Occurences de l'expression

tes

pour DUMAS, Alexandre

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DON JUAN DE MARANA (1836)

Dites ce qu'il vous plaît qu'il advienne de lui. » v.36 (Acte 1, scène 1, LE BON ANGE)
« Seigneur, Seigneur, Seigneur, faites que le maudit v.40 (Acte 1, scène 1, LE BON ANGE)
Et mon oeil a saigné ses plus sanglantes larmes. v.74 (Acte 1, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
Et pourquoi me quittes-tu, infidèle ? (Acte 1, scène 2, DON CHRISTOVAL)
Parce que, depuis trois jours que nous nous connaissons, il y en a deux que je ne t'aime plus, et un que je te déteste. (Acte 1, scène 2, CAROLINA)
Mais, comme tu n'es que comte, je me contenterai d'un de tes châteaux. (Acte 1, scène 2, CROLINA)
Allons, Don Juan, il ne s'agit plus de séduire une jolie femme ou de combattre un brave cavalier ; plus de paroles dorées, plus de bottes secrètes : tu as affaire à un prêtre, parle-lui la sainte langue de l'Église. (Acte 1, scène 3, DON JUAN)
Vous êtes un digne serviteur de Dieu, mon père, toujours prompt à la prière et à la consolation. (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
N'avez-vous pas quelques minutes à me consacrer, mon père ? (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Certes ; mais il n'a pas toujours suivi les commandements de Dieu, comme aurait dû le faire un bon catholique. (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Parce que, comme un païen et un hérétique qu'il est, il dissiperait les richesses des Marana en des jeux de cartes et de dés, au lieu d'en doter de saints couvents, comme je le ferais, moi... en orgies avec de jeunes étudiants, au lieu de donner une châsse d'argent à Saint-Jacques de Compostelle, et une chape d'or à Notre-Dame del Pilar, comme je le ferais, moi... enfin, en débauches avec de belles courtisanes du démon, au lieu de récompenser largement les saints hommes qui se dévouent au salut et à la consolation des mourants, comme je ferais encore, moi... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Il vous les a dites ?... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Et tu as ainsi quitté Séville, tes amours enchantées, ta belle Teresina ? (Acte 1, scène 6, DON JUAN)
Et que tes trésors soient les siens. v.86 (Acte 1, scène 7, LE BON ANGE)
Depuis longtemps lasse tes yeux. v.89 (Acte 1, scène 7, LE MAUVAIS ANGE)
Exprès pour tes plaisirs semble l'avoir choisie, v.112 (Acte 1, scène 7, LE MAUVAIS ANGE)
Vous êtes folle, Paquita. (Acte 2, scène 1, TERESINA)
Certes ! (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
La plus jolie de toutes, la langue de l'amour. (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Vous êtes à la promenade, un jeune seigneur passe et vous salue ; s'il ne vous convient pas, vous regardez dédaigneusement les dessins ; cela veut dire clairement : « Passez au large, mon beau seigneur, car vous n'obtiendrez rien de nous. » (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Alors, comme vous ne pouvez pas tout de suite lui rendre son salut, vous vous couvrez la figure ainsi, comme si vous ne vouliez pas le voir, et vous le regardez à travers les branches ; cela signifie : « Vous êtes assez de notre goût, mon gentilhomme, et, si votre naissance et votre fortune répondent à votre tournure, on aura peut-être la faiblesse de vous aimer. » (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Le gentilhomme comprend cela comme si une duègne venait de le lui dire à l'oreille ; dix minutes après, il repasse, et trouve que la señora, en partant, a oublié son éventail sur sa chaise ; il s'approche de l'éventail, le prend, le porte à ses lèvres, et l'éventail lui dit : « Ma maîtresse ne vous voit pas avec indifférence ; rapportez-moi chez elle, car elle serait désolée de me perdre. » (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
En effet, dix minutes après, on entend des pas dans le corridor ; c'est un page qui annonce le seigneur Don Ramire Mendoce ou Don Alphonse, c'est notre gentilhomme. » (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Il entre ; vous examinez son costume, pour voir s'il est riche et de bon goût ; vous regardez son page, pour voir s'il a une livrée ; vous jetez un coup d'oeil sur sa litière, pour voir si elle a des armoiries ; et, s'il est beau, s'il est riche, s'il est noble, vous lui dites : « Je veux trois choses », et il vous les donne !... (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Dites-moi comment finir cette affaire : v.133 (Acte 2, scène 1, DON JUAN)
Vous êtes sorcier, Monseigneur ! (Acte 2, scène 2, PAQUITA)
« Une fleur dans tes cheveux », me dit Don Josès. (Acte 2, scène 4, TERESINA)
Le trésor de tes cheveux. v.152 (Acte 2, scène 4, LE MAUVAIS ANGE)
Vous êtes ma souve raine, et je suis votre esclave ; vous m'avez appelé, je suis venu... (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Vous vous êtes assise sous l'arbre de l'orgueil, Teresina, vous vous êtes endormie sous son ombre : c'est celle du mancenillier. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
N'est-ce pas que vous avez entrevu Madrid, la ville royale, avec ses sérénades, ses fêtes, ses bals, ses spectacles, ses courses au Prado ? (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Vous étiez la plus belle de ces femmes, et toutes les femmes étaient jalouses. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Je vous aime comme jamais je n'aimai aucune femme, comme jamais vous ne fûtes aimée d'aucun homme. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Tu as cinq minutes pour te décider. (Acte 2, scène 6, DON JUAN)
Laisse-moi te guider par des routes nouvelles, v.180 (Acte 2, scène 6, LE BON ANGE)
Si tes pieds sont las du chemin. v.182 (Acte 2, scène 6, LE BON ANGE)
Vers ce ciel dont toujours les portes s'ouvriront ? v.191 (Acte 2, scène 6, LE MAUVAIS ANGE)
Quand sur ton front ridé tes cheveux blanchiront. v.194 (Acte 2, scène 6, LE MAUVAIS ANGE)
Vous faites un amant bien joyeux d'un fils bien triste, Teresina ! (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
À peine eus-je scellé la porte du tombeau sur le corps de mon noble père, qu'une voix surhumaine murmura votre nom à mon oreille avec des sons d'une tristesse étrange ; je crus que le bon ange de notre famille venait m'avertir que vous couriez quelque danger... (Acte 2, scène 8, DON JOS?S)
Merci, vous ne vous êtes pas trompé, Don Josès ; la voix vous disait vrai, et votre retour m'a sauvée ! (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Il faut que ces bijoux soient enchantés, car à peine ont-ils été sur mon front, sur mon cou, qu'un nuage a passé sur mes yeux, que toutes mes idées ont été perdues, qu'une voix est venue bruire à mon oreille, me parlant de titres, de richesses, de triomphes. (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Il n'y a qu'un homme dans toutes les Espagnes à qui Satan ait accordé ce pouvoir, Teresina... (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
Teresina, vous êtes un ange... (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
Savais-je, moi, que toutes ces vanités humaines pouvaient ajouter à ton bonheur ? (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
Eh bien, ma belle Teresina, allez mettre votre voile blanc, et nous le troquerons contre un manteau de cour ; allez parer votre front virginal d'une branche d'oranger, et nous l'échangerons contre une couronne de comtesse. (Acte 2, scène 8, DON JOS?S)
Vous êtes bon, Monseigneur ! (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Tu as oublié de m'inviter à tes fiançailles, Don Josès... (Acte 2, scène 9, DON JUAN)
Ce serait un miracle à mettre toutes les Espagnes en joie ! (Acte 2, scène 9, DON JUAN)
Ne compare pas les tempêtes des fleuves à celles de l'Océan ! (Acte 2, scène 9, DON JUAN)
Ouvre-moi ces portes ; donne-moi une épée, un poignard, une arme quelconque, et mène-moi sur le chemin où il doit passer. (Acte 2, scène 14, DON JOSÈS)
Mais n'importe : ordonne à ces portes de s'ouvrir, et marche devant, je te suis. (Acte 2, scène 14, DON JOSÈS)
Parlez ; car mes regards, parmi ces blondes têtes v.223 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Vous cherchèrent souvent., Je vous connais : vous êtes v.225 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Dites, que pouvons-Nous ? v.228 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Mais, comme vous savez qu'aux voûtes éternelles, v.263 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Tes pieds ne peuvent plus te porter au supplice ? v.285 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Allez, vous n'êtes plus rien qu'une pauvre femme, v.299 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Décidément, depuis le Cid, il n'y a eu qu'un homme dans toutes les Espagnes, et cet homme est Don Luis-de-Sandoval d'Ojedo. (Acte 3, scène 1, DON FABRIQUE)
Certes ; mais vous oubliez de dire de qui il est fils... (Acte 3, scène 1, DON PEDRO)
Je vais donner une sérénade à Doña-Inès, Comtesse_d'Almeida ; s'il y a quelqu'un à Madrid à qui cela déplaise, il me trouvera sous ses fenêtres. (Acte 3, scène 2, SANDOVAL)
Vous êtes dans l'erreur, mon maître : il en avait vidé quatre. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Vous êtes étranger, sans doute ? (Acte 3, scène 3, DON PEDRO)
Vous êtes assis à cette place... (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Et vous vous êtes assis à la place de Don Luis-de-Sandoval, sachant qu'elle était à Don Luis-de-Sandoval ?... (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Alors, vous êtes Don Juan de Marana. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
D'un côté, les femmes séduites ? (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Le loup est entré dans le bercail, c'est vrai ; mais il a laissé échapper la plus belle et la plus tendre de toutes les brebis. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Gomez, des cartes ! (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Êtes-vous déjà las de celui-ci ? (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Doña Inès, comtesse d'Almeida. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Vous êtes fou, Don Juan ! (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Gomez, des cartes ! (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Voici les cartes. (Acte 3, scène 4, GOMEZ)
Henriquez, donnez les cartes ! (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Faites porter cette lettre à Doña-Inès, comtesse_d'Almeida, place Mayor. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Que lui dites-vous ? (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Qu'un accident m'empêche d'aller chez elle et que je l'attends ici ; les dettes de jeu se payent dans les vingt-quatre heures. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Maintenant, seigneur Don Juan, écoutez un avis qu'il est de mon honneur de vous donner : Doña-Inès, Comtesse_d'Almeida, est une véritable Espagnole, hautaine et jalouse, portant toujours un poignard de Tolède à sa jarretière, et une fiole de poison à sa ceinture ; gardez-vous de l'un et de l'autre. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Messieurs, vous attesterez que je le lui ai vendu. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Vous êtes un magnifique seigneur, Don Luis. (Acte 3, scène 4, DON FABRIQUE)
Don Juan, je commence à croire que vous serez aussi heureux à l'épée que vous l'avez été aux cartes et aux dés. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
vous êtes vraiment un noble cavalier, et nous surveillerons Doña-Inès. (Acte 3, scène 5, DON JUAN)
Qui êtes-vous ? (Acte 3, scène , INÈS)
Ne fait-il pas, dites-moi, un magnifique temps de promenade ? (Acte 3, scène , DON JUAN)
Voilà bien sa signature, la même qu'il ose mettre au bas de la première lettre où il me dit : « Doña Inès, vous êtes belle ; Doña-Inès, je vous aime. (Acte 3, scène , INÈS)
Vous êtes noble ? (Acte 3, scène , INÈS)
Vous êtes brave ? (Acte 3, scène , INÈS)
Fermez les yeux, sainte mère du Christ, vous qui n'êtes qu'indulgence et charité, car une oeuvre de vengeance va s'accomplir. (Acte 3, scène 7, INÈS)
Vous êtes libre, Inès !... (Acte 3, scène 8, DON JUAN)
et vous êtes une noble Espagnole, et vous êtes belle, et je vous aime ! (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
Vous avez raison, la vie est si étrangement courte, qu'il faut mettre à profit ses heures, ses minutes, ses secondes... (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
Mais c'est chose rare que ces amours juvéniles et transparentes, et nul ne peut dire, en voyant sourire une femme, que cet amour est exempt de perfidie... (Acte 3, scène 10, )
C'était un homme d'un grand sens que Sandoval ; qu'en dites-vous, Madame ? (Acte 3, scène 10, )
Et celui que tu apportes dans cette bouteille ? (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
Oui, dites à ma soeur, qui est une sainte fille du couvent de Notre-Dame du Rosaire, qu'elle ait à prier pour l'âme d'une pécheresse. (Acte 3, scène 10, INÈS)
J'étais embarrassé de trouver un prétexte pour entrer dans une de ces saintes maisons, et vous me le donnez... (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
« Don Juan, m'a-t-elle dit, allez trouver ma soeur au couvent de Notre-Dame du Rosaire ; dites-lui qu'un cavalier m'avait insultée, et que vous m'avez vengée ; mais ajoutez que je n'ai pas voulu survivre à cette insulte, et annoncez-lui qu'elle est maintenant la seule héritière de mon bien et de mon titre. » (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Non pas lorsqu'elles sortent de la bouche mourante d'une soeur, et j'atteste son âme, qui nous écoute, que je répète ici ses dernières volontés. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Elle me dit donc : « Don Juan, vous êtes un cavalier loyal, un ami sincère, un homme pieux, incapable d'égarer une jeune âme comme celle de ma soeur ; dites-lui donc en mon nom que, si elle se sent une vocation réelle pour la vie monastique... (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
... que, si jamais elle n'a soupiré en enfermant un corps si merveilleux sous une robe de bure ; que, si jamais elle n'a pleuré l'heure solennelle où ses blonds cheveux sont tombés sous le ciseau du prêtre ; alors, dites-lui qu'elle lègue ses biens au couvent, et qu'elle y reste à prier pour mon âme. » (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
« Mais que, si, au contraire, le monde qu'elle a quitté lui est resté présent avec toutes ses promesses, tous ses enchantements, tous ses délices ; que, si son cloître lui paraît désert, sa cellule étroite, sa vie désenchantée, elle vous confie, à vous, mon ami, qui êtes instruit en matière de religion, ses ennuis, ses doutes, son espoir ; alors vous la conseillerez, n'est-ce pas ? » (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Ces paroles étranges, c'est la voix du monde qui vous appelle ; elle vous dit : « Marthe, on m'a calomnié à tes yeux ; je ne suis point tel que l'on m'a peint à toi, plein de séductions trompeuses et infernales ; je ne suis point le chemin de perdition qui conduit au royaume de Satan : je suis un jardin de délices où la beauté est reine et commande. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
tes yeux se sont illuminés du feu de ton âme ; tes longs cheveux ont repoussé sous ta coiffe de religieuse ; ta taille d'enfant s'est développée sous la robe sainte ; à défaut de miroir, l'eau de la fontaine t'a dit que tu étais belle. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Par quelle magie devinez-vous ainsi mes plus secrètes pensées ?... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Certes, je ne connaissais aucun homme de ce nom !... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
D'ailleurs, vous avez contracté certain engagement avec moi, et vous êtes morte sans l'acquitter... (Acte 4, scène 4, DON JUAN)
Vous m'avez aidé en bonne chrétienne, je ne l'oublierai pas, et maintenant je vous dois, non-seulement des prières, mais encore des remerciements, et, si je savais laquelle parmi toutes ces tombes est la vôtre... (Acte 4, scène 4, DON JUAN)
Écoute, femme ou statue, ange ou démon, voix du ciel ou de l'enfer, parle une seconde fois, et je jure Dieu que j'irai lever ton voile de marbre, afin de savoir de quelle bouche sont sorties tes paroles. (Acte 4, scène 4, DON JUAN)
Don Juan, où êtes-vous ? (Acte 4, scène 5, MARTHE)
Que faites-vous ici ? (Acte 5, scène 1, DON SANCHEZ)
En attendant, crois, espère et prie ; c'est avec ces trois mots qu'on ouvre les portes du ciel. (Acte 5, scène 1, DON SANCHEZ)
Le beau jardin, et comme les marguerites y poussent ! (Acte 5, scène 3, MARTHE)
Elle revient toutes les nuits ; car, quoique son corps ait été déposé en terre sainte, son âme est errante ; elle aussi, elle chante comme les oiseaux qui s'éveillent, mais tristement, tristement, tristement. (Acte 5, scène 3, MARTHE)
Allons, voilà que j'ai perdu mes fleurs (se relevant) ; il faut que j'en cherche d'autres, maintenant ; j'ai cueilli toutes celles qui sont ici. (Acte 5, scène 3, MARTHE)
C'est celui que j'arrachai aux mains mourantes de Don Mortès... (Acte 5, scène 4, DON JUAN)
Me rendra-t-il mon bonheur brisé entre tes mains ?... (Acte 5, scène 4, DON JOSÈS)
Tu m'as fait battre de verges par tes valets. (Acte 5, scène 4, DON JOSÈS)
Et vous vous êtes sauvée ; vous avez quitté le couvent, vous avez erré par les plaines et par les montagnes, exposée à la chaleur du jour, au vent de la nuit... (Acte 6, scène 1, URSULE)
Courez, je vous prie, chercher notre saint directeur, et dites-lui qu'une mourante réclame son ministère. (Acte 6, scène 1, MARTHE)
Marthe, tu as encore cinq minutes à vivre. (Acte 6, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Qu'importe, si tu ressuscites quand il y sera entré ? (Acte 6, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
En m'offrant pour remplir cette sainte tâche, j'ai plus compté sur mon zèle que sur mes mérites ; Dieu m'aidera. (Acte 6, scène 3, DON JUAN)
À qui t'adresser, maintenant que tes péchés t'ont brouillé avec Dieu, et tes remords avec Satan ?... (Acte 6, scène 4, DON JUAN)
En tout cas, s'il a fait preuve de vitesse dans la route, il me semble avoir manqué de jugement pour le choix de l'auberge... (Acte 7, scène 1, DON JUAN)
Puis il faut que nous changions de costume : nous ne passerons pas toujours par des montagnes nues et des landes désertes, et, si nous ne voulons pas être reconnus et arrêtés, il faut troquer ces habits religieux contre d'autres, quels qu'ils soient... (Acte 7, scène 1, DON JUAN)
Faites luire à votre front pâle v.352 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
L'heure marquée est minuit moins cinq minutes. (Acte 7, scène 3, DON JUAN)
Tu n'es qu'ébloui, Don Juan : tes yeux vont se rouvrir pour l'Éternité ! (Acte 7, scène 4, MARTHE)

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Dans les 1907 textes du corpus, il y a 1 textes (soit une présence dans 0,05 % des textes) dans lesquels il y a 129 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 129,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 11	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Acte 7	Total
1	DON JUAN DE MARANA	10	30	39	0	13	8	6	4	110
2	DON JUAN DE MARANA	6	12	0	0	0	0	0	1	19
	Total	16	42	39	0	13	8	6	5	129