.293 (Acte 1, scène 4, TEUCER)
Quel est celui de vous dont Datame est le nom ? v.297 (Acte 2, scène 1, DICTIME)
Cydon ne produit rien qui puisse vous flatter. v.318 (Acte 2, scène 1, DATAME)
Vous allez ravir l'or au sein de la Colchide ; v.319 (Acte 2, scène 1, DATAME)
Il ne tiendra qu'à vous ; longtemps nos adversaires, v.323 (Acte 2, scène 1, DATAME)
Si vous l'aviez voulu, nous aurions été frères. v.324 (Acte 2, scène 1, DATAME)
Nous vous redemandons la vertu la plus pure : v.335 (Acte 2, scène 1, DATAME)
Lui, qu'enfin vous peignez, dans vos mensonges vains, v.373 (Acte 2, scène 1, DATAME)
On méprise en Cydon ce que vous adorez ; v.382 (Acte 2, scène 1, DATAME)
Nous voulons des amis ; méritez-vous de l'être ? v.404 (Acte 2, scène 1, DATAME)
En le connaissant mieux, vous combattrez pour lui. v.406 (Acte 2, scène 1, DICTIME)
Vous-même. Il est temps que nos haines finissent, v.407 (Acte 2, scène 1, DICTIME)
Mais il l'estimera. Vous, allez ; qu'on prépare v.411 (Acte 2, scène 1, DICTIME)
De vous faire un appui des mêmes révoltés, v.434 (Acte 2, scène 2, DICTIME)
Si de pareils soldats pouvaient marcher sous vous, v.445 (Acte 2, scène 2, DICTIME)
Maintiendra malgré vous cette loi détestable ! v.464 (Acte 2, scène 2, DICTIME)
Puissiez-vous accomplir cette sainte entreprise ! v.471 (Acte 2, scène 2, DICTIME)
Ô roi ! Vous m'avez plainte, et vous m'abandonnez ! v.494 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Non ; je veille sur vous, et le ciel me seconde. v.495 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Pourquoi me tirez-vous de ma prison profonde ? v.496 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Pour vous rendre au climat qui vous donna le jour ; v.497 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Vous reverrez en paix votre premier séjour : v.498 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Souvenez-vous de moi loin de ces lieux cruels. v.501 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Une escorte fidèle aura soin de vous suivre. v.503 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Vivez... qui mieux que vous a mérité de vivre ! v.504 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Tout mon coeur qui m'échappe a volé devant vous ; v.506 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Recevez mon encens : en vous je les adore. v.508 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Vous seul, vous m'arrachez aux monstres infernaux v.509 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Esclave auprès de vous, je me plairais à l'être. v.512 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Qui, près de son tombeau, vous regrette et vous pleure, v.515 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Pour venir vous reprendre a quitté sa demeure ? v.516 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Savez-vous que Datame, envoyé par un père, v.519 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Datame ! Lui, seigneur ! Que vous me confondez ! v.522 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Vous serait-il promis ? Est-ce un parent, un frère ? v.527 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Plus on vous opprima, plus je veux vous servir. v.529 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Qui vous porte à me tendre une main protectrice ? v.531 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Où sa main veut sur vous porter le coup mortel. v.550 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Je vous rendrai l'époux dont vous êtes privée, v.551 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Et pour qui du trépas les dieux vous ont sauvée ; v.552 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Il vous suivra bientôt : rentrez ; que cette tour, v.553 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Ah ! Que vous méritez, Seigneur, une autre Cour, v.558 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Allez : avec regret de vous je me sépare ; v.560 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Je dois venger mes dieux, vous, et l'humanité. v.562 (Acte 2, scène 3, TEUCER)
Je vous crois, et de vous je ne puis moins attendre. v.563 (Acte 2, scène 3, ASTERIE)
Seigneur, sans passion pourrez-vous bien m'entendre ? v.564 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Et vous savez assez que, dans nos grands débats, v.566 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Des sanglants préjugés d'un peuple qui vous brave. v.568 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Je voudrais, comme vous, exterminer l'erreur v.569 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Vous pensez arrêter d'une main courageuse v.571 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Il vous entraînera, je vous en averti. v.573 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Qu'il croit servir le ciel et vous venger vous-même. v.576 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Il dit ; et vous jugez si ces accents terribles v.587 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Je vois qu'il vous gouverne, et qu'il sut vous séduire. v.591 (Acte 2, scène 4, TEUCER)
M'apportez-vous son ordre, et pensez-vous m'instruire ? v.592 (Acte 2, scène 4, TEUCER)
Je vous donne un conseil. v.593 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Il vous serait utile. v.594 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Épargnez-vous ce soin ; v.594 (Acte 2, scène 4, TEUCER)
Je sais prendre, sans vous, conseil de ma justice. v.595 (Acte 2, scène 4, TEUCER)
De notre liberté condamnez-vous l'amour ? v.602 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Seigneur, vous l'approuviez quand de vous on fit choix. v.606 (Acte 2, scène 4, TEUCER)
Mais vous parlez en prince. v.610 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Vous pourriez hasarder, dans ces dissensions, v.613 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Seigneur, entre elle et vous marchant d'un pas égal, v.617 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Je vous parle en son nom. v.619 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Vous devriez rougir d'être leur protecteur. v.622 (Acte 2, scène 4, TEUCER)
Vous révoltez les coeurs, il faut persuader. v.625 (Acte 2, scène 4, MERIONE)
Être impunément juste, et vous apprendre à l'être. v.631 (Acte 2, scène 4, TEUCER)
Si vous ne m'imitez, respectez votre maître... v.632 (Acte 2, scène 4, TEUCER)
Pourriez-vous reparaître aux yeux de la patrie v.676 (Acte 3, scène 1, DATAME)
Ah ! Savez-vous le crime ? ... v.701 (Acte 3, scène 2, CYDONIEN)
Montrez ces sentiments que vous m'avez promis : v.726 (Acte 3, scène 2, DATAME)
Où pensez-vous aller ? Et qu'est-ce que vous faites ? v.751 (Acte 3, scène 3, DICTIME)
Quel transport vous égare, aveugles que vous êtes ? v.752 (Acte 3, scène 3, DICTIME)
On ne veut point sans vous juger son attentat ; v.833 (Acte 3, scène 5, LE-HERAUT)
Il a, si je l'en crois, des présents à vous faire v.851 (Acte 3, scène 5, LE-HERAUT)
Qui vous étonneront. v.852 (Acte 3, scène 5, LE HERAUT)
Que je vous porte envie, ô rois trop fortunés, v.873 (Acte 3, scène 5, TEUCER)
Vous qui faites le bien dès que vous l'ordonnez ! v.874 (Acte 3, scène 5, TEUCER)
Vous n'avez qu'à parler, et la terre est contente. v.876 (Acte 3, scène 5, TEUCER)
Que pourrez-vous penser quand vous saurez l'outrage v.893 (Acte 4, scène 1, AZEMON)
Vous ne verriez ici qu'un appareil de mort ; v.955 (Acte 4, scène 3, DICTIME)
Mais vous savez quel sang d'abord on sacrifie ; v.957 (Acte 4, scène 3, DICTIME)
Vous entendrez bientôt la fatale trompette : v.965 (Acte 4, scène 3, DICTIME)
Ouvrez-vous, temple horrible ! Ah ! Qu'est-ce que je vois ? v.1012 (Acte 4, scène 3, TEUCER)
Est-ce vous dont le bras équitable et vengeur v.1020 (Acte 4, scène 3, ASTERIE)
Ah ! Si vous les sauvez, sauvez ceux de Datame ; v.1022 (Acte 4, scène 3, ASTERIE)
Vous esclave ! ô mon sang ! Sang des rois ! Fille chère ! v.1025 (Acte 4, scène 3, TEUCER)
Vous, écoutez. v.1035 (Acte 4, scène 3, TEUCER)
Oui, si je suis à vous, Datame est votre fils ; v.1036 (Acte 4, scène 3, ASTERIE)
Il va vous accuser de fraude, d'imposture. v.1050 (Acte 4, scène 3, DICTIME)
Ne vous attendez pas, dans ces émotions, v.1064 (Acte 4, scène 3, DICTIME)
Que l'orgueil de Pharès s'abaisse à vous complaire : v.1065 (Acte 4, scène 3, DICTIME)
Je cours y donner ordre, et vous pouvez m'attendre. v.1074 (Acte 4, scène 3, TEUCER)
Mon sort est en tout temps de vous devoir le jour. v.1076 (Acte 4, scène 3, ASTERIE)
Nous savons, vous et moi, comme on brave la mort ; v.1096 (Acte 4, scène 3, ASTERIE)
Vous me l'avez appris, vous gouvernez mon âme ; v.1097 (Acte 4, scène 3, ASTERIE)
Et je mourrai du moins entre vous et Datame. v.1098 (Acte 4, scène 3, ASTERIE)
Et vous, qui ne savez ce que vous devez être, v.1108 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Vous qui, toujours douteux entre Pharès et moi, v.1109 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Vous êtes cru trop grand pour servir votre roi, v.1110 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Prétendez-vous encore, orgueilleux Mérione, v.1111 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Que vous pouvez abattre ou soutenir mon trône ? v.1112 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Ce roi dont vous osez vous montrer si jaloux, v.1113 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Pour vaincre et pour régner n'a pas besoin de vous ; v.1114 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Je vous offre mon bras, mes trésors, et mon sang : v.1121 (Acte 5, scène 1, MERIONE)
Mais si vous abusez de ce suprême rang v.1122 (Acte 5, scène 1, MERIONE)
Père et monarque heureux, vous avez résolu v.1125 (Acte 5, scène 1, MERIONE)
Des vils Cydoniens vous osez vous servir v.1129 (Acte 5, scène 1, MERIONE)
Mais, de quelque grand nom qu'en ces lieux on vous nomme v.1131 (Acte 5, scène 1, MERIONE)
Je ne vous connais plus que pour mon ennemi : v.1134 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Vous le voulez ? v.1135 (Acte 5, scène 1, MERIONE)
Vous punir tous ensemble. Oui, marchez, téméraire ; v.1136 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Je les méprise assez pour les joindre avec vous. v.1138 (Acte 5, scène 1, TEUCER)
Qui ? Moi, trembler ! Vous, qui m'avez conduite, v.1159 (Acte 5, scène 2, ASTERIE)
Ce n'était pas ainsi que vous m'aviez instruite. v.1160 (Acte 5, scène 2, ASTERIE)
Le roi, Datame, et vous, vous êtes en danger ; v.1161 (Acte 5, scène 2, ASTERIE)
Les filles de Cydon, toujours dignes de vous, v.1173 (Acte 5, scène 2, ASTERIE)
Vous vivrez tous les deux : qu'aurais-je encore à craindre ? v.1184 (Acte 5, scène 3, ASTERIE)
Ah ! Vous seul êtes juste. v.1290 (Acte 5, scène 4, ASTERIE)
Le peuple, en apprenant de qui vous êtes née, v.1299 (Acte 5, scène 4, TEUCER)
En détestant la loi qui vous a condamnée, v.1300 (Acte 5, scène 4, TEUCER)
Aimez les lois, les arts ; ils vous rendront heureux... v.1309 (Acte 5, scène 4, TEUCER)

ALZIRE (1736)

Je vous remets, mon fils, ces honneurs souverains v.7 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
S'ils vous ont vu régir, sous d'équitables lois, v.23 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
J'ai conquis avec vous ce sauvage hémisphère, v.25 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Je dois de vous encor apprendre à gouverner, v.27 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Quand vous priez un fils, seigneur vous commandez ; v.43 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Mais daignez voir au moins ce que vous hasardez. v.44 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Les pouvez-vous aimer ces forfaits politiques ; v.66 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Vous chrétien, vous choisi pour régner désormais v.67 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Hélas ! Si, comme vous, il était sanguinaire, v.89 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
S'il n'avait des vertus, vous n'auriez plus de père. v.90 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Avez-vous oublié qu'ils m'ont sauvé le jour ? v.91 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Avez-vous oublié, que, près de ce séjour, v.92 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
« Alvarès, me dit-il, Alvarès est-ce vous ? v.100 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Eh bien vous gémissez, je sens qu'à ce récit v.107 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Votre cour, malgré vous s'émeut et s'adoucit, v.108 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
L'humanité vous parle ainsi que votre père ! v.109 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Ah ! Si la cruauté vous était toujours chère, v.110 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
De quel front aujourd'hui pourriez-vous vous offrir v.111 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Au vertueux objet qu'il vous faut attendrir ? v.112 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Prétendez-vous, mon fils, cimenter ces liens v.115 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Ou bien attendez-vous que ses cris et ses larmes v.117 (Acte 1, scène 1, DON ALVARES)
Eh bien vous l'ordonnez, je brise leurs liens, v.119 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Écoutez-moi, mon fils, plus que vous je désire v.129 (Acte 1, scène 1, ALVARES)
Je me rends donc seigneur et vous l'avez voulu, v.135 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Vous avez sur un fils un pouvoir absolu ; v.136 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Oui, vous amolliriez le coeur le plus farouche, v.137 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Eh bien, puisque le ciel voulut vous accorder v.139 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
C'est de vous que j'attends le bonheur de ma vie ; v.141 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Vous seul, vous pouvez tout sur le père d'Alzire, v.150 (Acte 1, scène 1, DON GUSMAN)
Adieu, je vous devrai le bonheur de mon fils. v.211 (Acte 1, scène 2, ALVARES)
Tout mon sang est à vous, mais si je vous suis chère, v.226 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
Vous m'avez arraché cet affreux sacrifice ; v.230 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
Mon père, où m'avez-vous réduite ! v.250 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
Mon cour changé par vous abandonna ses dieux. v.256 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
Mais vous, qui m'assuriez, dans mes troubles cruels, v.259 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
Vous trompiez ma faiblesse ! Un trait toujours vainqueur, v.263 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
Cet amour immortel ordonné par vous-même. v.269 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
Tremblez, vous qui d'un dieu m'annoncez la vengeance, v.273 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
Vous qui me condamnez d'aller en sa présence v.274 (Acte 1, scène 4, ALZIRE)
De tous ces ennemis dont vous vouliez la grâce. v.294 (Acte 1, scène 5, DON GUSMAN)
Si ce faible service eût pu vous attendrir. v.296 (Acte 1, scène 5, DON GUSMAN)
Je voulais vous devoir à ma flamme, à vous même, v.298 (Acte 1, scène 5, DON GUSMAN)
Que ma félicité vous coûtât des regrets. v.300 (Acte 1, scène 5, DON GUSMAN)
Vous voyez quel effroi me trouble et me confond, v.303 (Acte 1, scène 5, ALZIRE)
Vit dans votre mémoire et vous est cher encore. v.310 (Acte 1, scène 5, DON GUSMAN)
Et ce cour est jaloux des pleurs que vous versez. v.316 (Acte 1, scène 5, DON GUSMAN)
Vous, loin d'oser ici condamner ma douleur, v.323 (Acte 1, scène 5, ALZIRE)
À des dieux ennemis vous les avez livrées : v.346 (Acte 2, scène 1, ZAMORE)
Mon pays et mon trône et vos temples et vous. v.348 (Acte 2, scène 1, ZAMORE)
Vous n'avez plus d'autels et je n'ai plus d'empire, v.349 (Acte 2, scène 1, ZAMORE)
Ne pouvez-vous m'apprendre un destin que j'ignore ? v.374 (Acte 2, scène 1, ZAMORE)
Hélas ! Avez-vous pu le chercher si longtemps ? v.432 (Acte 2, scène 2, ALVARES)
Seigneur on vous attend pour la cérémonie. v.590 (Acte 2, scène 5, GARDE)
Je vous suis. v.591 (Acte 2, scène 5, MONTEZE)
Il ne m'appartient pas de vous donner des lois, v.599 (Acte 2, scène 5, MONTEZE)
Mais Gusman vous l'ordonne et parle par ma voix. v.600 (Acte 2, scène 5, MONTEZE)
Si je puis vous sauver, ou s'il nous faut périr. v.656 (Acte 2, scène 6, ZAMORE)
Il a quelques secrets, qu'il veut vous révéler. v.706 (Acte 3, scène 3, CEPHANE)
Il vous cherchait, madame, et Monteze en ces lieux v.709 (Acte 3, scène 3, EMIRE)
Il vous nommait, madame, et répandait des pleurs : v.714 (Acte 3, scène 3, CEPHANE)
Qu'il ignore, et le rang et l'éclat où vous êtes. v.716 (Acte 3, scène 3, CEPHANE)
Vous sentez-vous coupable, et pouvez-vous répondre ? v.831 (Acte 3, scène 5, ALVARES)
Sans mon respect pour vous, eût été ma réponse. v.835 (Acte 3, scène 5, DON GUSMAN)
Madame, votre cour doit vous instruire assez, v.836 (Acte 3, scène 5, DON GUSMAN)
À quel point en secret ici vous m'offensez ; v.837 (Acte 3, scène 5, DON GUSMAN)
Vous, qui, sinon pour moi, du moins pour votre gloire, v.838 (Acte 3, scène 5, DON GUSMAN)
Vous, dont les pleurs encor outragent votre époux, v.840 (Acte 3, scène 5, DON GUSMAN)
Vous, que j'aimais assez pour en être jaloux. v.841 (Acte 3, scène 5, DON GUSMAN)
Et vous, seigneur ! Mon protecteur son père, v.842 (Acte 3, scène 5, ALZIRE)
Au dieu que vous servez eut à la fin recours : v.853 (Acte 3, scène 5, ALZIRE)
C'est ce dieu des chrétiens, que devant vous j'atteste, v.854 (Acte 3, scène 5, ALZIRE)
De la nécessité de vous trahir tous deux ? v.869 (Acte 3, scène 5, ALZIRE)
Ainsi vous abusez d'un reste d'indulgence, v.874 (Acte 3, scène 5, DON GUSMAN)
Mais vous le demandez, et je vais vous punir ; v.876 (Acte 3, scène 5, DON GUSMAN)
Mon fils, qu'allez-vous faire ? v.878 (Acte 3, scène 5, ALVARES)
Dans la poudre à l'instant vous les verrez rentrer. v.897 (Acte 3, scène 6, DON GUSMAN)
Ce monde est fait pour vous, vous l'êtes pour la gloire, v.899 (Acte 3, scène 6, DON GUSMAN)
Eux pour porter vos fers, vous craindre, et vous servir. v.900 (Acte 3, scène 6, DON GUSMAN)
Êtes-vous donc des dieux qu'on ne puisse attaquer ? v.904 (Acte 3, scène 6, ZAMORE)
Et teints de notre sang, faut-il vous invoquer ? v.905 (Acte 3, scène 6, ZAMORE)
Seigneur, je songe à vaincre, et je l'appris de vous ; v.908 (Acte 3, scène 6, DON GUSMAN)
Zamore est vertueux, vous lui devez le jour. v.917 (Acte 3, scène 7, ALZIRE)
Hélas, que n'êtes-vous le père de Zamore ! v.927 (Acte 3, scène 7, ALZIRE)
Vous avez triomphé du nombre et du courage, v.929 (Acte 4, scène 1, ALVARES)
Vous, songez cependant qu'un père vous implore ; v.936 (Acte 4, scène 1, ALVARES)
Et n'apprendrez-vous point à conquérir des cours ? v.939 (Acte 4, scène 1, ALVARES)
Ah ! Vous percez le mien. Demandez-moi ma vie, v.940 (Acte 4, scène 1, DON GUSMAN)
Quoi, vous joignez encor à cet ardent courroux, v.946 (Acte 4, scène 1, ALVARES)
Et vous condamneriez jusqu'à ma jalousie ? v.948 (Acte 4, scène 1, DON GUSMAN)
Si légitime en moi, trouve en vous un censeur ! v.951 (Acte 4, scène 1, DON GUSMAN)
Vous voyez sans pitié ma douleur effrénée ! v.952 (Acte 4, scène 1, DON GUSMAN)
Par des dehors plus doux vous devez l'attendrir. v.955 (Acte 4, scène 1, ALVARES)
Ne devriez-vous pas, de mon honneur jaloux, v.962 (Acte 4, scène 1, DON GUSMAN)
Ne vous repentez point d'un amour légitime ; v.968 (Acte 4, scène 1, ALVARES)
De vous respecter plus, et de n'oser jamais v.1014 (Acte 4, scène 2, DON GUSMAN)
S'il peut vous pardonner, est assez généreux. v.1019 (Acte 4, scène 2, DON GUSMAN)
Plus que vous ne pensez, je porte un coeur sensible, v.1020 (Acte 4, scène 2, DON GUSMAN)
Et ce n'est pas à vous à me croire inflexible. v.1021 (Acte 4, scène 2, DON GUSMAN)
Vous voyez qu'il vous aime, on pourrait l'attendrir. v.1022 (Acte 4, scène 3, EMIRE)
Sa foi, n'en doutez point, sa main vous est vendue. v.1029 (Acte 4, scène 3, EMIRE)
Il vous prévient déjà ; Cephane le conduit. v.1050 (Acte 4, scène 3, EMIRE)
Mais si l'on vous rencontre en cette obscure nuit, v.1051 (Acte 4, scène 3, EMIRE)
Retirez-vous, madame, et fuyez tant d'alarmes : v.1145 (Acte 4, scène 6, EMIRE)
Que pouvez-vous madame, ô ciel ! v.1147 (Acte 4, scène 6, EMIRE)
À mes ordres secrets, madame, il faut vous rendre. v.1148 (Acte 4, scène 7, ALONZE)
Préparez-vous pour moi vos supplices cruels, v.1158 (Acte 5, scène 1, ALZIRE)
Tyrans, qui vous nommés les juges des mortels ? v.1159 (Acte 5, scène 1, ALZIRE)
Laissés-vous dans l'horreur de cette inquiétude v.1160 (Acte 5, scène 1, ALZIRE)
Vous pourriez ! v.1190 (Acte 5, scène 2, ALZIRE)
Ma grâce ! à mes tyrans ! Les prier ! Vous, mon père ! v.1200 (Acte 5, scène 2, ALZIRE)
Il mourra... gardez-vous d'empêcher mon trépas. v.1207 (Acte 5, scène 2, ALZIRE)
Le conseil vous condamne, il a dans sa colère v.1288 (Acte 5, scène 5, ALVARES)
Et je viens le remplir pour vous sauver tous deux. v.1291 (Acte 5, scène 5, ALVARES)
Cruels, ainsi tous deux vous voulez votre perte ! v.1348 (Acte 5, scène 5, ALVARES)
Vous bravez ma bonté qui vous était offerte ; v.1349 (Acte 5, scène 5, ALVARES)
S'arrête devant vous ; ... mais pour vous imiter. v.1367 (Acte 5, scène 7, GUSMAN)
Alzire en ce moment voudrait mourir pour vous, v.1411 (Acte 5, scène 7, ALZIRE)
Entre Zamore et vous mon âme déchirée, v.1412 (Acte 5, scène 7, ALZIRE)
Tout vous est pardonné, puisque je vois vos pleurs. v.1415 (Acte 5, scène 7, DON GUSMAN)
Pour la dernière fois approchez-vous, mon père, v.1416 (Acte 5, scène 7, DON GUSMAN)
Vivez longtemps heureux, qu'Alzire vous soit chère ; v.1417 (Acte 5, scène 7, DON GUSMAN)

OEDIPE (1718)

Philoctète, est-ce vous ? quel coup affreux du sort v.1 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Dans ces lieux empestés vous fait chercher la mort ? v.2 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Venez-vous de nos dieux affronter la colère ? v.3 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Quoi ! Philoctète enfin pourrait-il être à vous ? v.26 (Acte 1, scène 1, PHILOCTÈTE)
A peine vous quittiez le sein de vos États, v.30 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
A peine vous preniez le chemin de l'Asie, v.31 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Un monstre (loin de nous que faisiez-vous alors ?), v.41 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Mais vous, heureux guerrier que ces dieux favorisent, v.80 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Qui du sein de la gloire a pu vous arracher ? v.81 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Dans ce séjour affreux que venez-vous chercher ? v.82 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Il naquit dans l'enfance, il croissait avec vous, v.102 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Que j'admirais en vous cette vertu suprême, v.107 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
C'est le premier tyran que vous avez dompté. v.110 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Vous reverrez Jocaste et son nouvel époux ? v.130 (Acte 1, scène 1, DIMAS)
Comment ! que dites-vous ? un nouvel hyménée... v.131 (Acte 1, scène 1, PHILOCTÈTE)
De la mort qui vous suit étouffer les semences ! v.164 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Vous, ministre des dieux que dans Thèbe on adore, v.167 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Thébains, je l'avouerai, vous souffrez justement v.181 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Laïus vous était cher, et votre négligence v.183 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Vous éteignez l'encens que vous brûliez pour eux ; v.190 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Le sang de votre roi s'élève contre vous. v.194 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Seigneur, quand le destin, me réservant à vous, v.209 (Acte 1, scène 3, JOCASTE)
Moi-même devant vous je veux l'interroger. v.253 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Et vous, dieux des Thébains, dieux qui nous exaucez, v.257 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Punissez l'assassin, vous qui le connaissez ! v.258 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Et si vous êtes las enfin de nous haïr, v.269 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Si sur un inconnu vous poursuivez le crime, v.271 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Vous, retournez au temple ; allez, que votre voix v.273 (Acte 1, scène 3, OEDIPE)
Ô reine ! ayez pitié d'un peuple qui vous aime ; v.311 (Acte 2, scène 1, CHOEUR)
Je vous offre mon sang : n'exigez rien de plus. v.318 (Acte 2, scène 1, JOCASTE)
Que je vous plains ! v.319 (Acte 2, scène 2, EGINE)
Je n'ose l'accuser ; mais quelle horreur pour vous v.325 (Acte 2, scène 2, EGINE)
Si vous trouvez en lui l'assassin d'un époux ! v.326 (Acte 2, scène 2, EGINE)
Comment donc pouviez-vous du joug de l'hyménée v.363 (Acte 2, scène 2, EGINE)
M'est-il permis de ne vous rien cacher ? v.365 (Acte 2, scène 2, EGINE)
Oedipe, Madame, a paru vous toucher ; v.366 (Acte 2, scène 2, EGINE)
Ou Philoctète absent ne vous touchait-il plus ? v.370 (Acte 2, scène 2, EGINE)
Entre ces deux héros étiez-vous partagée ? v.371 (Acte 2, scène 2, EGINE)
Vous l'aimiez ? v.375 (Acte 2, scène 2, EGINE)
Je ne vous tiendrai point de ces discours vulgaires v.415 (Acte 2, scène 3, PHILOCTÈTE)
Un coeur qui vous chérit, et, s'il faut dire plus, v.417 (Acte 2, scène 3, PHILOCT?TE)
S'il vous souvient des noeuds que vous avez rompus, v.418 (Acte 2, scène 3, PHILOCT?TE)
N'a point appris de vous à montrer de faiblesse. v.420 (Acte 2, scène 3, PHILOCT?TE)
J'en dois donner l'exemple, ou le prendre de vous. v.422 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Si Jocaste avec vous n'a pu se voir unie, v.423 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Je vous aimais, Seigneur : une suprême loi v.425 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Vous savez quels fléaux ont éclaté sur nous, v.429 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Si le vainqueur du sphinx devait vous conquérir, v.437 (Acte 2, scène 3, PHILOCTÈTE)
Fallait-il loin de vous ne chercher qu'à périr ? v.438 (Acte 2, scène 3, PHILOCT?TE)
Vous ne connaissez pas quel est votre malheur. v.446 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Je perds Alcide et vous : qu'aurais-je à craindre encore ? v.447 (Acte 2, scène 3, PHILOCTÈTE)
Vous êtes en des lieux qu'un dieu vengeur abhorre ; v.448 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
On le cherche, on vous nomme, on vous accuse enfin. v.454 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Et que de votre époux... Vous ne le croyez pas. v.458 (Acte 2, scène 3, PHILOCTÈTE)
Non, je ne le crois point, et c'est vous faire injure v.459 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Votre coeur m'est connu, vous avez eu ma foi, v.461 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Et vous ne pouvez point être indigne de moi. v.462 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Trop dignes de périr depuis qu'ils vous soupçonnent. v.464 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Les dieux vous réservaient un plus noble destin ; v.466 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Vous étiez né pour eux : leur sagesse profonde v.467 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Ce n'est qu'aux malheureux que vous devez vos soins. v.474 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Allez, libre des feux dont vous fûtes épris, v.477 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Seigneur, mon époux vient, souffrez que je vous laisse : v.479 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Mais j'aurais trop peut-être à rougir devant vous, v.481 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
Puisque je vous aimais, et qu'il est mon époux. v.482 (Acte 2, scène 3, JOCASTE)
J'ai pour vous trop d'estime, et je ne pense pas v.489 (Acte 2, scène 4, PHILOCTÈTE)
Que vous puissiez descendre à des soupçons si bas. v.490 (Acte 2, scène 4, PHILOCT?TE)
Thésée, Hercule, et moi, nous vous avons montré v.493 (Acte 2, scène 4, PHILOCT?TE)
Le chemin de la gloire où vous êtes entré. v.494 (Acte 2, scène 4, PHILOCT?TE)
L'honneur que vous avez d'être placé près d'eux. v.498 (Acte 2, scène 4, PHILOCT?TE)
Les héros que j'admire et que vous imitez. v.502 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Certes, je ne veux point vous imputer un crime : v.503 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Vous êtes accusé, songez à vous défendre ; v.512 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
D'honorer dans ma cour un héros tel que vous ; v.514 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Et je me tiens heureux s'il faut que je vous traite, v.515 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Sans doute avec honneur il expira sous vous : v.526 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Vous ne l'avez vaincu qu'en guerrier magnanime ; v.527 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Je vous rends trop justice. v.528 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
J'ai défendu des rois ; et vous devez songer v.533 (Acte 2, scène 4, PHILOCTÈTE)
Des guerriers somme vous sont égaux aux monarques ; v.536 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Et vous... v.540 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Ce n'est point moi : ce mot doit vous suffire. v.540 (Acte 2, scène 4, PHILOCTÈTE)
En vous parlant ainsi, je dois être écouté. v.542 (Acte 2, scène 4, PHILOCT?TE)
Mais un prince, un guerrier, tel que vous, tel que moi, v.545 (Acte 2, scène 4, PHILOCT?TE)
Ah ! ce n'est point à vous d'en accuser personne : v.548 (Acte 2, scène 4, PHILOCT?TE)
C'est vous qui recueillez le fruit de son trépas. v.550 (Acte 2, scène 4, PHILOCT?TE)
On vous jugera, prince ; et si votre innocence v.560 (Acte 2, scène 4, OEDIPE)
Tandis que par vos soins vous pouvez tout apprendre, v.583 (Acte 2, scène 5, ARASPE)
Madame vous savez jusqu'à quelle insolence v.611 (Acte 3, scène 1, EGINE)
Vous entendez d'ici leurs cris séditieux ; v.617 (Acte 3, scène 1, EGINE)
Pourrez-vous résister à tant de violence ? v.619 (Acte 3, scène 1, EGINE)
Pourrez-vous le servir et prendre sa défense ? v.620 (Acte 3, scène 1, EGINE)
Eh ! qu'avez-vous, Madame, à craindre de leurs coups ? v.645 (Acte 3, scène 1, EGINE)
Quels regards si perçants sont dangereux pour vous ? v.646 (Acte 3, scène 1, EGINE)
Mais voulez-vous qu'il parte ? v.663 (Acte 3, scène 1, EGINE)
Ah ! prince, vous voici ! v.670 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Mon devoir, il est vrai, m'ordonne de vous fuir ; v.673 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Je dois vous oublier, et non pas vous trahir : v.674 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Je crois que vous avez le sort qu'on vous apprête. v.675 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Gardez à ses fureurs de vous abandonner. v.678 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Partez ; de votre sort vous êtes encor maître ; v.679 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Où je puis vous sauver d'un indigne trépas. v.681 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Oubliez que c'est moi qui vous l'ai conservée. v.684 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
A devenir coupable en vous obéissant. v.690 (Acte 3, scène 2, PHILOCTÈTE)
Et ne m'ordonnez pas d'être indigne de vous. v.694 (Acte 3, scène 2, PHILOCT?TE)
Vous conservez encore un reste de pitié, v.702 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Enfin, s'il vous souvient que, promis l'un à l'autre, v.703 (Acte 3, scène 2, JOCASTE)
Je vous les consacrai ; je veux que leur carrière v.707 (Acte 3, scène 2, PHILOCTÈTE)
De vous, de vos vertus, soit digne tout entière. v.708 (Acte 3, scène 2, PHILOCT?TE)
J'ai vécu loin de vous ; mais mon sort est trop beau v.709 (Acte 3, scène 2, PHILOCT?TE)
Pour m'immoler à vous n'a point conduit mes pas ? v.714 (Acte 3, scène 2, PHILOCT?TE)
Je vous viens, s'il le faut, présenter mon appui. v.722 (Acte 3, scène 3, OEDIPE)
On vous a soupçonné ; le peuple a dû le faire. v.723 (Acte 3, scène 3, OEDIPE)
N'ose vous condamner, mais ne peut vous absoudre. v.728 (Acte 3, scène 3, OEDIPE)
Le soin de décider entre mon peuple et vous. v.734 (Acte 3, scène 3, OEDIPE)
Ah ! sans vous abaisser à cet indigne soin, v.741 (Acte 3, scène 3, PHILOCTÈTE)
Qu'aux mortels curieux vous êtes dangereuse ! v.756 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Eh bien ! que venez-vous annoncer de sinistre ? v.759 (Acte 3, scène 4, PHILOCTÈTE)
D'une haine éternelle êtes-vous le ministre ? v.760 (Acte 3, scène 4, OEDIPE)
Ah ! si vous m'en croyez, ne m'interrogez pas ; v.762 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Vous à qui le ciel parle, entendez nos clameurs. v.769 (Acte 3, scène 4, CHOEUR)
Peuples infortunés, que me demandez-vous ? v.773 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Dites un mot, il meurt, et vous nous sauvez tous. v.774 (Acte 3, scène 4, CHOEUR)
Quand vous serez instruits du destin qui l'accable, v.775 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Vous frémirez d'horreur au seul nom du coupable. v.776 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Le dieu qui par ma voix vous parle en ce moment v.777 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Et vous croirez vos jours trop payés à ce prix. v.782 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
C'est vous qui me forcez à rompre le silence. v.784 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Vous le voulez... eh bien !... c'est... v.786 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Vous. v.786 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Vous, malheureux prince ! v.787 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Interprète des dieux, qu'osez-vous nous apprendre ? v.788 (Acte 3, scène 4, JOCASTE)
Qui, vous ! de mon époux vous seriez l'assassin ? v.789 (Acte 3, scène 4, JOCASTE)
Vous à qui j'ai donné ma couronne et ma main ? v.790 (Acte 3, scène 4, JOCASTE)
Votre vertu dément la voix qui vous accuse. v.792 (Acte 3, scène 4, JOCASTE)
Du revers inouï qui vous presse à mes yeux : v.797 (Acte 3, scène 4, PHILOCTÈTE)
Je vous crois innocent malgré la voix des dieux. v.798 (Acte 3, scène 4, PHILOCT?TE)
Je vous rends la justice enfin qui vous est due, v.799 (Acte 3, scène 4, PHILOCT?TE)
Et que ce peuple et vous ne m'avez point rendue. v.800 (Acte 3, scène 4, PHILOCT?TE)
Contre vos ennemis je vous offre mon bras ; v.801 (Acte 3, scène 4, PHILOCT?TE)
Entre un pontife et vous je ne balance pas. v.802 (Acte 3, scène 4, PHILOCT?TE)
Ma vie est en vos mains, vous en êtes le maître : v.815 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Profitez des moments que vous avez à l'être ; v.816 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Aujourd'hui votre arrêt vous sera prononcé. v.817 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Bientôt, de vos forfaits vous-même épouvanté, v.821 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Fuyant loin de ce trône où vous êtes monté, v.822 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Partout d'un dieu vengeur vous sentirez les coups : v.825 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Vous chercherez la mort : la mort fuira de vous. v.826 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Au crime, au châtiment, malgré vous destiné, v.829 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Vous seriez trop heureux de n'être jamais né. v.830 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Vous me traitez toujours de traître et d'imposteur : v.838 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Vous apprendrez trop tôt votre funeste sort ; v.841 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PRÊTRE)
Ce jour va vous donner la naissance et la mort. v.842 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Vos destins sont comblés, vous allez vous connaître. v.843 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Malheureux ! savez-vous quel sang vous donna l'être ? v.844 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Entouré de forfaits à vous seul réservés, v.845 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Savez-vous seulement avec qui vous vivez ? v.846 (Acte 3, scène 4, LE GRAND PR?TRE)
Si vous n'aviez, Seigneur, à craindre que des rois, v.857 (Acte 3, scène 5, PHILOCTÈTE)
Philoctète avec vous combattrait sous vos lois ; v.858 (Acte 3, scène 5, PHILOCT?TE)
Qu'il vous perce à nos yeux par un trait respectable. v.860 (Acte 3, scène 5, PHILOCT?TE)
Vous, mourir ! vous, Madame ! ah ! n'est-ce point assez v.885 (Acte 3, scène 5, OEDIPE)
Vous me donniez encor votre mort à pleurer. v.890 (Acte 3, scène 5, OEDIPE)
Comment, Seigneur, vous pourriez... v.893 (Acte 3, scène 5, JOCASTE)
Non, quoi que vous disiez, mon âme inquiétée v.895 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Eh quoi ! votre vertu ne vous rassure pas ! v.906 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
N'êtes-vous pas enfin sûr de votre innocence ? v.907 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Je vous l'ai déjà dit, un seul suivait ses pas. v.914 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Dédaignait comme vous une pompe importune ; v.916 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Puisque vous rappelez un souvenir fâcheux, v.926 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Laïus eut avec vous assez de ressemblance ; v.932 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Et je m'applaudissais de retrouver en vous, v.933 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Seigneur, qu'a ce discours qui doive vous surprendre ? v.935 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Pensez-vous qu'en effet, au gré de leur demande, v.943 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Comme vous autrefois pour eux préoccupée, v.955 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Sans vos ordres, sans vous, mon fils vivrait encore. v.960 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Votre fils ! par quel coup l'avez-vous donc perdu ? v.961 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Quel oracle sur vous les dieux ont-ils rendu ? v.962 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Et d'un oracle faux ne vous alarmez plus. v.965 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Seigneur, vous le savez, j'eus un fils de Laïus. v.966 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Vous vous troublez, Seigneur, à ce récit funeste ; v.983 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Vous craignez de m'entendre et d'écouter le reste. v.984 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Ah ! Madame, achevez : dites, que fîtes-vous v.985 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Que cet exemple affreux puisse au moins vous instruire ! v.1003 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Bannissez cet effroi qu'un prêtre vous inspire ; v.1004 (Acte 4, scène 1, JOCASTE)
Après le grand secret que vous m'avez appris, v.1006 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Lorsque vous aurez su, par ce triste entretien, v.1009 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Peut-être, ainsi que moi, frémirez-vous de crainte. v.1011 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Cette voix m'annonça, le croirez-vous, Madame ? v.1032 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Vous apprendrez bientôt d'autres sujets d'alarmes. v.1040 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Écoutez-moi, Madame, et vous allez trembler. Du sein de ma patrie il fallut m'exiler. v.1041 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Mais sans doute pour moi contre eux vous combattiez ; v.1076 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Tout vainqueur que j'étais... Vous frémissez, Madame. v.1083 (Acte 4, scène 1, OEDIPE)
Grande reine, avez-vous ordonné mon supplice ? v.1091 (Acte 4, scène 2, PHORBAS)
Vous ne fûtes jamais injuste que pour moi. v.1092 (Acte 4, scène 2, PHORBAS)
Rassurez-vous, Phorbas, et répondez au roi. v.1093 (Acte 4, scène 2, JOCASTE)
C'est devant lui que je vous fais paraître. v.1094 (Acte 4, scène 2, JOCASTE)
Ô dieux ! Laïus est mort, et vous êtes mon maître ! v.1095 (Acte 4, scène 2, PHORBAS)
Vous, Seigneur ? v.1096 (Acte 4, scène 2, PHORBAS)
Verse un reste de sang qui vous est échappé ; v.1105 (Acte 4, scène 2, PHORBAS)
Et puisqu'il vous souvient de ce sentier funeste v.1106 (Acte 4, scène 2, PHORBAS)
Ô dieux ! Enfin après quatre ans vous dessillez mes yeux. v.1109 (Acte 4, scène 2, OEDIPE)
Vous avez fait le crime, et j'en fus soupçonné ; v.1116 (Acte 4, scène 2, PHORBAS)
J'ai vécu dans les fers, et vous avez régné. v.1117 (Acte 4, scène 2, PHORBAS)
Vous voyez mes forfaits : libre de votre foi, v.1124 (Acte 4, scène 3, OEDIPE)
Frappez, délivrez-vous de l'horreur d'être à moi. v.1125 (Acte 4, scène 3, OEDIPE)
Qu'il vous serve aujourd'hui pour un plus juste usage ; v.1127 (Acte 4, scène 3, OEDIPE)
Que faites-vous, Seigneur ? v.1128 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
Quelle pitié pour moi vous intéresse ? v.1130 (Acte 4, scène 3, OEDIPE)
Vivez, c'est moi qui vous en presse ; v.1131 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
Mais vous êtes le mien. v.1133 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
Ils ne sont point éteints ; vous êtes mon époux. v.1137 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
L'horreur de mon destin s'étendrait jusqu'à vous : v.1145 (Acte 4, scène 3, OEDIPE)
Frappez, ne craignez rien, vous m'épargnez des crimes. v.1147 (Acte 4, scène 3, OEDIPE)
Ne vous accusez point d'un destin si cruel v.1148 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
Vous êtes malheureux, et non pas criminel v.1149 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
Dans ce fatal combat que Daulis vous vit rendre, v.1150 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
Vous ignoriez quel sang vos mains allaient répandre : v.1151 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
Je ne puis que me plaindre, et non pas vous punir. v.1153 (Acte 4, scène 3, JOCASTE)
Moi, que je vive ! Il faut que je vous fuie. v.1154 (Acte 4, scène 3, OEDIPE)
Il se dit de Corinthe, et demande à vous voir. v.1164 (Acte 4, scène 4, DIMAS)
Vous ne reverrez plus l'inconsolable Oedipe : v.1167 (Acte 4, scène 4, OEDIPE)
C'en est fait, j'ai régné, vous n'avez plus d'époux ; v.1168 (Acte 4, scène 4, OEDIPE)
En cessant d'être roi, je cesse d'être à vous. v.1169 (Acte 4, scène 4, OEDIPE)
Et vivant loin de vous, sans États, mais en roi, v.1172 (Acte 4, scène 4, OEDIPE)
Justifier les pleurs que vous versez pour moi. v.1173 (Acte 4, scène 4, OEDIPE)
Vous plaignez mon exil, il a pour moi des charmes ; v.1175 (Acte 5, scène 1, OEDIPE)
En perdant votre roi vous conservez vos jours. v.1177 (Acte 5, scène 1, OEDIPE)
Mon destin fut toujours de vous rendre la vie ; v.1182 (Acte 5, scène 1, OEDIPE)
Puisqu'il vous faut un roi, consultez-en mon choix. v.1185 (Acte 5, scène 1, OEDIPE)
Vous, demeurez. v.1193 (Acte 5, scène 1, OEDIPE)
Icare, est-ce vous que je vois ? v.1193 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Vous, de mes premiers ans sage dépositaire, v.1194 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Vous, digne favori de Polybe mon père ? v.1195 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Quel sujet important vous conduit parmi nous ? v.1196 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Ah ! que m'apprenez-vous ? v.1197 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
A son trépas vous deviez vous attendre. v.1198 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Qu'êtes-vous devenus, oracles de nos dieux ? v.1201 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Vous qui faisiez trembler ma vertu trop timide, v.1202 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Vous qui me prépariez l'horreur d'un parricide. v.1203 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Mon père est chez les morts, et vous m'avez trompé ; v.1204 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Malgré vous dans son sang mes mains n ont point trempé. v.1205 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Partons. Vous vous taisez, je vois vos pleurs couler : v.1216 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Vous reste-t-il encor des malheurs à m'apprendre ? v.1218 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Un moment sans témoin daignerez-vous m'entendre ? v.1219 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Allez, retirez-vous. Que va-t-il m'annoncer ? v.1220 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Si vous y paraissez, votre mort est jurée. v.1222 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Il vous a fait justice ; v.1239 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Vous n'étiez point son fils. v.1240 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Pour le sang de nos rois il vous a renoncé ; v.1246 (Acte 5, scène 2, ICARE)
La lumière sans moi vous eût été ravie. v.1255 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Quelque dieu bienfaisant guida vers vous mes pas : v.1261 (Acte 5, scène 2, ICARE)
La pitié me saisit, je vous pris dans mes bras ; v.1262 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Je ranimai dans vous la chaleur presque éteinte. v.1263 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Vous viviez ; aussitôt je vous porte à Corinthe ; v.1264 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Je vous présente au prince admirez votre sort ! v.1265 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Le prince vous adopte au lieu de son fils mort ; v.1266 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Sous le nom de son fils vous fûtes élevé v.1269 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Par cette même main qui vous avait sauvé. v.1270 (Acte 5, scène 2, ICARE)
L'intérêt vous y mit, le remords vous en chasse. v.1272 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Ô vous qui présidez aux fortunes des rois, v.1273 (Acte 5, scène 2, OEDIPE)
Jamais ; et le trépas vous a ravi peut-être v.1279 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Le seul qui vous eût dit quel sang vous a fait naître. v.1280 (Acte 5, scène 2, ICARE)
Quoi ! du mont Cithéron ne vous souvient-il plus ? v.1298 (Acte 5, scène 3, ICARE)
Quoi ! cet enfant qu'en mes mains vous remîtes ; v.1299 (Acte 5, scène 3, ICARE)
Ah ! qu'est-ce que vous dites ? v.1300 (Acte 5, scène 3, PHORBAS)
Et de quel souvenir venez-vous m'accabler ? v.1301 (Acte 5, scène 3, PHORBAS)
Allez, ne craignez rien, cessez de vous troubler : v.1302 (Acte 5, scène 3, ICARE)
Vous n'avez en ces lieux que des sujets de joie. v.1303 (Acte 5, scène 3, ICARE)
Quoi que ce Thébain dise, il vous mit dans mes bras : v.1306 (Acte 5, scène 3, ICARE)
Je serais né de vous ? le ciel aurait permis v.1309 (Acte 5, scène 3, OEDIPE)
Vous n'êtes point mon fils. v.1310 (Acte 5, scène 3, PHORBAS)
Eh quoi ! n'avez-vous point exposé mon enfance ? v.1311 (Acte 5, scène 3, OEDIPE)
Et de vous épargner cet horrible entretien. v.1313 (Acte 5, scène 3, PHORBAS)
Seigneur, qu'allez-vous faire ? v.1323 (Acte 5, scène 3, PHORBAS)
Fuyez ; à tant d'horreurs par vous seuls réservé, v.1329 (Acte 5, scène 3, OEDIPE)
Je vous punirais trop de m'avoir conservé. v.1330 (Acte 5, scène 3, OEDIPE)
Et vous m'en punissez !... Où suis-je ? Quelle nuit v.1345 (Acte 5, scène 4, OEDIPE)
Quel malheur imprévu vous accable ? v.1360 (Acte 5, scène 5, JOCASTE)
Malheureuse ! arrêtez ; quel nom prononcez-vous ? v.1362 (Acte 5, scène 5, OEDIPE)
Laïus du sein des morts cesse de vous poursuivre ; v.1385 (Acte 5, scène 6, LE GRAND PRÊTRE)
Il vous permet encor de régner et de vivre ; v.1386 (Acte 5, scène 6, LE GRAND PR?TRE)
Vivez, il vous pardonne. v.1400 (Acte 5, scène 6, LE GRAND PRÊTRE)
Prêtres, et vous Thébains, qui fûtes mes sujets, v.1407 (Acte 5, scène 6, JOCASTE)

MÉROPE (1744)

Sans doute elle est à vous, si la vertu la donne. v.14 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Vous seule avez sur nous d'irrévocables droits ; v.15 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Vous, veuve de Cresphonte, et fille de nos rois ; v.16 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Vous, que tant de constance, et quinze ans de misère, v.17 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Vous, pour qui tous les coeurs en secret réunis... v.19 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Vous pouvez l'espérer : déjà d'un pas rapide v.21 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Vous avez mis sans doute en de fidèles mains v.24 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Me rendrez-vous mon fils, dieux témoins de mes larmes ? v.26 (Acte 1, scène 1, MEROPE)
Égisthe est-il vivant ? Avez-vous conservé v.27 (Acte 1, scène 1, MEROPE)
Abandonnerez-vous ce reste précieux v.31 (Acte 1, scène 1, MEROPE)
De tout autre intérêt peut-il vous détourner ? v.35 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Du sang dont vous sortez l'auguste caractère v.37 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Mais vous avez peu vu ce fils que vous pleurez. v.40 (Acte 1, scène 1, ISMENIE)
Il est digne de vous et des dieux dont il sort : v.48 (Acte 1, scène 1, MEROPE)
Vous me voyez confus ; v.83 (Acte 1, scène 2, EURYCLES)
Vous croyez tous les maux que votre âme redoute ; v.90 (Acte 1, scène 2, ISMENIE)
Hélas ! Que peut pour vous ma triste vigilance ? v.102 (Acte 1, scène 2, EURYCLES)
Insensibles sujets, a donc péri pour vous ? v.112 (Acte 1, scène 2, MEROPE)
Vous avez oublié ses bienfaits et sa gloire ! v.113 (Acte 1, scène 2, MEROPE)
On regrette Cresphonte, on le pleure, on vous plaint ; v.115 (Acte 1, scène 2, EURYCLES)
Peut-être ne sont pas plus à craindre pour vous. v.136 (Acte 1, scène 2, EURYCLES)
Ce bras qui vous servit m'ouvre au trône une voie ; v.142 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Tout vous dit qu'un guerrier, vengeur de votre époux, v.151 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
S'il aspire à régner, peut aspirer à vous. v.152 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Ce front triste et sévère a pour vous peu de charmes : v.154 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Je veux le sceptre et vous pour prix de mes exploits. v.160 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Vous êtes de nos rois et la fille et la mère ; v.162 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Mais l'état veut un maître, et vous devez songer v.163 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Sujet de mon époux, vous m'osez proposer v.167 (Acte 1, scène 3, MEROPE)
De trahir sa mémoire et de vous épouser ? v.168 (Acte 1, scène 3, MEROPE)
Déchirer avec vous l'héritage funeste ? v.170 (Acte 1, scène 3, MEROPE)
Ce sang coula pour vous ; et, malgré vos refus, v.179 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Un parti ! Vous, barbare, au mépris de nos lois ! v.183 (Acte 1, scène 3, MEROPE)
La foi que vous devez à ses mânes trahis, v.187 (Acte 1, scène 3, MEROPE)
Ne vous y trompez pas, Messène veut un maître v.193 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Souvenez-vous du jour où vous fûtes surprise v.205 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Songez que j'ai vengé l'époux que vous pleurez : v.212 (Acte 1, scène 3, POLYPHONTE)
Si vous osez marcher sur les traces d'Alcide, v.225 (Acte 1, scène 3, MEROPE)
Ce dieu, dont vous seriez l'injuste successeur, v.227 (Acte 1, scène 3, MEROPE)
Alors jusques à vous je descendrais peut-être ; v.234 (Acte 1, scène 3, MEROPE)
Seigneur, attendez-vous que son âme fléchisse ? v.237 (Acte 1, scène 4, EROX)
Ne pouvez-vous régner qu'au gré de son caprice ? v.238 (Acte 1, scène 4, EROX)
Vous avez su du trône aplanir le chemin, v.239 (Acte 1, scène 4, EROX)
Et pour vous y placer vous attendez sa main ! v.240 (Acte 1, scène 4, EROX)
Ah ! Livrez-vous sans crainte à vos heureux destins. v.275 (Acte 1, scène 4, EROX)
Vous les avez guidés par une main fidèle : v.282 (Acte 1, scène 4, EROX)
Quel sang a-t-il versé ? Vous me glacez de crainte. v.317 (Acte 2, scène 1, MEROPE)
Le moindre événement vous porte un coup mortel ; v.319 (Acte 2, scène 1, EURYCLES)
Tout fait parler en vous la voix de la nature. v.321 (Acte 2, scène 1, EURYCLES)
Écartez des terreurs dont le poids vous afflige. v.329 (Acte 2, scène 1, EURYCLES)
Quel est cet inconnu ? Répondez-moi, vous dis-je. v.330 (Acte 2, scène 1, MEROPE)
Vous serez obéie. Allez, et qu'on l'amène ; v.341 (Acte 2, scène 1, EURYCLES)
Vous savez s'il est juste. On comble ma misère, v.345 (Acte 2, scène 1, MEROPE)
Vos malheurs sont plus grands que vous ne pouvez croire. v.349 (Acte 2, scène 1, EURYCLES)
Vous fait de cet opprobre une nécessité : v.352 (Acte 2, scène 1, EURYCLES)
Ah ! Que me dites-vous ? v.367 (Acte 2, scène 1, MEROPE)
Quoi ! Vous me demandez que l'intérêt surmonte v.369 (Acte 2, scène 1, MEROPE)
Vous, qui me l'avez peint de si noires couleurs ! v.371 (Acte 2, scène 1, MEROPE)
Il est sans héritier, et vous aimez Égisthe. v.374 (Acte 2, scène 1, EURYCLES)
Que parlez-vous toujours et d'hymen et d'empire ? v.377 (Acte 2, scène 1, MEROPE)
Rassurez-vous, c'est elle. v.384 (Acte 2, scène 2, ISMENIE)
J'osais prier pour vous ce dieu vengeur des crimes : v.405 (Acte 2, scène 2, EGISTHE)
Eh ! Madame, d'où vient que vous versez des larmes ? v.426 (Acte 2, scène 2, EURYCLES)
Jeux cruels du hasard, en qui me montrez-vous v.431 (Acte 2, scène 2, MEROPE)
Demeurez ; en quel lieu le ciel vous fit-il naître ? v.437 (Acte 2, scène 2, MEROPE)
L'Élide... répondez... Narbas vous est connu ? v.439 (Acte 2, scène 2, MEROPE)
Le nom d'Égisthe au moins jusqu'à vous est venu ? v.440 (Acte 2, scène 2, MEROPE)
Ceux dont vous me parlez, je ne les connais pas. v.444 (Acte 2, scène 2, EGISTHE)
Ô dieux ! Vous vous jouez d'une triste mortelle ! v.445 (Acte 2, scène 2, MEROPE)
Servir sous vos drapeaux, et vous offrir mon bras ; v.467 (Acte 2, scène 2, EGISTHE)
Ah ! Madame, entendez-vous ces cris ? v.487 (Acte 2, scène 3, ISMENIE)
Savez-vous bien... v.488 (Acte 2, scène 3, ISMENIE)
Je vous l'avais prédit : v.495 (Acte 2, scène 3, EURYCLES)
Vous avez trop bravé son offre et son crédit. v.496 (Acte 2, scène 3, EURYCLES)
Permettez que du moins j'assemble autour de vous v.500 (Acte 2, scène 3, EURYCLES)
Et vous mettre à l'abri des nouveaux attentats v.503 (Acte 2, scène 3, EURYCLES)
L'état n'est point ingrat ; non, madame : on vous aime ; v.505 (Acte 2, scène 4, ISMENIE)
On vous conserve encor l'honneur du diadème : v.506 (Acte 2, scène 4, ISMENIE)
On veut que Polyphonte, en vous donnant la main, v.507 (Acte 2, scène 4, ISMENIE)
Semble tenir de vous le pouvoir souverain. v.508 (Acte 2, scène 4, ISMENIE)
Le peuple vous rappelle au rang de vos aïeux ; v.511 (Acte 2, scène 4, ISMENIE)
Madame, je reviens en tremblant devant vous : v.515 (Acte 2, scène 5, EURYCLES)
Dont vous-même admiriez la vertu poursuivie, v.530 (Acte 2, scène 5, EURYCLES)
Lui que vous protégiez ! ... v.532 (Acte 2, scène 5, EURYCLES)
Ah ! Que me dites-vous ? Mes mains, ces mains tremblantes v.542 (Acte 2, scène 5, MEROPE)
Voulez-vous tout savoir de ce lâche assassin ? v.556 (Acte 2, scène 5, EURYCLES)
Trop dédaigné de vous, trop méconnu peut-être, v.558 (Acte 2, scène 6, EROX)
Dans ces cruels moments vous offre son secours. v.559 (Acte 2, scène 6, EROX)
Il vous offre ce trône ; agréez qu'il partage v.565 (Acte 2, scène 6, EROX)
Un front que la couronne a fait digne de vous. v.568 (Acte 2, scène 6, EROX)
À vous, comme à son peuple, il veut rendre justice. v.573 (Acte 2, scène 6, EROX)
Oh ! Qui que vous soyez, excusez mon audace : v.633 (Acte 3, scène 2, NARBAS)
Ah ! Quel temps prenez-vous pour oser la troubler ? v.636 (Acte 3, scène 2, ISMENIE)
Éloignez-vous. v.639 (Acte 3, scène 2, ISMENIE)
Croyez, si vous servez, si vous aimez la reine, v.642 (Acte 3, scène 2, NARBAS)
Que mon coeur, à son sort attaché comme vous, v.643 (Acte 3, scène 2, NARBAS)
Ne vous trompez-vous pas ? v.659 (Acte 3, scène 2, NARBAS)
C'est vous en dire assez ; sa perte est assurée. v.661 (Acte 3, scène 2, ISMENIE)
Vous étendiez sur moi votre main protectrice : v.697 (Acte 3, scène 4, EGISTHE)
Quel nouvel intérêt vous parle en sa faveur ? v.700 (Acte 3, scène 4, EGISTHE)
Madame, vengez-vous, et vengez à la fois v.707 (Acte 3, scène 4, EURYCLES)
J'aurais donné ma vie et pour vous et pour lui. v.720 (Acte 3, scène 4, EGISTHE)
Je vous jure v.722 (Acte 3, scène 4, EGISTHE)
Par vous, par ce cher fils, par vos divins aïeux, v.723 (Acte 3, scène 4, EGISTHE)
Je vous l'ai déjà dit. v.727 (Acte 3, scène 4, EGISTHE)
Qu'allez-vous faire, ô dieux ! v.732 (Acte 3, scène 4, NARBAS)
Hélas ! Que vois-je ? Où portez-vous vos pas ? v.735 (Acte 3, scène 4, EGISTHE)
Venez-vous être ici témoin de mon trépas ? v.736 (Acte 3, scène 4, EGISTHE)
Que je vous parle. v.739 (Acte 3, scène 4, NARBAS)
Vous me faites trembler : v.739 (Acte 3, scène 4, MEROPE)
Vous alliez l'immoler. v.740 (Acte 3, scène 4, NARBAS)
Ah ! Narbas, est-ce vous ? Est-ce un songe trompeur ? v.748 (Acte 3, scène 4, MEROPE)
Quoi ! C'est vous ! C'est mon fils ! Qu'il vienne, qu'il paraisse. v.749 (Acte 3, scène 4, MEROPE)
Vous, cachez à jamais ce secret important ; v.751 (Acte 3, scène 4, NARBAS)
Ne le connaissant pas vous alliez l'égorger ; v.756 (Acte 3, scène 4, NARBAS)
En le reconnaissant vous assurez sa perte ; v.758 (Acte 3, scène 4, NARBAS)
Le crime est sur le trône ; on vous poursuit : tremblez. v.760 (Acte 3, scène 4, NARBAS)
Avant de vous venger, v.767 (Acte 3, scène 5, EURYCLES)
Prêt à s'unir à vous d'un éternel lien, v.775 (Acte 3, scène 5, EURYCLES)
Il faut qu'il serve Égisthe alors qu'il vous épouse. v.778 (Acte 3, scène 5, EURYCLES)
Il vous épouse ! Lui ! Quel coup de foudre ! ô ciel ! v.779 (Acte 3, scène 5, NARBAS)
Vous n'irez point, ô mère déplorable ! v.781 (Acte 3, scène 5, NARBAS)
Vous n'accomplirez point cet hymen exécrable. v.782 (Acte 3, scène 5, NARBAS)
Je l'ai vu contre vous accumuler les crimes : v.790 (Acte 3, scène 5, NARBAS)
D'ennemis, de mourants, vous étiez entourée ; v.797 (Acte 3, scène 5, NARBAS)
Le trône vous attend, et les autels sont prêts ; v.815 (Acte 3, scène 6, POLYPHONTE)
Que je venge le meurtre, et que je vous défende. v.818 (Acte 3, scène 6, POLYPHONTE)
Vous-même, disiez-vous, deviez percer son sein. v.824 (Acte 3, scène 6, POLYPHONTE)
Vous ? v.827 (Acte 3, scène 6, MEROPE)
Pourquoi donc, madame, avez-vous différé ? v.827 (Acte 3, scène 6, POLYPHONTE)
Rendez-moi... vous savez que vous l'avez promis. v.840 (Acte 3, scène 6, MEROPE)
Ô mon sang ! ô mon fils ! Quel sort on vous prépare ! v.841 (Acte 3, scène 6, MEROPE)
Quel transport vous égare ! v.842 (Acte 3, scène 6, POLYPHONTE)
Sa mort pourra vous consoler. v.843 (Acte 3, scène 6, POLYPHONTE)
La crainte, le soupçon, déjà vous environne ! v.854 (Acte 3, scène 6, MEROPE)
Les dieux vous ont donné le trône de Cresphonte ; v.858 (Acte 3, scène 6, MEROPE)
Pardonnez... vous voyez une mère éperdue. v.861 (Acte 3, scène 6, MEROPE)
Mais vous, au meurtrier vous venez de parler ; v.879 (Acte 4, scène 1, POLYPHONTE)
Que pensez-vous de lui ? v.880 (Acte 4, scène 1, POLYPHONTE)
Ce que j'ose vous dire, v.886 (Acte 4, scène 1, EROX)
Pouvez-vous en parler avec tant d'assurance ? v.889 (Acte 4, scène 1, POLYPHONTE)
Me répondez-vous bien qu'il m'ait défait d'Égisthe ? v.894 (Acte 4, scène 1, POLYPHONTE)
Ce vieillard, dites-vous, a retenu sa main ; v.912 (Acte 4, scène 1, POLYPHONTE)
La voici devant vous. Votre intérêt m'anime. v.930 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Vengez-vous, baignez-vous au sang du criminel ; v.931 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Et sur son corps sanglant je vous mène à l'autel. v.932 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Vous, le justifier ! v.946 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Vous-même. v.946 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
De cet égarement sortirez-vous enfin ? v.947 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Ô ciel ! Que faites-vous ? v.951 (Acte 4, scène 2, ISMENIE)
Vous tremblez à sa vue, et vos yeux s'attendrissent ? v.953 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Vous voulez me cacher les pleurs qui les v.954 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
La cause en est trop juste, et vous la connaissez. v.956 (Acte 4, scène 2, MEROPE)
Cruel ! Qu'osez-vous dire ? v.958 (Acte 4, scène 2, MEROPE)
Vous, sa mère ? Qui ? Vous, qui demandiez sa mort ? v.967 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Que prétendez-vous dire ? Et sur quelles alarmes ? ... v.977 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Que vous faut-il de plus ? Mérope est à vos pieds ; v.984 (Acte 4, scène 2, MEROPE)
Cruel ! Vous qui vouliez lui tenir lieu de père, v.990 (Acte 4, scène 2, MEROPE)
Le voilà devant vous, et vous l'assassinez ! v.992 (Acte 4, scène 2, MEROPE)
Vous voyez avec moi ses aïeux à genoux, v.999 (Acte 4, scène 2, MEROPE)
Ô reine ! Levez-vous, v.1000 (Acte 4, scène 2, EGISTHE)
Mourir digne de vous, voilà mon héritage. v.1014 (Acte 4, scène 2, EGISTHE)
Je prends part aux douleurs dont vous êtes atteinte ; v.1018 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Et, s'il est né de vous, je l'adopte pour fils. v.1024 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Vous ? M'adopter ? v.1025 (Acte 4, scène 2, EGISTHE)
Vous achetiez sa mort avec mon hyménée. v.1026 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
La vengeance à ce point a pu vous captiver ; v.1027 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Je dois m'unir à vous pour lui servir d'appui ; v.1035 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Ou je dois me venger et de vous et de lui. v.1036 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
C'est à vous d'ordonner sa grâce ou son supplice. v.1037 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Vous êtes en un mot sa mère, ou sa complice. v.1038 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Je ne vous en croirai qu'en présence des dieux. v.1040 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Vous, soldats, qu'on le garde ; et vous, que l'on me suive. v.1041 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Je vous attends ; voyez si vous voulez qu'il vive ; v.1042 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Vous le verrez au temple. v.1049 (Acte 4, scène 2, POLYPHONTE)
Ô vous que j'ose à peine encor nommer ma mère ! v.1050 (Acte 4, scène 2, EGISTHE)
Ne faites rien d'indigne et de vous et de moi : v.1051 (Acte 4, scène 2, EGISTHE)
Cruels, vous l'enlevez ; en vain je vous implore : v.1053 (Acte 4, scène 3, MEROPE)
Pourquoi m'exauciez-vous, ô dieu trop imploré ! v.1055 (Acte 4, scène 3, MEROPE)
Vous l'avez arraché d'une terre étrangère, v.1057 (Acte 4, scène 3, MEROPE)
Vous ! v.1065 (Acte 4, scène 4, NARBAS)
Quels forfaits dites-vous ? v.1069 (Acte 4, scène 4, NARBAS)
Qu'il vous faut rassembler les forces de votre âme. v.1070 (Acte 4, scène 5, ISMENIE)
Et ne soupçonnant pas le chagrin qui vous presse, v.1082 (Acte 4, scène 5, ISMENIE)
Il bénit le tyran qui vous perce le coeur. v.1084 (Acte 4, scène 5, ISMENIE)
Vous venez à l'autel entraîner la victime. v.1102 (Acte 4, scène 5, MEROPE)
Qu'allez-vous ordonner d'un coeur au désespoir ? v.1104 (Acte 4, scène 5, MEROPE)
Je tremble pour vous seul. Ah, mon prince ! Ah, mon fils ! v.1107 (Acte 5, scène 1, NARBAS)
Songez que, pour vous seul abaissant sa fierté, v.1112 (Acte 5, scène 1, EURYCLES)
Je maudis le secours que vous m'avez donné. v.1140 (Acte 5, scène 1, EGISTHE)
Reteniez-vous tantôt la main désespérée ? v.1142 (Acte 5, scène 1, EGISTHE)
Ah ! Vous êtes perdu : le tyran vient ici. v.1144 (Acte 5, scène 1, NARBAS)
Retirez-vous ; et toi, dont l'aveugle jeunesse v.1145 (Acte 5, scène 2, POLYPHONTE)
Gardes, auprès de moi vous pourrez l'introduire ; v.1185 (Acte 5, scène 2, POLYPHONTE)
Vous, Narbas, Euryclès, je le laisse en vos mains. v.1187 (Acte 5, scène 2, POLYPHONTE)
Tremblez, vous répondrez de ses caprices vains. v.1188 (Acte 5, scène 2, POLYPHONTE)
Ah ! Mon prince, êtes-vous las de vivre ? v.1197 (Acte 5, scène 3, NARBAS)
Dans ce péril du moins si nous pouvions vous suivre ! v.1198 (Acte 5, scène 3, EURYCLES)
Je vous croirais tous deux : mais dans un tel malheur, v.1203 (Acte 5, scène 3, EGISTHE)
Dieux ! Je me plains à vous de son trop de vertu. v.1220 (Acte 5, scène 4, MEROPE)
Voyez-vous en ces lieux le tombeau de mon père ? v.1221 (Acte 5, scène 4, EGISTHE)
Entendez-vous sa voix ? êtes-vous reine et mère ? v.1222 (Acte 5, scène 4, EGISTHE)
Si vous l'êtes, venez. v.1223 (Acte 5, scène 4, EGISTHE)
Auriez-vous des amis dans ce temple funeste ? v.1229 (Acte 5, scène 4, EGISTHE)
Quoi ! Tout vous abandonne ! v.1234 (Acte 5, scène 4, EGISTHE)
Seul, je vous y suivrai ; j'y trouverai des dieux v.1243 (Acte 5, scène 4, EGISTHE)
Adieu, tristes amis ; vous connaîtrez du moins v.1247 (Acte 5, scène 4, EGISTHE)
Entendez-vous ces cris dans les airs élancés ? v.1259 (Acte 5, scène 5, EURYCLES)
Ah ! Ne voyez-vous pas cette cruelle escorte, v.1270 (Acte 5, scène 5, EURYCLES)
Allons. D'un pas égal que ne puis-je vous suivre ! v.1278 (Acte 5, scène 5, NARBAS)
Quel spectacle ! Est-ce vous, Isménie ? v.1282 (Acte 5, scène 6, NARBAS)
Sanglante, inanimée, est-ce vous que je vois ? v.1283 (Acte 5, scène 6, NARBAS)
Vous eussiez vu soudain les autels renversés, v.1327 (Acte 5, scène 6, ISMENIE)
Venez, suivez mes pas, joignez-vous à mes cris : v.1344 (Acte 5, scène 6, ISMENIE)
Je vous le jure encore, Égisthe est votre roi : v.1356 (Acte 5, scène 7, MEROPE)
Celui que vous voyez traîné sur la poussière, v.1358 (Acte 5, scène 7, MEROPE)
Celui que vous voyez, vainqueur de Polyphonte, v.1365 (Acte 5, scène 7, MEROPE)
Quels témoins voulez-vous plus certains que mon coeur ? v.1368 (Acte 5, scène 7, MEROPE)
Amis, pouvez-vous bien méconnaître une mère ? v.1373 (Acte 5, scène 7, EGISTHE)
Et si vous en doutez, v.1375 (Acte 5, scène 7, MEROPE)
Ah ! Montrez-vous, madame, à la ville calmée : v.1385 (Acte 5, scène 8, EURYCLES)
On veut revoir Narbas : on veut vous rendre hommage. v.1394 (Acte 5, scène 8, EURYCLES)
Et vous, mon cher Narbas, soyez toujours mon père. v.1402 (Acte 5, scène 8, EGISTHE)

Dans les 1862 textes du corpus, il y a 44 textes (soit une présence dans 2,36 % des textes) dans lesquels il y a 8545 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 194,20 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Prologue	Total
1	SA?L	24	33	24	27	27	0	0	135
2	ZULIME	152	46	0	65	41	0	0	304
3	NANINE	108	94	77	0	0	0	0	279
4	LE BRUTUS	40	44	74	28	32	0	0	218
5	TANIS ET ZÉLIDE	35	40	8	17	19	0	0	119
6	L'INDISCRET	146	0	0	0	0	0	0	146
7	LA FÊTE DE BELLÉBAT	54	0	0	0	0	0	0	54
8	MARIAMNE	34	78	61	59	41	0	0	273
9	LE FANATISME	38	16	40	24	16	0	0	134
10	OLYMPIE	47	66	75	49	66	0	0	303
11	ZAÏRE	40	56	41	103	21	0	0	261
12	L'ENVIEUX	69	79	71	0	0	0	0	219
13	ADÉLAÏDE DU GUESCLIN	77	97	99	70	45	0	0	388
14	L'ENFANT PRODIGUE	44	54	35	71	49	0	0	253
15	L'?COSSAISE	66	78	60	69	65	0	0	338
16	ORESTE	77	48	62	49	27	0	0	263
17	LES ORIGINAUX OU MONSIEUR DU CAP-VERT	77	215	102	0	0	0	0	394
18	AGATHOCLE	21	42	17	20	28	0	0	128
19	LE DROIT DU SEIGNEUR	95	41	0	62	79	0	0	277
20	SÉMIRAMIS	55	74	49	73	36	0	0	287
21	LE BARON D'OTRANTE	35	0	13	0	0	0	0	48
22	IRÈNE	36	47	63	60	33	0	0	239
23	L'H?TE ET L'H?TESSE	6	0	0	0	0	0	0	6
24	LE COMTE DE BOURSOUFLE	56	68	36	0	0	0	0	160
25	LA MORT DE CÉSAR	11	20	52	0	0	0	0	83
26	CHARLOT OU LA COMTESSE DE GIVRY.	69	47	24	0	0	0	0	140
27	PANDORE	6	18	31	5	41	0	0	101
28	L'ORPHELIN DE LA CHINE	27	25	41	61	71	0	0	225
29	SOCRATE	91	70	49	0	0	0	0	210
30	SOPHONISBE	48	49	74	67	23	0	0	261
31	TANCRÈDE	54	42	56	49	34	0	0	235
32	LE DUC D'ALENÇON	25	39	41	0	0	0	0	105
33	LA FEMME QUI A RAISON	69	63	36	0	0	0	0	168
34	ROME SAUVÉE	68	34	37	53	38	0	0	230
35	LES PÉLOPIDES	32	43	73	59	39	0	0	246
36	LES DEUX TONNEAUX	16	20	12	0	0	0	0	48
37	LES SCYTHES	1	14	33	13	33	0	0	94
38	MORT DE CATON	23	47	30	0	0	0	0	100
39	LES GUÈBRES	72	76	8	33	29	0	0	218
40	LES LOIS DE MINOS	27	67	11	18	25	0	0	148
41	ALZIRE	47	10	26	22	16	0	0	121
42	OEDIPE	28	60	75	62	58	0	0	283
43	MÉROPE	46	45	46	50	36	0	0	223
44	SAMSON	0	13	13	48	0	1	3	78
45	SAÜL	0	0	0	2	0	0	0	2
	Total	2192	2118	1775	1388	1068	1	3	8545