Occurences de l'expression

parti

pour MOLIERE

Options de recherche : partie de mot et  insensible à la casse

SGANARELLE (1663)

  1. Quel plus rare parti pourriez-vous souhaiter ? v.164 (Acte 1, scène 6, SGANARELLE)

PSYCHÉ (1673)

  1. De si rares honneurs ne m'appartiennent pas, v.58 (Prologue, scène 1, VÉNUS)
  2. À quitter mon parti tout s'est licencié, v.72 (Prologue, scène 1, V?NUS)
  3. Et qui, tant que le vôtre y voudra répartir, v.1116 (Acte 4, scène 3, L'AMOUR)
  4. Vos soeurs à peine sont parties, v.1453 (Acte 5, scène 3, L'AMOUR)
  5. Mourons, c'est le parti qui seul me reste à suivre, v.1576 (Acte 5, scène 4, PSYCHÉ)
  6. Votre Psyché, son âme va partir, v.1921 (Acte 6, scène 5, VÉNUS)
  7. Il n'appartient qu'à lui v.2091 (Acte 6, scène 6, MOME)

LA PRINCESSE D'ÉLIDE (1665)

  1. Je sais qu'en défendant le parti de l'Amour v.419 (Acte 4, scène 1, CYNTHIE)
  2. Voilà votre parti fortifié d'un grand défenseur. (Acte 4, scène 2, LA PRINCESSE)
  3. Seigneur, nous savons prendre notre parti, et si ces aimables Princesses n'ont point trop de mépris pour les coeurs qu'on a rebutés, nous pouvons revenir par elles à l'honneur de votre alliance. (Acte 10, scène 3, ARISTOMÈNE)

LE MÉDECIN MALGRÉ LUI (1668)

  1. Tu as menti, j'en bois une partie. (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
  2. Cela se pourrait faire, et nous tâchons de rencontrer quelque habile homme, quelque médecin particulier, qui pût donner quelque soulagement à la fille notre maître, attaquée d'une maladie qui lui a ôté, tout d'un coup, l'usage de la langue. (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  3. Plusieurs médecins ont déjà épuisé toute leur science après elle : mais on trouve, parfois, des gens avec des secrets admirables, de certains remèdes particuliers, qui font le plus souvent, ce que les autres n'ont su faire, et c'est là, ce que nous cherchons. (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  4. Tais-toi, t'es cune impartinante. (Acte 2, scène 1, LUCAS)
  5. Je ne sais point sur quoi cette imagination leur est venue : mais quand j'ai vu qu'à toute force ils voulaient que je fusse médecin, je me suis résolu de l'être, aux dépens de qui il appartiendra. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
  6. D'autant que l'incongruité des humeurs opaques, qui se rencontrent au tempérament naturel des femmes, étant cause que la partie brutale veut toujours prendre empire sur la sensitive, on voit que l'inégalité de leurs opinions, dépend du mouvement oblique, du cercle de la Lune : et comme le soleil qui darde ses rayons sur la concavité de la terre, trouve... (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)

GEORGE DANDIN (1669)

  1. Mon_Dieu, Monsieur de Sotenville, vous avez des indulgences qui n'appartiennent qu'à vous, et vous ne savez pas vous faire rendre par les gens ce qui vous est dû. (Acte 1, scène 4, MADAME DE SOTENVILLE)
  2. Corbleu, pardonnez-moi, on ne peut point me faire de leçons là-dessus, et j'ai su montrer en ma vie, par vingt actions de vigueur, que je ne suis point homme à démordre jamais d'une partie de mes prétentions. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE SOTENVILLE)
  3. Le sort me donne ici de quoi confondre ma partie, et pour achever l'aventure il fait venir à point nommé les juges dont j'avais besoin. (Acte 2, scène 6, GEORGE DANDIN)
  4. Il me faudrait des journées entières pour me bien expliquer à vous de tout ce que je sens ; et je ne vous ai pas dit encore la moindre partie de ce que j'ai à vous dire. (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
  5. Je le quitte maintenant, et je n'y vois plus de remède, lorsqu'on a comme moi épousé une méchante femme, le meilleur parti qu'on puisse prendre, c'est de s'aller jeter dans l'eau la tête la première. (Acte 3, scène 8, GEORGE DANDIN)

L'ÉCOLE DES MARIS (1661)

  1. Que du sage parti se voir seul contre tous. v.54 (Acte 1, scène 1, ARISTE)
  2. Que renfermer sa femme, est le mauvais parti, v.250 (Acte 1, scène 2, ARISTE)
  3. Puisque de son dessein je dois me départir, v.873 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  4. L'honneur vous appartient. v.1032 (Acte 3, scène 7, SGANARELLE)

LE DÉPIT AMOUREUX (1663)

  1. Oui, quoi qu'à mon amour tu puisse[s] repartir, v.3 (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
  2. D'un soin particulier avait fait des largesses, v.376 (Acte 2, scène 1, FROSINE)
  3. Éraste est un parti qui doit vous satisfaire ; v.580 (Acte 2, scène 3, ASCAGNE)
  4. Et, sur quelque parti que je sonde son coeur, v.694 (Acte 2, scène 6, ALBERT)
  5. Il n'entraîne du mien la meilleure partie. v.830 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  6. Durerait cent mille ans ; aussi, sans repartie, v.1250 (Acte 4, scène 2, GROS-RENÉ)
  7. La partie brutale alors veut prendre empire v.1261 (Acte 4, scène 2, GROS REN?)
  8. Qu'il vous cherche, et vous peut faire un mauvais parti. v.1556 (Acte 5, scène 3, LA RAPIERE)
  9. Quel parti de lui-même il résoudra de prendre. v.1574 (Acte 5, scène 3, VALERE)

LE TARTUFFE (1669)

  1. Il me voulait toujours en rendre une partie. v.294 (Acte 1, scène 5, ORGON)
  2. Le parti, de soi-même, est fort avantageux. v.640 (Acte 2, scène 3, DORINE)
  3. Et dans votre parti jeter la belle-mère. v.814 (Acte 2, scène 4, DORINE)
  4. Ou je vais, sur-le-champ, vous quitter la partie. v.870 (Acte 3, scène 2, TARTUFFE)
  5. Vous n'aurez, que je crois, rien à me repartir. v.1368 (Acte 4, scène 4, ELMIRE)
  6. La maison m'appartient, je le ferai connaître, v.1558 (Acte 4, scène 7, TARTUFFE)
  7. Au bon Monsieur Tartuffe appartient sans conteste. v.1754 (Acte 5, scène 4, LOYAL)
  8. Vous réduit au parti d'une soudaine fuite. v.1834 (Acte 5, scène 6, VALERE)

L'AMOUR MÉDECIN (1666)

  1. Mais à repos, quel parti prenez-vous dans la querelle des deux médecins Théophraste et Artémius ; car c'est une affaire qui partage tout notre corps ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR TOMÈS)

LES FÂCHEUX (1662)

  1. Et je veux le prier d'y faire des parties. v.246 (Acte 1, scène 3, LISANDRE)
  2. Console-moi, Marquis, d'une étrange partie, v.342 (Acte 2, scène 2, ALCIPPE)
  3. Qui pour courir un cerf avions hier fait partie ; v.526 (Acte 2, scène 6, DORANTE)

LES FEMMES SAVANTES (1672)

  1. Soumettant à ses lois la partie animale v.47 (Acte 1, scène 1, ARMANDE)
  2. Qui sait si bien régir la partie animale, v.160 (Acte 1, scène 2, HENRIETTE)
  3. Aux choses que mon coeur m'offre à vous répartir, v.306 (Acte 1, scène 4, BÉLISE)
  4. Prenez-vous son parti contre moi ? v.434 (Acte 2, scène 6, PHILAMINTE)
  5. Vous êtes satisfaite, et la voilà partie. v.511 (Acte 2, scène 7, CHRYSALE)
  6. Je pourrais le trouver un parti fort honnête. v.1126 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
  7. Mais l'offensante aigreur de chaque répartie v.1349 (Acte 4, scène 3, ARMANDE)
  8. Autre second : je quitte la partie. v.1350 (Acte 4, scène 3, CLITANDRE)
  9. Vous ne vous mettez point, Monsieur, de la partie : v.1386 (Acte 4, scène 3, CLITANDRE)
  10. Offrez-lui le parti d'épouser son aînée. v.1710 (Acte 5, scène 3, PHILAMINTE)

L'AVARE (1669)

  1. Que ce serait un parti souhaitable ? (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
  2. C'est un parti où il n'y a rien à redire ; et je gage que tout le monde approuvera mon choix. (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
  3. Le seigneur Anselme est un parti considérable, c'est un gentilhomme qui est noble, doux, posé, sage, et fort accommodé, et auquel il ne reste aucun enfant de son premier mariage. (Acte 1, scène 5, HARPAGON)
  4. Il n'est point de partis au monde, que je ne trouve en peu de temps le moyen d'accoupler ; et je crois, si je me l'étais mis en tête, que je marierais le Grand Turc avec la République de Venise. (Acte 2, scène 5, FROSINE)
  5. C'est encore une particularité que j'avais à vous dire. (Acte 2, scène 5, FROSINE)
  6. L'un dit que vous faites imprimer des almanachs particuliers, où vous faites doubler les quatre-temps et les vigiles, afin de profiter des jeûnes où vous obligez votre monde. (Acte 3, scène 1, MAÎTRE JACQUES)
  7. Je vous prie de m'excuser, ma belle, si je n'ai pas songé à vous donner un peu de collation avant que de partir. (Acte 3, scène 7, HARPAGON)
  8. Vous pouvez partir quand il vous plaira. (Acte 4, scène 2, HARPAGON)
  9. Tu ne t'es pas départi d'y prétendre ? (Acte 4, scène 5, HARPAGON)
  10. Cet affront vous regarde, Seigneur Anselme ; et c'est vous qui devez vous rendre partie contre lui, et faire toutes les poursuites de la justice, pour vous venger de son insolence. (Acte 5, scène 5, HARPAGON)
  11. Et que tu fais bien voir qu'il n'appartient qu'à toi de faire des miracles. (Acte 5, scène 5, ANSELME)
  12. Je vous prends à partie, pour me payer dix mille écus qu'il m'a volés. (Acte 5, scène 5, HARPAGON)

LE MISANTHROPE (1667)

  1. Contre votre partie, éclatez un peu moins. v.183 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
  2. Votre partie est forte, v.193 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
  3. Vous prendrez parti. v.565 (Acte 2, scène 4, ALCESTE)
  4. Qu'il n'appartient qu'aux sots, d'admirer, et de rire ? v.642 (Acte 2, scène 4, CÉLIMÈNE)
  5. Vous pouvez bien penser quel parti je sus prendre ; v.893 (Acte 3, scène 4, ARSINOÉ)
  6. Je ne m'attendais pas à cette répartie, v.962 (Acte 3, scène 4, ARSINOÉ)
  7. On peut, par politique, en prendre le parti, v.979 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
  8. Mais j'en fais, je l'avoue, un cas particulier ; v.1164 (Acte 4, scène 1, ELIANTE)
  9. Madame, c'est à vous qu'appartient cet ouvrage, v.1246 (Acte 4, scène 2, ALCESTE)
  10. Faites, prenez parti, que rien ne vous arrête. v.1369 (Acte 4, scène 3, CÉLIMÈNE)
  11. Il faut partir, Monsieur, sans dire adieu. v.1444 (Acte 4, scène 4, DUBOIS)
  12. Quoi ! Contre ma partie, on voit, tout à la fois v.1487 (Acte 5, scène 1, ALCESTE)
  13. Ce que votre partie ose vous imputer, v.1527 (Acte 5, scène 1, PHILINTE)
  14. Je sais prendre parti sur cette préférence, v.1625 (Acte 5, scène 2, CÉLIMÈNE)
  15. Mettez-vous, donc, en tête, que je ne me divertis pas toujours si bien que vous pensez ; que je vous trouve à dire plus que je ne voudrais, dans toutes les parties où l'on m'entraîne ; et que c'est un merveilleux assaisonnement aux plaisirs qu'on goûte, que la présence des gens qu'on aime. (Acte 5, scène 4, ACASTE)

L'ÉCOLE DES FEMMES (1663)

  1. Tout cela n'est parti que d'une âme innocente : v.543 (Acte 2, scène 5, ARNOLPHE)
  2. Et dont à vingt partis, fort capables de plaire, v.687 (Acte 3, scène 2, ARNOLPHE)
  3. Sont de tous leurs cadeaux, de toutes leurs parties : v.1257 (Acte 4, scène 8, CHRYSALDE)
  4. Entre ces deux partis il en est un honnête, v.1268 (Acte 4, scène 8, CHRYSALDE)

LA JALOUSIE DU BARBOUILLÉ (1650)

  1. 4° Parce que la philosophie a quatre parties : la logique, morale, physique et métaphysique ; et comme je les possède toutes quatre, et que je suis parfaitement versé en icelles, je suis quatre fois docteur. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
  2. Tu as la mine de suivre fort ton caprice : des parties d'oraison, tu n'aimes que la conjonction ; des genres, le masculin ; des déclinaisons, le génitif ; de la syntaxe, mobile cum fixo ; et enfin de la quantité, tu n'aimes que le dactyle, quia constat ex una longa et duabus brevibus. (Acte 1, scène 6, LE DOCTEUR)
  3. À propos d'accord, voulez-vous que je vous lise un chapitre d'Aristote, où il prouve que toutes les parties de l'univers ne subsistent que par l'accord qui est entre elles ? (Acte 1, scène 13, LE DOCTEUR)

LE MÉDECIN VOLANT (1659)

  1. J'ai des talents particuliers, j'ai des secrets. (Acte 1, scène 4, SGANARELLE)
  2. Il faut avouer que tous ceux qui excellent en quelque science sont dignes de grande louange, et particulièrement ceux qui font profession de la médecine, tant à cause de son utilité, que parce qu'elle contient en elle plusieurs autres sciences, ce qui rend sa parfaite connaissance fort difficile ; et c'est fort à propos qu'Hippocrate dit dans son premier aphorisme : Vita brevis, ars vero longa, occasio autem praeceps, experimentum periculosum, judicium difficile. (Acte 1, scène 8, AVOCAT)
  3. Monsieur Gorgibus, je vous prie de le faire venir ici : je vous conjure que ce soit en particulier que je lui demande pardon, parce que sans doute il me ferait cent hontes et cent opprobres devant tout le monde. (Acte 1, scène 15, SGANARELLE)
  4. Monsieur, il dit qu'il est honteux, et qu'il vous prie d'entrer, afin qu'il vous demande pardon en particulier. (Acte 1, scène 15, GORGIBUS)
  5. Écoutez un mot, s'il vous plaît : il est vrai que c'est par mon invention que mon maître est avec votre fille ; mais en le servant, je ne vous ai point désobligé : c'est un parti sortable pour elle, tant pour la naissance que pour les biens. (Acte 1, scène 15, SGANARELLE)

LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS (1689)

  1. Il faut que mon fils le Comte soit de la partie, car il est arrivé ce matin de mon château avec son précepteur, que je vois là-dedans. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  2. À quelle heure, Monsieur Bobinet, êtes-vous parti d'Escarbagnas, avec mon fils le Comte ? (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
  3. L'on ne vient point crier de dessus un théâtre, ce qui se doit dire en particulier. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)

L'ÉTOURDI (1663)

  1. Et l'on nous voit sans cesse avoir maille à partir. v.302 (Acte 1, scène 7, MASCARILLE)
  2. Enfin, si le parti te semble bon pour toi, v.745 (Acte 2, scène 7, LÉANDRE)
  3. Qui doit partir d'Espagne et venir en ces lieux, v.941 (Acte 3, scène 2, LÉANDRE)
  4. Dans le particulier elle oblige sans peine, v.968 (Acte 3, scène 2, MASCARILLE)
  5. Songez à vous tantôt : Léandre fait parti v.1157 (Acte 3, scène 5, ERGASTE)
  6. Qui s'en va, m'a-t-il dit, rompre cette partie, v.1195 (Acte 3, scène 6, ERGASTE)
  7. Un parti qui causa quelque émeute civile, v.1311 (Acte 4, scène 1, MASCARILLE)
  8. Mais que parti plus tôt, pour chose nécessaire, v.1343 (Acte 4, scène 1, MASCARILLE)
  9. De quitter la partie, et ne nous troubler point ; v.1654 (Acte 4, scène 7, MASCARILLE)
  10. À mon père pourtant, la maison appartient, v.1777 (Acte 5, scène 4, LÉLIE)
  11. Sa santé de partir ne nous pouvant permettre, v.1799 (Acte 5, scène 4, ANDRES)
  12. Partieu, tiaple, mon foi jamais toi chai connaître. v.1816 (Acte 5, scène 5, MASCARILLE)
  13. Je me trouve attachée au parti de tous deux : v.1874 (Acte 5, scène 7, CÉLIE)

LE MARIAGE FORCÉ (1668)

  1. Bon parti ! (Acte 1, scène 1, GERONIMO)
  2. Voyez-vous, j'ai une estime, et une amitié pour vous toute particulière ; et je refuserais ma fille à un Prince pour vous la donner. (Acte 1, scène 8, ALCANTOR)

LE BOURGEOIS GENTILHOMME (1673)

  1. Je songerai à marier ma fille, quand il se présentera un parti pour elle ; mais je veux songer aussi à apprendre les belles choses. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR JOURDAIN)
  2. Comme je lui eus répondu que je vous connaissais particulièrement, et que j'avais vu votre fille : ah, me dit-il, marababa sahem ; c'est-à-dire, Ah que je suis amoureux d'elle ! (Acte 4, scène 3, COVIELLE)
  3. Vous pourrez voir une partie de l'histoire, tandis que je vous conterai le reste. (Acte 4, scène 5, COVIELLE)
  4. Monsieur, si elle veut écouter une parole en particulier, je vous promets de la faire consentir à ce que vous voulez. (Acte 5, scène 6, COVIELLE)
  5. Quand ils nous verront partis. v.204 (Acte 5, scène 7, VIEILLE BOURGEOISE BABILLARDE)

LE SICILIEN (1668)

  1. Vous prenez un mauvais parti ; et la possession d'un coeur est fort mal assurée, lorsqu'on prétend le retenir par force. (Acte 1, scène 6, ISIDORE)
  2. Vous prenez son parti, vous qui êtes si délicat sur ces sortes de choses ! (Acte 1, scène 15, ADRASTE)
  3. Oui, je prends son parti ; et si vous voulez m'obliger, vous oublierez votre colère, et vous vous réconcilierez tous deux. (Acte 1, scène 15, DON PÈDRE)

DON GARCIE DE NAVARRE (1682)

  1. C'est une nouveauté qui n'appartient qu'à vous. v.403 (Acte 2, scène 1, ÉLISE)
  2. Moi prendre le parti d'une honteuse feinte, v.664 (Acte 2, scène 6, DONA ELVIRE)
  3. Donner le dernier coup au parti des Tyrans. v.1879 (Acte 5, scène 6, DON SYLVE)

LA CRITIQUE DE L'ÉCOLE DES FEMMES (1663)

  1. Enfin vous voyez, comme votre sang prend mon parti. (Acte 1, scène 3, CLIMÈNE)
  2. Toute approbation qui marche avant la sienne est un attentat sur ses lumières, dont il se venge hautement en prenant le contraire parti. (Acte 1, scène 5, URANIE)
  3. Il s'est mis d'abord de votre côté, mais maintenant qu'il sait que Madame est à la tête du parti contraire, je pense que vous n'avez qu'à chercher un autre secours. (Acte 1, scène 6, ÉLISE)
  4. Non, non, je ne voudrais pas qu'il fît mal sa cour auprès de Madame votre cousine, et je permets à son esprit d'être du parti de son coeur. (Acte 1, scène 6, CLIMÈNE)

LES AMANTS MAGNIFIQUES (1670)

  1. Toutes ces belles raisons de sympathie, de force magnétique et de vertu occulte, sont si subtiles et délicates, qu'elles échappent à mon sens matériel, et sans parler du reste, jamais il n'a été en ma puissance de concevoir comme on trouve écrit dans le ciel jusqu'aux plus petites particularités de la fortune du moindre homme. (Acte 6, scène 1, SOSTRATE)

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

AMPHITRYON (1668)

  1. M'aurait-il fait partir par une nuit si noire, v.162 (Acte 1, scène 1, SOSIE)
  2. Je viens de là, vais là, j'appartiens à mon maître. v.319 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
  3. Je quitte la partie. v.337 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
  4. Il ne ment pas d'un mot à chaque repartie, v.484 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
  5. Mais quoi ! Partir ainsi d'une façon brutale, v.638 (Acte 1, scène 4, CLEANTHIS)
  6. Je suis parti, les Cieux, d'un noir crêpe voilés, v.718 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
  7. À quel parti me doit résoudre ma raison ? v.1562 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
  8. Notre parti n'est point douteux, v.1659 (Acte 3, scène 5, NAUCRATES)

LE MALADE IMAGINAIRE (1682)

  1. Ce qui me plaît, de Monsieur Fleurant, mon apothicaire, c'est que ses parties sont toujours fort civiles. (Acte 3, scène 1, ARGAN)
  2. Vous ne me les avez mis dans les autres parties qu'à vingt sols, et vingt sols en langage d'apothicaire, c'est-à-dire dix sols ; les voilà, dix sols. (Acte 3, scène 1, ARGAN)
  3. J'en ai affaire, moi, outre que le parti est plus avantageux qu'on ne pense, Monsieur Diafoirus n'a que ce fils-là pour tout héritier ; et de plus, Monsieur Purgon, qui n'a ni femme, ni enfants, lui donne tout son bien, en faveur de ce mariage ; et Monsieur Purgon est un homme qui a huit mille bonnes livres de rente. (Acte 3, scène 5, ARGAN)
  4. Il nous a dit qu'il voulait donner sa fille en mariage au fils de Monsieur Diafoirus ; je lui ai répondu que je trouvais le parti avantageux pour elle ; mais que je croyais qu'il ferait mieux de la mettre dans un couvent. (Acte 3, scène 6, TOINETTE)
  5. Votre belle-mère a beau me faire sa confidente, et me vouloir jeter dans ses intérêts, je n'ai jamais pu avoir d'inclination pour elle, et j'ai toujours été de votre parti. (Acte 3, scène 8, TOINETTE)
  6. Il ne pourra lui donner leçon, comme il faut, s'ils ne sont en particulier. (Acte 3, scène 2, TOINETTE)
  7. Tenez, voilà votre partie. (Acte 3, scène 5, CLÉANTE)
  8. J'étais venu ici, mon frère, vous proposer un parti pour ma nièce Angélique. (Acte 3, scène 9, BÉRALDE)
  9. Ce n'est point là, mon Frère, le fait de votre fille, et il se présente un parti plus sortable pour elle. (Acte 6, scène 3, BÉRALDE)
  10. Oh çà, mon frère, puisque voilà votre Monsieur Purgon brouillé avec vous, ne voulez-vous pas bien que je vous parle du parti qui s'offre pour ma nièce ? (Acte 6, scène 11, BÉRALDE)

DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE (1682)

  1. Ton maître t'a-t-il ouvert son coeur là-dessus, et t'a-t-il dit qu'il eût pour nous quelque froideur qui l'ait obligé à partir ? (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
  2. Je ne dis pas qu'il ait changé de sentiments pour Done Elvire, je n'en ai point de certitude encore : tu sais que par son ordre je partis avant lui, et depuis son arrivée il ne m'a point entretenu, mais par précaution, je t'apprends (inter nos,) que tu vois en Don Juan mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un démon, un Turc, un hérétique, qui ne croit, ni Ciel, ni Enfer, ni Diale, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d'Épicure, un vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons. (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
  3. Madame, voilà Sganarelle, qui sait pourquoi je suis parti. (Acte 1, scène 3, DON JUAN)
  4. Que ne me dites-vous que des affaires de la dernière conséquence vous ont obligé à partir sans m'en donner avis, qu'il faut que malgré vous vous demeuriez ici quelque temps, et que je n'ai qu'à m'en retourner d'où je viens, assurée que vous suivrez mes pas le plus tôt qu'il vous sera possible : qu'il est certain que vous brûlez de me rejoindre, et qu'éloigné de moi, vous souffrez ce que souffre un corps qui est séparé de son âme ? (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
  5. Je ne vous dirai point que je suis toujours dans les mêmes sentiments pour vous, et que je brûle de vous rejoindre, puisque enfin il est assuré que je ne suis parti que pour vous fuir ; non point par les raisons que vous pouvez vous figurer, mais par un pur motif de conscience, et pour ne croire pas qu'avec vous davantage je puisse vivre sans péché. (Acte 1, scène 3, DON JUAN)
  6. C'est une lâcheté que de se faire expliquer trop sa honte, et sur de tels sujets, un noble coeur, au premier mot, doit prendre son parti. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
  7. Une affaire pressante m'oblige de partir d'ici ; mais je vous prie de vous ressouvenir de la parole que je vous ai donnée, et de croire que vous aurez de mes nouvelles avant qu'il soit demain au soir. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
  8. Comme la partie n'est pas égale, il faut user de stratagème, et éluder adroitement le malheur qui me cherche, je veux que Sganarelle se revête de mes habits, et moi... (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
  9. La Partie est trop inégale, et je ne dois pas souffrir cette lâcheté. (Acte 3, scène 2, DON JUAN)
  10. Cet espoir est bien doux, Monsieur, à des coeurs offensés ; mais après ce que je vous dois, ce me serait une trop sensible douleur, que vous fussiez de la partie. (Acte 3, scène 3, DON CARLOS)
  11. Quoi vous prenez le parti de notre ennemi contre moi, et loin d'être saisi à son aspect des mêmes transports que je sens, vous faites voir pour lui des sentiments pleins de douceur ? (Acte 3, scène 4, DON ALONSE)
  12. Mais vous, Sganarelle, vous me devez quelque chose en votre particulier. (Acte 4, scène 3, MONSIEUR DIMANCHE)
  13. On lie, à force de grimaces une société étroite avec tous les gens du parti : qui en choque un, se les attire tous sur les bras, et ceux que l'on sait même agir de bonne foi là-dessus, et que chacun connaît pour être véritablement touchés : ceux-là, dis-je, sont le plus souvent les dupes des autres ; ils donnent bonnement dans le panneau des grimaciers, et appuient aveuglément les singes de leurs actions. (Acte 5, scène 2, DON JUAN)

DON JUAN (1683)

  1. Ton Maître t'a-t-il ouvert son coeur là-dessus, et t'a t-il dit qu'il eût pour nous quelque froideur qui l'ait obligé à partir ? (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
  2. Je ne dis pas qu'il ait changé de sentiments pour Don Juan Elvire, je n'en ai point de certitude encore ; tu sais que par son ordre je partis avant lui, et depuis son arrivée il ne m'a point entretenu, mais par précaution, je t'apprends (inter nos,) que tu vois en Don Juan mon Maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un Démon, un Turc, un hérétique, qui ne croit, ni Ciel, ni Enfer, ni Diable, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Épicure, en vrai Sardanapale, ferme l'oreille à toutes les remontrances qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons. (Acte 1, scène 1, SGANARELLE)
  3. Madame, voilà Sganarelle qui sait pourquoi je suis parti. (Acte 1, scène 3, DON JUAN)
  4. Que ne me dites vous que des affaires de la dernière conséquence vous ont obligé à partir sans m'en donner avis, qu'il faut que malgré vous vous demeuriez ici quelque temps, et que je n'ai qu'à m'en retourner d'où je viens, assurée que vous suivez mes pas le plus tôt qu'il vous sera possible : qu'il est très certain que vous brûlez de me rejoindre, et qu'éloigné de moi, vous souffrez ce que souffre un corps qui est séparé de son âme. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
  5. Je ne vous dirai point que je suis toujours dans les mêmes sentiments pour vous, et que je brûle de vous rejoindre, puisqu'enfin il est assuré que je ne suis parti que pour vous fuir ; non point pour les raisons que vous pouvez vous figurer, mais par un pur motif de conscience, et pour ne croire pas qu'avec vous davantage je puisse vivre sans péché. (Acte 1, scène 3, DON JUAN)
  6. C'est une lâcheté que de se faire expliquer trop sa honte ; et sur de tels sujets, un noble coeur au premier mot doit prendre son parti. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
  7. Une affaire pressante m'oblige de partir d'ici, mais je vous prie de vous ressouvenir de la parole que je vous ai donnée, et de croire que vous aurez de mes nouvelles avant qu'il soit demain au soir. (Acte 2, scène 6, DON JUAN)
  8. Comme la partie n'est pas égale, il faut user de stratagème, et éluder adroitement le malheur qui me cherche, je veux que Sganarelle se revête de mes habits, et moi... (Acte 2, scène 6, DON JUAN)
  9. La partie est trop inégale, et je ne dois pas souffrir cette lâcheté. (Acte 3, scène 2, DON JUAN)
  10. Cet espoir est bien doux, Monsieur, à des coeurs offensés ; mais après ce que je vous dois ce me serait une trop sensible douleur que vous fussiez de la partie. (Acte 3, scène 3, DON CARLOS)
  11. Quoi, vous prenez le parti de notre ennemi contre moi, et loin d'être saisi à son aspect des mêmes transports que je sens, vous faites voir pour lui des sentiments pleins de douceur ? (Acte 3, scène 4, DON ALONSE)
  12. Mais vous, Sganarelle, vous me devez quelque chose en votre particulier. (Acte 4, scène 3, MONSIEUR DIMANCHE)
  13. On lie à force de grimaces une société étroite avec tous les gens du parti; qui en choque un, se les jette tous sur les bras, et ceux que l'on sait même agir de bonne foi là-dessus et que chacun connaît pour être véritablement touchés : ceux-là dis-je sont toujours les dupes des autres, ils donnent hautement dans le panneau des grimaciers, et appuient aveuglement les singes de leurs actions. (Acte 5, scène 2, DON JUAN)

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC (1670)

  1. Non, Monsieur, ce n'est pas moi qui suis le médecin ; à moi n'appartient pas cet honneur, et je ne suis qu'apothicaire, apothicaire indigne, pour vous servir. (Acte 2, scène 5, L-APOTHICAIRE)
  2. Comme ainsi soit qu'on ne puisse guérir une maladie qu'on ne la connaisse parfaitement, et qu'on ne la puisse parfaitement connaître, sans en bien établir l'idée particulière et la véritable espèce, par ses signes diagnostiques et prognostiques, vous me permettrez, Monsieur notre ancien, d'entrer en considération de la maladie dont il s'agit, avant que de toucher à la thérapeutique et aux remèdes qu'il nous conviendra faire pour la parfaite curation d'icelle. (Acte 2, scène 8, PREMIER MÉDECIN)
  3. Je l'appelle mélancolie hypocondriaque, pour la distinguer des deux autres ; car le célèbre Galien établit doctement à son ordinaire trois espèces de cette maladie que nous nommons mélancolie, ainsi appelée non seulement par les Latins, mais encore par les Grecs ; ce qui est bien à remarquer pour notre affaire : la première, qui vient du propre vice du cerveau ; la seconde, qui vient de tout le sang, fait et rendu atrabilaire ; la troisième, appelée hypocondriaque, qui est la nôtre, laquelle procède du vice de quelque partie du bas-ventre et de la région inférieure, mais particulièrement de la rate, dont la chaleur et l'inflammation porte au cerveau de notre malade beaucoup de fuligines épaisses et crasses, dont la vapeur noire et maligne, cause dépravation aux fonctions de la faculté princesse, et fait la maladie dont par notre raisonnement il est manifestement atteint et convaincu. (Acte 2, scène 8, PREMIER M?DECIN)
  4. À Dieu ne plaise, Monsieur, qu'il me tombe en pensée d'ajouter rien à ce que vous venez de dire : vous avez si bien discouru sur tous les signes, les symptômes et les causes de la maladie de Monsieur ; le raisonnement que vous en avez fait est si docte et si beau, qu'il est impossible qu'il ne soit pas fou, et mélancolique hypocondriaque ; et quand il ne le serait pas, il faudrait qu'il le devînt, pour la beauté des choses que vous avez dites, et la justesse du raisonnement que vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez dépeint fort graphiquement, graphice depinxisti, tout ce qui appartient à cette maladie ; il ne se peut rien de plus doctement, sagement, ingénieusement conçu, pensé, imaginé, que ce que vous avez prononcé au sujet de ce mal, soit pour la diagnose, ou la prognose, ou la thérapie ; et il ne me reste rien ici, que de féliciter Monsieur, d'être tombé entre vos mains, et de lui dire qu'il est trop heureux d'être fou, pour éprouver l'efficace et la douceur des remèdes que vous avez si judicieusement proposés: je les approuve tous, manibus et pedibus descendo in tuam sententiam. (Acte 2, scène 8, SECOND-MEDECIN)
  5. Votre prétendu gendre a été constitué mon malade : sa maladie qu'on m'a donné à guérir, est un meuble qui m'appartient, et que je compte entre mes effets ; et je vous déclare que je ne prétends point qu'il se marie, qu'au préalable il n'ait satisfait à la médecine, et subi les remèdes que je lui ai ordonnés. (Acte 3, scène 2, PREMIER MÉDECIN)
  6. Point, ce n'est que le sens commun qui me fait juger que je serai toujours reçu à mes faits justificatifs, et qu'on ne me saurait condamner sur une simple accusation, sans un récolement et confrontation avec mes parties. (Acte 3, scène 10, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
  7. Elle est sévère comme tous les diables, particulièrement sur ces sortes de crimes. (Acte 4, scène 2, SBRIGANI)

L'IMPROMPTU DE VERSAILLES (1682)

  1. L'inimitié qui règne entre les deux partis, v.10 (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
  2. Mon_Dieu, ce n'est point là le ton d'un Marquis, il faut le prendre un peu plus haut, et la plupart de ces Messieurs affectent une manière de parler particulière pour se distinguer du commun. (Acte 1, scène 3, MOLIÈRE)
  3. Parbleu, je te trouve plaisant de me donner ce qui t'appartient. (Acte 1, scène 3, MOLIÈRE)
  4. Pourquoi aller offenser toutes ces personnes-là, et particulièrement les cocus, qui sont les meilleurs gens du monde ? (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE MOLIÈRE)
  5. Ma foi je le trouverais un grand fou, s'il se mettait en peine de répondre à leurs invectives, tout le monde sait assez de quel motif elles peuvent partir ; et la meilleure réponse qu'il leur puisse faire, c'est une comédie qui réussisse comme toutes ses autres. (Acte 1, scène 5, BRÉCOURT)
  6. Et qu'est-ce que cela me fait, n'ai-je pas obtenu de ma comédie tout ce que j'en voulais obtenir, puisqu'elle a eu le bonheur d'agréer aux augustes personnes, à qui particulièrement je m'efforce de plaire ? (Acte 1, scène 5, MOLIÈRE)
  7. Non, Messieurs, je viens pour vous dire qu'on a dit au Roi l'embarras où vous vous trouviez, et que par une bonté toute particulière il remet votre nouvelle comédie à une autre fois, et se contente pour aujourd'hui de la première que vous pourrez donner. (Acte 1, scène 11, BEJART)

MÉLICERTE (1682)

  1. Si tu ne veux partir, je vais quitter ce lieu. v.11 (Acte 1, scène 1, DAPHNÉ)

LES PRÉCIEUSES RIDICULES (1660)

  1. Hélas nous ne sommes pas encore connues ; mais nous sommes en passe de l'être, et nous avons une amie particulière, qui nous a promis d'amener ici tous ces Messieurs du Recueil des pièces choisies. (Acte 1, scène 9, MAGDELON)
  2. Mais pour moi, ce que je considère particulièrement, c'est que par le moyen de ces visites spirituelles, on est instruite de cent choses, qu'il faut savoir de nécessité, et qui sont de l'essence d'un bel esprit. (Acte 1, scène 9, MAGDELON)
  3. On sait à point nommé, un tel a composé la plus jolie pièce du monde sur un tel sujet ; une telle a fait des paroles, sur un tel air ; celui-ci a fait un madrigal sur une jouissance ; celui-là a composé des stances sur une infidélité ; Monsieur un tel écrivit hier au soir un sixain à Mademoiselle une telle, dont elle lui a envoyé la réponse, ce matin, sur les huit heures ; un tel auteur a fait un tel dessein ; celui-là en est à la troisième partie de son roman ; cet autre met ses ouvrages sous la presse ; c'est là ce qui vous fait valoir dans les compagnies, et si l'on ignore ces choses, je ne donnerais pas un clou de tout l'esprit qu'on peut avoir. (Acte 1, scène 9, MAGDELON)
  4. C'est mon talent particulier, et je travaille à mettre en madrigaux, toute l'histoire romaine. (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
  5. Ah c'est contre le droit des gens, la partie n'est pas égale, et je m'en vais crier au meurtre. (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
  6. Il faut avouer qu'il dit les choses d'une manière particulière. (Acte 1, scène 9, CATHOS)

LES FOURBERIES DE SCAPIN (1671)

  1. La compassion que m'a donnée tantôt votre chagrin m'a obligé à chercher dans ma tête quelque moyen pour vous tirer d'inquiétude : car je ne saurais voir d'honnêtes pères chagrinés par leurs enfants que cela ne m'émeuve ; et de tout temps je me suis senti pour votre personne une inclination particulière. (Acte 2, scène 5, SCAPIN)
  2. Nous voilà au temps, m'a-t-il dit, que je dois partir pour l'armée. (Acte 2, scène 5, SCAPIN)
  3. Votre procureur s'entendra avec votre partie, et vous vendra à beaux deniers comptants. (Acte 2, scène 5, SCAPIN)
  4. Mais aussi avez-vous cet avantage, que l'on ne tente point par un autre parti, celui que vous aimez. (Acte 3, scène 1, HYACINTHE)
  5. Parti moi courir comme une Basque, et moi ne pouvre point troufair de tout le jour sti tiable de Gironte ? » (Acte 3, scène 2, SCAPIN)
  6. Ce sont hardes qui m'appartiennent. (Acte 3, scène 2, SCAPIN)
  7. Pour venir à notre conte, nos gens ont voulu aujourd'hui partir de cette ville ; et mon amant m'allait perdre faute d'argent, si pour en tirer de son père, il n'avait trouvé du secours dans l'industrie d'un serviteur qu'il a. (Acte 3, scène 3, ZERBINETTE)
  8. Je me réjouissais aujourd'hui de l'espérance d'avoir ma fille, dont je faisais toute ma consolation ; et je viens d'apprendre de mon homme qu'elle est partie il y a longtemps de Tarente, et qu'on y croit qu'elle a péri dans le vaisseau où elle s'embarqua. (Acte 3, scène 6, GÉRONTE)

Dans les 1907 textes du corpus, il y a 33 textes (soit une présence dans 1,73 % des textes) dans lesquels il y a 203 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 6,15 occurences par texte.

Titres Acte 1 Prologue Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Acte 6 Acte 7 Acte 8 Acte 9 Acte 10 Acte 11 Total
1 SGANARELLE1000000000001
2 LA PRINCESSE D'?LIDE0000100000102
3 LE M?DECIN MALGR? LUI3012000000006
4 GEORGE DANDIN2012000000005
5 L'ÉCOLE DES MARIS2002000000004
6 LE DÉPIT AMOUREUX1031220000009
7 LE TARTUFFE1021220000008
8 LES FÂCHEUX1020000000003
9 LES FEMMES SAVANTES30213100000010
10 L'AVARE30222300000012
11 LE MISANTHROPE0000010000001
12 LE MISANTHROPE20234300000014
13 LA JALOUSIE DU BARBOUILL?3000000000003
14 LE M?DECIN VOLANT5000000000005
15 LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS3000000000003
16 L'ÉTOURDI10143400000013
17 LE MARIAGE FORC?2000000000002
18 LE BOURGEOIS GENTILHOMME0001210000004
19 LE SICILIEN3000000000003
20 LA CRITIQUE DE L'?COLE DES FEMMES4000000000004
21 LES AMANTS MAGNIFIQUES0000001000001
22 AMPHITRYON5012000000008
23 LE MALADE IMAGINAIRE00080020000010
24 DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE60231100000013
25 DON JUAN60231100000013
26 L'IMPROMPTU DE VERSAILLES6000000000006
27 L'IMPROMPTU DE VERSAILLES1000000000001
28 MÉLICERTE1000000000001
29 LES PR?CIEUSES RIDICULES6000000000006
30 LES FOURBERIES DE SCAPIN0035000000008
31 PSYCHÉ0200122000007
32 L'AMOUR M?DECIN0001000000001
33 MONSIEUR DE POURCEAUGNAC0042100000007
34 L'ÉCOLE DES FEMMES0011200000004
35 DON GARCIE DE NAVARRE0020010000003
36 LA PRINCESSE D'ÉLIDE0000100000001
37 LE BOURGEOIS GENTILHOMME0000010000001
  Total71231442623500010203

 

 Lexique d'un texte

 Cherche dans un texte

 Lexique

 Cherche chez un auteur

 Cherche dans le corpus

 Archaïsmes