Occurences de l'expression

bien

pour DUMAS, Alexandre

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DON JUAN DE MARANA (1836)

Combien le coeur de l'homme est faible à résister ; v.44 (Acte 1, scène 1, LE BON ANGE)
Eh bien, il a céans un fils qui, je l'espère, v.77 (Acte 1, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
Ou je me trompe fort, ou bien, par lui, la loi v.79 (Acte 1, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
Cela tombe admirablement bien ; car, pendant le dîner, je me suis fiancé à la Juana. (Acte 1, scène 2, DON CHRISTOVAL)
Très bien ! (Acte 1, scène 2, DON MANUEL)
Combien en as-tu ? (Acte 1, scène 2, CROLINA)
Tu oublies que la moitié des biens que tu engages appartiennent à Don Josès. (Acte 1, scène 2, DON CHRISTOVAL)
Eh bien, si j'ai un conseil d'ami à lui donner, à ce frère, c'est de trouve un juif qui lui achète son droit d'aînesse pour un plat de lentilles ; le juif sera volé. (Acte 1, scène 2, DON JUAN)
Eh bien, je crois, Dieu me pardonne ! qu'il est descendu sur la terre. (Acte 1, scène 2, DON JUAN)
Eh bien, mon père, voilà ce dont il est urgent qu'il se repente pour le salut de son âme ; et il se repentira certainement, si un saint homme comme vous lui reproche sa faiblesse pour cet enfant, s'il lui défend de le revoir avant sa mort, et s'il lui présente ce sacrifice comme une expiation de sa faute. (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
À Séville en Andalousie, dans la ville des amours, des sérénades et des fleurs, tandis que son père bien-aimé vous envoie chercher pour se préparer à la mort... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Eh bien, moi, Monseigneur, je ne lui en ai écrit qu'une, mais je suis sûr du messager qui la porte. (Acte 1, scène 4, DOM MORTÈS)
Eh bien, donc, écoute, et retiens bien ce que tu vas entendre... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Je ne veux pas, entends-tu bien, prêtre ? (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Tu tires un parchemin de ta poitrine ; ne mets pas la plume aux mains de mon père, ou, si tu le fais, tu vois bien que c'est toi qui cherches ta destinée, que c'est toi qui vas au-devant du malheur que j'ai voulu éviter... (Acte 1, scène 5, DON JUAN)
Eh bien, le crime est commis, le mauvais ange est libre. (Acte 1, scène 5, DON JUAN)
Elle vient bien pour combattre l'autre. (Acte 1, scène 5, DON JUAN)
Est-ce qu'il souffre bien ? (Acte 1, scène 6, DON JOSÈS)
Oublieux, tu ne te rappelles donc pas combien de fois, enfants tous deux, nous avons écouté avec effroi le bruit du torrent qui roule au pied de ces murs, et dont l'eau parfois semblait se plaindre, comme une âme errante et qui demande des prières ? (Acte 1, scène 6, DON JUAN)
Oui, tu as raison, j'aurais bien besoin de réparer mes forces : il y a trois jours que je marche sans m'arrêter ; il y a vingt-quatre heures que je n'ai rien pris ; mais, si pendant ce temps, mon père... (Acte 1, scène 6, DON JOSÈS)
Eh bien, va donc ! (Acte 1, scène 6, DON JUAN)
De ses vassaux et de ses biens, v.83 (Acte 1, scène 7, LE BON ANGE)
Retiens bien ceci, esclave, afin de ne plus tomber dans la même faute : je suis le fils unique du comte, le seul héritier de sa famille, et quiconque dira que Josès est mon frère en a menti. (Acte 1, scène 8, DON JUAN)
Quand nous nous promènerons au bord de la mer, il faudra bien regarder ! (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Très bien, ma belle maîtresse ! (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Ne vous ennuyez pas trop de nous, bientôt nous viendrons vous remercier. (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Mais sais-tu bien, Paquita, qu'une aventure à peu près pareille m'est arrivée aujourd'hui ? (Acte 2, scène 1, TERESINA)
Bien ! (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Très bien ! (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
J'espère bien que ce jeune seigneur n'y a pas même fait attention, car ce fut un oubli et pas autre chose ; demain, dès le matin, Paquita, tu iras le chercher à la petite porte du parc. (Acte 2, scène 1, TERESINA)
Eh bien, qu'y a-t-il là d'effrayant ? (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
C'est bien lui... (Acte 2, scène 1, TERESINA)
Mais, dès qu'on s'entend, bientôt tout s'arrange, v.137 (Acte 2, scène 1, DON JUAN)
Et souvent le mal vous conduit au bien. v.138 (Acte 2, scène 1, DON JUAN)
C'est bien respectueux. (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Eh bien ? (Acte 2, scène 1, HUSSEIN)
Eh bien, allez dire au comte Don Juan que, ce soir, il est trop tard... (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
C'est bien, c'est bien, c'est bien ! (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Eh bien, Paquita... (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
si je connais bien mes Espagnes, tu es Andalouse ; si je n'ai point oublié ma science des âges, tu as vingt-cinq ans, et, si je sais toujours lire dans les yeux, tu as déjà trahi un mari, trompé deux amants, et perdu trois maîtresses. (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
Eh bien, ce cavalier ? (Acte 2, scène 3, TERESINA)
Mais je m'en suis bien repentie, allez !... (Acte 2, scène 3, PAQUITA)
C'est bien... (Acte 2, scène 3, TERESINA)
Vous ne les avez portés qu'un instant : eh bien, avouez, n'est-ce pas, qu'ils ont bouleversé tout votre être ? (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Oui, oui, je sais bien que la chose est scabreuse, et que peut- être il vaudrait mieux pour mon salut éternel... (Acte 2, scène 6, DON JUAN)
Car je suis bien heureuse de votre retour ! (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Vous faites un amant bien joyeux d'un fils bien triste, Teresina ! (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
Eh bien... (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Eh bien, je suis ta fiancée, n'est-ce pas ? (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Eh bien, Don Josès, appelle le chapelain, qu'à l'instant même il nous unisse... (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Eh bien, ma belle Teresina, allez mettre votre voile blanc, et nous le troquerons contre un manteau de cour ; allez parer votre front virginal d'une branche d'oranger, et nous l'échangerons contre une couronne de comtesse. (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
Eh bien, j'aime ta fiancée, Don Josès. (Acte 2, scène 9, DON JUAN)
Je dis qu'un aventurier peut bien se glisser dans le sein d'une famille, ou dans le coeur d'une femme, escroquer un titre ou voler un amour... (Acte 2, scène 9, DON JUAN)
Eh bien, tu te trompais. (Acte 2, scène 10, DON JUAN)
Eh bien, cet homme, c'était un vassal et un serf, et voilà tout. (Acte 2, scène 10, DON JUAN)
C'est bien. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Eh bien, il faut que votre père le signe. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Eh bien, après, ton père signera, mort, ce qu'il aurait dû signer vivant ; et alors, Monseigneur, vous serez le fils légitime du comte de Marana, l'ami de votre frère, le maître de ses biens et de ses vassaux. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Après, eh bien, vous serez ce qu'il est, et vous lui ferez ce qu'il vous a fait, ou autre chose. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
À mon tour, aujourd'hui, bienheureuse Marie, v.219 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
C'est bien, voici venir au ciel une âme que la terre v.287 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Si bien... (Acte 3, scène 1, DON PEDRO)
Si bien que j'ai deux pères, n'est-ce pas, Pedrillo : l'un qui s'appelle Don Carlos d'Ojedo, et qui prie au ciel, et l'autre qui se nomme Monseigneur Satan, et qui rôtit en enfer ?... (Acte 3, scène 2, SANDOVAL)
Eh bien, Pedro, que dis-tu maintenant de cette histoire ? (Acte 3, scène 3, SANDOVAL)
Eh bien, cette histoire n'est rien près de l'aventure qui vient d'arriver à Don Juan. (Acte 3, scène 3, SANDOVAL)
Mais le fumeur préféra allonger le bras, et l'allongea si bien, que le bras traversa le Mançanarès, et vint présenter son cigare à Don Juan1. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Très bien... (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Si fait, par Notre-Dame, c'est bien la sienne ! (Acte 3, scène , INÈS)
Mais, écoutez, je ne comprends pas bien encore ; expliquez-moi tout cela. (Acte 3, scène , IN?S)
Voilà bien sa signature, la même qu'il ose mettre au bas de la première lettre où il me dit : « Doña Inès, vous êtes belle ; Doña-Inès, je vous aime. (Acte 3, scène , INÈS)
Et c'est celui-là, le même, le seul pour qui j'eusse dû demeurer sacrée, qui me joue, qui me perd, qui me livre, et c'est bien vrai tout cela, vrai sur l'honneur d'un Espagnol, vrai sur la foi d'un gentilhomme ? (Acte 3, scène , IN?S)
Bien, ma Chimène. (Acte 3, scène , DON JUAN)
c'est bien ; mais vous qui m'avez achetée, vous ne saviez sans doute pas que j'avais fait un serment ? (Acte 3, scène , INÈS)
Vous voyez donc bien qu'il faut qu'il meure pour que je puisse être à vous. (Acte 3, scène , INÈS)
C'est bien vrai, au moins, ce que vous m'avez dit ? (Acte 3, scène , INÈS)
c'est bien infâme de me traiter ainsi, comme on fait d'une courtisane que l'on donne quand on n'en veut plus... (Acte 3, scène 7, INÈS)
Bien, notre hôte, merci ! (Acte 3, scène 7, IN?S)
Car c'est bien lui ! (Acte 3, scène 9, DON JUAN)
Eh bien, tant mieux ! (Acte 3, scène 9, DON JUAN)
Eh bien, Sandoval ?... (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
Eh bien, qu'y a-t-il, mon amour ? (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
C'est bien. (Acte 11, scène 1, DON JOSÈS)
Il fallait que le roi Ferdinand fût bien fou pour envoyer chercher au Mexique ce qu'il pouvait trouver en grattant cette noble terre d'Espagne. (Acte 11, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
Mais vous savez ce qui est arrivé, mon père ; eh bien, s'il est vrai que vous ayez aimé ma mère d'un amour conjugal ; s'il est vrai qu'elle fut toujours pure et que je suis votre fils aîné ; s'il est vrai qu'au moment de mourir vous vouliez me reconnaître pour l'héritier de votre nom ; si ce parchemin que je vous apporte est l'expression de votre volonté ; s'il est écrit de votre main, s'il est scellé de votre sceau, s'il n'y manque que votre signature, si la mort seule a fait tomber la plume de vos doigts, par l'amour de l'amant, par l'honneur du chevalier, par le coeur du père, je vous adjure, entendez-vous ? (Acte 11, scène 2, DON JOSÈS)
votre fils bien-aimé sur le sein duquel vous avez rendu le dernier soupir ; votre fils au désespoir vous adjure de demander à Dieu, comme unique récompense de votre noble vie, qu'il délie les chaînes glacées qui vous attachent au cercueil, afin que vous vous souleviez sur votre tombe, et mettiez votre signature au bas de cet acte. (Acte 11, scène 2, DON JOS?S)
Eh bien, vous ne m'attendez pas, Monseigneur ? (Acte 11, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Je l'ai appris d'une personne qui vous était bien chère ; et, comme sa voix mourante n'aurait pu le répéter une seconde fois, je l'ai retenu à la première. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Hélas, la mort a été bien vite jalouse de la vie ; et la tombe s'est lassée d'attendre !... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
« Don Juan, m'a-t-elle dit, allez trouver ma soeur au couvent de Notre-Dame du Rosaire ; dites-lui qu'un cavalier m'avait insultée, et que vous m'avez vengée ; mais ajoutez que je n'ai pas voulu survivre à cette insulte, et annoncez-lui qu'elle est maintenant la seule héritière de mon bien et de mon titre. » (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
... que, si jamais elle n'a soupiré en enfermant un corps si merveilleux sous une robe de bure ; que, si jamais elle n'a pleuré l'heure solennelle où ses blonds cheveux sont tombés sous le ciseau du prêtre ; alors, dites-lui qu'elle lègue ses biens au couvent, et qu'elle y reste à prier pour mon âme. » (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Eh bien, Marthe, au nom de votre soeur, votre frère vous interroge ; voyons. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Et, parmi ces visions bizarres, ne passe-t-il point parfois un jeune cavalier qui s'approche de vous et qui vous dit : « Marthe, ma bien-aimée, je t'ai vue depuis que ma jeunesse a des songes d'amour... (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Mais c'est bien cela ! (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Si vous ne me devinez pas, je suis bien malheureux. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
La bien-aimée de mon coeur, la voilà !... (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Eh bien, écoutez, écoutez à votre tour, et que Dieu me pardonne ; si je fais mal, je l'ignore... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Je ne vous avais jamais rencontré avant aujourd'hui, non, j'en suis sûre ; eh bien, cependant je vous ai reconnu ; il m'a semblé vous avoir vu déjà dans un autre monde, sinon dans celui-ci... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Eh bien, il m'a semblé que c'était un nom familier à mon coeur, il m'a semblé que je l'avais prononcé déjà... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Est-ce une erreur ou bien ai-je réellement entendu ? (Acte 4, scène 4, DON JUAN)
J'en aurai bientôt assez pour me faire une couronne, s'ils ne me rattrapent pas. (Acte 5, scène 3, MARTHE)
Les fleurs poussent bien sur les tombes... (Acte 5, scène 3, MARTHE)
Je suis un être bien fatal aux autres et à moi-même ; tout ce que je touche se brise ou se flétrit ; et ceux à qui je n'ôte pas la vie perdent la raison. (Acte 5, scène 3, DON JUAN)
Sois le bienvenu ! (Acte 5, scène 4, DON JUAN)
Tu vois bien que je suis venu pour me battre avec toi et qu'il faut que nous nous battions... (Acte 5, scène 4, DON JOSÈS)
Je saurai bien t'y forcer... (Acte 5, scène 4, DON JOSÈS)
Ou bien des trésors de l'amour. v.337 (Acte 6, scène 1, UN ANGE)
Eh bien, ma soeur ? (Acte 6, scène 1, URSULE)
Eh bien, j'accepte. (Acte 6, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Il est, ma foi, bien heureux que son nom n'ait eu que deux syllabes. (Acte 6, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Ma bien-aimée !... (Acte 6, scène 4, DON JUAN)
Allons, ma bien-aimée, l'amour, le bonheur, l'avenir, tout est à nous !... (Acte 6, scène 4, DON JUAN)
Eh bien ? (Acte 6, scène 4, DON JUAN)
suis-je bien éveillé, voyons, et ce qui m'entoure a-t-il un corps ou n'est ce qu'une ombre ? (Acte 7, scène 3, DON JUAN)
Eh bien, va la chercher, et reviens. (Acte 7, scène 3, DON JUAN)

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Dans les 1907 textes du corpus, il y a 1 textes (soit une présence dans 0,05 % des textes) dans lesquels il y a 114 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 114,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 11	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Acte 7	Total
1	DON JUAN DE MARANA	19	34	20	5	13	6	6	2	105
2	DON JUAN DE MARANA	4	4	0	0	0	0	1	0	9
	Total	23	38	20	5	13	6	7	2	114