Occurences de l'expression
ne
pour NIVELLE DE LA CHAUSSEE, Pierre Claude
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LA FAUSSE ANTIPATHIE (1734)
- On ne se plaindra plus que je suis indocile. v.1 (Prologue, scène 1, LE GÉNIE)
- Son projet est digne de moi. v.7 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Si vous ne daignez pas vous en expliquer mieux... v.10 (Prologue, scène 2, LE GÉNIE)
- Comment ? Vous ajournez le public en ces lieux, v.11 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Vous m'étonnez. Puis-je mieux faire ? v.17 (Prologue, scène 2, LE GÉNIE)
- Lui, qui ne fut jamais d'accord avec lui-même ? v.20 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ne lui demandez pas ce qu'il ne jamais sut. v.21 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ce qui le détermine est toujours imprévu : v.22 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Son goût est pour lui-même une énigme éternelle. v.24 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Le public n'est pas tel que vous le dépeignez ; v.25 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Du moins, le véritable : et vous vous méprenez. v.26 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Enfants de l'ignorance, ennemis du bon-sens, v.41 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Un premier mouvement qui ne se soutient pas. v.43 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Sa joie et ses plaisirs ne sont point un délire, v.44 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Il ne rougit jamais de ce qui l'a fait rire ; v.46 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Bon-Sens, vous radotez. Ils m'appartiennent tous. v.48 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- De quel droit venez-vous ici me tenir tête. v.49 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ne vous lassez-vous point de vous y voir sifflée ? v.54 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Vous l'êtes tous les jours ; jamais je ne le fus. v.55 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Envers et contre-tous ; je ne ménage rien. v.64 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Le sexe dont je suis ne vous rend guère hommage : v.73 (Prologue, scène 3, LA PRÉCIEUSE)
- Personne, en vérité, ne s'exprime comme elle. v.78 (Prologue, scène 3, L'ADMIRATEUR)
- je vous prône sans cesse; et c'est, comme dit l'autre, v.83 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Vous savez l'embarras que mon emploi me donne ; v.85 (Prologue, scène 3, LE GÉNIE)
- Je voudrais, s'il se peut, ne déplaire à personne ; v.87 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Donnez m'en le secret ; vous le savez ? v.89 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Convenez entre vous ; déterminez ma route ; v.90 (Prologue, scène 3, LE GÉNIE)
- Dites-moi votre goût ; ordonnez vos plaisirs. v.92 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Oui, j'aimerais assez une pièce égayée. v.101 (Prologue, scène 3, L'ADMIRATEUR)
- Est-ce qu'on ne rit plus ? v.103 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Vous me la donnez belle ! Et, par quelle aventure... v.104 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Vous ne louez donc jamais ? v.114 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- C'est le Bon-Sens qui fait que jamais je ne loue. v.121 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Un dégoût général désigne un esprit faux. v.128 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Qui n'est jamais content, n'est pas digne de l'être. v.129 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Qui ne sont bine souvent que dans son propre goût, v.132 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- A donner un spectacle un peu moins détestable. v.136 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Armez-vous de ses traits ;devenez satyrique. v.140 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Comme on voit une tendre mère v.145 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Ce n'est plus aujourd'hui qu'une affreuse marâtre, v.149 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Aides-les à se faire une guerre cruelle ; v.157 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Empoisonnez encore leur haine mutuelle. v.158 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- N'épargnez à pas un la plus forte satyre ; v.160 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Vous ne pouvez mieux faire. v.163 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Prenez le ton philosophique ; v.172 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Mais ne lui donnez pas des allures trop basses. v.176 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Toujours enveloppé d'une tendre crépuscule. v.178 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Faites-vous deviner, vous plairez à coup sûr. v.179 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- D'heureuses libertés sont bine récompensées, v.183 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- J'imagine l'entendre, ou du moins je l'admire. v.189 (Prologue, scène 5, L'ADMIRATEUR)
- Hé ! Mais rien n'est plus clair. Je ne pourrais mieux dire. v.190 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- Donnerons-nous encor dans ce tatillonnage ? v.195 (Prologue, scène 5, LE GÉNIE)
- Ismène ouvre, ce soir, son cercle académique. v.204 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Une pièce d'un goût Métaphysi-comique ; v.206 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- La bonne connaissance ! v.215 (Prologue, scène 6, LE BON-SENS)
- J'ai pour tous les auteurs une estime infinie : v.219 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Je ne sifflai jamais aucun d'eux de ma vie. v.220 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Tout homme qui s'adonne à divertir autrui, v.221 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- À l'heure du dîner, pour leur commodité, v.226 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Quiconque admire tout, ne se connaît à rien. v.230 (Prologue, scène 6, LE GÉNIE)
- Cela sent son poète une lieue à sa ronde. v.236 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- C'est toute une autre espèce, un être de raison. v.237 (Prologue, scène 7, LA FOLIE)
- Nous ne valons qu'autant que nous nous faisons voir, v.249 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- La sienne pour le mieux. J'ai la mienne à songer. v.264 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Ne nous donnez jamais que des pièces nouvelles ; v.283 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Prenez-double, rendez vos plaisirs impayables ; v.285 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Vous n'étrennerez pas, si cela continue. v.291 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Cela ne doit jamais empêcher de parler. v.296 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Jamais je ne décide. v.300 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- On ne dit jamais rien qui ne soit convenable. v.306 (Prologue, scène 8, LE BON-SENS)
- Ce ne sont que des préjugés. v.310 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Qu'on ne voit qu'une fois, que jamais on ne lit, v.317 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Où l'esprit et le coeur ne font aucun profit. v.318 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Une intrigue cousue à des scène brochées ? v.320 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Quelle nécessité d'imaginer des hommes ! v.326 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- C'est assez des travers que chacun d'eux se donne. v.328 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Peignez les tels qu'ils sont. Un ridicule outré v.329 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Fait rire, et cependant ne corrige personne. v.330 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Toutefois je n'en tire aucune autorité. v.333 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Que ne m'est-il permis d'y borner tous mes soins ? v.338 (Prologue, scène 9, LE GÉNIE)
- On ne gagne souvent que de l'incertitude. v.342 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Laissez-moi sur la scène un souverain empire ; v.344 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Je ne veux rien avoir à débattre avec lui. v.346 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Et Melpomène encor, par dessus le marché. v.348 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Je ne puis, Au on-sens je suis trop attaché. v.349 (Prologue, scène 9, LE GÉNIE)
- Qui, moi ? Que je m'unisse avec un raisonneur. v.352 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- La fléau de tous ceux qui deviennent sa proie, v.357 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Que je répands à pleines mains ? v.359 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Encor plus ennuyés que les mânes plaintifs, v.368 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Vous ne manquerez pas de prodiges nouveaux. v.379 (Prologue, scène 10, LE BON-SENS)
- La Folie en tous temps, est bonne à ménager. v.386 (Prologue, scène 6, LE GÉNIE)
- Je n'ai rien à donner. v.394 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Est-ce une bonne aubaine ? v.395 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- C'est l'essai d'un auteur que je connais à peine. v.396 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Je ne sais ;j'y voudrais une fable mieux faite, v.402 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Un peu plus de comique, et l'intrigue plus nette. v.403 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Léonore a toujours une mélancolie v.407 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- On veut qu'une maîtresse ait l'air vif, sémillant ; v.409 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Un fou cherche une folle, et la trouve de reste. v.411 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- L'état de Léonore est cruel et funeste. v.412 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- L'histoire d'une femme est toujours un roman. v.414 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Ce ne fut point l'amour qui la mit en ménage ; v.416 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Mais, en sortant du temple, un jeune téméraire, v.419 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- D'un ennemi puissant, cet époux prit la fuite. v.424 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Que ne ferait-on pas pour fuir ce qu'on abhorre ? v.428 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Mais je ne vois point là tant de sujet d'ennui ; v.434 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- S'il ne réussit pas dans ses justes poursuites, v.439 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Géronte a pour sa nièce une tendre amitié ; v.441 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Mais tu sais qu'on ne peut vivre avec sa moitié. v.442 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Que d'être à la merci d'une maudite prude, v.444 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Elle a, d'un premier lit, une fille à pourvoir. v.449 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Les femmes ne sont pas tout ce qu'elles paraissent. v.467 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- J'en aurai le coeur net. v.468 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Pour toi, l'on ne sait plus désormais où te prendre. v.476 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Il a pourtant bien fait de ne pas s'enflammer. v.482 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Va, ce malheur pour lui ne fut jamais à craindre. v.484 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Peut-être je pourrais en soupçonner Damon. v.490 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Mais de pareils amans ne sont plus qu'en idée. v.491 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- À présent une intrigue est bientôt décidée : v.492 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- On ne se donne plus le tems d'être enchaîné : v.493 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- On exagère un feu qui n'est qu'une étincelle ; v.496 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Mais accorde-toi donc, Nérine, avec toi-même. v.508 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- On ne peut vous aimer ? L'obstacle est imprévu. v.513 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Ah ! C'est trop voir. Finis ; je ne veux plus t'entendre. v.527 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Pourraient causer encore une faiblesse ? v.531 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Nérine, tu me perds. v.533 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Ne me rappelle plus le malheur de ma vie, v.540 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- À peine j'achevais ma première saison, v.542 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Avec les préjugés dont la jeunesse abonde. v.544 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Une mère absolue, abusant de ses droits, v.545 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- On ne m'honora pas d'une seule entrevue. v.551 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je fus au temple ; et là, sans détourner la vue, v.552 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Le diable qui l'amène a bien mal pris son temps. v.570 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Vous deviendrez, madame, une seconde fille, v.579 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Que la fortune aura mise dans ma famille ; v.580 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Épargnez-vous de vains remerciements. v.585 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Assez, pour l'amener au point dont il s'agit. v.594 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il est d'une réserve incivile et piquante. v.600 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il ne cite jamais ni lui, ni ses ayeux. v.605 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je sors ; il ne faut pas qu'il me trouve en ce lieu. v.622 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Vous ne mettrez en jeu ni moi, ni la future. v.623 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Nérine... v.635 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Voilà des intérêts remis en bonnes mains. v.638 (Acte 1, scène 5, NÉRINE)
- Je ne puis y songer ni pour moi, ni pour elle. v.640 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Imagine une excuse, et reçois sa visite. v.644 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Que de mettre en danger mon honneur et ma gloire. v.648 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- À ne point voir Damon, ne vous obstinez plus. v.649 (Acte 1, scène 5, NÉRINE)
- Que ne l'ai-je évité ! v.654 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Une société qui vous amuse mieux. v.658 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Des motifs plus pressants, d'autres peines secrètes... v.660 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Je fais ce que je dois, et plus que je ne puis. v.662 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mon honneur, ma raison, le danger, ma faiblesse ; v.664 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Ah ! Madame, daignez m'écouter sans courroux. v.666 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Quelqu'un l'ignore-t-il ? Non, jamais on ne peut v.674 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mais je ne puis répondre à ce qu'elle souhaite. v.676 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Vous ne l'aimez donc pas ? v.680 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Du refus que je fais de prendre cette chaîne. v.683 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Sa pénible amitié se changerait en haine. v.684 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Tenez monsieur, j'ai peine à croire au merveilleux : v.694 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Puisque vous m'y forcez, apprenez mon état. v.701 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mon vainqueur ne pourrait répondre à mon amour. v.705 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Un prompt événement peut changer mon destin. v.710 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Partez, monsieur, partez ; vous ne pouvez mieux faire. v.711 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Nérine, je l'aimais... Sa présence funeste v.715 (Acte 1, scène 7, LÉONORE)
- Je ne puis qu'approuver un trop juste dépit. v.721 (Acte 1, scène 7, NÉRINE)
- Qu'un prompt événement peut changer sa fortune ? v.723 (Acte 1, scène 7, N?RINE)
- Ah ! Ne te donne point une gêne importune. v.724 (Acte 1, scène 7, LÉONORE)
- Quand la nécessité ramène ma raison, v.725 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Pour ne plus voir Damon, qui part dans un moment, v.729 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Ah ! Te voilà, Nérine ! Enseigne-moi mon maître. v.731 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Si j'en sais rien, je veux être étranglé tout net. v.734 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Il n'a fait, que je sache, aucune connaissance ; v.740 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Oh ! S'il est marié, ce que je ne puis croire, v.743 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- J'y vais dix fois pour une, et toujours sans succès ; v.749 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ma foi, je ne sais point quelle est leur manigance. v.751 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Pourrais-tu deviner ce que ce papier chante ? v.755 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Je ne sais pas pourquoi j'ose encore espérer. v.758 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Orphise ne vient point ? v.760 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Ne m'abandonne pas. v.762 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Une personne unique, une femme adorable. v.764 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Des noms aussi flatteurs ne me conviennent point : v.765 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Et vous me surprenez, madame, au dernier point. v.766 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Vous me voyez sensible, on ne peut davantage. v.771 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Mais ne venez-vous pas d'empêcher son départ ? v.774 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Damon reste pourtant ; les ordres sont donnez. v.777 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Cela peut être vrai ; mais vous me l'apprenez. v.778 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Damon ne peut quitter un séjour qu'elle habite. v.784 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Oui, je n'ignore pas qu'une femme à votre âge, v.787 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Elle voudrait que tout lui devînt personnel ; v.789 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- N'en reconnaître aucune, et dominer partout. v.793 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Oui, je sais qu'une femme aime un peu trop à plaire ; v.795 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Dans l'arrière-saison, on ne fait qu'en changer ; v.797 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- L'esprit de charité paraît une faiblesse ; v.807 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Apprenez que Damon ne peut être à Julie. v.815 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Ah ! L'énigme est assez facile à deviner. v.821 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Damon devait cesser de nous importuner. v.822 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Mon repos, mon honneur, tout en est la victime. v.828 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Nérine, quelle horreur ! On me croit la maîtresse v.832 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Une prude jamais n'a bien pensé d'autrui. v.834 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- C'est assez qu'une histoire attaque notre honneur, v.838 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- On n'examine rien ; et la crédulité v.841 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Je ne m'étonne plus si tant d'infortunées v.843 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Se plaignent, tous les jours, d'être à tort condamnées. v.844 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Je vois bien à présent qu'une femme d'honneur, v.845 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Dis-moi la vérité. Ne m'as-tu point trahie ? v.847 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Cependant il s'obstine à rester en ces lieux. v.850 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Je ne sais que penser ; je ne sais que conclure. v.852 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Il faut donc m'éloigner, il faut que je me chasse. v.856 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Mais il devinera que c'est lui que je fuis. v.857 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- On ne dit par écrit que ce que l'on veut dire. v.860 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Mon ennemi s'apaise après tant de débats. v.866 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Se porte à dénouer la chaîne qui nous lie ; v.868 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Ce projet, que ses gens viennent de m'envoyer. v.870 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- J'ai donné ma parole ; on répond de la sienne. v.871 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Ainsi, dans quelque endroit que ma femme se tienne, v.872 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Nous nous verrons bientôt, pour ne nous plus revoir. v.873 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Qu'il m'est doux de briser une odieuse chaîne ! v.875 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Je tiens notre rupture infaillible et prochaine ; v.876 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Il ne nous manque plus qu'une formalité v.877 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- En attendant, cessons une feinte importune : v.879 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Allons à Léonore annoncer ma fortune. v.880 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Voyons si mon amour... mais j'aperçois Nérine. v.883 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Ah ! Monsieur, j'imagine v.884 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Je ne le ferai pas. v.890 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- En vérité, monsieur, je ne vous comprends pas... v.893 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Elle est en bonnes mains ; et, puisqu'elle te plaît, v.897 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Oui ; c'est une bagatelle : v.899 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Nérine, je voudrais qu'elle eût été plus belle. v.900 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- On ne saurait prévoir des tours de cette espèce. v.903 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Puisqu'on ne peut parler à ta belle maîtresse, v.904 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Tu lui donneras bien un billet de ma part. v.905 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Je ne sais, à présent que j'ai le diamant, v.909 (Acte 2, scène 7, NÉRINE)
- Tu sais apprivoiser l'honneur le plus sauvage ; v.915 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Tu mènes où tu veux la fille la plus sage. v.916 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Je ne me croyais pas tant de fragilité. v.918 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Je répare une faute avec une sottise. v.920 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Damon ne voudra pas reprendre son présent : v.921 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Il ne démordra pas, je finirai par prendre : v.924 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Tiens, donne à ta maîtresse... v.927 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Donnez, je remettrai chacune à son adresse. v.928 (Acte 2, scène 8, NÉRINE)
- Madame avait quelque ordre à me donner ? v.929 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Vous le deviez attendre ; et je dois m'étonner v.930 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Une raison heureuse, ou du moins légitime, v.932 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Épargnez-vous le soin v.933 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Vous ne devez plus avoir rien à me dire. v.940 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Apprenez donc mon crime, avant de me punir. v.942 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Il est vrai. Pardonnez cette dernière instance. v.944 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Je ne veux rien savoir... v.947 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Hélas ! Daignez m'entendre. v.947 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Aurait dû ne jamais appartenir qu'à vous. v.954 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Une heureuse rupture v.959 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous dégage tous deux d'une chaîne trop dure. v.960 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Loin de favoriser cette indigne rupture, v.983 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Je ne puis profiter de sa triste aventure. v.984 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Une chaîne, à tous deux également cruelle, v.987 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Au déplorable objet d'une haine invincible. v.991 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous ne romprons pas moins nos liens rigoureux. v.994 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ma femme n'eut pour moi qu'une haine mortelle ; v.995 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Dont vous allez causer l'éternelle souffrance ! v.1003 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- N'ajoutez pas encore à mon état funeste v.1008 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Ne l'emporteraient pas sur la moindre tendresse. v.1012 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ferme, tenez-vous bien. v.1019 (Acte 2, scène 9, NÉRINE)
- Pardonnez-moi, madame. v.1023 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Pour vous, apparemment, c'est une bagatelle ; v.1027 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Ou bien vous m'avez dit une fausse nouvelle. v.1028 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- On va briser sa chaîne ; il me l'a dit lui-même. v.1031 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Madame, il devient libre, et vous ne l'êtes plus. v.1038 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- C'est une sympathie invincible, absolue, v.1043 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Vous survivrez, madame, à de plus grandes peines. v.1047 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- La mort de votre époux n'a point brisé vos chaînes : v.1048 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Une fille aisément se prévient, et s'entête ; v.1059 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Et bien, je vous dirai qu'ils reviennent au même. v.1063 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Hélas ! Pour éviter une infortune extrême, v.1064 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Que ne me laissait-on finir mes tristes jours ? v.1066 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Il ne m'en resta pas la moindre incertitude. v.1071 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Et l'amour en devait empoisonner le reste. v.1075 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Damon vint dans ces lieux. C'est l'époque funeste v.1076 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Il faudra bien éteindre une flamme importune. v.1079 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Et d'ailleurs, quelle est donc cette grande infortune ? v.1080 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Dont il accablerait une épouse infidèle, v.1087 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Que peut-être il voudrait retrouver criminelle ? v.1088 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Abandonnez enfin le nom de Léonore. v.1091 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- La feinte vous rendrait plus criminelle encore. v.1092 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- D'autre ressource enfin ne vous est plus permise. v.1096 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Nous nous retrouverons ; et plutôt dix fois qu'une. v.1107 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ne nous imposons point une gêne importune, v.1108 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Vous croyez que le tems ne vieillit que les hommes ? v.1112 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Est passé pour ne plus revenir. v.1113 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Monsieur, entendons-nous une fois dans la vie. v.1115 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- L'apostrophe est commune, et même déplaisante. v.1124 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Il revient, c'est à quoi je ne m'attendais guère : v.1127 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ont arrêté les miens, quand j'allais terminer : v.1129 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Mais d'une autre façon j'ai su me retourner, v.1130 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Car elle ne sait pas ce que j'ai fait pour elle. v.1135 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- En vérité, j'ai plaint sa fortune cruelle. v.1136 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Mais cependant, pour certaine raison, v.1137 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Allons la préparer à cet événement. v.1157 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- La femme est une espece à qui rien ne ressemble ; v.1163 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Ne vous chagrinez pas d'un portrait si flatté. v.1173 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Une femme, à tout âge, est un enfant gâté. v.1174 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Le mépris pour le sexe est un air qu'on se donne, v.1175 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Qui n'est, en vérité, convenable à personne. v.1176 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- J'avais fait jusqu'ici certaine exception... v.1178 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Une. v.1179 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Pour nous quelle fortune ! v.1180 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Diable ! Je ne sais plus ce que je voulais dire. v.1183 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- C'est votre nièce, à qui vous faisiez cet honneur ? v.1185 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Un travers véritable, un faux raffinement, v.1189 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Venez, monsieur, venez vous unir avec nous ; v.1202 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Un mot de ce qu'on aime a toute une autre force. v.1207 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Déterminez un coeur fortement combattu. v.1209 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ne l'abandonnez pas à sa triste vertu. v.1210 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Quand ma nièce peut rompre une chaîne cruelle, v.1215 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ne veulent pas permettre une union si belle. v.1219 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Vous, donnez un conseil plus sage et plus utile. v.1224 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Ne la voyez jamais. v.1225 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Quand on ne s'aime point, aisément on s'oublie. v.1232 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Quand on ne s'aime point ? v.1233 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ceci ne laisse pas d'être incompréhensible. v.1235 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Mon secret doit ici n'être su de personne. v.1243 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Ce nom m'a fait frémir ; et ce rapport m'étonne. v.1244 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- C'est peut-être le nom de certaine beauté, v.1245 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Qui vous a fait, sans doute, une infidélité. v.1246 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Victime d'un penchant devenu criminel, v.1249 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- J'allais m'envelopper d'un opprobre éternel ; v.1250 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- D'un époux, qu'on ne peut abandonner sans crime. v.1252 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Sont des inventions pour orner des romans. v.1254 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- La morale est légère, et ce n'est pas la mienne. v.1255 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Monsieur, que voulez-vous que madame devienne ? v.1256 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Elle aille ensevelir une épouse craintive, v.1259 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Ou mener une vie errante et fugitive ? v.1260 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Ah ! Ne m'engagez point à de nouveaux combats. v.1270 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Mon coeur n'a pas besoin d'une épreuve cruelle. v.1271 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Hélas ! Que craignez-vous ? À quoi servirait-elle ? v.1272 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ce sont de vains regrets que je ne puis entendre. v.1276 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Vous l'étendez plus loin qu'il ne devrait s'étendre. v.1279 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Je n'imagine pas qu'une femme de bien, v.1285 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Il faut un front d'airain pour donner ce scandale. v.1287 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ne vous en flattez pas. v.1289 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Je ne risquerai point d'être tympanisée. v.1291 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Que personne ne croit, et dont chacun se moque v.1296 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Suborner des témoins, gagner des partisans ; v.1297 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Je ne puis seulement soutenir cette idée. v.1303 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Eh ! Mais, pardonnez-moi. v.1305 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Daignez lui pardonner. v.1309 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- À sa discrétion, je veux m'abandonner. v.1310 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Peut-être que l'absence, et son état funeste v.1311 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Je ne vous parle point du désespoir affreux v.1317 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- J'avais pris dans vos yeux une fausse espérance. v.1320 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ne vous promettez rien des pleurs que je répands. v.1325 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Notre hymen ne peut plus devenir légitime. v.1327 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Vous avez une épouse. Imitez-moi tous deux : v.1329 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Sa haine ou son amour ne m'intéressent plus. v.1333 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ne consent-elle pas que nos fers soient rompus ? v.1334 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Si ce n'était pour prendre une chaîne nouvelle ? v.1336 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Pourquoi s'abandonner au torrent des scrupules ? v.1343 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Un jeune écervelé qui laisse sa compagne, v.1347 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Et, pour libertiner, va battre la campagne ; v.1348 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Que je ne connais point ; car ma soeur, dieu merci, v.1349 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Ne consultait personne en tout, comme en ceci ; v.1350 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Ne le sachez jamais. v.1357 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- Ne me refusez pas... v.1358 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Son repos, son honneur devraient bien vous toucher. v.1361 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- Tenez... je suis... voilà votre consentement ; v.1369 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- La bonne antipathie ! Ah ! Gardez-la toujours. v.1373 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
AMOUR POUR AMOUR (1753)
- Et recueillir de quoi mieux faire une autre fois. v.10 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Ma foi, l'intention est très bonne, sans doute : v.11 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Je ne vois point Damis. v.14 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il ne manque jamais une pièce nouvelle. v.15 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Oh ! Je ne doute pas qu'il ne vienne aujourd'hui, v.16 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Attend ce qu'il dira pour se déterminer, v.20 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Pour juger, comme lui, sans rien examiner. v.21 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- C'est un homme excellent pour hâter une chute.. v.26 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Exercé, sans quartier, sur les pièces qu'on donne. v.28 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il est bien attrapé, quand une pièce est bonne, v.29 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Ah pourquoi ? Quand une Comédie v.31 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Eh, ne voyez-vous pas qu'il irait trop du sien ? v.34 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Mais il faut être fou pour se l'imaginer. v.37 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- En matière d'esprit, on ne veut point de maître. v.38 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Sur les gens du métier on aime à dominer. v.39 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Anime le génie, et lui donne du jeu : v.48 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On ne brille jamais mieux qu'aux dépens d'autrui. v.52 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Je lui donne du moins hautement, mon suffrage ; v.58 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Sans regretter l'encens que je donne est échange : v.60 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- De l'ambre qu'il exhale, une lieue à la ronde, v.68 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Qui soit de la coulisse, armé de sa lorgnette. v.70 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Ce n'est qu'un jeune sot qui voudrait être un fat. v.72 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Vous ne savez donc pas ?.... v.80 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- On ne la donne point. Rien n'est plus ridicule. v.84 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ce que vous m'apprenez, m'étonne. v.94 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Une pièce nouvelle est toujours assez bonne. v.101 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Les vieilles à présent n'amusent plus personne. v.102 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Et celle qu'on devait aujourd'hui nous donner, v.103 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Ce que nous dit Monsieur, a de quoi m'étonner ; v.106 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Car l'auteur ne lit guère, autant qu'on n'a pu dire. v.107 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Les femmes, à leur tour, ne purent s'arranger, v.114 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Tenez, la pièce est malheureuse. v.115 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- A fait qu'aucun projet ne nous a réussi. v.117 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- L'Auteur, je crois, m'en garde une rancune affreuses v.118 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- On ne peut davantage. v.125 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Vous venez d'acquérir un nouveau protecteur. v.137 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Tenez-vous bien. v.142 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Ne le voyez-vous pas à son air satisfait ! v.143 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Ne puissent rien tirer de la source publique ! v.150 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et que, pour leur fournir une pièce comique, v.151 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ah ! Bientôt ils iront se pourvoir dans la Lune ; v.153 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est La même rancune v.154 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Ne fournissons-nous plus à rire à nos dépens ? v.158 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Est-ce que le bon sens a fait fortune en France ? v.159 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Non : mais dans les Foyers une petite amie v.172 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est une actrice, ah bon ! Suivant son sentiment. v.174 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Cela ne vaut donc rien ? v.175 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Une Actrice ne voit que le rôle qu'elle a. v.179 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- S'il n'a pas l'honneur de lui plaire, v.180 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est ce qu'on ne voit point pour la plupart du temps ; v.184 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et je ne crois non plus au titre d'une pièce v.185 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Celle-ci, selon vous, ne peut qu'être mauvaise ? v.187 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Le lieu de la Scène est en Perse. v.194 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Sans doute il n'a pas pris la peine v.200 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ose-t-on aujourd'hui dépayser la scène ? v.202 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Qui ne supportez rien qui vous soit étranger, v.205 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous bornez la nature à votre façon d'être. v.209 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous ne reconnaissez aucune autre manière ; v.211 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous ne voulez plus voir, que vous, sur vos théâtres, v.215 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Que l'uniformité règne dans vos plaisirs. v.218 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Je ne sais pas pourquoi vous vous le reprochez : v.221 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Une autre absurdité ? v.223 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est une nouveauté. v.226 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Dans une Comédie ; enfin ? v.230 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Oui : mais on veut qu'il soit d'une certaine espèce. v.238 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Comment, vous prétendez lui donner des entraves, v.242 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous y gagnerez plus en dépendant de lui. v.244 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Loin d'être ses tyrans, devenez ses esclaves. v.245 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Ennemi d'un joug rigoureux, v.246 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Cessez de lui prescrire une triste formule. v.250 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Quelque forme qu'il prenne, ici tout comme ailleurs, v.252 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Quant à nous, ne soyons jamais embarrassez v.256 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Nous ne devons ici proscrire que l'ennui. v.261 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- S'il est vrai, craignez donc la pièce d'aujourd'hui. v.262 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il ne risque déjà que trop. v.269 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Quand il s'agît du fort d'une pièce nouvelle, v.271 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Qu'on ne peut mettre moins de dix contre un au jeu. v.273 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Tu sors d'avec Nadine ; et cet objet charmant v.278 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Puisqu'à ceux des Mortels ils ne peuvent suffire ? v.301 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- D'un objet qui soit jeune, et digne de charmer : v.308 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- N'avons-nous pas rempli cette clause importune. v.312 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ah ! C'est à quoi je ne m'attendais pas. v.313 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Quoi ! N'avons-nous pas fait vingt conquêtes pour une ? v.315 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- En voici bien d'une autre ! Hé, qu'avons-nous donc fait ? v.322 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Vaine assurance. v.327 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Vous raffinez surtout... Pour moi, je suis plus sage. v.331 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Puisqu'on ne peut trouver de cet amour sincère ! v.333 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Mais où se tient-il donc ? C'est donc une chimère ! v.334 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et vous, Seigneur Azor, dites-moi, se peut-il v.335 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et pourquoi donc ? Nadine, et l'aimable Zémire, v.340 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Dont le coeur fut pour vous vainement enflammé ? v.345 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- C'est notre Souveraine. Elle était assez belle. v.346 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle ne nous eut pas envoyés ici-bas, v.347 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pour chercher un amour qui ne s'y trouve pas. v.348 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Car, sur quoi fondez-vous un espoir qui m'étonne ? v.349 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Passe encor : mais Seigneur, nous paraissons tout prêts v.351 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- D'entrer dans la saison qui précède l'automne. v.352 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ce ne font, à leurs yeux, que de fausses richesses. v.356 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et vous ne pouvez faire entrer dans vos fleurettes v.359 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ne vous sont pas permis. La défense est expresse. v.362 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Quand on donne, on n'a pas besoin de commentaire. v.366 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Qui ne s'en tiendra pas à l'amour pastoral. v.368 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et le reste ; Seigneur, tout, cela mis en somme v.373 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Il a tout ce qu'il faut pour lui tourner la tête. v.380 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ne la compare point à tout ce que j'ai vu. v.382 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Les progrès que j'ai faits, ne m'ont pas moins surpris v.394 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Que je prends tous les jours d'une élève si chère, v.397 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Pour Zémire et pour moi ne seront point perdus. v.398 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et ne voit-elle rien à travers ce mystère ? v.399 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Un aveu bien souvent ne devient téméraire v.405 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- La mènent pas_à_pas vers l'amoureux empire ; v.408 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et sans aucune obscurité, v.422 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Tous les équivalents ne serviraient à rien. v.426 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle ne les sait pas ; comment les dira-t-elle ! v.428 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ah Seigneur ! C'est fort bien le prendre. v.431 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Que vous ne vous soyez déclaré son amant ; v.434 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nadine va savoir, à n'en pouvoir douter, v.445 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ne craignez rien pour moi. J'ai chargé du message v.447 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Certains jeunes oiseaux dressés pour cet usage. v.448 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nadine, avant la fin du jour, v.449 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Je n'en suis pas en peine. v.451 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Voyons dans la route prochaine v.453 (Acte 1, scène 2, AZOR)
- Ne ferions-nous pas mieux d'être avec nos compagnes v.455 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- À folâtrer ensemble au milieu des campagnes ? v.456 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ces prétendus plaisirs ne flattent plus mes sens. v.457 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Qui donne à nos attraits une fraîcheur nouvelle : v.466 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On peut avec plaisir y promener ses yeux ; v.468 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ces amusements-là ne sont plus ceux que j'aime. v.470 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Ne réprouvai-je pas moi-même ? Expliquez-moi, v.472 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Souvenez-vous du temps, où vous disiez très bien v.474 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qu'une fille ennuyée est toujours ennuyeuse. v.475 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je l'étais ; ou plutôt je n'étais bonne à rien ; v.476 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Vous avez pris la mienne ; et moi, j'ai pris la vôtre : v.478 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je crois, en bonne foi, vous devoir du retour. v.479 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- L'âge, avec la raison, amènent chaque année. v.484 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Ah, ah, vous parlez d'âge ! À peine êtes-vous née. v.485 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Tout me donne à rêver[.] v.494 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- On ne rajeunit pas. v.501 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Vous ne méritez pas ; d'être à l'âge où vous êtes, v.503 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Nous vous cédons l'honneur d'en être la plus belle ; v.508 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Il ne faut pas laisser que d'y joindre un peu d'art, v.511 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Pardonnez ma franchise, et sachez votre état ; v.513 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- A fait sur vos appas une trace légère : v.515 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et l'ennui qui vous gagne altère votre éclat. v.516 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Mais il faut qu'elle ait une autre cause. v.526 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Une autre cause ? v.527 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- C'était votre pensée ; et moi, voici la mienne. v.528 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Lorsque la raison vient (puisqu'il faut qu'elle vienne) v.529 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Égayer l'une, attrister l'autre ? v.532 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Avec étonnement je regarde ces lieux. v.537 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Il semble que j'habite une terre inconnue : v.539 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Tout ce qui m'environne est étrange à mes yeux : v.540 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Je n'ai plus rien de libre. Il ne m'est pas possible v.546 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Il ne me déplaît sans autant que tu le crois. v.554 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Que ne consultez-vous ?.... v.559 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qu'il faut que je retourne au hameau promptement. v.564 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Sois toujours ma compagne fidèle. v.566 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Ne t'en vas pas. v.572 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Et voilà ce qu'on gagne à raisonner morale ; v.575 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et de primer sur nous d'une façon nouvelle, v.579 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Si, par un coup du Ciel, elle ne s'en délivre, v.583 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Oui, Nadine, v.585 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Je me l'imagine. v.588 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ne fait-on jamais rien contre sa volonté ? v.590 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Et qu'on ne tarde guère à trouver ennuyeux ? v.595 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je ne sais pas comment elle a pu s'en coiffer. v.597 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Le Ciel ne nous fit point pour être des docteurs : v.601 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- C'est un métier qu'il faut abandonner aux hommes, v.602 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Celui de raisonner, bien ou mal, est le vôtre. v.605 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Zémire vient d'en faire une épreuve assez belle. v.607 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Chansons ! En se parant, on y gagne toujours. v.614 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ne les y voit-on plus ? v.617 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- C'est que l'on ne sait pas tous les maux que l'on cause. v.620 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle ne semble pas avoir aucun souci. v.622 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Et je ne comprends pas que l'on dispute un fait. v.624 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Mais quelle vision ! Que venez-vous me dire ? v.628 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- S'éloigne également de la mélancolie. v.632 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Eh ! C'est qu'apparemment je ne m'y connais point. v.633 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je ne puis vous passer ce point. v.634 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Les beaux jours du printemps ne font pas plus beaux qu'elle : v.639 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Nadine, la beauté ne se contrefait pas. v.643 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Nadine je ne puis la blâmer en cela. v.649 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Je devine pourquoi. v.653 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Ah ! Nadine, un moment, laissez-nous, je vous prie. v.657 (Acte 1, scène 6, AZOR)
- Je ne sais. v.660 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Azor ne daigne pas m'honorer d'un coup d'oeil ! v.664 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Des compliments si vains ne peuvent me flatter. v.666 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Daignez mieux me traiter ; v.667 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Mes instances sont vaines ! v.670 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Si vous ne voulez pas que j'entre dans vos peines, v.671 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Nadine aura tout dit. v.682 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Azor, ne croyez pas une amie indiscrète. v.684 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Vous l'attendiez, sans doute ! Il tourne ici ses pas, v.689 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- L'ingrat n'a pu m'aimer, empêchons qu'on ne l'aime. v.695 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ramenez vos regards errants dans ces retraites. v.702 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ne cherchez point ailleurs ce qui n'est qu'où vous êtes. v.703 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Vous ne me dites rien ? v.706 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Qui ne s'est pas encore introduit dans ces lieux. v.707 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Zémire, se peut-il que rien ne vous éclaire ? v.711 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Quoi ! Vous ne voyez pas que je cherche à vous plaire, v.712 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- À peine avez-vous fait connaissance avec moi. v.714 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Mon coeur fut pénétré d'une atteinte imprévue, v.716 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- La plus vive amitié n'en est qu'une étincelle : v.733 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne définit bien l'amour qu'aux coeurs sensibles. v.744 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ce qu'on ne ressent point ne s'imagine pas. v.745 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Quelle horreur m'environne ! v.747 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Oui, Zémire, aussitôt mon bonheur m'abandonne ; v.748 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Je ne sais quelle affreuse et mortelle langueur v.752 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Je devine, à peu près, ce que vous m'enseignez. v.756 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- J'imagine l'état que vous me dépeignez : v.757 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Et quand il ne l'est pas ? v.760 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- On ne peut s'y tromper ; rien n'est moins équivoque. v.762 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne fait plus qu'un coeur, qu'un esprit et qu'une âme ; v.766 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne pense, on n'agit, on n'existe en effet v.767 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ce que vous m'apprenez est le bonheur suprême. v.769 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Et soyez, à jamais, ma fortune, mes dieux... v.783 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Je pourrais avoir pris une alarme trop forte... v.797 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Saisissons une erreur qui flatte mes désirs : v.799 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Nadine doit savoir à présent que je l'aime. v.802 (Acte 2, scène 1, ZALEG)
- Reprenez vos oiseaux. v.805 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Je ne puis soutenir cet étrange ramage. v.808 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Répéter, fredonner, ramager à l'oreille ; v.811 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Zaleg aime Nadine ! Est-il gêne, pareille ? v.812 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Que ne leur laissiez-vous les sons mélodieux v.813 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Dont ils font retentir nos forêts etc nos plaines. v.814 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Les entendre chanter leurs plaisirs que vos peines. v.816 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Pour lui donner une autre forme, v.819 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- J'ai peine à vous entendre. v.821 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Cela dirait : Nadine aime Zaleg. v.824 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Je ne veux pas qu'ils soient dans la bouche des autres. v.826 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Les uns, de proche en proche, iront dans les campagnes, v.834 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Dans les forêts, sur les montagnes, v.835 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Seront connus partout, et ne mourront jamais. v.842 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Non ; un pareil honneur n'est pas ce qui m'anime, v.843 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Ah ! Nadine, achevez de me rendre la vie, NADINE.. v.847 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Nadine, excuse-moi, si je t'ai fait attendre. v.851 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Je ne sais plus auquel entendre. v.854 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Ah, Nadine ! v.856 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Assan, qui me déplaît, que je ne puis souffrir, v.858 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Et qu'au fond de mon coeur j'ai peine à démêler. v.862 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- C'est une découverte v.863 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Que tu m'as, tant de fois, vainement reprochée. v.868 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- La découverte est bonne ; elle doit vous charmer. v.869 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Que toute l'amitié qu'il nous joint l'une à l'autre. v.874 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Comment vous craignez d'en avoir ? v.879 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Oui, ma chère Nadine. v.880 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Et ne peut-on savoir v.880 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Ne m'avez-vous pas dit qu'il n'est rien de plus doux ? v.883 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Nous ne pouvons ensemble en faire aucun partage. v.889 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Cet amour.... je ne sais comment te l'expliquer... v.890 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je ne puis deviner. v.892 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Et ne pourriez-vous l'être un peu moins malheureuse ? v.905 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Non ; puisque apparemment Azor ne m'aime pas, v.906 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- On ne peut jamais rendre un si sensible hommage, v.914 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- L'encens qu'on offre aux Dieux ne vaut pas ce langage : v.915 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et qu'il m'épargnerait de soupirs et de larmes ! v.918 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je ne me souviens pas qu'Azor, jusqu'à ce jour, v.921 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Jamais, en me parlant, il ne m'a fait entendre v.924 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il semble que ce soit une éclipse cruelle. v.936 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Qu'il est doux ! Ah ! Nadine, en effet, je jouis v.941 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Qu'il ne me souvient pas d'en avoir jamais eus. v.946 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il vous donne des soins ; il vous préfère à nous. v.951 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Il ne se plaît seulement qu'avec vous. v.952 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Il ne me trouve pas digne d'un autre hommage. v.956 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Je ne puis plus me supporter. v.958 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Que ne me l'a-t-il dit ? D'où viennent ces égards. v.960 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Les miens plus d'une fois ont fait baisser les siens : v.964 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais sa bouche jamais ne m'a rien confirmé. v.970 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Eh ! Ne gardez-vous pas avec lui le silence ? v.971 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Nadine, ah, quelle différence ! v.973 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Supposé qu'Azor m'aime, il ne peut l'ignorer... v.974 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il me vient une idée. Oserais-je la croire ? v.975 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et serait-ce blesser son honneur et fa gloire v.977 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ah ! S'il faut que l'amour ne soit qu'une faiblesse, v.979 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Dont Zaleg s'est servi, ne m'a pas moins charmée, v.999 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Mais, ne nous fâchons pas de ce qu'elle sommeille ; v.1003 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Sommeil je t'ai livré ma mortelle ennemie : v.1006 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Daigne m'aider, redouble tes pavots. v.1007 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Zémire comme une autre y doit être sensible. v.1012 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Ne peut manquer d'avoir son succès ordinaire. v.1016 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Ne produit pas l'effet que j'en attends ; v.1018 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Il semble qu'en tous lieux son ombre m'accompagne ! v.1029 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- C'est ici que Nadine a laissé fa compagne : v.1030 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Je ne vais qu'en tremblant où mon coeur me conduit; v.1033 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Et moi, pour soutenir un combat si funeste, v.1039 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Si le plus tendre amour ne la fait pas valoir, v.1042 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Ce tribut offensant doit blesser votre honneur ; v.1044 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Et vous devez sentir que cet indigne hommage v.1045 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Vient moins d'un tendre Amant que d'un vil suborneur, v.1046 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Déposons à ses pieds une offrande plus pure. v.1047 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Qui suis-je ? Est-il bien sûr que ce ne soit qu'un songe, v.1051 (Acte 2, scène 6, ZÉMIRE)
- Qu'une de ces erreurs où le sommeil nous plonge. v.1054 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Serait-ce une autre illusion ? v.1056 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Mon coeur ne se sent point flatter v.1062 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Je ne sais point haïr ; mais je sais mépriser. v.1067 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Il vient d'une autre main... Ah, s'il venait d'Azor, v.1070 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Qu'auparavant je ne connaissais pas. v.1078 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Je ne leur avais point découvert tant d'appas : v.1079 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Jamais je ne les vis si fraîches et si belles. v.1080 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- On ne peut respirer de plus douces odeurs. v.1082 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Je vois qu'on ne peut pas lui faire plus d'honneur. v.1090 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- L'expression ne peut en rendre la moitié. v.1092 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ne fut mieux reconnue et mieux récompensée. v.1094 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Il semble m'annoncer un avenir funeste ; v.1109 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Quoi ? Vous donnez dans une erreur pareille, v.1111 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Une chimère, une vapeur, v.1112 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Qui ne durent qu'autant que la raison sommeille, v.1113 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Azor, vous ne pourrez me croire v.1123 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je ne puis revenir de ma surprise extrême. v.1130 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ne cherchez point, Zémire, à vous en excuser. v.1134 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Et mais pardonnez-moi ; je dois m'en accuser. v.1135 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Qu'une fée ait voulu lui plaire, et le charmer : v.1137 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Je devine facilement v.1142 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Que ne m'est-il permis !... v.1144 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Non : je ne vois rien là qui ne soit très possible. v.1156 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Je ne sais ; mais un charme invincible. v.1157 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Un effet plus constant que vous ne pouvez croire. v.1167 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- J'aurais à redouter qu'il ne devint réel ? v.1168 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ne m'avez-vous pas dit qu'un songe est une erreur ? v.1174 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Qu'il ne doit inspirer ni crainte, ni terreur ; v.1176 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Ne répondez de rien. v.1185 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Non, vous ne l'êtes pas ; c'est moi qui vous l'assure, v.1186 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Il faut nous épargner des débats superflus. v.1194 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ce sera loin de vous.... Ne nous rencontrons plus ; v.1196 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Au surplus, reprenez ce que je tiens de vous : v.1199 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Non, jamais il ne fut un objet plus charmant. v.1202 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Mais ce n'est pas assez, s'il ne peut l'engager v.1205 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Ne dira-t-elle point que c'est Azor qu'elle aime ? v.1207 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Ne me reprochez plus ma tristesse profonde. v.1209 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Est d'une cruauté.... v.1214 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Ne parlions plus d'Azor ; épargne sa victime. v.1219 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Il me cède sans peine à qui voudra m'aimer ; v.1225 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Je lui suis devenue une charge importune ; v.1226 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Il veut, dans d'autres mains, remettre ma fortune ; v.1228 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Sa plus chère compagne, et sa meilleure amie :. v.1237 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Assan vous aime. Hé bien, le dépit mène à tout ; v.1250 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Mais il traîne en longueur. La vengeance est plus prête, v.1255 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Et d'ailleurs, fait bien plus d'honneur. v.1256 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Ainsi donc, contre Azor, Nadine se déclare ! v.1257 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Je consulte une amie, elle m'accable encore ; v.1263 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Elle a la cruauté de ne me point flatter. v.1264 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Le pourrai-je en effet ! Ah, trop funeste jour, v.1267 (Acte 3, scène 2, ZÉMIRE)
- Je puis vous procurer un sort digne de vous. v.1283 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je ne pourrai jamais en connaître le prix. v.1287 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Je ne mérite point cette grâce importune. v.1292 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Mon destin a fixé ma vie et ma fortune v.1293 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Ne faites point au sort cet injuste reproche. v.1295 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et je n'en connais point que l'amour ne rapproche. v.1297 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Tant de beautés ne sont point faites v.1299 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Adorable Zémire, apprenez ma puissance. v.1302 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Épargnez-vous le soin de me la détailler. v.1303 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Et qu'irais-je y chercher ? Ailleurs, rien ne m'appelle v.1309 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Elle règne sur nous ; et nous régnons sur elle. v.1312 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Votre empire est partout. Daignez suivre mes pas, v.1313 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et devenez sensible au plaisir d'être aimée. v.1314 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Au milieu d'une Cour attentive et charmée, v.1315 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Un Trône vous attend. v.1316 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je ne m'y plairais pas. v.1316 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Un Trône vous déplairait ! v.1319 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Quoi, je ne pourrais pas vous le rendre agréable ? v.1320 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Est rarement le fruit d'une longue habitude. v.1333 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- On ne l'évite point ; l'atteinte est imprévue. v.1338 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Que l'on ne tarde guère à le rendre visible : v.1342 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ne me trompez-vous pas ? v.1346 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- L'amour ne vient jamais, s'il ne vient tout d'un coup : v.1350 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Ces distinctions-là ne vous avancent guère. v.1363 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais il s'agit d'Azor ; Zémire, en bonne foi, v.1364 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je ne vois rien en lui qui puisse tant vous plaire. v.1369 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je ne saurais le voir qu'avec mes propres yeux. v.1370 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Ils peuvent être vrais ; mais je ne les sens pas. v.1373 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Son coeur ne s'est jamais offert en sacrifice : v.1375 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il ne l'en croit pas digne ; il s'est rendu justice : v.1376 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il ne met l'a pas dis. Mais l'amour par hasard, v.1381 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais c'est lorsqu'on ne peut se parler autrement. v.1385 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Zémire, gardez-vous, en aucune façons ; v.1392 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Vous ne devez jamais prévenir nos hommages. v.1395 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ne se découvre point. Forcez-le de rester v.1398 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et ne vous l'avouez que pour le détester. v.1400 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Que n'ai-je mieux suivi les conseils que je donne ? v.1401 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je n'espère jamais aucune guérison : v.1402 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- À vos sages avis mon amour s'abandonne : v.1404 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Azor ne saura point que c'est lui seul que j'aime : v.1407 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Tu vois devant tes yeux cette fée ennemie v.1410 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il fallait cet aveu que vous venez de faire. v.1417 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- S'il me rend plus digne de vous, v.1419 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Ne vous avais-je pas prédit v.1424 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Qu'Azor brûlait pour vous d'une flamme secrète ? v.1425 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Venez tous, venez tous v.1437 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Régnez ; et qu'il serve à jamais v.1441 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Couronne mes désirs : v.1444 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Régner sur ce qu'on aime, v.1445 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- C'est régner sur tous les plaisirs. v.1446 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Prend autant d'amour qu'il en donne. v.1448 (Acte 3, scène 7, ZÉMIRE)
- La plus belle couronne v.1449 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Ne vaut pas amour pour amour. v.1450 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Je ne veux qu'amour pour amour. v.1454 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Engagent la main d'une belle ; v.1464 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Il ne veut qu'amour pour amour. v.1466 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Il ne veut qu'amour pour amour. v.1486 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
LE PRÉJUGÉ À LA MODE (1735)
- Vous me connaissez peu, si vous me soupçonnez v.3 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Madame, pardonnez... v.4 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Je ne reconnais point Sophie à ce caprice ; v.13 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Vous m'étonnez. D'où vient cette extrême injustice ? v.14 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Elle ne vous hait point. v.15 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Je ne sais quel exemple, ou plutôt quelle erreur, v.23 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Vous ferai-je un aveu, peut-être inexcusable ? v.25 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Allez, je me fais un honneur v.36 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Que Durval devrait bien y borner tous ses voeux ! v.40 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Faut-il que mon époux ne fasse aucun usage v.41 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Le devoir d'une épouse est de paraître heureuse. v.46 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- L'éclat ne servirait encor qu'à me trahir ; v.47 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Du moins, n'ajoutons pas ce supplice à ma peine ; v.49 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Son inconstance est moins affreuse que sa haine. v.50 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Ce temps n'est pas si loin, que je ne m'en souvienne : v.61 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Ma jeunesse fut vive encor plus que la sienne. v.62 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et véritablement une union si belle, v.65 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Si ma femme eût voulu, devait être éternelle. v.66 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mais auprès d'une femme on a beau se contraindre : v.69 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle ne savait pas, ni vous non plus, madame, v.73 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mon fils a tort, dit-il, je ne l'excuse pas. v.80 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Puisqu'il ne veut pas prendre un autre train de vie, v.81 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Quand on croit deviner, on se trompe souvent. v.84 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Je l'imagine. v.91 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Au contraire, une Agnès se fait illusion, v.103 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle ne voit l'hymen que sous une figure, v.106 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Madame, si ma nièce en prend une autre idée, v.110 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mon malheur ne m'épargne aucune circonstance. v.113 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Apprenez donc, monsieur, la façon dont je pense, v.114 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Je ne méritais pas d'être si fortunée : v.118 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Un éclat indiscret ne fait qu'aliéner v.123 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Un coeur que la douceur aurait pu ramener. v.124 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et sentir de quel prix une épouse peut être, v.126 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Un beau raisonnement ne détruit pas un fait. v.131 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Je n'imagine pas qu'il déplaise à Sophie. v.137 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- On ne s'engage point sans quelque inquiétude. v.142 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Voilà bien des façons qui ne servent à rien. v.147 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Te donner pour époux quelqu'un qui t'a su plaire ; v.154 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Qui t'approuve, et qui croit qu'une fille à ton âge v.157 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- On ne peut davantage. v.162 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Voilà des nouveautés qu'on ne peut prévenir. v.164 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Plus que je n'en avoue, et que je ne m'en crois : v.167 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- D'aimer une compagne à qui l'on s'associe. v.173 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- En vain il est épris d'une épouse qui l'aime ; v.181 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Où peut-elle avoir pris une idée aussi creuse ? v.185 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Non, vous ne l'êtes pas. v.188 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- L'une se dit heureuse, et l'autre la dément : v.199 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Celle-ci ne veut pas épouser son amant. v.200 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Mesdames, à votre aise ; il ne faut point se rendre : v.205 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Ferme, continuez à ne vous pas entendre. v.206 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Une épouse plaintive est encor moins aimable ; v.209 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Sa femme est sa compagne, et non pas son esclave. v.222 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- M'en soupçonneriez-vous ? v.225 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- On peut interpréter d'une étrange façon, v.228 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Au dépit, au mépris, à la haine, au dégoût, v.231 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Que nous donne un ingrat, quand il nous pousse à bout. v.232 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Ah ! Sophie, épargnez du moins votre victime. v.233 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Sur le coeur de Damon prenez plus d'assurance. v.245 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Ce n'était qu'une embûche et qu'un piège funeste, v.250 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Couverts de quelques fleurs qui ne durent qu'un jour. v.251 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Tenez, j'en suis encor dans un enchantement !... v.255 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Venez, vous trouverez dans votre appartement. v.256 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Votre époux !... Lui !... La demande est bonne ! v.257 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Est-ce jamais par-là que son chemin s'adonne ? v.258 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Florine, sachez mieux respecter votre maître. v.261 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Vous ne devinez pas ?... C'est votre habit. v.263 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Ou plutôt, venez voir : c'est un habit de chasse ; v.266 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Mais d'un air, mais d'un goût : venez vous habiller. v.267 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Je ne sais point cela. v.271 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Quoi ! Madame, serait-ce une galanterie ? v.274 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Une galanterie, et qui s'adresse à moi ! v.275 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Durval, vous m'étonnez. v.285 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Je ne l'aurais pas cru, malgré tous mes soupçons ; v.287 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Qui ne sortiront pas si-tôt de ma mémoire. v.289 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Épargnez... v.297 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Prenez-vous-en à moi, c'est moi qui me suis plainte. v.305 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Madame est bonne amie. v.309 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- De grâce, épargnez-nous cette froide ironie. v.310 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Florine, je vous chasse ; v.314 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Viens, cet avis mérite une autre récompense ; v.317 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Une autre fois j'aurai le reste de la bourse. v.321 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- La plaisanterie est d'une grande ressource. v.322 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Ne déconcertez point le plaisir qui vous suit, v.328 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- À ces dépenses-là je ne vois rien à dire : v.338 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Ce que vous m'apprenez a lieu de me surprendre... v.341 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- J'ignore absolument... je ne sais ce que c'est... v.348 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- C'est une vérité. v.351 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- J'ignore à qui je dois ces indignes bienfaits. v.356 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Et vous ne daignez pas chercher à le connaître ?... v.357 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Plus que je n'ose dire... et que vous ne croyez ; v.367 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Voyez, examinez... découvrez... je vous prie, v.369 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Des époux ne font pas des tours aussi plaisants ; v.376 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Pour qui les prenez-vous ? Ne croyez point, madame, v.377 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Il lui donne à regret, toujours moins qu'il ne faut, v.379 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Et lui fait tout valoir cent fois plus qu'il ne vaut. v.380 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Je ne puis rien comprendre à cette indifférence. v.385 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Eh ! N'empoisonnez pas encore mes douleurs. v.387 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Daignez au moins cacher ma nouvelle disgrâce. v.389 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Je ne vous quitte point. v.391 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Vous prenez trop de part v.391 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Quel état ! Et l'on veut que je prenne un époux ? v.395 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Qu'on ne m'en parle plus ; ils se ressemblent tous. v.396 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Mon équipage est bon : j'imagine qu'ailleurs v.399 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je devine à peu près ce qui l'a retenue. v.402 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Entrons chez elle... allons ; c'est une attention v.403 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Oui ; mais je ne vais guère en visite chez elle. v.405 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et je crains qu'entre nous l'amitié ne s'altère. v.418 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- C'est une liaison libre et délicieuse, v.426 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Et sa chaîne, au besoin, plus souple et plus liante, v.429 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne pourront-elles plus renaître de leurs cendres ? v.446 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne m'abandonne pas dans mes plus grands besoins ; v.451 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je ne veux point entrer dans cette confidence. v.453 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Je puis t'en informer sans aucune imprudence. v.454 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- C'est la mienne. v.459 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- À mon ravissement rien ne peut être égal... v.460 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- dont tout le monde ici soupçonne des rivaux, v.472 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- assez vains pour nourrir une erreur si grossière. v.473 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je me sens retenu par une fausse honte. v.486 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour plus d'une raison, je ne veux point d'éclat ; v.492 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ce raccommodement devient une entreprise... v.494 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour pouvoir sans éclat renouer notre chaîne ; v.501 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mais pour les malheureux la prévoyance est vaine. v.502 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ne se sont-ils pas mis aussi de la partie ? v.506 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je ne pourrai jamais soutenir cette esclandre ; v.510 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ne doit jamais aimer que la femme d'autrui. v.520 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- L'intérêt le fait taire ; il ne tient qu'un moment... v.523 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Oserais-tu produire une excuse aussi folle ? v.525 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais une femme n'a pour soutenir ses droits, v.528 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Un époux ne craint point de si fragiles armes. v.530 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Oui, lorsqu'il ne s'agit v.535 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- La mode n'a point droit de nous donner des vices, v.538 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Pour qu'on ne doive plus en être la victime ; v.541 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- L'exemple ne peut pas autoriser un crime. v.542 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Pour aller vivre ensemble au fond d'une retraite. v.546 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- M'imprime une terreur encor plus véritable. v.550 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Comment daignera-t-elle user de sa victoire ? v.553 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je crains de lui donner moins d'amour que de gloire ; v.554 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je crains que sa fierté ne surcharge mes fers. v.555 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Tu ne le connais pas, ce sexe impérieux : v.560 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Il veut régner, il veut maîtriser ce qu'il aime, v.562 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et ne croit point jouir du plaisir d'être aimé, v.563 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ce que nous ne pouvons nous empêcher d'aimer ? v.572 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- À craindre une rechute, un nouvel abandon ; v.575 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Aux pieds d'une épouse adorable, v.585 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne vas-tu pas reprendre une chaîne durable ? v.586 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne ferai-je pas mieux d'éviter sa présence ? v.602 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Vous ne m'en devez rendre en aucune façon. v.608 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Je crains d'autoriser une indigne poursuite... v.614 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Ah ! J'étais respectée, et je ne le suis plus. v.616 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Je ne sais où j'en suis. v.619 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Ce n'est rien. J'ai peine à le réduire... v.621 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Sachez donc un secret... vous ne le croirez pas... v.623 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Mais... que ne pouvez-vous lire au fond de son coeur... v.627 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Je me rends le garant d'une flamme si belle. v.637 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qu'au contraire leur sort sera digne d'envie ! v.641 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- L'hymen seul peut donner des plaisirs infinis ; v.644 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- On en jouit sans peine et sans inquiétude : v.645 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- On se fait l'un pour l'autre une heureuse habitude v.646 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Une épouse chérie, une amie, une amante. v.650 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Venez, rassemblons-nous, la scène est impayable... v.657 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Nous ne le craindrons plus, cet aimable volage, v.661 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Il était en amour d'une fortune extrême. v.666 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- En a fait le héros d'une histoire tragique ? v.670 (Acte 2, scène 3, DAMON)
- Aurait-il fait au jeu quelque dette importune ? v.673 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Non, le jeu n'a jamais dérangé sa fortune. v.674 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Devine si tu peux, et choisis si tu l'oses : v.678 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Je vous le donne en cent. Qui l'aurait jamais cru ? v.679 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Une franche coquette a-t-elle su lui plaire ? v.681 (Acte 2, scène 3, DAMON)
- Eh ! Mais, une coquette est un choix ordinaire. v.682 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Mais qui ne plaît qu'alors qu'elle n'y pense pas ? v.684 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Eh ! Non, aucunement. v.688 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Mais ne serait-ce point son épouse qu'il aime ? v.689 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Pardonnez-moi. v.692 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- On ne devine pas une énigme pareille. v.694 (Acte 2, scène 3, DAMIS)
- Pour peu qu'on soit sensé, l'on devine le bien... v.695 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Mais vous vous étonnez fort à propos de rien : v.696 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- C'est un coeur égaré que le devoir ramène, v.697 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Que l'amour fait rentrer dans sa première chaîne, v.698 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Je crains que ma présence ici ne vous déplaise, v.701 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Qu'enfin, ne pouvant plus tenir tête à l'orage, v.713 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- D'une félicité qui doit être parfaite. v.722 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- Il adore en esclave un tyran dédaigneux, v.724 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Et qui ne sont pour lui qu'un sujet de scandale. v.741 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Non, vous ne pensez pas ce que vous avancez. v.743 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- C'est une farce infâme. v.761 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Bon ! C'est un des travers qu'on doit moins épargner : v.763 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Il n'est pas fort commun : mais il pourrait gagner ; v.764 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Oui ; mais ne comptez pas sur moi. v.775 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Détermine Damon : quant à toi, tu sais bien v.779 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Que l'on doit se prêter ; tu ne risqueras rien. v.780 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Où m'allais-je embarquer ?... ne me presse donc plus ; v.783 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Vous permettez qu'on joue une farce indiscrète, v.785 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Et vous y prenez même un rôle. v.786 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Est-il temps ? Il fallait ne pas tant s'avancer. v.795 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Je ferai beaucoup mieux de tout abandonner ; v.799 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- De prétexter un ordre, et de m'en retourner ; v.800 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Mais tu ne partiras peut-être pas si vite ? v.809 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Si la mode empoisonne un naturel heureux, v.811 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Pardonnez ce murmure, il est bien légitime v.829 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- On me punit de ceux dont on soupçonne autrui. v.832 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Un autre plus heureux, plus digne apparemment... v.835 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Qu'elle en a fait depuis une épreuve cruelle ! v.853 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Une personne à charge, et sans autorité ; v.855 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Son coeur fait notre titre, et nous donne un état. v.860 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Il est accoutumé ; cela ne se peut pas. v.863 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Il ne reviendra point, j'en suis trop assurée : v.865 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mais la fatalité que l'hyménée entraîne... v.877 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mais s'il reprend sa chaîne... v.878 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Jusqu'à ce temps je ne veux rien entendre v.890 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Qui puisse m'exposer en aucune façon. v.891 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je ne m'engage à rien. v.895 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Enfin, je ne veux plus avoir à me défendre. v.902 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Ce bienheureux retour peut ne pas arriver. v.904 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je vais le condamner au plus cruel silence. v.910 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je vous promets bien plus que je ne puis tenir. v.915 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Encore... une autre fois ne nous oublions plus. v.920 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je jouis des plaisirs que donne l'espérance. v.922 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- De ne pas m'en charger ; que quelqu'autre le fasse. v.926 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- C'était pour te donner ton rôle ; le voici. v.928 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Et celle à qui l'on donne ici toutes ces fêtes, v.937 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Quoi ! Tu voudrais sur moi détourner les soupçons ! v.940 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Jamais je ne me vante. v.942 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Et nous concilier dans certaine occurrence, v.949 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Pour ne nous pas trouver tous deux en concurrence. v.950 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous avons sous la main vingt conquêtes pour une. v.957 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Partageons entre nous la fortune : v.958 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Tu ris. Ne cherchons point à nous pousser à bout : v.960 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous ne nous croisons pas. v.975 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Je vais pousser ma chance, et toi songe à la tienne. v.977 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Dans peu je te rendrai bon compte de la mienne. v.978 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Je ne puis être aimé ; mais j'en aurai la gloire. v.982 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- On n'est heureux qu'autant qu'on se donne pour l'être. v.986 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- J'ai là certain portrait qui doit me faire honneur... v.988 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Donne, il le voudra bien. v.991 (Acte 3, scène 7, DURVAL)
- Je vais chercher Argant, et lui donner le sien. v.992 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- De toutes mes terreurs, il m'en reste encore une, v.997 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Qui malheureusement est la plus importune. v.998 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Me garantiras-tu ?... mais tu ne le peux pas... v.999 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Non, de si grands chagrins ne sont point si secrets ; v.1011 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Ah ! Ne t'y trompe pas ; c'est un calme apparent, v.1015 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Ne sait pas à quel point ses malheurs ont été : v.1019 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Une femme sensée est fort peu curieuse v.1021 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Quel amour, que celui qu'on ne doit qu'au devoir ! v.1024 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Mais non ; attends encore, ami ; ne lui dis rien. v.1028 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Plaît-il ? Une autre fois tâchez de m'écouter. v.1039 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Mais il ne revient point... le voici... je me trouble... v.1046 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Oui, Monsieur, elle n'a que Florine avec elle. v.1054 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Florine, me dis-tu ? Mais... c'est toujours quelqu'un... v.1055 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Mais je ne songe pas qu'il peut entrer du monde. v.1058 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je suis trop obsédé... ne pourrai-je jamais v.1059 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je ne puis m'enfermer sans que l'on en raisonne... v.1065 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Que faire... aussi, d'où vient que Damon m'abandonne ?... v.1066 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je ne puis le risquer... il faut y renoncer... v.1067 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Ai-je là ce qu'il faut ?... une lettre, en effet, v.1076 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Le patron reprenait haleine à mes dépens... v.1080 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Tant mieux : plus un maître aime, et plus un valet gagne. v.1081 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Allons, apprêtons-nous à battre la campagne. v.1082 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Je prépare à Constance une aimable surprise. v.1085 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Mais cela ne va point avec mon ministère : v.1089 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Sachons donc à qui j'ai l'honneur d'appartenir... v.1092 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Oui, Nérine, je suis à l'imbécile maître, v.1101 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Lorsque j'appellerai ; que l'on se tienne prêt. v.1111 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Ce coquin sortira... je ne sais où j'en suis... v.1115 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- L'ingrat que vous pleurez, ne fait plus vos malheurs... v.1120 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Constance est peu sensible à ces vains ornements ; v.1124 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Henri !... Les valets sont d'une lenteur extrême. v.1126 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- À Paris... c'est, je crois, vers certaine duchesse... v.1129 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Vous vous reprenez donc pour elle de tendresse ? v.1130 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Et lui mieux déguiser une intrigue nouvelle, v.1134 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Avec madame vous... feignez de renouer. v.1135 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Je ne sais pas quel tour elle veut vous jouer ; v.1136 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Mais... tout franc, convenez que votre amour la traite v.1137 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Comme je traiterais une simple soubrette. v.1138 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Va chercher la réponse, et donne cet écrin. v.1139 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- Je t'attends ; que sur-tout personne ne te voie. v.1142 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- ne me serai-je pas un peu trop engagé ? v.1144 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- Durval n'est point ici : va, ne perds point de temps ; v.1171 (Acte 4, scène 1, CONSTANCE)
- Mais ne lui parle point du sujet qui m'agite ; v.1173 (Acte 4, scène 1, CONSTANCE)
- Il ne daignerait pas me rendre une visite. v.1174 (Acte 4, scène 1, CONSTANCE)
- J'y cours ; mais je ne sais si j'aurai ce pouvoir. v.1176 (Acte 4, scène 1, FLORINE)
- Eh ! Quoi ! De tous côtés la fortune ennemie v.1177 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- S'obstine à traverser ma déplorable vie ! v.1178 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Un inconnu m'apporte une preuve trop sûre v.1181 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Une rivale indigne, et barbare à la fois, v.1183 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- La quitte, la trahit pour prendre d'autres chaînes... v.1185 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Est-ce elle qu'il trahit ? Et pour surcroît de peines, v.1186 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Ces indignes présents, dont on veut m'accabler. v.1188 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Non, ma recherche est vaine. v.1189 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- On dit qu'il se promène. v.1190 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Je ne puis plus souffrir l'excès de mon ennui. v.1192 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- On peut le mener loin. v.1195 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Je ne veux employer que mes uniques armes. v.1197 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- On ne convient jamais des chagrins qu'on nous donne : v.1201 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- On croit que dans nos coeurs le plaisir s'empoisonne ; v.1202 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Que vous a fait remettre une de vos rivales. v.1206 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Il ne saura jamais, si j'en suis la maîtresse, v.1209 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je ne veux point aigrir son coeur et son esprit, v.1211 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je lui donne un moyen de me mieux abuser, v.1215 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Ce ne sera, pour lui, que des galanteries : v.1221 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- De ne le pas trouver sensible à son honneur. v.1224 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Pour la première fois ne m'obéirait plus, v.1227 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je ne le verrai point... je m'en prive à regret... v.1231 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Fais comme tu voudras ; mais ne m'en parle plus. v.1236 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Que cette indignité ne blesse plus ma vue. v.1237 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Allons, madame, quitte à faire une bévue. v.1238 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Ce n'est pas l'intérêt qui m'en donne l'envie : v.1258 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Ne nous y jouons point : l'intention est pure ; v.1261 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- On y pourrait donner toute une autre tournure. v.1262 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Mais la fortune ici les amène tous deux v.1263 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Reprenez votre enjeu, la boëte est complète ; v.1265 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Ma maîtresse, à ce prix, ne veut point faire emplette. v.1266 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Consolez-vous, une autre en fera plus d'état : v.1267 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Eh ! C'est à toi, marquis, que tes présents reviennent ? v.1269 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- À moi ! C'est bien à toi, parbleu, qu'ils appartiennent. v.1270 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Tu veux par vanité me les abandonner. v.1271 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Le change me paraît difficile à donner. v.1272 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Que ne me disais-tu ?... v.1275 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Une cruelle est rare ; on en trouve si peu, v.1279 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- C'est le tien. L'art de plaire épargne bien la bourse. v.1281 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- En ne nommant personne. v.1288 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Vous ne pouviez la mettre en de plus sûres mains. v.1295 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Nous ne nommerons pas. v.1299 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Certaine dame, à qui nous rendons quelque soin, v.1300 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Nous a fait, de sa part, sans désigner personne, v.1301 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- C'est ce que je soupçonne. v.1302 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Bien plus honnêtes gens que vous ne vous croyez. v.1307 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- On ne refuse rien de quelqu'un qui sait plaire. v.1313 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Qui sait si quelque tiers, qu'on n'imagine pas, v.1319 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Bornez-vous sur vous seuls la force de leurs armes ? v.1322 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Clitandre veut encore une autre caution. v.1327 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Ne me fais point faire une indiscrétion. v.1328 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- De grâce, fais-en une ; il y va de ta gloire ; v.1329 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Infidèle !... Est-ce ainsi qu'on nomme une cruelle ? v.1338 (Acte 4, scène 8, DAMIS)
- Durval, une autre fois, pense un peu mieux de moi. v.1340 (Acte 4, scène 8, DAMIS)
- Est-ce une illusion ?... Est-ce un songe funeste ?... v.1341 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Je ne saurais forcer mes esprits révoltés... v.1344 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Était-ce à moi d'y prendre une folle assurance ? v.1350 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Mais ma crédulité se laisse empoisonner v.1351 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Par des convictions que je dois soupçonner. v.1352 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Quoi !... D'une vérité puis-je faire un mensonge ?... v.1354 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Elle ne se faisait aucune violence. v.1361 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Ne l'a jamais été que de sa trahison. v.1364 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Tu ne te repens plus de m'avoir écouté ? v.1368 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Constance a surpassé ton attente et la mienne. v.1369 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Hola... Quelqu'un... Ma femme, qu'elle vienne. v.1370 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Tu ne l'as donc pas vue ? v.1371 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Je ne sais que penser, je ne sais que prévoir v.1372 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Tu vas être témoin d'une étrange entrevue. v.1374 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Je ne le fus jamais ; j'estimais trop Constance : v.1377 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Ah ! Quel supplice entraîne après lui plus d'horreur, v.1380 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- On soupçonne aisément, on accuse de même. v.1382 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Que je ne saurais croire. v.1385 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Ne prends plus sa défense ; il n'est aucun moyen. v.1387 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Que fera l'amitié, quand l'amour ne peut rien ? v.1388 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Il faut nous séparer pour ne nous voir jamais. v.1391 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Termine, mais trop tard, ma déplorable vie. v.1394 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Vivez, et reprenez ce que je tiens de vous : v.1395 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Je n'examine rien, puisque je vous déplais. v.1400 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Daignez déterminer ma dernière demeure : v.1401 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Vous ne le voulez plus ; v.1403 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Je ne puis supporter cette témérité ; v.1411 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Pourquoi ne l'ai-je plus ? Apprenez-moi mon crime. v.1418 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Donne, donne. à quoi sert tant de discrétion ? v.1423 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Des affronts que m'a faits une épouse infidèle. v.1425 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Ah ! Ciel ! Quelle ressource accablante et funeste ! v.1429 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Ah ! Que tenez-vous là ? Je voulais les brûler. v.1431 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- S'ils ne vous chargent point, pourquoi tant vous troubler ? v.1432 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Plus vous craignez, et plus je veux me satisfaire. v.1434 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Sur ces tristes écrits ne portez point vos yeux ; v.1435 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- Je ne veux rien entendre. v.1437 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- En faveur d'une femme instruite en l'art de feindre : v.1445 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Je vois ce qu'elles craignent : v.1453 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Je la veux accabler devant ceux qui la plaignent. v.1454 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Monsieur, épargnez-vous cette confusion. v.1456 (Acte 4, scène 13, CONSTANCE)
- Vous allumez des feux qui ne peuvent s'éteindre : v.1468 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Une épouse n'est point une rivale à craindre. v.1469 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Et de me soupçonner d'un si grand ridicule.» v.1472 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Ne nous épargnez pas : v.1473 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Et nous ne demandons qu'à partager les vôtres. v.1476 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Monsieur, en vérité, l'on ne peut mieux écrire ; v.1479 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- C'est dommage pourtant qu'on ne puisse vous lire. v.1480 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Quoi ! Vous récriminez ? v.1481 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- C'est une trahison que vous imaginez. v.1482 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Qu'une autre traiterait de la bonne façon. v.1485 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Venez ; pour vous venger, laissez-lui son soupçon. v.1486 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Je ne puis... Permettez... Quoi ! Ne pourrai-je apprendre... v.1487 (Acte 4, scène 13, CONSTANCE)
- Il ne mérite pas ce que vous demandez. v.1489 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Vous avez fait une rude entreprise ; v.1491 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Pour convaincre une femme, il faut bien du bonheur ; v.1493 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Rarement un époux en vient à son honneur. v.1494 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- On ne saurait avoir des preuves assez claires ; v.1496 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Et par malheur pour vous, vous ne les avez point. v.1497 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Elles ne s'aiment pas ; mais accusez-en une, v.1499 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- L'émeute est générale, et la cause est commune. v.1500 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- S'élever à grands cris, et sonner le tocsin ; v.1502 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Tenez, voilà pourquoi, sans accuser la vôtre, v.1507 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- J'ai toujours crû ma femme aussi sage qu'une autre. v.1508 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Je ne m'attendais pas à ce nouvel orage... v.1512 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Que m'importe, après tout, qu'une épouse volage v.1515 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Va, je ne cherchais plus que le plaisir funeste v.1520 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Est-ce une autorité qu'un exemple coupable ? v.1528 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Ne le suivez donc plus, comme vous avez fait, v.1529 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Puisque vous convenez d'un si funeste effet. v.1530 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- J'ai des pressentiments que je ne puis m'ôter. v.1538 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Tu sens que j'ai besoin de plus d'une victime ; v.1544 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Attends ; je ne sais pas les choses à demi. v.1562 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je n'imagine pas qu'ils en osent parler ; v.1573 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Et même tous les deux viennent de s'en aller. v.1574 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Indigne désormais de ma félicité ; v.1581 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Où m'a plongé l'accès d'une fureur trop prompte. v.1584 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Dis-moi... qu'est devenue une épouse si chère ?... v.1588 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Son courage surpasse encor son infortune ; v.1595 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Elle fait les honneurs d'une fête importune, v.1596 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Dont elle ne croit pas être l'objet secret. v.1597 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Viens, un plus long délai lui deviendrait funeste. v.1600 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Tu ne pourras jamais en peindre la moitié : v.1605 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ne me ménage plus, implore sa pitié. v.1606 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Où je jure à Constance un éternel mépris ? v.1622 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Peut-elle désormais prendre aucune assurance, v.1623 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- L'amour pardonne tout : mais je t'ouvre un moyen ; v.1625 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Afin de lui donner une pleine assurance ; v.1635 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- C'est une cruauté... v.1652 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Mais enfin... quelqu'un vient. C'est Florine, je crois ? v.1653 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Oui, Florine, j'y vole. v.1660 (Acte 5, scène 2, DAMON)
- Quelle sera la fin de cet événement ? v.1661 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Car ce que j'ai vécu ne s'appelle pas vivre. v.1671 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Il vient un bon moment, car il faut qu'il en vienne, v.1679 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On en fait son profit, afin qu'on s'en souvienne. v.1680 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Damon suivait mes pas... et je ne le vois plus ; v.1681 (Acte 5, scène 4, CONSTANCE)
- Mais il ne peut tarder. Nous sommes convenus v.1682 (Acte 5, scène 4, CONSTANCE)
- Pouvais-je imaginer qu'un coeur déjà si tendre, v.1696 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'on ne saurait donner de bornes à l'amour. v.1698 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'est devenu ce temps ? Vous ne croirez jamais v.1701 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Un revers imprévu détruisit ma fortune ; v.1703 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ma tendresse bientôt lui devint importune ; v.1704 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je sentis qu'on ne vit que par l'objet qu'on aime ; v.1712 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne vous aurais pas parlé de mes ennuis ; v.1722 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je m'épanche avec vous, je ne dois rien vous taire, v.1723 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne prétends point faire un détail superflu, v.1725 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Se pardonnera-t-il de m'avoir offensée ? v.1736 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je crains (s'il ne m'estime autant que je l'adore) v.1739 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que sa confusion ne l'aliène encore ; v.1740 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ne l'empêche à jamais de me rendre sa foi. v.1742 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je le désire trop pour ne pas l'espérer... v.1745 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous ne me dites mot ?... que dois-je en augurer ? v.1746 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais si je n'ai point pris une fausse espérance, v.1747 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- qu'il vienne en sûreté... mes bras lui sont ouverts... v.1750 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Qu'il ne craigne rien, que l'excès de ma joie... v.1752 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne puis à présent être trop circonspecte ; v.1755 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Daignez par pitié... vous soupirez tout bas... v.1761 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne puis donc m'aller jeter entre ses bras ?... v.1762 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'avez-vous dit ?... parlez... quel funeste regret ?... v.1765 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- C'est une lettre. v.1768 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous tremblez... je frémis... on ne veut plus me voir. v.1769 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- De la main de Durval ces lignes sont tracées. v.1771 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- L'ingrat que vous pleurez, ne fait plus vos malheurs. v.1774 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Chère épouse, il n'est rien que votre époux ne fasse, v.1775 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Quoi ! Vous me pardonnez l'outrage et le parjure ? v.1785 (Acte 5, scène 5, DURVA5L)
- Oui ; laisse-moi goûter une joie aussi pure. v.1786 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Comment, diable ! La scène a bien changé de face. v.1793 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Oui, je ne prétends plus que personne l'ignore ; v.1797 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Lorsqu'une femme plaît, quoiqu'elle soit la nôtre, v.1805 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Je crois qu'on peut l'aimer, même encor mieux qu'une autre. v.1806 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Vous faire souvenir d'une convention ? v.1808 (Acte 5, scène 6, DAMON)
L'ÉCOLE DES MÈRES (1745)
- Mon père, en vérité, j'ai peine à vous comprendre. v.1 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Et son dessein n'est pas de se donner un gendre. v.3 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Il va la ramener au sein de sa famille : v.6 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Tiens ton coeur et ta main tout prêts à se donner. v.7 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Cet ordre rigoureux a de quoi m'étonner. v.8 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- L'amour dans un jeune homme est toujours romanesque. v.20 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Si l'on n'eût retenu ma jeunesse indiscrète. v.23 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Mais je ne connais point Mademoiselle Argant. v.24 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Qu'une femme à la longue en a toujours assez. v.31 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Elle est jeune, au surplus ; et tout ce que j'en sçais, v.32 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Et malheureusement on ne le reprend plus. v.42 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- N'est jamais si pressé de retourner chez lui. v.53 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- J'aime ; et mon père veut que j'en épouse une autre. v.63 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Marianne ayant mis en toi sa confiance... v.67 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Nous ne nous faisons point ces confidences-là. v.70 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- De tous vos entretiens ne font pas le sujet ? v.73 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Une mode, une étoffe, une robe nouvelle, v.77 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Des gazes, des pompons, des fleurs, une dentelle, v.78 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sont d'abord des sujets qui ne tarissent point. v.79 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sa cousine est si belle ! ... v.88 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Ils ne produiraient rien. v.91 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Il ne possède que trop bien v.93 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Il ne faut que chercher à plaire, v.101 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Peut-être à tort je la soupçonne ; v.103 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Mais pour une jeune personne v.104 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Mais, sans récriminer, croyez que parmi nous v.112 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Il est encor des coeurs dignes d'un honnête homme. v.113 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Marianne est sans doute extrêmement aimable : v.116 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- La bonté de son coeur la rend inestimable. v.117 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Marianne est presque ignorée. v.120 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- On ne la connaît point à la ville, à la cour : v.121 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Et les gens du bel air ne rendent point les armes, v.122 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- C'est qu'aucune beauté ne saurait le tenter, v.127 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Aussi, pour parvenir jusqu'au suprême honneur v.131 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Voilà le seul exploit digne de ses travaux. v.136 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Tout ce que tu me dis, ne me rassure pas. v.139 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Parlez-lui donc vous-même ; il tourne ici ses pas. v.140 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Je veux en amener la mode, v.147 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Tiens, Rosette rougit ; elle te fait un signe. v.153 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Notre entretien roulait sur un sujet plus digne. v.154 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- C'était sur Marianne. v.155 (Acte 1, scène 4, DOLIGNI-fils)
- Il est bien mal-aisé de lui parler d'une autre ; v.157 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Il n'est personne alors qu'on ne doive oublier. v.158 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Ne cherchons point tous deux à nous humilier. v.160 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Eh ! Bien, à la bonne heure ; elle est fort la maîtresse. v.163 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Je ne pousserai pas à bout ta modestie. v.171 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- La petite cousine était donc, entre vous, v.172 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Il ne pouvait voir sans terreur v.179 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- De ceux que Marianne a soumis à ses lois. v.181 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Qu'il ne peut se fonder aucune liaison v.188 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Que l'amour et le temps ne font que redoubler, v.193 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Venons à Marianne. v.197 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Elle est d'une figure v.197 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Malgré le train qui règne en ce siècle commode, v.203 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Marianne suivra celui du bon vieux temps, v.204 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Et ne prendra jamais ces travers éclatants v.205 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Qu'il faut avoir pour être une femme à la mode. v.206 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Pardonnez, au surplus, si dans cette occurrence v.208 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Parlons de Marianne. v.213 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Que le goût des plaisirs, la fortune, la gloire, v.231 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais Marianne a-t-elle attiré votre hommage ? v.237 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Mais, tout comme d'une autre, on peut s'en amuser. v.238 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Comment, vous ne feriez semblant de l'adorer v.242 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- À vos remords, un jour, craignez de rendre compte. v.247 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Croyez que, tôt ou tard, ils ne pardonnent rien. v.248 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- D'établir votre honneur sur les débris du sien. v.250 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Tu seras, en amour, une excellente dupe. v.261 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Marianne, aujourd'hui, n'est point ce qui m'occupe. v.263 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Quant à présent, j'aspire à certaine conquête, v.266 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mon choix va t'étonner ; mais prête-moi l'oreille. v.268 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Doligni, tu connais cette jeune merveille v.269 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- D'autant plus qu'elle est fine, et que jusques ici, v.273 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Mais enseigne-moi donc. v.278 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Il ne faut que refondre un peu ton caractère. v.282 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Rien ne fait plus de tort que la timidité. v.288 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu ne saurais parler qu'après avoir pensé. v.303 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu raisonnes toujours, et jamais tu ne causes. v.304 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Déraisonne, morbleu, plutôt que d'ennuyer : v.305 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle y met, à leur place, une langueur mortelle. v.311 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La raison, tout au plus, ne convient qu'à des sots. v.314 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu traites la raison d'une manière étrange. v.315 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- J'en suis bien revenu ; je ne prends plus le change. v.316 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Je ne me cite pas ; mais on peut m'imiter. v.318 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il est certaines gens, pour certaine raison, v.334 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Daigne un peu m'instruire. v.348 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'entends, et je t'enjoins de ne jamais rien prendre. v.353 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quoi ! Pas même, monsieur, ce qu'on me donnera ? v.354 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ah ! Ce ne sera pas de rendre. v.356 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- En tout bien, tout honneur. v.366 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- M'a flatté, si jamais le hasard me ramène, v.378 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qu'il aurait la bonté de m'épargner la peine v.379 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Je ne crois pas qu'on puisse en avoir de plus lestes. v.385 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- L'une est en petit jaune, et l'autre en petit bleu. v.389 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- De ne m'en plus servir. v.394 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais il en a déjà pour plus que je ne dois. v.399 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Vous l'êtes beaucoup plus, en croyant ne pas l'être. v.408 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Eh ! Ne sont-ce pas là des plaisirs innocens ? v.412 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Vous les menez un train de chasse ; v.413 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- En faux raisonnements votre morale abonde. v.419 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Mais, encore une fois, sachez vous limiter. v.420 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Si vous ne changez pas tout-à-fait de conduite, v.421 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Vous avez une soeur, qu'elle vous sacrifie : v.425 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Je l'ai fait avertir ; il ne tardera pas. v.440 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il achève à présent de donner audience. v.442 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Je crains que ce bonheur ne soit qu'une chimère. v.446 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- S'il cessait d'être un fat, il ne serait plus rien. v.458 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qui sçait le mieux choisir une étoffe de goût ; v.464 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qui s'habille et se met avec une élégance v.465 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Ne vous plaignez donc point. v.473 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Mais es-tu bien certaine... v.473 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Il ira loin. Pour moi, je n'en suis point en peine. v.474 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Suppléer au défaut d'une illustre naissance, v.497 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Il en contracterait l'habitude importune. v.503 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Cette nièce orpheline, et presque sans fortune, v.505 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Je devais tout quitter, et ne point m'amuser. v.516 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Me pardonnerez-vous ? v.517 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- J'exigerais de vous une entière franchise. v.525 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Votre mère ne veut être que votre amie. v.529 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- J'excuserais votre jeunesse ; v.536 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- C'est une beauté rare, et qu'on m'a fort vantée, v.539 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais à quoi votre sort ne peut pas être joint... v.540 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous rougissez, mon fils, et ne répondez point. v.541 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ne peut abandonner ce dangereux vainqueur, v.543 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ne tient qu'autant qu'on veut ; la rupture est facile : v.555 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- De semblables romans n'ont pas pour héroïnes v.557 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Des personnes assez divines v.558 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Pour fixer, sans retour, ceux qui leur font l'honneur v.559 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ah ! Mon fils, pardonnez mes frayeurs indiscrètes. v.567 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que ne vous dois-je pas ! v.573 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- D'une opulente obscurité. v.578 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Je ne fais aucun doute v.579 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que votre but ne soit de percer à la cour : v.581 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Un mariage ; une fille, en un mot, v.586 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Le crédit et l'appui d'une grande alliance. v.588 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- On ne peut mieux penser. Vous ne m'étonnez point : v.589 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Quoi ! Voulez-vous sitôt que je devienne esclave ? v.591 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Un mari ne l'est pas. Auriez-vous sur ce point v.592 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Le sacrifice est prêt : ce n'est pas une affaire. v.596 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Je prévois ses refus ; mais ils ne tiendront pas. v.600 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Pour le déterminer à vous faire un état. v.606 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il ne voulait pas s'y prêter : v.609 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ne faut-il pas avoir un titre dans le monde ? v.612 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il est vrai ; c'est ce qui m'étonne. v.618 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Je crois qu'à son retour la scène sera bonne. v.620 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il ne sera pas mal surpris v.621 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il ne pourra pas voir, sans jeter les hauts cris, v.624 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ne seront pas trop de son goût. v.628 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ah ! Monsieur, pardonnez... madame, c'est mon père. v.635 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Qu'une espèce de singe, avec sa barbe torse, v.638 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ne voulait point du tout laisser entrer ici : v.639 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Il ne nous faut qu'un vieux portier. v.644 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Et ce tas de valets dont l'antichambre est pleine, v.645 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Mais en faut-il une douzaine ? v.647 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Vous ne vous serviez pas d'épithète pareille. v.653 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'un fils puisse donner à l'auteur de ses jours. v.670 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Il ne m'aime pas moins pour m'appeler madame. v.672 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ma femme, quant à vous, je ne m'en mêle pas ; v.673 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- C'est une affaire à part ; je n'en veux point connaître. v.674 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- De quel droit ? Mais vous m'étonnez fort. v.680 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- N'avez-vous pas l'honneur d'être né gentilhomme ? v.682 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Est-ce que ce n'est pas une affaire conclue ? v.686 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Mais vous ne perdrez rien au change. v.689 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Acquis trois bonnes métairies, v.696 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Valent mieux que dix seigneuries. v.700 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai cru que vous m'aimiez ; mais vous ne m'aimez point. v.704 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Fort bien. Mécontentez une femme en un point, v.705 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, je suis une ingrate ; allons, accablez-moi ; v.707 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ne ménagez plus rien. Ah ! Que je suis outrée ! v.708 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ma femme, sans courroux, parlons de bonne foi. v.709 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Nous convient-il d'avoir une terre titrée ? v.710 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! C'est une autre affaire. v.718 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- D'autant plus qu'il s'agit d'une grande alliance v.726 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- On propose une fille aimable et de naissance, v.728 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Et qui même appartient à plus d'une puissance. v.729 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Une entrée à la cour, avec un régiment. v.733 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Il ne trouverait plus d'occasion si belle. v.734 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- C'est une bagatelle... v.736 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- J'aurai soin de lui faire un sort digne d'envie. v.743 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- J'arrive à peine, après deux mois d'absence... v.752 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Mon amitié pour vous ne s'est point affaiblie. v.756 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Éprise, pour son fils, d'une amitié trop tendre, v.763 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Elle pense à lui seul, et ne veut point de gendre. v.764 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Par une autre raison qui n'est pas moins contraire, v.769 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Il aime éperdument une jeune personne v.772 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Digne de sa tendresse et de mon amitié. v.773 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Mais oui, je le lui donne. v.774 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- J'espérais pour ma fille une chaîne si belle, v.776 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Marianne. v.779 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Marianne est l'objet dont son âme est charmée ? v.781 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Cette jeune orpheline, où tant de beauté brille, v.789 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Marianne est ma fille. v.792 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Que m'apprenez-vous là ? v.793 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Mon amour paternel v.793 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'elle voulait laisser dans un cloître éternel. v.796 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Marianne se croit la fille de mon frère, v.797 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et n'imagine pas qu'elle soit chez son père. v.798 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Elle est dans la bonne foi. v.799 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'ai pas eu de peine à forger une histoire. v.801 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ne pouvant engager mon épouse obstinée v.807 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Attraper une femme, est prendre sa revanche. v.816 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Marianne a de quoi charmer ; v.821 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Sur-tout ne dites point ce que je vous confie ; v.826 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'en tâchant de gagner l'amitié de ma tante, v.837 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je ne me faisais point un effort violent. v.838 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Que dis-je ? Un sentiment que je ne puis comprendre, v.839 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je ne te dis qu'un mot ; qu'il serve à t'animer. v.844 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Mariage, fortune, espérance, héritage, v.845 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne puis rien pour toi. v.847 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Par des arrangements que la fortune a faits, v.848 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Étouffez une douce espérance, v.851 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- C'est un projet flatteur qui ne peut s'accomplir. v.855 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je ne sais si mes soins ne m'ont pas fait haïr. v.860 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Ne me forcez donc pas d'insister davantage. v.861 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je ne puis. v.864 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ne t'imagine pas non plus que je m'y prête. v.868 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai de fortes raisons pour ne pas consentir v.869 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- À te laisser aller suivre une folle envie. v.870 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Vienne dans mon désert empoisonner ma vie. v.872 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- À peine revenu depuis six mois en France, v.906 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Tout vous y paraît neuf. Ne soyez pas surpris, v.908 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Nous sommes vieux, les temps amènent d'autres moeurs. v.911 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Par une extravagance, une autre est abolie. v.915 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- D'âge en âge on ne fait que changer de folie. v.916 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Je le vois bien. Il faut qu'au sujet du dîner, v.917 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Excepté le rôti, je n'ai pu deviner v.919 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Qui font un bois-taillis, où l'on ne se voit plus v.927 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Est une heure à ranger sur le lieu de la scène ; v.931 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et tient, en attendant, tout le monde à la gêne. v.932 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne m'attendais pas de trouver mon logis v.943 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- C'est Marianne. Eh ! Bien, m'avez-vous fait la grâce v.947 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Oui ; mais je ne tiens rien. v.948 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Et je ne compte pas que ce dessein lui passe, v.950 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Quel retour ! Je ne puis y penser sans effroi. v.958 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne puis ni ne veux me brouiller avec elle. v.965 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et nombre de rivaux plus dignes d'être aimés, v.970 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Me rendit possesseur d'une épouse adorable, v.976 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ma fille... non, monsieur, je ne puis m'en priver. v.983 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Une femme en courroux m'embarrasse fort peu. v.991 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Entre la mienne et moi la paix était si rare, v.992 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Que je ne suis pas neuf en pareille bagarre. v.993 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Ne la contraigne point à cette violence, v.1010 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et sa mauvaise humeur ne cessant de s'accroître, v.1012 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Allons, je le veux bien, pour vous tirer de peine. v.1024 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Ce n'est pas l'intérêt qui me mène. v.1025 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Mais Marianne vient... v.1027 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Vous me portez, dit-elle, une amitié si tendre v.1034 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Qu'il n'est rien, près de vous, dont je ne vienne à bout ; v.1035 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Et pour sa fortune, v.1039 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Que je viens, au hasard de vous être importune... v.1040 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Marianne, est-ce à toi d'appuyer sa demande ? v.1044 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Et l'unique héritier de toute sa fortune ! v.1050 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Est-il vrai que vous en ayez une ? v.1051 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Moi, je ne lui veux point de mal ; et si mon zele... v.1055 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Et ne consulte ici que ton propre intérêt. v.1061 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- À quoi me servirait de m'obstiner toujours v.1066 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- D'aliéner vos coeurs, d'en écarter l'amour, v.1068 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Vous en dirait autant ; et je ne sers ici v.1073 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Ne vous éloignez pas. v.1077 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- On ne peut mieux plaider une méchante cause. v.1081 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Ne vous souvient-il plus qu'un fils trop fortuné v.1084 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Mais cette fille enfin dont vous plaignez le sort, v.1092 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Depuis, je ne l'ai point revue. v.1097 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- L'éloignement, l'oubli, le temps, ont étouffé v.1099 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Je ne demandais pas mieux. v.1103 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Vous ne voulûtes pas ; il a fallu vous plaire ; v.1104 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Tout se peut réparer. Daignez voir votre fille ; v.1109 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qui n'a jamais vécu qu'à l'ombre d'une grille, v.1112 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Un parloir de province est une pauvre école. v.1119 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- À Marianne on peut s'en rapporter. v.1120 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- On ne compare point une personne unique. v.1125 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous pouviez épargner cet éloge ironique. v.1126 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Est-ce une nouveauté ? Suis-je la seule en France ? v.1130 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Si j'en laisse un des deux au fond d'une clôture. v.1132 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- De chercher à s'en faire honneur. v.1138 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Peut-on donner dans ce prestige ? v.1142 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qui diable ne l'est pas ? v.1143 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- C'est un titre banal. On ne peut faire un pas v.1145 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'on ne voit accorder ce nom imaginaire v.1146 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- À tout venant, à gens qui ne sont bien souvent v.1147 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'une frivole effervescence, v.1152 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'un accès, une fièvre, un délire, un transport, v.1153 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Joignez-y le ton suffisant : v.1159 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Et nous ne songeons pas aux présents qu'il faut faire. v.1170 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Ne trouveriez-vous pas qu'il serait nécessaire v.1171 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- C'est l'ordre ; et l'on ne peut, quand on est régulier, v.1174 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Argant, vous avez une soeur. v.1181 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne sais point aimer l'un aux dépens de l'autre. v.1187 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- L'égalité devrait régner dans tout le reste. v.1189 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Souffrirez-vous qu'elle ait un destin si funeste ? v.1190 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- C'est à vous l'un et l'autre à régler sa fortune. v.1195 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Je ne sais point blâmer la générosité. v.1196 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- La générosité ! Mais ce n'en est point une ; v.1197 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Pour donner des avis à ceux qui m'ont fait naître. v.1201 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Ce n'est pas qu'une soeur, que je n'ai jamais vûe, v.1203 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Ne m'intéresse aussi. Vous n'avez pas besoin v.1204 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- De me piquer d'honneur. Le sang parle de loin : v.1205 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Daigneriez-vous m'en éclaircir ? v.1207 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Et... si j'ai le malheur de ne pas réussir, v.1209 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- M'ordonner assez nettement v.1215 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- De ne m'en pas mêler. v.1216 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Il faut d'un autre sens retourner cette affaire. v.1220 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Francs et quittes de tout ; du moins je ne dois rien. v.1223 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- C'est encore un prétexte, une ruse nouvelle, v.1232 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- J'ai bien de la peine à me l'imaginer. v.1236 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Est-ce une affaire sûre et prompte à terminer ? v.1237 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Dès aujourd'hui. Va dire à Doligni qu'il vienne. v.1238 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mais est-ce un sujet qui convienne ? v.1239 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Qu'on peut puiser au fond d'une clôture... v.1246 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Monsieur nous fait honneur. v.1253 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Mon fils ne peut jamais être mieux assorti. v.1256 (Acte 3, scène 7, DOLIGNI PÈRE)
- On daigne rechercher pour vous notre alliance. v.1270 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- C'est avec plus d'ardeur que je ne puis le dire. v.1274 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Il est inexprimable. v.1282 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- On ne peut être plus confus. v.1283 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Vous m'accordez sans doute un bien inestimable. v.1284 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Mon père, épargnez-vous ces signes superflus : v.1285 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Je ne puis, mon désordre a trop su me confondre. v.1286 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Ne pourrai-je savoir ?... v.1287 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- L'excès de vos bontés ne pouvait se prévoir : v.1288 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Tu ne sais pas le bien que tu vas refuser. v.1290 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Ah ! Monsieur, vous devez préférer ma cousine. v.1299 (Acte 3, scène 8, MARIANNE)
- Tâchez une autre fois de vous arranger mieux. v.1300 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- La méprise n'est pas telle qu'on l'imagine. v.1301 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Ne m'arrêtez plus. v.1302 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Allez, vous auriez dû m'épargner ce refus. v.1303 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ah ! Monsieur, pardonnez... v.1304 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI-fils)
- Il vient d'en donner sans détour v.1306 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ne t'embarrasse pas, va, tu seras mon gendre. v.1312 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Que ferons-nous donc, nous autres jeunes gens, v.1315 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- En parle ? Mais cela ne m'embarrasse guère. v.1322 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- N'est-il venu personne apporter un billet ? v.1323 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Moi, je ne dis mot. v.1343 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Tenez, c'est un billet joliment tortillé. v.1346 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Venez où vous savez à huit heures précises. v.1348 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Ne perdons point de temps. v.1355 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- J'ai des ordres encore à te donner ensuite. v.1360 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Paraissent en danger. Pour ne rien hasarder, v.1365 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Je brûle de le voir orner votre conquête. v.1370 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Une mère aussi tendre que moi, v.1378 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Daignez me dispenser... v.1380 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Plus vous me donnez à penser ; v.1382 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il ne fallait pas moins que cet ordre absolu v.1384 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Si je me détermine à rompre le silence, v.1386 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Daignez vous souvenir que vous l'avez voulu. v.1387 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- De ne me point commettre. v.1389 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Croyez que je n'en tire aucune conséquence. v.1392 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Marianne, entre nous, vous est-elle connue ? v.1394 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Une autre Demoiselle Argant ? v.1398 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- En aviez-vous une entière assurance ? v.1399 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui, je crois, dans mon jeune temps, v.1401 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Marianne n'est point la nièce de mon père. v.1409 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Elle ne serait point sa nièce ? v.1410 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Qui peut vous avoir fait une histoire pareille ? v.1414 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Son maître eut une fille unique, v.1420 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Qu'on nommait Marianne. v.1421 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Que c'est une histoire publique ; v.1423 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Il est sûr de son fait. Ce ne peut pas être elle. v.1427 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Et ne dégradons point le père aux yeux du fils. v.1431 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Et du premier d'entre eux qui ne se taira pas, v.1439 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- L'honneur de s'allier à des gens d'importance, v.1445 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Arrivez de bonne heure. v.1454 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je m'acheminerai, quand il en sera temps. v.1460 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Dans votre cabinet. v.1467 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Est-ce que vous voulez y faire une retraite ? v.1481 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Tout comme il me plaira. Que rien ne t'inquiète. v.1482 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Un jour comme aujourd'hui, me donne du tintoin. v.1485 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Tu ne pars pas ? v.1491 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Pour vous, en votre nom, une dette criarde. v.1495 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Me le pardonnez-vous ? v.1502 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Mais d'honneur ? v.1502 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Droit au cabinet dirigeons notre course. v.1505 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- D'où viennent tout-à-coup de si cruels dédains ? v.1507 (Acte 4, scène 5, MARIANNE)
- Daignez m'en dispenser. v.1513 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Ma chère petite cousine, v.1514 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Tout ne réussit pas toujours selon nos voeux. v.1515 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Pour y remédier, il faut être bien fine ; v.1517 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Ma tante est contre moi d'une colère extrême. v.1524 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- J'ai beau m'examiner moi-même ; v.1526 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- La prend d'une façon si brusque et si cruelle ; v.1530 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- D'autant plus qu'une fois, d'abondance de coeur, v.1531 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Il faut bien que le diable ait ici fait des siennes : v.1536 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Je ne connais que lui pour jouer de ces tours. v.1537 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Mais vos recherches et les miennes v.1538 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Ne nous avancent pas ; il faut d'autres secours : v.1539 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Vous ne savez pas tout. Je me suis évadée v.1540 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Qu'on me ramène où l'on m'a prise. v.1544 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- Et surtout ne me nommez pas. v.1547 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Marianne ! Et pourquoi te trouvé-je éplorée ? v.1548 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ne me les laissez pas ignorer davantage ; v.1555 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Cette infortune est réelle et publique. v.1557 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- C'est une énigme obscure, ou plutôt chimérique, v.1558 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Dont je ne puis venir à bout. v.1559 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne te connais point de nouvelle infortune. v.1560 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Non, je n'en sache aucune. v.1561 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- De tout ce qui nous environne ? v.1563 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- D'où viennent ces regards furtifs et curieux v.1564 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Qu'on attache en secret sur toute ma personne ? v.1565 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Quoi donc ! Ai-je changé ? Ne suis-je plus la même ? v.1568 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Ils ont d'autres motifs que je ne puis savoir. v.1569 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- N'est-ce que d'aujourd'hui qu'on m'examine ainsi ; v.1571 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- À peine il m'a laissée incertaine et flottante, v.1584 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Veut se débarrasser de ma vue importune, v.1588 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Grand dieu ! Quelle infortune ! v.1591 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Je vois que j'ai commis une imprudence extrême. v.1593 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Daignez m'en éclaircir... Vous parlez de secret ! v.1594 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Une jeune et tendre maîtresse. v.1611 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Qu'entends-je ? Que m'apprenez-vous ? v.1612 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Elle ne sait donc pas sa véritable histoire ? v.1621 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Parlez ; je ne veux plus languir dans cette attente. v.1626 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Je ne crains que la honte v.1631 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Je ne puis faire trop d'éclat. v.1635 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Je suis moins criminel que tu ne l'oses croire. v.1636 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Trouvera dans ton âme un retour éternel ; v.1639 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- N'est que de l'amour paternel. v.1641 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Peut-être ne vas-tu que changer de malheur. v.1644 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Que nous avons encor une fille à pourvoir. v.1653 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne souffrirai point qu'un abus tyrannique, v.1654 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Joignez à vos bontés la grâce que j'implore ; v.1664 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Ne m'abandonnez pas ; daignez prendre soin d'elle. v.1667 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- La bonne femme est folle, ou le diable s'en mêle. v.1673 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Que je ne perdais pas dessus, grâce à mes soins ; v.1679 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Ton étoile ! Comment ? Est ce qu'en bonne foi v.1683 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Tu crois en avoir une à toi ? v.1684 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Tais-toi ; sors ; et jamais ne parois à mes yeux. v.1700 (Acte 5, scène 3, MADAME ARGANT)
- D'où viennent donc ces pleurs qui coulent malgré vous ? v.1702 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- Je ne vous vis jamais dans l'état où vous êtes. v.1703 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- On ne reçut jamais de plus sensibles coups. v.1704 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- On vient d'empoisonner le bonheur de ma vie... v.1705 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Mon coeur est suffoqué... je ne puis respirer. v.1706 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ce qui vient d'arriver ne m'en laisse aucun doute. v.1713 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Pour assurer le sort, la fortune et l'état v.1717 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Une famille illustre ouvrait à cet ingrat v.1719 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ils vont être à jamais ses plus grands ennemis. v.1724 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ne sachant que penser d'un retard indiscret, v.1737 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Je pénètre plus loin que jamais je ne fis. v.1747 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Sitôt qu'il ne peut plus mériter ma tendresse ? v.1751 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Non, quand la confiance est une fois détruite, v.1757 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Il croyait emmener, sans trouble et sans alarmes, v.1768 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Au lieu d'abandonner sa proie, v.1773 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Les suites n'en seront funestes que pour moi. v.1783 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Fils indigne ! Ah ! Le ciel te devait une mère v.1785 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Va, ma haine commence où mon erreur finit. v.1795 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Eh ! Ne séparez point mon intérêt du vôtre. v.1797 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Et je ne demandais à votre âme charmée, v.1804 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- La jeunesse abuse aisément v.1808 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je vois que son état est digne de pitié. v.1819 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Un malheur instruit mieux qu'aucune remontrance. v.1820 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Vous ne l'ignorez pas. v.1828 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Je ne sais ce que c'est ; v.1828 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'en ai, je vous jure, aucune connaissance. v.1829 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Comment voulez-vous que je ne sache pas, v.1831 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Ce qu'ici personne n'ignore ? v.1832 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Monsieur, vous lui traciez une route assez belle ! v.1835 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Vous vous abandonnez à de fausses alarmes. v.1844 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- À l'honneur de leur fille il n'en faut plus qu'autant. v.1852 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI PÈRE)
- J'ai réglé, moyennant une somme assez forte, v.1853 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Il faut aller signer et consommer l'affaire. v.1856 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI PÈRE)
- Supposé, cependant, que cela vous convienne. v.1859 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- L'affaire qui me reste à terminer ici. v.1861 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Rosette ? Holà, quelqu'un ? Que Marianne vienne. v.1862 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ma rivale paraît... Ne la ménageons pas. v.1868 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ce ne sont pas toujours des preuves d'innocence. v.1882 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ordonnez ; et comptez sur une obéissance v.1885 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Je ne demande, hélas ! Qu'à me sacrifier. v.1888 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- C'est une vérité qui peut être attestée. v.1894 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Ô ciel ! D'une rivale est-ce là le langage ? v.1900 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- J'ai peine à résister à son air ingénu. v.1901 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- On ne vous a point dit qui j'étais ? v.1906 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Je frémis d'une erreur où je vous vois encore. v.1908 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Hélas ! Je ne vois point mon père. v.1910 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Mais ne vous flattez pas de pouvoir me tromper. v.1911 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Que cherchent vos regards ? épargnez-vous ces soins. v.1913 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Quelle est votre fortune ? v.1915 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Qui ? Moi ! Je n'en possède et n'en prétends aucune. v.1916 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Je menais hors du monde une vie inconnue. v.1918 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- J'offre d'y retourner, pour n'en jamais sortir. v.1922 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Vous pouvez m'en tracer une image fidèle. v.1936 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Faites-moi son portrait... Quoi ! Vous ne l'osez pas ? v.1937 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je ne me flatte point qu'elle ait autant d'appas v.1938 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ne me pressez pas davantage v.1940 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Pour une mère qu'elle adore. v.1954 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Elle ne m'a point vue encore. v.1956 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Hélas ! Pardonnez-moi. v.1957 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Votre coeur ne vous trompe pas. v.1963 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Pardonnez-moi tous deux, et partagez ma joie. v.1966 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Vous me pardonnez donc cette ruse innocente ! v.1969 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Si je vous la pardonne ! Elle fait mon bonheur. v.1970 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Nous en voilà pourtant venus à notre honneur ! v.1971 (Acte 5, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Il n'oserait paraître. Ah ! Daignez lui permettre v.1975 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne puis. v.1977 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Me refuserez-vous une première grâce ? v.1980 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Appelez votre fils ; qu'il vienne en diligence. v.1983 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Et que le châtiment d'un si cher criminel v.1985 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Doit être passager et non pas éternel. v.1986 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ne vous en cachez point. Leur amour m'intéresse. v.1991 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Sa grâce. Elle sera la mienne. v.1997 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Si vous l'abandonnez, que faut-il qu'il devienne ? v.1998 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Il m'aimera... craignez l'effet de sa douleur, v.2000 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- L'ingrat, jusqu'à ce jour, ne m'a que trop séduite. v.2008 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Je ne puis me résoudre à me séparer d'elle ; v.2010 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- C'est rendre encor plus chère une union si belle. v.2012 (Acte 5, scène 10, DOLIGNI-fils)
- Comptez qu'on ne parvient à ce bonheur suprême, v.2017 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
ÉCOLE DES AMIS (1749)
- Je ne puis différer ma première sortie, v.2 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Oui : mais, Monsieur, à peine est-elle refermée. v.5 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Je veux savoir comment la fortune me traite. v.10 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- D'autant plus qu'elle va retourner au couvent. v.15 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Qui, moi, Clorine ? Hélas ! je ne l'ai que trop vue. v.17 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Vous craignez de revoir l'objet de votre ardeur ? v.19 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Plut au Ciel !... quand j'étais un peu plus digne d'elle, v.21 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Les mènera plus loin qu'ils ne veulent tous deux. v.43 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- C'est Clorine ! Eh ! parbleu, je la trouve à propos. v.55 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Avant que de lui faire épouser son neveu. v.60 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Si l'éternelle tant attachée à sa suite, v.62 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ne posséda jamais, pour toutes Seigneuries, v.73 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Or cela supposé, comme aussi que Clorine v.81 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Soit une fille aimable, intelligente, et fine... v.82 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Son oncle un peu trop-tôt est mort au lit d'honneur : v.88 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Tu sais, pour son neveu, quelle était sa tendresse ; v.89 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il lui cédait sa Charge et son Gouvernement : v.91 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Le défunt ne roulait que sur des pensions, v.96 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ainsi de ce côté la fortune est peu sûre. v.98 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- A l'égard de la Cour, je doute, et je ne sais v.99 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et franchement j'ai peur qu'en cet état funeste v.101 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ta Maîtresse ne soit le seul bien qui nous reste. v.102 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Hortense va passer sous une autre puissance. v.105 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On exigera d'elle une autre obéissance. v.106 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On exigera d'elle une infidélité : v.107 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Vous n'y voyez aucune impossibilité. v.108 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On peut bien deviner. v.124 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Je ne m'en méle pas. v.124 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On surprend un secret qu'on ne veut pas nous dire ; v.125 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Les filles d'à présent ne savent jamais rien v.127 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On ne saurait penser plus à notre avantage. v.129 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Je ne dispose pas de l'inclination. v.136 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et ne voulez-vous pas que je l'en dédommage ? v.145 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Lorsque l'on ne veut pas se laisser enflammer ? v.147 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Si depuis une année et plus qu'elle est ici, v.151 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Cette époque est bonne à remarquer. v.155 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- C'est bien assez qu'il vienne après le mariage : v.158 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Il vaut mieux ne donner son coeur qu'après sa main. v.160 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Allez, morbleu, partez ; retournez au couvent. v.168 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Oui, l'on pourra tourner de tel autre côté, v.172 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et jamais la fierté ne doit être épargnée. v.177 (Acte 1, scène 4, ARAMONT)
- Une femme piquée est à moitié gagnée. v.178 (Acte 1, scène 4, ARAMONT)
- Tu ne le quittes plus ! Je te trouve adorable. v.181 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Ah ! si l'événement lui devient favorable, v.182 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Ils ne sont qu'égarez ; ils ne sont pas perdus. v.184 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Cette espèce d'amis n'est pas la moins commune. v.185 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Habiles à prévoir de loin une infortune, v.186 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Ils ne paraissent plus dans le temps orageux. v.187 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Il ramène avec lui leur troupe mercenaire. v.189 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Depuis qu'il est malade, on n'imagine pas v.203 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Je crains que cela n'ait une suite fatale. v.222 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Pour moi, je me borne à des soins v.223 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- C'est une minutie. v.230 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Laisse ainsi son neveu, tandis qu'il aurait pu v.236 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Son appui nous serait d'une grande importance ; v.238 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Car enfin son crédit est plus grand qu'on ne croit v.239 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Qui se donne à la Cour pour être détaché v.244 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- En effet, l'amitié donne un air moins austère. v.253 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Mon abord vous étonne ! v.261 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Personne. Si j'ai bien entendu votre entretien... v.263 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Il ne doit plus compter sur d'autres que sur vous. v.268 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Mes amis, prenez part à la joie où je suis. v.275 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Ah ! Monsieur. C'est me faire une grâce infinie. v.278 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Tout Paris là-dessus n'a qu'une seule voix. v.283 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Une affaire dépend du tour qu'on lui fait prendre. v.286 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- La fortune et l'amour se ressemblent tous deux : v.287 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- La souplesse est pour nous un indigne moyen, v.296 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- On ne cherche que trop à nous humilier. v.299 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Qui ne sont pas plus sages. v.302 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Je ne pouvais suffire à leurs embrassements. v.303 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- On n'y saurait donner trop de cours et d'éclat. v.308 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Il ne dépend plus d'elle. Il faut qu'elle le fasse, v.314 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Contre cet étourdi je ne saurais tenir. v.319 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Qui ne te soit acquis : je crois que là-dessus v.335 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Tu veux bien m'épargner des serments superflus. v.336 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Bien souvent ce ne sont que des mots d'habitude v.337 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Qui joignent le parjure avec l'ingratitude. v.338 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Mais je ne veux pas être a la charge d'autrui. v.340 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- D'avoir à vous offrir un rang digne de vous ! v.360 (Acte 1, scène 10, MONROSE)
- Une étroite amitié m'unissait avec elle. v.365 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Daignez me le faire connaître. v.369 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Une terre inconnue à tous ses habitants. v.376 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ou d'amis dangereux. Heureux qui les devine ! v.381 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On n'y peut s'élever que sur quelque ruine ; v.382 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Qui demain ne pourra faire tête à l'orage : v.385 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais d'après ce portrait qu'on ne peut qu'ébaucher, v.387 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je ne crois pas avoir de reproche à me faire : v.389 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Je voudrais avoir pris une fausse terreur : v.392 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous méritez beaucoup ; mais on ne vous doit rien. v.400 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous vous faites un droit qui pourrait ne pas être. v.402 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et monter aux honneurs que vous sollicitez. v.407 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Les grâces ne sont point des biens héréditaires : v.409 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Lorsque j'ose avancer qu'il ne vous est rien du, v.419 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je ne dis pas, Monsieur, qu'il vous soit défendu v.420 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je ne vois pas en quoi j'ai pu me dégrader. v.424 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Ce serait trop payer la plus haute fortune. v.425 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Non, non, Monsieur, perdez cette crainte importune. v.426 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Je ne sais point jouer un rôle humiliant : v.427 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Et cette liberté, digne de ma naissance : v.430 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- J'en aurais épargné la peine à mes amis ; v.431 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Mais enfin, ma santé ne me l'a pas permis. v.432 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Je ne sais point flatter quand le mal est extrême. v.445 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Au caractère heureux qui vous est personnel. v.448 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Il faut gagner les coeurs ; la fortune les suit. v.451 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On ne peut s'observer avec trop de scrupule, v.453 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous m'en dites assez ; épargnez-moi le reste. v.461 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous venez de détruire un charme trop funeste. v.462 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Mais c'est un dénouement que l'on ne peut prévoir. v.464 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Attendez votre sort ; et ne recevez plus v.467 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et du reste daignez agréer mes services. v.473 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous n'avez pas besoin de faire aucune instance. v.477 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Monsieur, j'ai su l'honneur que vous vouliez me faire. v.485 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Éloigne de la Cour son plus bel ornement ? v.487 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Pour qui ce contretemps doit être bien funeste. v.494 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Que puissent procurer l'Amour et la Fortune. v.501 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- L'espoir va ranimer une foule importune. v.502 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Monsieur ; vous m'étonnez ? v.507 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Nous ne le sommes pas. v.508 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Que pour m'abandonner au penchant le plus tendre, v.510 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Nous avons des devoirs qui ne sont que pour nous. v.515 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Vous ne m'honorez point de votre confiance, v.525 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Pourquoi me craignez-vous ? Ne dissimulez plus. v.527 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Un intérêt plus tendre, et plus fort qu'on ne pense, v.529 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- M'oblige à redoubler une si vive instance. v.530 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Si vous ne daignez pas m'accorder votre aveu, v.536 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Donnez-moi les moyens d'agir en assurance ; v.537 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Par pitié pour vous-même, ordonnez ; et comptez... v.539 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Mais je ne dois penser, ni vous dire autre chose. v.541 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Parlons de sa fortune, et non pas de son coeur. v.544 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Ah ! je ne métais pas trompé dans mon attente. v.553 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Il faut vous deviner ; et vous serez contente. v.554 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Je ne vous presse plus. Puisse un retour heureux v.555 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Je ne puis revenir de mon émotion, v.559 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Contre qui ? Je ne sais rien de plus. v.564 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ce que depuis longtemps j'imagine moi-même. v.569 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Je me flatte d'avoir éludé ses finesses. v.574 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ne sont-ce que des fous qui peuvent nous aimer ? v.579 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- C'est à l'occasion... tenez... voilà l'histoire. v.582 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Que diantre ! Il ne peut pas se perdre tout-à-fait. v.584 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Tu l'auras égaré. C'est une bagatelle. v.585 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Je ne sais... J'entrevois du mystère en ceci. v.587 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ni moi, ni mon portrait, n'intéressent personne. v.589 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Celui que je soupçonne... v.590 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ce qu'on fait du portrait d'une femme qu'on aime ? v.593 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Hélas ! Son infortune, ou quelqu'autre sujet, v.595 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Si vous ne l'aimiez pas, il peut avoir raison. v.600 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Si je ne l'aime pas... Étais-je la maîtresse ? v.601 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ne m'a-t-on pas livrée à toute ma faiblesse, v.602 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Qu'on s'en prenne au devoir : c'est lui qui m'a séduite. v.605 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- La restitution peut en être incertaine. v.609 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Madame, il vous convient de vous en mettre en peine. v.610 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Vous avez tous les deux besoin d'une entrevue. v.614 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Clorine, il faudrait bien... v.620 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Qu'il vienne seulement ! v.620 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- C'est à propos qu'ici la fortune m'envoie v.622 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- Clorine était en peine... v.629 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Reprenez ce portrait. v.632 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Et ne pas vous le rendre avant qu'on l'affichât ? v.636 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- Donnez, Monsieur, donnez, puisqu'il faut le reprendre. v.641 (Acte 2, scène 6, CLORINE)
- Parbleu, tu nous as fait une belle bévue ! v.649 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Tu prônes l'héritage... v.651 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Que ta finesse aura des suites bien contraires. v.657 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Pourvu que son honneur n'en soit pas la victime. v.661 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- J'aimerais cent fois mieux une amitié stérile, v.665 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- De ceux qui lui font prendre une allure trop haute. v.674 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Suggèrent la plupart des avis qu'on lui donne. v.681 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Il vaudrait cent fois mieux ne conseiller personne. v.682 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Par un inévitable et triste enchaînement v.691 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je manque tout, la Charge, et le Gouvernement. v.692 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Il ne restera rien de tant de récompenses, v.693 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mon bien ne suffira qu'à peine à m'acquitter. v.695 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Elle accorde au plus digne... v.703 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ceux que je viens de voir ne m'ont que trop instruit. v.707 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ma plus grande infortune en cette conjoncture v.709 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Vient d'avoir devancé ma fortune future. v.710 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Parbleu, qui ne l'est pas ! Surtout parmi nous autres ! v.713 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ne va pas, en payant, nous gâter ces gens-là. v.716 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- L'on ne me verra point réclamer contre moi. v.720 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mais cela ne conduit à rien ; tout au contraire. v.722 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Que mon oncle, après lui, ne laisse que sa gloire. v.726 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Il ne fut jamais riche : et tout ce que l'on dit v.727 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ne sera qu'un faux bruit, qu'on répand à crédit. v.728 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je crois que je pourrai conserver ce Domaine, v.729 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Que vous me connaissez au fond de la Touraine ; v.730 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- À l'abri d'une fausse et coupable importance, v.741 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- C'est une extrémité fâcheuse, abominable. v.745 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je voudrais bien t'aider, mais je ne sais par où. v.747 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Mais qu'il en ait, ou non, il faut bien qu'il m'en donne : v.749 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- J'ai promis une fête à certaine personne, v.750 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ne précipitons rien. Il faut voir jusqu'au bout. v.756 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ne conclus rien avant que j'en sois informé. v.760 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je ne le soutiens pas aussi-bien que vous-même. v.762 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- La Fortune aurait pris un travers avec toi. v.768 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ton honneur, en un mot, et la nécessité, v.772 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je ne trouve pas tout, je ferai mon billet v.783 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Et pour trancher le mot, elle est impertinente. v.790 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Après vous avoir dit qu'il ne peut vous aider ? v.792 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Je ne vois pas d'où vient cette surprise extrême, v.793 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Dornane ne peut rien pour moi ni pour lui-même, v.794 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Sa famille pour lors y donnera la main. v.796 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Portons au coeur d'Hortense une atteinte fatale ; v.805 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Faisons-lui redouter une heureuse rivale ; v.806 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Faut-il que je ne puisse v.810 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- De ne pas voir quel est le péril imminent, v.812 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Où son humeur facile expose sa fortune. v.813 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- La remontrance ici deviendrait importune ; v.814 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Oh ! jeunesse, toujours d'elle-même enivrée ! v.818 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Il faut y suppléer, et ne nous point lasser : v.820 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Il ne se perdra point. v.823 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Peut-être, rien ne presse encore ; il faut attendre... v.829 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ou vous le supposez. Est-ce une conséquence ? v.833 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- On revient quelquefois de plus loin qu'on ne pense. v.834 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Un bruit si ridicule a l'air d'une menace, v.837 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ce sont mes ennemis... v.839 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ne croyez pas, Monsieur, que je taxe personne v.841 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Dans ces réflexions que je vous abandonne. v.842 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Que l'amitié se donne et se prend aisément ; v.844 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Une conformité frivole et passagère v.846 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Pour faire une maîtresse, il ne faut qu'un moment : v.852 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Trop de facilité, des erreurs de jeunesse ; v.858 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- La Fortune nous met un bandeau sur les yeux. v.863 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ils s'en sont emparez. S'ils ne sont pas heureux, v.871 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Que voulez-vous ? Du moins, je ne crains avec eux v.872 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Aucune ingratitude, aucune fourberie. v.873 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Mais ne craignez-vous rien de leur étourderie ?... v.874 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Pardonnez ; je m'échappe ici mal-à-propos : v.875 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Qu'est-ce ? On soupçonne un peu votre constance. v.878 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Vous ne la voyez plus. D'où vient ce changement ? v.879 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Quand la fortune change, et devient si cruelle, v.881 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ainsi je dois cesser une vaine poursuite. v.893 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Il n'est plus temps ; ses soins ne me serviront guéres. v.897 (Acte 3, scène 4, MONROSE)
- Ils en ont bien la mine. v.899 (Acte 3, scène 5, CLORINE)
- Et ne s'en pas vanter ! v.910 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Je ne sais ; mais enfin v.919 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- J'ai donc une rivale ? Il n'en faut point douter. v.936 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Je ne suis pas la seule à qui l'amour inspire v.938 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Une autre s'intéresse à son sort malheureux... v.940 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Mais on ne revient point... Ah ! que les Valets sont... v.943 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Avez-vous bien pris garde à ne vous pas méprendre ? v.945 (Acte 3, scène 9, HORTENSE)
- Ils vous sont personnels. v.961 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Ma fortune sans doute aura tenté quelqu'un, v.963 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Vous n'avez plus à craindre aucune violence. v.965 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Tu pleures ? Les détours deviennent superflus ; Parle. v.967 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Vous étiez riche, et vous ne l'êtes plus. v.968 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- L'on ne retrouve rien ; v.972 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Sans détourner les yeux, il n'a pas pu me voir : v.984 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Voici l'instant fatal ; tout mon coeur en frissonne. v.1001 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Monsieur, en arrivant, n'avez-vous vu personne ? v.1002 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je m'en fais un plaisir, un devoir, une loi. v.1015 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je vous engage tout, mon honneur, et ma foi. v.1016 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je vais donc vous donner les preuves les plus sûres v.1018 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Puisque le sort s'obstine à le persécuter, v.1027 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Vous ne l'ignorez pas, il va s'exécuter. v.1028 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Il met à sa fortune un obstacle invincible. v.1030 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Que ne puis-je empêcher ce cruel sacrifice ! v.1033 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Ma fortune, mes biens, seraient à son service ; v.1034 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je saurais employer des moyens détournez : v.1035 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Mais malheureusement mes pouvoirs sont bornez. v.1036 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je ne fais point ici des avances frivoles ; v.1038 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- C'est à quoi me réduit la fortune cruelle. v.1041 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Ne pourrais-je être aussi généreuse que vous ? v.1047 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Avez-vous des vertus qui ne soient pas pour nous ? v.1048 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je sais qu'il n'en est point qui ne vous soit commune ; v.1049 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Mais avec tout cela, Madame, il en est une v.1050 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Vous ne pouvez en rien nous être secourable. v.1054 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Un si, rend tout possible, et ne conduit à rien. v.1056 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Si vous voulez pourtant ne vous pas opposer... v.1059 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Clorine, parle bas. v.1066 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Ne savez-vous pas bien que cela le réclame ? v.1070 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Ce n'en est pas la peine. v.1071 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Je ne sais comment vous l'entendez... v.1072 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Mais je ne comprends rien à cette politique. v.1073 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Leur donner sur ce vol les avis nécessaires : v.1078 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Épargnez-vous ce soin, Monsieur ; ils sont chez vous. v.1080 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Quelle froideur funeste ? v.1089 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Qui ne seraient pour moi qu'une charge importune ! v.1093 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- N'aurait-il pas joui de toute ma fortune ? v.1094 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Par-là vous détournez son plus pressant malheur ; v.1099 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Mais si par un malheur que je ne puis prévoir, v.1103 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Comptez qu'il en aurait une douleur amère, v.1105 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Il ne peut le savoir que de vous, ou de moi. v.1111 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Allez ; que votre zèle ait une heureuse suite ! v.1117 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Il peut-être pour lui d'une importance extrême. v.1122 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Cachons-lui sa ruine, et l'état où je suis. v.1124 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Madame, je comptais ne m'offrir à vos yeux, v.1128 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Ne nous direz-vous rien de plus intéressant ? v.1132 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- La fortune cruelle est-elle sans retour ? v.1136 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Si de mon avenir vous daignez être instruite, v.1142 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- J'irai traîner ailleurs le reste de mes jours : v.1143 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- On voudrait détourner cet avenir funeste... v.1146 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- À des voeux impuissants l'on ne s'est pas borné... v.1148 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Vous verrez que l'amour ne vous est pas contraire. v.1150 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Tenez... v.1151 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Ne me parle jamais d'aimer, ni d'être aimé. v.1156 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il ne manquait plus à cette infortunée v.1157 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Ce billet-là t'étonne ? v.1163 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Je ne reconnais guère Hortense à cet éclat. v.1171 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Pourquoi ne m'avoir pas instruit de son état ? v.1172 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Je n'imagine pas pouvoir m'en dispenser. v.1176 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Je ne puis. v.1178 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Ne me refuse pas un aussi bon office. v.1182 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Pour faire une réponse à ce maudit écrit ; v.1184 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Les femmes vont toujours plus loin que l'on ne pense, v.1189 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Et que l'on ne voudrait. J'ai fait une imprudence... v.1190 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Est-il d'une autre ? v.1191 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Tempêtez, fulminez ; que diable ! il est de moi. v.1192 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Je voulais lui donner un peu de jalousie v.1194 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Que sans doute elle a dû croire d'une rivale. v.1206 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Une amante ordinaire eut commencé par-là. v.1207 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Que, je ne sais comment, mon oncle a ruinée. v.1210 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il me reste une Terre. Il faut que tu la vendes. v.1218 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Eh ! ne vous chargez point de semblables remords. v.1219 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- L'honnête homme ne doit s'en rapporter qu'à lui : v.1223 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Sitôt qu'il se condamne, on ne saurait l'absoudre. v.1225 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- L'affaire presse. Avant que sa ruine éclate, v.1229 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Épargne-toi d'inutiles refus. v.1231 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Je fuis ; je ne t'écoute plus. v.1232 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Madame va venir ; donnez-vous patience. v.1238 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Clorine a le coeur triste, à ce qui me paraît ? v.1239 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Dans les ennuis forcez d'une triste clôture, v.1245 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Elle ne peut vous faire aucun bien désormais. v.1251 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Il me reste à gagner les biens qu'elle m'a faits. v.1252 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Clorine est héroïque ! v.1253 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Et vous ne l'êtes guère. v.1253 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Que ne puis-je ?... Du moins, je ne suis pas de ceux, v.1255 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Moi, je vais vous servir de la bonne façon. v.1263 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Vous m'apportiez, sans doute, une heureuse nouvelle ? v.1265 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Vous me donnez, Madame, un titre trop flatteur. v.1268 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Ne vous est-il pas dû ? v.1269 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Ne vous en vantez plus... Serez-vous inflexible ? v.1282 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- La gloire que mérite une action si belle, v.1285 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Vous ne pouviez passer pour en être l'auteur. v.1287 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Il languit, s'il ne tient un état honorable ; v.1293 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- L'usage que j'en fais me tient lieu de fortune. v.1305 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Mais quelle prévoyance, un peu trop importune, v.1306 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Un peu plus, un peu moins, ne fait rien à mon sort. v.1308 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Eh ! ne vous chargez point d'excuser ce que j'aime : v.1313 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Je lui pardonne tout pourvu qu'il soit heureux : v.1315 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Vous ne me ferez point reprendre ce dépôt. v.1319 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Arrête. Un mot. Daigne un peu m'éclaircir. v.1327 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- D'une accusation que je crois téméraire. v.1329 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Clorine... v.1331 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Ne récrimine point, si tu veux la confondre. v.1334 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Cette fille fait plus que de te soupçonner. v.1335 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Que dis-je ? Elle prétend que tu t'es fait donner, v.1336 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Pour moi, les diamants d'Hortense. Est-ce une injure ? v.1337 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Il ne s'agit donc plus que d'y remédier. v.1340 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Qu'elle indigne ressource as-tu mise en usage ? v.1346 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Aucune. v.1347 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Si j'avais pu lui faire une autre destinée. v.1350 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Tu connais sa ruine, et tu vas l'achever ! v.1351 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Ah ! c'est m'assassiner, en voulant me sauver, v.1352 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Ils y sont : venez-y ; vous verrez si je mens. v.1360 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ils y sont ? Et pourquoi ? Ne pouviez-vous les rendre ? v.1361 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Ce que veut une femme est écrit dans le Ciel. v.1363 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Alors, pour votre honneur, et par pitié pour elle, v.1370 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Moi, je ne l'aime plus ! Moi, je suis infidèle ! v.1373 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- N'avez-vous pas rompu cette chaîne cruelle ? v.1374 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ne me propose point des excuses pareilles... v.1378 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Pardonne, si je viens troubler la vespérie. v.1381 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Nous aurions fait ensemble une assez bonne affaire ; v.1397 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je viens de recevoir fous une simple adresse v.1405 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Qu'on mette sur son compte une action pareille. v.1418 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Apprends où t'a conduit une erreur trop durable. v.1421 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Cela ne se peut pas. v.1432 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Lui-même, il a commis une action si basse. v.1433 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Ah ! daignez-vous prêter à ma délicatesse. v.1438 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Je l'ai trop estimé pour ne pas l'excuser. v.1439 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ariste en était digne ; il en est revêtu ; v.1443 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- La vertu ! c'est un fourbe, et je ne puis m'en taire. v.1445 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Son déshonneur nous verge, et le punit assez. v.1456 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Ce dénouement m'étonne ? Ariste... v.1469 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ah ! c'en est fait... Puisque tout m'abandonne, v.1470 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Voilà donc mon Arrêt ! Espoir, Fortune, Amour, v.1475 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Vous ne m'êtes plus rien : je perds tout en un jour. v.1476 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- De ma faible fortune accepte le partage. v.1481 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Que ne m'est-il permis de t'offrir davantage ! v.1482 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Partout ce que t'inspire une vive amitié, v.1492 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- D'une indigne détresse affranchi ce que j'aime ; v.1498 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Répare sa ruine autant qu'il m'est permis, v.1499 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Si tu crains de souiller ton honneur et ma gloire, v.1502 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Ruiner une femme est si fort à la mode, v.1514 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Que ce n'est presque plus la peine d'en parler. v.1515 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- On ne voit autre chose ; c'est un pis-aller v.1516 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Permis, et toujours sûr. On ne s'en fait pas faute. v.1517 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Vous vous formez de nous une idée assez haute. v.1518 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- Un ennemi, sur qui tout est de bonne prise : v.1521 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Vous ne traitez pas mieux nos biens que notre honneur. v.1524 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Ah ! Ne m'exposez point devant un indiscret, v.1527 (Acte 4, scène 10, HORTENSE)
- Qui ne devait jamais avouer mon secret. v.1528 (Acte 4, scène 10, HORTENSE)
- Il n'importe ; achevez. Je ne saurais plus craindre v.1542 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- La plus haute fortune, un brillant hyménée, v.1553 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Quel contraste inouï ! funestes liaisons, v.1555 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- L'exil, l'abaissement, l'infortune, les larmes, v.1558 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Des coups de la fortune êtes-vous le garant ? v.1564 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Vous me plaignez ! Eh quoi ! Ne peut-on vivre heureuse, v.1565 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Si ce n'est au milieu d'une Cour orageuse ? v.1566 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ne pouvant être à vous, en aurais-je joui ? v.1568 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- En effet, à quoi sert une opulence extrême, v.1569 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Si l'on ne la partage avec ce que l'on aime ? v.1570 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Je ne sens pas qu'on puisse en jouir autrement. v.1571 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ma ruine fera le repos de ma vie. v.1573 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- J'ignore si l'on peut aimer plus d'une fois ; v.1579 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Il est bien dangereux de prendre d'autres chaînes. v.1581 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Que l'on s'apprête un jour de tourments et de peines ! v.1582 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Sait-on ce que l'on donne ? Est-on bien sûr d'un coeur, v.1583 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Depuis que ma fortune incertaine et flottante v.1589 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Me tient dans une triste et douloureuse attente, v.1590 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Et je ne suis pas fait pour être téméraire. v.1593 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Pouvais-je imaginer que j'avais pu vous plaire ? v.1594 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je ne l'ai jamais cru digne de vos appas. v.1599 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- La moitié de mes feux ne vous est pas connue. v.1602 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je puis donc une fois tomber à vos genoux ! v.1607 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Remplissez mon idée ; elle est digne de vous ; v.1611 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Devenez l'Artisan de votre destinée. v.1613 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Il est beau de dompter la fortune obstinée, v.1614 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Va, l'on ne peut manquer quand on a du courage... v.1618 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Je ne puis. v.1621 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Quel état est le mien ! Fortune, en est-ce assez ? v.1623 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- À peine suis-je né, mes beaux jours sont passés. v.1624 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je ne sais où tourner mes pas ni mes regards. v.1627 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Allons traîner ailleurs mon infortune extrême. v.1629 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je ne puis plus ici me supporter moi-même. v.1630 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- J'abandonne la mienne, où, malgré mon envie, v.1634 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je ne puis plus m'ouvrir un illustre tombeau : v.1635 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Vous me perdez d'honneur, si vous partez. v.1644 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Le rapport est plus grand que vous ne pouvez croire. v.1646 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Je ne le comprends pas. v.1647 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ah ! ne me cache rien. v.1652 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Dornane m'écrit : jugez-en par sa lettre. v.1654 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Jusques à mon honneur, quoi, l'on ose attenter ! v.1671 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Il n'est point de malheur qui ne puisse augmenter. v.1672 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Sans elle, notre honneur serait encore entier. v.1675 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Pour vous donner le temps d'arranger vos affaires. v.1678 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- On m'a cru. Cependant il ne s'est trouvé rien. v.1680 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Et je suis soupçonné. Vous devinez le reste. v.1681 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Quoi ! l'amitié m'aura toujours été funeste ! v.1682 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Soyez sûr que ces bruits ne seront pas durables. v.1685 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Dans la rage où je suis, je ne me connais plus. v.1688 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Il faut l'abandonner. Je ne dois plus songer v.1695 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Dans une obscurité la plus impénétrable. v.1697 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Pour la dernière fois, ne te fais point haïr. v.1700 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- On m'enchaîne au forfait dont on me croit capable ! v.1710 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Dornane aura parlé. C'est un homme imprudent. v.1712 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Comme d'un criminel. v.1716 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Votre ruine même. v.1720 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- La fortune d'Hortense entièrement détruite ; v.1726 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Clorine qui le sait, pourra-t elle se taire ? v.1729 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Non : Il faut que ce soit un secret éternel. v.1731 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Je serai convaincu, sans être criminel. v.1732 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Lorsque pour réparer la ruine d'Hortense, v.1734 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Je détourne sur moi les indignes besoins, v.1735 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Lorsque pour la sauver de cet état funeste, v.1737 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- C'est une amante en pleurs. On empêche ma fuite ; v.1745 (Acte 5, scène 4, HORTENSE)
- Eh ! ne nous quittons point dans l'état où nous sommes. v.1749 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je ne puis soutenir vos yeux, ni mes revers. v.1751 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Je ne suis donc plus rien pour vous dans l'Univers ? v.1752 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je ne croyais pas être un objet si funeste. v.1753 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je ne puis que pleurer. Le temps fera le reste. v.1754 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Qu'on ne nous vante plus le pouvoir de nos pleurs ! v.1760 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Vous ne songez qu'à vous. v.1761 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Il ne tombe v.1761 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Laisse-moi donc mourir, si tu ne veux plus vivre. v.1766 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Mais enfin ce n'est pas un opprobre éternel. v.1771 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Tombe-t-il sur vous seul ? M'est-il moins personnel ? v.1772 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Le découragement autorise une injure. v.1781 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Excusez une amante, ou plutôt une amie. v.1785 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Qui me condamne à vivre, accablé d'infamie ! v.1786 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Il ne me manque plus que d'être le témoin v.1788 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Jusques dans votre coeur il veut m'assassiner : v.1791 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Pour être votre époux, il s'est fait destiner. v.1792 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Dornane... v.1797 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Mais vous allez avoir une étrange entrevue. v.1802 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Ah Ciel ! que n'ai-je autant de charmes que de haine ? v.1805 (Acte 5, scène 6, HORTENSE)
- Je le veux accabler sous le poids de sa chaîne. v.1806 (Acte 5, scène 6, HORTENSE)
- Tenez ; voilà leur reste : ils n'en savaient que faire. v.1817 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Ni moi non plus... Prenez toujours ; c'est votre affaire. v.1818 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Je ne sais ce que c'est, mais je n'ignore pas v.1820 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- On ne vous perdra point. L'amour et l'hyménée v.1825 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Vous voulez que ma main couronne votre ouvrage ; v.1829 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Mais je ne connais point de ressources si basses... v.1834 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Fortune, c'est assez, je te quitte du reste. v.1846 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Mes voeux sont épuisés. Mon honneur m'est rendu. v.1847 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Madame, pardonnez à mon coeur éperdu v.1848 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Lorsque je vous ai vu sans aucune espérance, v.1854 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Je voulais obtenir une grâce plus chère. v.1858 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Bon, bon ; point de rancune : v.1873 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Pour moi, je vous réponds que je n'en garde aucune. v.1874 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Venez ; partons ; l'hymen vous attend au retour. v.1876 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Monsieur, je ne puis rien vous offrir davantage. v.1882 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Ô Fortune ! je sens et j'éprouve à présent. v.1883 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
LA GOUVERNANTE (1773)
- Il ne guérit de rien ; au contraire, il aigrit v.3 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Se taire est n'être plus qu'une ombre qui s'ennuie ; v.5 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Vous ne répondez rien ! Quel est donc votre but, v.7 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Vous ne pouviez finir. Lorsque je me rappelle... v.13 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Je ne te parlais pas alors d'un infidèle. v.14 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Où m'allait entraîner mon peu d'expérience ! v.26 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Comment pouvons-nous ne nous pas égarer ? v.27 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- À qui notre jeunesse est-elle confiée ? v.29 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Qu'on croit qu'il ne vaut pas la peine d'être instruit. v.32 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- La Baronne elle-même en a fait son amie, v.37 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Et ne fait que vanter sa rare prud'hommie : v.38 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Oui, votre tante a fait une fort belle emplette... v.42 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Cette femme n'entend qu'à donner des vapeurs. v.43 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Seront bientôt remis en bonne intelligence. v.45 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Dès vos plus jeunes ans vous ont abandonnée, v.66 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- La Baronne vous fait mille et mille amitiés ; v.72 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- C'est une tante enfin comme il ne s'en voit guère ; v.74 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Mais si vous ne restez sous ses yeux, j'ai bien peur v.75 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Qu'un autre ne parvienne à vous ôter son coeur, v.76 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Et qu'avec un époux elle ne s'en console. v.77 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Il ne sera plus temps de sortir du couvent ; v.80 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Il y faudra gémir, enrager comme une autre, v.81 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Je vous en avertis, craignez cet incident. v.83 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous n'avez fait aucune découverte ? v.85 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Mais vous ne l'êtes point : est-ce qu'on est comptable v.90 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Quoi ! Ne peut-on jamais cacher la vérité ? v.92 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Pour lui tendre toujours une embûche cruelle ! v.94 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Et l'arrêt dont je fus l'organe trop funeste : v.97 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Mais se peut-il qu'enfin nul espoir ne vous reste, v.98 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Et qu'en dix ou douze ans à peine révolus, v.99 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Des gens d'un si grand nom ne se retrouvent plus ? v.100 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Mais le défunt avait une femme, une fille ; v.105 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Ne les négligez pas, redoublez votre zèle ; v.109 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- En tout cas, j'ai mon fils ; il est homme d'honneur, v.120 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- De faire une action qui le couvrant de gloire, v.122 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Et me donne en mourant un repos fortuné. v.124 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Philosophe un peu jeune, et même trop ardent, v.131 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Il s'abandonne trop à son zèle imprudent : v.132 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Est indigne d'un homme, et taxe de bassesse v.134 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Que sert une sagesse âpre et contrariante ? v.137 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Dont les ris et les jeux accompagnent les pas ; v.139 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- La raison même a tort, quand elle ne plaît pas. v.140 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- La sienne se ressent des défauts de son âge, v.141 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Tel est des jeunes gens le malheureux besoin, v.144 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Vous ne le voyez plus, moi-même il me néglige. v.149 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Ah ! Pourvu qu'il ne soit devenu qu'amoureux, v.151 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- L'amour ne gâte point un caractère heureux ; v.152 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Vous avez des soupçons, ne les méprisez pas. v.159 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Vous devenez flatteur. v.165 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Que dites vous du monde ? Allons, daignez m'instruire. v.169 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Il n'est qu'une façon de le bien définir. v.171 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Je ne crois pas qu'il soit aisé d'en convenir. v.172 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- J'ai vu que l'impudence est la reine du monde, v.174 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Aller à la fortune avec un front d'airain ; v.176 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Qu'une louange aride, une estime stérile, v.178 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Est tout ce qu'on accorde à peine aux gens de bien. v.179 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- En exagérant tout, on ne définit rien : v.180 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Vous avez fréquenté la bonne compagnie ? v.182 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- La bonne compagnie ! Eh ! Croyez-vous aussi v.183 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Par l'organe des sots dans la langue ordinaire, v.189 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Qui sert à désigner un être imaginaire, v.190 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ce sont les moeurs qui font la bonne compagnie. v.198 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- À votre âge, parbleu, c'est une nouveauté ! v.203 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Que l'on ne vit jamais tant de femmes d'esprit. v.208 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Qu'une femme aisément passe pour un prodige ! v.209 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Pour peu qu'elle ait de jeunesse et d'appas, v.211 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Une foule empressée à porter jusqu'aux nues v.213 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Si l'on ne l'accablait d'un encens trop flatteur : v.215 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Une oeillade traîtresse, un souris infidèle, v.221 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Qui donne de l'encens ne donne rien du sien. v.227 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Eh ! Mais, pardonnez-moi, mon estime est mon bien. v.228 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ne faisant point de grâce, on ne m'en fit aucune. v.233 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- L'on prit ma franchise importune v.234 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- D'autres ne la taxaient que de rusticité ; v.236 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Et chacun s'élevait sur mes propres ruines. v.237 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Où l'on cueillait des fleurs, je cueillais des épines. v.238 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Alors, par une erreur qui n'est que trop commune, v.241 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- J'imputais mes malheurs à l'aveugle fortune, v.242 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Ma fortune, mon fils, est moins considérable v.261 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Qu'on ne le croit ; je suis dans un poste honorable, v.262 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Et vous ne le pourrez qu'en cherchant un parti v.267 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Qui soit digne, en un mot, de vous être assorti v.268 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- La plus haute fortune est trop chère à ce prix. v.276 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Est-ce un si grand malheur de n'éblouir personne, v.281 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- De n'avoir que l'éclat que la probité donne ? v.282 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Et c'est un être heureux qu'on ne connaîtra pas. v.284 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Puis-je encore espérer de régner dans son âme ? v.290 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Apprenez à quels titres, v.297 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Et prenez ce paquet ; c'est un recueil d'épîtres. v.298 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Ô bonheur qui m'assure un éternel retour ! v.300 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne me souviens pas de t'avoir fait plaisir. v.304 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Pour ne pas aujourd'hui récompenser ton zèle. v.306 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne crois pas qu'il soit besoin que je demeure. v.314 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- L'espoir n'a donc servi qu'à mieux m'assassiner. v.315 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je crains de vous importuner. v.316 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Tu ne te tairais pas, si tu n'étais complice. v.318 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Qu'à l'amour d'Angélique il ne faut plus prétendre, v.321 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Et qu'elle ne veut plus vous voir ni vous entendre ? v.322 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- On ne peut donc jamais former qu'un noeud fatal. v.323 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Il faudrait résider auprès d'une maîtresse, v.329 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- La moindre négligence y porte un coup funeste. v.333 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Et parce que j'ai tort, m'abandonneras-tu ? v.335 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- La bonne volonté fait toute ma vertu : v.336 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Certaine gouvernante a sur elle un empire, v.338 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Ah ! C'en est trop enfin... je ne veux rien entendre ; v.345 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Puisqu'on brise ma chaîne, il faut bien en sortir. v.347 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Non, je ne prétends pas perdre mon repentir. v.348 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Un seul regret me tue, il faut que j'en convienne, v.357 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- C'est que son inconstance ait prévenu la mienne. v.358 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Furieux, hors de sens : c'est une espèce étrange ; v.362 (Acte 1, scène 6, JULIETTE)
- Il ne faut pas laisser que d'en avoir pitié. v.364 (Acte 1, scène 6, JULIETTE)
- Ma bonne, embrassez-moi. Que je suis satisfaite ! v.381 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je n'ai pu m'en priver sans des peines mortelles : v.386 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- De ces personnes-là craignez le caractère ; v.393 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- On ne se perd jamais que par leur ministère ; v.394 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Me voilà donc réduite à ne voir plus personne ? v.397 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Car vous m'ordonnerez, du moins je le soupçonne, v.398 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- De ne plus voir Sainville. v.399 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Oui, ne balancez pas. v.399 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Daignez m'en croire, v.405 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- C'est pour vous conserver votre honneur, votre gloire. v.406 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- L'honneur est donc toujours l'ennemi de l'amour ? v.407 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Non, ce n'est point à vous que le ciel le destine : v.421 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Peut-il s'associer avec une orpheline v.422 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sur La Baronne en vain vous fondez votre attente. v.425 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle ne vous est rien, le rapport est fidèle. v.429 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous étiez, dans un cloître une charge importune, v.433 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Où l'on était enfin las de votre infortune. v.434 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Plaignez-les ; ce fut là leur plus cruel supplice. v.438 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ne me cachez plus rien. v.441 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Saisit l'occasion d'une guerre étrangère : v.442 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Peignez-vous son état et son adversité. v.447 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- D'une pension faible, à peine suffisante v.449 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- À peine elle en sortait que ce bienfait modique, v.457 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qui faisait sa fortune et sa ressource unique, v.458 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle n'a pu survivre à ce coup si funeste ; v.461 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Vos larmes, vos soupirs m'apprennent tout le reste. v.462 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ne comptez plus sur elle, et revenons à vous. v.463 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- De La Baronne un jour y conduisit les pas : v.467 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Tout força La Baronne à vous rendre les armes ; v.470 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ainsi, ne l'étant pas, v.475 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- La Baronne pourra vous faire quelque bien ; v.480 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Au gré de la fortune il faut qu'on se marie. v.486 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je ne l'aurais pas cru. v.488 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- De ne plus espérer que l'hymen vous unisse : v.489 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je n'imagine pas qu'il y puisse songer. v.491 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Venez. v.497 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Où donc, ma bonne ? v.497 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Où l'honneur vous attend, aux pieds de La Baronne : v.498 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Venez lui confier votre état dangereux ; v.499 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Priez-la de finir une peine si rude, v.501 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Doutez-vous du succès ? La Baronne vous aime. v.505 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je ne puis avouer ma honte qu'à moi-même. v.506 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ma bonne, sauvez-moi l'aveu de ma faiblesse. v.510 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Disposez d'un aveu que je vous abandonne, v.513 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Chargez-vous-en vous-même auprès de La Baronne. v.514 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Attendez... partez, volez, ma bonne : v.517 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je pourrais révoquer l'ordre que je vous donne. v.518 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Si l'on daigne accepter ma proposition, v.520 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Car je ne compte pas guérir de ma faiblesse. v.525 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Eh ! Bien, je ne veux plus t'entendre. v.529 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Depuis assez longtemps, parlons de bonne foi, v.532 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Votre bonne, jalouse, envieuse, inquiète, v.533 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- N'agissez, ne pensez que sous son bon plaisir, v.536 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Soyez comme un enfant qu'on mène à la baguette. v.538 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- De grâce, finissons ; je ne vois que trop bien v.539 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Ne vous en faites pas une si grande joie. v.542 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Moi, je ne soutiens rien. v.543 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Tu ne viens pas exprès pour trouver le moyen v.544 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- D'apaiser, s'il se peut, une amante outragée ? v.545 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Non ; l'art d'aimer a pris une forme nouvelle : v.554 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Tout ce qu'une maîtresse exigeait d'un amant ; v.556 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Il fait donc bien de ne se pas commettre : v.565 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- je dis plus, s'il osait hasarder une lettre, v.566 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Pleine de désespoir, (je suppose le cas,) v.567 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Donne. v.573 (Acte 2, scène 5, JULIETTE)
- Une lettre v.573 (Acte 2, scène 5, JULIETTE)
- Ah ! La belle finesse ! v.575 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Je dirai que je ne l'ai pas lu. v.580 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Donne-moi ce billet. v.602 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Tenez, contentez-vous. v.602 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Tenez, voilà votre billet. v.606 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Feignez de l'ignorer. v.613 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Ah ! Je ne vois que trop quels motifs vous engagent v.616 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Dégénère en offense, et se tourne en injure. v.619 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Je ne puis. Non, parjure ; v.620 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Qui ne se conçoit pas ; sa fureur est extrême. v.627 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Quelle explication faut-il que je vous donne ? v.641 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Eh ! Trop heureuse encor l'amante qui pardonne. v.642 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Je retourne au couvent. v.644 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Et sans doute la mienne. v.645 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- J'ai donné ma parole, il faut que je la tienne. v.646 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Quand je mets mon bonheur, ma fortune, ma vie, v.657 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- À vous faire régner sur mon âme ravie, v.658 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Par le don éternel de ma main, de ma foi ? v.660 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Il ne vient point de vous ; et je vois en ce jour v.663 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Comme un amusement frivole et criminel, v.667 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Qui pourrait vous couvrir d'un opprobre éternel. v.668 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- À vous déterminer. v.675 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Vous ne savez pas tout. v.678 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Vous croyez que je suis nièce de La Baronne ? v.681 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Il n'en est rien, je ne tiens à personne. v.682 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- vous tenir lieu de tout ! Couronnez mon espoir. v.684 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Que vois-je ! C'est ma bonne ! v.693 (Acte 2, scène 9, ANGELIQUE)
- Évitons cette femme, et fuyons La Baronne. v.694 (Acte 2, scène 9, SAINVILLE)
- Ah ! Daignez me traiter avec moins de rigueur. v.699 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ne la consultez point en cette extrémité, v.703 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Comment voulez-vous qu'une fille à son âge v.705 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- L'environne, l'obsède, et la suit pas à pas ? v.708 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Arrachez au péril une aveugle victime, v.709 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- que son propre penchant entraîne dans l'abîme. v.710 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Angélique à ce point ne saurait s'abuser ; v.712 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ses yeux ne portent pas plus loin que son amour ; v.716 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et son bonheur présent, qui n'est qu'une chimère, v.717 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Fait que son avenir ne l'embarrasse guère : v.718 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Elle ne sait qu'aimer, et ne sait rien prévoir. v.719 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et, malgré la raison, règne au fond de son âme, v.722 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Jusqu'où peut la conduire une semblable erreur ! v.724 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! L'amour et l'hymen ne sont pas faits pour elle. v.726 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Mais sur une terreur qui peut être indiscrète, v.729 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- L'enterrer toute vive au fond d'une retraite, v.730 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- C'est une cruauté. v.731 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Qui lui sauve l'honneur. v.731 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Quoi ! Vous priveriez-vous d'une fille si chère ? v.734 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Je ne saurais avoir cette rigueur. v.736 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Elle ne servira que d'un attrait de plus. v.739 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Éloignez Angélique, ôtez-la de ces lieux. v.743 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Tant de vivacité m'importune et me lasse. v.746 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Ah ! Ciel, daigne empêcher le plus grand des malheurs ! v.748 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Je ne puis que rougir, me taire, et soupirer. v.756 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Reprenez vos esprits. v.757 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Je ne puis revenir d'avoir été surprise. v.758 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- La Baronne, entre nous, n'est pas à redouter ; v.760 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Je ne sais, mais je sens qu'elle ne me dit rien, v.767 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Qui véritablement ne soit que pour mon bien : v.768 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Arrangez-vous tous deux, tandis que La Baronne v.773 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Dans le fond du jardin est avec votre bonne, v.774 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Nous nous étions promis qu'une ombre salutaire v.777 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On va vous accorder cette grâce funeste v.794 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- D'agréer les horreurs d'une éternelle absence. v.798 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Jamais l'éloignement, le temps, les remontrances v.802 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ne produiront sur vous leur infaillible effet, v.803 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Une épreuve cruelle. v.805 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Cruelle ! On vous aidait à vous l'imaginer ; v.807 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- mais au fond du désert où l'on va vous mener, v.808 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On ne tardera guère à vous le faire croire, v.809 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vos feux ne pourront pas se nourrir de leurs cendres. v.813 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ne m'écrirez-vous pas ? v.814 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Ne peuvent soutenir longtemps un faible coeur : v.815 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Notre ennemie alors usera de noirceur ; v.816 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Les unes en secret seront interceptées ; v.817 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous fasciner les yeux de l'esprit et du coeur. v.820 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous n'en recevrez point qu'elle ne les ait lues ; v.822 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Puis-je le détourner ? Que faut-il que je fasse ? v.826 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Me croire, m'imiter, et m'en signer autant ; v.827 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- À rendre à vos appas un hommage éternel, v.831 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Le garant et le sceau de ce don solennel, v.832 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Et votre main balance à se donner à moi ! v.836 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Hélas ! Vous le cherchez et ne le trouvez pas. v.840 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous dépendez de vous ; votre infortune extrême, v.842 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Une raison n'est pas un refus. v.849 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Tenez, vous me traitez avec trop de rigueur ; v.852 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous me troublez si fort, qu'à peine je respire : v.853 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Je ne sais déjà plus ce que j'avais à dire. v.854 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Je ne veux seulement, pour calmer mes frayeurs, v.859 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Je règne, ou non, dans le fond de votre âme. v.861 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Le titre que le ciel semble me désigner, v.863 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! Bien, je vais signer : v.864 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- On a bien de la peine v.865 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- À vous faire agréer d'éterniser ma chaîne, v.866 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous ne pardonnez rien. v.868 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Toi, ne la quitte pas ; ton soin m'est nécessaire. v.873 (Acte 3, scène 4, SAINVILLE)
- Mon père, vous savez que jamais je ne flatte. v.877 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ainsi, vous ne croyez guère aux honnêtes gens. v.884 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Que vous ne jugez pas plus sainement que moi. v.888 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Eh ! Prenez, ou laissez les hommes tels qu'ils sont, v.891 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ne doit pas faire un grain de plus dans la balance. v.902 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Souvent le meilleur droit ne sait pas se montrer : v.904 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- À ce fléau funeste, à ce mal sans remède, v.909 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Peut se laisser surprendre, ou gagner. En effet, v.911 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ne saurait-on nous faire un infidèle extrait ? v.912 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Et s'il ne donne pas tous ses soins, tout son temps, v.915 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Cette épargne est un vol qu'il fait à ses clients. v.916 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Pourquoi se charge-t-il des fortunes publiques ? v.917 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je vois d'ici ce juge, indigne de pardon, v.919 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Et qui n'avaient, d'ailleurs, aucune expérience. v.926 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ensuite l'on apprit que l'une des victimes, v.938 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Unique rejeton d'une illustre famille, v.942 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Et que dire à celui qui ne se juge pas ? v.947 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est à quoi je condamne un juge qui s'abuse. v.953 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ne peut jamais avoir de terme limité. v.960 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Pardonnez-moi, mon fils. v.965 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Que vous y donnerez l'aveu le plus flatteur. v.967 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Pardonnez ces transports à mon coeur éperdu. v.971 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Et je viens d'expier ma méprise funeste ; v.973 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Que vous êtes heureux d'avoir fait une faute v.978 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- De faire une si grande et si bonne action. v.980 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est une fille unique, une fortune immense : v.986 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Donnez, engagez tout, j'en serai plus content. v.996 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Vous paraissiez bien froid, quand la fortune même... v.997 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Mon père, pardonnez ma répugnance extrême. v.998 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Cette fille est trop riche, et ne me convient pas. v.1000 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Il faudrait lui devoir ma fortune ; v.1001 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est une dépendance un peu trop importune. v.1002 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Les grands biens d'une femme augmentent trop ses droits, v.1003 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ce bienfait-là devient une dette éternelle, v.1005 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Dont on ne peut jamais s'acquitter avec elle. v.1006 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne veux pas avoir cette obligation. v.1008 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne veux point d'esclave, et je ne veux pas l'être. v.1010 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Une compagne aimable est tout ce qu'il me faut ; v.1012 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne pourrais prétendre à ce bonheur extrême. v.1014 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Qui ne se fera pas. v.1020 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Vous ne la tenez plus. v.1025 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Mais ne l'espérez plus. v.1027 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Il faut me l'amener. v.1035 (Acte 3, scène 8, LA GOUVERNANTE)
- J'obéis à madame, elle peut ordonner ; v.1036 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Obéissez, quand madame l'ordonne. v.1037 (Acte 3, scène 8, LA BARONNE)
- Madame ! Ah ! Par ma foi, l'épithète m'étonne ! v.1038 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Ce titre vous est dû, je ne puis l'ignorer ; v.1040 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Mais je lis dans votre âme une noble fierté, v.1047 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Vous fait désavouer votre infortune extrême ; v.1049 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Vous voulez vous couvrir d'une ombre qui vous fuit ; v.1055 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- J'ai surpris des papiers qui sont dignes de foi. v.1060 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Pardonnez : pour finir vos malheurs, v.1064 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Je la sers beaucoup mieux que vous ne pouvez croire. v.1073 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Aucun autre que moi ne sait votre secret ; v.1084 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Madame, il ne connaît ni vous, ni votre fille ; v.1090 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Madame, prenez part à ma douleur extrême ; v.1093 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Vous me pardonnerez ce que j'ose avancer. v.1107 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ce renvoi vous étonne ! Avez-vous dû penser v.1108 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- De quel droit, s'il vous plaît, prenez-vous sa querelle ? v.1113 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Qui peut ne l'être pas ? v.1119 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Il ne peut l'être aux yeux de cette infortunée ; v.1125 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Vous ne la vaincrez point, elle est déterminée : v.1126 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Que l'on ne devrait plus offrir à sa mémoire. v.1133 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Je serais criminel... v.1135 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Vous ne lui devez plus qu'un secret éternel. v.1136 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Pardonnez ma surprise, elle est trop légitime ; v.1137 (Acte 3, scène 11, LE PRÉSIDENT)
- C'est moi qui suis la sienne... ô refus douloureux ! v.1139 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Eh ! L'admiration ne la sauvera pas. v.1148 (Acte 3, scène 11, LE PRÉSIDENT)
- Aussi ne veux-je point y borner tout mon zèle. v.1149 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- J'en ressens, comme vous, une peine mortelle : v.1150 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- S'il est quelque moyen ; venez, j'ose espérer v.1151 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- Elle rêve... feignons de ne l'avoir pas vue, v.1153 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous donne, je le vois, du refroidissement ; v.1156 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- S'il vous souvient encor d'une commission, v.1160 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Dont vous m'aviez chargée auprès de La Baronne ? v.1161 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous me la rappelez... mais à propos... ma bonne... v.1162 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Il s'agit de quitter, et d'abandonner tout. v.1167 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- On ne doute de rien dans le cours des beaux jours, v.1175 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- La Baronne vous aime, et j'en suis convaincue ; v.1181 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais d'un moment à l'autre, une mort imprévue v.1182 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je ne fais que prévoir. v.1184 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je ne soutiendrai point cette disgrâce affreuse. v.1185 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ne craignez rien pour moi, je serai plus heureuse. v.1186 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous ne le voulez pas, j'en mourrai de douleurs, v.1187 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- N'offre pas d'elle-même une riante image ; v.1190 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- La jeunesse s'en fait un portrait peu charmant, v.1191 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Que ne m'est-il permis de vous citer la mienne ? v.1193 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais vous n'y croirez pas, on ne croit que la sienne ; v.1194 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne veut pas vous perdre. Eh ! Qui pourrait former v.1196 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Son père y donne tous ses soins. v.1204 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Une riche héritière ; v.1205 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Quand cet événement va bientôt éclater ? v.1208 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ne me direz-vous rien de plus de ce mystère ? v.1221 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- À moi, qui ne puis être heureuse que par vous, v.1224 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ne se fera jamais, comptez que j'en suis sûre... v.1234 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Nous enchaîne à jamais au gré de nos soupirs. v.1239 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Mon aveu doit suffire, à ce que j'imagine : v.1245 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Ne m'avez-vous pas dit que j'étais orpheline, v.1246 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Et sans nulle fortune, à la merci du sort ? v.1247 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Ne prendre auparavant les ordres de personne. v.1249 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Du moins vous auriez dû consulter La Baronne : v.1250 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Peut-être auriez-vous pu me faire cet honneur... v.1251 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais, non, je ne crois point ce prétendu bonheur. v.1252 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous ne le croyez pas ? Il faut donc vous confondre. v.1253 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Tenez, voyez, lisez. Qu'aurez-vous à répondre ? v.1254 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Surtout, ne dites rien de ma félicité ; v.1259 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Aurait dû vous donner un remords salutaire. v.1262 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Voyez quel est l'abîme où vous vous enchaînez ! v.1263 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Sont un piège couvert d'une fausse espérance, v.1265 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je ne serai jamais dans ce cas déplorable. v.1273 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- De ne brûler jamais que du feu le plus pur ; v.1276 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Tout se découvre alors, un noeud si criminel v.1279 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ne laisse, en se brisant, qu'un opprobre éternel. v.1280 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Cette femme n'a rien à voir que de funeste. v.1281 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Un si grand intérêt ne saurait vous toucher ; v.1283 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je ne puis l'empêcher. v.1284 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Sa fortune est au-dessous de lui : v.1287 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Craignez tout d'un courroux justement mérité ; v.1291 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il aime la fortune, et n'est pas plus fidèle ; v.1297 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne l'a que trop vu s'envoler avec elle, v.1298 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et ne laisser à ceux qu'il avait enflammés, v.1299 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous ne m'écoutez pas ? v.1301 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il est vrai, je ne songe v.1301 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Pour prendre en ce papier une assurance entière, v.1306 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je ne souffrirai pas que vous preniez ce soin. v.1308 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne veux, contre lui, ni garants, ni témoins ; v.1311 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne l'aimerais pas, si je l'estimais moins. v.1312 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je crains que cet écrit ne pêche par la forme. v.1314 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Que tout ce qu'on pourrait vous dire : ainsi, ma bonne, v.1317 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne puis. v.1318 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Votre refus m'étonne ! v.1318 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Que vos feux offensaient votre honneur et ma gloire, v.1326 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Que l'hymen ne pouvant jamais les couronner, v.1327 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Au plus fatal espoir j'osais m'abandonner. v.1328 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- À présent, je ne sais quel scrupule l'arrête ; v.1329 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Tenez, demandez-lui ce qu'elle a dans la tête. v.1330 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Pour ne pas abuser du malheureux secret v.1335 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Vous fûtes, vous serez toujours mon ennemie ; v.1337 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et cependant jamais je ne vous ai haïe. v.1338 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je vous détesterais, si j'étais criminel : v.1339 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Connaissez un amour qui doit être éternel ; v.1340 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je n'ai rien qui me soit plus cher que son honneur : v.1343 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Connaissez mes désirs ; je borne tous mes droits v.1347 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et les droits paternels ? v.1349 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- C'est celui de l'honneur et de la probité. v.1352 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Ne peut-il arriver des temps plus favorables ? v.1353 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et les pères sont-ils toujours inexorables ? v.1354 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Mais j'ai fait un serment, rien ne peut l'altérer, v.1356 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je ne le reçois point. v.1358 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je vous offre un moyen : La Baronne vous flatte. v.1362 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Qu'elle ne compte point remplir votre projet ; v.1364 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Puisque vous me craignez, partez dès-à-présent ; v.1367 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Avec elle, en un mot, abandonnez ces lieux, v.1371 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- au milieu des transports d'une si douce attente, v.1377 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Oui, ma bonne y consent... votre coeur s'y soumet. v.1380 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- La nature y répugne, et me parle pour lui. v.1388 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Croyez que sa voix ne m'est pas étrangère. v.1389 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je ne porterai point un coup si douloureux v.1391 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Au mortel le plus digne et le plus généreux. v.1392 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je ne veux que du temps, pour amener mon père v.1393 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Il m'aime, je ne crains qu'un premier mouvement : v.1395 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Du moins, en attendant l'heureux événement, v.1396 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Mais vous ne cessez point d'offenser la vertu. v.1400 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Le serment solennel v.1415 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Qui m'engage à lui rendre un hommage éternel. v.1416 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Et tant qu'il me plaira de ne le pas permettre, v.1418 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Voyez. Pouvais-je prendre une chaîne plus belle ? v.1421 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Eh ! Qui peut mieux choisir sa chaîne que soi-même ? v.1429 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Est-ce un droit tyrannique, une loi de rigueur ? v.1431 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Qu'en vain plus d'une fois les plaisirs m'ont offerts : v.1444 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- À ce premier objet d'une flamme si belle, v.1445 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Je ne vous parle point de la séduction v.1448 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Se donner sur la foi d'un pareil mariage, v.1458 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Il ne m'a point ravie à ceux dont je suis née, v.1461 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Une tante a les droits d'une mère. v.1466 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Eh ! Ne savez-vous pas ?... v.1467 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Qu'elle ne m'est rien. v.1467 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- La Baronne ? v.1468 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Ce que vous m'apprenez... v.1471 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Non, monsieur, je ne dois ce nom qu'à sa tendresse. v.1474 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ne faut-il pas toujours dire la vérité ? v.1476 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Un rapport enchanteur règne au fond de notre âme. v.1478 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- La Baronne. v.1481 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Et vous, allez retrouver votre bonne. v.1493 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Et nous, allons chez La Baronne v.1494 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Il faut que j'en obtienne un éclaircissement. v.1496 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Mais il vous est aisé de vous l'imaginer ; v.1507 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Sans se voir, quand on s'aime, on peut se deviner. v.1508 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Et La Baronne est-elle aussi d'intelligence ? v.1510 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Je ne sais, mais souvent, au déclin des beaux jours, v.1511 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Quand l'amour tourne à mal, c'est un cruel vainqueur ; v.1519 (Acte 5, scène 2, JULIETTE)
- Ah ! Ciel, je te rends grâce... Eh ! Daignez me parler. v.1523 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Ne vous attendez plus, après m'avoir trahie, v.1526 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je ne croirai jamais que vous m'ayez aimée. v.1533 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Dans toutes vos raisons je ne veux plus entrer. v.1539 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je rendais grâce au ciel d'un présent si funeste ! v.1541 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Qu'ai-je fait qui ne serve à prouver mon amour, v.1544 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Non, il ne l'est pas... Ah ! Ma chère Angélique ! v.1550 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Ne me voilà-t-il pas sensible à ses douleurs, v.1552 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quel est cet ascendant ? Où prenez-vous vos armes ? v.1554 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Au fond de votre coeur, qui ne peut se trahir, v.1555 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Et qui ne parviendra jamais à me haïr. v.1556 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Je ne vous conçois pas. v.1557 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous demandez pourquoi : craignez de le savoir. v.1559 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Et vous causer peut-être un éternel regret. v.1563 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Ne m'avez-vous pas dit qu'en un autre séjour, v.1568 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Que je ne devais plus compter sur une mère, v.1570 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Qu'en ma plus tendre enfance à peine ai-je pu voir ? v.1571 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Que dites-vous ? La mort ne me l'a point ravie ? v.1574 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je vous pardonne tout. Ah ! Ciel ! Quelle est ma joie ! v.1577 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ma bonne, absolument il faut que je la voie ? v.1578 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Lui pardonnerez-vous son état et le vôtre ? v.1581 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Couronne tous les biens que j'ai reçus de vous. v.1584 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ma fille, oublions tout. Je crains qu'on ne m'entende ; v.1589 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- M'en croirez-vous ? Laissons régner ici la paix. v.1591 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Que sacrifiez-vous ? Une folle espérance. v.1594 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- De La Baronne, enfin, vous n'avez plus besoin. v.1600 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Pour vivre, loin du monde, en une aisance honnête. v.1605 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Partons secrètement, que rien ne nous arrête ; v.1606 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Nous ne saurions trop tôt quitter cette demeure. v.1609 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Obtenez ce triomphe. v.1612 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Quel contre-temps funeste ! v.1614 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- Cruelle ! Il est donc vrai que vous lui pardonnez ! v.1615 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- À ses séductions vous vous abandonnez ! v.1616 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Elle doit en faire aussi la sienne. v.1621 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- C'est votre mère ? ... Eh ! Bien, soyez aussi la mienne. v.1622 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne reconnais point de disproportion ; v.1624 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- La nature et l'amour ne l'ont jamais admise. v.1625 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Tant de félicité ne nous est pas permise. v.1626 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- La fortune s'oppose au succès de vos voeux. v.1628 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- Que rien ne nous arrête. v.1630 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- Nous ne nous verrons plus, recevez mes adieux. v.1631 (Acte 5, scène 5, ANGELIQUE)
- Nous nous connaissons tous, ne dissimulons plus ; v.1644 (Acte 5, scène 6, LE PRÉSIDENT)
- C'en est fait si mon sang ne s'associe au vôtre. v.1650 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Ah ! Daignez nous admettre aux titres les plus doux. v.1651 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Mais dois-je consentir qu'il perde sa fortune ? v.1657 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Madame, calmez cette crainte importune. v.1658 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Ils seront mes enfants, ils sont dignes de l'être. v.1661 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
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Dans les 1907 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,31 % des textes) dans lesquels il y a 2731 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 455,17 occurences par texte.
n° | Titres | Prologue | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Total |
1 | LA FAUSSE ANTIPATHIE | 96 | 81 | 120 | 68 | 0 | 0 | 365 |
2 | AMOUR POUR AMOUR | 77 | 141 | 110 | 71 | 0 | 0 | 399 |
3 | LE PRÉJUGÉ À LA MODE | 0 | 102 | 96 | 78 | 129 | 59 | 464 |
4 | L'ÉCOLE DES MÈRES | 0 | 102 | 116 | 110 | 91 | 83 | 502 |
5 | ÉCOLE DES AMIS | 0 | 79 | 123 | 115 | 101 | 73 | 491 |
6 | LA GOUVERNANTE | 0 | 111 | 118 | 114 | 0 | 167 | 510 |
Total | 173 | 616 | 683 | 556 | 321 | 382 | 2731 |