Occurences de l'expression

naissance

pour MOLIERE

Options de recherche : partie de mot et  insensible à la casse

SGANARELLE (1663)

  1. Il était en des mains de votre connaissance, v.282 (Acte 1, scène 9, SGANARELLE)
  2. Et comme des parents le bien et la naissance v.642 (Acte 1, scène 24, VILLEBREQUIN)

PSYCHÉ (1673)

  1. L'honneur de notre sexe, et de notre naissance. v.293 (Acte 2, scène 1, CIDIPPE)
  2. N'ayant ni beauté, ni naissance v.393 (Acte 2, scène 3, AGLAURE)
  3. Par cent combats d'estime et de reconnaissance. v.406 (Acte 2, scène 3, CLÉOMÈNE)
  4. De l'amitié, de la reconnaissance, v.1055 (Acte 4, scène 3, PSYCHÉ)
  5. Que vous me devez la naissance. v.1880 (Acte 6, scène 5, VÉNUS)
  6. Ne me vantez donc plus ces droits de la naissance v.1890 (Acte 6, scène 5, L'AMOUR)
  7. Songez en me voyant à la reconnaissance, v.1893 (Acte 6, scène 5, L'AMOUR)

LA PRINCESSE D'ÉLIDE (1665)

  1. Si ton coeur demeure insensible, je n'entreprendrai point de le forcer : mais au moins sois complaisante aux civilités qu'on te rend, et ne m'oblige point à faire les excuses de ta froideur : traite ces princes avec l'estime que tu leur dois, reçois avec reconnaissance les témoignages de leur zèle, et viens voir cette course où leur adresse va paraître. (Acte 4, scène 4, IPHITAS)
  2. Parle-lui de moi dans tes entretiens, vante-lui adroitement ma personne, et les avantages de ma naissance, et tâche d'ébranler ses sentiments par la douceur de quelque espoir. (Acte 6, scène 5, LA PRINCESSE)

L'ÉCOLE DES MARIS (1661)

  1. Et quoiqu'un même sang nous ait donné naissance ; v.140 (Acte 1, scène 2, LÉONOR)
  2. Et tâcher de lier avec lui connaissance. v.268 (Acte 1, scène 3, VALERE)
  3. Que de notre Dauphin prépare la naissance ? v.296 (Acte 1, scène 3, VALERE)

LE DÉPIT AMOUREUX (1663)

  1. Qui veut de leurs secrets ôter la connaissance. v.310 (Acte 1, scène 4, MASCARILLE)
  2. Avec celle de qui vous tenez la naissance. v.392 (Acte 2, scène 1, FROSINE)
  3. Ni qu'il ait de mon sort la moindre connaissance. v.420 (Acte 2, scène 1, ASCAGNE)
  4. Son intérêt détruit me laisse à ma naissance ; v.1150 (Acte 4, scène 1, ASCAGNE)

LE TARTUFFE (1669)

  1. Ne doit point tant prôner son nom et sa naissance ; v.498 (Acte 2, scène 2, DORINE)
  2. Relâchez-vous un peu des droits de la naissance, v.1281 (Acte 4, scène 3, MARIANE)
  3. Étouffe dans mon coeur toute reconnaissance ; v.1882 (Acte 5, scène 7, TARTUFFE)

LES FÂCHEUX (1662)

  1. J'ai le bien, la naissance, et quelque emploi passable, v.221 (Acte 1, scène 3, LISANDRE)
  2. Des pinces de mon cerf, et de ses connaissances ; v.602 (Acte 2, scène 6, DORANTE)

LES FEMMES SAVANTES (1672)

  1. De lui donner l'honneur de votre connaissance. v.962 (Acte 3, scène 3, TRISSOTIN)
  2. De vous insinuer les belles connaissances ; v.1102 (Acte 3, scène 4, PHILAMINTE)
  3. Et ce service est sûr de ma reconnaissance. v.1458 (Acte 4, scène 4, CLITANDRE)

L'AVARE (1669)

  1. Mon coeur, pour sa défense, a tout votre mérite, appuyé du secours d'une reconnaissance où le Ciel m'engage envers vous. (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
  2. Tout est renfermé là dedans, et sans dot tient lieu de beauté, de jeunesse, de naissance, d'honneur, de sagesse et de probité. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
  3. Il n'est point de service qui pousse sa reconnaissance jusqu'à lui faire ouvrir les mains. (Acte 2, scène 4, LA FLÈCHE)
  4. Sois assurée, Frosine, de ma reconnaissance, si tu viens à bout de la chose : mais, charmante Mariane, commençons, je vous prie, par gagner votre mère ; c'est toujours beaucoup faire que de rompre ce mariage. (Acte 4, scène 1, CLÉANTE)
  5. Sachez que j'ai le coeur trop bon pour me parer de quelque chose qui ne soit point à moi, et que tout Naples peut rendre témoignage de ma naissance. (Acte 5, scène 5, VALÈRE)

LE MISANTHROPE (1667)

  1. Et l'on veut assoupir la chose, en sa naissance. v.757 (Acte 2, scène 6, PHILINTE)
  2. Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, v.1428 (Acte 4, scène 3, ALCESTE)
  3. Du fond de ce mystère ; avoir la connaissance. v.1470 (Acte 4, scène 4, DUBOIS)

L'ÉCOLE DES FEMMES (1663)

  1. N'ait à me reprocher aucun bien, ni naissance. v.128 (Acte 1, scène 1, ARNOLPHE)

LA JALOUSIE DU BARBOUILLÉ (1650)

  1. 2° Parce qu'il y a deux facultés nécessaires pour la parfaite connaissance de toutes choses : le sens et l'entendement ; et comme je suis tout sens et tout entendement, je suis deux fois docteur. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
  2. 5° Parce qu'il y a cinq universelles : le genre, l'espèce, la différence, le propre et l'accident, sans la connaissance desquels il est impossible de faire aucun bon raisonnement ; et comme je m'en sers avec avantage, et que j'en connais l'utilité, je suis cinq fois docteur. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
  3. 7° Parce que le nombre de sept est le nombre de la félicité ; et comme je possède une parfaite connaissance de tout ce qui peut rendre heureux, et que je le suis en effet par mes talents, je me sens obligé de dire de moi-même : O ter quatuorque beatum ! (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)

LE MÉDECIN VOLANT (1659)

  1. Monsieur, après ce que m'a dit Monsieur Gorgibus de votre mérite et de votre savoir, j'ai eu la plus grande passion du monde d'avoir l'honneur de votre connaissance, et j'ai pris la liberté de vous saluer à ce dessein : je crois que vous ne le trouverez pas mauvais. (Acte 1, scène 8, AVOCAT)
  2. Il faut avouer que tous ceux qui excellent en quelque science sont dignes de grande louange, et particulièrement ceux qui font profession de la médecine, tant à cause de son utilité, que parce qu'elle contient en elle plusieurs autres sciences, ce qui rend sa parfaite connaissance fort difficile ; et c'est fort à propos qu'Hippocrate dit dans son premier aphorisme : Vita brevis, ars vero longa, occasio autem praeceps, experimentum periculosum, judicium difficile. (Acte 1, scène 8, AVOCAT)
  3. Il faut que vous sachiez qu'étant dans son cabinet, j'ai répandu deux fioles d'essence qui étaient sur le bout de sa table ; aussitôt il s'est mis dans une colère si étrange contre moi, qu'il m'a mis hors du logis, et ne me veut plus jamais voir, tellement que je suis un pauvre garçon à présent sans appui, sans support, sans aucune connaissance. (Acte 1, scène 11, SGANARELLE)
  4. Écoutez un mot, s'il vous plaît : il est vrai que c'est par mon invention que mon maître est avec votre fille ; mais en le servant, je ne vous ai point désobligé : c'est un parti sortable pour elle, tant pour la naissance que pour les biens. (Acte 1, scène 15, SGANARELLE)

L'ÉTOURDI (1663)

  1. Je vois pour sa naissance un noble témoignage, v.28 (Acte 1, scène 2, LÉLIE)
  2. Et de cette action nul n'aura connaissance. v.772 (Acte 2, scène 7, MASCARILLE)
  3. Que tu seras content de ma reconnaissance, v.1260 (Acte 4, scène 1, LÉLIE)
  4. Avait si faussement divulgué la naissance ; v.1272 (Acte 4, scène 1, MASCARILLE)
  5. Andrès pour son partage a la reconnaissance, v.1876 (Acte 5, scène 7, CÉLIE)

LE MARIAGE FORCÉ (1668)

  1. Hé, dites-moi un peu, s'il vous plaît : combien aviez-vous d'années lorsque nous fîmes connaissance ? (Acte 1, scène 1, GERONIMO)

LE BOURGEOIS GENTILHOMME (1673)

  1. Pour bien suivre votre pensée et traiter cette matière en philosophe, il faut commencer selon l'ordre des choses, par une exacte connaissance de la nature des lettres, et de la différente manière de les prononcer toutes. (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE)

DON GARCIE DE NAVARRE (1682)

  1. Même éclat de vertus, joint à même naissance, v.7 (Acte 1, scène 1, DONA ELVIRE)
  2. Et plus l'amour est cher qui lui donne naissance v.103 (Acte 1, scène 1, DONA ELVIRE)
  3. Mériter tous les soins de sa reconnaissance : v.136 (Acte 1, scène 1, DONA ELVIRE)
  4. Ses voeux se sont armés contre votre naissance, v.220 (Acte 1, scène 3, DON GARCIE)
  5. Dans un excès d'amour peut trouver sa naissance; v.777 (Acte 3, scène 1, ÉLISE)
  6. Que vous peuvent donner mon coeur, et ma naissance, v.1377 (Acte 4, scène 8, DONA ELVIRE)
  7. Où la grandeur soumet celles de ma naissance ; v.1597 (Acte 5, scène 3, DONA ELVIRE)
  8. Au point de leur naissance, ayant banni l'hommage, v.1681 (Acte 5, scène 4, DONA ELVIRE)
  9. Ne saurait demander trop de reconnaissance, v.1697 (Acte 5, scène 5, DONA ELVIRE)
  10. Qu'exercent sur nos coeurs les droits de la naissance, v.1717 (Acte 5, scène 5, DONA ELVIRE)

LA CRITIQUE DE L'ÉCOLE DES FEMMES (1663)

  1. Morbleu, Messieurs, taisez-vous, quand Dieu ne vous a pas donné la connaissance d'une chose ; n'apprêtez point à rire à ceux qui vous entendent parler ; et songez qu'en ne disant mot, on croira, peut-être que vous êtes d'habiles gens. (Acte 1, scène 5, DORANTE)
  2. Car il ne saurait y avoir ni mariage, ni reconnaissance ; et je ne sais point par où l'on pourrait faire finir la dispute. (Acte 1, scène 6, DORANTE)

LES AMANTS MAGNIFIQUES (1670)

  1. Avec tout le respect que je dois à Madame, il y a une chose qui m'étonne dans l'astrologie, comment des gens qui savent tous les secrets des Dieux, et qui possèdent des connaissances à se mettre au-dessus de tous les hommes, aient besoin de faire leur cour, et de demander quelque chose. (Acte 2, scène 2, CLITIDAS)
  2. Il n'est rien de plus agréable, Madame, que toutes les grandes promesses de ces connaissances sublimes. (Acte 6, scène 1, SOSTRATE)

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

AMPHITRYON (1668)

  1. Et retardiez la naissance du jour, v.117 (Prologue, scène 1, MERCURE)
  2. Il me prend un désir, pour faire connaissance, v.322 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  3. Et qui de nos secrets a connaissance pleine, v.738 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
  4. Et dans l'amour qui lui donne naissance, v.1282 (Acte 2, scène 6, ALCMÈNE)
  5. De la vérité pure ouvrir la connaissance ; v.1686 (Acte 3, scène 5, JUPITER)

LE MALADE IMAGINAIRE (1682)

  1. Dis-moi un peu, ne trouves-tu pas comme moi, quelque chose du Ciel, quelque effet du destin, dans l'aventure inopinée de notre connaissance ? (Acte 3, scène 4, ANGÉLIQUE)
  2. Qu'on ne la laisse ni sortir, ni parler à personne, et que ce ne fut que la curiosité d'une vieille tante qui nous fit accorder la liberté d'aller à cette comédie, qui donna lieu à la naissance de votre passion, et nous nous sommes bien gardé[e]s de parler de cette aventure. (Acte 3, scène 1, TOINETTE)

DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE (1682)

  1. Scélérat, c'est maintenant que je te connais tout entier, et pour mon malheur, je te connais lorsqu'il n'en est plus temps, et qu'une telle connaissance ne peut plus me servir qu'à me désespérer ; mais sache que ton crime ne demeurera pas impuni, et que le même Ciel dont tu te joues, me saura venger de ta perfidie. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
  2. Tous les services que nous rend une main ennemie ne sont d'aucun mérite pour engager notre âme ; et s'il faut mesurer l'obligation à l'injure, votre reconnaissance, mon frère, est ici ridicule, et comme l'honneur est infiniment plus précieux que la vie, c'est ne devoir rien proprement, que d'être redevable de la vie à qui nous a ôté l'honneur. (Acte 3, scène 4, DON ALONSE)
  3. Je sais la différence, mon frère, qu'un gentilhomme doit toujours mettre entre l'un et l'autre, et la reconnaissance de l'obligation n'efface point en moi le ressentiment de l'injure : mais souffrez que je lui rende ici ce qu'il m'a prêté, que je m'acquitte sur-le-champ de la vie que je lui dois, par un délai de notre vengeance, et lui laisse la liberté de jouir, durant quelques jours, du fruit de son bienfait. (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
  4. Non, mon frère, ne vous mettez pas en peine ; si je fais une faute, je saurai bien la réparer, et je me charge de tout le soin de notre honneur ; je sais à quoi il nous oblige, et cette suspension d'un jour, que ma reconnaissance lui demande, ne fera qu'augmenter l'ardeur que j'ai de le satisfaire. (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
  5. Ne rougissez-vous point de mériter si peu votre naissance ? (Acte 4, scène 4, DON LOUIS)
  6. Non, non, la naissance n'est rien où la vertu n'est pas. (Acte 4, scène 4, DON LOUIS)
  7. Un père venir faire des remontrances à son fils, et lui dire de corriger ses actions, de se ressouvenir de sa naissance, de mener une vie d'honnête homme, et cent autres sottises de pareille nature ! (Acte 4, scène 5, SGANARELLE)
  8. Je ferai le vengeur de la vertu opprimée, et sous ce prétexte commode, je pousserai mes ennemis, je les accuserai d'impiété, et saurai déchaîner contre eux des zélés indiscrets, qui sans connaissance de cause, crieront contre eux, qui les accableront d'injures, et les damneront hautement de leur autorité privée. (Acte 5, scène 2, DON JUAN)

DON JUAN (1683)

  1. Scélérat, c'est maintenant que je te connais tout entier, et pour mon malheur, je te connais lors qu'il n'en est plus temps, et qu'une telle connaissance ne peut plus me servir qu'à me désespérer ; mais sache que ton crime ne demeurera pas impuni ; et que le même Ciel dont tu te joues, me saura venger de ta perfidie. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
  2. Tous les services que nous rend une main ennemie, ne sont d'aucun mérite pour engager notre âme, et s'il faut mesurer l'obligation à l'injure, votre reconnaissance, mon frère, est ici ridicule ; et comme l'honneur est infiniment plus précieux que la vie, c'est ne devoir rien proprement, que d'être redevable de la vie à qui nous a été l'honneur. (Acte 3, scène 4, DON ALONSE)
  3. Je sais la différence, mon Frère, qu'un Gentilhomme doit toujours mettre entre l'un et l'autre, et la reconnaissance de l'obligation n'efface point en moi le ressentiment de l'injure : mais souffrez que je lui rende ici ce qu'il m'a prêté, que je m'acquitte sur le champ de la vie, que je lui dois par un délai de notre vengeance, et lui laisse la liberté de jouir durant quelques jours du fruit de son bienfait. (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
  4. Non mon frère, ne vous mettez pas en peine ; si je fais une faute, je saurai la réparer, je me charge de tout le soin de notre honneur, je sais à quoi il nous oblige, et cette suspension d'un jour que ma reconnaissance lui demande, ne fera qu'augmenter l'ardeur que j'ai de le satisfaire. (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
  5. Ne rougissez-vous point de mériter si peu votre naissance ? (Acte 4, scène 4, DON LOUIS)
  6. Non, non, la naissance n'est rien où la vertu n'est pas. (Acte 4, scène 4, DON LOUIS)
  7. Un père venir faire des remontrances à son fils, et lui dire de corriger ses actions, de se ressouvenir de sa naissance, de mener une vie d'honnête homme, et cent autres sottises de pareille nature. (Acte 4, scène 5, SGANARELLE)
  8. Je serai le vengeur de la vertu opprimée, et sous ce prétexte commode, je pousserai mes ennemis, je les accuserai d'impiété, et saurai déchaîner contre eux des zélés indiscrets, qui sans connaissance de cause crieront en public contre eux, qui les accableront d'injures, et les damneront hautement de leur autorité privée. (Acte 5, scène 2, DON JUAN)

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC (1670)

  1. Voilà une connaissance où je ne m'attendais point. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)

MÉLICERTE (1682)

  1. Égales en naissance, et rares qualités ? v.274 (Acte 1, scène 5, MYRTIL)
  2. Mais l'inégalité de bien et de naissance, v.431 (Acte 2, scène 3, MÉLICERTE)
  3. À du respect pour vous la naissance m'engage, v.483 (Acte 2, scène 4, MYRTIL)

LES PRÉCIEUSES RIDICULES (1660)

  1. J'ai peine à me persuader que je puisse être véritablement sa fille, et je crois que quelque aventure, un jour, me viendra développer une naissance plus illustre. (Acte 1, scène 5, MAGDELON)
  2. Mon_Dieu, nous vous serons obligées de la dernière obligation, si vous nous faites cette amitié ; car enfin il faut avoir la connaissance de tous ces Messieurs-là, si l'on veut être du beau monde. (Acte 1, scène 9, MAGDELON)
  3. Notre connaissance s'est faite à l'armée, et la première fois que nous nous vîmes il commandait un Régiment de Cavalerie sur les Galères de Malte. (Acte 1, scène 11, JODELET)

LES FOURBERIES DE SCAPIN (1671)

  1. Mon père, ne vous plaignez point que j'aime une inconnue, sans naissance et sans bien. (Acte 3, scène 11, LÉANDRE)

Dans les 1907 textes du corpus, il y a 27 textes (soit une présence dans 1,42 % des textes) dans lesquels il y a 94 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 3,48 occurences par texte.

Titres Acte 1 Prologue Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Acte 6 Acte 7 Acte 8 Acte 9 Acte 10 Acte 11 Total
1 SGANARELLE2000000000002
2 LA PRINCESSE D'?LIDE0000101000002
3 L'ÉCOLE DES MARIS3000000000003
4 LE DÉPIT AMOUREUX1020100000004
5 LES FÂCHEUX1010000000002
6 L'AVARE2010110000005
7 L'ÉCOLE DES FEMMES1000000000001
8 LA JALOUSIE DU BARBOUILL?3000000000003
9 LE M?DECIN VOLANT4000000000004
10 L'ÉTOURDI1010210000005
11 LE MARIAGE FORC?1000000000001
12 LE BOURGEOIS GENTILHOMME0010000000001
13 DON GARCIE DE NAVARRE40011400000010
14 LA CRITIQUE DE L'?COLE DES FEMMES2000000000002
15 LES AMANTS MAGNIFIQUES0010001000002
16 AMPHITRYON1121000000005
17 LE MALADE IMAGINAIRE0002000000002
18 DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE1003310000008
19 DON JUAN1003310000008
20 MÉLICERTE1020000000003
21 LES PR?CIEUSES RIDICULES3000000000003
22 LES FOURBERIES DE SCAPIN0001000000001
23 MONSIEUR DE POURCEAUGNAC0010000000001
24 PSYCHÉ0030103000007
25 LE TARTUFFE0010110000003
26 LE MISANTHROPE0010200000003
27 LES FEMMES SAVANTES0002100000003
  Total321171317950000094

 

 Lexique d'un texte

 Cherche dans un texte

 Lexique

 Cherche chez un auteur

 Cherche dans le corpus

 Archaïsmes