Occurences de l'expression

pas

pour SAURIN, Bernard-Joseph

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L'ANGLOMANE (1763)

Que sans cesse pour eux il fût maltraité, passe, v.13 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Et n'a pas oublié que je suis libéral. v.18 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
On ne refuse pas le remède à son mal. v.21 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Mais n'avoueras-tu pas qu'un charme inexprimable... v.81 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Ne prétend-il pas que Sophie v.115 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Enseigner ce qu'on ne sait pas, v.120 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Il n'en sait pas une syllabe : v.126 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Si ses yeux ne m'ont pas flatté. v.146 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Ma foi, vous nous passez en tout, v.178 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Hem ! Suis-je pénétrant ? Et n'admirez-vous pas ?... v.206 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Ce maître-là ne fait pas peur ; v.219 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
Je ne sais pas comme elle était venue, v.235 (Acte 1, scène 3, SOPHIE)
Je ne sais pas comment elle a pu me quitter. v.236 (Acte 1, scène 3, SOPHIE)
Oh ! Vous n'en pouvez pas douter. v.238 (Acte 1, scène 3, SOPHIE)
Mais, monsieur, il n'est pas besoin... v.245 (Acte 1, scène 3, SOPHIE)
Possède le français et ne veut pas l'écrire. v.253 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Sa fille ! Il n'en a pas. v.260 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
N'ai-je pas dit son fils ? v.261 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
« Je n'ai pas toujours pensé de même ; Vous saurez les raisons qui m'ont fait changer de sentiment : je ne vous écris qu'un mot, mais je vous dirai les détails à Paris, où je compte, dans peu, avoir le plaisir de vous embrasser. » (Acte 1, scène 4, DAMIS)
Ce n'est pas un esprit frivole v.271 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
Oh ! Quant à vous, monsieur Blacmore, passe. v.307 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
On ne peut pas encor songer au mariage ? v.316 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
Ce n'est pas précisément son lot ; v.324 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
Mais je n'ai pas besoin qu'il fasse d'épigramme : v.325 (Acte 1, scène 6, B?LISE)
Je dis qu'il n'en faut pas chercher bien loin les causes. v.354 (Acte 1, scène 7, FINETTE)
Vous ne la rendrez pas muette. v.357 (Acte 1, scène 7, BÉLISE)
Font voir que e bonheur n'est pas dans l'opulence ; v.373 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
Et n'êtes pas contente ? v.385 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
Je n'aime pas vos libertés, v.387 (Acte 1, scène 7, BÉLISE)
Sophie a des appas. v.411 (Acte 1, scène 8, BÉLISE)
N'aurait-il pas joué d'un tour ? v.418 (Acte 1, scène 8, BÉLISE)
Votre air et votre ton... vous n'êtes pas le même. v.466 (Acte 1, scène 9, SOPHIE)
Quoi donc ! Un philosophe, au trouble, aux passions, v.471 (Acte 1, scène 9, SOPHIE)
Et ne voilà-t-il pas, Damis, qu'à votre vue, v.503 (Acte 1, scène 11, SOPHIE)
Puisqu'à mes voeux, enfin, vous n'êtes pas contraire... v.547 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Le son de votre voix n'est-il pas enchanteur ? v.556 (Acte 1, scène 11, DAMIS)
Si nos auteurs n'ont pas cette expression tendre... v.563 (Acte 1, scène 12, DAMIS)
Nos esprits, pour cela, ne sont pas assez forts... v.576 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
De ce que je promets, n'êtes-vous pas d'accord ? v.618 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
Si vous ne faisiez pas ce que monsieur désire. v.620 (Acte 1, scène 12, ÉRASTE)
Newton ne s'est pas marié : v.643 (Acte 1, scène 13, ÉRASTE)
N'entends-je pas une voiture ? Oui. v.645 (Acte 1, scène 13, ?RASTE)
Je ne me trompais pas : c'est lui. v.648 (Acte 1, scène 13, ?RASTE)
Je tiens qu'il ne faut pas qu'on se singularise ; v.689 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Éraste, ce projet n'est pas bien médité : v.699 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Eh quoi ! N'avez-vous pas quitté v.701 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Et, quand il n'est pas sûr qu'on soit de cette étoffe, v.712 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
C'est être déserteur et non pas philosophe. v.714 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Ne fut-il pas toujours des sots et des méchants, v.733 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Et leurs traits n'ont-ils pas poursuivi de tout temps v.735 (Acte 1, scène 14, ?RASTE)
Qu'autant qu'on ne vit pas pour soi. v.751 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Vous passerez encor pour singulier peut-être ; v.752 (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Ne me passera pas cette faiblesse extrême. v.765 (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
Oh : ceci passe le jeu. v.815 (Acte 1, scène 15, LISIMON)
Mais je ne suis pas quitte, il vous faut un époux... v.849 (Acte 1, scène 16, ÉRASTE)
Il n'en est pas besoin, votre coeur m'est connu. v.931 (Acte 1, scène 16, ÉRASTE)

AMÉNOPHIS (1758)

N'en comptez pas moins, Madame, sur ma foi. v.34 (Acte 1, scène 1, IPHISE)
Mes sentiments pour lui n'étaient pas combattus, v.73 (Acte 1, scène 1, ARTHÉSIS)
Vains efforts ! Mais à quoi n'ont pas dû m'engager, v.113 (Acte 1, scène 1, ARTHÉSIS)
Mais du soldat nouveau les pas mal affermis v.121 (Acte 1, scène 1, ARTH?SIS)
Mais vous n'ignorez pas quel intérêt caché v.150 (Acte 1, scène 2, RAMESSES)
Vous ne le sentez pas, Madame,... Ah ! J'en frémis, v.169 (Acte 1, scène 2, RAMESSES)
Eh, tu ne fais donc pas toute ma résistance, v.172 (Acte 1, scène 2, ARTHÉSIS)
Qui n'est point offensé n'a pas besoin d'excuse : v.200 (Acte 1, scène 3, ARTHÉSIS)
J'en voulais à son trône et non pas à son coeur, v.230 (Acte 1, scène 4, NEPHTÉ)
Un coeur peut-il avoir plus d'une passion ? v.242 (Acte 1, scène 4, NEPHTÉ)
Qu'un crime ! Eh, votre coeur n'est pas épouvanté... v.253 (Acte 1, scène 4, PALMIS)
A Si je ne vous disais que je n'hésitai pas : v.286 (Acte 1, scène 5, NEPHTÉ)
Et ma fureur surpassé à peine sa colère ! v.292 (Acte 1, scène 5, NEPHT?)
Nephté n'est pas l'objet pour qui mon coeur soupire, v.308 (Acte 1, scène 5, SOSIS)
Les Dieux ne veulent pas le bonheur des humains, v.320 (Acte 2, scène 1, AMÉNOPHIS)
Ils ne sont pas vengés ,et je respire !.. Ah ! Ciel... v.327 (Acte 2, scène 1, AM?NOPHIS)
N'en demandez pas plus. v.416 (Acte 2, scène 2, RAMESSES)
Mais qui n'est pas vengé n'a pas droit de mourir, v.435 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
J'ai vu passer mon sceptre en des mains meurtrières, v.453 (Acte 2, scène 2, AMÉNOPHIS)
Tu n'es pas une cendre insensible et légère, v.489 (Acte 2, scène 3, ARTHÉSIS)
N'importe, le Ciel a passé mon attente, v.513 (Acte 2, scène 3, ARTHÉSIS)
Eh n'espères donc pas qu'aucun frein me retienne v.529 (Acte 2, scène 3, AMÉNOPHIS)
Ou si de la vertu demeure passagère, v.541 (Acte 2, scène 4, ARTHÉSIS)
Mais ne craignez vous pas que Nephté ne révèle... v.577 (Acte 3, scène 2, RAMESSES)
Les Dieux ont prévenu mon trépas par le sien. v.616 (Acte 3, scène 3, ARTHÉSIS)
Mais qui pourrait vous voir, Madame, et ne pas l'être ? v.618 (Acte 3, scène 3, SOSIS)
Aux mânes paternels tu devais sans trépas, v.647 (Acte 3, scène 5, ARTHÉSIS)
A fait en chancelant quelques pas en arrière ; v.674 (Acte 3, scène 5, AMÉNOPHIS)
Pesaient sans passion leur conduite passée, v.697 (Acte 3, scène 5, ARTHÉSIS)
Ce n'est pas l'assassin véritable ? v.766 (Acte 3, scène 7, SOSIS)
Nephté ne sera pas longtemps à redouter. v.780 (Acte 3, scène 7, SOSIS)
Ne me refuse pas, ô ! Ciel, ton assistance, v.785 (Acte 3, scène 8, RAMESSES)
Ce n'est pas pour longtemps que je le laisse vivre. v.798 (Acte 4, scène 1, SOSIS)
Je veux de son trépas ne point porter la haine ; v.810 (Acte 4, scène 1, SOSIS)
Il ne faut pas qu'il aime, il faut qu'il obéisse ; v.818 (Acte 4, scène 1, NEPHTÉ)
Sa règle est ce qui sert et non pas ce qui plaît. v.820 (Acte 4, scène 1, NEPHT?)
Mais son suffrage seul n'est pas ce qui décide, v.826 (Acte 4, scène 1, SOSIS)
Passerait pour complice et ne pourrait pas nuire ; v.834 (Acte 4, scène 1, SOSIS)
Mais qu'il n'espère pas que dégradant mes droits, v.911 (Acte 4, scène 6, AMÉNOPHIS)
N'a-t-on pas toujours vu l'audace et l'attentat, v.947 (Acte 4, scène 6, AMÉNOPHIS)
Je n'ai rien à répondre... Ordonnez mon trépas, v.967 (Acte 4, scène 6, AMÉNOPHIS)
N'en doutez pas, c'est lui dont le bras détestable v.1010 (Acte 4, scène 7, ARTHÉSIS)
Le Prince sans appui n'est pas moins votre maître, v.1021 (Acte 4, scène 7, ARTHÉSIS)
Ah ! Malgré mon amour ne crains pas qu'Arthésis, v.1076 (Acte 4, scène 9, ARTHÉSIS)
Que je livre au trépas un rival que j'abhorre, v.1085 (Acte 4, scène 10, SOSIS)
Je n'avais pas craint de vous voir hésiter. v.1092 (Acte 4, scène 10, AMÉNOPHIS)
Ne crains pas que je tarde à te suivre. v.1102 (Acte 4, scène 10, ARTHÉSIS)
Vas, ce n'est pas pour longtemps ; v.1120 (Acte 4, scène 10, ARTHÉSIS)
N'eut-il pas à l'instant dû le faire immoler ? v.1155 (Acte 5, scène 1, RAMESSES)
Mais Dieux ! avec quel art sous un appas trompeur v.1163 (Acte 5, scène 1, NEPHTÉ)
Si cependant encor il ne l'a pas été... v.1172 (Acte 5, scène 1, RAMESSES)
Il va périr, eh bien ne le suivrai-je pas ? v.1215 (Acte 5, scène 4, ARTHÉSIS)
Tout espoir n'est pas encor perdu, v.1223 (Acte 5, scène 5, IPHISE)
Le Traître dans mon sein faisait passer la mort. v.1280 (Acte 5, scène 7, NEPHTÉ)

BÉVERLEI (1821)

Ce n'est pas de même aujourd'hui ; v.30 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
N'est pas encor rentré chez lui. v.33 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
La passion qui le dévore v.38 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Oh ! Pour moi, quand je songe à quelle passion v.65 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
Je n'en ai pas besoin pour être satisfaite, v.85 (Acte 1, scène 1, MADAME BÉVERLEI)
Si pour sa guérison mes voeux ne sont pas vains, v.99 (Acte 1, scène 1, MADAME BÉVERLEI)
Leuson n'est pas léger, et le croit un fripon. v.111 (Acte 1, scène 1, HENRIETTE)
N'entends-je pas quelqu'un ? v.112 (Acte 1, scène 1, MADAME BÉVERLEI)
Je ne l'écoute pas avec tranquillité... v.127 (Acte 1, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Il n'eût pas renvoyé le bonhomme Jarvis : v.135 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Passer celles encor qui me sont destinées ; v.139 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Mais il ne me l'a pas permis. v.140 (Acte 1, scène 2, JARVIS)
Ce n'est pas encor lui. v.166 (Acte 1, scène 2, HENRIETTE)
Vous ne me rendez pas justice ; v.175 (Acte 1, scène 3, STUKÉLI)
Auprès de lui n'ai-je pas employé v.176 (Acte 1, scène 3, STUK?LI)
N'ai-je pas, dans l'espoir de réparer sa perte, v.181 (Acte 1, scène 3, STUK?LI)
Il ne m'en a pas voulu croire. v.193 (Acte 1, scène 3, STUKÉLI)
Il peut ne le pas trouver bon. v.195 (Acte 1, scène 3, MADAME BÉVERLEI)
Il ne m'appartient pas de lui rien reprocher, v.206 (Acte 1, scène 3, JARVIS)
La vôtre, n'est-ce pas la mienne ? v.209 (Acte 1, scène 3, JARVIS)
N'y manquez pas. v.216 (Acte 1, scène 4, MADAME BÉVERLEI)
Je ne crois pas qu'il tarde ; v.217 (Acte 1, scène 4, MADAME BÉVERLEI)
Tout ne répond-il pas de sa fidélité ? v.228 (Acte 1, scène 5, STUKÉLI)
Quel propos, et sur quoi ?... Je ne vous entends pas. v.238 (Acte 1, scène 5, MADAME BÉVERLEI)
Ce que de vous apprendre il n'était pas besoin ; v.255 (Acte 1, scène 5, STUKÉLI)
Et je ne le vois pas d'un oeil bien affermi. v.282 (Acte 1, scène 6, STUKÉLI)
Ce n'est pas ce qu'on dit : on veut que chez Vilson v.291 (Acte 1, scène 7, LEUSON)
Jusqu'ici je n'ai pas une preuve assez claire ; v.321 (Acte 1, scène 9, LEUSON)
Ô du jeu passion fatale ! v.342 (Acte 2, scène 1, BÉVERLEI)
Elle n'était pas bien ; ses larmes me l'ont dit. v.363 (Acte 2, scène 2, JARVIS)
Tu ne sais pas, Jarvis, ce que c'est qu'un joueur ! v.380 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Le jour que je passais loin d'elle, v.390 (Acte 2, scène 2, B?VERLEI)
J'ai passé cette nuit cruelle, v.392 (Acte 2, scène 2, B?VERLEI)
Vous n'avez pas un coeur de pierre ; v.400 (Acte 2, scène 2, JARVIS)
On peut la consoler, elle n'est pas coupable ! v.409 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Ne mets pas la misère entre la tombe et toi... v.435 (Acte 2, scène 2, BÉVERLEI)
Mais ce n'est pas le temps d'être si délicat. v.463 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
Je ne veux pas du moins dans ce malheur extrême, v.467 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
Il faudrait autre chose, et vous n'ignorez pas v.477 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
Je n'en sortirais pas : pour vous j'ai tout vendu : v.480 (Acte 2, scène 3, STUK?LI)
Et qui ne lui manqueront pas. v.512 (Acte 2, scène 3, BÉVERLEI)
Son éclat naturel suffit à ses appas. v.513 (Acte 2, scène 3, B?VERLEI)
Maudire passion !... v.560 (Acte 2, scène 4, HENRIETTE)
Malheureuse !... Elle ne l'est pas, v.596 (Acte 2, scène 5, MADAME BÉVERLEI)
N'allez pas plus avant ; qui l'outrage m'offense... v.614 (Acte 2, scène 6, BÉVERLEI)
Et si Stukéli ne l'est pas, v.629 (Acte 2, scène 7, BÉVERLEI)
Oubliez le passé comme un songe fâcheux, v.642 (Acte 2, scène 7, MADAME BÉVERLEI)
Malgré moi du passé le cruel souvenir v.646 (Acte 2, scène 7, BÉVERLEI)
Il faut agir, et non pas espérer. v.662 (Acte 2, scène 7, BÉVERLEI)
Mon ami ne peut pas attendre : v.665 (Acte 2, scène 7, BÉVERLEI)
Ce coeur n'est pas assez cruel v.681 (Acte 2, scène 9, BÉVERLEI)
Et puisse votre coeur ne s'être pas mépris ! v.699 (Acte 2, scène 9, MADAME BÉVERLEI)
Qu'il n'eût pas exigé, madame, un sacrifice... v.711 (Acte 3, scène 2, STUKÉLI)
Son sort me fait compassion ? v.723 (Acte 3, scène 2, STUKÉLI)
Ce n'est pas pour moi seul que sera le danger. v.774 (Acte 3, scène 2, STUKÉLI)
Vous ne m'écoutez pas ? v.790 (Acte 3, scène 4, HENRIETTE)
Que fut-il ? Un ingrat !... Il ne l'est pas, ma soeur. v.802 (Acte 3, scène 4, MADAME BÉVERLEI)
Ne désirerait pas de se voir dégagé, v.820 (Acte 3, scène 5, LEUSON)
Et si par vos délais je ne dois pas comprendre... v.821 (Acte 3, scène 5, LEUSON)
Vous ne désirez pas que le mien se délie. v.834 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
N'est-ce pas jusqu'au tombeau v.875 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
N'est-ce pas... v.878 (Acte 3, scène 5, HENRIETTE)
Est-il quelque fardeau qui ne soit pas commun ? v.881 (Acte 3, scène 5, LEUSON)
Dans le sein des passions douces v.955 (Acte 3, scène 7, BÉVERLEI)
Je n'ai pas moins que vous d'impatience. v.976 (Acte 3, scène 7, BÉVERLEI)
La fortune, il est vrai, n'est pas toujours cruelle : v.999 (Acte 3, scène 9, STUKÉLI)
Tu n'iras pas, si tu m'en crois : v.1009 (Acte 3, scène 9, STUKÉLI)
Il ne parle pas mieux de toi... v.1011 (Acte 3, scène 9, STUK?LI)
N'y vas pas, Béverlei, permets que je t'arrête. v.1022 (Acte 3, scène 9, STUKÉLI)
N'entrons pas ; demandons Mackinson à la porte. v.1031 (Acte 3, scène 9, BÉVERLEI)
Ma perte n'est pas naturelle. v.1075 (Acte 4, scène 1, BÉVERLEI)
Où porté-je mes pas ?... Ciel ! Dans quel antre sombre v.1094 (Acte 4, scène 2, BÉVERLEI)
L'enfer, hélas, n'était pas loin. v.1107 (Acte 4, scène 2, B?VERLEI)
Il sait bien qu'aisément on ne me fait pas peur. v.1146 (Acte 4, scène 3, LEUSON)
Ce sang-froid de Leuson n'est pas celui d'un lâche ; v.1174 (Acte 4, scène 4, BÉVERLEI)
La misère, l'opprobre est partout sur mes pas : v.1193 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Ce n'est que par un prompt trépas... v.1194 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
Il se parle à lui-même, et ne m'écoute pas... v.1196 (Acte 4, scène 5, JARVIS)
Mais ne reste pas davantage ; v.1205 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Ils passeront, hélas ! Leurs jours à me maudire. v.1216 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
N'entends-je pas des cris funèbres ? v.1220 (Acte 4, scène 5, B?VERLEI)
Je passerai la nuit à dévorer mon coeur... v.1223 (Acte 4, scène 5, BÉVERLEI)
Jarvis ne revient pas... v.1229 (Acte 4, scène 6, MADAME BÉVERLEI)
Un trouble affreux m'agite... Ô ciel ! Conduis mes pas v.1231 (Acte 4, scène 6, MADAME B?VERLEI)
Ô chère et tendre épouse ! Et tu ne me hais pas ? v.1288 (Acte 4, scène 6, BÉVERLEI)
On ne m'y verra pas survivre. v.1292 (Acte 4, scène 7, BÉVERLEI)
Je ne vous quitte pas. v.1301 (Acte 4, scène 7, MADAME BÉVERLEI)
Il ne craint pas que du remords v.1306 (Acte 5, scène 1, JARVIS)
À quelle passion vous vous êtes livré ! v.1313 (Acte 5, scène 1, JARVIS)
D'un repos passager lui prête la douceur. v.1341 (Acte 5, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Si de toi je n'étais pas sûre v.1354 (Acte 5, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Il n'a pas changé de posture ; v.1357 (Acte 5, scène 2, MADAME BÉVERLEI)
Elle n'a pas prévu l'ordre que ru reçois... v.1383 (Acte 5, scène 4, BÉVERLEI)
L'enfer, l'enfer n'a pas de tourments plus affreux !... v.1423 (Acte 5, scène 5, BÉVERLEI)
Qu'il passe sans douleur du sommeil à la mort... v.1456 (Acte 5, scène 5, BÉVERLEI)
Je n'y tiens pas ; tu me désarmes. v.1464 (Acte 5, scène 5, BÉVERLEI)
La misère pourrait n'être pas leur partage, v.1489 (Acte 5, scène 7, BÉVERLEI)
Non, je ne le crois pas ! v.1502 (Acte 5, scène 8, MADAME BÉVERLEI)
Ne l'étends pas du moins sur ma femme et mon fils. v.1522 (Acte 5, scène 8, BÉVERLEI)

LES MOEURS DU TEMPS (1764)

Monsieur_le_Baron, il y a quelque chose là-dessous qui n'est pas naturel ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Mais aussi, Dorante, vous vous y êtes mal pris : vous n'avez pas eu la sorte d'adresse que je vous avais tant recommandée. (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Ne savez-vous pas qu'il faut encore entrer dans tous leurs faibles, applaudir à leurs ridicules, caresser leurs travers ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
On vous les montre, ces vers, qui de Monsieur Géronte ne font pas moins qu'un grand homme, un homme d'état, et vous n'applaudissez pas de toutes vos forces ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Vous ne vous êtes pas mieux conduit vis-à-vis de la Comtesse. (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Il n'y a pas jusqu'à son frère, dont vous vous établissez le protecteur ; et ce qu'il y a de rare, c'est qu'après avoir défendu, vis-à-vis du frère, les gens de mérite et à talents, vous défendez, vis-à-vis de la soeur, les gens de finance ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
On ne peut pas toujours jouer, Monsieur. (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
De ceux qu'on ne connaît pas ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Vous ne vous êtes pas amusé à la bagatelle ; vous avez fait votre chemin ! » (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
La Comtesse n'est pas délicate ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Mais vous ne le croyez pas ? (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Je regrette l'aveuglement où j'étais au commencement de ma passion pour lui. (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Madame, vous surmonterez votre passion : je vous le prédis ; et le Marquis... (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Mais vous, Dorante, ne vous êtes-vous pas, du moins, assuré du coeur de Julie ? (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Je ne vous avais, en vérité, pas vue, Madame ! (Acte 1, scène 2, JULIE)
Vous rêviez si profondément ; et je gagerais bien que ce n'était pas votre livre qui vous faisait rêver ! (Acte 1, scène 2, CIDALISE)
Je ne l'ai pas ouvert... (Acte 1, scène 2, JULIE)
Je ne vous entends pas, madame. (Acte 1, scène 2, JULIE)
De bonne foi, vous ne m'entendez pas ? (Acte 1, scène 2, CIDALISE)
Ma tante et moi nous nous servons de la même langue, et la plupart du temps je ne l'entends pas. (Acte 1, scène 2, JULIE)
J'ai compris cependant qu'elle avait dessein de me faire épouser ce Monsieur_le_Marquis ; et voilà ce qui me faisait rêver quand je ne vous ai pas vue. (Acte 1, scène 2, JULIE)
Non, le coeur ne suit pas la mode ; mais la mode est de se passer du coeur. (Acte 1, scène 2, CIDALISE)
Cet autre coeur ne serait-il pas celui de Dorante ?... (Acte 1, scène 2, CIDALISE)
Madame, pour celui-là, s'il m'épouse, je suis bien sûre que ce ne sera pas comme le Marquis pour ne pas m'aimer ! (Acte 1, scène 2, JULIE)
Le mien n'a jamais osé s'expliquer qu'il n'ait été certain de ne vous pas déplaire... (Acte 1, scène 4, DORANTE)
Mon petit parent, il me semble que tes affaires ne vont pas mal ? (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
J'ai le bonheur de ne pas déplaire à Julie ; mais son père m'a parlé ce matin d'une façon tout-à-fait propre à m'alarmer. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Sais-tu qu'avec le titre suranné de Baron tu as rapporté de ton vieux château une façon de penser tout-à-fait gothique, et qu'il n'y a pas jusqu'aux « espèces » qui te trouveront très ridicule ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Non ; car du bon, du vrai comique, la mode en est passée. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Je t'avertis pourtant, en bon parent, que ce n'est pas là le moyen de réussir, surtout auprès de la Comtesse. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Si vous le connaissez, faites-moi le plaisir de lui bien dire, de ma part, qu'on ne m'ôtera pas impunément ce que j'aime ; et qu'avant de posséder Julie... (Acte 1, scène 6, DORANTE)
Monsieur Dumont, mon intendant : un fripon qui me vend, au poids de l'or, mon propre argent, et qui n'en a pas moins la rage de m'assassiner de mes propres affaires ! (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Monsieur l'honnête-homme, volez-moi, pillez-moi : cela est dans l'ordre ; mais ne m'ennuyez pas de vos remontrances. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Je ne vous en fais pas, moi ; et je crois, cependant, que de nous deux celui qui a le plus droit de me ruiner, ce n'est pas vous, Monsieur Dumont ? (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Ne m'avez-vous pas fait arrêter leurs mémoires ? (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Ils ne savent donc pas que je me sacrifie pour eux, que je me marie !... (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
La chose n'est pas encore sûre ; et, jusqu'à ce qu'elle soit faite, le secret est nécessaire... (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Ce n'est pas là le pis encore : c'est qu'il aura le vertige d'en vouloir être adoré ! (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Ma nièce ne voudrait-elle pas aussi avoir un mari qui l'adorât ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
C'est un enfant ; cela ne sait pas encore les usages. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
N'allez pas l'aimer, au moins ? (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
Je le laisse avec vous, Madame ; il n'est pas à plaindre ! (Acte 1, scène 10, CIDALISE)
Je fus obligée d'en sortir à minuit, et d'aller, avec le Marquis, chercher quelque endroit où passer la soirée. (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
Allez, allez, monsieur, vous n'y pensez pas. (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
Le Marquis est en passe de tout. (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
Ne serait-il pas bien flatteur, pour vous, que votre fille eût le tabouret ? (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
N'allez-vous pas me chicaner sur un mot ? (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
Ne le trouves-tu pas charmant, Finette ? (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
Un enfant novice au monde, qui n'entend rien à l'art de plaire, qui ne se doute pas même qu'il y en ait un ? (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
Avec des gens de sa sorte il ne faut pas que ceux de la vôtre y regardent de si près. (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Il vous met, lui, à portée de briller dans une sphère, qui n'était pas faite pour vous. (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Est-ce qu'en y songeant seulement le coeur ne vous bat pas de joie ?... (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Allons, Finette, venez me passer mon domino. (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Est-ce que le coeur ne vous bat pas de joie, dit-elle ? (Acte 1, scène 16, JULIE)
Mademoiselle, ce n'est pas mon intérêt qui m'anime ; c'est le vôtre. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
Ce marquis ne plaît pas à ma fille... (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Si on ne se rend pas, ce sont des évanouissements, des vapeurs ! (Acte 1, scène 18, G?RONTE)
J'avoue que je ne vise pas au coeur de Julie. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
Le mariage n'est pas fait. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
N'ai-je pas entendu quelque bruit ?... (Acte 1, scène 21, CIDALISE)
Mais je disais qu'elle n'a point encore passé l'âge de la jeunesse. (Acte 1, scène 21, LA COMTESSE)
On vante donc ce qu'on ne connaît pas ? (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
Je ne me sens pas digne de l'honneur d'être ruiné par vous ! (Acte 1, scène 21, GÉRONTE)
Je n'aime pas la danse ; mais je suis si content d'être défait de ce vaurien de Marquis que jamais fête ne m'aura tant diverti !... (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)

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LE MARIAGE DE JULIE (1802)

Madame m'a demandé son miroir, je le lui donne ; et elle se prend à moi de ce qu'elle y voit des traits qui ne sont pas ceux de sa fille. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Tu n'y penses pas, mon enfant : tant pis pour eux s'ils ont de l'humeur. (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Tant pis pour nous : c'est sur leurs gens que se passe l'humeur de leurs maîtres. Entendre toujours crier... (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Il est vrai, mon cher Dumont ; le mariage ne nous a pas guéris de cette maladie, comme ils l'appelaient. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
On fera bientôt celui de la fille de la maison, de mademoiselle Durval : c'est pour cela qu'ils l'ont retirée du couvent : je parierai bien d'avance que ce mariage-là ne sera pas si heureux que le nôtre. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Ils n'ont point d'autre enfant, et elle passe pour la plus riche héritière. (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Je crois qu'elle a en vue, pour notre demoiselle, le Marquis de Saint-Bon, qui depuis hier est à cette maison de campagne avec madame sa mère : on ne dira pas de celui-là qu'il a la physionomie basse : c'est la figure la plus noble, la plus intéressante, et des manières si honnêtes avec tout le monde ! (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Madame dit que là-dessous il y a quelquefois bien de la hauteur : mais je ne crois pas cela du marquis : son air est si franc, si ouvert ! (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Il n'est pas difficile de deviner pour qui doit pencher le coeur de notre jeune maîtresse. (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Je ne puis pas te dire encore si elle aime le marquis, mais je puis bien te répondre qu'elle hait Monsieur Dutour de tout son coeur. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
C'est que tout d'un coup madame pleure comme si elle avait perdu tous ses parents, et on ne sait pas pourquoi... (Acte 1, scène 1, AGATHE)
À peu près : madame se désole de ce qu'elle n'est pas femme de qualité : elle enrage de voir sa soeur comtesse, elle s'en meurt de douleur. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Il est vrai que celle-ci, qui, de son côté, pourtant envie les grands biens de sa soeur, a l'air de la protéger : elle regarde madame du haut de sa grandeur ; et, ce qu'il y a de plaisant, c'est qu'il n'y a pas jusqu'à ses femmes qui dédaignent de faire notre partie. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Je ne sais pas comment cela se fait : on dirait qu'il y a une malédiction sur ces gens riches. (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Je ne voudrais pas de leur ennui ; mais je voudrais bien des belles robes de madame, de ses diamants, de ses dentelles. (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Je ne vois pas ce que la vie a de si plaisant, et surtout pour de pauvres diables comme vous. (Acte 1, scène 2, DURVAL)
N'êtes-vous pas honteux de vous aimer encore ? (Acte 1, scène 2, DURVAL)
Allez, Dumont, allez-vous-en de ma part savoir s'il est jour chez la marquise de Saint-Bon, comment elle a passé la nuit, et si elle n'a besoin de rien ; vous Agathe, dites à ma fille que je veux lui parler. (Acte 1, scène 2, DURVAL)
Non, mon frère : s'il était question d'un pareil sujet, je ne m'en mêlerais pas : celui dont il s'agit, c'est le Marquis de Saint-Bon que vous avez vu ici avec madame sa mère : vous savez qu'il est généralement estimé, que sa façon de penser est au-dessus de sa naissance, qu'il regarde celle-ci comme un avantage dont on ne se prévaut qu'au défaut du mérite personnel, et qu'il ne croit pas qu'aucun homme apporte, en venant au monde, le droit d'en mépriser un autre. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
C'est un merveilleux, un esprit ; et vous savez que ma bête à moi, c'est un homme d'esprit : je n'aime pas ces messieurs-là. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
N'allez pas vous imaginer que je les craigne, au moins. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
En tout cas, mon frère, on ne dira pas que vous avez peur de votre ombre. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Votre marquis, par exemple, ne l'accuse-t-on pas de composer ? (Acte 1, scène 4, DURVAL)
L'accusation est prouvée : il a eu le malheur de faire un excellent ouvrage, et de n'en pas rougir, qui pis est. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Tout ce qu'il vous plaira, mon frère, mais vous ne me ferez pas aimer l'esprit : je ne parle pas de celui qui fait faire fortune : j'en fais grand cas de celui-là, et vous voyez qu'il m'a bien servi. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
C'est de quoi tout le monde ne convient pas. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Mais n'a pas qui veut un cuisinier comme le mien. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
N'allez-vous pas me dire encore : est-ce qu'il y a de la gaieté ? (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Mais, monsieur, qui croyez aux amis, et qui êtes si gai avec deux mille écus de rente, vous ne prétendez pas, apparemment, faire de comparaison avec un homme qui en a cent mille. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Mon frère, ce n'est pas là ce que je vous envie, c'est le pouvoir d'obliger : mais quel usage en faites-vous ? (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Nommez-le comme il vous plaira ; mais je lui connais, moi, une maxime excellente : c'est de ne laisser jamais ses deniers oisifs : aussi a-t-il fallu que je lui prêtasse les cent mille francs qui ont servi à lui faire obtenir ma place ; il ne les avait pas chez lui. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
C'est vous, mon cher oncle, je suis bien charmée de vous voir, je passais chez mon père. (Acte 1, scène 6, JULIE)
N'êtes-vous pas bien contente d'avoir quitté le couvent ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Vous ne parlez pas suivant votre pensée ; à votre âge, le monde est si charmant ! (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Mon père ne me parle jamais de sa femme que pour m'en dire du mal ; ma mère ne me parle jamais de son mari que pour le tourner en ridicule ; la comtesse, ma tante, se moque de tous les deux ; tous les deux disent qu'elle est une impertinente : chacun veut que je dise comme lui ; et parce que je ne veux pas jouer un si vilain rôle, on trouve que je ne suis qu'une petite sotte. (Acte 1, scène 6, JULIE)
Mais ma mère ne cesse de causer ; et, lorsque je suis à pleurer de tout mon coeur, elle a la cruauté d'interrompre mes larmes, en se moquant de moi, ou en me disant que tout cela n'est pas vrai. (Acte 1, scène 6, JULIE)
Au retour, un grand souper si triste, et puis un jeu d'enfer où l'on s'égorge poliment entre amis : passe encore pour des proverbes, quand c'est monsieur Préville qui les joue. (Acte 1, scène 6, JULIE)
J'y étais heureuse et tranquille, et je ne puis, sans soupirer, songer aux doux moments que j'y passais avec une amie... (Acte 1, scène 6, JULIE)
C'est un homme charmant, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Mon père ne m'a-t-il pas défendu d'entretenir le marquis ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Et en pareil cas, ne pensez-vous pas, mon oncle, qu'une fille doit obéir à sa mère de préférence ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Mais, oui ; une fille n'est-elle pas plus particulièrement sous la conduite de sa mère ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Çà, mon oncle, n'ayez donc pas comme cela l'air de vous moquer de votre pauvre nièce. (Acte 1, scène 6, JULIE)
Pour l'amour de cette même parente, ma pauvre nièce se ferait la violence d'épouser le marquis, si on l'en priait bien fort : le malheur est que votre père, qui ne connaît pas cette parente, a en vue un certain Monsieur Dutour... (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Vous auriez moins de peine à aimer le marquis, n'est-il pas vrai ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
N'allez pas me trahir, mon oncle ; vous avez l'air si bon ! (Acte 1, scène 6, JULIE)
La bienséance ne veut pas... (Acte 1, scène 8, JULIE)
Madame votre mère consent que je vous entretienne ; elle me l'a permis, et cet entretien est si essentiel pour vous et pour moi, que j'ose vous prier instamment de vouloir bien ne vous y pas refuser. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Vous n'avez pas oublié, mademoiselle, que j'ai eu plusieurs fois l'honneur de vous voir à votre couvent ; vivement frappé de vos charmes, je ne vous ai laissé voir que mon respect ; je ne me suis pas permis de vous faire connaître des sentiments que vos parents pourraient ne pas approuver : j'ai cru que l'amour, quelque violent qu'il fût, ne pouvait jamais autoriser la séduction. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Pardonnez-moi donc, belle Julie, si j'ose interroger votre coeur, et vous demander, non s'il m'est favorable, je n'ai encore rien fait pour cela ; mais si du moins il ne m'est pas contraire. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Cela ne serait pas naturel. (Acte 1, scène 9, AGATHE)
Si je ne me trompe, cette rougeur n'est pas de mauvais augure pour mon fils... (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
Non, ma mère : je n'ai rien vu qu'on puisse lui comparer ; et si je ne l'obtiens pas... (Acte 1, scène 11, LE MARQUIS)
Vous êtes aussi trop étrange, et il faut qu'une bonne fois je vous dise les travers que vous vous donnez : premièrement, monsieur, vous ne faites pas assez votre cour. (Acte 1, scène 11, LA MARQUISE)
Le temps où je ne vois pas mon maître, je l'emploie à me rendre digne de le servir. (Acte 1, scène 11, LE MARQUIS)
Fort bien ; mais ce n'est pas comme cela qu'on s'avance. (Acte 1, scène 11, LA MARQUISE)
Je ne vois pas, d'ailleurs, ce que vos livres vous apprennent : voyez votre grand cousin, il ne lit jamais ; cependant... (Acte 1, scène 11, LA MARQUISE)
Ce n'est pas par là que je l'estime : je voudrais surtout qu'on n'écrasât personne ; mais du moins, il n'a pas comme vous la manie d'écrire, de composer : un homme de votre nom ! (Acte 1, scène 11, LA MARQUISE)
Soyez si extraordinaire qu'il vous plaira, mais terminons : ces bourgeois m'excèdent, je vous en avertis ; et, si je vous aimais moins, je n'aurais pas eu la complaisance d'aller en grande loge avec Madame Durval, d'être de ses soupers, et surtout de venir à sa campagne. (Acte 1, scène 11, LA MARQUISE)
Oui, elle n'est pas mal ; mais cela se sentira toujours... (Acte 1, scène 11, LA MARQUISE)
Ma mère, ne la formez pas, elle est si bien ! (Acte 1, scène 11, LE MARQUIS)
Je viens de votre appartement, Madame ; je voulais m'informer moi-même comment vous aviez passé la nuit, et si rien ne vous manquait. (Acte 1, scène 12, MADAME DURVAL)
Mademoiselle Durval ne déjeune-t-elle pas, Madame ? (Acte 1, scène 12, LA MARQUISE)
Il faut vous en passer, mon fils. (Acte 1, scène 12, LA MARQUISE)
En effet, on n'est pas mieux que cela : c'est qu'elle est tout votre portrait, Madame. (Acte 1, scène 12, LA MARQUISE)
Si j'en crois mon docteur, il m'incommode aussi ; mais je ne laisse pas d'en prendre. (Acte 1, scène 12, MADAME DURVAL)
Qu'est-ce donc qui s'est passé, madame ? (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Je ne pars pas tranquille. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Je vous avoue, Madame, que ce que je vois me donne aussi à penser : est-ce que notre mariage ne serait pas une chose faite ? (Acte 1, scène 14, LA MARQUISE)
Vous ne doutez pas que je n'en fusse comblée de joie : l'honneur de vous appartenir, le plaisir de faire enrager ma soeur, mille autres raisons... (Acte 1, scène 14, MADAME DURVAL)
Mais mon mari ne pense pas comme moi, et j'ai honte de vous dire que je ne suis pas tout à fait la maîtresse. (Acte 1, scène 14, MADAME DURVAL)
Pas tout à fait la maîtresse ! (Acte 1, scène 14, LA MARQUISE)
Il est vrai : mais Monsieur Durval est un homme qui n'est pas comme les autres. (Acte 1, scène 14, MADAME DURVAL)
Il n'y en devrait point avoir : mais, madame (je suis forcée de vous le dire), Monsieur Durval n'a point d'élévation dans l'âme, il ne respecte que l'argent ; et malheureusement monsieur votre fils n'est pas riche. (Acte 1, scène 14, MADAME DURVAL)
S'il l'était, madame, assurément notre amitié me ferait passer par-dessus certaines raisons ; mais ce n'est pas l'usage, et vous savez... (Acte 1, scène 14, LA MARQUISE)
Épargnez-moi ces raisons, Madame ; encore une fois les difficultés ne vendront pas de moi. (Acte 1, scène 14, MADAME DURVAL)
Je soupçonnerais que vous avez pris ce matin du café, si je ne vous l'avais pas défendu. (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
Ne savez-vous pas, docteur, que les femmes aiment faire ce qu'on leur défend ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Il n'y a pas de mal à cela : ah, ah, ah ! (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
Non, je ne vous le conseille pas ; la saignée vous est contraire. (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
On ne sait que faire à la campagne : la Marquise part ce soir ; je n'aurai demain que des amis de mon mari, des espèces ; je me ferai saigner : n'est-il pas vrai, mon docteur ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Je compte aussi reprendre mes pilules : ne me le conseillez-vous pas ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Ne passez-vous pas un moment chez mon mari ? (Acte 1, scène , MADAME DURVAL)
Je ne le connais pas. (Acte 1, scène , LE DOCTEUR)
Bon, Ne me voilà pas mal ; la comtesse ! (Acte 1, scène 17, MADAME DURVAL)
Il n'y a pas moyen de demeurer avec votre mari : c'est un homme qui n'aime que les gens de sa sorte : je lui avais proposé, pour sa fille, un très grand mariage, le frère d'un homme titré : il m'a refusé, mais très durement. (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
C'est un grand assujettissement, ma soeur, une grande dépendance que celle de la Cour, et je vous plains bien de n'être pas en état de vous en passer. (Acte 1, scène 18, MADAME DURVAL)
Il est vrai que tout le monde ne peut pas tenir une maison. (Acte 1, scène 18, MADAME DURVAL)
Je les verrai une autre fois : je compte même vous les emprunter pour le bal paré qu'il doit y avoir : comme vous ne pouvez pas en être... (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
Quand on n'a pas le bonheur de porter un certain nom, il faut avoir de tout cela : avec de l'argent chacun peut se contenter ; car tout est si confondu ! (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
Pas si confondu. (Acte 1, scène 18, MADAME DURVAL)
Il y a peu de gens qui puissent atteindre à de certaines choses, par exemple, je suis en marché d'un bijou unique : la princesse Amélie l'a trouvé trop cher ; mais j'en ai la fantaisie, et je la passerai. (Acte 1, scène 18, MADAME DURVAL)
N'as-tu pas vu sortir la comtesse ? (Acte 1, scène 19, MADAME DURVAL)
Elle n'a pas le sou, et elle est d'une impertinence ! (Acte 1, scène 19, MADAME DURVAL)
Qu'est-ce qu'un grand nom, quand on n'a pas de quoi le soutenir ? (Acte 1, scène 19, AGATHE)
Madame n'y pense pas. (Acte 1, scène 19, AGATHE)
Qu'elle considère que la comtesse ne sera jamais riche comme elle ; et qui sait si Madame ne deviendra pas comtesse ? (Acte 1, scène 19, AGATHE)
Je ne souhaite pas qu'elles arrivent, ma pauvre Agathe, je ne le souhaite pas ; et, grâce au ciel, mon mari est d'une santé... (Acte 1, scène 19, MADAME DURVAL)
Le meilleur est celui où l'on se repend le moins ; mais ce n'est pas le nôtre, vous y mettez bon ordre. (Acte 1, scène 21, DURVAL)
En effet, j'ai grand tort de vouloir que ma fille, avec le bien qu'elle aura, n'épouse pas un Monsieur Dutour, un petit homme tout bouffi de la morgue financière, qui n'estime et n'aime que l'argent ! (Acte 1, scène 21, MADAME DURVAL)
Ce mariage-là n'est pas fait ; et puis le docteur m'a dit des choses de monsieur Dutour ! (Acte 1, scène 21, MADAME DURVAL)
Je ne puis pas bien vous dire ce que c'était, il ne le savait pas trop lui-même... (Acte 1, scène 21, MADAME DURVAL)
Mon père, vous aimez votre fille, vous ne voulez pas son malheur, vous ne pouvez pas le vouloir ; et vous le feriez infailliblement en me donnant un époux que je ne pourrais aimer. (Acte 1, scène 22, JULIE)
Point du tout : les parents de la demoiselle l'ont surpris avec elle hier au soir ; et, comme on lui a proposé une façon de sortir qui n'était pas de son goût, il a déclaré le mariage. (Acte 1, scène 23, DE SURMON)
Pourquoi, d'ailleurs, aurait-il épousé Lucile qu'on sait d'humeur à ne pas désespérer les gens ? (Acte 1, scène 23, DURVAL)
Parce que, quoi que vous en pensiez, les sots ne se contentent pas de dire des sottises, et que très souvent ils en font. (Acte 1, scène 23, DE SURMON)
Mon frère ne la veut pas croire. (Acte 1, scène , DE SURMON)
Mon frère, vous voyez le procédé de monsieur le marquis, et je ne doute pas que, dans cette occasion, vous ne fassiez ce que l'honneur exige... (Acte 1, scène , DE SURMON)
Monsieur, je devine à peu près ce qui se passe en vous ; mais encore une fois, agissez librement et sans crainte : je vous engage ma parole, que, quelque parti que vous preniez... (Acte 1, scène , LE MARQUIS)
Monsieur, il est pris : je vous avoue que mon dessein n'était pas de donner ma fille à un homme de qualité : les exemples me faisaient peur, votre procédé généreux me rassure. (Acte 1, scène , DURVAL)
Quel que soit le motif qui vous détermine, monsieur, je n'aurai pas le courage de pousser la générosité plus loin. (Acte 1, scène , LE MARQUIS)
Mon frère, vous voyez que j'avais raison de vous dire qu'on n'en vaut pas toujours mieux pour être un sot. (Acte 1, scène , DE SURMON)
Croyez-moi, pour être honnête, il faut être éclairé ; quoique, pour être éclairé, on ne soit pas toujours honnête. (Acte 1, scène , DE SURMON)

Dans les 1907 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 386 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 77,20 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	L'ANGLOMANE	1	0	0	0	0	1
2	L'ANGLOMANE	55	0	0	0	0	55
3	AMÉNOPHIS	14	9	9	16	6	54
4	BÉVERLEI	28	24	18	17	12	99
5	LES MOEURS DU TEMPS	64	0	0	0	0	64
6	LE MARIAGE DE JULIE	113	0	0	0	0	113
	Total	275	33	27	33	18	386