Occurences de l'expression
[cornu]
pour CARRION-NISAS, Henri de
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
PIERRE LE GRAND (1803)
- Oui, cher Foedor, avant que la nuit encor sombre v.1 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Devant le jour naissant ait replié son ombre, v.2 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Tout sera prêt. Moscow me verra dans ce jour v.3 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Ou suprême pontife, ou perdu sans retour. v.4 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Tout jusqu'ici fut vain : souplesse, audace, intrigues ; v.5 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Pierre d'un seul regard déconcertait nos brigues. v.6 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- J'ai longtemps espéré, sous ce maître orgueilleux v.7 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Humiliant mon front, asservissant mes voeux, v.8 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Que la tiare un jour serait ma récompense ; v.9 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Mais j'ai lu dans son âme, et n'ai plus d'espérance. v.10 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Je profite aujourd'hui, pour un dernier effort, v.11 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- De l'absence de Pierre et du bruit de sa mort. v.12 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Toi chez qui la prudence a su devancer l'âge, v.13 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Dont la discrétion égale le courage, v.14 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Dis-moi, puis-je compter, pour mes desseins hardis, v.15 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Sur les nombreux soutiens que ta foi m'a promis ? v.16 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Sur tous, Seigneur, sur tous. v.17 (Acte 1, scène 1, FOEDOR)
- Leur as-tu su redire v.17 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Que Pierre allait changer le siège de l'Empire ? v.18 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Je leur ai peint Moscow désert et désolé, v.19 (Acte 1, scène 1, FOEDOR)
- Et déjà, Pétersbourg à nos dépens peuplé. v.20 (Acte 1, scène 1, FOEDOR)
- D'Ivan, du sombre Ivan as-tu flatté là rage, v.21 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Et son ardente soif de sang et de pillage ? v.22 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Par d'horribles serments. Il m'a donné sa foi. v.23 (Acte 1, scène 1, FOEDOR)
- Je vais jeter le masque ; il est pesant pour moi, v.24 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Ces murs vont réunir des chefs dont ma prudence v.25 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Entretient en secret l'heureuse intelligence. v.26 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Mais, sur le même avis, s'empressant à la fois, v.27 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Ils entrent. Toi, Foedor, tandis qu'ici ma voix v.28 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Fera parler Dieu, même à leurs âmes émues, v.29 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Veille, et fais du palais garder les avenues. v.30 (Acte 1, scène 1, GLEBOFF)
- Pierre, dit-on, n'est plus ! Chefs des braves Strélits, v.31 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Sages Boyards, en paix attendrons-nous son fils ? v.32 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Alexis nous est cher, et sa fierté sauvage v.33 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Plut toujours à ce peuple et flatta son courage. v.34 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Pour nos lois, pour nos moeurs, nous savons son amour : v.35 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Mais sans péril, amis, pouvons-nous perdre un jour ? v.36 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Des champs de Voronez les braves qui s'avancent, v.37 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Dans leur marche moins prompts déjà flottent, balancent. v.38 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Si Moscow plus longtemps tarde à les avouer, v.39 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Ils reprendront le joug qu'ils osaient secouer. v.40 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Oui, si nous négligeons l'occasion offerte, v.41 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Nous signons à la fois notre honte et leur perte. v.42 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Ce peuple armé pour nous, prompt à s'en repentir, v.43 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Rentré dans le devoir n'en voudra plus sortir. v.44 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Un long abattement succède à sa furie ; v.45 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Il la faut seconder. Cette voix qui nous crie : v.46 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- « Frappez, vengez les lois, les moeurs de vos aïeux », v.47 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Sort du sein, des tombeaux, tonne du haut des cieux. v.48 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Ce n'est point une erreur. - La nuit couvrait le monde ; v.49 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- J'étais seul, je veillais, et ma douleur profonde, v.50 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Qui n'ose se montrer à de profanes yeux, v.51 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Implorait du Très-Haut le bras victorieux. v.52 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- De soudaines clartés ma vue est éblouie ; v.53 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- De sons religieux mon oreille est remplie ; v.54 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- D'un saint ravissement tous mes sens sont surpris : v.55 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- J'entends ces mots : « Gleboff, rassure tes esprits ; v.56 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Je suis un messager d'espérance et de joie : v.57 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Vos maux sont à leur terme, et le dieu qui m'envoie, v.58 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Ce dieu qu'impunément Pierre crut outrager, v.59 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- L'a mis dans la balance et l'a daigné juger : v.60 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Vous l'emportez ». J'entr'ouvre un oeil débile encore : v.61 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- C'était ce grand Neuwki, que la Russie honore, v.62 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Dont Pierre osa bannir l'image de ces lieux, v.63 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Et qu'enfin j'y revois, grâces à vos soins pieux. v.64 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Hâtons-nous d'obéir : un pouvoir sacrilège v.65 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Foule aux pieds des autels l'antique privilège. v.66 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Que tous nos droits vengés, nos honneurs rétablis v.67 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Frappent d'un doux aspect les regards d'Alexis. v.68 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Quatre fois le printemps a ranimé l'année v.69 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Depuis que la Russie, inquiète, étonnée, v.70 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Languit sans patriarche; et Pierre a dédaigné v.71 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- L'appui de ce grand corps par qui Pierre a régné. v.72 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- L'église aux Romanoff a donné la couronne, v.73 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Et l'autel fut pour eux le marchepied du trône. v.74 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Mais quoi ! Des étrangers l'abord contagieux v.75 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Alors respectait l'air qu'on respire en ces lieux. v.76 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- L'évangile et l'épée aux mains de vos ancêtres v.77 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Consacraient le pouvoir des Boyards et des prêtres. v.78 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Ils en savaient assez. Heureux dans leurs déserts, v.79 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Ils laissaient à l'Europe et ses arts et ses fers. v.80 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Sous ce joug la prudence a plié mon courage. v.81 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Alexis, venge-moi de ce cruel outrage : v.82 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Remplace un maître injuste et viens prendre ton rang, v.83 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- S'il est mort sur sa tombe et s'il vit dans son sang. v.84 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Oui, quelques soient ces bruits qu'on répand dans l'Empire ; v.85 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Que le Czar, en effet, soit mort, ou qu'il respire, v.86 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Il faut, sans plus tarder, par un heureux éclat, v.87 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Rendre un chef à l'Église et des grands à l'État. v.88 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Un Lefort, par le Czar élevé sur nos têtes, v.89 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- D'une orageuse cour dirigeant les tempêtes, v.90 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Disperse ses rivaux en cent climats divers, v.91 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Et de la Sibérie a peuplé les déserts. v.92 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- C'est à lui cependant que Pierre, en son absence, v.93 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Et du sceptre et du glaive a remis la puissance ; v.94 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Et le peuple innombrable en ces murs réuni v.95 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Se range en frémissant sous les lois d'un banni. v.96 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Sur ses traces déjà de tous côtés s'empressent v.97 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Des Germains, des Français, des ingrats, qui délaissent v.98 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Le sol qui les vit naître, et les plus doux climats, v.99 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Instruits par l'avarice à braver nos frimas. v.100 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Tous, déployant sur nous leur funeste industrie, v.101 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Par leurs moeurs, par leurs arts, subjuguent ma patrie. v.102 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Un Menzikoff, nourri dans les plus vils emplois, v.103 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Que ma main, d'un salaire honora mille fois, v.104 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Tous les jours dans les camps, dans les cours étonnées, v.105 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Des peuples et des rois pèse les destinées ; v.106 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Et d'un faste superbe insultant les regards, v.107 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Ose représenter la majesté des Czars. v.108 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Mais quoi ! De ces faveurs le bizarre caprice, v.109 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Qu'est-ce auprès des affronts de notre impératrice ? v.110 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- On la chasse d'un rang qu'avaient bien mérité v.111 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Et sa haute naissance et sa rare beauté : v.112 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Au fond d'un cloître obscur on la jette éperdue, v.113 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Et même de son fils on lui défend la vue. v.114 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Sachons venger ce fils, notre espoir le plus cher. v.115 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Le feu nous servit mal, ayons recours au fer. v.116 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Croyez-vous que le Czar pardonne ce ravage v.117 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Qui de ses arts chéris a consumé l'ouvrage, v.118 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Et de ses longs travaux fait un vaste bûcher ? v.119 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- La main qui l'alluma peut-elle se cacher ? v.120 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Conspirer à demi c'est aggraver sa chaîne, v.121 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- C'est montrer à la fois l'impuissance et la haine. v.122 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Que du fond de son cloître Eudoxie, à nos cris, v.123 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Vienne de ce palais chasser ses ennemis : v.124 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Par une audace prompte, autant que salutaire, v.125 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Proclamons Alexis : il vengera sa mère ; v.126 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Il vengera les grands, dont les fronts relevés v.127 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- Feront trembler encore ceux qui les ont bravés. v.128 (Acte 1, scène 2, BORIS)
- De vos nobles projets j'accepte l'espérance ; v.129 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Mais croyez, d'un soldat l'utile expérience. v.130 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Toujours au premier rang, sur la brèche, aux combats, v.131 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Nous avons vu de près et bravé le trépas. v.132 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- À des yeux qui jamais n'ont vu briller un glaive, v.133 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- La prudence est faiblesse, et le péril un rêve. v.134 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Tel qui vécut toujours à l'abri du danger, v.135 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Souvent dans les hasards est prompt à s'engager. v.136 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Moi qui ne crains les noms de lâche ni de traître, v.137 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Je vois que dans Moscow Lefort est le seul maître ; v.138 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Que ces fiers étrangers, sous ses lois réunis, v.139 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Méritent notre haine et non pas nos mépris ; v.140 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Que leur courage est grand, que leur art est terrible ; v.141 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Que la seule valeur ne peut être invincible ; v.142 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Que pour faire marcher le peuple, les Strélits, v.143 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Que pour les faire vaincre, il faut voir Alexis. v.144 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Vous nous aviez promis que cette voix chérie, v.145 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Ranimant dans les coeurs l'amour de la patrie, v.146 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Et de nos rangs grossis enflammant la valeur, v.147 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Dans les rangs ennemis jetterait la terreur : v.148 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Nous l'attendrons. Ainsi s'explique la prudence v.149 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Des braves compagnons dont j'ai la confiance. v.150 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Ces guerriers éprouvés, de blessures couverts, v.151 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Ne craignent point la mort, mais craignent un revers, v.152 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Une attaque douteuse, où leur vertu trahie v.153 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Aggraverait le joug de la triste Russie : v.154 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Son intérêt nous guide. Ainsi nous pensons tous. v.155 (Acte 1, scène 2, ORLOFF)
- Et vous ne craignez pas que le ciel en courroux, v.156 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Quand vous osez douter, quand, par de vains obstacles, v.157 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Vous combattez la foi qu'on doit à ses oracles, v.158 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Ne punisse à l'instant ce doute injurieux, v.159 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Et de vos ennemis ne dessille les yeux ? v.160 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Vous savez qu'habitant de ce palais profane, v.161 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- J'observe au milieu d'eux des moeurs que je condamne, v.162 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Et feins de les servir pour les mieux pénétrer : v.163 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Je frémis des horreurs qu'ils osent préparer. v.164 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Mais d'un succès heureux ma prudence suivie v.165 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Vous livre et vos tyrans et ce palais impie. v.166 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Et c'est vous, cependant, vous, guerrier généreux... v.167 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Mais, que vois-je ? Alexis ! Le ciel entend vos voeux. v.168 (Acte 1, scène 2, GLEBOFF)
- Oui, c'est moi qu'en vos bras un sort plus doux ramène. v.169 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Cher Prince ! v.170 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- La victoire est maintenant certaine. v.170 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- Nous ne voulions que lui, nous le voyons.... v.171 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- Il m'est doux de vous voir en mon nom réunis. v.172 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- C'est vous, je l'ai bien su, dont la foi, la constance, v.173 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Depuis un an m'appelle avec impatience. v.174 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Comme vous à nos lois, à nos moeurs attaché, v.175 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- De vos bras en pleurant je m'étais arraché. v.176 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Tous de ma fuite ici vous connaissez l'histoire. v.177 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Elle flétrit le Czar et fera votre gloire. v.178 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Vous me rendez justice. Oui, j'ai quitté ces lieux v.179 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Pour fuir les noirs transports d'un père furieux ; v.180 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- J'ai fui ces étrangers, ces Russes infidèles, v.181 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Qui fondaient tout l'espoir de leurs grandeurs nouvelles v.182 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Sur son aveugle amour pour des arts corrupteurs, v.183 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Causes de ses revers et de tous nos malheurs. v.184 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Je n'avais pas vingt ans : au fond d'un monastère v.185 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Il venait, sans pitié, d'ensevelir ma mère. v.186 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Tant d'injustes rigueurs pour la mère et le fils v.187 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Donnaient aux courtisans le signal du mépris. v.188 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- On craignait dans nos moeurs sa constance fidèle ; v.189 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- On craignait mon amour et mon respect pour elle. v.190 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Menzikoff seul pour nous gardait quelques égards : v.191 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Je n'osais de Lefort rencontrer les regards. v.192 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Catherine régnait, et son maître idolâtre v.193 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Déjà parlait d'hymen. D'une indigne marâtre v.194 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Les discours, les serments ne me rassuraient pas : v.195 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Je fuyais, en un mot, les fers, ou le trépas. v.196 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Mais, chez les nations où m'a jeté ma fuite, v.197 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Ma raison, grâce au ciel, n'a point été séduite : v.198 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Et je n'ai vu leurs moeurs, leurs arts, qu'avec courroux. v.199 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Ô retour! Ô langage à tous nos coeurs bien doux ! v.200 (Acte 1, scène 3, BORIS)
- Ainsi ces lois, ces moeurs que la Russie adore, v.201 (Acte 1, scène 3, BORIS)
- Sous votre empire heureux vont refleurir encore. v.202 (Acte 1, scène 3, BORIS)
- Oui, Prince, entourez-vous de vos vrais défenseurs ; v.203 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Livrez-nous nos tyrans et nos persécuteurs. v.204 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Et nous, au peuple alors rendant de grands exemples, v.205 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Des plus riches festons nous ornerons nos temples. v.206 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- On dit, et je le crois, que Dieu même a pour vous, v.207 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Seigneur, contre le Czar signalé son courroux. v.208 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- On dit qu'un ciel d'airain, une terre enflammée, v.209 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Ont, trois mois, sans combat, dévoré son armée. v.210 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Sans combattre, il est vrai, sous de brûlants climats, v.211 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Le Czar a vu périr la foule des soldats ; v.212 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Sous le glaive des Turcs l'élite en est tombée, v.213 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Et sa tête à leurs coups ne s'est point dérobée. v.214 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- J'ai plaint son sort cruel ; mes larmes ont coulé v.215 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Sur le Prince imprudent et le père aveuglé : v.216 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- J'ai plaint ceux qu'il traîna sous ses drapeaux funestes. v.217 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Je vous pleure surtout, tristes et faibles restes v.218 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- De tant de bataillons naguère florissants, v.219 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Chez l'Arabe orgueilleux aujourd'hui gémissants. v.220 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Leur désastre est certain : plus d'un avis fidèle v.221 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- M'en a jusque dans Vienne annoncé la nouvelle ; v.222 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Vienne que j'avais cru mon utile recours, v.223 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Dont je pressais en vain les superbes secours, v.224 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Et dont l'orgueil jaloux fondait sur mon absence v.225 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- D'un long trouble en ces lieux la cruelle espérance. v.226 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- De perfides amis partout enveloppé, v.227 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- À leurs mains, à leurs yeux, je me suis échappé : v.228 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Je vous retrouve enfin ; et le reste du monde, v.229 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Objet de mes mépris, de ma haine profonde. v.230 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Disparaît à mes yeux ; je ne vois plus que vous. v.231 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- De votre seule estime Alexis est jaloux. v.232 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Amis, qu'à votre Czar votre constance est chère ! v.233 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Parlez-moi de vos maux, parlez-moi de ma mère. v.234 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Déposez dans ce coeur pour vous toujours ouvert v.235 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Ce que vous avez fait, et ce qu'elle a souffert. v.236 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Prince, assez aux regrets nos coeurs furent en proie ; v.237 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- Faisons trêve aux douleurs, livrons-nous à la joie. v.238 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- L'aspect des biens produit le prompt oubli des maux. v.239 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- Les nôtres sont passés. Tremblez, tyrans nouveaux ! v.240 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- Pierre n'est plus ! Son fils paraît à notre tête, v.241 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- Et le jour du combat n'est plus qu'un jour de fête. v.242 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- Prince, tous les Boyards s'expliquent par ma voix. v.243 (Acte 1, scène 3, BORIS)
- Annoncez-leur un Czar vengeur de tous leurs droits. v.244 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Disposez de leurs bras, ordonnez de leur vie. v.245 (Acte 1, scène 3, BORIS)
- À tous leurs intérêts mon intérêt se lie, v.246 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Et ma cause est la leur. v.247 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- D'un intérêt sacré v.247 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Votre coeur, avant tout, doit être pénétré. v.248 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Les ministres en deuil, les fidèles en larmes, v.249 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Attendent de vous seul la fin de leurs alarmes : v.250 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Vous ne trahirez pas cet espoir glorieux. v.251 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Tout mon sang scellera la foi de mes aïeux. v.252 (Acte 1, scène 3, ALEXIS)
- Faisons, à notre tour, serment d'être fidèles. v.253 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Que ce serment s'élève aux voûtes éternelles. v.254 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Oui, le ciel le reçoit ; l'ange exterminateur v.255 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Le grave, en traits de sang, dans son livre vengeur. v.256 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Nous saurons le garder. v.257 (Acte 1, scène 3, ORLOFF)
- D'une bouche sincère v.257 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Jurons au fils la foi dont abusa le père. v.258 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Bientôt l'huile sacrée et les voeux des mortels v.259 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Confirmeront ce choix aux pieds de nos autels ; v.260 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Bientôt d'un zèle saint une foule enivrée v.261 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Unira ses serments à notre foi jurée. v.262 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Si nous la trahissons, ciel, éclate sur nous ! v.263 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Vivons, mourons pour lui. v.264 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Nous le lui jurons tous. v.264 (Acte 1, scène 3, BORIS)
- Famille heureusement par le ciel réunie ! v.265 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Ô sujets fortunés ! Ô Czar digne d'envie ! v.266 (Acte 1, scène 3, GLEBOFF)
- Seigneur, à l'instant même un guerrier a paru, v.267 (Acte 1, scène 4, FOEDOR)
- Qui, seul, du camp du Czar en ces murs accouru, v.268 (Acte 1, scène 4, FOEDOR)
- A demandé Lefort. v.269 (Acte 1, scène 4, FOEDOR)
- Ah ! Sans doute à ce traître v.269 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- On apprend la défaite et la mort de son maître. v.270 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Peut-être, à son malheur, Pierre aura survécu... v.271 (Acte 1, scène 4, BORIS)
- Non, et Pierre, en effet, est mort s'il est vaincu. v.272 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Qu'importe ? v.273 (Acte 1, scène 4, GLEBOFF)
- Ah ! Je le hais, et son nom seul m'offense ; v.273 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Mais le mésestimer n'est pas en ma puissance. v.274 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Il est mort ou vainqueur. v.275 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Vainqueur ! Oubliez-vous... v.275 (Acte 1, scène 4, BORIS)
- Je connais du destin les retours et les coups. v.276 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Je sais qu'en un instant le génie ou l'audace v.277 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Donnent à la fortune une nouvelle face ; v.278 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Qu'il faut avec le Czar tout craindre, tout prévoir, v.279 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Mais aussi tout braver pour faire son devoir. v.280 (Acte 1, scène 4, ORLOFF)
- Des devoirs le plus saint m'appelle vers ma mère, v.281 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Ma mère, en son malheur, plus auguste et plus chère. v.282 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- J'y cours, je lui peindrai vos fidèles transports ; v.283 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Elle secondera vos généreux efforts. v.284 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- La Russie admirait sa valeur et ses charmes : v.285 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Elle nous guidera jusqu'au milieu des armes. v.286 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Je reviendrai bientôt interroger Lefort, v.287 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Et du Czar, dans ses yeux, mes yeux liront le sort; v.288 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Quand nous serons instruits par nos ennemis même, v.289 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Du ciel impatient secondant l'anathème, v.290 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Nous frapperons. Gleboff, demeurez en ces lieux : v.291 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Veillez sur ce palais où vous trompez les yeux. v.292 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- L'heureux déguisement que le ciel vous inspire v.293 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- S'ennoblit par le but où votre zèle aspire. v.294 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Gardez-vous d'en rougir ; l'artifice est permis v.295 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Pour tromper les tyrans, et servir son pays. v.296 (Acte 1, scène 4, ALEXIS)
- Son coeur à mes leçons toujours resté fidèle, v.297 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- A d'Alexis enfant l'ignorance et le zèle. v.298 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Eh ! Quand il serait vrai que Pierre fût sauvé, v.299 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Au rang de patriarche une fois élevé, v.300 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Mon pouvoir sur son fils et dans Moscow rebelle v.301 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- L'oblige à ménager ma dignité nouvelle. v.302 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Mais que sous Alexis il vaut bien mieux régner ! v.303 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Sans doute il faut tout faire et ne rien épargner v.304 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Pour élever le fils, pour accabler le père. v.305 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Si vainqueur ou vaincu Pierre voit la lumière, v.306 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Instruit ou non, de lui tout est à redouter. v.307 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Quand d'abuser, ses yeux nous pourrions nous flatter, v.308 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Sur cette âme inflexible aurions-nous plus d'empire ? v.309 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Pontife, je le hais ; citoyen, je l'admire. v.310 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Je l'aurais imité, si le ciel m'eût fait roi : v.311 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- S'il eût ceint la tiare, il eût fait comme moi. v.312 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Par l'arrêt du destin ennemis l'un de l'autre, v.313 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Il veut fonder son règne ; allons hâter le nôtre. v.314 (Acte 1, scène 5, GLEBOFF)
- Redites-moi cent fois et qu'il vit et qu'il règne ; v.315 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Il n'est point avec lui de malheur que je craigne. v.316 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Ô mon cher Menzikoff ! v.317 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Que j'aime, cher Lefort, v.317 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Pour un prince si grand ce fidèle transport ! v.318 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Malheur aux coeurs ingrats, nés pour la barbarie, v.319 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Que n'a point enflammés le feu de son génie ! v.320 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Ah ! Parlez de lui seul. Il vit, il est heureux ! v.321 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Le ciel qui le protège a comblé tous nos voeux. v.322 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Ainsi dans ces déserts qu'à mon âme alarmée v.323 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- On avait peints jonchés des débris de l'armée, v.324 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Ce théâtre fatal d'horreur, de désespoir, v.325 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- A vu croître sa gloire, affermir son pouvoir ! v.326 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- En triomphe élevé, l'étendard du prophète v.327 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Semblait déjà du Czar annoncer la défaite, v.328 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Et dominait partout nos postes envahis. v.329 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- L'Arabe infatigable et les légers Spahis v.330 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Sans cesse harcelant les flancs de notre armée. v.331 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Dans un espace étroit la tenaient enfermée : v.332 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Pierre de tous côtés porte de vains secours, v.333 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Veut cacher sa faiblesse, et s'affaiblit toujours. v.334 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- C'est peu : de ces déserts l'aridité brûlante v.335 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- N'offrait rien aux besoins d'une armée expirante. v.336 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Mille chemins ouverts sur la terre et les eaux v.337 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Conduisaient l'abondance au camp de nos rivaux. v.338 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Nous, que la trahison d'un Valaque exécrable v.339 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Traînait depuis trois mois sur une mer de sable, v.340 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- D'espoir même privés, résolus à périr, v.341 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Nous voulions vendre au moins notre sang au vizir. v.342 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Pierre toujours plus grand dans les dangers extrêmes, v.343 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- « Soyez dignes de moi, dit-il, et de vous-mêmes. » v.344 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Il promettait l'exemple, et l'eût bien su donner : v.345 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Enfin au point du jour la charge allait sonner. v.346 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Quelle nuit ! Nulle voie ouverte à la retraite : v.347 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- L'esclavage ou la mort suivait notre défaite, v.348 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Et le soldat tombant de fatigue et de faim v.349 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Semblait de son désastre être déjà certain. v.350 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Nul ne force du Czar la tente inaccessible. v.351 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Là, seul, et déposant son audace inflexible, v.352 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Pierre se recueillait : à l'obscur avenir v.353 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Il ne demande point s'il doit vivre ou mourir ! v.354 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Son génie alarmé ne craint que pour l'Empire, v.355 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Pour tant d'heureux travaux qu'un instant peut détruire. v.356 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Il sait du sort jaloux les retours éclatants. v.357 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Un jour peut voir périr l'ouvrage de vingt ans. v.358 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- La mort était promise au premier téméraire v.359 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Dont l'abord troublerait sa douleur solitaire : v.360 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Mais Catherine brave et son ordre et la mort. v.361 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Sa douce voix arrête un farouche transport, v.362 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Rend à ses sens le calme, à son coeur l'espérance. v.363 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Aux tentes du Vizir elle veut qu'on s'avance. v.364 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Ces richesses, ces dons d'un monarque enchanté, v.365 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Ces chefs_d_oeuvres des arts offerts à la beauté, v.366 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- ( Sacrifice peut-être à tout autre impossible, ) v.367 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Vont tenter un barbare et le rendre accessible. v.368 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Enfin le jour qui dut voir tant de sang couler v.369 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Voit des deux camps amis les troupes se mêler. v.370 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Au morne effroi succède une bruyante ivresse ; v.371 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- L'abondance et la paix remplacent là détresse ; v.372 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Et ceux de qui le fer devait nous égorger v.373 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Viennent nourrir le camp qu'ils allaient saccager. v.374 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Cependant, au milieu d'extrémités si grandes, v.375 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Le Czar n'a point souscrit à d'injustes demandes v.376 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- N'a rien fait, rien souffert qui blessât son pouvoir. v.377 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Le vizir a tout craint du Czar au désespoir. v.378 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Ah ! Bénissons le ciel qui nous rend un tel maître. v.379 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Oui, le ciel, protecteur des rois, dignes de l'être, v.380 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- A dû garder ce Czar qui n'a point d'héritier. v.381 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- En sauvant un grand homme, il sauve un peuple entier. v.382 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Au bruit de vos revers que grossissait la haine, v.383 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- J'ai cru que du devoir Moscow romprait la chaîne v.384 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- À quels excès honteux ne s'est pas emporté v.385 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Des murmures, des cris le délire effronté ! v.386 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Nos désastres étaient les suites nécessaires v.387 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- De nos nouvelles lois, de ces moeurs étrangères, v.388 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Que Pierre ose introduire ; et le ciel irrité v.389 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Versait tous les fléaux sur son impiété. v.390 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- À ces cris, de leurs moeurs, de leurs rites antiques, v.391 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Les Popes, les Boyards, partisans fanatiques, v.392 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Jusques dans cette enceinte ont soudain relevé v.393 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- L'appareil qu'aux saints lieux Pierre avait réservé. v.394 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Des objets consacrés par de pieux hommages, v.395 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Vos yeux, à chaque pas ; reverront les images. v.396 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Là, le Russe du Czar demande avec ardeur v.397 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Tout haut l'heureux succès, et tout bas le malheur. v.398 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Gleboff, ou plus prudent, ou, si je veux l'en croire, v.399 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Plus zélé pour le Czar, plus touché de sa gloire, v.400 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Semble voir à regret ces pieuses fureurs. v.401 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Mais quel oeil peut percer dans l'abîme des coeurs ? v.402 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Eudoxie a tenté de franchir cette enceinte v.403 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Où la loi d'un époux, sous une règle sainte, v.404 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- La force d'expier ses longs égarements. v.405 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Tout s'unit pour aigrir ses fiers ressentiments. v.406 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Ami, depuis longtemps le choix de sa retraite v.407 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Aux portes de Moscow m'afflige et m'inquiète. v.408 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Une intrigue éternelle y trouble ces esprits, v.409 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Qu'achèvent d'enflammer les lettres d'Alexis : v.410 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Alexis, de l'Empire un jour l'indigne maître, v.411 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Que le ciel d'un héros n'eût pas dû faire naître ; v.412 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Qui détruira l'ouvrage élevé par ses mains, v.413 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Et garde à ses vieux jours les plus mortels chagrins. v.414 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Jusqu'à Vienne, frappé d'une crainte servile, v.415 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Il avait fui, cherchant un criminel asile : v.416 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Mais, depuis que dû Czar on répand le trépas, v.417 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Je sais que vers ces murs il a porté ses pas. v.418 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- À de tels sentiments quel prix garde son père ? v.419 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Quel arrêt dictera sa trop juste colère ? v.420 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Ah ! S'il est un sujet digne de ses mépris, v.421 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Digne de ses rigueurs, c'est son coupable fils : v.422 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- C'est lui qui, de sa mère armant la main cruelle, v.423 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- En secret alluma la première étincelle v.424 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Du vaste embrasement qui, malgré nos efforts, v.425 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- A d'un spectacle horrible épouvanté ces bords. v.426 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Pierre en ignore encor la récente disgrâce. v.427 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Déjà mes prompts efforts en dérobent la trace. v.428 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Sans doute à la faveur du tumulte des cris, v.429 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Ils pensaient soulever le peuple... les Strélits, v.430 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Profiter du faux bruit de la mort de leur maître, v.431 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Nous jeter dans les fers, nous égorger peut-être, v.432 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Et de nos longs travaux dispersant les débris v.433 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Sur leurs restes fumants proclamer Alexis. v.434 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Trône digne de lui ! v.435 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Tremblants sur son passage, v.435 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Les factieux vont voir son auguste visage... v.436 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Dès ce jour... v.437 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Quoi ! Le Czar vous suivrait de si près ? v.437 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- Se peut-il? v.438 (Acte 2, scène 1, LEFORT)
- J'ai longtemps erré dans les forêts v.438 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Prisonnier des brigands qui désolent l'Ukraine. v.439 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- De leurs barbares mains je m'échappais à peine, v.440 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Dans les États du Czar, sous son autorité, v.441 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Je pensais m'avancer avec sécurité : v.442 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Non loin de Voronez un parti de rebelles v.443 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Recevait de sa mort et semait les nouvelles. v.444 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Ils me forcent de suivre, avec des cris affreux, v.445 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- De leurs hideux exploits le cours impétueux. v.446 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Je veux faire cesser leur erreur et leurs crimes ; v.447 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Ils parlent de me joindre à tant d'autres victimes. v.448 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Enfin la vérité, perçant de toutes parts, v.449 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Disperse ces suppôts des Popes, des Boyards : v.450 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Je reste en liberté, mais seul et sans ressource v.451 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- J'ai voulu vainement précipiter ma course, v.452 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Et je n'arrive enfin qu'à l'aurore du jour v.453 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Qui doit du Czar lui-même éclairer le retour. v.454 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Vous savez si l'on peut compter sur sa parole; v.455 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Si Pierre a jamais fait de promesse frivole. v.456 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- Mais quoi ! C'est Alexis que je vois s'avancer !... v.457 (Acte 2, scène 1, MENZIKOFF)
- C'est lui. v.458 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Seul à Lefort laissez-moi m'annoncer, v.458 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Que vois-je ? Menzikoff ! v.459 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Ah ! Que d'un cours rapide v.459 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- L'espérance a conduit cet héritier perfide ! v.460 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Il croit tenir sa proie, et ce front assuré v.461 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Trahit l'orgueil ingrat d'un fils dénaturé. v.462 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Du sein hospitalier d'une terre étrangère v.463 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Rappelé par le bruit des revers de mon père, v.464 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- J'ai cru pouvoir encor voler à son secours. v.465 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Je viens, mille récits m'alarment sur ses jours. v.466 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- On répand que du Czar l'inflexible constance, v.467 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Des chefs et des soldats l'héroïque vaillance, v.468 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Au milieu des déserts ont lutté vainement v.469 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Contre la faim, la soif, et le glaive ottoman. v.470 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Mais enfin de son sort vous avez connaissance : v.471 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Parlez, de tous ces bruits que faut-il que je pense ? v.472 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Prince, on est mal instruit des arrêts du destin : v.473 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Le Czar me fait passer des ordres de sa main. v.474 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- J'y lisais mon devoir, et mes larmes sincères v.475 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Mouillaient avec respect ces sacrés caractères. v.476 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Le Czar vient, il s'avance, et cet heureux séjour v.477 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Aura revu son maître avant la fin du jour. v.478 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Puisse un retour si prompt n'éprouver point d'obstacles ! v.479 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- C'est vous qui l'annoncez ? v.480 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Oui, Prince. v.480 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Quels miracles. v.480 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Ont dégagé le Czar des mains de l'ennemi ? v.481 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- De ses dangers affreux mon coeur avait frémi. v.482 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Il peut se rassurer. Qu'une pure allégresse v.483 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Succède à cette alarme, à ce soin qui vous presse, v.484 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Votre père revient, il nous porte la paix ; v.485 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- De son auguste seing reconnaissez les traits. v.486 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Il suffit. Quel péril ! Et quelle honte extrême ! v.487 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Vous, reverrez. Seigneur, un père qui vous aime. v.488 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Si mon coeur, si mes voeux sont encore écoutés, v.489 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Vous pouvez aisément regagner ses bontés. v.490 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Plus de docilité, de soins, de complaisance... v.491 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Tant de souplesse et d'art vont mal à l'innocence, v.492 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- C'est à ceux que cet art a fait nos souverains v.493 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- À le mettre au-dessus des devoirs les plus saints, v.494 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Verrai-je de sang-froid une captive obscure. v.495 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Supplanter... v.496 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Épargnez le reproche et l'injure v.496 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Au vertueux objet de votre inimitié, v.497 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Qui de ce vaste Empire a sauvé la moitié : v.498 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Oui, Seigneur, on lui doit le salut de l'armée. v.499 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Je lui dois mon courroux. v.500 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Du Czar elle est aimée ; v.500 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Elle est sa digne épouse, et c'en serait assez, v.501 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Si l'on ne vous poussait à des voeux insensés. v.502 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Ils vous perdront, Seigneur. v.503 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Qui ? Que voulez-vous dire ? v.503 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Que vous méconnaissez, le zèle qui m'inspire, v.504 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Que peut-être aujourd'hui les conseils d'un soldat v.505 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Serviraient Alexis, et le Czar et l'État. v.506 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Au nom de cet Empire accru par vos ancêtres, v.507 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Conservez-lui sa gloire, et le sang de ses maîtres. v.508 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Puis-je voir sans douleur l'un de l'autre ennemis v.509 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Un si glorieux père, un si généreux fils ? v.510 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- N'est-il donc plus pour vous d'honneur dans la carrière, v.511 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Si, lorsque d'un héros viendra l'heure dernière, v.512 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- ( Ah ! Que puisse le ciel longtemps la retarder ! ) v.513 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Protecteur de ses lois, fidèle à les garder, v.514 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Héritier des desseins que mûrit son génie, v.515 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Puissant de tout le bien qu'il fit à sa patrie, v.516 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Vous voulez, l'illustrant par de nouveaux bienfaits, v.517 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- Continuer un nom qui ne mourra jamais ? v.518 (Acte 2, scène 2, MENZIKOFF)
- J'excuse votre zèle, et j'ai su vous connaître. v.519 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Pour vous... v.520 (Acte 2, scène 2, ALEXIS)
- Prince, arrêtez : vous n'êtes point mon maître. v.520 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Loin des bords du Léman où je reçus le jour, v.521 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Dans ces âpres climats qui fixa mon séjour ? v.522 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Est-ce le vain éclat dont le Czar me décore ? v.523 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Non, non, c'est l'amitié dont un héros m'honore. v.524 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Né libre, indépendant, et par mon propre choix v.525 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Sujet de ce grand homme, organe de ses lois, v.526 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Je sers avec ardeur un prince que j'estime. v.527 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Je pourrai quelque jour périr votre victime : v.528 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- À vivre sous vos lois rien ne peut m'obliger. v.529 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Estimez ma franchise. v.530 (Acte 2, scène 2, LEFORT)
- Ainsi, donc, l'Étranger v.530 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- M'ose braver encore au sein de ma patrie ! v.531 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- À quel opprobre, ô ciel ! Livrez-vous la Russie ? v.532 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- Alexis, mon aïeul, honneur de mon pays ; v.533 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- Et toi, par tes vertus , modèle d'Alexis, v.534 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- Grand Neuwki, dont l'esprit animait nos contrées v.535 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- Les abandonnez-vous à ces lois abhorrées ? v.536 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- Non, non, je le sais bien, vous m'ordonnez tous deux v.537 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- De secouer un joug si dur et si honteux ; v.538 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- De frapper mais sur moi j'entends gronder la foudre ! v.539 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- Et je la veux lancer... malheureux ! Que résoudre ? v.540 (Acte 2, scène 3, ALEXIS)
- Venez, braves amis. Savez-vous de quel sort v.541 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Vous êtes menacés ? v.542 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Quoi ? v.542 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Je tiens de Lefort v.542 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Qu'aujourd'hui, dans ces murs, va paraître mon père. v.543 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Ne vous trompe-t-il point ? v.544 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Menzikoff, plus sincère.. . v.544 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Confirme ce retour ; il précède ses pas ; v.545 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Il annonce la paix. v.546 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Ah ! Ne l'acceptez pas. v.546 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Ces braves, outragés par un soupçon injuste v.547 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Quand nos voix réclamaient votre présence auguste, v.548 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Sûrs de vaincre à présent sous les yeux d'Alexis, v.549 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Comme moi d'un instant connaissent tout le prix. v.550 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Cet instant que le ciel laisse à notre courage, v.551 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Il veut qu'on en profite ; il en dicte l'usage. v.552 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Pierre de nos projets sera bientôt instruit. v.553 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Sitôt qu'à son oreille en parviendra le bruit, v.554 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Nous sommes tous perdus, vos amis, et vous-même. v.555 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Aussi prompt que l'éclair, Pierre toujours extrême, v.556 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Implacable, terrible, atroce en son courroux, v.557 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Par tous ces étrangers enflammé contre nous, v.558 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Et déchaînant enfin leur barbare insolence, v.559 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Dans des torrents de sang éteindra, sa vengeance, v.560 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Déjà nous avons vu, quand Sophie autrefois v.561 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Voulut armer nos bras pour soutenir ses droits, v.562 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Avec quelle rigueur, par combien de supplices, v.563 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Le Czar extermina jusqu'aux moindres complices,. v.564 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- À ce carnage affreux seul je suis échappé. v.565 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- La tête sous la hache, et près d'être frappé, v.566 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Ma fermeté lui plut ; il me laissa la vie ; v.567 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Je la tiens d'un tyran, je l'offre à la patrie. v.568 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Profitons des leçons de ce grand souvenir : v.569 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Les bourreaux sont tout prêts, il faut les prévenir. v.570 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Je ne vois point Gleboff ? v.571 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Tantôt, en votre absence, v.571 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- C'était lui dont l'ardeur accusait ma prudence. v.572 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Mais il n'est plus, Seigneur, temps de délibérer ; v.573 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Il faut braver l'orage, et non le conjurer. v.574 (Acte 2, scène 4, ORLOFF)
- Tirons le glaive, allons ; tentons une fortune v.575 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Qu'avec de si grands coeurs le ciel me rend commune. v.576 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- De l'odieux Lefort, vous, arrêtez les pas. v.577 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- S'il ose résister, qu'on le livre au trépas. v.578 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Vous, marchez hors des murs, et de son monastère v.579 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Allez faire sortir et ramenez ma mère. v.580 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Appelez à grands cris le peuple à son secours. v.581 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Vous, gardez Menzikoff, mais épargnez ses jours. v.582 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- Et nous .... v.583 (Acte 2, scène 4, ALEXIS)
- J'ai vu le Czar sur le fleuve paraître. v.583 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Dans un léger esquif il s'est fait reconnaître. v.584 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Ô ciel! v.585 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- De près, dit-on, un corps nombreux le suit ; v.585 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Mais jusqu'aux pieds des murs deux rameurs l'ont conduit. v.586 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Plein d'un trouble funeste à l'aspect du rivage, v.587 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Qui de la flamme au loin offre encor le ravage, v.588 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Il a voulu descendre à l'instant sur ce bord, v.589 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Où déjà l'attendaient Menzikoff, et Lefort. v.590 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Que faire ? v.591 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- Auprès du Czar, Seigneur, allons nous rendre ; v.591 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Voir par nos yeux s'il faut ou presser ou suspendre. v.592 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Quand l'héritier du trône est sorti de l'État, v.593 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Sa fuite est parmi nous un si grand attentat, v.594 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Que la loi veut sa mort ; mais cette loi si dure v.595 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Ne pourra même ici balancer la nature. v.596 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Le Czar ne songe pas, tout barbare qu'il est, v.597 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- À menacer un fils d'un si cruel arrêt. v.598 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Des yeux ouverts sur moi trompant la vigilance, v.599 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Je dois aussi du Czar garder la confiance, v.600 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Et, comme si ma voix guidait vers lui vos pas, v.601 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Aussitôt qu'il paraît, jetez-vous dans ses bras. v.602 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Venez, Prince, et, montrant une assurance entière v.603 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- D'un front soumis et calme abordez votre père. v.604 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Sachons dissimuler : la justice des cieux v.605 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Et son mauvais destin l'amènent dans ces lieux. v.606 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Oui, marchons sans pâlir ; et si mon front l'abuse, v.607 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- Aidons, puisqu'il le faut, la force par la ruse. v.608 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- Mais s'il m'osait parler d'une effroyable loi... v.609 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- J'ai reçu vos serments. v.610 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- Comptez sur notre foi. v.610 (Acte 2, scène 5, GLEBOFF)
- Ce dévouement fidèle est une gloire insigne, v.611 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- Un bien dont Alexis saura se montrer digne ; v.612 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- Et le moindre de ceux dont j'accepte l'appui v.613 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- Me trouverait tout prêt à périr avec lui. v.614 (Acte 2, scène 5, ALEXIS)
- Oui, je transporterai le siège de l'empire v.615 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Loin de ce bord fatal où sans cesse on conspire. v.616 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Vous m'y forcez. Grand Dieu, quel spectacle ! En un jour v.617 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- L'ouvrage de vingt ans a péri Sans retour. v.618 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Le hasard n'a point fait ce funeste ravage. v.619 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Vous, avant que la flamme eût assouvi sa rage, v.620 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Vous deviez, dans son cours à tout prix l'arrêter ; v.621 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Il fallait y courir vous y précipiter. v.622 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Je m'y serais jeté, s'il eût pu de ma cendre v.623 (Acte 3, scène 1, LEFORT)
- Naître un ami pour vous plus fidèle et plus tendre. v.624 (Acte 3, scène 1, LEFORT)
- Pardonne ! À quel excès me laissai-je emporter ! v.625 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- J'ai dompté mon pays et n'ai pu me dompter. v.626 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Va, je rends bien justice au zèle qui t'anime. v.627 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Oui, je reconnaîtrai ton dévouement sublime ; v.628 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Oui, le coeur de ton maître... v.629 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Est le seul prix du mien. v.629 (Acte 3, scène 1, LEFORT)
- Lefort, si vous l'aimez, ne demande plus rien. v.630 (Acte 3, scène 1, LEFORT)
- Quel est le prince ingrat, né pour la tyrannie, v.631 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- À qui de tels amis sont moins chers que la vie ? v.632 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- C'est le plus beau présent que le ciel fasse aux rois. v.633 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Mais quel est cet autel qu'en ces lieux je revois ? v.634 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Et quelle main hardie à mes ordres rebelle... v.635 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Seigneur.... v.636 (Acte 3, scène 1, BORIS)
- Vous espériez une absence éternelle. v.636 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Le ciel m'a protégé, le ciel n'écoute pas v.637 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Des sujets factieux et des enfants ingrats. v.638 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Il veille sur mes jours, leur gloire est son ouvrage. v.639 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Ce pieux appareil a-t-il rien qui m'outrage ? v.640 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Non ; mais c'est moins l'autel qu'on voulut relever, v.641 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Que le trône, en effet, qu'on prétendit braver. v.642 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Vous nourrissez en vain la coupable espérance v.643 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- De rendre à ces climats leur antique ignorance. v.644 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Soumettez-en l'orgueil à de plus justes lois. v.645 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Quand l'airain frémissant retentira trois fois, v.646 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Revenez dans ces lieux. Que le peuple s'apprête v.647 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Pour la plus légitime, et la plus digne fête v.648 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Que puisse à ses sujets offrir un souverain. v.649 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Allez. Restez tous deux, et sachez mon dessein. v.650 (Acte 3, scène 1, PIERRE)
- Du temps qui détruit tout je sens déjà l'outrage ; v.651 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Sous le poids des travaux plus encor que de l'âge, v.652 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Lorsqu'à peine j'atteins mon quarantième hiver, v.653 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Mon front de cheveux blancs sera bientôt couvert. v.654 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- J'ai consacré ma vie au bonheur de la terre : v.655 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- J'appris dans les revers le grand art de la guerre, v.656 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Et vous vîtes enfin le vainqueur de Narva v.657 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Par ses propres leçons défait à Pultava. v.658 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Dans Sardam cette main au sceptre destinée v.659 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- A fait crier la scie et gémir la cognée. v.660 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Aux plus rudes travaux l'esclave condamné v.661 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Versa moins de sueurs que ce front couronné. v.662 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Mais est-ce assez d'avoir en ma double carrière v.663 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Du bruit de mes exploits rempli l'Europe entière ? v.664 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Par d'utiles travaux, par de grands monuments, v.665 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- D'en avoir illustré les paisibles moments ? v.666 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Ces travaux, cet éclat que l'univers encense, v.667 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Souvent au fond du coeur laissent un vide immense. v.668 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Je l'éprouvai moi-même, et j'ai cherché longtemps v.669 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Un objet qui mêlât de plus doux sentiments v.670 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Aux agitations qui consumaient ma vie : v.671 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Enfin je l'ai trouvé, mon âme en est remplie. v.672 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Avec ravissement je goûte mon bonheur : v.673 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Catherine a comblé ce besoin de mon coeur ; v.674 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Elle va près de moi s'asseoir au rang suprême. v.675 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Quand mon coeur est donné, qu'est-ce qu'un diadème ? v.676 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Je le lui dois peut-être ; elle seule a sauvé v.677 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Aux fers des Ottomans tout mon camp réservé. v.678 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Compagne de mes pas, son zèle, sa constance v.679 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Exerçaient sur mon âme une douce puissance. v.680 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Les accents de sa voix calmaient mon coeur ému, v.681 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Et régnaient sur mes sens par un charme inconnu. v.682 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Qui voudrait rappeler dans sa froide pensée v.683 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- De son rang et du mien la distance effacée ? v.684 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Qu'importe le destin qui la fit naître aux fers, v.685 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Si son esprit est fait pour régir l'univers ? v.686 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- C'est trop peu que l'on sache à la Cour, dans l'armée, v.687 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Qu'un noeud sacré m'unit à mon esclave aimée : v.688 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Après tous les fléaux qu'elle a su détourner, v.689 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Soldats, peuple, à l'envi la devraient couronner. v.690 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Sur son modeste front, c'est ma reconnaissance v.691 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Qui place le bandeau qu'affermit sa prudence. v.692 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Ainsi j'instruis ce peuple, ainsi je foule aux pieds v.693 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Des préjugés encor vainement décriés. v.694 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Du mérite humble, obscur, j'enflamme le courage ; v.695 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- J'inspire des vertus qui seront mon ouvrage ; v.696 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Et laissé, s'il le faut, mon pouvoir en des mains v.697 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Qui feront après moi prospérer mes desseins. v.698 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Amis, vous n'êtes pas des mortels ordinaires ; v.699 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Vous voyez de trop haut les maximes vulgaires v.700 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Pour blâmer un instant mon projet et mon choix. v.701 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Vivez, régnez heureux ; que vos puissantes lois v.702 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Fassent, après mille ans, fleurir votre patrie ; v.703 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Qu'on respecte, Seigneur, qu'on craigne la Russie. v.704 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- En des lieux où son nom était même ignoré. v.705 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Une fois acquitté de ce devoir Sacré, v.706 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Des publiques rumeurs méprisez le caprice. v.707 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Votre coeur est content, que l'Empire obéisse. v.708 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Tu te tais, Menzikoff ? v.709 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Seigneur, puis-je blâmer v.709 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Un choix que le ciel même a semblé confirmer ? v.710 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- J'oserai seulement pour la triste Eudoxie... v.711 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Je retire la main sur elle appesantie. v.712 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- En des lieux que son choix fixera désormais v.713 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Le reste de ses jours pourra couler en paix. v.714 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Prêt à donner son rang à celle qui l'honore, v.715 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Sous le voile aujourd'hui je la retiens encore. v.716 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Demain son Czar lui rend toute sa liberté. v.717 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Puisse-t-elle y trouver plus de félicité ! v.718 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- On sait par quelle humeur bizarre, impérieuse, v.719 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Elle fit mon malheur, sans être plus heureuse ; v.720 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Que ce palais toujours trop plein de son esprit, v.721 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- À mes plus justes lois à regret obéit ; v.722 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Que sa bouche affectait un éternel murmure, v.723 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- À l'hymen, au pouvoir, insupportable injure ! v.724 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Enfin la nuit profonde où de vains préjugés v.725 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Retiennent ses esprits obstinément plongés ; v.726 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Son orgueil, tout la rend à mes voeux opposée. v.727 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Pesante pour tous deux cette chaîne est brisée. v.728 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- De qui fait mon bonheur ma couronne est le prix. v.729 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Je l'ai dû, je le veux. - Mais parlons de mon fils. v.730 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Tout s'éveille à ce nom, le devoir, la nature, v.731 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Et c'est-là de mon coeur la mortelle blessure. v.732 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Avez-vous vu ce front qui semblait menacer, v.733 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Et ces yeux que les miens n'ont pu faire baisser ? v.734 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Gleboff s'en indignait, Gleboff de qui le zèle, v.735 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Dans un corps dangereux, m'offre un appui fidèle ; v.736 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Gleboff qui sert l'État, l'Église, et dont mon fils v.737 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Pourrait suivre du moins l'exemple et les avis : v.738 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Je détournais la vue, et faisais violence v.739 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- À l'amour que pour lui, dès sa plus tendre enfance, v.740 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Dans ce coeur paternel je me plus à nourrir. v.741 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Que ce coeur aisément peut encor se rouvrir ! v.742 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Mais parmi des méchants, ennemis de leur maître, v.743 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Lorsque je m'attendris, il conspire peut-être. v.744 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Il conspirait à Vienne, où d'un voisin jaloux v.745 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Sa fureur parricide excitait le courroux. v.746 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Et quand au nom des lois, dont il se rend l'organe, v.747 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Sa fuite toute seule à la mort le condamne ; v.748 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- L'ingrat, bravant ces lois et mon ressentiment, v.749 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Déserteur de son poste, y rentre insolemment ! v.750 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Au bruit de mon trépas, dans sa joie insensée, v.751 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Déjà de ma dépouille il repaît sa pensée. v.752 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Comment porterait-il ce fardeau dangereux, v.753 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- De tout glorieux soin détracteur malheureux, v.754 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Des factieux Boyards ralliement politique, v.755 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Des Popes plus adroits instrument fanatique ? v.756 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- L'État, je le vois trop, sous un tel successeur v.757 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Ne peut rien espérer, ni gloire, ni bonheur. v.758 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Entre un fils et l'Empire il faut que je prononce. v.759 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Quel choix ! À me survivre il faut que je renonce, v.760 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Ou bien que de l'État adoucissant la loi, v.761 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Mais juge sans faiblesse, et moins père que roi, v.762 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Je déclare à jamais indigne de l'Empire v.763 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Un cruel dont la haine ouvertement conspire. v.764 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Dans ce combat terrible approuvez ma douleur, v.765 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Mais dans mon seul devoir affermissez mon coeur. v.766 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Devant un autre czar, devant un autre père, v.767 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Tout me ferait, sans doute, un devoir de me taire. v.768 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- C'est d'un fils qu'il s'agit. - Sorti de vos États, v.769 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- La loi pour ce seul crime ordonne son trépas, v.770 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Loi trop digne en effet du code des Tartares ; v.771 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- L'horreur des étrangers est le sceau des Barbares. v.772 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Sans doute vous devez, heureux réformateur, v.773 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Abolir de ces lois l'odieuse rigueur . v.774 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Qu'il vive !... Mais qu'un jour, successeur téméraire, v.775 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Des fruits de votre gloire ingrat dépositaire, v.776 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Il puisse la flétrir et la fouler aux pieds ! v.777 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- De cet affreux tableau mes sens sont effrayés. v.778 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Excusez jusqu'au bout ma franchise sévère, v.779 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- C'est le tribut d'un zèle et d'un amour sincère. v.780 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Qu'attendre d'Alexis, qu'en exiger, Seigneur, v.781 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Quand, d'être né de vous méconnaissant l'honneur, v.782 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Aux plus honteux conseils il a livré son âme ? v.783 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Non, jamais de la gloire il n'a senti la flamme. v.784 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- S'il en était capable, ah ! Ne devrait-il pas v.785 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Baiser avec amour la trace de vos pas v.786 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Et, méritant les soins d'une tendre tutelle, v.787 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Se vouer sans réserve à suivre un tel modèle ? v.788 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Mais non, il fuit, il va parmi les nations v.789 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Semer les tristes bruits de vos divisions, v.790 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Au-dedans, au-dehors sa coupable imprudence v.791 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- De tous vos ennemis réveille l'espérance ; v.792 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- De vos bontés, enfin, sa haine est le retour. v.793 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Quel fruit à vos travaux réserve-t-il un jour ? v.794 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Prévenez des malheurs... Ah ! Seigneur, je m'arrête, v.795 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Et si j'en ai trop dit, frappez, voilà ma tête ; v.796 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Mais ce coeur plein de vous, plein de votre grandeur, v.797 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- N'en saurait entrevoir la chute sans horreur. v.798 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Je ne vous blâme point, Lefort, je vous admire, v.799 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Voilà ce qu'un ami devait oser me dire. v.800 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Vous déchirez mon coeur en éclairant mes yeux ; v.801 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Mais j'aime encore un fils qui dut m'être odieux. v.802 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Contre mon propre sang je crains d'être sévère. v.803 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Vous parlez en ministre, et je suis czar et père ; v.804 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Et du plus juste arrêt redoutant la rigueur, v.805 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- La nature gémit dans le fond de mon coeur. v.806 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Seigneur, écoutez-la. Vous serait-il possible v.807 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- De n'être ici qu'un juge ; et qu'un juge inflexible ? v.808 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Élevé dans les camps, je n'ai point contracté v.809 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Des maximes d'État la sombre austérité. v.810 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Loin de moi de vouloir blâmer ou méconnaître v.811 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Le plus digne sujet qu'ait le plus digne maître. v.812 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Lefort est de l'État un vertueux soutien, v.813 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Et mon pays n'a pas de meilleur citoyen : v.814 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Mais, Seigneur, pour un fils n'est-il plus d'espérance ? v.815 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Ne peut-on pas guider son inexpérience, v.816 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Éclairer son esprit, toucher même son coeur, v.817 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Et lui montrer encor les routes de l'honneur ? v.818 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Nourrie en ce palais, son oisive jeunesse v.819 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- N'a quitté ce séjour d'erreur et de mollesse v.820 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Qu'alors que, de l'État bravant la dure loi, v.821 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Il affligea son père, il offensa son Roi. v.822 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Qu'il vienne dans les camps, que son jeune courage v.823 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Des travaux, des combats fasse l'apprentissage. v.824 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Loin des Popes menteurs, des Boyards factieux, v.825 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- De l'éclat de la gloire éblouissons ses yeux. v.826 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- En voyant à quel ordre, à quelle obéissance v.827 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Votre armée a ployé son antique licence, v.828 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Il prendra des leçons d'amour et de respect, v.829 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Cet espoir dans mon coeur ne peut être suspect : v.830 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Souvenez-vous, Seigneur, que, dans mon âge tendre, v.831 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- J'étais cet orphelin, cet obscur Alexandre, v.832 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Qui vivait loin de vous dans le plus humble emploi : v.833 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Un regard de vos yeux daigna tomber sur moi. v.834 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- La faveur ou l'oubli nous rend ce que nous sommes ; v.835 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Notre sort en dépend, et les rois font les hommes. v.836 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Si de vos dons comblé, je n'ai point démenti v.837 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Ce que d'un faible enfant vous aviez pressenti, v.838 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Si Menzikoff peut-être est votre heureux ouvrage, v.839 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Que ce coeur paternel prenne quelque courage. v.840 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Voyez ce que j'étais, voyez ce que je suis ; v.841 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Ne désespérez pas, Seigneur, de votre fils. v.842 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Ta voix fait triompher la voix de la nature, v.843 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Si tu crois au retour de cette âme trop dure : v.844 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- De son père en effet le coeur peut se fléchir. v.845 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Pardonnons. v.846 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Puisse-t-il ne pas s'en repentir ! v.846 (Acte 3, scène 2, LEFORT)
- Exécute le plan que te dicte ton zèle. v.847 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Marche sur Voronez. Sa province rebelle, v.848 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Qu'à mes lois va ranger ta prudente valeur v.849 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Te garde le doux nom de pacificateur. v.850 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Prends mon fils avec toi, qu'il parte et qu'il t'imite ; v.851 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Je veux que de ces lieux il s'éloigne au plus vite. v.852 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- De tous mes ennemis sans cesse environné, v.853 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Le malheureux respire un air empoisonné ; v.854 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Contre les révoltés qu'il porte son audace. v.855 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Quelque jour il saura qu'il te doit cette grâce. v.856 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Souffrez, Seigneur... v.857 (Acte 3, scène 2, MENZIKOFF)
- Il faut qu'il sache que tous deux v.857 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Vous trouviez de nos lois l'arrêt trop rigoureux. v.858 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Ton avis fut plus sage et plus juste sans doute : v.859 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Mais enfin éloignons ce que mon coeur redoute. v.860 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Fais venir Alexis, et puisses-tu pour moi, v.861 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Inspirer à mon sang ton amour et ta foi ! v.862 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Veille sur ce palais ; que Moscow soit tranquille. v.863 (Acte 3, scène 2, PIERRE)
- Toi, d'Eudoxie encor fais qu'on garde l'asile. v.864 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Mes braves étrangers sont mon plus sûr appui : v.865 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Quatre mille à ma suite arrivent aujourd'hui. v.866 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- À leur tête est Hermann dont l'audace éclairée v.867 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- S'est souvent à tes yeux avec succès montrée. v.868 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Ils entrent dans Moscow pour la première fois, v.869 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Et cette raison même a décidé mon choix. v.870 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Les Strélits avec eux n'ont point d'intelligence. v.871 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Guide aujourd'hui leur zèle et leur obéissance ; v.872 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Demain tu pars, demain, assurés sur ta foi, v.873 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Et le père et le Czar attendent tout de toi. v.874 (Acte 3, scène 3, PIERRE)
- Oui, c'est toi, digne ami, toi surtout, Catherine, v.875 (Acte 3, scène 4, PIERRE)
- Par qui vers le pardon mon coeur se détermine. v.876 (Acte 3, scène 4, PIERRE)
- Quelle fut leur douleur quand un fidèle avis v.877 (Acte 3, scène 4, PIERRE)
- Vint m'apprendre en mon camp la fuite d'Alexis ! v.878 (Acte 3, scène 4, PIERRE)
- De quel prix paiera-t-il leur pitié magnanime ? v.879 (Acte 3, scène 4, PIERRE)
- Si quelque jour... Ô ciel ! Daigne, avant un tel crime. v.880 (Acte 3, scène 4, PIERRE)
- Mais il entre. v.881 (Acte 3, scène 4, PIERRE)
- Approchez. Menzikoff part demain. v.881 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Des champs de Voronez il reprend le chemin. v.882 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Demain vous le suivrez marchant sur les rebelles. v.883 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Je vous pardonne tout ; et ces mains paternelles, v.884 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Sur le trône avec moi prêtes à vous placer, v.885 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Déjà contre mon sein brûlent de vous presser. v.886 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Je rends grâce sans doute à ce soin tutélaire ; v.887 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- On ne m'a pas encor chassé du coeur d'un père, v.888 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Je le crois ; et je vais, sensible à cet amour , v.889 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Par un digne langage y répondre à mon tour, i v.890 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Contre un tel ennemi puis-je marcher sans crime ? v.891 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Seigneur, leur résistance est-elle illégitime ? v.892 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Moi-même, fils des czars, et qui puis l'être un jour, v.893 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Serai-je ici l'écho d'une servile Cour ? v.894 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Je n'en ai point les moeurs et j'en hais le langage ; v.895 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Elle craint ma franchise, : et je lui fais ombrage. v.896 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Mais puisque vous daignez m'entendre sans courroux, v.897 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- J'élèverai ma voix entre l'Empire et vous. v.898 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Eh ! Que reproche-t-on à vos sujets fidèles ? v.899 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Que font ces opprimés qu'on traite de rebelles ? v.900 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Des droits les plus sacrés ne sont-ils pas vengeurs ? v.901 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Ne défendent-ils pas et leur culte et leurs moeurs ? v.902 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Ils ont des nouveautés brisé l'injuste idole. v.903 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Faut-il donc que votre âge en aveugle s'immole ? v.904 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Que vos contemporains, au prix de leur bonheur, v.905 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- D'un douteux avenir achètent la splendeur ? v.906 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Des étrangers prenant vos sujets pour victimes v.907 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- S'appliquent sans relâche à leur chercher des crimes. v.908 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Contre un peuple innocent dont ils sont détestés v.909 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Leurs cris calomnieux sont toujours écoutés. v.910 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Des lâches, de vos lois ministres tyranniques, v.911 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Dans l'asile sacré des foyers domestiques v.912 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Poursuivent la pensée, et l'oeil des délateurs v.913 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Va lire les regrets jusques au fond des coeurs. v.914 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Ce peuple enfin s'indigne, et le Ciel le protège. v.915 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Puis-je, armé contre lui d'un glaive sacrilège... v.916 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Oh Ciel ! Est-ce un sujet, est-ce un fils que j'entends? v.917 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Il se déclare à moi le chef des mécontents ! v.918 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Il n'a point demandé leur pardon et sa grâce ! v.919 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Il excuse, il partage, il vante leur audace ! v.920 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ô de tes ennemis trop docile instrument ! v.921 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ingrat, qui de mes jours es l'éternel tourment, v.922 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Que t'ai-je fait ? Ma gloire est un poids qui t'accable ; v.923 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Mes travaux sont l'objet de ta haine implacable. v.924 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Qui doit les recueillir ? Eh quoi ! N'es-tu pas né v.925 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Pour ce grand héritage à mon fils destiné ? v.926 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Quand le temps, qui déjà m'avertit de sa course, v.927 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Aura vu revoler mon âme vers sa source, v.928 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et que du Roi_des_rois j'aurai reçu le prix v.929 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Des utiles travaux sur là terre entrepris, v.930 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Quel autre, si tu veux, quel autre que toi-même v.931 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Héritera du trône et de ce rang suprême v.932 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Où tu ne verras plus ces Popes, ces Boyards, v.933 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Entre, le peuple et nous ces éternels remparts ? v.934 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Aux plus utiles lois, aux projets les plus sages v.935 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Sans pudeur opposant de bizarres usages, v.936 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Des droits injurieux que je dus abolir, v.937 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Qui blessaient le pouvoir que tu devais haïr, v.938 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et dont, par une erreur fatale, inconcevable, v.939 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ton esprit aveuglé trouve le joug aimable. v.940 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Oui, je chéris un joug où depuis neuf cents ans v.941 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Sont attachés du Nord les généreux enfants ; v.942 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Du Nord, qui vit l'Europe à ses armes ouvertes, v.943 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Qui des maîtres du monde osa jurer la perte, v.944 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Et qui, sur les débris de l'Empire_romain, v.945 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Vit bientôt sous ses lois passer le genre humain. v.946 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- En vain d'un jour nouveau vous nous montrez l'aurore : v.947 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Reprenez des bienfaits que votre peuple abhorre ; v.948 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Le Russe de ses moeurs n'a point encor rougi. v.949 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Comment aussi, comment veut-il être régi ? v.950 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Toujours prêt à porter sa brutale ignorance v.951 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- De l'extrême esclavage à l'extrême licence, v.952 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- On le verrait en foule, à d'indignes hasards, v.953 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Du premier imposteur suivre les étendards ; v.954 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Encenser ce qu'il hait, briser ce qu'il adore, ; v.955 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Détester ses fureurs, s'y replonger encore ; v.956 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et menacer toujours, si ce bras irrité v.957 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- N'eût mis un frein terrible à leur férocité. v.958 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Cent fois de ce palais l'artifice ou l'audace v.959 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Dans un jour, dans une heure ont pu changer la face : v.960 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et le cri d'un Strélits, la brigue d'un Boyard v.961 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- A suffi pour proscrire ou proclamer un czar. v.962 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Je me suis indigné contre une tyrannie v.963 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Qui du Prince en naissant étouffait le génie. v.964 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- L'obstacle révolta ce coeur impétueux : v.965 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- J'eusse été plus cruel étant moins rigoureux. v.966 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Qui veut plaire à ce peuple est un esclave à plaindre. v.967 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Qu'il m'estime, il suffit : je saurai l'y contraindre. v.968 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Un czar trop débonnaire en ses nobles projets v.969 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et se perdrait lui-même et perdrait ses sujets ; v.970 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- À des malheurs sans fin j'ai voulu les soustraire. v.971 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Je retiens par pitié le pouvoir arbitraire. v.972 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Mon siècle en vain s'oppose à sa félicité. v.973 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- J'en appelle sans crainte à la postérité ; v.974 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Elle est l'espoir d'un Roi dont la gloire est l'idole. v.975 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Au sein des durs travaux cet espoir le console ; v.976 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et loin dans l'avenir au vulgaire caché, v.977 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Lui montre le seul prix dont son coeur soit touché, v.978 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Le seul qu'il obtiendra. Jamais l'ingrat vulgaire v.979 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ne l'absout, tant qu'il vit, du bien qu'il ose faire : v.980 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- On le menace au trône, on l'invoque au tombeau ! v.981 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- C'est pour toi que des arts s'allume le flambeau : v.982 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Suis cet astre propice et marche à sa lumière ; v.983 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Tu ne peux sans péril demeurer en arrière. v.984 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Change avec l'Univers, qui change autour de toi ; v.985 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- C'est la nécessité qui t'en prescrit la loi. v.986 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Les arts qui de l'Europe ont doublé la puissance, v.987 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- La paix et ses travaux, la guerre et sa science, v.988 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Secours dont tes voisins contre toi vont s'armer, v.989 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Sont prêts à te défendre ou prêts à t'opprimer. v.990 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Des Germains que ta voix excitait contre un père v.991 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Fais fleurir dans nos camps la discipline austère : v.992 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Notre valeur sauvage asservie à ses lois v.993 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Surpassera bientôt leurs plus savants exploits. v.994 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Crois-tu qu'à l'ignorance obstinément fidèle, v.995 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- L'orgueilleux Musulman, que tu prends pour modèle, v.996 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Dispute encor longtemps sa dépouille à nos mains ? v.997 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Non ; je t'ai de Byzance aplani les chemins : v.998 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et sans l'affreux succès de l'allié perfide, v.999 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Qui préparait pour nous d'une main parricide v.1000 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Dans ses brûlants déserts un trépas trop certain, v.1001 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Moi-même j'aurais vu les murs de Constantin. v.1002 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ose embrasser les arts dont l'Europe s'honore ; v.1003 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Dans trente_ans sous tes lois mugira le Bosphore. v.1004 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Mais quoi ! Je parle en vain ! Ton coeur reste glacé, v.1005 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et vers ce grand espoir ne s'est point élancé ! v.1006 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Va, tu ne démens pas tout ce dehors barbare, v.1007 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ces vêtements, ce luxe inutile et bizarre. v.1008 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Tels étaient nos ayeux, fondateurs de nos droits, v.1009 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Race dé tant de saints, de héros et de rois. v.1010 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Leurs aïeux ! C'est toujours leur facile réponse. v.1011 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Cet esprit qui t'obsède à chaque mot s'annonce. v.1012 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- De lâches factieux qu'importunent mes lois, v.1013 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- N'osant ouvrir la bouche, ont emprunté ta voix. v.1014 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Que mes tristes amis, objets de votre haine, v.1015 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- D'un sincère discours ne portent point la peine ; v.1016 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Ils ne l'ont point dicté. Dans mes justes transports v.1017 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Je n'ai rien consulté que le sang dont je sors : v.1018 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Il nous parle assez haut. Vos lois, vos arts profanes v.1019 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- De nos pères, Seigneur, ont soulevé les mânes ; v.1020 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Dans la nuit éternelle ils s'arment contre vous. v.1021 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Ne croyez-vous pas voir leurs ombres en courroux, v.1022 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Pour venger leur injure à la tombe échappées, v.1023 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Frémir à vos côtés, de nos plaintes frappées ? v.1024 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Vous triomphez, cruels, qui de ce noir poison v.1025 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Vous êtes fait un jeu d'infecter sa raison. v.1026 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ô doctrine ! Ô fureur flétrissante, insensée ! v.1027 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Tant de honte m'accable, et mon âme oppressée v.1028 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Jetant sur l'avenir un regard plein d'effroi v.1029 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- N'y découvre que deuil pour l'État et pour moi. v.1030 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Vois quel mal ils m'ont fait, grand_Dieu ! Vois ma misère. v.1031 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Infortuné Monarque, et plus malheureux père ! v.1032 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Est-ce ainsi qu'à mon rang digne de succéder, v.1033 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Dans l'Empire, après moi, tu penses commander ? v.1034 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Quoi ! Le seul droit du sang, qui, dans des jours prospères v.1035 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Assure aux fils des rois le sceptre de leurs pères, v.1036 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Si je tombé au milieu de mes vastes travaux, v.1037 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Te donnerait pour maître à ces peuples nouveaux ! v.1038 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Quel changement, grand Dieu ! Quelle nuit triste et sombre ! v.1039 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Eh ! Contre tant d'ingrats qui défendra mon ombre ? v.1040 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ne vois-je pas ces grands aujourd'hui contenus, v.1041 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et leurs serfs avilis, par leur voix prévenus, v.1042 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Rivaliser entre eux d'outrages, de blasphèmes ? v.1043 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- De vos prêtres menteurs j'entends les anathèmes : v.1044 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- « D'un czar haï du ciel brisons les monuments ; v.1045 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Loin des sacrés parvis chassons ses ossements. » v.1046 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- À ces sinistres cris ma tombe renversée v.1047 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Livre aux vents indignés ma cendre dispersée. v.1048 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Et toi, lâche témoin de tous ces attentats, v.1049 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- C'est beaucoup si tes mains ne les partagent pas : v.1050 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Mais tu croiras en vain dérober à leur haine v.1051 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Un sang dont aura soif leur vengeance inhumaine. v.1052 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Sur ma froide dépouille encor mal assouvis, v.1053 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ils te feront payer l'honneur d'être mon fils. v.1054 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Tu te troubles ! Crois-moi, c'est la fidèle histoire v.1055 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- De ce que tes amis gardent à ma mémoire, v.1056 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- À toi-même. v.1057 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Il faut feindre. v.1057 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Étonné, confondu, v.1057 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Votre voix retentit dans mon coeur éperdu v.1058 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Terrible, menaçante, et semblable au tonnerre v.1059 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Qui gronde dans la nue ; et fait trembler la terre. v.1060 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Quelques doutes, Seigneur, dans mon coeur élevés v.1061 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Peut-être sans courroux voulaient être levés. v.1062 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Mais enfin vous parlez, votre voix me décide, v.1063 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Et vous m'enhardissez quand le ciel m'intimide. v.1064 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Eh bien ! Je partirai ; le sort en est jeté : v.1065 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- J'ose espérer un prix de ma docilité. v.1066 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- De ma mère aujourd'hui vous comblez la disgrâce ; v.1067 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Une autre va s'asseoir et régner en sa place : v.1068 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- De tout cet appareil vous n'avez pas besoin v.1069 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Que le triste Alexis soit encor le témoin. v.1070 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Puisque vous l'ordonnez, puisqu'il faut que je parte, v.1071 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- De ces lieux, à l'instant, souffrez que je m'écarte. v.1072 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Pars ; de ce libre aveu bien loin de te blâmer, v.1073 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- La franchise m'en plaît, et je sais l'estimer : v.1074 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Je veux au repentir tendre une main propice, v.1075 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- À Catherine un jour tu rendras mieux justice. v.1076 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Un jour tu chériras cet objet que tu hais, v.1077 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ce coeur si magnanime et que tu méconnais, v.1078 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Qui mérite du tien une autre récompense. v.1079 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Je te permets encor d'éviter sa présence. v.1080 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Tu m'as rendu mon fils ; c'est assez aujourd'hui v.1081 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Ton père te bénit ; reviens digne de lui. v.1082 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Vous connaissez Orloff, Seigneur, et sa prudence, v.1083 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Et dans l'art des combats sa longue expérience : v.1084 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Daignez souffrir qu'Orloff me suive dans les camps ; v.1085 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Que ses sages conseils... v.1086 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Tu le veux, j'y consens. v.1086 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Je connais bien Orloff ; il fut jadis rebelle. v.1087 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Seigneur, depuis longtemps c'est un soldat fidèle. v.1088 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Mon fils, je veux tout croire, et me fier enfin v.1089 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- De ma gloire à moi seul, et du reste au destin. v.1090 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Je vole à mon devoir. v.1091 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Que la feinte me pèse ! v.1091 (Acte 3, scène 5, ALEXIS)
- Que d'un père aisément tout le courroux s'apaise ! v.1092 (Acte 3, scène 5, PIERRE)
- Catherine paraît aux pieds de ces remparts. v.1093 (Acte 3, scène 6, LEFORT)
- J'y cours. Autour du trône appelle les Boyards, v.1094 (Acte 3, scène 6, PIERRE)
- Les Popes, et les chefs de l'antique milice ; v.1095 (Acte 3, scène 6, PIERRE)
- Qu'ils tombent aux genoux de leur Impératrice. v.1096 (Acte 3, scène 6, PIERRE)
- Je tremble que leur rage et leur fatal orgueil, v.1097 (Acte 3, scène 6, LEFORT)
- Seigneur, à ce beau jour ne mêlent quelque deuil. v.1098 (Acte 3, scène 6, LEFORT)
- Je les brave ; et, chassant une crainte importune, v.1099 (Acte 3, scène 6, PIERRE)
- J'oppose à leurs complots ma gloire et ma fortune. v.1100 (Acte 3, scène 6, PIERRE)
- Regardez qu'aucun de vous laisse entrevoir ses armes, v.1101 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Que votre front serein n'inspire point d'alarmes ; v.1102 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Attendons du dehors les cris victorieux : v.1103 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Gleboff doit faire un signe, ayons sur lui les yeux. v.1104 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- L'esclave par le Czar au trône destinée v.1105 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Sera pour notre glaive une victime ornée ; v.1106 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Et ce couple odieux qu'aveugle un fol orgueil, v.1107 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Sous le dais profané va trouver un cercueil. v.1108 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Nous joindrons sous nos coups et le maître et l'esclave, v.1109 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Menzikoff qui nous hait, et Lefort qui nous brave. v.1110 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Encor quelques instants, et l'Empire est à nous... v.1111 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Mais je vois qu'on s'avance ; amis, contraignez-vous. v.1112 (Acte 4, scène 1, BORIS)
- Boyards, Popes, et vous Strélits dont la licence v.1113 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Me força trop longtemps d'enchaîner la vaillance, v.1114 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Étrangers, les amis de mon peuple et les miens, v.1115 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Esclaves, qui par moi deviendrez citoyens ; v.1116 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Je rends avec la paix le bonheur à la terre. v.1117 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Reprenons les travaux que suspendit la guerre ; v.1118 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Ses stériles lauriers ont pour moi peu d'appas : v.1119 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Je la hais, je la fuis, mais je ne la crains pas. v.1120 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Charles mit son honneur à ravager le monde : v.1121 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Il détruisit, je crée ; il renversa, je fonde. v.1122 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Un succès opposé fut l'objet de nos voeux, v.1123 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Et la postérité nous jugera tous deux. v.1124 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Cependant par mes soins une armée aguerrie v.1125 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- D'un injuste mépris a vengé la patrie ; v.1126 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Mon pays par moi seul prit rang dans l'univers. v.1127 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Des climats inconnus, de sauvages déserts v.1128 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Ont révélé leur force à l'Europe alarmée. v.1129 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- J'impose une autre tâche à ma main désarmée : v.1130 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Pressé du soin plus doux d'embellir vos destins, v.1131 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Du trône descendu pour mieux voir les humains ; v.1132 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Moeurs, usages, beaux arts, lois, intérêts, commerce, v.1133 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Telle est l'étude immense où ma raison s'exerce, v.1134 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Et par qui, devenus plus heureux et meilleurs, v.1135 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Nous verrons dissiper ce long amas d'erreurs v.1136 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Dont nous portons encor ; l'opprobre héréditaire. v.1137 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- J'aurais sans doute ici plus d'un reproche à faire, v.1138 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Plus d'un crime peut-être et d'un complot cruel v.1139 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- À lire sur le front de plus d'un criminel. v.1140 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Je crains peu pour ma vie, et je l'ai prodiguée ; v.1141 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Mais, contre mes bienfaits, ma nation liguée v.1142 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- M'afflige, et je verrai la mort avec horreur, v.1143 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Si je dois dans la tombe emporter sa grandeur. v.1144 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- De ma rigueur, sévère, inflexible, mais juste, v.1145 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- L'amour de mon pays fut le principe auguste ; v.1146 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Le ciel m'en est témoin. Mais je dois commencer v.1147 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Par les dignes amis qu'il faut récompenser. v.1148 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Au rang de patriarche aujourd'hui votre maître v.1149 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Près du trône, Gleboff, vous permet de paraître : v.1150 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Ce grand titre a longtemps ; effrayé mon esprit ! v.1151 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Qu'a tout autre sujet il demeure interdit. v.1152 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Mais seul, vous avez su, par un zèle trop rare, v.1153 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Avec le diadème accorder la tiare. v.1154 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Votre exemple est utile, et mes plus sages lois v.1155 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Passant par votre bouche obtiendront plus de poids. v.1156 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Des hommes et de Dieu, du ciel et de la terre v.1157 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Soyez le double organe et le noeud salutaire. v.1158 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Vous, Lefort, Menzikoff, du trône heureux soutiens, v.1159 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Soyez-y rattachés par de nouveaux liens ; v.1160 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Que Lefort sur la mer, Menzikoff sur la terre, v.1161 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Représentent leur czar dans la paix, dans la guerre ; v.1162 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Que mes fiers pavillons, que mes drapeaux heureux, v.1163 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Ainsi que devant moi s'inclinent devant eux. v.1164 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Sur ma flotte, des vents et des ondes maîtresse, v.1165 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- L'un ira saluer l'Italie et la Grèce, v.1166 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Aux champs de Voronez tandis qu'en_même_temps v.1167 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- L'autre fera marcher vingt mille combattants. v.1168 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Et vous, dans mes dangers, secourable héroïne, v.1169 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Compagne que je dois à la faveur divine, v.1170 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Mêlez votre douceur à ma sévérité ; v.1171 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Le trône à vos vertus est un prix mérité. v.1172 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- C'est trop, Seigneur... v.1173 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Sortez de cette erreur profonde ; v.1173 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Le ciel vous fit pour moi, comme moi pour le monde. v.1174 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- En vain le sort jaloux, qui me fit naître roi, v.1175 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Dans le sein du malheur vous cachait loin de moi : v.1176 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- De mille événements la chaîne peu communs v.1177 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Trop tard me révéla les torts de la fortune. v.1178 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- Mon devoir, mon bonheur, sont de les réparer. v.1179 (Acte 4, scène 2, PIERRE)
- C'est m'accabler, Seigneur, autant que m'honorer. v.1180 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Mais j'atteste du moins et le ciel et la terre, v.1181 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Le peuple qui m'entend, l'époux que je révère, v.1182 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Q[u]'en tout temps d'Alexis et du sang de vos rois v.1183 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Mon devoir, mon amour a respecté les droits ; v.1184 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Qu'heureuse du pardon qu'a prononcé son père, v.1185 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Portant toujours pour lui des entrailles de mère, v.1186 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Du trône où, malgré moi, je me vois élever, v.1187 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- J'accepte la moitié pour lui tout conserver. v.1188 (Acte 4, scène 2, CATHERINE)
- Que veut Hermann ? v.1189 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Seigneur, je conduisais moi-même v.1189 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- lies Germains vers ces lieux où votre loi suprême v.1190 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- Veut qu'on garde Eudoxie, et qu'on la cache aux yeux. v.1191 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- J'arrive sous les murs ; des Strélits furieux v.1192 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- Déjà la hache en main en menaçaient les portes : v.1193 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- Ils n'ont pu soutenir le choc de mes cohortes. v.1194 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- Ô revers ! v.1195 (Acte 4, scène 3, BORIS)
- Et des chefs que suivaient ces mutins, v.1195 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- Le plus audacieux est tombé dans nos mains ; v.1196 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- Étranger dans Moscow, je n'ai pu le connaître. v.1197 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- Dieu ! v.1198 (Acte 4, scène 3, BORIS)
- Dois-je à vos regards le faire ici paraître ? v.1198 (Acte 4, scène 3, HERMANN)
- Qu'il paraisse, et qu'il tremble. Et vous, si dans vos coeurs v.1199 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Vous avez en secret partagé ces fureurs, v.1200 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Tremblez : vous avez vu comment je récompense, v.1201 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Vous allez voir tomber le poids de ma vengeance. v.1202 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Je jure que jamais un châtiment plus prompt v.1203 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Du suprême pouvoir n'aura vengé l'affront ; v.1204 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Que jamais criminel dans l'horreur des supplices v.1205 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- N'aura de plus d'effroi glacé tous ses complices. v.1206 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Qu'un exemple terrible.... v.1207 (Acte 4, scène 3, PIERRE)
- Ah ! Dieu ! v.1207 (Acte 4, scène 4, CATHERINE)
- Ciel ! v.1207 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Mes serments sont sacrés, ils seront accomplis. v.1208 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Eh quoi! Je me flattais que la voix de ton père v.1209 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Aurait touché ton coeur, fléchi ton caractère ; v.1210 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Que de l'honneur enfin tout prêt à t'éclairer, v.1211 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Un rayon dans ton âme aurait pu pénétrer : v.1212 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Et tu me trahissais, perfide ! v.1213 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- J'en fais gloire. v.1213 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Vos soldats à mes mains arrachent la victoire v.1214 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Sans arracher encor de ce coeur ulcéré v.1215 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Le généreux espoir dont il fut enivré : v.1216 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- D'autres vont l'accomplir, et ramener ma mère v.1217 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- À la place qu'usurpe une esclave étrangère. v.1218 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Nous ne prétendions pas, au prix de votre sang, v.1219 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Effacer son opprobre et lui rendre son rang : v.1220 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Mais pouviez-vous penser que nos mains criminelles v.1221 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- S'armeraient pour frapper de prétendus rebelles ? v.1222 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- J'avais, pour vous tromper, fait un coupable effort. v.1223 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Je vous promis mon bras, c'est là mon seul remords. v.1224 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Et vous qui m'entendez, ne puis-je dans vos âmes v.1225 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- De l'antique vertu ressusciter les flammes ? v.1226 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Laisserez-vous traiter comme un vil assassin v.1227 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Celui qui pour vous seuls avait armé sa main ? v.1228 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Menacés de mon sort, que mon danger vous touche ! v.1229 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- L'honneur et l'intérêt vous parlent par ma bouche. v.1230 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Où l'emportent, grand Dieu ! Sa haine et sa fureur ? v.1231 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Insensé ! De ton sort ne vois-tu pas l'horreur ? v.1232 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Je la vois et la brave. v.1233 (Acte 4, scène 4, ALEXIS)
- Ôte-toi de ma vue. v.1233 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- C'est toi qui m'en réponds. L'espérance est perdue ! v.1234 (Acte 4, scène 4, PIERRE)
- Venez, marchons. v.1235 (Acte 4, scène 4, BORIS)
- Gleboff, sur ce grand criminel, v.1235 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Interrogez des czars le code solennel ; v.1236 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Suivez l'antique usage, on y sera docile. v.1237 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Dans ce lieu, dans une heure, assemblez le concile. v.1238 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Qu'on juge aussi ce traître aux lois abandonné v.1239 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Sur ce qu'un père aveugle a tantôt pardonné. v.1240 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Du destin de l'ingrat le concile est le maître. v.1241 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Il y verra siéger des complices peut-être. v.1242 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- N'importe : sur le coeur des mortels assemblés v.1243 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- La justice a des droits rarement violés. v.1244 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Seigneur... v.1245 (Acte 4, scène 5, GLEBOFF)
- Obéissez. Allez : qu'on se retire. v.1245 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Dans l'état où je suis veille encor sur l'Empire. v.1246 (Acte 4, scène 5, PIERRE)
- Que feras-tu, Gleboff ? v.1247 (Acte 4, scène 5, GLEBOFF)
- J'obéis à tes lois, v.1247 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Ô devoir ! Mais le sang fait entendre sa voix. v.1248 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Roi pour ce peuple, ici le père se retrouve. v.1249 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Ah ! Nul bonheur n'est pur ; et ce jour me le prouve. v.1250 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Qui me consolera ?... Vous m'abandonnez tous ! v.1251 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Toi-même, Catherine.... v.1252 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Elle est auprès de vous. v.1252 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- J'ai besoin de t'entendre. v.1253 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Ah ! Si votre grande âme v.1253 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- S'est quelquefois ouverte aux conseils d'une femme ; v.1254 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Si même bien souvent du plus juste courroux, v.1255 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Par un mot, un regard, j'ai suspendu les coups : v.1256 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Puisse aujourd'hui le ciel vous parier par ma bouche, v.1257 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Prêter à mes accents le charme qui vous touche, v.1258 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Chasser le trouble affreux qui règne en votre coeur, v.1259 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Et dissiper du mien la profonde terreur ! v.1260 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Qu'avez-vous ordonné, Seigneur ? Qu'allez-vous faire ? v.1261 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Mon devoir. v.1262 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Quel devoir ! v.1262 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Il fait frémir un père. v.1262 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- D'un souvenir affreux il flétrira mes jours ; v.1263 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Mais je le remplirai. Prête-moi ton secours, v.1264 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Grand Dieu ! Qui, sur mon front plaçant le diadème. v.1265 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Ne m'as pas confié cette grandeur suprême v.1266 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Pour étaler l'orgueil d'une vaine splendeur, v.1267 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Mais pour conduire un peuple à la gloire, au bonheur. v.1268 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Quand tu mis sous mes lois cette vaste contrée v.1269 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- De ténèbres couverte et du monde ignorée, v.1270 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Au rang des nations tu voulus l'élever. v.1271 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- J'ai commencé l'ouvrage, et je dois l'achever. v.1272 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Arrêtez ; ils croiront qu'au rang d'impératrice v.1273 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- J'ai voulu m'affermir en pressant son supplice. v.1274 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Vous ne souffrirez pas qu'un si cruel discours v.1275 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Flétrisse votre gloire, empoisonne mes jours. v.1276 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- En tout lieu, s'il se peut, qu'on publie au contraire v.1277 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Que j'ai su vous fléchir, pour le fils, pour la mère, v.1278 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Et mériter un rang au-dessus de mes voeux, v.1279 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- En essuyant les pleurs de tous les malheureux!. v.1280 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- C'est alors que l'Empire, et l'Europe attentive, v.1281 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Sans peine à vos côtés verront votre captive, v.1282 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Et non lorsqu'un époux du plus pur de son sang v.1283 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Semble teindre pour moi les degrés de ce rang. v.1284 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Alexis doit frémir de voir une étrangère v.1285 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Au rang dont vos rigueurs précipitent sa mère. v.1286 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- En voulant le changer il aggrave son sort : v.1287 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Ce dévouement d'un fils mérite-t-il la mort ? v.1288 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- La cour est consternée et l'Empire murmure. v.1289 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Eh ! Que n'excuse pas le cri de la nature ! v.1290 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Gardez-vous d'hésiter entre l'Empire et moi, v.1291 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Trop de dangers suivraient les dons de votre foi. v.1292 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Laissez-moi loin du trône et loin de sa lumière v.1293 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Retrouver de mon sort l'obscurité première. v.1294 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Seigneur, l'effort heureux qui romprait ce lien v.1295 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Vous rendrait tous les coeurs sans vous ôter le mien. v.1296 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Pour la dernière fois je te pardonne encore v.1297 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Cette étrange vertu dont ton orgueil s'honore. v.1298 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Tu connais ton pouvoir, tu me le fais haïr. v.1299 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Sans toi je ne puis vivre, et tu parles de fuir ! v.1300 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Ah ! Lorsqu'à vos côtés les foudres de la guerre v.1301 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- De morts et de mourants couvraient partout la terre ; v.1302 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Lorsqu'un désert sans borne et brûlant sous nos pas v.1303 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Sous mille aspects hideux nous offrait le trépas ; v.1304 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Quand tout nous trahissait, quand la faim dévorante v.1305 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Moissonnait votre camp, assiégeait votre tente : v.1306 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Je n'ai pas fui, Seigneur, j'ai bravé près de vous, v.1307 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Tous les traits de la guerre et du ciel en courroux. v.1308 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Mais si c'est ma présence à ce peuple importune v.1309 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Qui doit faire à Moscow pâlir votre fortune ; v.1310 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Si ma fuite en effet doit calmer les esprits, v.1311 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Désarmer la révolte et vous rendre Alexis, v.1312 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Je saurai fuir. v.1313 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Pardonne, oui j'adore, oui j'admire v.1313 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Ces généreux desseins que ton zèle t'inspire. v.1314 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Sais-tu quel est ce peuple, et que leur souverain v.1315 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- À leurs cris insolents obéirait en vain : v.1316 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Ils ne se tairaient point, et cette complaisance v.1317 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Avilirait sans fruit mon rang et ma puissance. v.1318 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Un prétexte jamais ne manque aux factieux : v.1319 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Il faut d'un grand exemple épouvanter leurs yeux. v.1320 (Acte 4, scène 6, PIERRE)
- Non, ce sang répandu par une loi cruelle, v.1321 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- C'est sur moi qu'il imprime une tache éternelle. v.1322 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Tandis qu'au prix du mien je voudrais le sauver, v.1323 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- L'Empire contre moi, prêt à se soulever, v.1324 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- M'en demandera compte ; et ce cri d'âge en âge v.1325 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- De nos tristes enfants deviendra l'héritage. v.1326 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Ah ! Prenez pitié d'eux, de vous-même et de moi. v.1327 (Acte 4, scène 6, CATHERINE)
- Seigneur, des révoltés venez combler l'effroi ; v.1328 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Paraissez. Les Strélits appelaient le carnage, v.1329 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Demandaient Alexis avec des cris de rage ; v.1330 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Libre par eux, sa mère accourait à ses cris, v.1331 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Réclamer à leur tête, et son trône et son fils. v.1332 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- On s'avance, on se mêle autour de cette enceinte ; v.1333 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- On dit qu'aux premiers rangs des premiers coups atteinte v.1334 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Eudoxie a péri.... v.1335 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Dieu ! v.1335 (Acte 4, scène 7, CATHERINE)
- Son corps palpitant, v.1335 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- De ce peuple en fureur est l'étendard sanglant. v.1336 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Le bon ordre des miens, non moins que leur vaillance, v.1337 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Des Strélits cependant contient la violence. v.1338 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- D'un choc tumultueux le désordre et le poids v.1339 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Sur la foule écrasée est retombé trois fois : v.1340 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Elle fuit ; mais je crains que la rage plus forte v.1341 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- À quelque effort nouveau tout-à-coup ne l'emporte. v.1342 (Acte 4, scène 7, LEFORT)
- Enfin vous le voyez, dans ce complot cruel, v.1343 (Acte 4, scène 7, CATHERINE)
- Votre malheureux fils n'est pas seul criminel. v.1344 (Acte 4, scène 7, CATHERINE)
- Vous saurez tout, Seigneur, et quel art détestable v.1345 (Acte 4, scène 7, CATHERINE)
- Le séduisit peut-être et le rendit coupable. v.1346 (Acte 4, scène 7, CATHERINE)
- Ah ! Si le châtiment qui l'attend aujourd'hui, v.1347 (Acte 4, scène 7, PIERRE)
- Aussi prompt que la foudre était tombé sur lui, v.1348 (Acte 4, scène 7, PIERRE)
- Du parti qui le sert l'audace forcenée v.1349 (Acte 4, scène 7, PIERRE)
- N'eût pas coûté la vie à cette infortunée. v.1350 (Acte 4, scène 7, PIERRE)
- Mais montrons-leur ce front qu'ils ne soutiendront pas. v.1351 (Acte 4, scène 7, PIERRE)
- Restez. v.1352 (Acte 4, scène 7, PIERRE)
- Non, près de vous, je cherche le trépas. v.1352 (Acte 4, scène 7, CATHERINE)
- Si je sauve à ce prix mon époux et mon maître , v.1353 (Acte 4, scène 7, CATHERINE)
- Ma mort le rendra libre et plus heureux peut-être. v.1354 (Acte 4, scène 7, CATHERINE)
- Les juges, convoqués dans les formes antiques, v.1355 (Acte 5, scène 1, FOEDOR)
- Se rassemblent déjà sous les prochains portiques. v.1356 (Acte 5, scène 1, FOEDOR)
- Neuwki, sur son autel, doit solennellement, v.1357 (Acte 5, scène 1, GLEBOFF)
- Telle est aussi la loi, recevoir leur serment. v.1358 (Acte 5, scène 1, GLEBOFF)
- Quand les ministres saints que tu dois introduire ' v.1359 (Acte 5, scène 1, GLEBOFF)
- Seront tous réunis, tu viendras m'en instruire. v.1360 (Acte 5, scène 1, GLEBOFF)
- Aurais-je pu prévoir qu'à ses longues rigueurs v.1361 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- Pierre eût fait succéder le comble des faveurs ! v.1362 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- Je deviens, à ce prix, l'appui du diadème. v.1363 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- Mais, pour garder en paix ma dignité suprême, v.1364 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- J'ai dû craindre Eudoxie, et ses moindres discours v.1365 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- Pouvaient mettre en péril ma fortune et mes jours : v.1366 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- La main qui m'a servi, stupidement cruelle, v.1367 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- Crut frapper une mère à son fils infidèle. v.1368 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- C'était au seul Ivan qu'on pouvait s'adresser, v.1369 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- Ivan à qui nul sang ne coûtait à verser v.1370 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- Sur le moindre soupçon qu'on glissait dans son âme. v.1371 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- D'autres mains ont brisé cet instrument infâme. v.1372 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- Enfin voici l'arrêt tel que Pierre l'attend. v.1373 (Acte 5, scène 2, GLEBOFF)
- J'ai voulu sans témoins vous parier un instant. v.1374 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Un sujet animé par un zèle sincère v.1375 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Souvent, pour mieux servir, ne craInt pas de déplaire. v.1376 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Contre un fils trop coupable un père est irrité, v.1377 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Et des lois de l'Empire arme la majesté. v.1378 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Sur une tête auguste on appelle la foudre. v.1379 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Dans cette extrémité que puis-je faire? v.1380 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Absoudre. v.1380 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Savoir braver l'exil (c'est le plus grand danger v.1381 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Où vous jette du Czar le courroux passager). v.1382 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Empêchons, s'il se peut, qu'une rigueur trop dure v.1383 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- N'altère ici l'éclat d'une gloire si pure. v.1384 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Tout fléchit devant Pierre : à sa vue, à sa voix v.1385 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Moscow de son seul maître a reconnu les lois. v.1386 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Des plus ardents strélits on dit qu'un petit nombre v.1387 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Ose défendre encor ces murs qui, dans leur ombre, v.1388 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Naguère d'Eudoxie enfermaient les douleurs. v.1389 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- D'amis désespérés impuissantes fureurs ! v.1390 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- D'un parti pour son fils, pour elle si funeste, v.1391 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Pierre va dissiper ce misérable reste. v.1392 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Cependant j'ai pensé qu'un ministre de paix v.1393 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Partageait aujourd'hui mes voeux et mes regrets ; v.1394 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Que le ciel dans son coeur avait mis la clémence. v.1395 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Mon estime, Gleboff, sera la récompense v.1396 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- De vos nobles efforts pour sauver Alexis. v.1397 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Ce langage, Madame.... v.1398 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- En seriez-vous surpris ? v.1398 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Feriez-vous cette injure et cet outrage insigne v.1399 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- A celle que du trône un grand homme croit digne ? v.1400 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Ceux qu'un tel choix élève au-dessus des mortels, v.1401 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Ne portent point, Gleboff, des coeurs bas et cruels ; v.1402 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Et la même vertu qu'en moi Pierre a chérie v.1403 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Veut qu'ici de son fils je défende la vie. v.1404 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Si de tels sentiments vous pouvaient étonner, v.1405 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- C'est à vous de rougir, à moi de m'indigner. v.1406 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Je ne m'étonne point, j'admire ce langage v.1407 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Où de votre vertu brille la vive image ; v.1408 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Mais, Madame, on le sait, je n'ai jamais cherché v.1409 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- À voir quelque ascendant à ma voix attaché. v.1410 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Au milieu de la Cour, étranger aux cabales, v.1411 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Aux brigues, aux partis d'où naissent les scandales, v.1412 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Servir les saints autels, adorer et bénir, v.1413 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Tel est le cercle auguste où j'ai dû me tenir. v.1414 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Qui sent bien la grandeur de mon saint ministère v.1415 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Dévoue à le remplir son existence entière. v.1416 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- D'ailleurs du tribunal dont le Czar a fait choix v.1417 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Vous connaissez la règle, et je n'ai que ma voix ; v.1418 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Mais de tout mon pouvoir secondant votre zèle, v.1419 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Madame, à vos désirs, ma voix sera fidèle. v.1420 (Acte 5, scène 3, GLEBOFF)
- Si l'exil est le prix d'un noble dévouement, v.1421 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- La gloire en dédommage, et je vous fais serment v.1422 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- De vous rendre le coeur de ce maître qui m'aime : v.1423 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Vous aurez pour soutiens Menzikoff, Lefort même, v.1424 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Malgré cette rigueur dont il fait vanité. v.1425 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Aux portes du palais, Lefort s'est arrêté : v.1426 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Il veut que de soldats je sorte environnée, v.1427 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Et rassure avec lui la ville consternée. v.1428 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Vous, mettez à profit par des délais heureux v.1429 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Cette nuit qui déjà noircit l'azur des cieux. v.1430 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Que demain soit un jour marqué par la clémence : v.1431 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Sous cet auspice heureux que mon règne commence. v.1432 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- De sa propre vertu sauvons Pierre aujourd'hui. v.1433 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Croyez à son retour, comptez sur mon appui. v.1434 (Acte 5, scène 3, CATHERINE)
- Croirai-je à ce discours ? Mais, fût-elle sincère? v.1435 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Pierre, un jour, percera ce ténébreux mystère ; v.1436 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Il saura qu'en secret j'inspirais Alexis. v.1437 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Mon salut veut la perte ou du père ou du fils. v.1438 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Et du fils, après tout, se peut-il que j'espère v.1439 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Plus que ne m'offre ici l'aveuglement du père ? v.1440 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Qu'importe qui des deux au trône soit placé, v.1441 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Pourvu que des autels l'éclat soit rehaussé ? v.1442 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Pourvu que ce grand nom dont Pierre ici m'honore... v.1443 (Acte 5, scène 4, GLEBOFF)
- Qu'a-t-on fait d'Alexis ? Est-il vivant encore ? v.1444 (Acte 5, scène 5, ORLOFF)
- C'est vous, Orloff ? Mon oeil vous aurait méconnu ! v.1445 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Alexis est vivant dans la tour retenu. v.1446 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Menzikoff y commande, et du prince est le maître. v.1447 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Mais devant le concile. Alexis va paraître. v.1448 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Un esclave, en ces lieux, marchait d'un pas pressé , v.1449 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Portant à Menzikoff cet écrit adressé. v.1450 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Je le rencontre seul dans un étroit passage ; v.1451 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Il veut fuir : l'arrêter, me saisir du message, v.1452 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Le jeter à mes pieds expirant sous mes coups, v.1453 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Revêtir ses habits pour passer jusqu'à vous, v.1454 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Tromper tous les regards dans ce désordre extrême, v.1455 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- C'est l'ouvrage du ciel qui me guide et vous aime. v.1456 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Dans ces murs à présent dégarnis d'étrangers, v.1457 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Six cents des miens, forcés dans les premiers dangers, v.1458 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- À seconder Lefort, et dont le feint hommage v.1459 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- D'un dévouement sincère a présenté l'image, v.1460 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Brûlent de profiter de cette utile erreur. v.1461 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Voyons ce qu'a tracé la main de l'Empereur. v.1462 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- « Partout, cher Menzikoff, je suis déjà le maître ; v.1463 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Les Strélits sont forcés, leur asile est détruit. v.1464 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Aux portes du palais vous me verrez paraître v.1465 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Avec les ombres de la nuit. v.1466 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Ivan près d'expirer a, dit-on, fait connaître v.1467 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Que tout ce noir complot... par Gleboff fut conduit. v.1468 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Quel châtiment attend ce traître ? v.1469 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Pour mon fils, s'il est vrai, déjà mon coeur l'absout. v.1470 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Devant le concile surtout v.1471 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Gardez, cher Menzikoff, de le faire paraître. » v.1472 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- ... Ce billet de l'État vient de changer le sort. v.1473 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Pierre vient dans ces lieux ! v.1474 (Acte 5, scène 5, ORLOFF)
- Qu'il y trouve la mort. v.1474 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Tantôt, ici, du ciel expliquant la menace, v.1475 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Ma voix vous promettait un terme a tant d'audace. v.1476 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Voici ce terme heureux de tous vos maux soufferts. v.1477 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Bientôt d'un voile épais les cieux seront couverts ; v.1478 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Nous aurons avec nous, dans cette nuit obscure, v.1479 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Les éléments ligués contre un tyran parjure. v.1480 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Je vais dicter l'arrêt : saurez-vous l'accomplir ? v.1481 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Parlez : six cent guerrier sont prêts à vous servir. v.1482 (Acte 5, scène 5, ORLOFF)
- Contenez un instant leur juste impatience. v.1483 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Ils entendront ma voix, signal de la vengeance. v.1484 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Il faut tromper le Czar, le priver à la fois v.1485 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Du fer de ses soldats et du glaive des lois ; v.1486 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Il faut, dans l'embarras d'un piège inextricable, v.1487 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Que l'un de nous l'attire ; et que l'autre l'accable, v.1488 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Dans ce palais surtout qu'il rentre sans soupçon. v.1489 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- J'aime à vaincre au grand jour ; je hais la trahison : v.1490 (Acte 5, scène 5, ORLOFF)
- Mais dans ce noir sentier que la foudre environne, v.1491 (Acte 5, scène 5, ORLOFF)
- Qui me mène au supplice ou m'approche du trône, v.1492 (Acte 5, scène 5, ORLOFF)
- Je vous suivrai. v.1493 (Acte 5, scène 5, ORLOFF)
- Gardez de rien précipiter. v.1493 (Acte 5, scène 5, GLEBOFF)
- Au bord de quel abîme il vient de m'arrêter ! v.1494 (Acte 5, scène 6, GLEBOFF)
- Et toi, dont la ruine est ma seule espérance, v.1495 (Acte 5, scène 6, GLEBOFF)
- Tu verras qui je suis... Mais mon vengeur s'avance. v.1496 (Acte 5, scène 6, GLEBOFF)
- Vous connaissez du Czar les ordres absolus ? v.1497 (Acte 5, scène 7, MENZIKOFF)
- Oui, de votre captif vous ne répondez plus : v.1498 (Acte 5, scène 7, GLEBOFF)
- C'est moi seul désormais ; et vous pouvez vous rendre v.1499 (Acte 5, scène 7, GLEBOFF)
- Près d'un père... v.1500 (Acte 5, scène 7, GLEBOFF)
- J'y cours. ..... v.1500 (Acte 5, scène 7, MENZIKOFF)
- Je ne saurais comprendre v.1500 (Acte 5, scène 8, ALEXIS)
- Gleboff ? v.1501 (Acte 5, scène 8, ALEXIS)
- Admirez, Prince, en ses profonds desseins, v.1501 (Acte 5, scène 8, GLEBOFF)
- Celui qui tient les coeurs dans ses puissantes mains, v.1502 (Acte 5, scène 8, GLEBOFF)
- Pierre aujourd'hui m'élève au rang de patriarche ; v.1503 (Acte 5, scène 8, GLEBOFF)
- Et je dois dans ce rang, pour première démarche, v.1504 (Acte 5, scène 8, GLEBOFF)
- Présider le concile à ma voix assemblé, v.1505 (Acte 5, scène 8, GLEBOFF)
- Qu'à prononcer sur vous nos lois ont appelé. v.1506 (Acte 5, scène 8, GLEBOFF)
- Quoi ! Gleboff ! v.1507 (Acte 5, scène 8, ALEXIS)
- Vos amis vont remplir cette enceinte. v.1507 (Acte 5, scène 8, GLEBOFF)
- Orloff est libre encor : Prince, soyez sans crainte. v.1508 (Acte 5, scène 8, GLEBOFF)
- Tous les Juges, Seigneur... v.1509 (Acte 5, scène 9, FOEDOR)
- Venez, amis, venez ; v.1509 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Un juste effroi se peint sur vos fronts consternés. v.1510 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Je partage avec vous les angoisses mortelles v.1511 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Où ce moment affreux plonge vos coeurs fidèles, v.1512 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Entre un père cruel, destructeur de nos lois, v.1513 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Et son fils généreux qui s'arma pour nos droits. v.1514 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Appelés à juger, et dans ce rang suprême, v.1515 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Placés moins par le Czar que par le ciel lui-même, v.1516 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Accomplissons d'abord sa sainte volonté. v.1517 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Dieu, l'auteur de la vie et de la vérité, v.1518 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Dit que si trois mortels remplis d'une foi, vive, v.1519 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- En son nom réunis, d'une bouche naïve v.1520 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Des célestes clartés implorent le secours, v.1521 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Lui-même au milieu d'eux se trouvera toujours. v.1522 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Il donne la lumière, et la force et l'audace : v.1523 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- C'est à nous d'implorer les rayons de sa grâce. v.1524 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Grand Dieu ! Guide, soutiens ces bras armés pour toi ; v.1525 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Aveugle, atteint, détruit ceux qui bravent ta loi ! v.1526 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Non, tu ne peux vouloir qu'un pontife autorise v.1527 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- De l'orgueil d'un tyran la funeste entreprise ; v.1528 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Que du bandeau des Czars sanctifiant l'affront, v.1529 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Ma main de Catherine en couronne le front ; v.1530 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Qu'une esclave... En ces lieux vous l'avez rencontrée : v.1531 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Son âme tout entière à mes yeux s'est montrée ; v.1532 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Elle venait, jugeant de nos coeurs par le sien, v.1533 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Me demander un sang que je paierai du mien. v.1534 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- - Grand Dieu ! Quand tu permis le meurtre d'Eudoxie.... v.1535 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Ma mère ! v.1536 (Acte 5, scène 9, ALEXIS)
- Ignorez-vous qu'elle nous est ravie ? v.1536 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Elle tentait pour vous un généreux effort : v.1537 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Par l'ordre du barbare elle a trouvé la mort. v.1538 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Ma mère ! Le cruel ! v.1539 (Acte 5, scène 9, ALEXIS)
- Sa rage impatiente v.1539 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- De ce sang, précieux n'est pas encor, contenté : v.1540 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Il brûle de montrer aux peuples éperdus v.1541 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Et la mère, et le fils, dans leur sang confondus. v.1542 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Lisez l'infâme arrêt qu'un tyran nous commande : v.1543 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- C'est de nous qu'il attend cette exécrable offrande. v.1544 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Ah ! Qu'en son propre piège il soit enveloppé ; v.1545 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Qu'au pied de cet autel, par Dieu même frappé, v.1546 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Il tombe, et satisfasse aux mânes d'Eudoxie. v.1547 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Mais fascinons ses yeux, flattons sa barbarie. v.1548 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Pour venir confirmer cet arrêt odieux v.1549 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Nous l'allons voir bientôt accourir furieux, v.1550 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Il triomphe au dehors ; mais la mort invisible v.1551 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Veille dans ce palais, et l'attend plus terrible, v.1552 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Plus sûre qu'au milieu, des hasards d'un combat. v.1553 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Je remets en tes mains les destins de l'État ; v.1554 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Foedor, va le trouver, dis-lui qu'avec instance v.1555 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Les Juges assemblés implorent sa présence. v.1556 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Il pensera trouver les bourreaux de son fils, v.1557 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Et de tous ses forfaits il trouvera le prix. v.1558 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Cet écrit à la main, conduis-nous notre proie. v.1559 (Acte 5, scène 9, GLEBOFF)
- Ah ! Prince ! Ma douleur souffre un moment de joie. v.1560 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Je remplis un devoir, un serment qui m'est cher. v.1561 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Quel devoir ? Quel serment ? v.1562 (Acte 5, scène 10, ALEXIS)
- De vous porter ce fer. v.1562 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Ce fer ! v.1563 (Acte 5, scène 10, ALEXIS)
- Ce don fatal d'une mère immolée. v.1563 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Ah ! Dieu ! v.1564 (Acte 5, scène 10, ALEXIS)
- J'ai su près d'elle, en l'horrible mêlée, v.1564 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Détourner plus d'un trait : mais bientôt plein d'effroi, v.1565 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Je vois que son ardeur l'emporte loin de moi. v.1566 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Je vole : entre mes bras elle.tombe expirante, v.1567 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Elle me reconnaît ; et d'une voix mourante : , v.1568 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- « Boris, ami fidèle et soldat généreux, v.1569 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Prends ce glaive trempé dans mon sang malheureux, v.1570 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Qu'on le porte à mon fils, et, s'il vit, qu'il me venge ». v.1571 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Elle arrache ce fer, elle expire. v.1572 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Ah ! Qu'entends-je ! v.1572 (Acte 5, scène 10, ALEXIS)
- Caché parmi les morts, le tumulte, la nuit, v.1573 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Et son ombre en courroux devant vous m'ont conduit ; v.1574 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Je vous porté son ordre. v.1575 (Acte 5, scène 10, BORIS)
- Ah ! Cet ordre suprême v.1575 (Acte 5, scène 10, GLEBOFF)
- Sans doute est un arrêt dicté par le ciel même. v.1576 (Acte 5, scène 10, GLEBOFF)
- Le Czar venait, seigneur : devant lui prosterné, v.1577 (Acte 5, scène 11, FOEDOR)
- Je présente l'écrit que vous m'aviez donné. v.1578 (Acte 5, scène 11, FOEDOR)
- Attentif, inquiet, long temps il le regarde ; v.1579 (Acte 5, scène 11, FOEDOR)
- Plus calme enfin, d'un signe il disperse sa garde. v.1580 (Acte 5, scène 11, FOEDOR)
- Presque seul sur rires pas il s'avance vers vous. v.1581 (Acte 5, scène 11, FOEDOR)
- Ce fer m'est confié ; j'en dois porter les coups. v.1582 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- C'est à moi d'obéir à cet arrêt funeste. v.1583 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- La vengeance ! Ô ma mère ! Est tout ce qui nous reste. v.1584 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- L'obtenir pour ton ombre est tout ce que je veux : v.1585 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- Je vais venger ta mort par un coup plus affreux. v.1586 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- Allez, armez vos bras. Si cette main s'égare, v.1587 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- Revenez sur mon corps immoler le barbare. v.1588 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- Qu'Orloff suive vos pas. Levez au ciel les mains, v.1589 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- Cher Gleboff. v.1590 (Acte 5, scène 11, ALEXIS)
- Oui, du ciel j'accomplis les desseins. v.1590 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Grand Neuwki, je te sers, et je sers la patrie. v.1591 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Qui balance est ingrat, et qui doute est impie. v.1592 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Ma mère, ne crains pas que ton sang crie en vain : v.1593 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Je l'entends ; je te vois. Quels coups percent ton sein ! v.1594 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Cessez, cruels ! Ô reine ! Ô mère infortunée ! v.1595 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Sur un lit de carnage indignement traînée, v.1596 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Ta voix implore un fils ; tu lui montres tes flancs. v.1597 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Ces flancs qui l'ont porté, déchirés et sanglants. v.1598 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Tu demandes vengeance, ombre sacrée ! Arrête, v.1599 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Arrête : trop d'horreurs s'assemblent sur ma tête. v.1600 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Dans mon coeur éperdu, sur mes sens désolés, v.1601 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Trop de maux en un jour se sont accumulés. v.1602 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Que m'ordonnent le ciel, et ce fer, et l'Empire ? v.1603 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Sous le poids qui m'accable à peine je respire. v.1604 (Acte 5, scène 12, ALEXIS)
- Qu'on cherche Menzikoff. Sans, doute un faux avis v.1605 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- M'annonçait par Gleboff mes intérêts trahis. v.1606 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- Fermes dans un devoir terrible autant qu'auguste, v.1607 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- Les Juges ont porté la sentence trop juste... v.1608 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- Mais quoi ! si près du lieu qui dut les réunir, v.1609 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- Dans quelle obscurité me vois-je ensevelir ? v.1610 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- Suis-je encore entouré de pièges domestiques ? v.1611 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- Soldats, le glaive en main, parcourez ces portiques. v.1612 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- Ô soupçons renaissants ! Ô Gleboff ! Alexis ! v.1613 (Acte 5, scène 13, PIERRE)
- J'obéis, je t'entends... v.1614 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- Arrêtez. v.1614 (Acte 5, scène 14, MENZIKOFF)
- Dieu ! Mon fils ! v.1614 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Ô trop, funeste erreur ! Ô comble des disgrâces ! v.1615 (Acte 5, scène 14, MENZIKOFF)
- Je le laisse à Gleboff et vole sur vos traces. v.1616 (Acte 5, scène 14, MENZIKOFF)
- On m'apprend tout ; j'accours : que vois-je ? Ô noir transport ! v.1617 (Acte 5, scène 14, MENZIKOFF)
- Ô spectacle pour moi plus cruel que la mort ! v.1618 (Acte 5, scène 14, MENZIKOFF)
- Prince, qu'avez-vous fait ? v.1619 (Acte 5, scène 14, MENZIKOFF)
- C'est le sang de ma mère, v.1619 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- C'est le ciel que je venge... v.1620 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- En immolant ton père ! v.1620 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Par la voix de la mort, le ciel l'a commandé ; v.1621 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- Vers cet autel vengeur c'est lui qui m'a guidé. v.1622 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- Tremble, esclave odieux, dont l'audace m'arrête : v.1623 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- Le ciel va te punir, sa foudre est sur ta tète. v.1624 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- Dieu ! Par quel art affreux l'infortuné, séduit, v.1625 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- À ce comble d'horreur a-t-il été conduit ? v.1626 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Qu'il sente, qu'il déteste et leur fourbe et son crime : v.1627 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Autant qu'il fut cruel, je serai magnanime. v.1628 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Vois jusqu'où va l'effort de ce coeur paternel. v.1629 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Ton bras peut-être ici s'arma sur cet autel ; v.1630 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Sous cette image auguste, un pontife perfide v.1631 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Te fit entre ses mains jurer le parricide. v.1632 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Je n'examine pas ton crime, mais ta foi. v.1633 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Ton serment fut horrible ; il fut sacré pour toi, v.1634 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Eh bien ! Par un serment, par une foi plus pure, v.1635 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- De la religion viens réparer l'injure ; v.1636 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Sur cet autel, au Dieu des pères et des rois, v.1637 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Jure de respecter mon ouvrage, mes lois, v.1638 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Je te laisse la vie, et le trône peut-être : v.1639 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Ton sort est dans tes mains. v.1640 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Vous en êtes le maître, v.1640 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- Frappez : je ne saurais proférer un serment v.1641 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- Que du ciel irrité suivrait le châtiment. v.1642 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- Des vengeances du ciel celui qui te menace, v.1643 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Gleboff, cet imposteur dont la fourbe et l'audace. v.1644 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Prétend venger ta mère ; il la fit, seul, périr. v.1645 (Acte 5, scène 14, PIERRE)
- Eh bien, Gleboff fut traître, et je serai martyr. v.1646 (Acte 5, scène 14, ALEXIS)
- D'Orloff et des Strélits la fureur se ranime. v.1647 (Acte 5, scène 15, HERMANN)
- Gleboff, au nom du ciel, leur dicte un nouveau crime. v.1648 (Acte 5, scène 15, HERMANN)
- Ils viennent... v.1649 (Acte 5, scène 15, HERMANN)
- Me venger ! v.1649 (Acte 5, scène 15, ALEXIS)
- C'est trop. Loin de leurs yeux, v.1649 (Acte 5, scène 15, PIERRE)
- Loin des miens, entraînez ce monstre furieux, v.1650 (Acte 5, scène 15, PIERRE)
- Cet arrêt, quel qu'il soit, confirmé par sa rage, v.1651 (Acte 5, scène 15, PIERRE)
- Il faut l'exécuter : imite mon courage. v.1652 (Acte 5, scène 15, PIERRE)
- Tyran, si mon supplice est prêt avant le tien, v.1653 (Acte 5, scène 15, ALEXIS)
- Assouvis ta fureur, ton sang suivra le mien : v.1654 (Acte 5, scène 15, ALEXIS)
- Oui, je rejoins ma mère, et tous deux à Dieu même v.1655 (Acte 5, scène 15, ALEXIS)
- Nous demandons pour toi la mort et l'anathème. v.1656 (Acte 5, scène 15, ALEXIS)
- Tu sais bien, juste Dieu ! Toi qui lis dans mon coeur, v.1657 (Acte 5, scène 16, PIERRE)
- Que je venge l'État et non pas l'Empereur ; v.1658 (Acte 5, scène 16, PIERRE)
- Que ce coeur déchiré, mais au devoir fidèle, v.1659 (Acte 5, scène 16, PIERRE)
- Pardonne à l'assassin et frappe le rebelle. v.1660 (Acte 5, scène 16, PIERRE)
- Vous, dont mille hasards ont signalé la foi, v.1661 (Acte 5, scène 16, PIERRE)
- Voici l'heure : il faut vaincre ou mourir avec moi. v.1662 (Acte 5, scène 16, PIERRE)
- Ô toi qu'en mes périls je vois toujours paraître, v.1663 (Acte 5, scène 16, PIERRE)
- Viens, chère épouse, viens. v.1664 (Acte 5, scène 16, PIERRE)
- Restez, Seigneur ; ce traître, v.1664 (Acte 5, scène 17, CATHERINE)
- Ce pontife assassin, sur le marbre sanglant v.1665 (Acte 5, scène 17, CATHERINE)
- Vainement se débat près d'Orloff expirant. v.1666 (Acte 5, scène 17, CATHERINE)
- Au calme d'un héros opposant leur furie, v.1667 (Acte 5, scène 17, CATHERINE)
- Sous ses coups redoublés tous deux laissent la vie. v.1668 (Acte 5, scène 17, CATHERINE)
- De ses périls, seigneur, elle ne parle pas. v.1669 (Acte 5, scène 17, LEFORT)
- A travers mille morts précipitant ses pas, v.1670 (Acte 5, scène 17, LEFORT)
- Son audace vers vous guidait notre courage, v.1671 (Acte 5, scène 17, LEFORT)
- Mon salut en tous lieux, ma gloire, est son ouvrage, v.1672 (Acte 5, scène 17, PIERRE)
- Tu m'as sauvé deux fois. v.1673 (Acte 5, scène 17, PIERRE)
- J'en réclame un seul prix. v.1673 (Acte 5, scène 17, CATHERINE)
- Qu'oses-tu demander ? v.1674 (Acte 5, scène 17, PIERRE)
- La grâce d'Alexis. v.1674 (Acte 5, scène 17, CATHERINE)
- Qu'as-tu dit ? v.1675 (Acte 5, scène 17, PIERRE)
- C'en est fait, et cet arrêt sévère... v.1675 (Acte 5, scène 18, MENZIKOFF)
- Amis, j'ai des sujets ; je serai toujours père. v.1676 (Acte 5, scène 18, PIERRE)
DIALOGUE ENTRE LE MAIRE DE RODEZ ET UN MARGUILLIER (1818)
- Monsieur, dans la cité prévenez un désastre. v.1 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Encor ! v.2 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Un coup affreux, l'école à la Lancastre, v.2 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Qu'un démon incarné, sous les traits d'un préfet, v.3 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Veut établir, ici, comme ailleurs on l'a fait ; v.4 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Le frère de celui qui les dote à Libourne, v.5 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- En va fonder au Tarn pour peu qu'il y séjourne. v.6 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Partout le mal s'apprête à nous circonvenir, v.7 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Ne perdons point de temps pour nous en garantir : v.8 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Notre espoir est en vous, en vous, Monsieur_le_Maire, v.9 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Élevé dans nos murs, et sous les yeux d'un père v.10 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Qui toujours a suivi nos pieux étendards ; v.11 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Votre aïeul s'illustra du temps des Camisards, v.12 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Vous l'ignorez peut-être, on lit dans mon registre v.13 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Que là dernière fois qu'on pendit un ministre, v.14 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Tête nue et nu-pieds, il tenait un flambeau, v.15 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et même avait, dit-on, fait les frais du cordeau. v.16 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Cet heureux temps n'est plus, tout a changé de face, v.17 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Depuis que la raison, marchant avec audace, v.18 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- S'introduit dans l'école, en usurpe les bancs, v.19 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et même a pénétré chez les pénitents blancs. v.20 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Les noirs et les gris-bruns seuls demeurés fidèles, v.21 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- D'ignorance et de foi sont encor des modèles ; v.22 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Mais n'ai-je pas hier entendu l'entretien v.23 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- De quatre bons bourgeois, réputés gens de bien ; v.24 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Ils traitaient de révolte et de piraterie v.25 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Ces restes précieux de la chevalerie, v.26 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Qui, sur les grands chemins, vont, par dévotion, v.27 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Modérer cet excès de circulation, v.28 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Dont l'essor s'étendant jusques aux antipodes, v.29 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Emporte nos écus et rapporte des modes. v.30 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Sans savoir leurs raisons pourquoi les diffamer ? v.31 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Plusieurs motifs bien purs les peuvent animer, v.32 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- On n'en tient compte, on veut d'éclatantes vengeances, v.33 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- On les nomme, tout haut, voleurs de diligences. v.34 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Fi ! Qu'on est impoli. v.35 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Du temps de nos aïeux, v.35 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Chacun restait chez soi, tout en allait bien mieux, v.36 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Deux mille Rouergas ont, dans la capitale, v.37 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Perdu depuis vingt ans leur crasse baptismale : v.38 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Aussi vous voyez bien que tout est subverti ; v.39 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- On fait au nom des lois la guerre au bon parti. v.40 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Jadis, en opposant la coutume aux pandectes, v.41 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- On donnait un bon tour à des causes suspectes, v.42 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Suivant qu'un praticien était plus_ou_moins fort. v.43 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Vraiment c'est un malheur, et les lois ont grand tort v.44 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- D'avoir à la chicane ôté tant de refuges. v.45 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Après tout, vos jurés, ce ne sont point des juges, v.46 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Pour moi, je recevais toujours aveuglément v.47 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Tout ce que prononçaient messieurs du parlement ; v.48 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Mais respecter l'avis que sans façon déclare v.49 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Un quidam comme moi, sans mortier ni simarre ! v.50 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Non : un huissier en robe, un pénitent en sac v.51 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- M'en imposent bien plus que vos jurés en frac ; v.52 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Il faut parler aux yeux, comme disaient nos pères. v.53 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Du roi qui nous gouverne on vante les lumières, v.54 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Mais de philosophie il est fort entiché, v.55 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- À sa maudite charte il est trop attaché, v.56 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et des derniers trente_ans consacrant les désordres, v.57 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- On dit qu'il ne veut pas nous rendre les trois ordres. v.58 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Ces trois ordres, Monsieur, fort à propos cités, v.59 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Aux besoins de leur temps pouvaient être adaptés, v.60 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Le roi n'a pas jugé qu'ils convinssent au nôtre. v.61 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Eh ! Pourquoi du passé se faire ainsi l'apôtre, v.62 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- C'est du présent qu'il faut assurer le repos, v.63 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- En aidant le monarque à guérir tous nos maux. v.64 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Des ordres, donc, laissant la trinité gothique, v.65 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Et, tant soit peu moins haut, prenant la politique, v.66 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Daignez, sans passion, m'expliquer, s'il vous plaît, v.67 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Pourquoi ce grand courroux contre votre préfet. v.68 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Cette école, Monsieur v.69 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Eh bien ! Donc, cette école ? v.69 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Il la faut empêcher ; je porte la parole v.70 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Au nom de gens d'honneur, dignes de tout respect, v.71 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et dont le sentiment ne peut être suspect ; v.72 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- De tous ces novateurs ils craignent les pratiques, v.73 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et cette invention est due aux hérétiques. v.74 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Ces messieurs, aveuglés par leur prévention, v.75 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Ne rendent pas justice à cette invention. v.76 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Si l'argent, si le temps de la classe nombreuse v.77 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Sont par elle épargnés, n'est-elle pas heureuse ? v.78 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Un frère_ignorantin nous apprit autrefois, v.79 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- À peine dans six ans ce qu'on sait en deux mois. v.80 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Monsieur, voilà le mal : si le peuple s'éclaire, v.81 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Il pourra.... Voulez-vous qu'il lise aussi Voltaire ? v.82 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Pourquoi pas ? v.83 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Pourquoi pas ! L'ai-je bien entendu ? v.83 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Quand vous parlez ainsi, Monsieur, tout est perdu ; v.84 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Vous voulez qu'un manant, à sou, denier et maille, v.85 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Calculant ce qu'il doit aux aides, à la taille v.86 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Puisse à son collecteur prouver par A-plus-B, v.87 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Qu'il était dans son droit quand il a regimbé, v.88 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Qu'il lise dans la charte, et sache qu'il est libre ! v.89 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Cela brouille tout ordre et rompt tout équilibre : v.90 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Vous voulez que Pierrot, le fils de mon meunier, v.91 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Pour son bras amputé, devenu chevalier, v.92 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Puisse à tous ses cousins charmés de sa prouesse, v.93 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Faire voir que le Roi lui maintient sa noblesse ! v.94 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Sur les vrais chevaliers que de mauvais propos ! v.95 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Dans la société quel horrible chaos ! v.96 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Nul n'y pourra tenir ; aussi dans son angoisse v.97 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- J'entendais l'autre jour un seigneur de paroisse v.98 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Dire : « Si ceci prend, on me verra dans peu v.99 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- À mon château moi-même aller mettre le feu. « v.100 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Bon, il n'en fera rien. v.101 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Un chef de la parole, v.101 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Que nous verrons briller dans quelque métropole, v.102 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Orateur lauréat du dernier Concordat, v.103 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Du Concordat en poche orateur candidat, v.104 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Trouve cette méthode un fléau plus funeste v.105 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Que la conscription, la vaccine et la peste. v.106 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Bien qu'il ait fait jadis pour la conscription v.107 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Plus d'une pastorale et docte instruction. v.108 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Qui ne sait qu'un prélat doit, dans sa prudhomie, v.109 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Parler selon les temps et par économie ? v.110 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Il va pulvériser dans un beau mandement v.111 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Votre école nouvelle et son enseignement, v.112 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Prouver à ses brebis, par plus d'un paragraphe, v.113 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Que l'on sera damné pour savoir l'orthographe, v.114 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Que les moindres calculs sont des cas réservés. v.115 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Êtes-vous sûr du fait ? v.116 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Monsieur, vous le savez, v.116 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- L'Église dans un temps, en vertus plus fertile, v.117 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Défendait aux Chrétiens de lire l'Évangile. v.118 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Ainsi donc l'homme-Dieu l'apporta vainement, v.119 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Et l'on n'a point pour tous écrit son testament. v.120 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Par soi-même, Monsieur, on ne doit rien connaître, v.121 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Il faut tenir sa foi de la bouche d'un prêtre ; v.122 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- En agir autrement c'est être huguenot, v.123 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et comme eux en enfer on ne fera qu'un saut. v.124 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Laissez faire chacun à son péril et risque ; v.125 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Monsieur, au temps qui court, c'est mal prendre a bisque, v.126 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Que d'exiger des gens qu'ils laissent amortir v.127 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Les clartés que le ciel leur daigna départir. v.128 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Ah ! Vous êtes imbu des maximes modernes, v.129 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Je le vois, vous allez allumer des lanternes, v.130 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Déjà le bruit en court, un profane arrêté v.131 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Va bannir de nos murs leur sainte obscurité. v.132 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Il est prêt, et je vais le signer tout à l'heure. v.133 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Avant moi, plût au ciel qu'on l'eût pris, et je pleure v.134 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Sur l'emploi trop tardif de mon autorité. v.135 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Ô honte! ô de Rodez triste célébrité! v.136 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- De police, peut-être, une simple mesure, v.137 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Un fanal élevé dans une rue obscure, v.138 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Prévenait un forfait ; quel forfait ! Les cheveux v.139 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- S'en dresseront d'horreur au fron[t] nos neveux. v.140 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- La révolution et ses métamorphoses v.141 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Sont cause du fracas que font certaines choses. v.142 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Qu'aux moeurs du bon vieux temps nos bourgeois attachés, v.143 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- À la nuit, sans chandelle, eussent été couchés ; v.144 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Que tout eût été coi, chemins, places publiques, v.145 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- On eût manqué vingt_ans de détails authentiques. v.146 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- C'était, sans sacrements, un chrétien, trépassé ; v.147 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Mais sans éclat du moins tout se serait passé : v.148 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Le coupable est surtout celui qui scandalise, v.149 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- C'est des amis des moeurs l'éternelle devise. v.150 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- D'un docteur révéré j'ai retenu ce trait, v.151 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Que ce n'est point pécher que pécher en secret ; v.152 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Je me suis bien trouvé toujours de la maxime, v.153 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Elle est en grand honneur chez tous ceux que j'estime ; v.154 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Pourquoi vouloir, foulant aux pieds nos anciens us, v.155 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Imiter de Paris les fastueux abus, v.156 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- De notre cathédrale éclairer l'avenue, v.157 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et des Hebdomadiers illuminer la rue ? v.158 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Savez-vous bien, Monsieur, où cela peut aller ? v.159 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Aux prêtres du bas-choeur nature peut parler ; v.160 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Dès avant Saint-Martin jusqu'après Saint-Antoine, v.161 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Vers six heures du soir, du chantre ou du chanoine, v.162 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Fanchon va provoquer un ébat clandestin ; v.163 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Elle n'en sort qu'après six_heures_du_matin ; v.164 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Alors l'Hebdomadier va dormir dans son stalle ; v.165 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Tout s'est fait, Dieu merci, dans l'ombre et sans scandale. v.166 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Mais avec vos quinquets, plus de secret, Monsieur v.167 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et que vont devenir les prêtres du bas-choeur ? v.168 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Et nous, que faire aussi devant vos luminaires ? v.169 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Promener nos moitiés, comme ces militaires v.170 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Qui vont femme et mari sans jamais se quitter ! v.171 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Il est vrai qu'on voit peu la femme coquetter, v.172 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Que l'époux vit pour elle et n'a point de maîtresse. v.173 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Mais jamais l'un ni l'autre ils ne vont à confesse ; v.174 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Or, il faut, pour le bien de la religion, v.175 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Pécher et recourir à l'absolution ; v.176 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- C'est là le grand commerce, et chacun doit mettre ; v.177 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Enfin, voici deux points qu'il ne faut pas permettre v.178 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Je l'annonce à regret, mais je m'en suis chargé v.179 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Pour nos messieurs de l'oeuvre et notre bon clergé : v.180 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Si vous souffrez l'école, avec les réverbères v.181 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Vous n'aurez plus de part, Monsieur, dans nos prières. v.182 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Je vous ai laissé dire et me suis [cornu], v.183 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Cet excès d'impudeur ne m'était pas connu; v.184 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Et j'ai voulu bien voir, de crainte de méprise, v.185 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Jusqu'où, d'un marguillier, peut aller la sottise ; v.186 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Que dis-je ? Êtes-vous né pour être un scélérat ? v.187 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Votre langage, ici, devant un magistrat, v.188 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Au temps que vous vantez, tenu sur les galères, v.189 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Eût fait frémir d'effroi les chiourmes entières ; v.190 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Vous avez épuisé la coupe du poison, v.191 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Et l'esprit de parti trouble voire raison. v.192 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- L'esprit du bon parti ; ce sont nos grands vicaires, v.193 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Qui... v.194 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Vous en imposez, des brigands, des sicaires, v.194 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Les voleurs dont on voit la troupe,au coin d'un bois, v.195 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Des gens que vous prônez imiter les exploits, v.196 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Peuvent seuls professer vos maximes sinistres ; v.197 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Mais ils n'y mêlent point le ciel et ses ministres, v.198 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Et vous mériteriez que, pour vous en punir, v.199 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Publiant les discours que vous osez tenir. v.200 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Oh ! Tant que vous voudrez, publiez, j'en fais gloire. v.201 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
- Non, les honnêtes gens ne voudraient pas y croire, v.202 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Ou bien, s'ils m'en croyaient, enfin, sur mon honneur, v.203 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- À vos propres enfants vous seriez en horreur. v.204 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- De la loi des Chrétiens les préceptes sublimes v.205 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Font des frères partout, nulle part des victimes ; v.206 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Ceux qui les font servir aux fureurs des partis, v.207 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Ou les ont méconnus, ou les ont pervertis. v.208 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Revenez ; s'il se peut, à des pensers plus sages, v.209 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Nos aïeux n'étaient point stupides, ni sauvages ; v.210 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Imitons les vertus qu'on estimait en eux, v.211 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Jetons sur leurs erreurs un voile officieux. v.212 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Dans le coeur des mortels la divine clémence v.213 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- A mis l'horreur du crime et de la violence ; v.214 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- L'esprit des factions tenterait vainement v.215 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- D'arracher de leur sein ce premier sentiment ; v.216 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Et de l'humanité la trace est plus profonde v.217 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Que celle des fureurs qui désolent le monde. v.218 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Je vois jusqu'à quel point l'homme peut s'égarer ; v.219 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Mais dans le bon chemin toujours prêt à rentrer, v.220 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Le tableau réfléchi de son délire extrême, v.221 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Demain, va le forcer à rougir de lui-même ; v.222 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Trop heureux quand du ciel l'invisible secours v.223 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Empêcha, que l'effet ne suivît les discours. v.224 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Il en est temps pour vous, nul trait digne de blâme. v.225 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- N'a produit au grand jour votre morale infâme ; v.226 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Au sentier des vertus qu'on vous vit parcourir, v.227 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Hâtez-vous de rentrer pour ne plus en sortir ; v.228 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Les principes affreux qu'a vomi votre bouche, 1 v.229 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Vous conduiraient au sort des Mandrin, des Cartouche ; v.230 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Mais je suis charitable et vous le prouverai. v.231 (Acte 1, scène 1, LE MAIRE)
- Vous êtes l'antéchrist et je le prêcherai. v.232 (Acte 1, scène 1, LE MARGUILLIER)
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Dans les 1907 textes du corpus, il y a 2 textes (soit une présence dans 0,10 % des textes) dans lesquels il y a 2002 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 1 001,00 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Total |
1 | PIERRE LE GRAND | 322 | 322 | 496 | 273 | 350 | 1763 |
2 | DIALOGUE ENTRE LE MAIRE DE RODEZ ET UN MARGUILLIER | 239 | 0 | 0 | 0 | 0 | 239 |
Total | 561 | 322 | 496 | 273 | 350 | 2002 |