Occurences de l'expression

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pour SAURIN, Bernard-Joseph

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L'ANGLOMANE (1763)

De plus, Anglais, souviens-t-en. v.2 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
De ce déguisement que faut-il que j'augure ? v.3 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Te rencontré-je en ce logis ? v.5 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Çà, pour bien m'acquitter, monsieur que faut-il faire ? v.22 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Qu'ordonne-t-il ? v.49 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
« Ma chère enfant, dit-il, va demeurer sans père ; v.50 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
De dix-sept ans, et partagée v.70 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Mais n'avoueras-tu pas qu'un charme inexprimable... v.81 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Ne prétend-il pas que Sophie v.115 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Est-ce chose, dis-moi, si rare dans le monde ? v.121 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Épargnez-vous ce soin. v.130 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Mais Sophie, à vos voeux, est-elle favorable ? v.142 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Mais j'ai pu me tromper moi-même ; v.152 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Pardonnez-moi, si, dans ce lieu, v.161 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
L'est-il ? v.181 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Laissons cela, monsieur. Qu'est-ce qui me procure v.182 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Et vous m'en trouverez, peut-être ; v.188 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Hem ! Suis-je pénétrant ? Et n'admirez-vous pas ?... v.206 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Sophie, approchez-vous, voilà le précepteur... v.215 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Ce maître-là ne fait pas peur ; v.219 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
Asseyons-nous. v.232 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Peut-être qu'en ce lieu ma présence vous gêne. v.237 (Acte 1, scène 3, DAMIS)
Pourquoi vous tenez-vous si loin ? v.244 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Cette lettre contient quelque secret, peut-être. v.255 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
N'ai-je pas dit son fils ? v.261 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
Ce mariage-là n'était point de son goût. v.264 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Que celui-là : sur ma parole, v.272 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Avons-nous des hommes en France ? v.274 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
Celui-là, selon vous, l'emporte sur le nôtre. v.282 (Acte 1, scène 4, BÉLISE)
Mais voyez-le, et je vous prédis v.283 (Acte 1, scène 4, B?LISE)
Venez toujours voir celui-ci. v.301 (Acte 1, scène 5, ÉRASTE)
Vous l'admirez : moi, de ce pays-là v.304 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
Sais-tu bien qu'il est fait au tour, v.309 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
Un mari... qui t'étonne ? Est-ce donc qu'à mon âge v.315 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
Ne puis-je décemment brûler d'un chaste feu ? v.317 (Acte 1, scène 6, B?LISE)
Chut ! Madame ; c'est lui-même. v.341 (Acte 1, scène 6, FINETTE)
Vous boitez, vous dis-je. v.343 (Acte 1, scène 7, BÉLISE)
Finette, qu'en dis-tu ? v.353 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
De quoi parles-tu là ? D'un être de raison : v.366 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
Est-ce donc pour s'aimer que l'on s'épouse ? Bon ! v.367 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
Mais croyez-vous, mon frère, que Sophie v.377 (Acte 1, scène 7, BÉLISE)
Finette ; laissez-nous, sortez. v.388 (Acte 1, scène 7, BÉLISE)
Pour vous-même : écoutez. v.407 (Acte 1, scène 8, BÉLISE)
Épousez-la. v.409 (Acte 1, scène 8, B?LISE)
Connaîtrait-elle ma faiblesse ? v.410 (Acte 1, scène 8, ÉRASTE)
N'aurait-il pas joué d'un tour ? v.418 (Acte 1, scène 8, BÉLISE)
À l'amour des beaux-arts, à l'étude livré, v.433 (Acte 1, scène 8, ÉRASTE)
Pour l'Hélicon, lui-même a quitté le Pactole. v.434 (Acte 1, scène 8, ?RASTE)
Comme amant faîtes-vous connaître. v.438 (Acte 1, scène 8, BÉLISE)
Que sait-on ? Vous pourrez lui plaire. v.442 (Acte 1, scène 8, B?LISE)
Comment puis-je, avec quelque pudeur, v.445 (Acte 1, scène 9, ÉRASTE)
À quoi rêvez-vous donc, Sophie, v.447 (Acte 1, scène 9, ?RASTE)
Ô ciel ! Me serais-je trahie ? v.449 (Acte 1, scène 9, SOPHIE)
Que lui dirai-je ? Oh ! Que l'amour v.452 (Acte 1, scène 9, ÉRASTE)
Qu'avez-vous ? v.458 (Acte 1, scène 9, SOPHIE)
Gardez-vous de penser qu'un coeur tel que le mien... v.460 (Acte 1, scène 9, ÉRASTE)
Vous aurais-je déplu, monsieur, sans le savoir ? v.467 (Acte 1, scène 9, SOPHIE)
Eh ! Morbleu... De déplaire avez-vous le pouvoir ? v.468 (Acte 1, scène 9, ÉRASTE)
Serait-il sujet comme un autre ? v.472 (Acte 1, scène 9, SOPHIE)
Je ne puis me résoudre à m'expliquer moi-même. v.485 (Acte 1, scène 9, ÉRASTE)
Annoncez-lui que, s'il persiste v.496 (Acte 1, scène 11, SOPHIE)
Et ne voilà-t-il pas, Damis, qu'à votre vue, v.503 (Acte 1, scène 11, SOPHIE)
Oh ! Levez-vous ; tenez, cette attitude-là v.507 (Acte 1, scène 11, SOPHIE)
Voulez-vous préférer de folles visions v.510 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Vous parle-t-il en ma faveur ? v.542 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Il est son oracle, dit-on. v.546 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Eh ! Peut-on vous flatter ? v.552 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Avez-vous un regard, un souris qui ne touche ? v.553 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Sort-il un mot de votre bouche, v.554 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Le son de votre voix n'est-il pas enchanteur ? v.556 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Laissez-moi faire. v.562 (Acte 1, scène 12, DAMIS)
Mais exprime-t-il un sentiment bien vrai ? v.567 (Acte 1, scène 12, SOPHIE)
Othouai, dit-on, est pathétique ; v.577 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
Serait-il beau v.579 (Acte 1, scène 12, DAMIS)
À quoi rêvez-vous donc ? v.584 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
Voyez-le tel qu'il est... il s'est peint dans mes yeux. v.594 (Acte 1, scène 12, DAMIS)
Savez-vous bien, monsieur Blancmore, v.597 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
Avons-nous un poète à Pope comparable ? v.604 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
Sentez-vous bien votre bonheur ? v.610 (Acte 1, scène 12, ?RASTE)
Lui trouvez-vous des dispositions ? v.612 (Acte 1, scène 12, ?RASTE)
Sera-t-elle bientôt habile ? v.613 (Acte 1, scène 12, ?RASTE)
Comptez là-dessus, j'en réponds. v.616 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
De ce que je promets, n'êtes-vous pas d'accord ? v.618 (Acte 1, scène 12, ?RASTE)
Faites-leur compagnie. v.623 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
Eh bien ! Des yeux, un teint... est-ce donc là de quoi v.635 (Acte 1, scène 13, ÉRASTE)
Qu'est-ce que la beauté ? Rien qu'un vain assemblage v.637 (Acte 1, scène 13, ?RASTE)
Épousons-la, prenons une moitié... v.642 (Acte 1, scène 13, ?RASTE)
N'entends-je pas une voiture ? Oui. v.645 (Acte 1, scène 13, ?RASTE)
Éraste, brisons là-dessus. v.657 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Savez-vous ce que c'est qu'un philosophe ? v.668 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Que vous-même souvent en offrez le contraste. v.670 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Faut-il suivre en aveugle un vulgaire hébété ? v.683 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Doit-on, votre avis, respectant les usages, v.684 (Acte 1, scène 14, ?RASTE)
Ah ! Que dites-vous là ? v.694 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Eh quoi ! N'avez-vous pas quitté v.701 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Est-ce ma faute à moi, s'il n'est point de butors v.722 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Ne fut-il pas toujours des sots et des méchants, v.733 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Et leurs traits n'ont-ils pas poursuivi de tout temps v.735 (Acte 1, scène 14, ?RASTE)
Qu'avez-vous besoin de travers ? v.740 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Occupez-vous des lois dont vous êtes l'organe, v.742 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Immolez vos plaisirs, immolez-vous vous-même. v.749 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Vous passerez encor pour singulier peut-être ; v.752 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Mais, mon cher ami, croyez-moi, v.753 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Ce mariage-là fera du bruit, je pense. v.782 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
De qui parlez-vous ? v.789 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Eh bien ! Ai-je raison ? v.798 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Rendez-vous bien le sens, Lisimon ? v.799 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Qu'avez-vous donc ? v.800 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Fait métier de montrer ce que lui-même ignore. v.804 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Mais savez-vous qui c'est ? v.810 (Acte 1, scène 15, LISIMON)
Ne tient-il donc qu'à suivre une imprudente flamme. v.821 (Acte 1, scène 15, LISIMON)
Verrez-vous sans pitié mon désespoir extrême ? v.834 (Acte 1, scène 15, DAMIS)
Mérite-t-il ?... v.836 (Acte 1, scène 15, DAMIS)
Oui, monsieur, c'est moi-même, v.837 (Acte 1, scène 15, ÉRASTE)
Approchez-vous, Sophie, et prêtez-moi silence. v.845 (Acte 1, scène 16, ÉRASTE)
Je me trompais moi-même. v.865 (Acte 1, scène 16, ÉRASTE)
Point de compliments là-dessus : v.872 (Acte 1, scène 16, ?RASTE)
Ah ! Comment pourrai-je acquitter ?... v.875 (Acte 1, scène 16, SOPHIE)
Il immole tout... hors lui-même. v.897 (Acte 1, scène 16, DAMIS)
Damis ; levez-vous, dis-je, ou ma bouche est muette. v.901 (Acte 1, scène 16, SOPHIE)
Que vais-je prononcer ? v.902 (Acte 1, scène 16, SOPHIE)
M'ont-ils dû disposer à ce tendre lien ? v.910 (Acte 1, scène 16, SOPHIE)
Pourrai-je ?... Oui, je puis tout, plutôt que d'être ingrate ; v.912 (Acte 1, scène 16, SOPHIE)
Fallût-il vous donner ma vie... v.914 (Acte 1, scène 16, SOPHIE)
Qu'entends-je ?... v.919 (Acte 1, scène 16, DAMIS)
Parlez, monsieur, que faut-il faire ? v.935 (Acte 1, scène 16, SOPHIE)
C'est avoir sur vous-même, Éraste, un grand empire. v.942 (Acte 1, scène 16, LISIMON)

AMÉNOPHIS (1758)

Connais donc tout mon sort, vois-en la barbarie, v.32 (Acte 1, scène 1, ARTHÉSIS)
C'est au sort irrité qu'il les devait peut-être, v.75 (Acte 1, scène 1, ARTHÉSIS)
Et les guidant vous-même au chemin de la. gloire, v.111 (Acte 1, scène 1, IPHISE)
Ciel ! Eh que ne pouvais-je à toute mon armée v.119 (Acte 1, scène 1, ARTHÉSIS)
Tout fumant de son sang, se peut-il qu'un barbare v.160 (Acte 1, scène 2, RAMESSES)
Cruel. Ah ! De quel trait viens-tu percer mon coeur ! v.165 (Acte 1, scène 2, ARTHÉSIS)
Eh ! Me plaindrais-je, hélas ! Si je pouvais mourir, v.177 (Acte 1, scène 2, ARTHÉSIS)
M'a-t-il dit : vois le fer suspendu sur sa tête, v.179 (Acte 1, scène 2, ARTH?SIS)
Je vous offre mon bras : faut-il verser son sang v.185 (Acte 1, scène 2, RAMESSES)
Ciel ! Faut-il jusques-là que Nephté s'avilisse ! v.196 (Acte 1, scène 3, NEPHTÉ)
Moi-même je rougis de vous voir si confuse, v.199 (Acte 1, scène 3, ARTHÉSIS)
Vas, dis-lui que Nephté désire sa présence. v.208 (Acte 1, scène 3, NEPHTÉ)
Pour mes jours ! Sans un trône, eh, qu'est-ce que la vie ? v.236 (Acte 1, scène 4, NEPHTÉ)
Avouez-le, Madame, et si Nephté conspire, v.239 (Acte 1, scène 4, PALMIS)
Un coeur peut-il avoir plus d'une passion ? v.242 (Acte 1, scène 4, NEPHTÉ)
C'est par-là seulement qu'il a droit de me plaire ; v.248 (Acte 1, scène 4, NEPHT?)
Mais dussiez-vous braver le remords et les Dieux, v.261 (Acte 1, scène 4, PALMIS)
Non, il est peu, crois-moi, de ces âmes hardies, v.263 (Acte 1, scène 4, NEPHTÉ)
Est-ce enfin aujourd'hui que vengeant votre injure v.275 (Acte 1, scène 5, SOSIS)
Madame, il régnera beaucoup moins que vous-même. v.295 (Acte 1, scène 5, SOSIS)
Mais ne puis-je... v.303 (Acte 1, scène 5, SOSIS)
Toi-même tu n'es plus cet heureux sanctuaire v.317 (Acte 2, scène 1, AMÉNOPHIS)
On vient... C'est Ramesses... Offrons-nous à sa vue, v.333 (Acte 2, scène 1, AM?NOPHIS)
Étranger, que voulez-vous de moi ? v.335 (Acte 2, scène 2, RAMESSES)
Que vois-je... se peut-il... Je ne m'en croîs qu'à peine, v.337 (Acte 2, scène 2, RAMESSES)
Dieux m'abuseriez-vous par une image vaine ? v.338 (Acte 2, scène 2, RAMESSES)
Dans un asile sûr, il me porta lui-même ; v.382 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Ne dois-je plus ici compter sur des amis ? v.395 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Amasis règne-t-il sur des sujets soumis ? v.396 (Acte 2, scène 2, AM?NOPHIS)
Offrons-leur à la fois leur vengeur et leur maître, v.410 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Je tremble, explique-toi. v.416 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Qu'ordonnez-vous ? v.417 (Acte 2, scène 2, RAMESSES)
Que dis-tu ? Quelle horreur... v.421 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Soutiens-moi, je succombe à ce coup effroyable... v.426 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Arthésis !... ô Vertu, n'es-tu qu'une ombre vaine !... v.429 (Acte 2, scène 2, AM?NOPHIS)
Où courez-vous ? v.431 (Acte 2, scène 2, RAMESSES)
Vengez-vous, Seigneur, mais... v.451 (Acte 2, scène 2, RAMESSES)
Vas la trouver : dis-lui qu'Aménophis respire, v.458 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Vas, dis-je, la trouver. v.465 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Fiez-vous à mes soins, v.467 (Acte 2, scène 2, RAMESSES)
Dieux ! Que vois-je, c'est elle ! v.469 (Acte 2, scène 3, AMÉNOPHIS)
Ô Ciel ! Que faites-vous ? v.493 (Acte 2, scène 3, AMÉNOPHIS)
Ah ! Prince... Je me meurs... cher Amant, est-ce vous ? v.496 (Acte 2, scène 3, ARTHÉSIS)
Cher Prince !... mais hélas ! sais-tu tous nos malheurs v.504 (Acte 2, scène 3, ARTHÉSIS)
Sais-tu quel est l'époux qui dans ma main tremblante, v.505 (Acte 2, scène 3, ARTH?SIS)
Peux-tu t'en étonner ? v.515 (Acte 2, scène 3, ARTHÉSIS)
Puis-je briser, dis-moi, par une mort trop prompte v.518 (Acte 2, scène 3, ARTH?SIS)
Ah ! Dieux ! Où sa fureur le va-t-elle engager. v.532 (Acte 2, scène 3, ARTHÉSIS)
Ai-je donc mérité cet excès de rigueurs . v.540 (Acte 2, scène 4, ARTHÉSIS)
Se peut-il... mais fidèle à des noeuds que j'abhorre v.545 (Acte 2, scène 5, ARTHÉSIS)
La Reine vient ; laisse-nous. v.587 (Acte 3, scène 2, SOSIS)
Jusques-là devant lui je ne veux point paraître. v.606 (Acte 3, scène 3, SOSIS)
Mon Frère en vous aimant fut coupable peut-être, v.617 (Acte 3, scène 3, SOSIS)
Qu'entends-je ? v.620 (Acte 3, scène 3, ARTHÉSIS)
Voyez-y le mépris et l'indignation. v.624 (Acte 3, scène 3, ARTHÉSIS)
Ciel me voir jusques-là par le sort abaissée ! v.629 (Acte 3, scène 4, ARTHÉSIS)
Qu'as-tu fait ! v.641 (Acte 3, scène 5, ARTHÉSIS)
Que dis-tu ? Quelle erreur. v.641 (Acte 3, scène 5, AMÉNOPHIS)
Mais un Prince, jamais doit-il agir en traître ? v.650 (Acte 3, scène 5, ARTHÉSIS)
Sors, te dis-je, d'erreur ; l'apparence t'abuse. v.654 (Acte 3, scène 5, AMÉNOPHIS)
Que ( dût-il de sa chute en mourant m'accabler ) v.659 (Acte 3, scène 5, AMÉNOPHIS)
Ne désespérons point... vas, peut-être, les Dieux v.707 (Acte 3, scène 5, AMÉNOPHIS)
Ah ! Peut-être, on pourrait... Dieux ! Je le vois paraître. v.714 (Acte 3, scène 5, ARTHÉSIS)
A-t-il dit quelle main l'arma contre son Roi, v.715 (Acte 3, scène 6, SOSIS)
Madame ? Et savez-vous... mais qu'es-ce que je vois ? v.716 (Acte 3, scène 6, SOSIS)
Oui, c'est ton Roi lui-même ; v.718 (Acte 3, scène 6, AMÉNOPHIS)
Qui n'a point à rougir s'abaisse-t-il à feindre ? v.734 (Acte 3, scène 6, AMÉNOPHIS)
Eh, de quel front, dis-moi, complice d'un perfide v.737 (Acte 3, scène 6, AM?NOPHIS)
Pourrais-tu reprocher à ton maître outragé, v.739 (Acte 3, scène 6, AM?NOPHIS)
Apprends-moi de quel droit un monstre qui m'opprime.-.... v.741 (Acte 3, scène 6, AM?NOPHIS)
Le Prince tout-à-coup renaît-il de sa cendre ? v.758 (Acte 3, scène 6, SOSIS)
Dieux ! Que viens-je de voir ? Le Prince est arrêté. v.760 (Acte 3, scène 7, RAMESSES)
Sais-tu par qui Nephté s'est immolé, mon frère ? v.762 (Acte 3, scène 7, SOSIS)
Qu'elle attend de vous-même un éclaircissement ; v.764 (Acte 3, scène 7, RAMESSES)
Cet assassin n'est plus : elle-même a pris soin v.767 (Acte 3, scène 7, RAMESSES)
Mais contre un tel revers seront-ils affermis ? v.784 (Acte 3, scène 8, RAMESSES)
Mais pour mieux l'obtenir armons-nous de constance, v.786 (Acte 3, scène 8, RAMESSES)
Vous a fait immoler votre frère lui-même, v.794 (Acte 4, scène 1, NEPHTÉ)
Pourquoi le Prince encor, tarde-t-il à le suivre ? v.797 (Acte 4, scène 1, NEPHT?)
Et peut-être ils croiront que pour leur rendre un maître, v.801 (Acte 4, scène 1, NEPHTÉ)
Fiez-vous à mes soins : j'attends ici la Reine, v.841 (Acte 4, scène 1, SOSIS)
Madame, savez-vous qu'attaquant votre gloire? v.849 (Acte 4, scène 2, SOSIS)
Eh, qu'es[t]-ce que ma gloire en pourrait redouter ? v.852 (Acte 4, scène 2, ARTHÉSIS)
Et vous allez vous-même en rehausser l'éclat, v.863 (Acte 4, scène 2, SOSIS)
Sosis, est-ce bien lui qu'il en faut accuser ? v.868 (Acte 4, scène 2, ARTHÉSIS)
Je ne sais ; mais mieux fondés peut-être, v.869 (Acte 4, scène 2, ARTHÉSIS)
Vous-même , et s'il faut en dire davantage, v.873 (Acte 4, scène 2, ARTHÉSIS)
Mais de quoi m'occupai-je en ce péril extrême ? v.886 (Acte 4, scène 2, ARTHÉSIS)
Eh bien, as-tu du Prince assemblé les amis ? v.887 (Acte 4, scène 3, ARTHÉSIS)
Qu'as-tu fait, Ramesses, et que t'ont-ils promis ? v.888 (Acte 4, scène 3, ARTH?SIS)
Contraignez-vous de grâce à souffrir cette audace. v.894 (Acte 4, scène 3, RAMESSES)
Mais dût-on supposer que telle fût la loi, v.944 (Acte 4, scène 6, AMÉNOPHIS)
N'a-t-on pas toujours vu l'audace et l'attentat, v.947 (Acte 4, scène 6, AM?NOPHIS)
Et d'un peuple fidèle opprimé par lui-même ; v.950 (Acte 4, scène 6, AM?NOPHIS)
Dieux justes ! Dieux vengeurs ! Sont-ce là vos Ministres ! v.954 (Acte 4, scène 6, AM?NOPHIS)
Méprisez-vous les Dieux que vous nous faites craindre ? v.958 (Acte 4, scène 6, AM?NOPHIS)
Qu'avez-vous sur ce crime à répondre à vos juges ! v.962 (Acte 4, scène 6, LE GRAND-PRÊTRE)
J'ai trop longtemps moi-même oublié qui je suis, v.971 (Acte 4, scène 6, AMÉNOPHIS)
Je ne balance point : mon juge est dans moi-même ; v.990 (Acte 4, scène 7, ARTHÉSIS)
Il n'est plus, je le plains ; mais peut-on méconnaître v.1001 (Acte 4, scène 7, ARTH?SIS)
Et secouant ses fers l'en écraser peut-être. v.1030 (Acte 4, scène 7, ARTHÉSIS)
Parlez, de votre Roi qu'avez-vous ordonné ? v.1043 (Acte 4, scène 7, ARTHÉSIS)
Et je saurai moi-même en ce moment affreux, v.1051 (Acte 4, scène 8, ARTHÉSIS)
Oui, laissez-nous. v.1053 (Acte 4, scène 8, ARTH?SIS)
Ô, ma chère Arthésis, je m'attendris moi-même, v.1062 (Acte 4, scène 9, AMÉNOPHIS)
Que faut-il [?] v.1088 (Acte 4, scène 10, ARTHÉSIS)
Sa rage contre nous pourrait-elle inventer ? v.1091 (Acte 4, scène 10, ARTHÉSIS)
Épargne-toi cet effort importun, v.1103 (Acte 4, scène 10, ARTHÉSIS)
Le croirai-je, grands Dieux ? Jour affreux, qui m'a lui ! v.1123 (Acte 5, scène 1, NEPHTÉ)
Ramesses à quoi dois-je... v.1128 (Acte 5, scène 1, NEPHT?)
Qu'entends-je [?] v.1132 (Acte 5, scène 1, NEPHTÉ)
Pour vous sauver vous-même il n'est point d'autre voie, v.1141 (Acte 5, scène 1, RAMESSES)
Du soin de me venger, fiez-vous à ma rage ; v.1145 (Acte 5, scène 1, NEPHTÉ)
N'eut-il pas à l'instant dû le faire immoler ? v.1155 (Acte 5, scène 1, RAMESSES)
Ah ! Je n'en doute plus, et moi-même frappée, v.1161 (Acte 5, scène 1, NEPHTÉ)
Et vous avez déjà payé bien cher peut-être v.1173 (Acte 5, scène 1, RAMESSES)
D'immoler le tyran et de périr moi-même. v.1194 (Acte 5, scène 2, RAMESSES)
Ramesses, suivez-moi, v.1195 (Acte 5, scène 3, L'OFFICIER)
Suis-je trahi ? N'importe il faut m'armer d'audace, v.1198 (Acte 5, scène 3, RAMESSES)
Ah ! J'ai pu te sauver... Je le devais peut-être v.1210 (Acte 5, scène 4, ARTHÉSIS)
Il va périr, eh bien ne le suivrai-je pas ? v.1215 (Acte 5, scène 4, ARTH?SIS)
Un coeur eut-il poussé la constance à l'extrême ? v.1218 (Acte 5, scène 4, ARTH?SIS)
Peut-on voir sans frémir le moment abhorré v.1219 (Acte 5, scène 4, ARTH?SIS)
Que viens-tu m'annoncer ? Eh bien est-ce à cette heure, v.1221 (Acte 5, scène 5, ARTHÉSIS)
Qu'Aménophis expire ? Est-il temps que je meure, v.1222 (Acte 5, scène 5, ARTH?SIS)
Sur un trône de sang puissent-elles asseoir v.1259 (Acte 5, scène 6, ARTHÉSIS)
Fuis, dis-je de mes yeux, vas, monstre que j'abhorre... v.1261 (Acte 5, scène 6, ARTH?SIS)
Quel est-il ? v.1267 (Acte 5, scène 7, SOSIS)
Laisses-moi, tu fais de vains efforts, v.1271 (Acte 5, scène 7, NEPHTÉ)
On est instruit de tout : puissai-je, du moins, Traître, v.1274 (Acte 5, scène 7, NEPHT?)
Ramesses, a-t-il dit ? Dieux, serais-je vengée ? v.1293 (Acte 5, scène 7, NEPHTÉ)
Que dis-tu, malheureux, tu pourrais immoler... v.1304 (Acte 5, scène 8, AMÉNOPHIS)

BÉVERLEI (1821)

Oh ! Pour celui-là v.6 (Acte 1, scène 1, MADAME BÉVERLEI)
Tout cela rendait-il mon coeur plus fortuné ? v.11 (Acte 1, scène 1, MADAME B?VERLEI)
À le haïr vous-même il saura vous contraindre. v.22 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Ah ! Croyez-moi, ma chère soeur, v.57 (Acte 1, scène 1, MADAME BÉVERLEI)
Ah ! S'il pouvait se pardonner lui-même ! v.64 (Acte 1, scène 1, MADAME B?VERLEI)
Puis- y penser lorsque ma soeur v.81 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Calmez-vous. v.86 (Acte 1, scène 1, MADAME BÉVERLEI)
Qui, croyez-moi, durera peu. v.92 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Oh ! Sans cesse pour tel lui-même il se renomme : v.110 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
N'entends-je pas quelqu'un ? v.112 (Acte 1, scène 1, MADAME BÉVERLEI)
Madame, excusez-moi ; je l'ai donc oublié... v.121 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
M'avez-vous défendu les larmes qu'à cette heure v.123 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Asseyez-vous, Jarvis. v.128 (Acte 1, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Est-il bien vrai, mon pauvre maître v.129 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
A, dit-on, perdu tout son bien ? v.130 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Peut-être a-t-il trouvé ma vieillesse importune ; v.141 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Accusez-en, Jarvis, sa mauvaise fortune. v.144 (Acte 1, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Est-il réduit si bas ? Oh ! J'en suis pénétré ! v.145 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
« D'où vient, me disait-il, qu'il est des misérables, v.151 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Et voilà que lui-même il est dans l'indigence ! v.159 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Parlez-lui. v.161 (Acte 1, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Me refusera-t-il, dans cet état funeste, v.162 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Avez-vous vu mon époux aujourd'hui, v.167 (Acte 1, scène 3, MADAME BÉVERLEI)
Votre ami ! Pouvez-vous vous dire son ami v.172 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
Auprès de lui n'ai-je pas employé v.176 (Acte 1, scène 3, STUKÉLI)
N'ai-je pas, dans l'espoir de réparer sa perte, v.181 (Acte 1, scène 3, STUK?LI)
Répondez-moi, de grâce ; v.190 (Acte 1, scène 3, MADAME BÉVERLEI)
Y serait-il encor ? v.194 (Acte 1, scène 3, MADAME BÉVERLEI)
Madame, irai-je ? v.195 (Acte 1, scène 3, JARVIS)
Allez-y comme de vous-même, v.196 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
Et gardez-vous de prononcer mon nom ; v.197 (Acte 1, scène 3, STUKÉLI)
Peut-être avec raison. v.198 (Acte 1, scène 3, STUK?LI)
Et puis voudrais-je le fâcher ? v.207 (Acte 1, scène 3, JARVIS)
La vôtre, n'est-ce pas la mienne ? v.209 (Acte 1, scène 3, JARVIS)
Écoutez-moi, Tomi : v.211 (Acte 1, scène 4, MADAME BÉVERLEI)
Songez-y bien. v.218 (Acte 1, scène 4, MADAME BÉVERLEI)
À mon époux, monsieur, n'est-il rien arrivé ? v.222 (Acte 1, scène 5, MADAME BÉVERLEI)
Tout ne répond-il pas de sa fidélité ? v.228 (Acte 1, scène 5, STUKÉLI)
Mais que prétendez-vous conclure ? v.243 (Acte 1, scène 5, MADAME BÉVERLEI)
Qui de sots, dites-vous, et de méchants abonde, v.247 (Acte 1, scène 5, MADAME B?VERLEI)
Madame, pardonnez ; peut-être v.251 (Acte 1, scène 5, STUKÉLI)
De quoi s'agit-il donc, monsieur ? v.285 (Acte 1, scène 7, STUKÉLI)
Vous vous enrichissez, dit-on, v.294 (Acte 1, scène 7, LEUSON)
Qu'en croirai-je ? v.297 (Acte 1, scène 7, LEUSON)
Monsieur Leuson, où voulez-vous aller ? v.303 (Acte 1, scène 8, HENRIETTE)
Qu'avez-vous donc ensemble ? v.305 (Acte 1, scène 9, HENRIETTE)
Sur de simples soupçons ferez-vous un éclat ? v.308 (Acte 1, scène 9, HENRIETTE)
Hasarderez-vous votre vie ? v.309 (Acte 1, scène 9, HENRIETTE)
Mais que prétendez-vous donc faire ? v.319 (Acte 1, scène 9, HENRIETTE)
Donnez-moi Béverlei pour frère ; v.324 (Acte 1, scène 9, LEUSON)
Ah ! Leuson, de l'amour puis-je goûter les charmes ? v.333 (Acte 1, scène 9, HENRIETTE)
À tout ce qui m'est cher, à moi-même odieux, v.339 (Acte 2, scène 1, BÉVERLEI)
Eh ! Qu'avais-je besoin d'en amasser encor ? v.344 (Acte 2, scène 1, B?VERLEI)
Ah ! Pour moi que le ciel ne fut-t-il plus avare ! v.349 (Acte 2, scène 1, B?VERLEI)
Toi, Jarvis ! Connais-tu cette horrible maison ? v.355 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Laisse-moi... tu dis que ma femme ?... v.364 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
J'ai tort, Jarvis, moi-même je me blâme ; v.367 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Mais laisse-moi. v.368 (Acte 2, scène 2, B?VERLEI)
Abandonnerais-je un bon maître v.372 (Acte 2, scène 2, JARVIS)
Eh ! Que peux-tu pour moi ? v.374 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Et que je m'abhorre moi-même ! v.402 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Mais vous-même venez. v.410 (Acte 2, scène 2, JARVIS)
Dis-moi la vérité : v.410 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Dans le monde, Jarvis, comment suis-je traité ? v.411 (Acte 2, scène 2, B?VERLEI)
Va, dis-je, trouver ta maîtresse ; v.420 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Laisse-moi. v.436 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
On veut des sûretés : en avez-vous quelqu'une ? v.440 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
Appelons, croyez-moi, le courage à notre aide ; v.450 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
Peut-être Jarvis... v.462 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
Votre ami s'est pour vous sacrifié lui-même ; v.470 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
Eh ! Vous en fais-je aucun ? C'est moi seul que j'accuse ; v.472 (Acte 2, scène 3, BÉVERLEI)
Nommez-la donc et prenez-la. v.484 (Acte 2, scène 3, BÉVERLEI)
Son époux jusque-là ne saurait s'avilir : v.491 (Acte 2, scène 3, BÉVERLEI)
Laisse-moi dans le précipice : v.503 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
En a-t-on moins en pareil cas ? v.529 (Acte 2, scène 3, BÉVERLEI)
Peut-être ai-je été trop pressant ? v.532 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
Qu'en voyant ce changement-là v.537 (Acte 2, scène 4, HENRIETTE)
Que fait-elle ? v.539 (Acte 2, scène 4, BÉVERLEI)
A-t-il sur ce sujet formé quelque soupçon ? v.545 (Acte 2, scène 4, BÉVERLEI)
Ose-t-il... v.547 (Acte 2, scène 4, B?VERLEI)
Avez-vous quelque inquiétude ? v.552 (Acte 2, scène 4, BÉVERLEI)
Rendez-moi mes effets pour la faire cesser, v.553 (Acte 2, scène 4, HENRIETTE)
Épargnez-moi le reste. v.560 (Acte 2, scène 4, BÉVERLEI)
Demain donc, jusques-là je forcerai mon coeur v.576 (Acte 2, scène 4, HENRIETTE)
Puisses-tu consoler ta malheureuse mère ! v.595 (Acte 2, scène 5, BÉVERLEI)
Laissez-le dire, ma femme... v.600 (Acte 2, scène 5, BÉVERLEI)
Que tout le monde ici n'a-t-il votre douceur ! v.634 (Acte 2, scène 7, BÉVERLEI)
Que voulez-vous ? v.668 (Acte 2, scène 8, BÉVERLEI)
Que vous annonce-t-il ? v.670 (Acte 2, scène 9, MADAME BÉVERLEI)
J'aime mieux me bannir de ma patrie que de devoir ma liberté au moyen dont nous avons parlé tantôt : ainsi n'en dites rien à madame Béverlei, et hâtez-vous de venir recevoir les adieux de votre ami ruiné. (Acte 2, scène 9, BÉVERLEI)
En est-il quelqu'un qui nous reste ? v.679 (Acte 2, scène 9, MADAME BÉVERLEI)
Est-ce donc une affaire ? v.685 (Acte 2, scène 9, MADAME BÉVERLEI)
Que la paix de ton coeur par-dessus tout m'est chère. v.687 (Acte 2, scène 9, MADAME B?VERLEI)
Pouvais-je faire moins ? v.697 (Acte 2, scène 9, BÉVERLEI)
Pouviez-vous davantage ? v.697 (Acte 2, scène 9, MADAME BÉVERLEI)
Puisse-t-il en sentir le prix ! v.698 (Acte 2, scène 9, MADAME B?VERLEI)
Monsieur, que dites-vous ? v.719 (Acte 3, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Oui... contentez-vous d'apprendre ; v.728 (Acte 3, scène 2, STUKÉLI)
L'ingrat de mes bontés s'arme contre moi-même ; v.753 (Acte 3, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
De son secret lui-même il m'a fait confidence. v.759 (Acte 3, scène 2, STUKÉLI)
Il aura joué ? Deviez-vous, v.792 (Acte 3, scène 4, HENRIETTE)
Les lui fallait-il accorder ? v.795 (Acte 3, scène 4, HENRIETTE)
Mérite-t-il cette tendresse ? v.799 (Acte 3, scène 4, HENRIETTE)
Que fut-il ? Un ingrat !... Il ne l'est pas, ma soeur. v.802 (Acte 3, scène 4, MADAME BÉVERLEI)
Adieu... Quelques instants je veux être à moi-même, v.805 (Acte 3, scène 4, MADAME B?VERLEI)
De quoi s'agit-il donc ? v.812 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
Hâtez-vous donc. v.814 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
Eh bien ! Expliquez-les ; voyons. v.817 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
Que, fussiez-vous dans l'indigence, v.843 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
Peut-être vous m'allez accuser d'être fière ; v.868 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
N'est-ce pas jusqu'au tombeau v.875 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
N'est-ce pas... v.878 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
Peut-il subsister quelque dette ? v.880 (Acte 3, scène 5, LEUSON)
Est-il quelque fardeau qui ne soit pas commun ? v.881 (Acte 3, scène 5, LEUSON)
Craint-on d'être obligé par un autre soi-même ? v.882 (Acte 3, scène 5, LEUSON)
J'oubliai vous, mon fils, et ma femme, et moi-même ; v.915 (Acte 3, scène 7, BÉVERLEI)
Où votre soeur est-elle ? v.922 (Acte 3, scène 7, BÉVERLEI)
Savez-vous mon projet ? Cet antique héritage, v.949 (Acte 3, scène 7, BÉVERLEI)
Te voilà, Stukéli : sais-tu que la fortune... v.979 (Acte 3, scène 9, BÉVERLEI)
Me crois-tu donc si faible, et que sur un tapis v.1023 (Acte 3, scène 9, BÉVERLEI)
Que parlez-vous, ô ciel ! De fer et de poison ? v.1032 (Acte 4, scène 1, STUKÉLI)
Mon sort est-il assez funeste ! v.1033 (Acte 4, scène 1, BÉVERLEI)
Fallait-il entrer chez Vilson ? v.1037 (Acte 4, scène 1, STUKÉLI)
Serait-il un mortel plus que moi fortuné ? v.1044 (Acte 4, scène 1, BÉVERLEI)
En est-il un plus misérable ? v.1045 (Acte 4, scène 1, B?VERLEI)
Manquait-il à mes voeux quelque bien désirable ? v.1047 (Acte 4, scène 1, B?VERLEI)
Mais avez-vous donc oublié v.1056 (Acte 4, scène 1, STUKÉLI)
Que sûr, disiez-vous, de vous-même, v.1057 (Acte 4, scène 1, STUK?LI)
Et cherchait lui-même à périr... v.1063 (Acte 4, scène 1, BÉVERLEI)
Mais réponds-moi, pourquoi me rendre v.1064 (Acte 4, scène 1, B?VERLEI)
Traître ! Donne-t-on du poison v.1069 (Acte 4, scène 1, BÉVERLEI)
Mais toi-même l'es-tu ? v.1079 (Acte 4, scène 1, BÉVERLEI)
Me croyez-vous donc lâche assez ?... v.1081 (Acte 4, scène 1, STUKÉLI)
Puis-je savoir si je t'outrage ? v.1090 (Acte 4, scène 1, BÉVERLEI)
Sais-je ce que je dis ? Suis-je maître de moi ?... v.1091 (Acte 4, scène 1, B?VERLEI)
Je puis te poignarder, et moi-même après toi. v.1093 (Acte 4, scène 1, B?VERLEI)
Où porté-je mes pas ?... Ciel ! Dans quel antre sombre v.1094 (Acte 4, scène 2, BÉVERLEI)
Nuit, tu ne peux cacher un coupable à lui-même ! v.1098 (Acte 4, scène 2, B?VERLEI)
Oui, c'est lui-même, c'est Leuson. v.1110 (Acte 4, scène 3, BÉVERLEI)
Je prétends que lui-même ici me satisfasse. v.1113 (Acte 4, scène 3, B?VERLEI)
J'en connais un déjà qui doit trembler lui-même. v.1122 (Acte 4, scène 3, BÉVERLEI)
De qui prétendez-vous parler ? v.1123 (Acte 4, scène 3, LEUSON)
Quel est-il ? v.1124 (Acte 4, scène 3, LEUSON)
Et peut-être un autre à ma place... v.1133 (Acte 4, scène 3, LEUSON)
Mais toi, quel droit as-tu de noircir mon honneur ? v.1157 (Acte 4, scène 3, BÉVERLEI)
Ah ! Sois-le donc encor en me perçant le coeur ! v.1159 (Acte 4, scène 3, B?VERLEI)
Remets, te dis-je, cette épée... v.1171 (Acte 4, scène 3, LEUSON)
Ce sang-froid de Leuson n'est pas celui d'un lâche ; v.1174 (Acte 4, scène 4, BÉVERLEI)
Stukéli m'aurait-il déçu ? v.1177 (Acte 4, scène 4, B?VERLEI)
Que m'importe, après tout ? Tiens-je encor à la vie ? v.1178 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Qui s'avance vers moi ? Parle ; est-ce un assassin ? v.1182 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
Si tu l'es, viens, suis-moi ; ma main v.1183 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
Que fais-tu si tard dans la rue ? v.1188 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Monsieur, pardonnez-moi... v.1189 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
Vous-même... Ciel ! v.1190 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
Auriez-vous... ah ! Monsieur, vous me glacez d'effroi ! v.1191 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
Il se parle à lui-même, et ne m'écoute pas... v.1196 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
C'est le pauvre Jarvis... donnez-moi cette épée ; v.1198 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
Monsieur, au nom de Dieu, donnez-la-moi ; je crains... v.1199 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
Oui, prends-la ; prends ce fer... Ôte-le de mes mains : v.1200 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Peut-être en ce moment c'est le ciel qui t'envoie. v.1201 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
Puisses-tu toujours l'être, ô vieillard vertueux !... v.1204 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Rentre, bon vieillard ; couche-toi. v.1209 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
Songez-vous quelle cruelle peine, v.1212 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
C'est peut-être de vivre... Oui, dans leur triste sort v.1215 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Laisse-moi... De la nuit je chéris la noirceur ; v.1217 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
N'entends-je pas des cris funèbres ? v.1220 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
Va-t'en... Couché sur cette pierre, v.1222 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Eh ! Puissé-je jamais ne revoir la lumière ! v.1224 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
Au nom de Dieu relevez-vous... v.1227 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
Et vous-même, dans votre enfance... v.1235 (Acte 4, scène 6, JARVIS)
Ciel ! Qu'est-ce que je vois ? v.1239 (Acte 4, scène 6, MADAME BÉVERLEI)
Ma femme !... Ô terre, engloutis-moi ! v.1240 (Acte 4, scène 6, BÉVERLEI)
Parlez-moi... Vous voyez qu'à peine je respire... v.1244 (Acte 4, scène 6, MADAME BÉVERLEI)
Que nous reste-t-il ? v.1277 (Acte 4, scène 6, BÉVERLEI)
Ah ! Crois-moi, c'est du sein de l'indigence même v.1281 (Acte 4, scène 6, MADAME BÉVERLEI)
Embrassez-moi, ma femme. v.1299 (Acte 4, scène 7, BÉVERLEI)
M'a mandé qu'il fallait que moi-même j'agisse, v.1343 (Acte 5, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Ne le laisse point seul : mène-lui son enfant. v.1349 (Acte 5, scène 2, MADAME B?VERLEI)
Va le trouver, Jarvis ; dis-lui qu'en ma prison v.1379 (Acte 5, scène 4, BÉVERLEI)
Sans plus répliquer, j'ordonne... obéis-moi. v.1387 (Acte 5, scène 4, BÉVERLEI)
« Arrête, Malheureux ! Tes jours sont-ils à toi ?... » v.1402 (Acte 5, scène 5, BÉVERLEI)
Quel mot ai-je ouï ? v.1425 (Acte 5, scène 5, BÉVERLEI)
La vie est-elle donc un bien si précieux ? v.1443 (Acte 5, scène 5, B?VERLEI)
Que n'a-t-on étouffé ton père en son berceau ! v.1446 (Acte 5, scène 5, B?VERLEI)
Que dis-je fureur ? C'est pitié. v.1451 (Acte 5, scène 5, B?VERLEI)
Mon bon papa, pardonnez-moi ! v.1463 (Acte 5, scène 5, TOMI)
Ô malheureux enfant ! Ô mon fils, lève-toi... v.1465 (Acte 5, scène 5, BÉVERLEI)
J'aurais pu... Qu'ai-je fait ?... Ciel ! Retenons mes cris... v.1490 (Acte 5, scène 7, BÉVERLEI)
Que dites-vous ? v.1498 (Acte 5, scène 8, MADAME BÉVERLEI)
Ô malheureux ami ! Qu'avez-vous fait ? v.1501 (Acte 5, scène 8, LEUSON)
Mon frère avez-vous pu ?... v.1502 (Acte 5, scène 8, HENRIETTE)
Ma femme ! Ah ! Dites-moi que vous me pardonnez ! v.1513 (Acte 5, scène 8, BÉVERLEI)
Souvenez-vous de votre père... v.1532 (Acte 5, scène 8, BÉVERLEI)
Donnez-moi votre main, ma femme... Adieu... Je meurs ! v.1533 (Acte 5, scène 8, B?VERLEI)

LES MOEURS DU TEMPS (1764)

Mais, madame, concevez-vous quelque chose à ce changement ? (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Monsieur_le_Baron, il y a quelque chose là-dessous qui n'est pas naturel ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Que dites-vous, madame ? (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Croyez-vous que pour épouser cet enfant-là ce soit à elle qu'il importe de plaire ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Cela suffit-il pour plaire aux gens ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Ne savez-vous pas qu'il faut encore entrer dans tous leurs faibles, applaudir à leurs ridicules, caresser leurs travers ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Est-ce là se conduire ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
On le sait bien ; mais est-ce là une raison ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Dans quel monde avez-vous donc vécu ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Vous ne vous êtes pas mieux conduit vis-à-vis de la Comtesse. (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Il n'y a pas jusqu'à son frère, dont vous vous établissez le protecteur ; et ce qu'il y a de rare, c'est qu'après avoir défendu, vis-à-vis du frère, les gens de mérite et à talents, vous défendez, vis-à-vis de la soeur, les gens de finance ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Mais c'est que j'en connais de très estimables et que du ridicule de quelques-uns, il n'en faut point faire le ridicule de tous. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
À quoi voulez-vous donc que des femmes s'amusent ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
De qui dira-t-on du mal ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Voyez le Marquis, votre cousin : peut-on mieux prendre qu'il l'a fait le ton de ces gens-ci ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Est-il avec la Comtesse ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Est-il avec Monsieur Géronte ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
« Voilà une bonne tête, dit-il, en lui frappant sur l'épaule !... (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Qu'est-ce que tout l'esprit du monde au prix de ce bon sens-là ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
« Les gens comme vous, ajoute-t-il, sont bien nécessaires à un état ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Et s'il ne pensait qu'à se servir lui-même ; s'il avait des desseins sur Julie ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Ma fortune est fort au-dessous de celle qu'il peut espérer de ces gens-ci ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Mettez-vous bien dans la tête, Baron, que les femmes ne s'aiment guère, et qu'en particulier la Comtesse me hait. (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Mais ce Marquis, madame, est-il possible que vous l'aimiez avec la connaissance que vous avez de son caractère ? (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Dorante, que n'en puis-je douter ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Vous avouerai-je ma faiblesse ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Mais vous, Dorante, ne vous êtes-vous pas, du moins, assuré du coeur de Julie ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Tenez-vous un peu à l'écart. (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Mais qu'y lisez-vous donc, Madame ? (Acte 1, scène 2, JULIE)
Vous plairait-il, Mademoiselle ? (Acte 1, scène 2, CIDALISE)
Il se plaît tant à lui-même ; mais ma tante m'a beaucoup parlé de lui. (Acte 1, scène 2, JULIE)
« C'est, m'a-t-elle dit, un homme qui n'épousera point sa femme pour l'aimer, et qui lui laissera toute la liberté qui convient... » (Acte 1, scène 2, JULIE)
Qu'est-ce qu'épouser pour ne point aimer ? (Acte 1, scène 2, JULIE)
Mais, vous-même, Madame, vous êtes mon amie ; que me conseillez-vous ? (Acte 1, scène 2, JULIE)
Je sais bien qu'il y en a une pour se coiffer, pour s'habiller ; mais est-ce qu'il y en a une pour s'aimer ? (Acte 1, scène 2, JULIE)
Est-ce que le coeur suit la mode ? (Acte 1, scène 2, JULIE)
Bien, cette mode-là ne me vaut rien. (Acte 1, scène 2, JULIE)
Cet autre coeur ne serait-il pas celui de Dorante ?... (Acte 1, scène 2, CIDALISE)
Allons, parlez-moi franchement, l'aimez-vous ? (Acte 1, scène 2, CIDALISE)
Est-on comme cela quand on aime ? (Acte 1, scène 2, JULIE)
Madame, pour celui-là, s'il m'épouse, je suis bien sûre que ce ne sera pas comme le Marquis pour ne pas m'aimer ! (Acte 1, scène 2, JULIE)
J'ai le bonheur de ne pas déplaire à Julie ; mais son père m'a parlé ce matin d'une façon tout-à-fait propre à m'alarmer. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Sais-tu qu'avec le titre suranné de Baron tu as rapporté de ton vieux château une façon de penser tout-à-fait gothique, et qu'il n'y a pas jusqu'aux « espèces » qui te trouveront très ridicule ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Apprends donc, une fois pour toutes, mon petit parent de province, apprends donc les usages de ce pays-ci. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Apprenez, vous-même, Monsieur, qu'on ne doit point appeler usage ce que pratiquent peut-être une douzaine de folles et autant de prétendus agréables, dont Molière, s'il revenait au monde, nous donnerait de bons portraits. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Mais, ton vieux Molière, si, comme tu dis, il revenait au monde, crois-tu que les gens comme il faut iraient à ses pièces ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Répondez-moi nettement. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Voulez-vous me servir ? (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Dois-je compter sur vous ? (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Veux-tu que je me donne au diable ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Si vous le connaissez, faites-moi le plaisir de lui bien dire, de ma part, qu'on ne m'ôtera pas impunément ce que j'aime ; et qu'avant de posséder Julie... (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Bien, monsieur aurai-je de l'argent ? (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Monsieur l'honnête-homme, volez-moi, pillez-moi : cela est dans l'ordre ; mais ne m'ennuyez pas de vos remontrances. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Là, regardez-moi, sans rire, si vous le pouvez, Monsieur Dumont. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Laissez-moi, du moins, la satisfaction de me ruiner gaiement, et sans y penser ! (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Ne m'avez-vous pas fait arrêter leurs mémoires ? (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
De quoi se plaignent donc ces marauds-là ? (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Enfin, cet éternel Baron, en sommes-nous défaits ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Franchement, Marquis, il a furieusement le goût du terroir, votre petit-cousin ! (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Ma nièce ne voudrait-elle pas aussi avoir un mari qui l'adorât ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Mais dites-donc, qui peut avoir mis cette femme à la mode ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Qu'y trouviez-vous donc, tous, de si ravissant ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Trouvez-vous ? (Acte 1, scène 10, LA COMTESSE)
Et ce pauvre marquis, que voulez-vous qu'il devienne ? (Acte 1, scène 10, LA COMTESSE)
Laissez-moi aller, de grâce ! (Acte 1, scène 10, CIDALISE)
Laissez-moi avec lui ; je vais le mettre à la raison. (Acte 1, scène 11, LA COMTESSE)
Bien, monsieur, tout est-il prêt pour le bal ? (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
J'ai moi-même fait ajuster la salle, et avec goût, j'ose m'en vanter. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
Dites-moi donc quel charme vous trouvez à veiller toute la nuit, pour dormir tout le jour ? (Acte 1, scène 12, G?RONTE)
Est-ce que le plaisir d'un beau soleil... (Acte 1, scène 12, G?RONTE)
Appelez-vous cela rien ? (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
Dites-moi ce qu'un homme a, je vous dirai ce qu'il vaut. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
Esprit, naissance, qu'est-ce que cela produit par an ? (Acte 1, scène 12, G?RONTE)
Ça, monsieur, allez-vous me donner mes vapeurs ? (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
Ne serait-il pas bien flatteur, pour vous, que votre fille eût le tabouret ? (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
N'allez-vous pas me chicaner sur un mot ? (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
Ne le trouves-tu pas charmant, Finette ? (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
Relevez-la... (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
Madame, je n'entends rien à cet honneur-là. (Acte 1, scène 14, FINETTE)
Qu'en dit-on, je vous prie, Mademoiselle ? (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
N'en dit-on que cela ?... (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
Est-il rien de plus flatteur que de plaire, que d'être entourée d'une foule d'adorateurs, dont on fait le sort avec un souris, un mot, un regard ? (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
Donnez-moi d'autre rouge : celui-là est pâle comme la mort. (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
Qu'y a-t-il, Mademoiselle, de plus digne de vous occuper ? (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Pour qui voudrais-je me parer ? (Acte 1, scène 15, JULIE)
Au moins, Mademoiselle, est-il sûr qu'il vous fait honneur ! (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Est-ce qu'en y songeant seulement le coeur ne vous bat pas de joie ?... (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Est-ce que le coeur ne vous bat pas de joie, dit-elle ? (Acte 1, scène 16, JULIE)
Qui cherchez-vous donc, avec cet air furieux ? (Acte 1, scène 17, JULIE)
Calmez-vous, Dorante ; vous me faites trembler ! (Acte 1, scène 17, JULIE)
Tranquillisez-vous, encore une fois, et soyez sûr qu'il n'y a point de parti que je ne prenne plutôt que d'être au Marquis. (Acte 1, scène 17, JULIE)
Mais on vient, modérez-vous de grâce, et rentrons dans la salle du bal concerter ensemble nos mesures. (Acte 1, scène 17, JULIE)
N'ont-elles rien de bon à nous répondre ? (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Mettons-nous dans un coin, et dormons, de notre mieux, sur ce sofa. (Acte 1, scène 18, G?RONTE)
Quant au beau-père, c'est un intendant que je prends, et un intendant d'espèce nouvelle. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
Oui-dà ! (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
D'ordinaire, nos intendants nous ruinent ; et je compte bien que ce sera moi qui ruinerai celui-ci... (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
Que dites-vous ? (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
N'est-ce point que vous sentez, vous-même, quelque chose qui vous arrête ; et que Cidalise vous tient encore au coeur ? (Acte 1, scène 20, CIDALISE)
Contraignons-nous encore. (Acte 1, scène 20, CIDALISE)
Est-ce de moi qu'il parle ? (Acte 1, scène 21, LA COMTESSE)
N'ai-je pas entendu quelque bruit ?... (Acte 1, scène 21, CIDALISE)
Que disiez-vous de la comtesse ? (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
Joignez-y le ridicule de traiter Géronte de petit bourgeois, comme si elle n'était plus la parente de son frère, et ses vapeurs de commande, que ce benêt de frère prend pour bonnes ! (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
Que vois-je ? (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
Levez-vous, ma fille... (Acte 1, scène 22, GÉRONTE)
Embrassez-moi, Dorante. (Acte 1, scène 22, G?RONTE)
Et vous, mes enfants, donnez-vous la main, et aimez-vous bien, tous deux, en dépit de la mode, et des moeurs du temps ! (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)

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LE MARIAGE DE JULIE (1802)

Pourquoi pleures-tu ? (Acte 1, scène 1, DUMONT)
De quoi ris-tu ? (Acte 1, scène 1, AGATHE)
On fera bientôt celui de la fille de la maison, de mademoiselle Durval : c'est pour cela qu'ils l'ont retirée du couvent : je parierai bien d'avance que ce mariage-là ne sera pas si heureux que le nôtre. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Le mal est que ces héritières-là, on songe plus à en faire de grandes dames qu'à en faire des femmes heureuses. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Je crois qu'elle a en vue, pour notre demoiselle, le Marquis de Saint-Bon, qui depuis hier est à cette maison de campagne avec madame sa mère : on ne dira pas de celui-là qu'il a la physionomie basse : c'est la figure la plus noble, la plus intéressante, et des manières si honnêtes avec tout le monde ! (Acte 1, scène 1, AGATHE)
C'est à ces manières-là qu'on reconnaît les gens de qualité. (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Madame dit que là-dessous il y a quelquefois bien de la hauteur : mais je ne crois pas cela du marquis : son air est si franc, si ouvert ! (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Et as-tu vu monsieur en faire changer à madame ? (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Monsieur et Madame Durval logent sous le même toit ; ils n'ont, d'ailleurs, rien de commun : leurs heures, leurs goûts, leurs sociétés diffèrent : Monsieur dîne, et madame soupe ; quand l'un se lève, l'autre se couche ; et s'ils ne se donnaient quelquefois rendez-vous, madame pour demander de l'argent à son mari, monsieur pour quereller madame, on croirait qu'il y a un mur de séparation entre eux. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Il est vrai que celle-ci, qui, de son côté, pourtant envie les grands biens de sa soeur, a l'air de la protéger : elle regarde madame du haut de sa grandeur ; et, ce qu'il y a de plaisant, c'est qu'il n'y a pas jusqu'à ses femmes qui dédaignent de faire notre partie. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Ma chère amie, les richesses sont pour quelques-uns, et le bonheur pour tout le monde. (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Qu'est-ce que cette chanson ? (Acte 1, scène 2, DURVAL)
Qu'avez-vous donc à chanter, vous autres, et être si gais dès le matin ? (Acte 1, scène 2, DURVAL)
N'êtes-vous pas honteux de vous aimer encore ? (Acte 1, scène 2, DURVAL)
À quoi sert-il donc qu'on vous ait mariés ? (Acte 1, scène 2, DURVAL)
Allez, Dumont, allez-vous-en de ma part savoir s'il est jour chez la marquise de Saint-Bon, comment elle a passé la nuit, et si elle n'a besoin de rien ; vous Agathe, dites à ma fille que je veux lui parler. (Acte 1, scène 2, DURVAL)
Ces faquins-là ont l'insolence d'être plus heureux que leurs maîtres. (Acte 1, scène 3, DURVAL)
De quoi s'agit-il donc ? (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Je vous arrête, mon frère : c'est vraisemblablement celui dont la Comtesse d'Altin, ma belle-soeur, m'a déjà parlé ; un de ces hommes sans principes, de ces roués de bonne compagnie, que personne n'estime et que tout le monde recherche. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Non, mon frère : s'il était question d'un pareil sujet, je ne m'en mêlerais pas : celui dont il s'agit, c'est le Marquis de Saint-Bon que vous avez vu ici avec madame sa mère : vous savez qu'il est généralement estimé, que sa façon de penser est au-dessus de sa naissance, qu'il regarde celle-ci comme un avantage dont on ne se prévaut qu'au défaut du mérite personnel, et qu'il ne croit pas qu'aucun homme apporte, en venant au monde, le droit d'en mépriser un autre. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
C'est un merveilleux, un esprit ; et vous savez que ma bête à moi, c'est un homme d'esprit : je n'aime pas ces messieurs-là. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Que voulez-vous dire ? (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Qu'entendez-vous par là. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Votre marquis, par exemple, ne l'accuse-t-on pas de composer ? (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Que voulez-vous ? (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
C'est peut-être à cela que le marquis doit de valoir mieux que la plupart de ses pareils. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Tout ce qu'il vous plaira, mon frère, mais vous ne me ferez pas aimer l'esprit : je ne parle pas de celui qui fait faire fortune : j'en fais grand cas de celui-là, et vous voyez qu'il m'a bien servi. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Aucun particulier n'est plus riche que moi, et avec cette richesse-là on est l'égal de tout le monde. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Est-ce qu'il y a de ces gens-là ? (Acte 1, scène 4, DURVAL)
N'allez-vous pas me dire encore : est-ce qu'il y a de la gaieté ? (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Un peu : baste, vous la connaissez ; mais quand elle m'a bien fait donner au diable, savez-vous ce que je fais ? (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Je m'enferme, j'ouvre mon coffre-fort, je visite mon portefeuille, et je suis consolé. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Mon frère, ce n'est pas là ce que je vous envie, c'est le pouvoir d'obliger : mais quel usage en faites-vous ? (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Ma femme le dit ; mais sur ce point-là elle est un peu sujette à caution. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Mais celui-ci, mon frère... (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Nommez-le comme il vous plaira ; mais je lui connais, moi, une maxime excellente : c'est de ne laisser jamais ses deniers oisifs : aussi a-t-il fallu que je lui prêtasse les cent mille francs qui ont servi à lui faire obtenir ma place ; il ne les avait pas chez lui. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Mais votre fille sera-t-elle heureuse avec monsieur Dutour ? (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
L'aimera-t-elle ? (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Chose étrange, qu'un homme mesure à sa fortune l'opinion qu'il a de lui-même, et qu'il ne soupçonne jamais qu'il serait possible, à toute force, qu'avec de grands biens on ne fût pourtant qu'un sot. (Acte 1, scène 5, DE SURMON)
Où allez-vous donc, ma nièce ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
N'êtes-vous pas bien contente d'avoir quitté le couvent ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Je croyais trouver ici des parents qui s'aimaient, à qui je serais chère, que j'aimais déjà de tout mon coeur, à qui je brûlais de le prouver ; leur froid accueil m'a glacée : ils ne m'aiment point, et ils se haïssent : concevez-vous cela ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Convenez d'ailleurs que la maison de vos parents est le rendez-vous de tous les plaisirs. (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Une dame retirée du monde où elle avait longtemps vécu, une parente du Marquis de Saint-Bon. (Acte 1, scène 6, JULIE)
C'est un homme charmant, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Mon père ne m'a-t-il pas défendu d'entretenir le marquis ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Et en pareil cas, ne pensez-vous pas, mon oncle, qu'une fille doit obéir à sa mère de préférence ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Mais, oui ; une fille n'est-elle pas plus particulièrement sous la conduite de sa mère ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Vous auriez moins de peine à aimer le marquis, n'est-il pas vrai ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Mon oncle, ayez pitié de votre nièce ; joignez-vous à ma mère, pour empêcher qu'on ne me sacrifie : l'exemple de mes parents me fait trembler. (Acte 1, scène 6, JULIE)
Que vois-je ? (Acte 1, scène 7, JULIE)
Je ne dirai rien qui la blesse : fiez-vous-en à mon respect, Mademoiselle. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Aujourd'hui que madame votre mère veut bien me flatter de l'espoir d'être à vous, je croirais manquer à ce que je vous dois, à ce que je me dois à moi-même, si je me livrais à cet espoir, sans y être autorisé par votre aveu. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Pardonnez-moi donc, belle Julie, si j'ose interroger votre coeur, et vous demander, non s'il m'est favorable, je n'ai encore rien fait pour cela ; mais si du moins il ne m'est pas contraire. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Expliquez-vous, mademoiselle : j'attache ma vie au bonheur de vous posséder ; mais ce bonheur serait trop acheté, s'il en coûtait quelque chose au vôtre. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Oui, oui, monsieur ; faites-vous ordonner de vous aimer, et vous verrez comme nous obéirons. (Acte 1, scène 9, AGATHE)
Madame, épargnez-moi, de grâce ; et pardonnez si je vous quitte. (Acte 1, scène 10, JULIE)
Que vous épousiez la fille de ces gens-là, j'y consens, sa fortune sera immense. (Acte 1, scène 11, LA MARQUISE)
Pardonnez-moi, madame, c'en est la voie le plus honnête. (Acte 1, scène 11, LE MARQUIS)
Ces noms-là sont assez nobles et valent bien le nôtre, je crois. (Acte 1, scène 11, LE MARQUIS)
Laissez-moi faire, je la formerai, je la formerai. (Acte 1, scène 11, LA MARQUISE)
Je viens de votre appartement, Madame ; je voulais m'informer moi-même comment vous aviez passé la nuit, et si rien ne vous manquait. (Acte 1, scène 12, MADAME DURVAL)
Prenez-vous quelque chose le matin ? (Acte 1, scène 12, MADAME DURVAL)
Asseyons-nous. (Acte 1, scène 12, MADAME DURVAL)
Mademoiselle Durval ne déjeune-t-elle pas, Madame ? (Acte 1, scène 12, LA MARQUISE)
Que dites-vous, madame ? (Acte 1, scène 12, LE MARQUIS)
Comment trouvez-vous le chocolat ? (Acte 1, scène 12, MADAME DURVAL)
Que dites-vous, madame ? (Acte 1, scène 12, MADAME DURVAL)
Amenez-nous-la, mon fils. (Acte 1, scène , LA MARQUISE)
Me trompé-je, mademoiselle ? (Acte 1, scène , LE MARQUIS)
Qu'y a-t-il donc, ma fille ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Qu'est-ce donc qui s'est passé, madame ? (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Aurais-je le malheur d'être cause ?... (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Je vous avoue, Madame, que ce que je vois me donne aussi à penser : est-ce que notre mariage ne serait pas une chose faite ? (Acte 1, scène 14, LA MARQUISE)
S'il l'était, madame, assurément notre amitié me ferait passer par-dessus certaines raisons ; mais ce n'est pas l'usage, et vous savez... (Acte 1, scène 14, LA MARQUISE)
Épargnez-moi ces raisons, Madame ; encore une fois les difficultés ne vendront pas de moi. (Acte 1, scène 14, MADAME DURVAL)
Ne savez-vous pas, docteur, que les femmes aiment faire ce qu'on leur défend ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
C'est-à-dire que j'ai deviné : ah, ah, ah ! (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
Çà, promettez-moi de n'en plus prendre : c'est se mettre la chaux dans le sang... (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
Mademoiselle, y en-a-t-il encore ? (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
Donnez-m'en : je n'ai rien pris ce matin ; ah, ah, ah ! (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
N'y a-t-il point d'autres nouvelles ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
On vous aura dit que Monsieur Durval veut lui faire épouser ma fille ; et sans doute que ce mariage-là paraît fort ridicule ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
On ne sait que faire à la campagne : la Marquise part ce soir ; je n'aurai demain que des amis de mon mari, des espèces ; je me ferai saigner : n'est-il pas vrai, mon docteur ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Je compte aussi reprendre mes pilules : ne me le conseillez-vous pas ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Gardez-vous-en bien, je vous le défends. (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
Ne passez-vous pas un moment chez mon mari ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Serait-il incommodé ? (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
Quelque indigestion par-ci, par-là ; mais c'est que vous lui parlerez de Monsieur Dutour, et que, sans faire semblant de rien, vous lui en ferez un portrait... (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Sans cela, mademoiselle Durval serait-elle un parti pour lui ? (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
Cette dépendance-là est honorable, et met à portée des grâces ; monsieur le comte soupe dans les cabinets, je fais la partie de ... (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
Me voilà ma migraine, au moins pour vingt-quatre heures. (Acte 1, scène 19, MADAME DURVAL)
Où êtes-vous donc, mademoiselle ? (Acte 1, scène 19, MADAME DURVAL)
Finirez-vous, mademoiselle ? (Acte 1, scène 19, MADAME DURVAL)
Qu'est-ce donc qu'a madame ? (Acte 1, scène 19, AGATHE)
N'as-tu pas vu sortir la comtesse ? (Acte 1, scène 19, MADAME DURVAL)
Qu'est-ce qu'un grand nom, quand on n'a pas de quoi le soutenir ? (Acte 1, scène 19, AGATHE)
Trouves-tu, ma chère enfant ? (Acte 1, scène 19, MADAME DURVAL)
Que diable voulez-vous donc qu'on aime ? (Acte 1, scène 21, DURVAL)
Ce mariage-là n'est pas fait ; et puis le docteur m'a dit des choses de monsieur Dutour ! (Acte 1, scène 21, MADAME DURVAL)
Que vous a-t-il dit ? (Acte 1, scène 21, DURVAL)
Je ne puis pas bien vous dire ce que c'était, il ne le savait pas trop lui-même... (Acte 1, scène 21, MADAME DURVAL)
Moquez-vous de ces airs, madame : vous êtes en état d'acheter trente comtés comme le sien. (Acte 1, scène 21, DURVAL)
En serais-je plus grande dame ? (Acte 1, scène 21, MADAME DURVAL)
Savez-vous ce que vous désirez, madame, l'indigence et la servitude ; mais extravaguez si vous voulez, perdez-vous dans des désirs insensés, enviez ceux qui vous envient : moi, qui sait qu'on est tout quand on est riche, je n'envie personne. (Acte 1, scène 21, DURVAL)
Vous voilà, mademoiselle ; avez-vous fait vos réflexions ? (Acte 1, scène 22, DURVAL)
Êtes-vous enfin disposée à m'obéir ? (Acte 1, scène 22, DURVAL)
Vous êtes une enfant, que parlez-vous d'aimer ! (Acte 1, scène 22, DURVAL)
Levez-vous. (Acte 1, scène 22, DURVAL)
Levez-vous, vous dis-je, et finissez une scène... (Acte 1, scène 22, DURVAL)
Mon frère, une autre fois prendrez-vous de mes almanachs ? (Acte 1, scène 23, DE SURMON)
Que voulez-vous dire avec vos almanachs ? (Acte 1, scène 23, DURVAL)
Attendrez-vous encore, pour y croire, que j'aie fait une fortune comme la vôtre ? (Acte 1, scène 23, DE SURMON)
Ignorez-vous son aventure ? (Acte 1, scène 23, DE SURMON)
Plaisantez-vous, mon frère ? (Acte 1, scène 23, DURVAL)
Mon frère, pouvez-vous donner dans un pareil conte ? (Acte 1, scène 23, DURVAL)
Ajoutez que, pour en obtenir l'agrément, vous lui avez prêté le plus honnêtement du monde les cent mille francs qu'il a fallu donner : aussi dit-on que, sans la circonstance qui l'y a forcé, son dessein était de ne découvrir son mariage qu'après s'être bien mis en possession de votre place. (Acte 1, scène 23, DE SURMON)
Appelez-vous cela de l'esprit, mon frère ? (Acte 1, scène 23, DE SURMON)
Pourquoi, d'ailleurs, aurait-il épousé Lucile qu'on sait d'humeur à ne pas désespérer les gens ? (Acte 1, scène 23, DURVAL)
À quoi pensez-vous donc, monsieur Durval ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Croyez-moi, pour être honnête, il faut être éclairé ; quoique, pour être éclairé, on ne soit pas toujours honnête. (Acte 1, scène , DE SURMON)

Dans les 1907 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 683 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 136,60 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	L'ANGLOMANE	127	0	0	0	0	127
2	AMÉNOPHIS	21	29	27	31	24	132
3	B?VERLEI	0	1	0	0	0	1
4	BÉVERLEI	51	44	24	57	18	194
5	LES MOEURS DU TEMPS	108	0	0	0	0	108
6	LE MARIAGE DE JULIE	121	0	0	0	0	121
	Total	428	74	51	88	42	683