Occurences de l'expression

elle

pour MONGIN

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LES PROMENADES DE PARIS (1695)

Parce que je n'ai pas encore de quoi flatter l'ambition d'Élise, et que je ne puis lui donner ma foi et mon bien qu'après la mort de mon père, la cruelle me sacrifie à Monsieur_Calmar, elle reçoit ses soupirs, son amour, ses fêtes, et aujourd'hui même dans ce Bois_de_Boulogne il faut que je me voie la victime d'un rival odieux, d'un coffre-fort d'amour, en un mot d'un vieux Calmar ? (Acte 1, scène 1, OCTAVE)
Et dés-lors qu'une fille est riche, jeune, belle ; v.29 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Que comme vous enfin elle est maîtresse d'elle, v.30 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Et celle d'un nombre d'amants, v.31 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Elle fait bien des médisants. v.32 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Qu'elle tenait en esclavage. v.60 (Acte 1, scène 2, ÉLISE)
Mais la belle eut filé plus doux, v.62 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Si parmi ses amants elle eût eu comme vous v.63 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Les hommes aujourd'hui sont à l'égard des belles, v.81 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Si vous les amusez, ou faites les rebelles, v.84 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Mais Léandre me met en des frayeurs mortelles. v.104 (Acte 1, scène 2, ÉLISE)
Je n'ai de lui nulles nouvelles, v.105 (Acte 1, scène 2, ?LISE)
Fi ! Les femmes en boivent-elles ? v.135 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Bon ! En ivrognerie aujourd'hui les femelles v.136 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
De celles qu'en ce bois il amène en secret ? v.144 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Quelles Beautés te font le plus souvent rouler ? v.156 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Mais dis-nous, quelles sont les femmes raisonnables v.169 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Que celles dont je suis cocher, v.179 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Une belle ressemble au fiacre ? v.181 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
En quoi donc se peut-il, bon Dieu ! Qu'elle en approche ? v.182 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Oh ! Celle-ci ne cloche point, v.185 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
C'est qu'une belle en Fiacre étant bien promenée, v.187 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Toutes celles de la journée. v.190 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
De grâce, dites-moi ? Ces humaines donzelles, v.199 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Qui crainte de passer pour telles, v.200 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Toutes ces Belles, par exemple, v.207 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Sont-elles entre nous, d'une venu fort ample ? v.208 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Item, celles encor qui vinrent en ces lieux, v.209 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Au retour des Hirondelles, v.210 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
À ce départ ces femelles , v.212 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Qui semblaient être en des douleurs mortelles, v.213 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Et s'oublièrent elles-mêmes ? v.218 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Et celles qu'on régale à Chaillot, à Passy ; v.221 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Ces belles encor, ces écueils de la bourse, v.227 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Et celle des godelureaux, v.235 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Du fiacre cependant sont tellement éprises, v.248 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Qu'elles quittent des chars tirés à six chevaux, v.249 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Et quelle est la raison, mon pauvre villageois v.259 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
J'espère qu'à Paris elle pourra changer. v.264 (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Quand je serai bourgeois, qu'elle sera bourgeoise, v.265 (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Nous n'aurons plus, je crois, ni querelle ni noise. v.266 (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Elle lui dit : Mamour, mon fils, tout ci, tout ça v.276 (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Des femelles à tous moments v.283 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
J'ai beaucoup de babil, bon port, belle prestance v.304 (Acte 1, scène 2, PIERROT)
T'aime, ou qu'elle dise pourquoi. v.326 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Mais comment m'appellera-t-on ? v.350 (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Pierrot s'appellera le Marquis de la Pierre, v.353 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Non pas. Hé quelle est ta sottise ! v.356 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
À juger de la collation par ces restes, elle était somptueuse, et je crois qu'il fera peu resté de cruauté à celle à qui on l'a donnée. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Non encore un coup, nous allons faire divorce avec elle. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Assurément, et mon maître et moi nous vivrons avec nos petites femmes comme s'il n'y avait qu'elles de femmes au monde. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
J'entends la voix je crois de celle qui doit être la mienne. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Oui, c'est Colombine elle-même. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Courage elle est jolie. v.399 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Font la charge de sentinelle , v.417 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Bien loin de garder une belle, v.418 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Telle qui tiendrait bon où gîte la cicogne, v.430 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Ce que partout elle défend. v.444 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Quelle est la femme comme moi v.458 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Assez maîtresse d'elle, assez fidèle et sage v.459 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Et j'entends que l'on nous appelle ; v.464 (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
C'est , Mademoiselle, une petite collation champêtre, comme vous voyez. (Acte 1, scène 3, CALMAR)
J'ai oui dire en effet, que Jupiter s'était changé en pluie d'or, et une pareille métamorphose, Monsieur, vous siérait bien mieux que celle-là. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Vous qui ne pouvez braver le sommeil à l'Audience, vous iriez affronter l'insomnie continuelle de l'Armée ? (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Vous qui ne pouvez ouïr sans chagrin les sottises qui sortent de la bouche d'un Avocat, vous iriez vous exposer de gaîté de cour à celle du canon ? (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Elle riait de si bon cour, v.485 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Fut aussi celle de Calmar ! v.489 (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
Je n'aurais jamais pu croire cette nouvelle. v.495 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Que celles d'écouter les leurs. v.533 (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
Tenant bon dans une ruelle v.553 (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
Capitulent souvent au Moulin de Javelle. v.555 (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
Regarde au Cours la Fleur en carrosse à six chevaux ; jamais les Muses ont-elles fait un si beau quatrain que celui-là ? (Acte 2, scène 3, ARLEQUIN)
Et non, Cervelle lunatique, non ; je ne veux point de toutes ces chansons en ique ; il me faut, te dis- je... (Acte 2, scène 3, ARLEQUIN)
Paix, je vais vous montrer un échantillon de celles que vous voulez, et voici une de mes chansons favorites. (Acte 2, scène 3, SCARAMOUCHE)
En vérité, Mademoiselle, il n'est pas permis à une beauté d'aussi bon acabit que vous, d'entendre si peu le manège de la promenade. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Comme tout votre sexe, Mademoiselle. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Il faut comme toutes les belles, ne pas hasarder icI une démarche naturelle. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Êtes-vous avec moi dans la grande Allée, par exemple, il faut me parler toujours sans rien dire, pour sembler spirituelle ; rire sans sujet, pour paraître enjouée ; se redresser à tout moment, pour étaler sa gorge ; ouvrir les yeux, pour les agrandir, se mordre les lèvres pour les rougir, parler de la tête à l'un, de l'éventail à l'autre, donner une louange à celle-ci, un lardon à celle-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Cependant, Mademoiselle, à propos de Léandre, vous ne devez rien négliger pour le convaincre que Calmar qu'il croit son rival, n'est que votre dupe. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Oui, ma belle Demoiselle, c'est moi-même, et vous voyez ce que font pour vos beaux yeux ceux qui font de la juridiction, du ressort, et de la compétence de vos charmes. (Acte 2, scène 4, CALMAR)
De toutes les Métamorphoses, après la Pluie d'or, il n'y en a point qui touche plus les femmes que celle du plumet ; et Monsieur_Calmar sent sort le Petit-maître à pleine gorge. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Mais, au reste, Mademoiselle, je vous ai préparé un concert le plus agréable du monde. (Acte 2, scène 4, CALMAR)
En attendant, arrêtons-nous à elle. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
La belle mode en est cause ; v.617 (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Tiens, Jeanneton, cesse de rire, et montre-nous quelques-uns de tes poulets tendres, de ces poulets que l'on confie à ta discrétion, et que tu rends ponctuellement à leur adresse. (Acte 2, scène 4, CALMAR)
Voici ce qu'elle écrit à un jeune cadet. (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Cet atelier public, cette maîtresse banale et universelle. (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Répond-elle aussi en Suisse ? (Acte 2, scène 4, CALMAR)
Ma Belle, vos attraits. v.678 (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Les fleurs nouvelles v.679 (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Qu'on voit chez elles, v.680 (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Vous n' y songez pas, Monsieur_Calmar ; il faudrait qu'elle fut du pays de son amant, et elle est parisienne. (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Ce fat du bel air l'envoie à Uranie, cette belle étrangère. (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Des Belles éteindre les feux. v.701 (Acte 2, scène 4, JEANNETON)
Hé non, Messieurs, non, encore un coup, je ne sais point de nouvelles. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
En effet, quelle canaille est-ce là ! (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
En celle qui pend devant lui sont étalés tous les défauts d'autrui : v.722 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Quelle foule ! (Acte 3, scène 1, PIERROT)
Ils viennent tous en fard, en mouches, en dentelles, v.741 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Voltiger de Belles en Belles, v.743 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Comme celles de mon pays. v.758 (Acte 3, scène 1, PIERROT)
Qu'on voit affiché devant elle ? v.763 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Vois-tu ces mots écrits sur bien plus d'une Belle : v.764 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Elles font tout l'été de fort longues diètes, v.774 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Comment s'appelle ce château, v.781 (Acte 3, scène 1, PIERROT)
C'est là qu'on met à l'étalage dentelle ; étoffes, et rubans ; v.792 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Et l'on ne trouve point de belle, v.839 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Ne fassent tourner la cervelle. v.841 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Sans doute ; et minuit c'est la plus belle heure des Tuileries. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Voilà qui est admirable, qu'on voie de si belles choses aux Tuileries quand on n'y voit goutte ! (Acte 3, scène 1, PIERROT)
Qu'elle et moi tout l'été nous avons eue ensemble. v.879 (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
En voyant celle du canon. v.900 (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Ah ! Quelle affreuse nudité, v.936 (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Auprès de celles qui l'été v.937 (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Nous font porter celles des sots. v.952 (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
De la mine dont tu es, et de l'inconstance dont elles sont, pendant que nous sommes au Champ de Mars, tu dois cet été faucher copieusement dans le champ des Amours. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Mais sans trop d'indiscrétion, ne pourrait-on pas savoir à quoi vous en êtes avec elle ? (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Et bien, que t'a-t-elle dit ? (Acte 3, scène 3, LÉANDRE)
Rends-moi compte de sa conduite, et de celle de Calmar. (Acte 3, scène 3, LÉANDRE)
Elle a fait ripaille avec Calmar, et n'est sortie de table que pour venir aux Tuileries entendre un concert qu'il lui donne. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
Belle demande ! (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
Peut-on savoir quelle est la belle qui vous met ici au rang des plumets d'été, Léandre ? (Acte 3, scène 3, OCTAVE)
Et pourrait-on vous demander quelle est la soubrette qui vous met au rang des des grands hommes, Arlequin ? (Acte 3, scène 3, SCARAMOUCHE)
OuI, Élise ma maîtresse ; et c'est sur ce que l'on m'a mandé qu'elle était celle d'un nommé Calmar, que je suis venu savoir de ses nouvelles. Mais grâces au Ciel, c'est une fausse alarme, et Élise n'est point infidèle. (Acte 3, scène 3, LÉANDRE)
Oui, Mademoiselle, vous avez aujourd'hui deux hommes à désabuser ; l'un de l'opinion où il est que vous pouvez l'aimer, et de celle où est l'autre que vous ne l'aimez plus. (Acte 3, scène 4, COLOMBINE)
Et ne songeons qu'à l'épée, Mademoiselle. (Acte 3, scène 4, COLOMBINE)
Hé bien, ma belle Demoiselle, à présent que la nuit approche à vos beaux yeux ne peuvent plus s'occuper aux Tuileries, il est temps de divertir vos oreilles. (Acte 3, scène 4, CALMAR)
Une belle aisément tient bon contre nos charmes, v.961 (Acte 3, scène 5, MEZZETIN)
Ô vous, qui jouissez de la saison nouvelle, v.964 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
Amoureux Rossignol, plaintive Tourterelle, v.965 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
Vos femelles v.968 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
Vous ne laissez point vos belles v.971 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
Sitôt qu'elle entend le tambour. v.978 (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
La robe préside aux ruelles : v.980 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
Adieu, Robins, quittez nos belles, v.983 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
Adieu, vous reviendrez avec les hirondelles, v.984 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
Comment l'entendez-vous donc, Mademoiselle ? (Acte 3, scène 5, CALMAR)

Dans les 1907 textes du corpus, il y a 1 textes (soit une présence dans 0,05 % des textes) dans lesquels il y a 137 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 137,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Total
1	LES PROMENADES DE PARIS	7	21	18	46
2	LES PROMENADES DE PARIS	55	11	25	91
	Total	62	32	43	137