Occurences de l'expression
elle
pour NIVELLE DE LA CHAUSSEE, Pierre Claude
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LA FAUSSE ANTIPATHIE (1734)
- Pour le mettre sur la sellette ; v.12 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Le caprice est son guide et sa loi naturelle : v.23 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Son goût est pour lui-même une énigme éternelle. v.24 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Madame fait valoir le moindre bagatelle. v.77 (Prologue, scène 3, L'ADMIRATEUR)
- Personne, en vérité, ne s'exprime comme elle. v.78 (Prologue, scène 3, L'ADMIRATEUR)
- Pour moi, la plus joyeuse est celle où je me livre. v.97 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Et fut-elle un chef-d'oeuvre, et propre à faire un livre, v.99 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Vous me la donnez belle ! Et, par quelle aventure... v.104 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Corriger des enfants qu'elle craint de blesser. v.146 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Alors, elle pouvait briller sur le théâtre : v.147 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Aides-les à se faire une guerre cruelle ; v.157 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Empoisonnez encore leur haine mutuelle. v.158 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- J'en appelle. v.201 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Oui, je me le rappelle. v.239 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Quelle nouvelle ? v.240 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Oui, quand elle est meublée. v.243 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Elle va son train, et moi, le mien. v.259 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Sans qu'elle vous occupe en rien ? v.260 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Avant qu'on soit au fait des nouvelles courantes, v.265 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Les nouveautés sont toujours belles. v.281 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Ne nous donnez jamais que des pièces nouvelles ; v.283 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Quelle nécessité d'imaginer des hommes ! v.326 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Rappelleront ici les plaisirs fugitifs : v.370 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Je crains qu'elle aille s'établir... v.376 (Prologue, scène 10, LE GÉNIE)
- Laisser, laissez aller cette folle immortelle : v.377 (Prologue, scène 10, LE BON-SENS)
- On peut ici se passer d'elle. v.378 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- C'est elle... v.406 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- À qui, sans le savoir, elle avait trop su plaire, v.420 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Sous ce nom inconnu, qu'elle conserve encore. v.427 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Toujours contente d'elle, et jamais du prochain ; v.445 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Elle a, d'un premier lit, une fille à pourvoir. v.449 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Les femmes ne sont pas tout ce qu'elles paraissent. v.467 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Léonore m'appelle. Adieu. Cela suffit. v.469 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Tout ce que ma mémoire à présent me rappelle, v.471 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Me confirme encor plus cette heureuse nouvelle. v.472 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Qu'elle veut me parler ; ainsi je vais l'attendre. v.475 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- J'y prends peu d'intérêt. Mais sur quelle assurance v.487 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- On exagère un feu qui n'est qu'une étincelle ; v.496 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Ne me rappelle plus le malheur de ma vie, v.540 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Quel hymen ! Ou plutôt quelle union fatale ! v.555 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Est telle que je désire. v.584 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Ciel ! De quoi va-t-elle me prier ! v.613 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Quelle commission dangereuse et cruelle ! v.639 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Je ne puis y songer ni pour moi, ni pour elle. v.640 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Quoi ! Vous savez déjà le bien qu'elle vous veut ? v.673 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Mais je ne puis répondre à ce qu'elle souhaite. v.676 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Allez, monsieur, allez où l'amour vous appelle. v.688 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Vous croyez que je vole où mon bonheur m'appelle. v.699 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Si vous saviez combien cette erreur m'est cruelle ! ... v.700 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Ma foi, je ne sais point quelle est leur manigance. v.751 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- C'est qu'elle sait peut-être v.760 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Damon ne peut quitter un séjour qu'elle habite. v.784 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Elle voudrait que tout lui devînt personnel ; v.789 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Ah ! Quelle calomnie ! v.824 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Nérine, quelle horreur ! On me croit la maîtresse v.832 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Ah ! Quelle est ton erreur ? v.837 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Elle passe aussitôt pour être véritable. v.839 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Celle à qui mon malheur avait uni ma vie, v.867 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Elle n'est pas visible. v.892 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Ou je suis bien trompée. Oui, justement c'est elle. v.895 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- C'eût été grand dommage ; elle est vraiment fort belle. v.896 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- Elle est en bonnes mains ; et, puisqu'elle te plaît, v.897 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Oui ; c'est une bagatelle : v.899 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Nérine, je voudrais qu'elle eût été plus belle. v.900 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Voilà ce qui s'appelle un homme dangereux. v.902 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Puisqu'on ne peut parler à ta belle maîtresse, v.904 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Celle qui le portait n'a point perdu la vie ; v.955 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- C'est vous qui l'exigez. Peut-elle y consentir ? v.977 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Je sens le désespoir qu'elle doit ressentir v.978 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Pour elle enfin, monsieur, je vous demande grâce. v.980 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Elle m'accuserait... votre coeur est son bien. v.982 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Une chaîne, à tous deux également cruelle, v.987 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ce n'est point un affront ; c'est un bonheur pour elle. v.988 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Quelle conformité. v.992 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Ma femme n'eut pour moi qu'une haine mortelle ; v.995 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- C'est ce que vous avez de commun avec elle. v.996 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Dites-moi donc comment elle a pu vous haïr ? v.997 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Dont vous allez causer l'éternelle souffrance ! v.1003 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Pour vous, apparemment, c'est une bagatelle ; v.1027 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Ou bien vous m'avez dit une fausse nouvelle. v.1028 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Elle était vraie alors ; mais tout est bien changé. v.1029 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Il va vous confirmer cette heureuse nouvelle. v.1051 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Grand dieu ! Dans quelle horreur me précipitez-vous ? v.1053 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Ah ! Vous n'ignorez pas quelle est l'antipathie, v.1055 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Et d'ailleurs, quelle est donc cette grande infortune ? v.1080 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Que peut-être il voudrait retrouver criminelle ? v.1088 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- La feinte vous rendrait plus criminelle encore. v.1092 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Léonore est en pleurs ? D'où vient qu'elle m'évite ? v.1099 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Car elle ne sait pas ce que j'ai fait pour elle. v.1135 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- En vérité, j'ai plaint sa fortune cruelle. v.1136 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Il faudra, qu'elle ou moi, sortions de la maison. v.1138 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Je n'en dirai pas plus, ni d'elle, ni de lui. v.1145 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Elle n'espère pas un si bon dénouement. v.1158 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Est-elle vertueuse ? Elle l'est à l'excès. v.1165 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Pour nous quelle fortune ! v.1180 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Léonore, elle-même. v.1186 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Elle a bien du bonheur. v.1186 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Que trop. Et c'est en elle un excès qui me blesse, v.1188 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Elle est mariée... v.1199 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Elle pourrait... v.1201 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- La pauvre Léonore... elle se croyait veuve. v.1203 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Car je n'ignore plus qu'elle vous intéresse. v.1211 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Quand ma nièce peut rompre une chaîne cruelle, v.1215 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Elle n'approuve plus ce que j'ai fait pour elle. v.1216 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ne veulent pas permettre une union si belle. v.1219 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Je fais ce qu'elle veut ; et je lui rends sa foi. v.1230 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Elle a fait trop longtemps le malheur de ma vie. v.1231 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Elle aille ensevelir une épouse craintive, v.1259 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Ah, rencontre cruelle ! Et qu'est-ce que je vois ? v.1266 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Mon coeur n'a pas besoin d'une épreuve cruelle. v.1271 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Hélas ! Que craignez-vous ? À quoi servirait-elle ? v.1272 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Inonder le public d'injurieux libelles ; v.1300 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Je sens que tôt ou tard il faut qu'elle vous aime. v.1331 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Ne consent-elle pas que nos fers soient rompus ? v.1334 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Y consentirait-elle, v.1335 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Si ce n'était pour prendre une chaîne nouvelle ? v.1336 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Je n'eus jamais son coeur ; elle a repris sa foi. v.1337 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Quelle bizarrerie ! v.1339 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Quelle horreur !... Laissez-moi... v.1366 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
AMOUR POUR AMOUR (1753)
- Je sais ce qu'elle coûte. v.12 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il ne manque jamais une pièce nouvelle. v.15 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Est que plus d'un Bureau d'esprit mâle et femelle, v.18 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Sa Sentence, je crois, n'est pas toujours mortelle. v.22 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- C'est un homme excellent pour hâter une chute.. v.26 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- La louange est si sèche, elle produit si peu ! v.46 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Mais la Critique abonde ; elle coule de source, v.47 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Qui me régalerait d'un excellent Ouvrage, v.57 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Point de pièce nouvelle : oui, vous dis-je, elle est nulle ; v.83 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Une pièce nouvelle est toujours assez bonne. v.101 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Et celle qu'on devait aujourd'hui nous donner, v.103 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Vous est-elle connue ? v.104 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- À la Ville, à la Cour, l'espèce manque-t-elle ? v.161 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il me semble pourtant que la moisson est belle ; v.162 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Où va cette tirade ? Elle est pourtant fort belle. v.169 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Parbleu, c'est à-propos de la pièce nouvelle. v.170 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Une Actrice ne voit que le rôle qu'elle a. v.179 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Sur le reste, aussitôt, elle étend son arrêt. v.181 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Celle-ci, selon vous, ne peut qu'être mauvaise ? v.187 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Elle peut n'être pas dans la forme ordinaire. v.191 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Que celle qui vous est propre et particulière. v.213 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Les règles n'y font rien. Il est au dessus d'elles. v.255 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Que de le présenter sous des formes nouvelles, v.257 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Elle peut réussir. v.263 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Je me préviens pour elle. v.264 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Quand il s'agît du fort d'une pièce nouvelle, v.271 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- On a tant d'avantage à parier contre elle, v.272 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Pour qu'elle réussisse il saut presque un miracle. v.274 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Des Mortelles assez jolies ; v.295 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Cette fée, à présent inflexible et cruelle, v.344 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- C'est notre Souveraine. Elle était assez belle. v.346 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle ne nous eut pas envoyés ici-bas, v.347 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ah, quelle différence ! Et que j'ai de raisons v.387 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Pour excepter Zémire, et pour mieux juger d'elle ! v.388 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- À cet âge, où l'on croit qu'il suffit d'être belle, v.389 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Que dis-je ? Elle en connaît le prix. v.391 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et ne voit-elle rien à travers ce mystère ? v.399 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle s'attache à moi, sans s'en apercevoir. v.409 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Elle s'accoutume à m'entendre ; v.410 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- La sincère amitié qu'elle me laisse voir, v.411 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Il faut qu'elle en fasse l'aveu, v.418 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Zémire dise d'elle-même ; v.423 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- La chimère est nouvelle ! v.427 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle ne les sait pas ; comment les dira-t-elle ! v.428 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pourra-t-elle, avec vous, en faire aucun usage, v.433 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Préviendra-t-elle votre hommage ? v.436 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ira-t-elle au-devant d'un amour ignoré ? v.438 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle doit vous laisser venir, et vous attendre. v.439 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Je compte, en dépit d'elle, être bientôt heureux, v.442 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Sans craindre qu'elle s'en offense, v.443 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Qui donne à nos attraits une fraîcheur nouvelle : v.466 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ce que parmi les fleurs est la rose nouvelle, v.506 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Nous vous cédons l'honneur d'en être la plus belle ; v.508 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Mais il faut qu'elle ait une autre cause. v.526 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Lorsque la raison vient (puisqu'il faut qu'elle vienne) v.529 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Peut-elle en_même_temps, et si différemment, v.530 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Changer, comme elle a fait, mon humeur et la vôtre ; v.531 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Elle doit opérer de la même façon. v.533 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et quelle en est la cause ? v.560 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Mais à propos de lui, vraiment, je me rappelle v.563 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Elle me fait pitié. v.572 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- J'ai toujours bien pensé qu'elle nous est mortelle. v.577 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et de primer sur nous d'une façon nouvelle, v.579 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Si, par un coup du Ciel, elle ne s'en délivre, v.583 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Elle sort à l'instant de ces lieux. v.586 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Peut-être qu'elle a craint de paraître à vos yeux. v.587 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle me voit toujours avec tant de bonté ! v.589 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Elle est un peu cruelle. v.591 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Vous veniez reprendre avec elle v.592 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je ne sais pas comment elle a pu s'en coiffer. v.597 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Zémire vient d'en faire une épreuve assez belle. v.607 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Avant que vous eussiez sur elle v.608 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle avait tout l'esprit que nous devons avoir ; v.610 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle cherchait à plaire ; elle parait ses charmes ; v.611 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- La date n'y fait rien. Elle se meurt d'ennui. v.618 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle ne semble pas avoir aucun souci. v.622 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Mais quelle vision ! Que venez-vous me dire ? v.628 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Elle, de la tristesse ; elle n'en a pas l'ombre. v.635 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Elle est si bien en proie au chagrin le plus sombre v.636 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Les beaux jours du printemps ne font pas plus beaux qu'elle : v.639 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- À chaque instant quelque grâce nouvelle v.640 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Il faut donc qu'avec vous elle se contrefasse; v.642 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je voudrais qu'elle vînt pour vous confondre en face : v.644 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Quelle parure ! Ah Ciel ! v.651 (Acte 1, scène 6, AZOR)
- Quelle joie éclatante ! v.651 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Par quelle aventure imprévue v.661 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Elle peut, au défaut de mon expérience, v.673 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Et je n'exprime rien que ce qu'elle m'inspire. v.709 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- La plus vive amitié n'en est qu'une étincelle : v.733 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ou plutôt elle n'est que l'ombre de l'Amour. v.734 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Quelle horreur m'environne ! v.747 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Je ne sais quelle affreuse et mortelle langueur v.752 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Elle a fui dès qu'elle m'a vu. v.790 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Serait-ce par égard pour moi-même, où pour elle ? v.791 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Qu'elle semble m'avoir tendrement adressé ? v.793 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- La victoire d'Assan peut n'être pas réelle. v.794 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Je la vois ; elle vient. Laissez-nous, je vous prie ; v.849 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Elle n'a pas besoin d'un témoin tel que vous. v.850 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- De cette mortelle langueur v.867 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- La découverte est bonne ; elle doit vous charmer. v.869 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Son absence, m'accable, et me devient mortelle : v.935 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Il semble que ce soit une éclipse cruelle. v.936 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ma situation change, elle n'est plus la même. v.938 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je m'instruis fort bien avec elle. v.947 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Nadine, ah, quelle différence ! v.973 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Elle n'a donc rien de réel. v.982 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Quelle douce et paisible influence v.989 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais, ne nous fâchons pas de ce qu'elle sommeille ; v.1003 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Sommeil je t'ai livré ma mortelle ennemie : v.1006 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Tandis qu'elle jouit des douceurs du repos, v.1008 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Qu'elle en trouve, en se réveillant, v.1013 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Quelle sera ma honte et ma douleur extrême ! v.1019 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Puisse-t-elle, à mon gré, lui plaire, l'enflammer, v.1023 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Elle y doit reposer loin du jour et du bruit. v.1031 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Avançons, et cherchons cette aimable mortelle. v.1032 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- La voici.... Mais, ô Ciel ! Que vois-je à côté d'elle ! v.1034 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Quelle profusion ! Je l'avais bien prévue. v.1036 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Puisse-t-elle.trouver quelque grâce à ses yeux ! v.1048 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Tandis que je dormais, quelle main invisible v.1059 (Acte 2, scène 6, ZÉMIRE)
- Elle prend le bouquet et l'admire. v.1073 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Il semble que ce soient autant de fleurs nouvelles v.1077 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Jamais je ne les vis si fraîches et si belles. v.1080 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Je n'aurai point été si belle de ma vie. v.1085 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Qu'elle augmente pour vous mes tendres sentiments. v.1096 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Elle vient malgré moi d'un songe que j'ai fait. v.1107 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ah ! Faut-il lui cacher que c'est moi qu'elle a vu ? v.1129 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- En effet, elle a pu s'en laisser enflammer. v.1138 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Il a dû vous trouver plus adorable qu'elle. v.1139 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Elle doit m'en punir, puisqu'elle est si cruelle, v.1141 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ne dira-t-elle point que c'est Azor qu'elle aime ? v.1207 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- On se brouille avec elle ; on la quitté; on en changes v.1239 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Quelle comparaison ! v.1242 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Elle veut m'engager à le sacrifier, v.1258 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Je consulte une amie, elle m'accable encore ; v.1263 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Elle a la cruauté de ne me point flatter. v.1264 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- C'est dans un plus grand jour qu'elles doivent briller. v.1301 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et qu'irais-je y chercher ? Ailleurs, rien ne m'appelle v.1309 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Elle règne sur nous ; et nous régnons sur elle. v.1312 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Hé bien, quelle est votre espérance ? v.1348 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Vos explications sont-elles bientôt faites ? v.1422 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- La plus belle couronne v.1449 (Acte 3, scène 7, ZÉMIRE)
- Engagent la main d'une belle ; v.1464 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Mais le coeur en appelle, v.1465 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
LE PRÉJUGÉ À LA MODE (1735)
- Et celle de l'hymen, vous ?... v.2 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Qui me perd dans l'esprit de celle que j'adore. v.10 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle ne vous hait point. v.15 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Peut-être elle me rend justice au fond du coeur, v.16 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle outrage à la fois mon amour et ses charmes. v.18 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle croit que l'hymen est un engagement, v.20 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Tel est son sentiment, qu'elle croit légitime. v.22 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Je ne sais quel exemple, ou plutôt quelle erreur, v.23 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle vous trouve à plaindre, et m'en rend responsable. v.26 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Enfin, elle me croit complice d'un époux... v.27 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Monsieur, elle se trompe, et nous offense tous. v.28 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Aux chagrins les plus grands elle vous croit en proie. v.29 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Quelle épouse peut rendre un époux plus heureux ? v.39 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Je sors de chez Sophie ; elle tient de sa mère. v.54 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et véritablement une union si belle, v.65 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Si ma femme eût voulu, devait être éternelle. v.66 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Bon ! Naturellement le sexe aime à se plaindre. v.70 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle ne savait pas, ni vous non plus, madame, v.73 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle crut perdre au change ; elle dissimula, v.75 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle mérite bien de nous être aussi chère. v.94 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Qu'elle a pour l'hyménée ? Où les a-t-elle pris ? v.100 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- À celles dont elle a fatigué mes oreilles. v.102 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle ne voit l'hymen que sous une figure, v.106 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- C'est lorsqu'elle est à plaindre, et qu'elle sait souffrir. v.128 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Oui, je crois qu'en secret elle y prend intérêt. v.139 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Pourquoi refuse-t-elle un homme qui lui plaît ? v.140 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Peut-être auparavant elle veut s'éprouver ; v.144 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Peut-être qu'elle cherche, autant qu'il est possible, v.145 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- À s'assurer du coeur qu'elle a rendu sensible. v.146 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Est-ce elle qui le dit ? v.163 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Où peut-elle avoir pris une idée aussi creuse ? v.185 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Elle se dit heureuse. v.186 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Constance ! Heureuse, elle. v.187 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Elle a dit mon secret ; je vais dire le sien. v.191 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Celle-ci ne veut pas épouser son amant. v.200 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Que me veut-elle ? v.253 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Eh ! Bien, quelle nouvelle ? v.254 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Mais quelle vision lui passe par la tête ? v.270 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Vous m'avez procuré d'assez belles leçons, v.288 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Vous allez me haïr... ah ! Cruelle Sophie ! v.293 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Sans faire, en dépit d'elle, un nécessaire éclat : v.308 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- À quelle occasion ? v.344 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Daignez au moins cacher ma nouvelle disgrâce. v.389 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Constance en devait être ; elle n'est point venue. v.401 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Entrons chez elle... allons ; c'est une attention v.403 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Dont elle vous aura de l'obligation. v.404 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Oui ; mais je ne vais guère en visite chez elle. v.405 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quelle excuse cruelle ! v.406 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Que ma faible raison me rappelle toujours. v.416 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Un feu... qui n'est pourtant qu'un renouvellement, v.440 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ne pourront-elles plus renaître de leurs cendres ? v.446 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Elle-même. v.459 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que peut-elle penser ?... Durval, y songes-tu ? v.479 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Comment ! Du ridicule !... et quelle en est la cause ? v.490 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Et véritablement, quelle société v.515 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que celle d'un mari de sa femme entêté, v.516 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qui n'a des yeux, des soins, des égards que pour elle, v.517 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et que, pour ainsi dire, elle tient en tutelle ? v.518 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Comment daignera-t-elle user de sa victoire ? v.553 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- À redouter encor de nouvelles injures, v.574 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quelle méprise ! v.585 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Lorsqu'elle eût pu te faire un sort si plein de charmes ? v.594 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Quelle rencontre, ô ciel ! C'est elle qui s'avance... v.601 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Elle augmente sans cesse, et je crains tous les yeux. v.611 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Quelle erreur ! v.628 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Je me rends le garant d'une flamme si belle. v.637 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qu'elle a contre l'hymen. Ah ! Qu'elle en juge mal ! v.640 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Si risible, en un mot, qu'elle en est incroyable. v.658 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Une franche coquette a-t-elle su lui plaire ? v.681 (Acte 2, scène 3, DAMON)
- Mais qui ne plaît qu'alors qu'elle n'y pense pas ? v.684 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Et vraiment oui, c'est sa femme, elle-même... v.690 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Elle a grand tort, vraiment. v.704 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Je suis sûr qu'elle en rit dans le fond de son âme... v.705 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Oui... Rien n'est plus plaisant... Quelle épreuve !... J'enrage. v.733 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- Pour qui donc cette histoire est-elle si risible ? v.738 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Oui, laissez la vertu du moins pour ce qu'elle est. v.748 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Nous jouerons celle-ci... messieurs, qu'en dites-vous ? v.760 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Elle sera l'épouse aimée à toute outrance : v.769 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Constance est prévenue, elle pourra penser v.796 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Que tu n'as refusé que par mépris pour elle. v.797 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Ta remarque est cruelle... v.798 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Quelle faiblesse ! v.802 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Il est donc vrai, cruelle ? v.834 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Qu'elle en a fait depuis une épreuve cruelle ! v.853 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Vous la voyez : elle est étrangère chez elle ; v.854 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Réduite, pour tout bien, au nom qu'elle partage v.857 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Oui, cruelle, malgré tout l'amour qui me presse, v.913 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Et celle à qui l'on donne ici toutes ces fêtes, v.937 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Sera-t-elle bientôt au rang de tes conquêtes ? v.938 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Vois comme elle a souffert toutes mes instances. v.1010 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- M'a-t-elle seulement honoré de ses larmes ? v.1013 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- En a-t-elle perdu le moindre de ses charmes ? v.1014 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Qu'on sache si madame a du monde chez elle. v.1041 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Chez madame ! Ma foi, l'ambassade est nouvelle. v.1042 (Acte 3, scène 9, HENRI)
- Pourvu qu'elle soit seule... aurai-je ce bonheur ? v.1043 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Sont chez elle apparemment. v.1048 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Oui, Monsieur, elle n'a que Florine avec elle. v.1054 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Lorsque j'appellerai ; que l'on se tienne prêt. v.1111 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Allons ; hé ! Qu'on me selle un coureur vif et frais. v.1112 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- C'est trop entretenir vos mortelles douleurs ; v.1119 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Vous vous reprenez donc pour elle de tendresse ? v.1130 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Elle se vengera, je vous en avertis. v.1132 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- La duchesse se plaint que, pour rompre avec elle, v.1133 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Et lui mieux déguiser une intrigue nouvelle, v.1134 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Je ne sais pas quel tour elle veut vous jouer ; v.1136 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Eh ! Bien, quelle réponse ? v.1149 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Elle est encore à faire. v.1149 (Acte 3, scène 15, HENRI)
- Je n'ai pu démêler quelle est la favorite. v.1153 (Acte 3, scène 15, HENRI)
- Cette insulte nouvelle, et s'en justifier : v.1160 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Notre explication sera plus naturelle, v.1161 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Et je serai bien moins compromis avec elle. v.1162 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Est-ce elle qu'il trahit ? Et pour surcroît de peines, v.1186 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Eh ! Qui sont-elles donc ? v.1198 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Une cruelle est rare ; on en trouve si peu, v.1279 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Qu'elle n'a point de prix. Retire ton enjeu. v.1280 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Quelle conclusion tirez-vous du renvoi ? v.1312 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Est-ce là le portrait de celle... en question... v.1336 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Infidèle !... Est-ce ainsi qu'on nomme une cruelle ? v.1338 (Acte 4, scène 8, DAMIS)
- Que dis-je ? Elle n'en eut jamais que l'apparence. v.1349 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Elle ne se faisait aucune violence. v.1361 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Hola... Quelqu'un... Ma femme, qu'elle vienne. v.1370 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Puisse-t-elle éviter les malheurs de sa mère, v.1409 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Elle est évanouie. v.1422 (Acte 4, scène 11, DAMON)
- Il faut la secourir ; permettez que j'appelle. v.1426 (Acte 4, scène 11, DAMON)
- Ah ! Ciel ! Quelle ressource accablante et funeste ! v.1429 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Je vois ce qu'elles craignent : v.1453 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Elles ne s'aiment pas ; mais accusez-en une, v.1499 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Protéger l'accusée, et s'enflammer pour elle ; v.1503 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Je vous plains ; mais que faire ? Elle a barre sur vous : v.1509 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Quelle vengeance affreuse exerce contre moi v.1513 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- J'avais beau m'enflammer et m'irriter contre elle, v.1535 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Quelle scélératesse !... ah ! Permets, cher ami... v.1561 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Et d'un autre côté, quelle affreuse vengeance ! v.1576 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Que fait-elle à présent... que faut-il que j'espère ? v.1587 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Pourra-t-elle survivre à de si rudes coups ? v.1590 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Sa blessure est mortelle, et j'en mourrai moi-même. v.1591 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Elle en impose à tous, et cache son état ; v.1594 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Elle fait les honneurs d'une fête importune, v.1596 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Dont elle ne croit pas être l'objet secret. v.1597 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Sois mon unique appui, ma ressource auprès d'elle ; v.1603 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Durval, elle t'abuse : v.1619 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Peut-elle désormais prendre aucune assurance, v.1623 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- C'est elle qui m'a fait demander cette grâce ; v.1628 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- De te substituer près d'elle adroitement. v.1638 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Ces reproches qu'elle a condamnés au silence : v.1643 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Elle est impatiente. v.1660 (Acte 5, scène 2, FLORINE)
- Quelle sera la fin de cet événement ? v.1661 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Car ce que j'ai vécu ne s'appelle pas vivre. v.1671 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Aux yeux de tout le monde elles m'allaient trahir : v.1689 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que sa honte offensante et cruelle pour moi, v.1741 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- « C'est trop entretenir vos mortelles douleurs ; v.1773 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- C'est ma femme, en un mot, c'est elle que j'adore. v.1798 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Lorsqu'une femme plaît, quoiqu'elle soit la nôtre, v.1805 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
L'ÉCOLE DES MÈRES (1745)
- Ma foi, tant pis pour elle. v.15 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Mais je ne connais point Mademoiselle Argant. v.24 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Ni moi : mais elle aura vingt mille écus de rente. v.25 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Eh ! Quand elle en aurait quarante ! v.26 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- J'ignore comme elle est d'esprit et de figure. v.29 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Elle est riche. à l'égard de l'esprit, je t'assure v.30 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Elle est jeune, au surplus ; et tout ce que j'en sçais, v.32 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Une mode, une étoffe, une robe nouvelle, v.77 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Des gazes, des pompons, des fleurs, une dentelle, v.78 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sa cousine est si belle ! ... v.88 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Il peut s'être avisé d'employer auprès d'elle v.90 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Tel est ce cher marquis d'impression nouvelle. v.125 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Un des plus grands travers qui troublent sa cervelle, v.126 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Qu'autant qu'elle est de mode, et qu'il voit autour d'elle v.128 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Plus le concours est grand, plus il la trouve belle. v.130 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Elle n'est pas si mal, au moins ! v.149 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Tiens, Rosette rougit ; elle te fait un signe. v.153 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Quand on est tête-à-tête avec elle en secret, v.156 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien, à la bonne heure ; elle est fort la maîtresse. v.163 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Elle peut vous gâter, comme elle a toujours fait. v.164 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Mais comme je n'ai pas la même ivresse qu'elle, v.165 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Quand Rosette se fâche, elle est encor plus belle. v.168 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Elle est d'une figure v.197 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Sans doute ; et cependant elle n'en fera pas. v.199 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Elle a le caquet amusant ; v.211 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais elle a l'esprit faux. v.212 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle est plus que jolie. v.213 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle a, comme tu sais, tout ce qui peut charmer. v.214 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Quelle est cette folie ? v.216 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Quelle extravagance est la vôtre ? v.223 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Quelle tête ! v.227 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Mais Marianne a-t-elle attiré votre hommage ? v.237 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Ah ! Marquis, quel projet ! Quelle malignité ! v.245 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Elle n'est point requise en ces sortes d'affaires. v.254 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu seras, en amour, une excellente dupe. v.261 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Oui ; ce n'est qu'elle-même. v.271 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- D'autant plus qu'elle est fine, et que jusques ici, v.273 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Avec elle, par-tout, on est hors de sa place ; v.289 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle suspend, arrête, et fixe les ressorts v.290 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle en ôte l'usage ; elle en ôte la grâce ; v.292 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle répand un air gauche, épais, et stupide. v.294 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle en chasse les ris, les jeux et la gaieté ; v.310 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle y met, à leur place, une langueur mortelle. v.311 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Quand on a de l'esprit, on peut se passer d'elle ; v.313 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- J'ai vu celle d'hier. v.331 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Elle est de ce matin. v.331 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- C'est qu'il n'était pas jour chez elle ; v.350 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Et qu'ainsi je n'ai pu voir que sa demoiselle. v.351 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- J'étais dans l'antichambre à causer avec elle, v.365 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Nous parlions d'amitié, quand la fausse femelle v.367 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- "Va-t-en, m'a-t-elle dit, au diable, avec ton maître. v.369 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Elle a beau vous aimer, elle ouvrira les yeux. v.424 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Vous avez une soeur, qu'elle vous sacrifie : v.425 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qu'elle pourrait fort bien la tirer du couvent, v.427 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- La demande est nouvelle ! v.476 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Son obstination me paraît bien cruelle. v.478 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Qu'elle porte son nom. v.507 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'elle reçoit sa nièce et refuse sa fille. v.508 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Je me jette à vos pieds. Je suis réellement v.514 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui : soyez content d'elle. v.519 (Acte 2, scène 2, MADAME ARGANT)
- Elle me connaît bien. v.520 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Elles n'allument point de véritables feux ; v.563 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Quelle est cette autre espèce ? Où s'adressent tes pas ? v.675 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mais quelles gueuseries ! v.697 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Moi ! La plainte est nouvelle ! v.703 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Tout le passé s'oublie, et n'est plus rien pour elle. v.706 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- C'est-à-dire qu'elle n'a rien. v.730 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Il ne trouverait plus d'occasion si belle. v.734 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- C'est une bagatelle... v.736 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Dans cet asile heureux, et par elle chéri, v.741 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Où peut-elle être mieux ? v.744 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Elle pense à lui seul, et ne veut point de gendre. v.764 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- J'espérais pour ma fille une chaîne si belle, v.776 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- D'ailleurs, cette beauté qu'il aime, quelle est-elle ? v.778 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Qu'elle voulait laisser dans un cloître éternel. v.796 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et n'imagine pas qu'elle soit chez son père. v.798 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Elle est dans la bonne foi. v.799 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Comment a-t-elle pu vous croire ? v.800 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Et n'étant que trop sûr qu'elle veut, malgré moi, v.809 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Dis-moi, ma chère nièce, es-tu bien avec elle ? v.830 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- L'heureuse nouvelle ! Achève ton ouvrage. v.843 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Quelle erreur est la vôtre ! v.847 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Vous m'aimez : je prévois avec quelles douleurs v.866 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Que je m'en vais l'aimer ! Qu'elle me sera chère ! v.877 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Mademoiselle, un mot. v.892 (Acte 2, scène 10, MAITRE-D-HOTEL)
- Avions-nous conservé celles de nos ancêtres ? v.912 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Elle veut au marquis assurer tout son bien ; v.949 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Elle n'a recueilli que des sujets de larmes. v.954 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Elle aurait dû s'en faire aimer. v.956 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne puis ni ne veux me brouiller avec elle. v.965 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Depuis notre hymen, l'union la plus belle v.966 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Elle n'avait pas l'âge indiqué par les lois. v.973 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Va remplir le projet dont elle est trop éprise ; v.1001 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Ceci change la thèse ; elle est bien différente. v.1022 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Pour la première fois, elle m'a caressée, v.1030 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Elle est donc bien intéressée v.1032 (Acte 3, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- Elle en espère tout. v.1033 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Vous me portez, dit-elle, une amitié si tendre v.1034 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Et si je réussis, elle m'a fait entendre v.1036 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Qu'elle aurait soin de mon destin. v.1037 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Que veut-elle ? Quelle est cette grâce si grande ? v.1042 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Loin de prendre parti pour elle, v.1053 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- À braver mon destin ? Quelle en serait l'issue ? v.1067 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- A-t-elle eu la faveur que je m'en suis promise ? v.1078 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ah ! Vous pouvez compter sur elle en toute chose. v.1080 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! L'a-t-elle gagnée ?... Eh ! Quoi ! Vous vous taisez ? v.1082 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Permettez que je vous rappelle v.1087 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Mais ma tante a raison ; elle se justifie. v.1106 (Acte 3, scène 3, MARIANNE)
- Elle sort du couvent. Voyez un peu ma nièce ; v.1121 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, voyez comme elle est : vous connaissez aussi v.1122 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Elle a tout-à-fait réussi. v.1124 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Elle a versé sur lui ses plus précieux dons. v.1140 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Avec elle, avec vous, je me flattais de vivre ; v.1183 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Elle a part, comme vous, à ma tendre amitié. v.1186 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Souffrirez-vous qu'elle ait un destin si funeste ? v.1190 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Bien, quelle est donc cette crainte imprévue ? v.1206 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Je me restreins pour elle au tiers, et même au quart. v.1227 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- C'est encore un prétexte, une ruse nouvelle, v.1232 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Auriez-vous par hasard quelque parti pour elle ? v.1235 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Quelle est donc sa pensée ? v.1242 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Telle qu'elle est enfin, on offre de la prendre ; v.1248 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Quelle trahison ! v.1253 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Ah ! Ciel ! Quelle erreur m'a trompé ! v.1281 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- La méprise n'est pas telle qu'on l'imagine. v.1301 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et par quelle raison ? v.1328 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Ah ! Pour moi quel bonheur, ou plutôt quelle gloire ! v.1354 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Quelle est donc cette histoire ? v.1355 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Qu'elle a sur mon époux un empire étonnant ; v.1375 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Et que, pour ainsi dire, elle en est adorée. v.1376 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Marianne, entre nous, vous est-elle connue ? v.1394 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui, lorsqu'avec mon père elle est ici venue, v.1395 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Une autre Demoiselle Argant ? v.1398 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Elle ne serait point sa nièce ? v.1410 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Et j'ignore à quel titre elle en a pris le nom. v.1411 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Ah ! Quelle découverte ! v.1412 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Qu'elle est morte avant lui, que rien n'est plus constant ; v.1422 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Mais vraiment je me le rappelle. v.1425 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Il est sûr de son fait. Ce ne peut pas être elle. v.1427 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Quelle affaire nous presse ? v.1468 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- La fête sera belle ! v.1473 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Et la future y sera-t-elle ? v.1474 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- D'abord, en me voyant, comme elle s'est aigrie ! v.1508 (Acte 4, scène 5, MARIANNE)
- Que zèle, que respect, que tendresse pour elle. v.1528 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- La prend d'une façon si brusque et si cruelle ; v.1530 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Elle disait, j'oublie en quelle conjoncture : v.1532 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- En un mot, elle est dans l'idée v.1542 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Cette infortune est réelle et publique. v.1557 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Je ne te connais point de nouvelle infortune. v.1560 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et par quelle aventure, à nulle autre pareille, v.1570 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Et ma tante elle-même, avec la dureté v.1574 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- La plus grande et la plus cruelle, v.1575 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Vient de me chasser de chez elle. v.1576 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Elle a poussé la cruauté v.1577 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Elle sait tout. v.1591 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Grand dieu ! Quelle infortune ! v.1591 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Elle fait son métier. v.1601 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Contre elle et contre moi, qu'elle est dans le dessein, v.1604 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Quelle turbulence ! v.1607 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Parbleu, c'est qu'elle sait, à n'en pouvoir douter, v.1608 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI P?RE)
- Que je suis chez vous et chez elle ? v.1614 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Ciel ! Je frémis de tout ce que je me rappelle. v.1616 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Elle ne sait donc pas sa véritable histoire ? v.1621 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Elle vient de partir. v.1628 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Ne m'abandonnez pas ; daignez prendre soin d'elle. v.1667 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Comment donc ! Eh ! Pour qui madame me prend-elle ? v.1674 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- On m'oblige, avec elle, à prendre mon parti : v.1693 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- L'objet de tous leurs soins. Ah ! Quelle différence ! v.1723 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ah ! Grand dieu ! Que j'étais cruellement séduite ! v.1755 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Eh ! Bien, quelle nouvelle ? v.1759 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- En a-t-on ? L'aventure est-elle aussi cruelle v.1760 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Lorsque trahi par elle et pris au dépourvu, v.1770 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Que celle qu'on acquiert à ses propres dépens. v.1824 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Monsieur, vous lui traciez une route assez belle ! v.1835 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Quelle est votre fortune ? v.1915 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- En effet, serait-elle ma nièce ? v.1931 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Que je suis coupable envers elle. v.1933 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je ne me flatte point qu'elle ait autant d'appas v.1938 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- En serait-elle dépourvue ?... v.1942 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Plus précieux, plus chers et pour vous et pour elle : v.1945 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Quels que soient vos desseins, elle y sera fidèle. v.1948 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Pour une mère qu'elle adore. v.1954 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Elle ne m'a point vue encore. v.1956 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Si je vous la pardonne ! Elle fait mon bonheur. v.1970 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Unir ma faible voix à celle de mon père ? v.1978 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Sa grâce. Elle sera la mienne. v.1997 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Je ne puis me résoudre à me séparer d'elle ; v.2010 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- C'est rendre encor plus chère une union si belle. v.2012 (Acte 5, scène 10, DOLIGNI-fils)
ÉCOLE DES AMIS (1749)
- Oui : mais, Monsieur, à peine est-elle refermée. v.5 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Quelle raison ! v.9 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- D'autant plus qu'elle va retourner au couvent. v.15 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Plut au Ciel !... quand j'étais un peu plus digne d'elle, v.21 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Je l'ai vue insensible à l'ardeur la plus belle. v.22 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Elle rentre au Couvent où le défunt l'a prise. v.58 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Elle y serait déjà retournée au plus vite, v.61 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Si l'éternelle tant attachée à sa suite, v.62 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- N'avait été malade : elle se porte mieux. v.63 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- À quoi servirait-elle ? On n'en a pas besoin. v.68 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Elle est riche, et très riche. v.69 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Tu sais, pour son neveu, quelle était sa tendresse ; v.89 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et qu'en le mariant à ta belle Maîtresse, v.90 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On exigera d'elle une autre obéissance. v.106 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On exigera d'elle une infidélité : v.107 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Elle n'en est pas moins l'objet de sa tendresse ; v.110 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il n'est qu'un mot qui serve. Hortense l'aime-t-elle ? v.118 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Elle-même, parbleu : Du moins je le suppose. v.121 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- De tout ce que l'on sait qu'elles savent très bien. v.128 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Oh !... la suite en est belle, et le chef-d'oeuvre est rare. v.133 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ils ont pris querelle en chemin. v.140 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Si depuis une année et plus qu'elle est ici, v.151 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- À quoi pensait Hortense ? Elle allait s'embarquer ; v.156 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Aurait-elle bien fait d'aimer auparavant ? v.167 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Qu'elle aille à sa Maîtresse apprendre ce discours. v.175 (Acte 1, scène 4, ARAMONT)
- D'abord que l'amitié balance, elle est trahie : v.198 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Quelle fatuité ! v.208 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Et c'est, grâce à mes soins, la nouvelle du jour. v.220 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Et moi, de la nouvelle... v.282 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Il ne dépend plus d'elle. Il faut qu'elle le fasse, v.314 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Et qu'enfin elle cède à la nécessité... v.315 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Une étroite amitié m'unissait avec elle. v.365 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Lorsque vous le pouvez, quelle erreur vous séduit ? v.452 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Que la décision n'est-elle en mon pouvoir ! v.463 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ou des Rivaux, ont fait courir cette nouvelle. v.470 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Elle n'en aura point sur ma reconnaissance. v.498 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Où naturellement les hommes sont enclins : v.572 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Tu l'auras égaré. C'est une bagatelle. v.585 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Je vais plus loin. Par tout ce que je me rappelle, v.586 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Qui, lui, m'aimer encore ? Ah, quelle erreur extrême ! v.594 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Parbleu, tu nous as fait une belle bévue ! v.649 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Laquelle ? v.650 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Quelle chimère ! v.662 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Que celle qui me nuit, en voulant m'être utile. v.666 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Le Baron me contait de plaisantes nouvelles. v.685 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Le Marquis m'en disait qui sont assez cruelles. v.686 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Entendons-nous un peu. Quelle est cette aventure, v.697 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Elle n'est point obscure. v.698 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Elle accorde au plus digne... v.703 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Que diable ! au bout du compte elle n'est pas tenable. v.746 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Et pour trancher le mot, elle est impertinente. v.790 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Et puisqu'il faut, contre elle, employer ce détour, v.807 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Oh ! jeunesse, toujours d'elle-même enivrée ! v.818 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Elle est, comme l'amour, hasardeuse et légère. v.845 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Depuis qu'elle a changé la face de ces lieux, v.864 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Quand la fortune change, et devient si cruelle, v.881 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Le coeur d'un malheureux devrait changer comme elle. v.882 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Dis-lui que je m'occupe à travailler pour elle. v.902 (Acte 3, scène 5, MONROSE)
- Je suis au désespoir ; la méprise est cruelle : v.905 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Madame quelle est-elle ? v.906 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Hélas ! qu'elle est heureuse v.917 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- En quelles mains allez-vous la remettre ? v.926 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- A-t-on quelques nouvelles ? v.957 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Oui, Madame, beaucoup ; et même assez cruelles. v.958 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Pourrais-je encore avoir de nouvelles douleurs ? v.959 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- La nouvelle n'a fait encore aucun éclat. v.996 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- C'est à quoi me réduit la fortune cruelle. v.1041 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Pour la première fois je murmure contre elle. v.1042 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Quelle chimère ! v.1062 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Quelle froideur funeste ? v.1089 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- L'action est si belle... v.1115 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- La fortune cruelle est-elle sans retour ? v.1136 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Mais d'un si grand malheur quelle sera la suite ? v.1141 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Qu'un malheureux amour. Ah, quelle destinée ! v.1158 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Elle offre... Ah ! je succombe à son malheur extrême. v.1161 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Vois comme elle m'écrit. v.1162 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Eh, quand elle pourrait régler son hyménée, v.1165 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que ferait-elle, hélas ! puisqu'elle est ruinée ? v.1166 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Elle est ruinée ? v.1167 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il n'est point d'elle. v.1186 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il n'est point d'elle ?... Eh ; mais elle me l'a donné. v.1187 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Quelle est ta frénésie ? v.1193 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Quelle fureur as-tu de signaler ton zèle ? v.1197 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que sais-tu si je veux qu'on me serve auprès d'elle v.1198 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Elle aurait supprimé cette lettre fatale, v.1205 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que sans doute elle a dû croire d'une rivale. v.1206 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Elle ne peut vous faire aucun bien désormais. v.1251 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Il me reste à gagner les biens qu'elle m'a faits. v.1252 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Parbleu, Mademoiselle, v.1261 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Ce sera malgré vous... Mais je la vois ; c'est elle. v.1262 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Vous m'apportiez, sans doute, une heureuse nouvelle ? v.1265 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Mon coeur impatient volait au devant d'elle. v.1266 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- D'où vient cet embarras ? Quelle est cette réserve ? v.1270 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- La gloire que mérite une action si belle, v.1285 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Devait s'ensevelir et se perdre avec elle. v.1286 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Mais quelle prévoyance, un peu trop importune, v.1306 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Que dis-je ? Elle prétend que tu t'es fait donner, v.1336 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Qu'elle indigne ressource as-tu mise en usage ? v.1346 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Elle avait fait porter chez moi ses diamants : v.1359 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Jusqu'à lui découvrir qu'elle était ruinée. v.1366 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Elle a, fans sourciller, appris cette nouvelle. v.1369 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Alors, pour votre honneur, et par pitié pour elle, v.1370 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Qu'elle n'est plus l'objet de votre attachement. v.1372 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- N'avez-vous pas rompu cette chaîne cruelle ? v.1374 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- De nouvelles vertus où l'on n'a que des vices ; v.1425 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Elle part à l'instant. v.1507 (Acte 4, scène 8, CLORINE)
- Remplissez mon idée ; elle est digne de vous ; v.1611 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Un sujet inutile est pour elle un fardeau. v.1636 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Quelles raisons ? En quoi suis-je ici nécessaire ? v.1641 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Depuis quand l'innocence a-t-elle des complices ? v.1650 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ah Ciel ! quelle noirceur ! Je deviens furieux. v.1667 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- L'horreur qu'on m'attribue est-elle imaginable ? v.1669 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Sans elle, notre honneur serait encore entier. v.1675 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- De mes jours malheureux elle est donc le fléau ? v.1683 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Quelle preuve opposer ? Où pourrai-je en trouver ! v.1719 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Clorine qui le sait, pourra-t elle se taire ? v.1729 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Qu'elle aurait par la suite éprouvé sans mes soins ; v.1736 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Quelle voix, quel objet vient s'offrir. v.1744 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Elle en est la ressource, et le plus sûr garant. v.1779 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Quelle audace ! Est-ce à vous que je dois mon retour ? v.1823 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Ô Ciel ! Quelle surprise ? v.1841 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Notre premier devoir nous appelle à la Cour. v.1875 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
LA GOUVERNANTE (1773)
- Vous ne pouviez finir. Lorsque je me rappelle... v.13 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- À qui notre jeunesse est-elle confiée ? v.29 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Hélas ! Pour l'ordinaire elle est sacrifiée. v.30 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Depuis six ou sept mois qu'elle a trouvé moyen v.35 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- La Baronne elle-même en a fait son amie, v.37 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Oui, votre tante a fait une fort belle emplette... v.42 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- elle a pour vous les yeux de la plus tendre mère ; v.73 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Et qu'avec un époux elle ne s'en console. v.77 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Tant de gens sont payés pour conspirer contre elle, v.93 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Pour lui tendre toujours une embûche cruelle ! v.94 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Vous n'aurez jamais eu d'occasion plus belle v.110 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- La raison même a tort, quand elle ne plaît pas. v.140 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Le temps adoucira ce qu'elle a de sauvage. v.142 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- À cette rareté que l'on appelle ainsi ? v.184 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mais ce n'est qu'un grand mot nouvellement admis, v.187 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Du bien, de la naissance, et telle autre chimère, v.194 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Quant à moi, j'en appelle ; elle est mal définie : v.197 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- La beauté, j'en conviens, peut, quand elle est réelle, v.205 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Inspirer un amour aussi passager qu'elle. v.206 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Pour peu qu'elle ait de jeunesse et d'appas, v.211 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mille perfections qu'elle aurait peut-être eues, v.214 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Elle peut tout risquer ; plus d'un adulateur v.216 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Et voilà tous nos sots enchantés autour d'elle. v.222 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ah ! Mon père, en effet, quelle erreur est la vôtre ! v.277 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Adorable Angélique, ah ! Quelle différence ! v.286 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Elle m'a tant aimé, que je dois me flatter v.291 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Elle-même. v.294 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Ah ! Ciel ! Quelle est ma joie ! v.294 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Dieux ! Elle me prévient. v.295 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Elle pensait à moi, s'occupait à m'écrire ; v.302 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Tu m'as trop bien servi près d'elle, v.305 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Et qu'elle ne veut plus vous voir ni vous entendre ? v.322 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Certaine gouvernante a sur elle un empire, v.338 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Que, pendant votre absence, elle a jusqu'à ce jour v.339 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- J'aurais vécu pour elle, et je vivrai pour moi. v.351 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Elle apprendra qu'on peut cesser de l'adorer. v.355 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Voyons ce que sur elle ont produit mes avis ; v.379 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et si, pour son bonheur, elle les a suivis. v.380 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- J'ignorais qu'on aimât si fort ces bagatelles ; v.385 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je n'ai pu m'en priver sans des peines mortelles : v.386 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle a pensé vous perdre, et sa fausse amitié v.391 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qu'elle ose concevoir contre toute apparence. v.418 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et par quelle raison ? N'est-elle pas ma tante ? v.426 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle ne vous est rien, le rapport est fidèle. v.429 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Depuis plus de quatre ans que je suis avec elle, v.430 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle fait tout pour moi. v.431 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ah ! Grands dieux ! Et ma mère alors que devint-elle ? v.445 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Votre mère ! Jugez de sa douleur mortelle ; v.446 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle comptait alors se réunir à vous, v.452 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Dans les bras de la mort elle resta longtemps ; v.456 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- À peine elle en sortait que ce bienfait modique, v.457 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle n'a pu survivre à ce coup si funeste ; v.461 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ne comptez plus sur elle, et revenons à vous. v.463 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle vous prodigua ses généreux secours : v.471 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle vous prit chez elle, et sa vive tendresse v.473 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Quelle différence ! v.475 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle aime la vertu, son coeur est généreux : v.500 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle est riche, elle y peut assurer votre sort. v.504 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et par quelle raison ? v.530 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Ayez pour tout instinct celui qu'elle vous prête, v.537 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- À revenir à nous, si-tôt qu'on les rappelle ? v.553 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Non ; l'art d'aimer a pris une forme nouvelle : v.554 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Ah ! La belle finesse ! v.575 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- À qui, diantre, en veut-on ? Quelle est cette aventure ? v.591 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Elle est de mon perfide. v.593 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Oui, Juliette, elle en est ; c'est à moi qu'il écrit, v.594 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Quelle était mon erreur ! v.597 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Est un état cruel. Mais quelle différence ! v.600 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Autre insulte mortelle. v.607 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Tu dois la reconnaître, est-ce elle ? v.625 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Eh ! Bien, mademoiselle en est dans un courroux v.626 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Quelle explication faut-il que je vous donne ? v.641 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Quelles sont ces alarmes ? v.678 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Sait-elle seulement qu'elle est sans espérance ? v.714 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Elle ne sait qu'aimer, et ne sait rien prévoir. v.719 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Je frémis ; ôtez-vous cette frayeur mortelle. v.725 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! L'amour et l'hymen ne sont pas faits pour elle. v.726 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Elle ne servira que d'un attrait de plus. v.739 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Elle est femme du monde, et n'en fera que rire : v.761 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- C'est elle qui me cause aussi le plus d'effroi. v.763 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Quelle enfance ! Eh ! Qui peut, malgré vous, malgré moi, v.764 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Vous contraindre à rester ainsi sous sa tutelle ? v.765 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Je n'en ai pas moins qu'elle. v.766 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Je ne sais, mais je sens qu'elle ne me dit rien, v.767 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Quelle conviction tient contre ce qu'on aime ? v.770 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- D'agréer les horreurs d'une éternelle absence. v.798 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Une épreuve cruelle. v.805 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Cruelle ! On vous aidait à vous l'imaginer ; v.807 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Elle les aura vues : v.821 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous n'en recevrez point qu'elle ne les ait lues ; v.822 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Elle s'en servira, vous dis-je, à mes dépens, v.823 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ah ! Quelle tyrannie ! v.869 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- D'ailleurs, elle est charmante. Enfin, l'on vous préfère. v.989 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ce bienfait-là devient une dette éternelle, v.1005 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Dont on ne peut jamais s'acquitter avec elle. v.1006 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Votre Angélique est folle, elle me désespère ; v.1022 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Elle est dans le jardin qui s'occupe à rêver. v.1028 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- L'ai-je à ma garde ? Elle est, ce me semble, assez grande v.1034 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- J'obéis à madame, elle peut ordonner ; v.1036 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Et de quelle importance est pour moi mon secret, v.1068 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Et jamais de ma part elle n'en saura rien. v.1071 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Ciel ! Quelle est ma surprise ! v.1097 (Acte 3, scène 10, LA BARONNE)
- Est-elle du secret ? v.1105 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Elle sait tout. v.1105 (Acte 3, scène 10, LA BARONNE)
- De quel droit, s'il vous plaît, prenez-vous sa querelle ? v.1113 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Ah ! Je n'en ai que trop, je puis parler pour elle ; v.1114 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Elle a tout refusé ; ce n'est point par fierté, v.1116 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Par dédain, par mépris ; elle en est incapable. v.1117 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- La victime en appelle ; v.1121 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Il a cru bien juger, il est quitte envers elle. v.1122 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Vous ne la vaincrez point, elle est déterminée : v.1126 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- N'en parlons plus ; elle a subi son jugement, v.1127 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et tout ce qu'elle fut, comme un songe effacé v.1132 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- C'est tout ce qu'elle veut. v.1135 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Pardonnez ma surprise, elle est trop légitime ; v.1137 (Acte 3, scène 11, LE PRÉSIDENT)
- Dieux ! Qu'elle m'a rendu confus et malheureux ! v.1140 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Elle veut à jamais me laisser mon forfait. v.1144 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Eh ! C'est trop se venger : unissons-nous contre elle. v.1145 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Je prétends m'acquitter ; la dette est trop cruelle. v.1146 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- J'admire, entre elle et vous, ces généreux combats. v.1147 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- J'en ressens, comme vous, une peine mortelle : v.1150 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- Elle rêve... feignons de ne l'avoir pas vue, v.1153 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- N'offre pas d'elle-même une riante image ; v.1190 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et quelle est la future ? v.1205 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Et qu'elle n'aperçoit que lorsqu'il n'est plus temps. v.1267 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne l'a que trop vu s'envoler avec elle, v.1298 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Qu'elle cache avec soin ? v.1321 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Elle a tort ; il lui plaisait de croire v.1325 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Tenez, demandez-lui ce qu'elle a dans la tête. v.1330 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Dont elle vous a fait l'aveu trop indiscret. v.1336 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et c'est entre vos mains que je le renouvelle. v.1357 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! Soyez moins cruelle, v.1358 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Qu'elle ne compte point remplir votre projet ; v.1364 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Elle adore Angélique ; et, malgré votre zèle, v.1365 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Elle n'a pas dessein de se séparer d'elle. v.1366 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Avec elle, en un mot, abandonnez ces lieux, v.1371 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- L'espérance tient lieu des biens qu'elle promet. v.1379 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle a beau m'être chère, v.1390 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je frémis ! Elle est femme à lui révéler tout. v.1403 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Qu'est-ce qu'elle m'annonce ? v.1405 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Elle est entre mes mains, et je vous la remets. v.1408 (Acte 5, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Voyez. Pouvais-je prendre une chaîne plus belle ? v.1421 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- C'est donc avec mademoiselle ? v.1422 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- À ce premier objet d'une flamme si belle, v.1445 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Oui, le ciel a tout fait. Eh ! Quelle illusion ! v.1447 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Qu'elle ne m'est rien. v.1467 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Oui, monsieur, elle me veut du bien ; v.1468 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quelle énigme ! v.1473 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Laissez-moi... serait-elle ?... Allons voir de ce pas v.1480 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Ni pour moi, ni pour vous, elle n'est pas visible : v.1498 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- C'est un fait : elle est comme enchaînée ; v.1501 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Et La Baronne est-elle aussi d'intelligence ? v.1510 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Non, cruelle. v.1524 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quelle fatalité nous a fait rencontrer ! v.1540 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous a-t-elle en mourant laissé tout son pouvoir ? ... v.1572 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Elle vit ? v.1575 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je vous pardonne tout. Ah ! Ciel ! Quelle est ma joie ! v.1577 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Cruelle ! Il est donc vrai que vous lui pardonnez ! v.1615 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Elle triomphe encore ! v.1617 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Si vous saviez combien elle doit m'être chère ! v.1618 (Acte 5, scène 5, ANGELIQUE)
- Madame... dites-vous... elle aurait ce bonheur ? v.1620 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Elle doit en faire aussi la sienne. v.1621 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Sa mère me l'arrache, elle emporte ma vie. v.1638 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
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Dans les 1907 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,31 % des textes) dans lesquels il y a 887 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 147,83 occurences par texte.
n° | Titres | Prologue | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Total |
1 | LA FAUSSE ANTIPATHIE | 26 | 24 | 43 | 26 | 0 | 0 | 119 |
2 | AMOUR POUR AMOUR | 28 | 68 | 34 | 13 | 0 | 0 | 143 |
3 | LE PRÉJUGÉ À LA MODE | 0 | 43 | 39 | 29 | 20 | 22 | 153 |
4 | L'ÉCOLE DES MÈRES | 0 | 54 | 31 | 39 | 40 | 23 | 187 |
5 | ÉCOLE DES AMIS | 0 | 31 | 21 | 34 | 21 | 15 | 122 |
6 | LA GOUVERNANTE | 0 | 36 | 42 | 43 | 0 | 42 | 163 |
Total | 54 | 256 | 210 | 184 | 81 | 102 | 887 |