Occurences de l'expression
ai
pour SCHELANDRE, Jean de
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
TYR et SYDON (1628)
- Ô le plus inhumain de la race divine, v.1 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Vrai fils de Tisiphone, adopté de Cyprine, v.2 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Sentirai-je tes feux, tes gênes et tes fers ? v.8 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Pourquoi repousses-tu mes prières plus saintes ? v.9 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Es-tu, comme sans yeux, sans oreilles aux plaintes ? v.10 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Tu n'es pas un vrai Dieu, rigoureux Cupidon. v.12 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Depuis que par mes yeux un éclair de ton foudre v.13 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mit en braise mon coeur, mes chastes voeux en poudre, v.14 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Comment trainé-je encor mes membres sur la terre ? v.18 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Et comment s'est-il fait qu'un tel torrent de pleurs v.19 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- D'un cours continuel n'ait tari mes humeurs ? v.20 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Qu'un brasier tant couvé ne m'ait réduite en cendre ? v.21 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Que parmi tant de morts la mort ne m'ait su prendre ? v.22 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Fut-il jamais au monde une fille de roi, v.23 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Moi de qui les beaux yeux échauffaient de leurs flammes v.25 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- D'un trésor où l'amour assemblait ses attraits, v.31 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Une butte ordinaire où se plantent ses traits. v.32 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Provient d'un caillou froid qui ne tient rien de l'homme. v.42 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Car même elle défend la plainte à mes langueurs. v.44 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Lorsque mon coeur, poussé de mouvements soudains, v.47 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Prépare des discours pour fléchir ses dédains v.48 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Ma langue à mon palais, immobile, se colle : v.50 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mais, inhumain qu'il est, aveugle volontaire, v.53 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Il ne veut pas me voir d'un regard salutaire. v.54 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mon oeil est (je le sais) d'un autre oeil prévenu, v.56 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Ma soeur, ma soeur me nuit, et moins que moi craintive v.57 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Crève-coeur non pareil ! Celle qui me devrait v.59 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Oui, je n'en doute plus, il serait ébranlé v.63 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Si tes attraits larrons ne m'avaient devancée. v.66 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mais, deussé-je, appelant tout secours le plus prompt, v.67 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Et tout ce que d'affreux l'enfer conçut jamais, v.75 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Je vous ferai la guerre en me donnant la paix. v.76 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Le nouveau sur le vieil, mais que tout il déplante v.78 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Et, quand tous ces efforts ne m'aideraient à rien, v.80 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Plutôt par un poison je me verrai vengée v.81 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Qu'être toujours plaignante et jamais soulagée. v.82 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Ce naturel accort, cette douceur aimée, v.85 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Remets, remets ton sens en sa propre maison ; v.87 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Écarte les vapeurs qui troublent ta raison, v.88 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Et pour de Méliane un sain jugement rendre, v.89 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Cyprine, par ses lois, a permis de saisir v.91 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Déjà les roussins noirs qui trainent la charrette v.105 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- De l'ennuyeuse nuit espéraient leur retraite, v.106 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Et, sentant de leur train les trois quarts mesurés, v.107 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Courraient à chef baissé droit aux flots désirés ; v.108 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Déjà la fraîche main du vigilant phosphore v.109 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Commençait à blanchir le portail de l'aurore ; v.110 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mon front était à sec ; mes yeux, étant marris v.111 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- S'étaient laissez coller l'une et l'autre paupière, v.114 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Non pas d'un vrai dormir, doux frère d'Atropos v.115 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mais d'un léger sommeil interrompu de masques, v.117 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Étant, me semblait-il, loin du bruit soucieux, v.119 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Chantants à qui mieux mieux quelques airs d'amourettes. v.122 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Un cerf à l'impourvu, d'un pas gaiment doux, v.123 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Sortant d'un bois prochain, s'est avancé vers nous ; v.124 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Sa ramure était d'or, d'or la forte chaussure v.125 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Qui de ses pieds légers marquait l'assiette sûre ; v.126 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Sur qui deux yeux hagards semblaient faire le guet ; v.128 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Son poil était plus blanc que les floquets de laine v.129 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Qui tombent en janvier des nuaux sur la plaine, v.130 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Ses membres bien replets ; bref, il était si beau v.131 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Pour ses chastes ébats en serait idolâtre. v.133 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Il aborde sans crainte, et d'un geste folâtre v.134 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Fait caresse à ma soeur d'un muffle incarnatin, v.135 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Baisant ses mains, ses yeux, sa bouche et son tétin ; v.136 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- J'en voulais faire autant ; il recule farouche : v.141 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Qui me rendait déjà ma germaine odieuse, v.146 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- J'y cours, et lui s'enfuit ; mais, talonné de près, v.151 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Peureux, il lâche prise et me quitte son faix : v.152 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Après avoir longtemps, sans crainte des dangers v.156 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Son poitrail s'épaissit de longue chevelure, v.161 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Déjà d'un saut agile me tenait attrapée ; v.169 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- De si soudaine peur ma pauvre âme frappée v.170 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Si jamais un amant, tout content de sa dame, v.177 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Ce digne enfant de Mars, qui n'est jamais sévère v.181 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- N'est jamais importune aux amants qu'il avoue, v.186 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Le plus beau, le plus fort, et le plus craint des Dieux. v.188 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Me serait trop d'honneur en tout événement : v.192 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- ( L'objet le plus parfait que le soleil contemple ) v.194 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Engravé dans mon sein, d'un trait noble et doré, v.195 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Le céleste portrait au naturel tiré ; v.196 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Me dire autant aimé que je suis amoureux. v.200 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Mais je serai bientôt pleinement triomphant, v.204 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Fait que de ce côté toute crainte me cesse : v.206 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Puis, quelque dur traité qu'on m'y veuille apporter, v.207 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- J'irai la carte blanche au père présenter : v.208 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Voici ma Meliane, ah ! Quel essaim d'attraits ! v.211 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- J'entendrai de ce coin toute leur conférence. v.214 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Non, non, ne craignez pas, ma mère, que mon feu v.215 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- J'aime, mais sans hasard de voir abandonnée v.217 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Ne vous offensez pas, Madame, si je crains v.219 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Que ce joyau si cher vous échappe des mains : v.220 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Après l'avoir lâché, la repentance est vaine. v.221 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Or, bien que vous n'ayez, comme votre germaine v.222 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Abouché mon tétin, je vous ai toutefois v.223 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Pour cela je vous aime, et peut-être plus qu'elle, v.226 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Je sais que c'est de nous et sais que c'est des hommes, v.229 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Mais leur cupidité souvent est supprimée v.233 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Ainsi de nos faveurs, dont ils brûlent d'envie, v.237 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Mais, comme vous voyez que dans la grande masse v.241 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- D'un antique palais, une seule crevasse v.242 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Croissante avec le temps, le fait tendre au déclin, v.243 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Fait brèche irréparable et le renverse enfin, v.244 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Mine l'âme fragile et la chair chatouilleuse, v.246 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Pour un chaste baiser, v.247 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- Je ne le pourrais pas ni dois le refuser : v.248 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- C'est où je vous attends ; je sais trop comme vient v.252 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Du baiser le toucher, du toucher autre chose. v.253 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Autre but qu'un baiser Belcar ne se propose. v.254 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- C'est un essai friand qui fait croître la faim. v.255 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Mais sa modeste humeur, n'est-ce pas un bon frein ? v.256 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- Comment s'abstiendrait-il, ne le pouvant vous-même ? v.257 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Pourrai-je à moins de frais témoigner que je l'aime ? v.258 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- La fille plus que l'homme appette ce plaisir. v.259 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- La fille mieux que l'homme apaise un tel désir. v.260 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- Tous deux sont maitrisés de naturelle rage. v.261 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Toutes sont d'une chair sujette à caution. v.263 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- Moi-même, décrépite, ai cette passion, v.264 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Et comment la jeunesse en serait-elle exempte ? v.265 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Consentirait au mal (la prenant sur le vert), v.267 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Par moi, je parle ainsi, car seule d'entre tous v.272 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- J'ai reçu et caché vos secrets en fiance, v.273 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Espérant voir la paix naître en votre alliance. v.274 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Pour ce vous ai-je aidé. v.275 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Voulez-vous au besoin vos bienfaits retenir ? v.276 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- J'aurais perdu mes pas, v.279 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Puisque j'ai commencé, si je n'achevais pas. v.280 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Je m'en vais le trouver, mais gardez la barrière. v.281 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Ah ! Ce n'est pas du ciel, mais de votre largesse, v.285 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Que j'attends mes plaisirs, ma gloire et ma richesse ; v.286 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Si mes faveurs avaient pour vous cette puissance, v.289 (Acte 1, scène 4, MÉLIANE)
- Tous vos souhaits seraient en votre obéissance ; v.290 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Que demandez-vous plus, mon cher coeur ? Je vous aime, v.293 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Je vous aime surtout, je dis plus que moi-même. v.294 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Qui, dans le vert naissant des nouvelles ramées, v.298 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Prêtez à mon souci votre gai coloris v.304 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Qu'entre mille baisers notre haleine s'allie. v.310 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Retranchons ce plaisir, quoi qu'il nous soit licite, v.313 (Acte 1, scène 4, MÉLIANE)
- Craignant que plus avant notre amour il n'incite. v.314 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Si ce refus, Madame, était de votre crû v.315 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Je le supporterais comme un léger supplice v.317 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- ( Car je mériterais d'être plus maltraité v.319 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Si je n'avais pour moi votre excès de bonté, ) v.320 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Ce rebut est donc juste, et celle qui le fait. v.323 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Mais, sachant quelle cause a produit cet effet, v.324 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Quel homme ne serait estimé trop souffrant v.327 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- S'il ne se courrouçait, telle injure s'offrant ? v.328 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Le présage en soit faux ! Mais j'ai crainte qu'un jour v.331 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Ce squelette vivant nous face un mauvais tour. v.332 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- On se devrait servir d'une femme en tel age v.333 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Non pour un chaste hymen, mais pour maquerellage : v.334 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Car, si le vice même avoit forme de chair, v.335 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- En ceste affreuse vieille on le pourrait cercher. v.336 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- A bien quelque raison, mais n'a pas grand crédit, v.340 (Acte 1, scène 4, MÉLIANE)
- Faites la mienne aussi, mon coeur, apaisez-vous. v.343 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Ô baisers ravissants, non moins puissants que doux ? v.344 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Mars, si vous l'assailliez au plus chaud de la guerre, v.345 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Jetterait sa colère et ses armes à terre ; v.346 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Vos charmes sont si forts qu'ils pourraient arrêter v.347 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Un trait demi-lâché du bras de Jupiter. v.348 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Me balançait en doute, est failli maintenant ; v.352 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- J'ai vu (las ! J'ai trop vu) cette maudite paire v.353 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Se flatter librement d'une voix haute et claire v.354 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Et s'entre-mignarder de baisers amoureux : v.355 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Que ferai-je, pauvrette ? Où prendrai-je la voie v.357 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Car pourrais-je encor vivre avec cette infamie v.362 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Qu'ai-je aperçu, bons dieux ? Une fille sans crainte v.365 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Baiser son Adonis entre ses bras éteinte ! v.366 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Quoi ? Si je voulais être à vous nuire aussi prompte, v.369 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Comme de mes soucis vous faites peu de compte, v.370 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ha ! Que je pourrai bien, malavisés amants, v.371 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- En décelant au roi (ce que je devrais faire) v.373 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Votre amour clandestine aux lois d'honneur contraire : v.374 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Mais folle, hélas ! Je crains de perdre quant et toi v.375 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Mon ennemi, que j'aime autant et plus que moi, v.376 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Car j'ouvrirais mon flanc d'une lame pointue, v.378 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Je m'étreindrais le col d'un funeste cordeau, v.379 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Je sauterais d'un roc en un abîme d'eau, v.380 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ô que l'on dit bien vrai ! Fortune vient aider v.383 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ne départit jamais ses faveurs à la honte : v.386 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Qui sait si de ce pas, mes larmes essuyant, v.387 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Captivaient et forçaient par leurs appas vainqueurs, v.391 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Je lui faisais sentir les désirs de mon âme, v.394 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Même en le suppliant, il serait si cruel v.395 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Que de me refuser un plaisir mutuel ? v.396 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- « L'homme en toute sa vie aime le changement. » v.399 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Montre ta fin prochaine. Et quoi ! Sur un peut-être, v.401 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Voudrais-tu bien trahir ton honneur, ton bon maître ? v.402 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- « L'homme cherche toujours ce qu'il voit malaisé ; v.403 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- L'offre d'un bien sans peine en fait perdre l'envie. » v.405 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Las ! Que ferai-je donc ? Puisque toute ma vie v.406 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Pourquoi tout d'un beau coup ne me fais-je mourir ? v.408 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Que si jamais vous plut quelque mien sacrifice, v.413 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Quoi ? Mon cher nourrisson, d'où vous nait ce vouloir v.415 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- De me celer le mal qui vous fait tant douloir, v.416 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Vous ayant tant de fois sur vos plaintes enquise ? v.417 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qui n'ai pas plus que vous conservé mes prunelles, v.422 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Du support maternel, vous laissant orpheline ? v.425 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qu'est-ce qui vous éteint tous les éclairs de l'oeil ? v.427 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Et qui vous fait déchoir comme neige au soleil ? v.428 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qui défigure ainsi les grâces plus naïves v.429 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Des traits de ce visage et ses couleurs plus vives ? v.430 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Las ! Quand je l'aurai dit, quel soulas en aurai-je ? v.433 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Mais le mal découvert est demi-consolé. v.440 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- C'est mon frère enlevé d'une main violente ; v.442 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- C'était tout mon support, las ! Ne puis-je savoir v.443 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ô la belle défaite ! Ô que vous êtes fine ! v.445 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ne le nierez-vous pas si le vrai je devine ? v.446 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- C'est ce petit garçon qui blessait sans pitié v.448 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- N'ai-je pas bien atteint ? Quelque beau cavalier v.451 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- A fait ce qu'avant lui n'avaient fait un millier. v.452 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Pour vous donner secours j'ai le savoir et l'âge ; v.454 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Servez-vous donc de moi, souvent en un tel fait v.455 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais si ne faut-il pas qu'une fille bien née v.457 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Il faut bien reconnaître avant de bien aimer, v.459 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Je ne connais point d'homme assez grand, assez brave, v.461 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- N'abaissez point la tête où vous avez le pied. v.463 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- J'ai fait élection d'une valeur si grande, v.466 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Je vous découvrirai toute ma maladie. v.470 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Par les traits enflammés que le ciel se fendant v.471 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Fait fondre sur la terre en sifflant et grondant, v.472 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Et si dans l'univers il est rien de plus craint, v.476 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- La douce et franche humeur pleine de complaisance, v.482 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Vous me surprenez donc ! Que serait devenu v.487 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ici plus que jamais, petit bâtard de Gnide, v.489 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- N'est-il point assez beau pour se faire chérir ? v.491 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Il ne l'est que par trop pour vous faire périr. v.492 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qui le rendrait contraire à mon contentement ? v.495 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Qui vous rendait jadis contraire à tout amant ? v.496 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais il est trop courtois pour être inexorable. v.497 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Est-ce aimer follement que d'aimer son pareil ? v.499 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- C'est aimer follement que d'aimer sans conseil. v.500 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Pour voir ce qui m'est bon n'ai-je pas assez d'âge ? v.501 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Il doit avec raison souscrire à mon désir. v.503 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- C'est à vous d'approuver, mais à lui de choisir. v.504 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Je voudrais lier Mars des noeuds de son enfant. v.507 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Le Roi ne veut la paix qu'en vainqueur triomphant. v.508 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Las ! J'aime, qu'y ferai-je ? v.509 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Amour est si puissant que son arc souverain v.511 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Pourrait même enfoncer des murailles d'airain. v.512 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Amour n'est qu'un enfant de qui la main peu forte v.513 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Les nymphes ne sont pas, sous les raides glaçons, v.520 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- En vain, nourrice, en vain vos conseils bien donnéz v.523 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Et c'est en cela seul que j'implore votre aide. v.530 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Non le courroux du Roi, qui viendrait m'accabler, v.531 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Non l'effet, qui pourrait difficile sembler, v.532 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais votre saint honneur, dont je serai meurtrière, v.533 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- « Faire et jurer le mal, c'est pêcher doublement. » v.536 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Or sus, tant de raisons ont vaincu ma folie. v.537 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Que sur ma chasteté l'amour ait eu crédit. v.540 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Non, non, je le dépite et sais le seul asile v.541 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- J'ai ce fer protecteur, qui, bravant son pouvoir, v.543 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Laissez-moi faire. v.545 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Vous me fâchez ; pensez-vous me distraire ? v.546 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Vous me romprez les mains v.547 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ou je vous l'ôterai. v.548 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Quoi ! Que mes doigts contraints v.548 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Tous humains désireux de vaincre leurs ennuis. v.556 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Je n'eusse jamais cru que telle frénésie v.557 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Eut d'un si bel esprit blessé la fantaisie. v.558 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Las ! Madame, vivez ; j'aime mieux offenser v.559 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Laissez-m'en le souci, mettez-vous à délivre v.569 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Rallumez les éclairs de votre oeil foudroyant, v.572 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Travaillez donc, ma mère, et ne présumez point v.575 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- De vaincre par le temps la fureur qui me point. v.576 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Qui te peut amoindrir la charge malaisée, v.577 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais, toute insupportable à ton dos imposée, v.578 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Bâtirai-je un complot pitoyable et cruel v.587 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Pour frauder les plaisirs et l'amour mutuel v.588 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ils s'assurent à moi, leur serai-je traîtresse ? v.590 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais las ! Mettrai-je aussi Cassandre à nonchaloir ? v.591 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ma plante, que toujours j'ai fait croître et valoir, v.592 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Elle a reçu ma foi, lui serai-je parjure ? v.594 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ne souffrira jamais qu'un autre objet le tente. v.598 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Et même avec quel front le pourrai-je aborder ? v.599 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais voir mon nourrisson dans telle extrémité, v.604 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Quoi qu'il puisse arriver, j'oublierai tout devoir v.607 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Tâcherai d'apaiser le tourment qui l'afflige. v.609 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- C'est où le naturel par contrainte m'oblige. v.610 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ne laisse en ton cerveau tendon, veine ou recoin v.615 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Monstre que ta toison n'est pas ainsi chenue v.617 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Or donc, si je faisais... mais non... toutefois, si... v.619 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Cela n'irait pas bien ; serait-il mieux ainsi ? v.620 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Le danger en est grand, faisons donc d'autre sorte ; v.621 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- À mon premier avis la raison me remporte : v.622 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Il est bon, c'en est fait, il y faut travailler, v.623 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Je vais tout maintenant ce prince conseiller v.624 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Avec tant d'artifice et de raisons plausibles, v.625 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qu'il aidera lui-même à mes complots nuisibles. v.626 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- De voir par représailles accabler son garant, v.632 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Notre maistre Belcar, notre unique espérance. v.633 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Le doute de son fait entretient sa pensée. v.638 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Deux talents assurés de salaire il tiendra v.644 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Allons, je le connais ; j'ai remarqué la sorte v.645 (Acte 2, scène 1, SOLDAT)
- Dont il était vêtu passant à cette porte. v.646 (Acte 2, scène 1, SOLDAT)
- J'ai peur qu'un repentir suivra mon attentat. v.648 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Mon maraud de valet fait bien longue demeure ; v.649 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Il n'avait de chemin que pour le cours d'une heure, v.650 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Je crains d'être pipé par mes tireurs de laine : v.654 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Car j'ai mis mon argent sur la foi d'un soldat, v.655 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Pour me faire sans gage une obole lâcher. v.660 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Malheureux que je suis ! Que sais-je si ce drôle, v.661 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Découvert mon fourchon que l'on ne voyait pas, v.664 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Prenant du Tyrien des plus certaines offres v.665 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Dieux ! Que ferais-je alors ? Je quitterai Sidon v.667 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Et mettrai sur les flots ma vie à l'abandon : v.668 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Qu'alors que dans son nid il sait qu'on a ponnu, v.671 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Jamais aucun butin de si notable somme v.674 (Acte 2, scène , SOLDATS)
- Nous donner du bon temps, plus aises que le Roi. v.676 (Acte 2, scène , SOLDATS)
- J'ai quitté le pavé : je me vais mettre à l'ombre, v.677 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Prenant pour mon repos ce buisson frais et sombre, v.678 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- D'où sans être aperçu je verrai les passants. v.679 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Mais comment pouvons-nous l'avoir perdu de vue ? v.681 (Acte 2, scène 3, SOLDATS)
- Qui paraît à main gauche. Il faut bien qu'il soit là. v.683 (Acte 2, scène 3, SOLDATS)
- L'haleine me défaut. Ah ! Je m'en vais mourir. v.688 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Vous ferez peu de gain, car je suis un pauvre homme. v.693 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Ce n'est pas pour ton or que nous te contraignons : v.695 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Pour qui me prenez-vous, messieurs ? J'en serai plainte. v.697 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Qui ne te connaîtrait ! Je me fâche, à la fin. v.699 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Nous te garrotterons si tu fais plus le fin. v.700 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Avant l'extrémité tu devais être sage. v.701 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- De grâce, mes amis, eh ! Faites-moi passage ! v.702 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Bien, le voilà tout fait, le passage à Sidon. v.703 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Tout ce que j'ai vaillant, je le baille en pur don, v.704 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Chaines d'or, diamants. v.705 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Encor deux fois autant quand j'aurai délivrance. v.706 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Penses-tu, vieil bouquin, médaille de Vulcan, v.707 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Qui pourrait approuver qu'un vieillard refroidi, v.715 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Combattait en sa place aux amoureux alarmes, v.717 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Traitât son lieutenant à la rigueur des armes ? v.718 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Déjà l'air amoureux a réchauffé le germe v.721 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Déjà des aquilons les zéphyrs sont vainqueurs v.723 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Lui rendant l'habit vert que la mort des saisons v.727 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Avait caché trois mois au coin de ses tisons ; v.728 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Caressent à l'envi les naissantes feuillées, v.730 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Donc, qui me tient encor que je ne fais sortir v.735 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Pourquoi mille sapins sur les plaines salées v.737 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Que tarde l'airain creux, que de sons éclatants v.747 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Qui frétillent des mains, désireux de reprendre v.749 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- En trêve languissante avec honte me laisse ? v.754 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Non ! Non ! D'un froid hiver je n'ai rien que le teint. v.755 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Ait sillonné mon front et ma taille courbée, v.758 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- On ne verra jamais mon courage envieilli, v.759 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Ni l'amour de Bellone en mon âme failli. v.760 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Leurs âmes sont d'en haut et paraissent royales, v.765 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Faire les hommes rois, et les rois demi-dieux. v.772 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Par là sont parvenus en gloire surhumaine v.773 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Que sa force empêchait de voir sa ville en proie, v.778 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Qui ne craignait manquer sinon de résistants, v.780 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- N'ont-ils point par le choc de sanglantes batailles v.781 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Remparé leur renom d'imprenables murailles, v.782 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Même j'oserai dire, ô fils aîné de Rhée, v.785 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Que ta main souveraine est bien plus révérée v.786 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Furent vaincus par toi, fièrement combattant, v.788 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Qu'alors que seulement ta force était connue v.789 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Pour avoir en suspens la chaine retenue v.790 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Endurcissant les corps, aiguisant les esprits. v.796 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Va doncques, mon Phulter, faire croître nos troupes ; v.797 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- J'ai dit à l'amiral qu'il équipe les poupes, v.798 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Malheureux, qui devrais pour une telle perte v.805 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Je pourrai, le sachant, vous être secourable. v.813 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Qui sait plutôt son mal est plutôt consolé. v.815 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Feignez-vous le plus grand que vous auriez peu craindre. v.818 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Jupiter, quelle plaie ! v.821 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Elle n'est que trop vraie. v.822 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Las ! Que n'était cillé d'un sommeil éternel v.823 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Thamys, j'ai vu périr entre les mains des traîtres v.825 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Le premier des vaillants et le meilleur des maîtres. v.826 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Mais, n'ayant peu mourir pour lui ni quand et lui, v.827 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Alcide tutélaire, où dormait votre soin ? v.839 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Que vous plaindrez ce chef qui servait à la charge v.841 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- D'exemple et de conduite, en retraite de targe ! v.842 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Las ! Que j'ai peur de voir ton courage abattu v.844 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Jamais son coeur altier, s'élevant comme à bonds, v.847 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Je crois déjà le voir, tout ainsi que malades v.849 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Au moins si quelque ami me voulait obliger ! v.855 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Aucun ne le peut mieux que vous, mon capitaine, v.857 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Car, encor que du fait mon âme soit bien nette, v.861 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- J'ai peur que sur moi seul tout le tort il rejette. v.862 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Mais je vous servirai puisque je l'ai promis. v.864 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Quelqu'un sur ce discours pourrait nous rencontrer : v.867 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Je ne fais rien que perdre et ma ruse et mon temps : v.869 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- De vrai, j'ai bien tiré du prince une promesse v.871 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Mais elle a l'esprit fort, car jamais je n'ai su v.873 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Faire qu'elle ait de lui quelque ombrage conçu. v.874 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- C'est pourquoi je les quitte, et désormais n'espère, v.875 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- En faveur de Cassandre, autre aide que son père, v.876 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Puis, quand c'en sera fait, Cassandre étant contente, v.887 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Pour un simple baiser s'est donné du souci v.898 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- De convier ma belle au plaisir illicite, v.900 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Jusqu'à me protester que si je ne le fais v.901 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Or je sais que d'abord Méliane, prudente, v.903 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Mais quoi ? Je sais d'ailleurs l'empire dangereux v.905 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Puis, en tout cas, j'aurai pour mon dernier ressort, v.909 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Elle m'a, toutefois, fait jurer de m'en taire ; v.911 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Mais les amants n'ont point de serment volontaire, v.912 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Je vois bien que je tente une mauvaise voie ; v.915 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Mais, pour n'être battu, je parlerai si doux v.917 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Me veut persuader, sur quelque faible indice, v.920 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Mais pour en faire épreuve il le faut embraser. v.922 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Quels propos sont-ce là ? Rencontre bien plaisante ! v.923 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Que ferai-je ? v.926 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Ah ! Mon prince ! Et qui vous pensait là ? v.926 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Je demande une grâce à la main souveraine v.928 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Je serai bien-disant si j'étais un moqueur ; v.933 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Mais quand ma langue est faible, elle parle du coeur. v.934 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- (J'ai le poignard tout prêt), d'abolir ou permettre v.939 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Un crime capital que je m'en vais commettre. v.940 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Tout mal fait se pardonne entre les bons amis, v.941 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Mais un crime non fait ne peut être permis. v.942 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- J'aurai donc le pardon quand j'aurai fait l'offence ? v.943 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Voudriez-vous à la mort sans contrainte courir ? v.946 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Non, non, j'y suis contraint, car ma douleur trop forte v.947 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Pour mourir ou guérir à cet essai me porte. v.948 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- D'un périlleux essai souvent on se repent. v.949 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Pour tout perdre en un coup, de vrai, c'est trop attendre. v.952 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Que tous les feux du ciel qui me virent naissant), v.954 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Je l'ai déjà donné : que puis-je plus offrir ? v.958 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Quand l'amour n'est pas fort, l'honneur maintient son être ; v.959 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Mais c'est une chimère, amour étant le maître. v.960 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Faites-vous tant d'état d'une action brutale ? v.963 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- De fruit hors de saison nul ne se doit pourvoir. v.965 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Ce fruit est en saison quand on le peut avoir. v.966 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Ce qu'on tient en la main ne peut être égaré. v.970 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Tu me fais rude guerre ! Eh ! Penses-tu, mon coeur, v.973 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Mais, las ! S'il avenait (comme on voit que fortune v.975 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Ne laisse rien de ferme au dessous de la lune) v.976 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Où serait mon asile en la terre habitable ? v.980 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Assurez-vous, rien ne peut désormais v.981 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- S'opposer à l'accord qui nous lie à jamais, v.982 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Car avant que demain la nuit, pliant ses voiles, v.983 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Pour joindre un mariage à la paix de durée. v.987 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- En aurait fait refus, ce que je t'ay promis v.989 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Te serait conservé, malgré tes ennemis. v.990 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- La scie et le rasoir sur la nouvelle plaie, v.992 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Mais applique premiers ses remèdes plus lents ; v.993 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Ainsi tout hasarder sans besoin, c'est folie. v.995 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Par tes yeux et les miens, clairs miroirs de nos flammes, v.999 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Ce que je voudrais bien mais je n'ose accorder. v.1002 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Le pilote à son gré fait sa barque mouvoir, v.1005 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Mais les mauvais tireurs sont sujets au rebut. v.1010 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Contre toute divine et toute humaine loi, v.1018 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Massacré mon Léonte, et ta main déloyale v.1019 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Ô ciel, vis-tu jamais un plus perfide tour ? v.1021 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- N'en as-tu point rougi ? Souverain fils de Rhée, v.1023 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Que n'engloutissais-tu, roi de l'ombreux Tenare, v.1027 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- N'esclaircissait mon sang ! J'en mourrais enragé. v.1030 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Peut t'avoir fait haïr une humeur tant aimable ? v.1032 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Ce qui plaisait à tous à toi seul déplaisait. v.1037 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Tu le craignais, couard ! Sa valeur te nuisait ; v.1038 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Mais dans bien peu de jours j'espère que ta fraude v.1039 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Faites une vengeance aussi forte que prompte, v.1043 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Quand ils pourraient toucher, enclos de toutes parts, v.1045 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Du forestier Liban, qui, par ondes soudaines, v.1051 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Arrache, emporte, noie, arbres, rochers et plaines. v.1052 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Et cependant, Phulter, n'auroi-je pas raison v.1053 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- L'offensé se fait tort en usant de remise. v.1056 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Puisqu'il est en vos mains, sans hasard d'evader, v.1061 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Et tirer la raison courageuse et publique v.1063 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Vous ai-je fait refus ? v.1065 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Je marche à front levé ; ne me contraignez plus. v.1066 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- En serais-je lié, puisque lui s'en exempte ? v.1071 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Ayant perdu mon fils, encore ai-je le tort ? v.1073 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Que ne le gardait-on, puisqu'on l'avait en gage ? v.1075 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Mettre un homme en franchise, est-ce lui faire v.1076 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Belcar, je n'use plus de raisons contre vous : v.1077 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Plus j'entends de discours, plus s'aigrit mon courroux. v.1078 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Il est vrai qu'un courroux aveugle à l'innocence v.1079 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Des plus fortes raisons énerve la puissance. v.1080 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Garantirai-je un homme à sa perte courant ? v.1082 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- On me connait trop franc pour m'appeler rusé. v.1085 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Qui n'a point fait de mal ne doit être accusé. v.1086 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Mais oïons Timadon ; selon qu'il le recite, v.1087 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- À me traiter ainsi nul droit ne vous incite. v.1088 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- ô ! Le digne témoin, qui gisait au linceul, v.1089 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Non, non, c'est trop plaider. Sur peine de ta tête v.1091 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Enchaine-le, Thamys, et me réponds de lui. v.1093 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Plus vous vous hâterez, moins aurai-je d'ennuy. v.1094 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Les vaisseaux mieux guidés de la prudence humaine, v.1100 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Du comble de mon aise en mille adversités, v.1102 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- M'envoyant tous les maux que j'ai jamais peu craindre, v.1103 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Et m'ôtant tous les biens que j'espérais d'atteindre ! v.1104 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Que dirai-je à ce coup ? Lequel de mes malheurs v.1105 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Dois-je vouer ma plainte à mon unique frère, v.1107 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mais, si pour celui-ci tous mes sens se lamentent, v.1111 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Le premier accident fait, hélas ! Que je n'ose v.1119 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Montrer en mon désir ce dont j'ai plus de peur. v.1122 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Tu me dois dispenser, sainte ombre de Léonte, v.1127 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Par exemple, tu sais que, de nous éloigné, v.1129 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mais nul pour mon Belcar ne s'afflige que moi. v.1138 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ton teint m'est déplaisant, puisque je vois péri v.1145 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Leger prince de l'air, qui des vents plus farouches v.1147 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ô roi de qui provient ma sinistre naissance, v.1163 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Que ne sais-tu ce noeud ? Peut-être en mon dessein v.1165 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Que ton propre intérêt amollirait ton sein. v.1166 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Et mes propos, liés de respect et de crainte, v.1168 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Comme pour disputer la raison le voudrait ? v.1170 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Je plaiderais comment celui qui mit au monde v.1171 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Et des traîtres humains les fils peu différents. v.1177 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- D'ailleurs, mêmes des lois la rigueur plus extrême v.1179 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ne punit d'un méfait que le malfaiteur même. v.1180 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ainsi, quand on voudrait du père se venger, v.1181 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Enfin, sans te déduire un plaidoyer plus ample, v.1183 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Et toute infraction d'un solennel traité, v.1185 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Quelque excuse qu'elle ait, n'est qu'infidelité. v.1186 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mais, las ! C'est perdre temps, car ton âme aveuglée v.1187 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- N'est pas plus gai que moi, que Léonte en mourant v.1193 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Comment chez les mortels on voit soudainement v.1197 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- En qui se relevait tout l'honneur de nos rois, v.1201 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- En qui la vie humaine avait mis à la fois v.1202 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Lorsque tous mes souhaits demeuraient à recoi v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- De qui j'avais juré l'éternelle amitié, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Qui m'en divertirait ? v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Mais ma vie est en lui. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- La mort vient assez tôt sans ainsi l'avancer. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Mais trop sainte est ma foi pour ainsi la fausser. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Mais votre jugement de peur s'evanouit. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Je crains, vous voyant courre au péril sans contrainte. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Quand on a tout perdu, c'est erreur que la crainte. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Méliane, autrefois complaisante à chacun, v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Devient donc sans respect et sans crainte d'aucun ? v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Et moi je n'ai pour but que la fidélité. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Fidélité contraire aux rigueurs déloyales. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Jamais sans ennemis ne règnent les vertus ; v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Mais lors un ami franc, au lieu d'être opprimé v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Lorsque sous l'air serein la prime des saisons v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Des affiquets de Flore émaille nos gazons ; v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Quand le clair scorpion les frimas nous apporte, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Au contraire, un ami ressemble à la colonne, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Qui tant plus se raidit et tant moins abandonne v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mais tel est des parents le droit et le pouvoir v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Qu'on ne doit rien aimer que selon leur vouloir. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Qui le rebelle enfant jamais ne favorise ; v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Dépêtré des détours, te fit un mauvais tour. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- L'ayant fait triompher, que t'en vint-il alors v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Il faut bien par contrainte, ô phénix de Phénice ! v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Usez de la raison pour vaincre votre ennui, v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Laissez périr Belcar sans périr quant et lui. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Je n'ai pas comme toi le raide coeur d'un arbre ; v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Non, je n'ai pas le sein de bronze ni de marbre, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Presté leur lait sauvage à mes premiers repas. v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Toi, tourne au gré du vent ; non seulement délaisse v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Un ami que le sort injustement abaisse, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mais rend-toi sa partie, et fais tout ton effort v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- À lui montrer ta haine au lieu de ton support ; v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Fais comme les mâtins, dont la troupe se rue v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Moi, je verrai plutôt rebrousser le Jourdain v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Je verrai le Dieu blond qu'à Delphes on adore v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Et plutôt du chaos je reverrai la guerre, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Le feu confus en l'eau, l'air opprimé de terre, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ou craintifs, ou muets, de peine surchargés. v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Auraient de l'impuissance à fléchir mon courage. v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- ( De combien, reculant, saurait être exemptée v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Je ne plaigne ce prince en son affliction. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Mais le vouloir est vain quand le pouvoir défaut. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Les conseils en sont pris, où serait son refuge ? v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Ma mère, mais encor ne peut-on pas tâcher v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- À quelque trait subtil qui le fasse lâcher ? v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Épaisse de muraille et très haute d'étage ; v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Qui n'ose rien ne fait. Quel serait le rocher v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Qui ne s'amollirait, vous le venant prêcher ? v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Au reste, offrez, donnez : qui serait refusant v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- En cette belle main d'un libéral présent ? v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Père d'invention, d'art et de complaisance, v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Des chaines d'Ephialte, et la fille d'Inache v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Si Thamys le permet, la chose est bien aisée... v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Dans quelque bon vaisseau tout prêt à démarrer. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Mais s'il cognoist à l'oeil que ce n'est pas ma faute v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- (ainsi que font, horreur ! Les ladres qui s'y baignent) ; v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Je cognoy trop l'humeur de ce roy sanguinaire, v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Insupportable même en sa fougue ordinaire. v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Vous le prenez au pis, mais j'espère pourtant v.12 (Acte 3, scène 2, BALORTE)
- De lui vaincre le coeur si l'oreille il me tend. v.12 (Acte 3, scène 2, BALORTE)
- Ainsi vueillent les dieux ! Moi cependant, en doute, v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Où es-tu maintenant ? D'où viens-tu ? Qui es-tu ? v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Et qui faisoit trembler à son premier aspect v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Est-ce donc là ce bras lié de fortes chaisnes v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Comment as-tu changé ton auguste palais, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Quelque odieux corsaire en justice tenu, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Convaincu mille fois d'avoir, quand et la vie, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Et cependant qu'amour d'esperance m'allaitte, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Craignent toutesfois moins le tourment que la honte ! v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Que je te plains, ma belle, en qui gît tout mon bien ! v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Vu que tu n'es pas moins et sensible et soudaine v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Ny l'odeur des onguens, l'air renclos et relant, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Ny la crainte d'un bruit par les bouches volant, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tantost tes doigts polis, faits d'yvoire vivant, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tantost, sous le corail de ta bouche mignonne, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tu fais l'essay toi-même au crystal qu'on me donne v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Et tantost de tes mains si douillettes et blanches, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Mais le plus grand effect de ta rare bonté v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- C'est lors qu'ayant ouy mon amoureuse plainte, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tu t'osas confesser d'un même trait attainte, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- D'où tant de doux plaisirs (helas ! Le coeur me fend, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Mais j'entens remuer les clefs et les verrous v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Recevez de ma main la preuve plus certaine v.12 (Acte 3, scène 3, THAMYS)
- En quoy, mon capitaine ? v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Ongles mal aiguisez... v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Quelle esclattante plainte v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Sonne tant en ce lieu ? J'en tremble tout de crainte. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Comment ! Que faites-vous ? Qu'ont fait ces fils deliez, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Je sais que ce grand dueil vient d'un malheur extrême, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Serait tout de metail s'il n'en ressentoit rien ; v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Mais le trop est blasmable aux humeurs mieux seantes : v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Se plaindre et se tuer sont choses differentes. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- " mourir par nostre main nous ne devons aussi. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- La chair quitte ces maux dans le sein de sa mère v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Et brave les douleurs ; mais le souffle divin, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Et qu'ayant une fois delaissé la lumière v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Laissons l'impatience à la folle commune. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- " le seul et seur moyen de vaincre la fortune, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Ainsi de discours vains v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Remonstrent la constance aux malades les sains. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Et si jamais un coup m'avoit touché si fort v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Qui m'oste un bienvueillant, liberal et bon maistre, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Mais, quoy ! Celui qui sçait que les pleurs, ny les cris, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Au contraire, en usant des amis qu'il possède, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Se vainquent par le temps d'un effort sans effort. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Madame, attendez-la certaine de nos mains, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Qui rendront la pareille aux meurtriers inhumains. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Vous verrez de Sidon les murailles rasées, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Les thresors enlevez, les maisons embrazées, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Et nos marchez tous pleins des restans enchainez ; v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Mesmes, en attendant que leur maistre on punisse, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Faites qu'elle ait de l'air, qu'elle soit delacée. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Il semble qu'à ce cri vostre objet l'ait esmeue. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Appuyez-vous sur moi, craignant de retomber. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- D'un cuisant desplaisir son jugement empesche. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- S'avugle du jour même au lieu d'estre eclairé. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Au reste, qui serait-ce autre que sa nourrice v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Laissez-m'en le soucy. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- On doit ce sainct office aux pasles trespassez. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Oyez et croyez-moi ; je vux vous faire vivre, v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Voire dea ! Jupiter, qui les cieux faict mouvoir, v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- À peine le pourrait. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Laissons-le en son repos, puisqu'aucun n'en remonte. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Mais que me diriez-vous si, devant que la nuit v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Vous placer l'un et l'autre en une aise très ferme. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Mais faites-en l'essay. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Je ne propose pas les moyens que j'en sais : v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Mais partons promptement ; j'ay crainte qu'après lui v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Qu'il me tarde, ô titan ! Que ton oeil nous éclaire v.12 (Acte 5, scène 1, MÉLIANE)
- Du plus juste milieu de ta traitte ordinaire, v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Appesantit le train de ton viste attelage ? v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Avance, beau soleil : si jamais ton brandon v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Le larron qui furette en la maison sappée, v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Tant qu'après son coup fait il reprend son audace, v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Ainsi je sens mon corps herissé de frisson ; v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Peut avoir fait dessein tout à mon prejudice. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Je sais qu'un même amour elle et moi nous espoint. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Qui sçait si la nourrice auroit donné le change ! v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Un vaisseau passager, pour cyprien cogneu v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Mais il avance peu, car le vent lui fait faute. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Que nostre chef perfide ait ourdy telle trame ? v.12 (Acte 5, scène 1, SOLDATS)
- Il ait lasché Belcar en pleine liberté ? v.12 (Acte 5, scène 1, SOLDATS)
- A soudain de son teint la beauté desrobée ; v.12 (Acte 5, scène 1, SOLDATS)
- Mais je sais que Belcar dessus l'onde s'est mis. v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- L'air offre à nos forçats un visage d'amy. v.12 (Acte 5, scène 2, L'AMIRAL)
- ô traistre ! Je t'auray, tu ne peux m'eschaper ; v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Mais retien desormais, credule Pharnabaze, v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Mais, tandis qu'assoupy d'une angoisse profonde v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Je m'en vay prendre l'air, et du pied de la dune v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Qui nous a fait surgir à l'abry de ce lieu ! v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER PÊCHEUR)
- Or çà, que ferons-nous ? Traisnons ce corps à bord. v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXIÈME PÊCHEUR)
- Le sang jaillit encor, il est fraischement mort. v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXI?ME P?CHEUR)
- Hastons-nous, mon amy ; laissons les complimens. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER PÊCHEUR)
- Nous avons son argent, ses chaines et ses bagues, v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER PÊCHEUR)
- Un soupçon en tel fait legerement s'imprime. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER PÊCHEUR)
- Contentons-nous du gain, rentrons en nostre esquif. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER P?CHEUR)
- Mettons-la bien au sec. Tu n'es que trop craintif. v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXIÈME PÊCHEUR)
- Qui fais un precipice entaillé dans la roche... v.12 (Acte 5, scène 3, MÉLIANE)
- Antres, buissons, cailloux, recevez mes discours : v.12 (Acte 5, scène 3, MÉLIANE)
- Ce cry vient de là-haut, mais rien ne nous empesche v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXIÈME PÊCHEUR)
- Que mon trouble s'accroist quand parmy l'air serain v.12 (Acte 5, scène 3, MÉLIANE)
- Ce navire odieux paroist encor à plain ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Entraine mon amour et ma vie à ta suite. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Ingrat ! Tu fais mourir celle qui t'a faict vivre. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Tu deslaisses, cruel ! Celle qui pour te suivre v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Deslaissoit librement sa natale maison, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Récous si dextrement que tu m'as desdaignée ? v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Est-ce pour avoir fait plus d'estime de toi v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Que du droit de naissance et de toute autre loy ? v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Qu'espères-tu gaigner en perdant Meliane ? v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Mais, va, que des grands dieux la justice infaillible v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- T'en donne un repentir aussi vain que terrible. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Cours, traitre, à ton malheur ; va querir, vagabond, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Une exemplaire fin, loyer de ce faux bond. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Et toi, non plus ma soeur, mais ma rivale infame, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Puisqu'un plus affligeant ne se peut souhaitter ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Je vis malgré moi-même. Ainsi me puis-je dire v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- N'obtenir jamais rien de ce que je desire. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Qu'aux dieux plus rigoureux sa rigueur ne peut plaire. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Retourne, et je croiray que la vieille traistresse v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- A supposé Cassandre au lieu de ta maistresse ; v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Mais, las ! Homme obstiné d'une et d'autre façon, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- C'estoit donc, imposteur, pour me faire un tel tour, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Je meurs, tu l'as voulu, mais je meurs impollue. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Le plus commode endroit pour un soudain trespas. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Souverain Jupiter, d'où peut venir cecy ? v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- De son visage pasle aperçoit tous les traicts. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Mais avant mon decez, si me la faut-il joindre v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Qu'icy chaqu'un s'arreste et me laisse avancer v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Ma promenade libre, ainsy que mon penser. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Mais estoit-il bien fin de s'asseurer au vent ? v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Qu'ay-je là de certain qui ne me soit funeste ? v.12 (Acte 5, scène 4, MÉLIANE)
- M'a saisy d'un sursaut ; il faut que j'en approche. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Je ne crains pas icy qu'un passant curieux v.12 (Acte 5, scène 4, MÉLIANE)
- Attendre pour sortir le congé de ton maistre ; v.12 (Acte 5, scène 4, MÉLIANE)
- Mais au deffaut de lui pren-moi pour respondant v.12 (Acte 5, scène 4, M?LIANE)
- Et ces yeux ombragez, naguères clairs soleils, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- ô maistresse Medée où toute horreur reside ! v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Quoy ! Tu ne diras mot ? Ton orgueilleux desdain v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Croit-il bien excuser ceste sanglante main ? v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Ainsi dessous l'esmail d'un florissant gazon v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Creuse un mortel aspic son infecte maison. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Mes juges souverains, afin que promptement v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Qui pourrait seurement d'un homme estre la garde v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- En puis-je mais s'il a son peril recherché, v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Qu'ay-je peu faire plus, sinon qu'en diligence v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Quant à l'autheur du mal, je l'envoye en ses mains. v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Celui-là, qu'il le livre aux bourreaux inhumains ; v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Mais faut-il que la peine, ô jugement cruel ! v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Ah ! Sauvage raison dont ce tigre me paye, v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Mais las ! Il est si prompt, qu'à peine a-t'on peu faire v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Qu'il n'ait donné curée à sa main sanguinaire ; v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Cessez, ô dieux, cessez d'appuyer ma faiblesse, v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Mais quel homme est-ce là que mes gardes conduisent ? v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Mon travail vous plaira quand je l'auray conté. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- M'ont induit en secret à le faire sortir. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- Où l'avez-vous laissé ? v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- En habit desguisé, craignant qu'on le remarque. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- Mais faictes qu'un escorte aille au-devant de lui. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- Allez vous rafraischir, chevalier genereux ; v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Mais pour succinctement m'en faire la despesche. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Sire, il faut, s'il vous plaist, à la mort l'envoyer ; v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Exposez les raisons de vostre ire si grande. v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Nous ne condamnons point sur des plaintes legères v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Non comme un souverain, comme un père en furie, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Ne l'oseroy-je dire ? Elle osa bien le faire : v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Donc quelle extremité d'une peine exemplaire v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Confessez-vous le fait ? v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Ce qu'il plaist à mon père v.12 (Acte 5, scène 4, MÉLIANE)
- C'est donc mon seul plaisir, non ton crime infernal, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Mais parlez franchement, evitez la torture. v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Gardez-vous de punir de son forfait extrême v.12 (Acte 5, scène 4, PHULTER)
- Ceux qui n'en peuvent mais, vos sujects et vous-même : v.12 (Acte 5, scène 4, PHULTER)
- Pourquoy ne pensoit-elle à celui de germaine ? v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Il faut faire aux cruels selon leur cruauté. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Perdre un enfant perdu, c'est gain plus que dommage. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Par la race des rois les peuples sont en paix. v.12 (Acte 5, scène 4, PHULTER)
- C'est la paix d'un estat de punir les mefaits. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Quoy ! Qu'un jour, après moi, ceste main parricide, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Que le monde en soit plein, qu'un vulgaire effrené v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Mais je verray d'ailleurs ma gloire provignée, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Mais mieux qu'en ceste folle engendrée à ma honte. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Ne me laissant de tout que le sceptre et la vie, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Que sçauroy-je plus craindre ou que puis-je esperer ? v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Qui traisne avec sa mort une espèce de honte ; v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Que sentit Philoxène en la main d'un vainqueur. v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- L'une ès mains de sa soeur, l'autre ès mains de son père. v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Ainsi d'un pareil mal les regrets sont plus grands, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Qu'aujourd'huy ma maison de prodiges fourmille ! v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Voicy mon admiral. Eh bien ! Qu'avez-vous fait ? v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- N'ayant que ceste vieille au vaisseau rencontrée. v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- J'ay leur navire attaint et crié : voile bas ! v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Et d'un sault volontaire avaler à longs traits v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Car elle a, pour certain, d'avarice enflammée, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Je sais qu'ils me sont deubs ; si vous les differiez, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Ma Cassandre n'auroit, malgré mon vain secours, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Planté de sa main propre une borne à ses jours. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Comment ! De sa main propre ? Eh ! Voilà sa germaine v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Qu'attainte de ce crime au supplice en ommène. v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Amis ! Efforcez-vous, despeschez, mais volez ! v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Qu'on ne passe pas outre. Helas ! Que j'ay de crainte v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- De retirer en vain mon bras après l'attainte ! v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Malheureux ! Qu'ay-je fait, et quelle illusion v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Oyez donc, s'il vous plaist. Permettez que je die v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Belcar se guairissoit. Ses ulcères fermez v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Moi, qui les surveillois d'un esprit clair-voyant, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Qu'un bien sortable hymen pourrait un jour ranger v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Attendant vostre avu, qui nous semblait aisé. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mais, ô dur changement dont le tout fut brisé, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Vous faisans destiner Belcar à la pareille, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mais, las ! Je rencontray ma fille, son aisnée, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Si bien qu'à l'heure même, afin de l'appaiser, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Traistresse conscience ! Enorme tromperie ! v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Sont d'un vent à souhait ronds et fermes rendus. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Semble nous dire adieu, faisant la reverence. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Fait des rideaux plissez à l'un et l'autre flanc. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mais le malheur bien tost vint à jouer son roolle, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- D'accoster sa maistresse ardemment desireux, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Armé de tous costez pour se rendre le maistre. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- De mes faibles attraits la muette prière ; v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Gaigner d'un coup de sort ou la mort ou l'amour. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Ainsi, frappé d'effroy, le prince recula, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- M'ayant ainsi trompé, qui me garde, vilaine, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Tu dois remercier quelques traicts de visage v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Je te pardonne à toi, mais ce crapault infect, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mais en un lieu secret j'avoy fait la retraitte. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Puis il se rend forçat, et dans les airs cavez v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Il vole toutesfois ; le temps mol et serain, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Qui nous tient en arrest, lui tend comme la main. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Je me plaindrois, Belcar, puisqu'en ta rigueur même, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Ostant à ma douleur tout espoir de guairir, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- ô dieux ! ô feux du ciel ! ô fortune contraire ! v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Voilà le dernier mal que vous me sçaurez faire ! " v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Prend un delay si court en un fait d'importance ? v.12 (Acte 5, scène 2, SOLDAT)
- Mais en le prononçant les juges plus sevères v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- De mourir clair-voyante et n'estre point liée. v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- Ainsi, que serviroient ny bandeau ny contrainte ? v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- J'embrasse mon destin sans regret et sans crainte v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- Diriez-vous à la voir qu'elle ait tant fait de mal ? v.12 (Acte 5, scène 2, SOLDAT)
- Paix là, prestons l'oreille... elle fait un signal. v.12 (Acte 5, scène 2, SOLDAT)
- Qui me faisoit aymer et moi-même et le jour. v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Mais, desirant perir, quelle juste puissance v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Doit preceder en moi l'autheur de ma naissance ? v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Puis que ma fin lui plaist, l'auroy-je point à gré, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Mais, las ! Non par mes mains. N'imputez point, amis, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Il faut ou qu'elle-même ait retranché sa vie, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Mais, pour fuir la mort, je l'ay trop reclamée. v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Pauvre homme, pleures-tu ? Te desplaist-il à toi v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- De suivre mon desir et le plaisir du roy ? v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Arrestez, arrestez ! Peuple, faites-moi place ! v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Archers, ne craignez rien ; tenez, je rends mon glaive. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Je ne viens pas icy pour faire quelque effort, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Mais pour entre vos mains recognoistre mon tort. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Car du fait pretendu je suis le seul coupable ; v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Mais, ma reyne, plus tost, qui vous fait condescendre v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Un crime des plus noirs et des plus inhumains, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Qu'elle a par desespoir faict de ses propres mains ? v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Elle s'est de plain sault dans les vagues jettée, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Que vous peut-on d'ailleurs imputer autre chose ? v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Faites-moi franchement de mes doutes sortir. v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Qui vous fait, innocent, venir en confiance, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Vous force à satisfaire aux pieds de l'offencée, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Et ne verrons jamais nos manes divisez, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Une autre qui jamais ne vous fut comparée ? v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Quel tort fait à ma flamme ! Et quelle injure encore v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Faite à vostre beauté, qui son pouvoir ignore ! v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Je ne sais si Venus serait même assez belle. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Errantes deitez de la plaine azurée, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- À bonne heure je viens pour lui, mais pour nous tous. v.12 (Acte 5, scène 2, PHULTER)
- Sa grace estoit tardive et serait encor vaine v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Mais puisque ce beau prince a levé tout l'ombrage v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- çà, que de mes deux bras je t'aille environner : v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Que n'ay-je un myrte en main propre à te couronner ! v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- ô mon parfait amy ! Ma mesfiance fausse v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Baise-moi mille fois. Ma joye, en sa grandeur, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Souverains directeurs de la fortune humaine, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Si je meurs aujourd'huy, je mourray de plaisir ; v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Mais je croy que mon père auroit le coeur d'un scythe v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Quoy qu'il ait le coeur dur, j'espère que le mien v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Vaincra par patience et tout autre et le sien. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Par l'autheur du mefait, tesmoin digne de foi. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Mais tout court je reviens pour au conseil me rendre. v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Le roy, comme on m'a dit, a fait en son chemin v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Qui me fait d'un accord concevoir l'esperance, v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Te rendoit clair-voyant l'esprit au lieu des yeux ; v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Mon maistre, s'il me croit, retif ne s'y rendra. v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Mais bien plus que jamais tous deux ils s'entre-doivent. v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Les plaisirs qu'ils se font nul acquit ne reçoivent ; v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- En serrant des deux parts le noeud se fait estroit : v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Ne donne un mauvais comble à leurs peines souffertes ? v.12 (Acte 5, scène 4, SOLDATS)
- Mais qui mouvoit ce prince au retour hazardeux ? v.12 (Acte 5, scène 4, SOLDATS)
- Pour du fait de Leonte esclaircir nostre roy, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Jugez quelle alaigresse alors qu'il fut cognu, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Mais il rabattit bien de leur resjouissance v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Car ny fortes raisons, ny prières, ny larmes v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- De ce vieil capitaine et de tous ses gendarmes v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- La lairray-je perir, elle qui m'a sauvé ? v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Je me purge d'un fait dont elle me soupçonne v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Et qu'elle ait avancé ses jours dès mon depart). v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- J'encourray pour ma belle, au peril delaissée, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Je sais qu'il vous desplaist qu'au tyran je m'expose ; v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Mais c'est mal concevoir l'equité de ma cause, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Ne surmontera pas ce trait de mon courage, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Et d'un pescheur passant ayant fait quelque enqueste v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- En quittant son vaisseau, prest de surgir au port, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Il s'est faict amener, lui quatriesme, à bord, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Non, ce n'est pas à moi qu'on fait croire des bayes : v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Je le vux bien avoir, mais non pas qu'il se donne : v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Et là me satisfaire et du fils et du père, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Envers une ame lasche il auroit fait folie, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Mais un coeur de lyon flatte qui s'humilie. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Puisque vous daignez bien sa rançon lui remettre, v.12 (Acte 5, scène 5, BALORTE)
- Que le remerciment vous daigniez lui permettre. v.12 (Acte 5, scène 5, BALORTE)
- Et froide et dangereuse en serait l'entrevue. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- S'il ne vous plaist le faire, au moins de l'escouter ? v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Bien, faites-le venir. Je puis, quand tout est dit, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- M'empescher que sa voix n'ait sur moi du credit. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Sire, qui vous plaist-il qui cest octroy lui porte ? v.12 (Acte 5, scène 5, BALORTE)
- Mais je crain que d'ailleurs, ô majesté sacrée ! v.12 (Acte 5, scène 5, L'AMIRAL)
- Son desespoir n'est pas adoucy tout à fait. v.12 (Acte 5, scène 5, L'AMIRAL)
- Que j'y pourvoiray bien ! Le temps est un grand maistre ; v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Je pourray bien enfin m'y laisser emporter. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Mais, afin que plus doux le succez ils en treuvent, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Taisez-vous, les voicy. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Si le dieu qui regit d'oeillades souveraines v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Fors la seule clemence, à l'aisné reservée ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Si dans le sein de l'air sa tempeste couvée, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Effroyable d'esclairs et de bruict estonnant, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Frappe bien quelquefois d'un traict tourbillonnant v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Jamais les tendres joncs ny les basses genestes ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Toute humaine grandeur prend son estre et son lieu ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Sont fils de Jupiter et ses divins portraits, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- De sa très pure essence apparemment extraits, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Bienfaicteurs generaux et rares punisseurs, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Ils ne rompent jamais les choses qui se plient, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Holà ! Tenez-vous droict, prince ! Que faites-vous ? v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Je n'ay rang que celui qu'il vous plaist que je tienne. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Qu'ainsi que vostre oracle, ou doux ou rigoureux, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Las ! Je ne suis plus prince ; il faut plaider ce titre, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Au lieu de me guairir accroistre mon tourment. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Et, des biens de la vie à jamais m'exilant, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Exiger de ma main mon trespas violant ! v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Puissent, ainsy que moi, vos plus fiers ennemis v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Vous estes desormais sçavant de ma demande, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Sans que par long discours plus claire je la rende. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Sire, vous le pouvez en faisant deux profits : v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Dictes de quel costé vous prendrez à plaisir v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Que j'aille par main forte un empire choisir. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Je ne feray sous vous nulle entreprise vaine, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Pour vous j'iray tout vif en l'infernalle plaine ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Ne rejettez donc point, mais de grace acceptez v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Sinon, dès maintenant punissez mon audace, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Car je jure les dieux de ne jamais sortir v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- J'ay part à son serment, autheur de ma naissance. v.12 (Acte 5, scène 5, MÉLIANE)
- Moi qui, baignant en pleurs vos genoux, que j'embrasse, v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Faites donc, mon cher père, appareil de deux fosses, v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Mon maistre, mon bon roy, pensez plus loing qu'à vous : v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- (ce que nous souhaittons que si tost ils ne veuillent), v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Vous laisserez sans chef, au gré des ennemis, v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Il poursuivra le train de vostre heureuse course. v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Comme tu fais ta vie en l'amoureuse brigue, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Auroit non pas le coeur de te faire du mal, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Mais serait d'une humeur si farouche et barbare v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Ce que, tant fust-il grand, ton merite n'eust faict ! v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Ah ! Mon fils (car ainsi desormais je t'appelle : v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Non seulement au ciel, qui te vut maintenir, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Mais aux voeux de mon peuple, à ma propre lignée, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Qui tous à tes desirs donnent cause gaignée ? v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Car tes puissans discours ont vaincu ma rancune, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Comme ta patience a vaincu la fortune. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Va, je t'accorde tout. Pourrais-je avec raison v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- D'un gendre mieux choisi relever ma maison ? v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Que d'offense et défense en ligue désormais, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Nos desseins soient communs et de guerre et de paix. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Qu'en publique allaigresse on allume des feux ; v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Mettent dès maintenant la joye en evidence. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Ne crains point que là bas un tel soin te martelle : v.12 (Acte 5, scène 5, ARCHERS)
- Je serais bien mieux veuf que d'épouser ainsi. v.12 (Acte 5, scène 5, ZOROTE)
TYR et SYDON (1628)
- Dieu de tous les vaillants aussi bien que des Thraces, v.3 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Et toi, puissant Hercule, honte des fainéants, v.5 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Moins fermes que la paille en tourbillon mouvante, v.16 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Je les ai rassurés, les ai tant affermis v.17 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Mais qu'ils sont bien trompés ! Je peins la crainte blême v.23 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Pour faire sans dessein des fuites et remises. v.27 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Ils ont un capitaine en santé revenu, v.29 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Nous y serons présents, et voilà ce que j'aime. v.36 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Ne méprisons jamais un adversaire armé. v.37 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Les premiers coups du jeu ne donnent pas le gain. v.41 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Mais c'est un préjugé... v.42 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Qui n'a rien de certain. v.42 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Non, mais que prudemment votre conseil en use, v.44 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Je ne vous vois jamais en humeur trouble-fête. v.47 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Je ne vous vois jamais un tel lutteur en tête. v.48 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Tant plus ai-je d'honneur en l'allant aborder. v.49 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Mais tant plus de sujet de ne rien hasarder. v.50 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Belcar, à qui mon père, un vrai foudre de guerre, v.55 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- N'a jamais su ravir un seul pouce de terre, v.56 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- À qui j'ai destiné les effets de mon bras, v.57 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Ou, si le destin veut que d'une mort vaillante v.63 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Je ne saurai choisir une plus brave main v.65 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Pour m'adoucir le coup du trépas inhumain. v.66 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Bref, voilà l'espérance où mon humeur se baigne ; v.67 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Ainsi que le plaisir est celui du veneur. v.70 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Je ne le fus jamais, prince heureux et bien né, v.74 (Acte 1, scène 1, LE-HERAULT)
- Car j'ai trop d'assurance au chef qui me commande. v.75 (Acte 1, scène 1, LE HERAULT)
- Qu'alors qu'il refusait vos désirs pleins de vent, v.77 (Acte 1, scène 1, LE HERAULT)
- Il reculait un peu pour sauter plus avant ; v.78 (Acte 1, scène 1, LE HERAULT)
- Maintenant il vous offre, en bataille rangée, v.79 (Acte 1, scène 1, LE HERAULT)
- La palme qui doit être au vainqueur adjugée ; v.80 (Acte 1, scène 1, LE HERAULT)
- Que demain, s'il vous plait, dès que l'astre du jour v.81 (Acte 1, scène 1, LE HERAULT)
- Dis-lui que ses délais ont déjà rabattu v.85 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Du splendide renom qui dorait sa vertu. v.86 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- J'irai dès que j'aurai mon harnais endossé. v.94 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Qui devraient et voudraient respirer plus longtemps, v.102 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- On les voit tous courbés, malsains et mal plaisants, v.105 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Cette inutile chair en sa première poudre ? v.108 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- De repos, de travail, de joie ou de souci ? v.110 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ai-je quelque plaisir ? Sens-je quelque amertume v.111 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- N'ai-je point assez vu les détours et retours v.113 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Un sort doux ou fâcheux que je n'ai éprouvé ? v.117 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Était à tous venants d'Averne la descente, v.124 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Le mortel ici-bas braverait les malheurs v.125 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Et n'attendrait jamais des extrêmes douleurs. v.126 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Se pouvaient élargir sans l'expresse ouverture v.131 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Jà dès maintes moissons s'étendraient en repos v.133 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Humains infortunés, las ! D'où vient que toujours v.137 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Vos plus ardents souhaits rencontrent à rebours, v.138 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Les plus âpres desseins où leur travail aspire v.140 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ce qu'ils s'y promettaient de biens et de douceurs ? v.142 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Mais le plus vain désir dont s'abusent tant d'hommes, v.147 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- À guider un troupeau sur l'émail des herbages ! v.152 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Si leur sceptre n'est d'or, mais de frêne ébranché ; v.153 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Si leur corps n'est de pourpre, ains de toile caché ; v.154 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Leur hutte pour palais, la paille pour litière, v.156 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ils dorment en repos, sans crainte et sans soupçons ; v.161 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ils n'ont soin des méfaits dont ils ne sont pas cause, v.167 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Le fardeau d'un État sur leur dos ne fait pause, v.168 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Si paisibles, couards ; si justiciers, tyrans. v.170 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Sont du babil piquant d'un vulgaire toucher. » v.174 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Qui nous fait grisonner par son inquiétude ! v.176 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Depuis qu'un vieil ami du vainqueur Macédon v.181 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Mit en mes simples mains le sceptre de Sidon, v.182 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Combien ai-je tâché d'ombrager mes contrées v.183 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Sous l'aile de la paix, si longtemps désastrées ! v.184 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Paix, la fille du ciel, la mère des vertus, v.185 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Nourrice des bons arts, saint noeud de concordance, v.187 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Paix qui, peuplant la terre en dépit de la mort, v.189 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ô paix ! Mon cher désir, qu'ai-je fait pour t'atteindre v.191 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Qu'ai-je fait pour changer nos douleurs en soulas, v.193 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Sire, tout l'univers, vos adversaires mêmes, v.196 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Vous mettiez en avant un trop libre traité ; v.198 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Que me servait-il, las ! Si cet avide roi v.201 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ne prétendait pas moins que ma couronne et moi ? v.202 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Maudite faim d'honneur, que d'horribles carnages v.203 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Depuis que le flambeau qui marque les saisons v.205 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- A logé douze fois en ses douze maisons ! v.206 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Les champs, les ruisseaux, l'air et Mercure sont las v.209 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Mais quoi ! Plus j'ai tenté le train de la douceur, v.217 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Plus j'ai senti l'effort d'un injuste agresseur, v.218 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Selon sa vanité ne pourrait pas suffire v.224 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Mais il faut à la fin que l'équité l'emporte : v.228 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Car les dieux tous bénins, contraires aux tyrans, v.229 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Sont des paisibles rois les gardes et garants. » v.230 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Fait noyer à ces gens leur orgueil en leur sang, v.242 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Sans que, dessous mon aile, en aucune entreprise v.243 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Le sort ait contre nous déployé sa maîtrise, v.244 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Pourquoi vaudrions-nous moins que ne faisions jadis ? v.253 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- D'un tutélaire soin nos murailles préserve. v.260 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Sous l'effort de nos bras ont engraissé la terre, v.263 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Comme sur l'adversaire en sinistre comète ; v.268 (Acte 1, scène 3, ARAXE)
- Ainsi que son éclipse a causé leur malheur ; v.270 (Acte 1, scène 3, ARAXE)
- Il veut que de ce pas la bataille se livre, v.280 (Acte 1, scène 3, LE-HERAULT)
- Osant bien, Monseigneur, ainsi me discourir, v.281 (Acte 1, scène 3, LE HERAULT)
- Quelle bravade à moi ! Je n'ai point là de choix : v.285 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Mais, exposant ma vie à qui la voudra prendre, v.287 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- J'en veux être marchand, je la saurai bien vendre. v.288 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Vous voilà dans nos mains. v.293 (Acte 1, scène 4, SOLDATS)
- Ho ! Nous vous tenons bien ! Tous vos efforts sont vains. v.294 (Acte 1, scène 4, SOLDATS)
- Je crèverai plutôt. ô ma lâche canaille ! v.295 (Acte 1, scène 4, LÉONTE)
- Me laissez-vous tout seul au fort de la bataille ? v.296 (Acte 1, scène 4, L?ONTE)
- Ha ! Mon cher Timadon, n'ai-je point de secours ? v.297 (Acte 1, scène 4, L?ONTE)
- Mais par plus grand effort la force m'est ravie. v.299 (Acte 1, scène 4, TIMADON)
- Holà ! Soldats, holà ! Ce Belcar si vaillant v.301 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- Est digne de pitié, la force lui faillant. v.302 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- Je n'aurai le reproche, après être vaincu, v.305 (Acte 1, scène 5, BELCAR)
- Prince, il se faut résoudre ; on vous fait courtoisie ; v.307 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- Ôtez le désespoir de votre fantaisie. v.308 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- J'ai vu la colonelle encore à la mêlée v.311 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- Qu'ès mains de l'ennemi je sois tombé tout vif ! v.314 (Acte 1, scène 6, LÉONTE)
- Que je me sois laissé désarmer et surprendre ! v.315 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Ô rage ! Ô désespoir ! M'étai-je ainsi promis v.321 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- De faire mon entrée en ces murs ennemis, v.322 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Quand, un glaive à la droite, à la gauche une torche, v.323 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Je m'étais figuré d'exposer en butin v.325 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Ô ciel ! Ô terre ! Ô mer ! Ains, Ô gouffres d'en-bas, v.329 (Acte 1, scène 6, LÉONTE)
- Ayant les membres las et les mains désarmées ? v.336 (Acte 1, scène 6, TIMADON)
- Ainsi s'acquiert l'honneur, même dans la capture. v.346 (Acte 1, scène 6, LÉONTE)
- Mais moi, tout au contraire, ô mal-timbré cerveau ! v.347 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Que, passant le commun, les plus vaillants j'affronte, v.349 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Comme un lièvre aux panneaux on a saisi Léonte. v.350 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Mais, si jamais se vient un tel danger offrir, v.352 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Je rabattrai si dru l'acier porte-tempêtes, v.353 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Qu'avant que m'embrasser ainsi qu'à cette fois, v.355 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Un Briare à cent mains y perdra tous ses doigts. v.356 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Dieux ! Que j'ai de pensers l'un l'autre séduisants, v.359 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- D'où me vient cet effroi contraire à mon humeur ? v.363 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Que dois-je redouter ? Au fonds, que puis-je craindre, v.365 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Si le ciel ne voulait ses propres lois enfreindre v.366 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Et toujours asservit les faibles aux plus forts) ? » v.368 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Quel point d'égalité m'y peut-on faire entendre ? v.370 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Quelle comparaison de peuple ni de roi ? v.371 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Par le vaillant David et par son sage fils, v.375 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Avait des citoyens la race exterminée ; v.382 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mieux que ce mien aïeul : car j'ai fait en cinq lustres v.385 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Tyr, que l'empereur grec n'eût jamais pu dompter v.395 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- S'il ne se fût prouvé vrai fils de Jupiter ; v.396 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- D'un vaillant Pharnabaze et d'un Léonte ensuite, v.398 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Craindrait-elle Sidon, bien moins puissante ville, v.401 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Ce sont tous cerfs craintifs par un lion menez, v.407 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mais mon ost est tout plein de lions déchaînés. v.408 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Qu'un si faible ennemi ne soit mis en déroute, v.410 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Gisaient aux intestins des brutes animaux ! v.416 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- J'espère que bientôt un message certain v.419 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Démentira leur art trompeur, obscur et vain, v.420 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Aura de mon côté fait tourner la balance. v.422 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- A vidé son vaisseau d'un cours égal et lent v.424 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- On allait disputer les faveurs martiales. v.426 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mais j'entends quelque bruit. Ah ! Ce courrier qui vient v.431 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- N'apporte rien qui vaille, à la mine qu'il tient. v.432 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Ni vainqueur ni vaincu, a délaissé le champ. v.436 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Sans l'unique Belcar, ils se rendaient tous vôtres. v.438 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Mais toujours ce rocher son choc a repoussé. v.440 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- J'ai vu de nos coureurs, ayant défait une aile, v.441 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Belcar seul tenait bon ; mais un effort dernier, v.443 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Il est sain ; mais, ô roi grand et sage, v.445 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Excusez ma contrainte à porter un message... v.446 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Las ! Comme trop vaillant, v.447 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Il allait, par dépit, les plus forts assaillant. v.448 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Le crêpe de vesper leur faisait tant d'ombrage v.454 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Tant en simple soldat il s'allait hasardant. v.456 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Les plus certains projets de ce bas univers ; v.464 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Et surtout, et surtout toi, mon dieu sanguinaire, v.465 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Qui, du cinquième rang de ce beau septenaire, v.466 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Qu'avait donc, pour conduire et pour bien entreprendre v.473 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Qu'avait-il d'excellent plus que mon fils et moi, v.475 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mais si veux-je ou mourir ou vaincre à ton dépit, v.479 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Du vieil Abdolomin la défaite est facile : v.481 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Moi qui suis vigoureux, j'ai des Ajax encor, v.483 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Des Tydides sans peur ; lui n'avait qu'un Hector. v.484 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mais il faut au printemps triompher ou crever. v.492 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Or par les lois d'honneur je suis forcé de faire v.493 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Un favorable accueil à ce prince adversaire. v.494 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Que son doux traitement redonde sur Léonte ; v.498 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Que s'il n'avait, dit-on, que le mal apparent, v.505 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Le médecin pourrait se rendre son garant ; v.506 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Mais il faut que d'ailleurs quelque maligne cause, v.507 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Je laisse du public la juste inimitié ; v.509 (Acte 2, scène 1, MÉLIANE)
- Mais en ce triste état, pour moi, j'en ai pitié, v.510 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Et voudrai pour beaucoup que jamais notre père v.511 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- N'eut fait voir à nos yeux ce miroir de misère. v.512 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Un air majestueux à travers paraissant ; v.522 (Acte 2, scène 1, MÉLIANE)
- N'est autant d'amitié que de haine rempli ! v.526 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Le mal d'un ennemi ne m'est jamais dommage, v.527 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Quelque vaillant qu'il soit et rare personnage ; v.528 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Je ne le puis priser, ni le plaindre aussi peu, v.529 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Quand je me ramentai son courage barbare v.531 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Nos plus vaillants soldats et nos meilleurs vaisseaux, v.534 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Et quand je me souviens qu'en deux fois trois batailles v.535 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Il a porté l'effroi jusques dans nos murailles ; v.536 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Tant de nos grands guerriers par sa main périssant, v.538 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- D'estimer que sa mort serait belle dépêche. v.540 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- J'en tiendrai dignement nos dommages vengez, v.541 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Je vous suivrai, ne vous mettez en peine. v.543 (Acte 2, scène 1, MÉLIANE)
- Ô courage de fer ! Lestrygonne inhumaine ! v.544 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Si ton coeur était noble, ami de la vertu, v.545 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Il serait plus courtois vers ce prince abattu. v.546 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Où voulez-vous aller ? Quelle humeur sans raison v.549 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- De ne fuir rien tant que sa propre maison, v.550 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Enfin que faire au bal ? Ricasser, babiller, v.553 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Faire un hachis du pied, des fesses frétiller, v.554 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Non, non, ma femme, non ; laissez ce badinage, v.559 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Tantôt du fin aloi démêler la monnaie, v.563 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Tantôt en nos jardins faire vos promenades, v.567 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Puis sommeiller au frais. v.569 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Tailler de la besogne à chacune servante ; v.572 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Tantôt faire causer vos perroquets mignons, v.573 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Faire jouer, sauter, vos chiens et vos guenons, v.574 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- C'est de ces femmes-là dont le monde fait cas, v.577 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Qui paraissent n'avoir (odieuses coquettes) v.579 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- A rendu sa mémoire à tout jamais insigne v.584 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Somme, c'est aux putains communes et vénales, v.587 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- De se trouver au bal en honnête maintien v.593 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Où l'on ne fait ni dit aucunes vilenies, v.596 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Mon ami, c'est la mode, et qui fait autrement v.597 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Attire des voisins un mauvais jugement : v.598 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Il faut que son mari sotte l'ait reconnue, v.600 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- De vrai, je m'en abstiens souvent pour vous complaire ; v.603 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Et sur quelqu'autre objet je tâche à me distraire ; v.604 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Mais que jamais les ceps ne me soient élargis, v.605 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Le plus du temps seulette, ainsi qu'en un désert, v.609 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Quelque petit enfant ornait notre hyménée ! v.612 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Il ne tient pas à moi. Fais-je pas le devoir ? v.613 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Pour en tirer plaisir si le faut-il lâcher. v.618 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- On donne au cheval gai la renne courte et forte. v.619 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Une libre jument de plus beaux poulains porte. v.620 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- En un bal de plain jour où je suis tant priée ! v.627 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Je vous l'avais bien dit, que l'humeur d'un vieillard v.629 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Ne compatirait point à mon esprit gaillard ; v.630 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Qu'il voudrait riotter lorsque je voudrai rire. v.631 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Ah ! Je prévoyais bien ce maupiteux empire : v.632 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Qu'il me valait bien mieux épouser un tombeau v.633 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Il faut, il faut sortir ; la voie est bien aisée ; v.639 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Cherchons la liberté dans la plaine Élysée ; v.640 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Une corde, un couteau, m'en feront la raison ! v.642 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Apaisez-vous, ma fille. Et bien ! Là, vous irez ; v.645 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Je m'en vais la prier d'en accepter le soin. v.649 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Ô la gentille garde, et dont j'ai grand besoin ! v.650 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Si je n'ai jusqu'ici souffert discrètement v.657 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- De ce rude plâtrier le mauvais traitement, v.658 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Non seulement d'effet, ains même de pensée v.660 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- (Combien que maintes fois des braves courtisans v.661 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Car j'espérai toujours vaincre par complaisance v.663 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Pour des baisers d'ami qu'on dit être si doux, v.666 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Pourvu qu'il supportât mon humeur libre et gaie, v.667 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Jusques là que l'honneur n'en reçut point de plaie. v.668 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Mais, puisqu'un tel Saturne, un Tithon décrépit, v.669 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Aigrit de jour en jour mon trop juste dépit, v.670 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Ou bien si j'ai juré par quelqu'autre des Dieux, v.674 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Ô saintes déités, que cela ne provoque v.675 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Qui promet de m'aimer comme étant sa moitié, v.678 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Me traiter en compagne, et non pas en esclave. v.679 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Doncques, si désormais, pour un peu m'alléger, v.682 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Mais au choix d'un ami l'aurore plus secrète, v.684 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- S'adresse donc à moi quelque homme qui me plaise, v.687 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Quelque beau cavalier, plein d'amoureuse braise, v.688 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Je te la planterai si profonde en la tête v.691 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Je n'y sais plus que dire (encor moins que lui faire). v.695 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- C'est un esprit léger, une humeur volontaire ; v.696 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Je vous ai tout conté ; si je ne lui permets, v.697 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- La folâtre qu'elle est ne m'aimera jamais. v.698 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- C'est plutôt l'affliger que lui donner de l'aide ; v.700 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Par quoi je me tairai de votre aveuglement v.701 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Mais, quoi que vous soyez si mal apparié, v.705 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Telles ont le coeur gai, ne cherchant que le ris, v.713 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Il vaudrait mieux du tout la bride lui lâcher v.717 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Que, raide la tenant, sans cause la fâcher. v.718 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Pour peu que vous daigniez à son gré vous changer, v.725 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Lors, si vous connaissez que son coeur se dévoie v.731 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Moi je vous aiderai, l'intérêt m'y semond ; v.733 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Je sonderai son âme, et jusqu'au plus profond, v.734 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Soit par son entretien, soit à l'air du visage, v.735 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Selon votre conseil, je lui serai plus doux. v.742 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Mais d'être baladin mon age me dispense ; v.743 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Tu me soupçonnerais de rentrer en enfance. v.744 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Je lui permettrai tout en votre compagnie, v.747 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Je réponds que sans bruit j'aurai les yeux ouverts, v.749 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Et ne souffrirai point qu'elle aille de travers. v.750 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- En me refroidissant ou brûlant tout à fait. v.754 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Prenez un choix certain dans vos effets contraires. v.755 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- J'ai tort : vous n'êtes pas des soupirs volontaires : v.756 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Dont le mont de Sicile a ses éclairs mouvants, v.758 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Mais au moins pouvez-vous la rendre plus luisante. v.760 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Qu'on connaisse l'effort dont vous êtes poussé, v.762 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Faites ce qu'elle eut fait si vous la laissiez franche. v.764 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Jetez l'éclat si haut de mes plaintes dans l'air v.765 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Qu'on entende mon mal comme on le voit à clair. v.766 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Mon âme quittera, pour se mettre à son aise, v.771 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Si vous la pressez trop, le foyer et sa braise ; v.772 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Car jamais les soupirs ne descendent en bas. v.774 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Faites que la pitié quelque repos me livre. v.776 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Je crains fort, à la fin, qu'il n'en soit accablé. v.778 (Acte 2, scène 4, MÉLIANE)
- Hau-là ! Qu'ai-je entendu ? Que ces rideaux on ouvre. v.779 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Il se pâme ! Accourez, à l'aide venez tous ! v.781 (Acte 2, scène 4, MÉLIANE)
- Du vinaigre ! Il revient : je sens battre son pouls. v.782 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Qu'il me fait de pitié ! Monsieur, prenez courage ! v.783 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Ne le laissez plus seul, l'entretien le soulage. v.784 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Prince, notre vainqueur, v.785 (Acte 2, scène 4, MÉLIANE)
- Mourant, vous éloignez pour jamais sa présence ; v.795 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Chez les plus grands haineux se doit rendre admirée. » v.800 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Au fond, ne craignez point : vous n'êtes pas en main v.801 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- D'un cyclope cruel, d'un busire inhumain. v.802 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- De vrai, c'est un souci qui me gêne sans cesse, v.804 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Toutefois, je reçois votre enquête à mon aide ; v.808 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Mais je veux, s'il vous plaît, avant que de vous dire v.811 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Secouez désormais le chagrin qui vous lie. v.824 (Acte 2, scène 4, MÉLIANE)
- Où serait la beauté, fut-elle une venus, v.826 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Jamais sur ses desseins ne demeure en défaut ; v.829 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Le ciel aide au mortel aspirant toujours haut. » v.830 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Brisons là de discours, car je crains, pour cette heure, v.831 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Mais, si cela vous plaît, souvent je viendrai voir v.833 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Se rencontrât ailleurs qu'en la divinité, v.838 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Qui l'aurait peu penser ? Ô merveille du monde ! v.839 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- As-tu vu qu'il semblait se rendre à ma merci v.850 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Quand, d'un traité de paix me faisant la semonce, v.851 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- J'ai, lui rivant ce clou, fait ma brusque réponse ? v.852 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Cette affaire, ai-je dit, n'est pas mise à mon choix : v.853 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Jugent si l'on pourrait rendre bien terminée, v.855 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Pour moi, qui chez mon père ai moins de volonté v.857 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Que prisonnier chez vous je n'ai de liberté, v.858 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Si dirai-je en passant que selon mon courage, v.859 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Il me serait plus doux, sans un plus grand carnage, v.860 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- On soumit en duel le plus faible au plus fort : v.862 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Car aussi bien jamais nos valeurs co-rivales v.863 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- J'ai vu que ce discours, si prompt et généreux, v.865 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- L'a saisi tout_à_coup d'un tremblement peureux ; v.866 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Mais comme il est matois, leurré d'expérience, v.867 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Il vous a répondu qu'il prenait patience, v.868 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Jugerait sur vous deux et du droit et du tort ; v.870 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Que ce n'est point la peur, mais l'humanité douce, v.871 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Ce que pour vous montrer, il vous donnait pouvoir v.873 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- A doublé de ses yeux l'ordinaire liqueur. v.882 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Pour nous faire sembler que rien ne les moleste. v.888 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Se fait à ce dessein plus que par gaieté. v.890 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- De vrai, cette cité son renom ne dément. v.893 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Ô quel teint ! Quelle taille ! Et ferai-je pas mal v.901 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Si je ne lui donnai l'ouverture du bal ? v.902 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Ma soeur, je suis pour vous ; je l'ai dit à mon frère, v.903 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- On fait à frais publics tout ce jeu préparer. v.910 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Ce que vous pouvez bien sans frais et sans danger. v.914 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Je suis des moins dolents, mais des plus misérables. v.916 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Mais les biens que je veux sont hors de mon pouvoir. v.918 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- C'est à Jupiter seul d'avoir ce qu'il souhaite. v.919 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Votre soeur ne dit rien ; serait-elle muette ? v.920 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Mes devis à l'honneur ne sont jamais nuisants. v.922 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Mon discours ne craint point la foule babillarde. v.928 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Et feignants toutefois de me vouloir complaire, v.931 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- M'ont fait du premier branle une offre volontaire, v.932 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- J'ai jugé que vous seule, en tout ce grand pourpris, v.937 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Si je serai d'humeur si crédule et grossière v.944 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Mais, outre qu'en cela mon jugement se range v.947 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- D'ailleurs je ferai tort aux illustres princesses, v.951 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Cette excuse est modeste, et vaine toutefois : v.954 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Mais vous êtes suspecte en l'estime du vôtre. v.956 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Vous ne sauriez faillir qu'en cette extrémité. v.961 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Mais mon élection se trouvera suivie v.963 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- De tout oeil clair-voyant non prévenu d'envie. v.964 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Des pareilles à moi n'ai point le coeur ravi, v.970 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Au choix des favoris en font souvent ainsi ; v.974 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Amour sait ajuster les coeurs de tous calibres ; v.975 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Ne vous sera jamais en reproche allégué. v.982 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Çà, votre belle main ; n'attardons l'assemblée. v.984 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Si nous faut-il danser un branle gai nous deux. v.986 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Elle glisse en la presse ainsi qu'une couleuvre. v.987 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Messieurs, j'en ai bien mis de plus laides en oeuvre. v.988 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Que t'en semble, Phulter ? N'ai-je pas eu raison v.989 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- De rembarrer ainsi la mignarde oraison v.990 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Que je fisse la paix rendant ce que j'ai pris ! v.993 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Où serait mon courage ? Où seraient mes esprits ? v.994 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Vraiment, la voilà bonne ! Ils n'ont plus que leur ville v.995 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- J'ai le double sur eux et par mer et par terre, v.999 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Tant en forts combattants qu'en bons vaisseaux de guerre ; v.1000 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Non, non, leur ai-je dit, Abdolomin se trompe v.1003 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Croyant qu'en si bon train ma course j'interrompe ; v.1004 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- « M'a laissé pour leçon qu'une âme bien guerrière v.1007 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Jamais ne doit planter ses bornes en arrière ; v.1008 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Qu'il se dispose donc par offre volontaire v.1011 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- À céder au plus fort, se rendant tributaire v.1012 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- (Et s'assure en ce cas d'un traitement si doux v.1013 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Je n'ai pas, dieu merci, les forces tant cassées v.1019 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Mon courage n'est point affaibli par le temps, v.1021 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Et nonobstant ce poil j'ai mes bras de trente ans. v.1022 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Aussi je suis certain (tant claire est l'apparence, v.1027 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Après le fort bélier, à leurs faibles remparts, v.1033 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Pour y planter dessus nos vainqueurs étendards. v.1034 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Au contraire, Sidon, de son prince étant veuve, v.1039 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Les deux contraires chefs prisonniers demeurèrent. v.1044 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Je ne l'ai pas bien su : jamais d'un long discours v.1045 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Du Mont_Antiliban nos quartiers se plaçaient, v.1053 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- L'horreur et le trépas devant nous s'avançaient, v.1054 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Et le gai souvenir des victoires passées v.1055 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Étourdissait le ciel de nos voix élancées. v.1056 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Ainsi voit-on souvent, par un vol passager, v.1057 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Puis faire, en hachant l'air, les haut-volantes grues, v.1059 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Qu'au clairon de leurs cris retentissent les nues. v.1060 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Même reconnaissant la fougue refroidie v.1063 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mais toujours en sa marche aussi ferme que lent, v.1066 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Voyait à tous moments quelque nouvel objet v.1070 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Où la fortune était diverse remarquée. v.1072 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Nos camps se ressemblaient d'ordonnance à peu près, v.1073 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- De cheval et de pied les décocheurs de traits v.1074 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Composaient l'avant-garde, où, comme à l'ordinaire, v.1075 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Eux et nous avions mis l'arabe mercenaire. v.1076 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Du dard et de l'écu secondaient les archers v.1078 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- (Ainsi que les boucliers mêlés de piques sèches, v.1079 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Serrez, faisaient épaule aux fantassins à flèches), v.1080 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Faisaient l'une et l'autre aile au corps de la bataille, v.1083 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Tous bien armez à cru, de la plus grande taille. v.1084 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Ses plus gros bataillons, d'un et d'autre côté, v.1085 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Notre bagage, en queue, avait pour son appui v.1089 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Des troupes à deux fronts, ce qu'il n'avait pas, lui, v.1090 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Car sa ville à son dos l'assurait. à la tête. v.1091 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Chacun s'éjouissait comme allant à la fête. v.1092 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Gardait son parallèle avec l'infanterie ; v.1096 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Maint peloton volant de tireurs assurez v.1097 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Savait et sa retraite et ses pas mesurez. v.1098 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- On avait mi-parti le jour et la poussière ; v.1100 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Notre avantage était en plus de combattants ; v.1101 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mais le sidonien, rusé comme en tout temps, v.1102 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Étaient entrelacés, pêle-mêle épandus ; v.1106 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Au seul gain de Charon par le ciel destinée ! v.1108 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Faisaient comme en chaos résoudre l'univers ; v.1110 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Chassait avec son fouet la rage et la tempête v.1112 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Sortaient des corps tremblants avec horribles cris. v.1114 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mon prince exécuta mille traits de vaillance, v.1116 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Taillant et renversant plus d'ennemis navrez v.1117 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Caché de son harnois, combattait en son lieu. v.1122 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Il tenait l'aile gauche, et Belcar à la droite, v.1123 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Il éclaircit les rangs ; jamais la fière mort, v.1125 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Par la main d'un mortel ne rendit tel effort. v.1126 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Le foudre suit l'éclair de son acier qu'il lève, v.1127 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mais le piéton se mêle et demeure douteux. v.1133 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- La palme était à nous, quand d'un vallon plus proche, v.1139 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Se laissa prendre, hélas ! Comme il se veid pressé, v.1142 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- N'ayant que trop de coeur, mais manque de conduite. v.1143 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mais un escadron frais vertement le soutint ; v.1146 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Lui, trouvant résistance et faible d'une plaie, v.1147 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Avise à son danger et la retraite essaye ; v.1148 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- La lumière faillante, on commande aux trompettes v.1151 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Si ce coeur magnanime était propre à plier v.1153 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Je te dirai, Phulter, un secret en fiance v.1155 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Qu'avec lui je pourrai tramer une alliance. v.1156 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Que ne ferai-je point et qui ne me craindrait, v.1157 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- J'y serai bien cent ans avant que je m'y lasse ! v.1160 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- J'ai l'esprit tout saisi, j'ai le sein plein de flamme ; v.1163 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Gaigner ce beau tendron qui ne me peut fuir. v.1166 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Je reconnais déjà que la place est prenable, v.1167 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Et pense avoir rendu la brèche raisonnable. v.1168 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Ne vous prodiguez point pour un petit plaisir : v.1170 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Laissez là les amours et pensez à la guerre. v.1172 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- « Mars et son fils Amour ont chacun leur saison : v.1173 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- L'un règne à la campagne et l'autre à la maison. » v.1174 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Il ne faut que la paix où Cupidon domine, v.1175 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Mais il fut sur le fait honteusement surpris. v.1178 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Ô la honte gaillarde, où ceux qui s'en moquèrent v.1179 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Mais plusieurs comme Hercule en ont perdu la vie. v.1183 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Que de s'être montré lascif et fainéant, v.1186 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Amusait à filer sa dextre accouardie. v.1188 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- De faire le stoïque ennemi de nature ! v.1192 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- En la jeunesse il faut que ce mal ait son cours. v.1193 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Si vous me voulez plaire, au lieu d'un tel discours, v.1194 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Excusez, Monseigneur, la crainte que j'en ai : v.1201 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- C'est de vous voir en vain d'un tel souci gêné, v.1202 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Car, s'il en est ainsi comme le bruit en court, v.1205 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Lui donnerait plus tôt la mort ou la prison. v.1210 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Qu'il ne le ferait pas sans s'en bien repentir ! v.1213 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Quand elle aurait pour garde un dragon hespéride, v.1215 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Qui prenait assurance au nombre de cent yeux v.1217 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Pour frauder les plaisirs du monarque des dieux, v.1218 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- J'emporterai ce prix ou de force ou de ruse. v.1220 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- (Ainsi qu'elle m'a dit) l'a tant recommandée : v.1224 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Ne fuirait le déduit qui lui serait offert. v.1226 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Parfaisait avec vous un pair de bonne mine, v.1228 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Semblaient comme animer vos membres et vos corps, v.1230 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Qui faisaient aux danseurs naître et perdre l'envie, v.1231 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Il n'en faut pas mentir, je ne sais quel instinct v.1233 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Non ; mais, pour m'en distraire v.1235 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- (Tant peut sur notre esprit la force imaginaire) v.1236 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Qui par joyeux devis s'embrasait peu à peu, v.1238 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Que, sans les éclaireurs, qui la rendaient peureuse, v.1240 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Qui nous eut fait grand bien d'un et d'autre côté. v.1242 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Ne trouve pas mauvais qu'une autre s'abandonne, v.1248 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Je tiendrai le plus cher d'entre tous mes plaisirs v.1250 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Je la vais de ce pas chatouiller, cajoler, v.1253 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- (m'ayant de sa maison déjà promis l'entrée) v.1255 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Que je l'attraperai, tant soit-elle madrée. v.1256 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Elle est vieille, de vrai ; son haleine me put ; v.1257 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Mais je me contraindrai pour venir à mon but. v.1258 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Puis elle est joviale, aimant le mot pour rire, v.1259 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Et moi je me fais fort de le savoir bien dire. v.1260 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Comme je l'amusai sur un conte plaisant, v.1262 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Jamais ton entretien ne saurait m'ennuyer, v.1266 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Mais de ce cabinet rentrons en notre salle, v.1267 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Pour reprendre un peu l'air et fuir le scandale. v.1268 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Pour maintenir mon droit j'ai la lance en arrêt, v.1270 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Mais souvenez-vous bien de votre foi promise. v.1272 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Si je vous romps jamais mon amour conjugale. v.1275 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Pourrai-je prendre femme à plus grand avantage v.1279 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Je me romprai le col quand je romprai ma foi. v.1282 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Mais pensons à mon maître, et cherchons quelque voie v.1283 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Il est prince loyal, qui bien paye un bienfait, v.1285 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Mais mon frère est bien fin ; devant lui rien ne passe ; v.1288 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Qu'il passera pour dupe ou pour coucou sans aile. v.1292 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Même je vous nuirais. N'espérez pas qu'elle ose v.1295 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Agréer en mes mains si chatouilleuse chose ; v.1296 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Ses plus ardents désirs deviendraient un refus, v.1297 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Qui me rendrait d'abord le visage confus. v.1298 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Faites donc vos essais, vos approches premières ; v.1299 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Rendez-lui par écrit vos plaintes familières. v.1300 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Qu'une ombre échapperait au chien à triple tête v.1303 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Plutôt qu'un messager à cette laide bête. v.1304 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Qui plaignent leur maîtresse et plaignent le soupçon v.1309 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Faites donc par argent ou par vin répandu v.1313 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Sinon d'un trait de plume, au moins de voix fidèle. v.1315 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Reposez-vous du reste et me laissez agir : v.1317 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Faites qu'il soit pourvu d'une échelle à descendre. v.1320 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Quand je veux la baiser, la vilaine me mord. v.1326 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Je deviendrai, ce crois-je, aussi fou qu'elle est sotte. v.1327 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Ce qui le fait ainsi de soi-même irriter. v.1330 (Acte 4, scène 2, TIMADON)
- Ainsi je m'en irai, sans que rien elle en voie, v.1335 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Je recevrai plaisir, tant tenu, tant payé. v.1338 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Prenant (puisqu'à me plaire elle se plaît si peu) v.1341 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Plaisir à lui déplaire en un coin de son feu. v.1342 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Et que, me la voyant baiser et mignarder, v.1345 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Que ne fais-je rencontre, au choix que je projette, v.1347 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Ah ! Je sais bien ton cas. C'est assez, je vois naître v.1351 (Acte 4, scène 2, TIMADON)
- Car si bien sa voix claire à son luth il marie v.1355 (Acte 4, scène 2, TIMADON)
- Eh ! Mon_Dieu, qu'ai-je fait ? v.1359 (Acte 4, scène 3, LE PAGE)
- Non, n'ayez pas de crainte. v.1359 (Acte 4, scène 3, TIMADON)
- C'est pour faire de vous une pucelle feinte. v.1360 (Acte 4, scène 3, TIMADON)
- Et de glaives pointus d'un filet attachez, v.1366 (Acte 4, scène 3, LÉONTE)
- Par les aspects du ciel rendus faibles ou forts ! v.1370 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Qui voudrait aujourd'hui denier, incrédule, v.1371 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Lui, qui n'eût jamais peur des bras plus furieux, v.1381 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- À quoi me résoudrai-je en ce mal sans remède ? v.1384 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Que fais-tu, Timadon ? M'as-tu donc délaissé, v.1385 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Sans aide, sans conseil, et d'ennuis oppressé, v.1386 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- En des jours, ains des ans, me semble prolongé ? v.1390 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Las ! Tu connais assez combien ma peine est dure, v.1391 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Mais tu t'en ris à l'aise ; il faut que je l'endure. v.1392 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Encor si je pouvais soulager mon esprit v.1393 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Mais, pauvre que je suis, nul ne m'ose promettre v.1395 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- De lui faire tenir ce petit mot de lettre. v.1396 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Çà, çà, baillez-la moi ; votre cas ira bien. v.1397 (Acte 4, scène 3, TIMADON)
- Mais dites-moi comment. v.1401 (Acte 4, scène 3, LÉONTE)
- Vous le saurez tantôt avec plus de plaisir. v.1402 (Acte 4, scène 3, TIMADON)
- Je me laisse conduire. v.1403 (Acte 4, scène 3, LÉONTE)
- Quand bien ils me devraient au visage cracher. v.1406 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Cela ne me plaît point et n'en sais que penser, v.1407 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Mais la jeunesse, forte et de course et de dent, v.1411 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- J'ai des filles du roi la dangereuse garde, v.1414 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Dont, tant bien qu'en serait mon devoir acquitté, v.1415 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Que, si l'une des deux glissait à quelque faute, v.1417 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Seule il me convaincrait négligente et peu caute, v.1418 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Mes leçons désormais leur sont des rêveries, v.1422 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Leur coeur en tel état aux plaisirs est enclin, v.1423 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Je le sais bien par moi : dès mes jeunes saisons v.1427 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Je me suis fait frotter pour ces démangeaisons, v.1428 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Que, si même un magot poursuivant s'y rendait, v.1431 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Il nous ferait tomber du seul bout de son doigt. v.1432 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Au lieu de la raison pour bride étant donnée, v.1434 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- De vrai, jusqu'à présent force dignes partis v.1447 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Son air toujours gaillard, son visage poupin, v.1455 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Sa taille sans excès, mais droite comme un pin, v.1456 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Aussitôt il s'y brûle ainsi qu'un papillon, v.1460 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Garde mille rivaux d'y faire trop de presse. v.1462 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Or notre souverain, connaissant son humeur, v.1463 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- N'ait rien fait qui ne soit privilège de l'âge, v.1466 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Et, n'était qu'aujourd'hui contre une offre de paix v.1471 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Il a reconfirmé la guerre pour jamais, v.1472 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Je croirai qu'en son coeur l'alliance il projette v.1473 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Voyant qu'à toutes deux il daigne recharger v.1475 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- C'est dont je suis en peine, et crains que peu à peu v.1479 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- De ces miroirs ardents il naisse quelque feu, v.1480 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Duquel lorsqu'on voudra rendre la braise éteinte, v.1481 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Il faudra le souffrir et nourrir par contrainte, v.1482 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Toutes conditions il baille à notre choix, v.1491 (Acte 4, scène 4, MÉLIANE)
- Son entregent fait voir qu'il ne manque en aucunes. v.1502 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Au fort j'aimerais mieux m'empêtrer au lien v.1503 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- D'un homme si parfait, quoique privé de bien, v.1504 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Je vais non seulement un royaume acquérir, v.1508 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Mais vaincre, qui plus est, son rude antagoniste, v.1509 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Et faire qu'en ses mains de tout il se désiste, v.1510 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Serait-il pas ingrat si pour un tel bien fait v.1511 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Il ne se revengeait d'un réciproque effet, v.1512 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- L'aise m'étouffera si mon coeur ne l'évente ; v.1517 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Mais je n'ai confiance à nulle âme vivante v.1518 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Bien qu'ainsi que ma soeur son lait ne m'ait nourrie, v.1521 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Aussi m'a mis ès mains mon libéral amant, v.1523 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Le ciel bénit l'affaire entre nous deux promise. v.1526 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Je n'ai rien entendu qui me soit déplaisant. v.1527 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Courage, c'est bien fait ; je prendrai ce présent, v.1528 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Et, si sa majesté ne se cabre au contraire, v.1529 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- D'aider à ce dessein rien ne me peut distraire. v.1530 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- En vain, pauvre Cassandre, en vain t'efforces-tu v.1531 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- De résister aux traits dont ton coeur est battu : v.1532 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Belcar est ton vainqueur. Il faut céder, pauvrette. v.1533 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Ne fais plus de la fine, et confesse la dette. v.1534 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Ha ! Bons dieux ! Qu'à mon dam je crains d'avoir appris v.1535 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Qui pis est, je me plains sans bien savoir de quoi ; v.1539 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Déjà de cruauté j'ai son âme blâmée, v.1541 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Et si n'ai point encor sa pitié raclamée. v.1542 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Et si tiens son absence à souverain malheur. v.1544 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Je sais que mon désir est contre la raison, v.1547 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Est traître à mon honneur et traître à ma maison, v.1548 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Et toutefois je vais, comme à bride abattue, v.1549 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Ainsi qu'un clair ruisseau dont le cours élancé, v.1551 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Tout volontairement, par soi-même forcé, v.1552 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Cherche un fleuve puissant qui, sans en faire estime, v.1553 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- J'encourrai le péril où mon instinct me pousse. v.1557 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Je vais le visiter. Qu'il me ferait grand bien v.1559 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Je n'y mènerai plus cette soeur importune v.1561 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Qui pourrait bien m'ôter l'espoir de ma fortune. v.1562 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Que tu me rends gaillard et que j'aime tes brindes ! v.1564 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Tous les soucis chagrins qui troublaient mon cerveau, v.1565 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Je danse les cinq pas ; mais la rue est étroite. v.1568 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Ô ! Qu'aujourd'hui j'ai fait une plaisante vie ! v.1571 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- De ce doux souvenir j'ai l'âme encor ravie. v.1572 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Ni le pain ni le vin ne m'ont pas semblé cher, v.1573 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Mais on m'a bien vendu ce que j'ai pris de chair. v.1574 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Mais il faut être chaud comme les passereaux v.1577 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Pour ne plaindre l'argent qu'on donne aux maquereaux v.1578 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Sentant du premier coup défaillir mon baston. v.1581 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Ma main s'appuie au crin, mes lèvres au téton, v.1582 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Enfin, j'ai fait passer trente beautés en monstre, v.1584 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Si n'ai-je rien vu là qui mon désir enflamme, v.1587 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Et n'ai trouvé putain plus belle que ma femme. v.1588 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- À d'autres pour le soir mon cas était remis, v.1589 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Où j'aurai l'arbitrage avec un compromis ; v.1590 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Mais il faut qu'un sommeil ma débauche accourcisse : v.1591 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- J'ai besoin de repos plus que d'autre exercice. v.1592 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Le vilain n'entend point. Hé ! Hé ! Dépêche-toi ! v.1594 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Mais je t'aurai, coquin ! Tout beau ! J'ai peur de choir ; v.1597 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- La crête de coq d'Inde à vos aines pendue ? v.1604 (Acte 4, scène 9, TIMADON)
- Gardez qu'avec la main le méfiant magot, v.1605 (Acte 4, scène 9, TIMADON)
- J'ai fait de mon relief une plate peinture ; v.1607 (Acte 4, scène 9, LE PAGE)
- Assurait son faquin d'un aussi fort plastron, v.1609 (Acte 4, scène 9, LE PAGE)
- Le plus hardi lancier y deviendrait poltron. v.1610 (Acte 4, scène 9, LE PAGE)
- Taisez-vous, je le vois ; mais je crois qu'il sommeille. v.1611 (Acte 4, scène 9, TIMADON)
- Quittons les bataillons cruels v.1613 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- De notre valeur faire monstre. v.1616 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1617 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Et vive l'amour et la paix ! v.1620 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Où des vainqueurs et des vaincus v.1626 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1628 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Et vive l'amour et la paix ! v.1631 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Il fait toujours grand bien au ventre. v.1637 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1638 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Et vive l'amour et la paix ! v.1641 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Mais le désir de l'autre est hors de mon pouvoir. v.1643 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Ce n'est qu'en chair morte où la paix v.1644 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Et ce n'est qu'aux trous déjà faits v.1646 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1648 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Et vive l'amour et la paix ! v.1651 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Ô plaisirs qui me semblez seuls, v.1652 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Qu'il fait bon mouvoir les linceuls v.1654 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Quand la nappe a fait son service ! v.1655 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1656 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Et vive l'amour et la paix ! v.1659 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Il lui faut la chair vive après toute viande. v.1661 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Ne trouverai-je point quelque drôle aujourd'hui v.1662 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Que voici bien mon fait ! Viens, ma mignonne, approche. v.1664 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Ô ! Que votre bataille est trop mol pour ma cloche ! v.1665 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Vous m'avez le minois, bon homme, de bailler v.1666 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Plus d'argent pour chaumer que pour bien travailler. v.1667 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- De vrai, pour aujourd'hui j'ai devancé ma tâche ; v.1668 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Mais si jusqu'à demain l'attente ne te fâche, v.1669 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Pour faire un petit saut vous prenez grande course. v.1672 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Mais cependant, mon père, où ferai-je mon nid ? v.1674 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Changez cette L en V ; rimez de ce que j'aime, v.1676 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Que, voyant que ma femme a le timbre mal sain, v.1679 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Pour vaincre en son esprit l'humeur mélancolique. v.1681 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Si la folle en dansait, nous ferions un beau coup ! v.1682 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Je la ferai danser, mais le branle du loup. v.1683 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Demain, dès l'aube fraîche, v.1684 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- En ma maison des champs, où nul oeil ne m'empêche, v.1685 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- La lessive se fait, et j'en ai puisé l'eau. v.1691 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Mille niches me font, si je ne prends le faix v.1694 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Des ouvrages plus forts pour acheter la paix. v.1695 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Enfin, j'en suis si las que la mort j'en souhaite, v.1696 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Revenge-toi, vilain ! v.1698 (Acte 4, scène 11, ZOROTE)
- Tiendrai-je tête à dix, v.1698 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Comment sortirait-elle avec tous ses ennuis, v.1702 (Acte 4, scène 11, LE PAGE)
- Pour combler la maison de toute mal-encontre. v.1705 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Tais-toi, fol corybant ! Tais-toi, cul dégradé ! v.1706 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Toi, Ménade, tais-toi ! Tais-toi, cul débordé ! v.1707 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Bouquin châtré de lait ! v.1709 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Chapon mal recousu ! Vieil hongre à maigre dos ! v.1710 (Acte 4, scène 11, LE PAGE)
- Je t'aurai tôt appris à sauter en cadence ! v.1713 (Acte 4, scène 11, LE PAGE)
- J'aime fort à danser des machoires d'en bas ; v.1714 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Pour t'apprendre une danse autre que la gaillarde. v.1717 (Acte 4, scène 11, LE PAGE)
- Le service est pour nous ; messieurs les capitaines v.1720 (Acte 5, scène 1, LA-RUINE)
- Combien qu'aux bons effets nous paraissions plus qu'eux. v.1723 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Ou si d'une déroute ils craignent l'infortune, v.1725 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Mais si tôt qu'ils ont vu l'occasion passée, v.1732 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Si nous sommes vainqueurs, l'honneur en est à tous ; v.1734 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Mais le fruit du travail n'en revient point à nous : v.1735 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Le gain remonte aux chefs, la risque étant finie, v.1736 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Ne nous laissent jouir que des quatre éléments. v.1739 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Si nous sommes battus, chacun lèche sa plaie, v.1740 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Jamais notre bon temps n'arrive qu'en cachettes, v.1744 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- À peine ayant le saoul de mauvais pain et d'eau. v.1747 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Cependant ces messieurs veulent que, pour leur plaire, v.1748 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Nous ayons l'oeil gaillard, l'armure toujours claire, v.1749 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Il est vrai que souvent nous faisons la débauche v.1752 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Un passant nous prendrait pour un ballet d'ivrognes. v.1757 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Ou sur terre, ou dans l'air, que m'importe où je meure, v.1768 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Qu'ainsi ne soit, le monde est plein de voleries ; v.1772 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Les larcins couverts tournent en railleries. v.1773 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Quand j'ai tout regardé, je vois bien des larrons. v.1775 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Au fort, je ne crois pas qu'un bon tireur de laine v.1776 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Puisse avoir, au gibet, posture plus vilaine v.1777 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Et toujours affamé comme un maigre verrat. v.1779 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- J'ai pour toi quelque chose. v.1781 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Je sais bien un bon coup : y veux-tu prendre part ? v.1783 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Ha ! Bon ! Que faut-il faire ? v.1786 (Acte 5, scène 1, LA-RUINE)
- Tu sais que de long-temps nous sommes ébahis v.1787 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- À quoi pense le roi ? J'ai peur qu'il soit en fin v.1790 (Acte 5, scène 1, LA-RUINE)
- Que d'un oeil attentif il n'ait bien reconnues, v.1793 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Or bien, l'occasion se présente certaine v.1796 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Pour entrer en un lieu prochain de ma demeure, v.1801 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Avec un bon vaisseau qui nous mettra dehors. v.1807 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- A découvert le fait et ce dessein tramé. v.1811 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Pour ne perdre le temps, j'abrègerai le conte : v.1812 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Un certain escalier, qui vers ma chambre monte, v.1813 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- De là donc, par hasard, prochain sans être en vue, v.1816 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- J'ai fort bien entendu la lettre qu'il a lue, v.1817 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Qu'un sien page gaillard lui venait de bailler v.1818 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- (Page qu'il avait fait en fillette habiller), v.1819 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Dont, et de leurs devis prononcez à voix claire, v.1820 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Je me suis fait savant de tout ce beau mystère, v.1821 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Et ne l'ai pas sitôt découvert au jaloux v.1822 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Qu'il a soudain conclu sa vengeance par nous. v.1823 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Tu toucheras monnaie avant les coups donnés. v.1827 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Laissons, mon cher ami, ce beau prince à son aise, v.1828 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Pour aller, comme lui, ralentir notre braise ; v.1829 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- L'heure de son retour ne vous saurait tromper ; v.1830 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Mais comment as-tu fait ? Conte-le-moi, ma belle ; v.1832 (Acte 5, scène 2, TIMADON)
- Une drachme d'argent nous en a fait raison, v.1834 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Dont en un cabaret voisin de la maison v.1835 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Le vilain, revenu, dort sur le seuil de l'huis. v.1838 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Servira de retraite à ton grand capitaine ; v.1840 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Qu'incertain des enfants engendrez en mon lit, v.1850 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Je les aie en horreur, bien que nés du délit ! v.1851 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Ô ! Que je suis trop fier, et que j'ai tout mon age v.1852 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Passé (chacun le sait) avec trop de courage ! v.1853 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Tu devais t'adresser, Léonte, à des niais, v.1854 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Poltrons ou gens de peu ; moi, je suis trop mauvais, v.1855 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Ou, si mes estafiers faillent à leur dessein, v.1858 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Moi-même d'un poignard te percerai le sein, v.1859 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Dussé-je de plein jour, aidé du parentage, v.1860 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Et ceux qui n'en ont point m'aimeraient mieux aider v.1867 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- J'ai donc tout mon refuge à mes deniers contant. v.1870 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Moyennant cette drogue on fait tout en ce temps. v.1871 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Qu'ainsi ne soit : déjà j'ai dressé l'embuscade v.1872 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Qui ne pourront faillir d'attraper au sortir, v.1874 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Sous l'aile de la nuit, ce beau mignon de Tyr. v.1875 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Lors qui devinera, qui pourra faire preuve v.1876 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Quels seront les auteurs d'un meurtre si tôt fait ? v.1878 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Pour moi, je suis bien sûr, sans crainte qu'on m'impute v.1880 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- D'un sujet spécieux à ce faire incité, v.1883 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Le cerf est rembuché ; les relais, bien posés, v.1886 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Léonte, c'en est fait, tout prince que vous êtes, v.1888 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Bluettes du soleil, que j'aime votre flamme, v.1900 (Acte 5, scène 4, LÉONTE)
- Vous paraissez de nuit et vous cachez de jour v.1902 (Acte 5, scène 4, L?ONTE)
- (mais toujours sans repos) : ainsi fait mon amour. v.1903 (Acte 5, scène 4, L?ONTE)
- Ainsi brûle mon coeur en mon corps qui frissonne. v.1905 (Acte 5, scène 4, L?ONTE)
- Vous êtes à souhait au comble de tous biens ; v.1906 (Acte 5, scène 4, L?ONTE)
- Canailles, vous fuyez ! v.1912 (Acte 5, scène 4, LÉONTE)
- Je n'en ai nulle envie. v.1913 (Acte 5, scène 4, LÉONTE)
- À l'aide ! Je suis mort ! v.1914 (Acte 5, scène 4, LA-DÉBAUCHE)
- Les plus mauvais sont morts. Que le reste s'enfuie ! v.1920 (Acte 5, scène 5, LÉONTE)
- Que ferai-je ! Ô bons dieux ! v.1922 (Acte 5, scène 5, TIMADON)
- Moi, je meurs volontiers, puisque je suis vainqueur. v.1923 (Acte 5, scène 5, LÉONTE)
- Voyons, éclairez-moi... je connais ces visages, v.1929 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- Mais ils ne diront pas où sont leurs compagnons. v.1930 (Acte 5, scène 6, LE PREVOT)
- Je pensai qu'à chacun ce doux nom fût permis. v.1939 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- Dites-moi donc comment d'ordinaire on vous nomme. v.1940 (Acte 5, scène 6, LE PREVOT)
- Quelque fat le dirait : je ne suis pas votre homme. v.1941 (Acte 5, scène 6, SOLDAT)
- Bien, passez ; mais au moins vous direz, s'il vous plaît, v.1942 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- Qu'importe d'où je vienne ? En avez-vous affaire ? v.1944 (Acte 5, scène 6, SOLDAT)
- Tout doux, ce que j'en dis n'est pas pour vous déplaire ; v.1945 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- Si voudrai-je savoir où vous étiez alors v.1946 (Acte 5, scène 6, LE PREVOT)
- Qu'il s'est fait un grand bruit à l'entour de ces corps. v.1947 (Acte 5, scène 6, LE PREVOT)
- Vous faites le fendant ? v.1950 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- Mais est-il vrai, Balorte ? Allez et le voyez. v.1954 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Aucun n'est revenu ; mais, au dire du page, v.1956 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Son maître n'a de soi que tout mauvais présage. v.1957 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Mais il monte plus haut, car il crache le sang. v.1959 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Battu de la fortune et jamais abattu. v.1963 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Mais sans un bon traité ne vous laissez pas prendre. v.1965 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Quel traité puis-je avoir de si forts ennemis ? v.1966 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Et l'honneur ne craint pas qu'un voleur le détrousse. v.1969 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Sire, en sa défaillance, v.1972 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Ses paroles n'ont point démenti sa vaillance. v.1973 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Il était sur un lit ; sa mortelle douleur v.1974 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Marquait son écuyer d'une même couleur, v.1975 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Hormis que le blessé faisait bien sa harangue, v.1976 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Et l'autre avait perdu l'usage de la langue : v.1977 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Vois que moi-même seul je me vais consolent ; v.1979 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- À mon esprit content ne laisse aucun regret, v.1983 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Sinon le seul penser de sa plainte future. v.1984 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Mais, hélas ! Qu'il supplée à ma triste aventure ; v.1985 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Quand il ne voudrait pas vivre pour sa patrie, v.1988 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Ah ! Le pauvre Belcar ! J'ai bien peur qu'il pâtisse. v.1996 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Avec quelle raison ni couleur de justice ? v.1997 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Cet acte à tout le monde offenserait l'oreille. v.2000 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Cet acte, à son avis, me rendrait la pareille. v.2001 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Il aime trop l'honneur pour en user ainsi. v.2002 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Pour absoudre mon fils, il le hait trop aussi. v.2003 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Donc, ô dieu souverain, modèle des bons rois, v.2010 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Mais qui, plus mille fois clairvoyant que Lyncée, v.2012 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Pénètres les cachots de l'humaine pensée ! v.2013 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Ô juge sans appel, examinent les faits v.2014 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Des grands et des petits, des bons et des mauvais ; v.2015 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Si depuis mon printemps j'ai choisi mon entrée v.2016 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Au vrai temple d'honneur par la porte d'Astrée ; v.2017 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Si j'ai si bien vécu que jamais ma candeur v.2018 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Si j'ai le coeur sans fiel, et si la convoitise v.2020 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Ne me souilla jamais d'un acte de feintise, v.2021 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- J'ai dressé contre lui ce tour de cruauté, v.2027 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Si j'avais rien prévu de sa perte soudaine, v.2028 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Et si je ne voudrais, sous l'Érèbe enfermé, v.2030 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Le supplice en serait et trop noble et trop court ; v.2034 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Mais que le grand portail de l'infernale court v.2035 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Que je sois pour jamais privé de mon empire, v.2041 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Que l'air m'ôte son souffle et le feu sa splendeur, v.2046 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Je vive a tous ennuis, à tous plaisirs je meure. v.2049 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Quand le désastre vient, d'en avoir déplaisir. v.2051 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Ressentait le malheur avant qu'il nous arrive, v.2053 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Nos plus beaux jours, troublez de cette connaissance, v.2056 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Rompraient de nos plaisirs la douce jouissance. v.2057 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Mais ceux que la sagesse a rendus forts et durs, v.2058 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Tant que faire se peut, de la douleur présente, v.2061 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Dans les 1907 textes du corpus, il y a 1 textes (soit une présence dans 0,05 % des textes) dans lesquels il y a 1786 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 1 786,00 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 5 | Acte 4 | Total |
1 | TYR et SYDON | 289 | 189 | 163 | 310 | 0 | 951 |
2 | TYR et SYDON | 175 | 139 | 178 | 143 | 200 | 835 |
Total | 464 | 328 | 341 | 453 | 200 | 1786 |