Occurences de l'expression

je

pour SEDAINE, Michel-Jean

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LE PHILOSOPHE SANS LE SAVOIR (1766)

Je vous surprends votre mouchoir à la main, l'air embarrassé, et vous essuyant les yeux, et je ne peux pas savoir pourquoi vous pleurez ? (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
Bon, mon Papa, les jeunes filles pleurent quelquefois pour se désennuyer. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Je ne me paye pas de cette raison-là. (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
Je venais vous demander.... (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Et moi je vous demande ce que vous avez à pleurer et je vous prie de me le dire. (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
Je suis descendue chez le Caissier de la part de Madame. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
C'est ce que j'ai demandé. Je ne sais, m'a dit l'un de ces Messieurs, ce sont deux jeunes gens : l'un est officier dans la cavalerie et l'autre dans la marine. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Jeune ? (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Ils ont souri : j'ai rougi et je n'ai osé continuer. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
C'est ce que je me disais. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
N'y a-t-il que lui de jeune ? (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
Oui, je pleurais. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Comment, c'est le fils de la maison : feue ma mère l'a nourri ; c'est mon frère de lait ; c'est le frère de ma jeune Maîtresse ; et vous-même vous l'aimez bien. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Je ne vous le défends pas ; mais soyez raisonnable. (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
Je le souhaite. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Il faut que je la remette moi-même : mon Maître me l'a ordonné. (Acte 1, scène 2, LE DOMESTIQUE)
Si ce n'est qu'une lettre d'affaires, je suis son homme de confiance, et je... (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
Il faut que je la remette en main propre. (Acte 1, scène 2, LE DOMESTIQUE)
En ce cas, passez au magasin et attendez, je vous ferai avertir. (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
Je voudrais que vous vissiez Mademoiselle avec ses habits de noces : on vient de les essayer. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Je vous dirai ; mais vous n'en parlerez pas. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Mademoiselle va se faire annoncer comme une dame de condition sous un autre nom et je suis sûre que Monsieur y sera trompé. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Je m'en vais : vous nous avertirez. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Je vais les y mener. (Acte 1, scène 4, ANTOINE)
Je me charge de tout. (Acte 1, scène 4, ANTOINE)
Je le sais. (Acte 1, scène 4, ANTOINE)
Je ne veux pas de débauches. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je le leur dirai. (Acte 1, scène 4, ANTOINE)
Je veux recevoir leur santé et boire à la leur. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Si tu n'as pas assez de ce que je t'ai donné, avance-le. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je crois que voilà tout.... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Puis-je savoir de Madame ce qui me procure l'honneur de la voir ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je suis toute interdite. (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
Je vais.... (Acte 1, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Monsieur, je suis votre très humble et très obéissante servante. (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
Je ne suis pas une voleuse et voici votre argent, que vous donnez avec tant de confiance à la première personne. (Acte 1, scène 6, SOPHIE)
Je ne veux pas que dans toute ta vie tu puisses te reprocher une fausseté même en badinant. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Ton billet, je le tiens pour bon. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je suis complice et voici la main qui a signé. (Acte 1, scène 7, LE GENDRE)
Voilà comme je la punis. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Devinez ce que je veux vous dire. (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
Je voudrais bien vous deviner... (Acte 1, scène 7, LE GENDRE)
Mon cher père, je... (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
Si jamais je l'oublie ! (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
Je vous assure, Victorine, que plus vous avancez en âge, et plus vous extravaguez. (Acte 1, scène 8, MADAME VANDERK)
Et moi, mon frère, je trouve fort mal de ce qu'un jour comme celui-ci vous êtes revenu si tard. (Acte 1, scène 10, SOPHIE)
Non, mon frère, je veux que vous la gardiez comme un reproche éternel de ce que vous vous êtes fait attendre. (Acte 1, scène 10, SOPHIE)
Et moi je l'accepte de bon coeur. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Puissé-je, à chaque fois que j'y regarderai, me féliciter de vous savoir heureuse. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je dormais. (Acte 2, scène 1, LE DOMESTIQUE)
Je n'en sais rien : eh bien, votre maître est-il rentré ? (Acte 2, scène 1, LE DOMESTIQUE)
Enfin, puis-je lui remettre ma lettre ? (Acte 2, scène 1, LE DOMESTIQUE)
Je ne voulais pas sortir ; il semblait que j'avais un pressentiment. (Acte 2, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
C'est l'état de mon Père, et je ne souffrirai jamais qu'on l'avilisse... (Acte 2, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je vois toutes ses inquiétudes, toute sa douleur, le désespoir de ma Mère, ma soeur, cette pauvre Victorine, Antoine, toute une famille. (Acte 2, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Que ne donnerais je pas pour reculer d'un jour, d'un seul jour; reculer... (Acte 2, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Non certes, je ne reculerai pas. (Acte 2, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je déclamais ; je.... je faisais le héros. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Faites, si cela vous amuse : mais, il faudrait quelques précautions, dites le-moi ; et s'il ne faut pas que je le sache, je ne le saurai pas. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je vous suis obligé, mon père ; je vous le dirais. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Si vous me trompez, prenez-y garde ; je ferai cabale. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne crains pas cela ; mais, mon père, on vient de lire le contrat de mariage de ma soeur : nous l'avons tous signé. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Est-ce que celui que je porte ?... (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je le suis. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Vous doutez de ce que je dis. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Il n'est pas possible que je sois gentilhomme ? (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne dis pas cela. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne voulais pas dire cela. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
J'ai été élevé par votre bisaïeul : mon père fut tué fort jeune à la tête de son régiment. Si vous étiez moins raisonnable, je ne vous confierais pas l'histoire de ma jeunesse et la voici. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Dans l'âge où l'on ne choisit pas, j'ai eu le bonheur de bien choisir. Un jeune officier, venu en quartier d'hiver dans la Province, trouva mauvais qu'un enfant de seize ans, c'était mon âge, attirât les attentions d'un autre enfant : votre mère n'avait pas douze ans : il me traita avec une hauteur, je ne le supportai pas, nous nous battîmes. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je fus forcé de quitter la Province : votre Mère me jura une constance qu'elle a eue toute sa vie. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je m'embarquai. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Nous fumes attaqués, et je lui fus utile, (c'est là que j'ai connu Antoine.) (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je lui dis mes engagements, il m'approuve, il part, il obtient le consentement des parents de votre mère, il me l'amène avec sa nourrice : c'est cette bonne vieille qui est ici. Nous nous marions ; le bon Hollandais mourut dans mes bras, je pris à sa prière et son nom et son commerce : le Ciel a béni ma fortune, je ne peux pas être plus heureux, je suis estimé : voici votre soeur bien établie, votre beau-frère remplit avec honneur une des premières places dans la robe. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je ne le pense pas ; mais le préjugé est malheureusement si fort... (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne connais que deux états au dessus du commerçant, (en supposant encore qu'il y ait quelque différence entre ceux qui font le mieux qu'ils peuvent dans le rang où le Ciel les a placés.) (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne connais que deux états, le Magistrat qui fait parler les Lois et le Guerrier qui défend la Patrie. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je suis donc gentilhomme ? (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je vous ai épargné jusqu'à cet instant les réflexions que vous venez de faire, réflexions qui dans un âge moins avancé se seraient produites avec plus d'amertume. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne crois pas que jamais... (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je l'ai oublié, on a soupé, il s'est endormi. (Acte 2, scène 5, ANTOINE)
Je me suis endormi ; ma foi, on est las... on est las..... (Acte 2, scène 5, LE DOMESTIQUE)
Il n'y a pas longtemps que je suis à lui ; mais il a servi. (Acte 2, scène 5, LE DOMESTIQUE)
Dites à votre maître, dites à Monsieur_Desparville que demain entre trois et quatre heures après midi je l'attends ici. (Acte 2, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Dites, je vous en prie, que je suis bien fâché de ne pouvoir lui donner une heure plus prompte, que je suis dans l'embarras. (Acte 2, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je sais, je sais .... (Acte 2, scène 5, LE DOMESTIQUE)
Mon père, je vous prie de pardonner à mes réflexions. (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK FILS)
Votre tante, ma propre soeur ; elle devrait être arrivée ; c'est en vain que je l'ai établie honorablement ; elle est veuve à présent et sans enfants ; elle jouit de tous les revenus des biens que je vous ai achetés ; je l'ai comblée de tout ce que j'ai cru devoir satisfaire ses voeux : cependant elle ne me pardonnera jamais l'état que j'ai pris ; et lorsque mes dons ne profanent pas ses mains, le nom de frère profanerait ses lèvres : elle est cependant la meilleure de toutes les femmes ; mais voilà comme un honneur de préjugé étouffe les sentiments de la nature et de la reconnaissance. (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Mais, mon père, à vôtre place je ne lui pardonnerais jamais. (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK FILS)
Ce silence entrait dans mon système à votre égard ; elle vit dans le fond du Berry ; elle n'y soutient qu'avec trop de hauteur le nom de nos ancêtres ; et l'idée de noblesse est si forte en elle, que je ne lui aurais pas persuadé de venir au mariage de votre soeur, si je ne lui avais écrit qu'elle épouse un homme de qualité ; encore a-t-elle mis des conditions singulières. (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Mon cher frère, m'écrit-elle, j'irai ; mais ne serait-il pas mieux que je ne passasse que pour une parente éloignée de votre femme, pour une protectrice de la famille ? Elle appuie cela de tous les mauvais raisonnements qui... (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je vais voir. (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK FILS)
Voici, je crois, ma belle-soeur. (Acte 2, scène 7, MADAME VANDERK)
Restez ici, je vais au devant d'elle. (Acte 2, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Vous accompagnerai-je ? (Acte 2, scène 7, LE GENDRE)
Non, je vous assure. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne doute pas qu'elle ne le soit. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR VANDERK FILS)
L'appellerai-je ma tante ? (Acte 2, scène 8, SOPHIE)
J'ai les yeux éblouis, écartez ces flambeaux ; point d'ordre sur les routes, je devrais être ici il y a deux heures : soyez de condition, n'en soyez pas, une Duchesse, une Financière, c'est égal ; des chevaux terribles, mes femmes ont eu des peurs ; laissez ma robe, vous. (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Quel est ce Monsieur noir et ce jeune homme? (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Non, il est trop jeune. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Lorsque par ses services il aura mérité la faveur de la Cour, je suis tout prêt. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Moi, je me serais peu embarrassée de cet amour-là, et j'aurais voulu que mon gendre eût eu un rang avant de lui donner ma fille. (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Oui, Madame, et je m'en fais honneur. (Acte 2, scène 9, LE GENDRE)
Je vous fais, Monsieur, mon compliment, je suis charmée de vous voir uni à une famille. (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
À une famille à laquelle je prends le plus vif intérêt. (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Mademoiselle a dans toute sa personne un air, une grâce, un sérieux, une modestie ; elle sera dignement Madame_la_Présidente : et ce jeune Monsieur ? (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Monsieur, je veux l'emmener, je veux le faire connaître dans la Province, je le présenterai ; ah ! (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Il est charmant : je le retiens demain pour me donner la main. (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Ma chère tante, je vous souhaite... (Acte 2, scène 9, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je m'en doute bien. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Que je la vois encore : Ah, elle est belle ; des diamants, à répétition: il est onze_heures 7, 8, 9, 10 minutes, onze_heures_dix_minutes. (Acte 2, scène 10, VICTORINE)
Voulez-vous que je vous dise tout ce que vous ferez demain ? (Acte 2, scène 10, VICTORINE)
Ce que je ferai ? (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Si je le suis... (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je parie que voilà tout ce que vous ferez demain. (Acte 2, scène 10, VICTORINE)
Tu serais bien étonnée si je ne faisais rien de tout cela. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
C'est joli, une montre à répétition : lorsqu'on se réveille, on sonne l'heure : je crois que je me réveillerais exprès. (Acte 2, scène 10, VICTORINE)
Eh bien, je veux qu'elle passe la nuit dans ta chambre, pour savoir si tu te réveilleras. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je t'en prie. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
N'ai-je pas ma pendule ? (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je n'oublie rien. (Acte 2, scène 12, ANTOINE)
J'ai cherché partout, sur la fenêtre, derrière la porte ; j'ai tâté le long de la barre_de_fer, je n'ai rien trouvé : enfin j'ai réveillé le portier. (Acte 3, scène 1, SON DOMESTIQUE)
Je n'en sais rien. (Acte 3, scène 1, SON DOMESTIQUE)
Je ne l'ai pas demandé : voulez-vous que j'y aille ? (Acte 3, scène 1, SON DOMESTIQUE)
Où irai-je ? (Acte 3, scène 1, SON DOMESTIQUE)
Que vais-je faire ? (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je lui dirai... (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je veux sortir... (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je n'entends rien... (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne veux pas attendre moi. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Rien de moins extraordinaire ; j'ai affaire, moi ; je sors. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je vais à deux pas : quand j'irais plus loin. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Eh bien, je vais à deux lieues d'ici ; mon père m'a dit de lui faire une commission. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne sais pas mentir. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
C'est vrai : hier au soir, je ne m'en ressouvenais pas. (Acte 3, scène 3, ANTOINE)
Demandez-lui, je n'en sais rien. (Acte 3, scène 3, ANTOINE)
Il veut se lever le premier : enfin que sais-je ? (Acte 3, scène 3, ANTOINE)
Rends-moi un petit service : entre tout doucement, je t'en prie, dans l'appartement de mon père : il aura mis les clefs sur quelque table, sur quelque chaise ; apporte-les moi. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Prends garde de le réveiller, je serais au désespoir d'avoir été la cause que son sommeil eût été troublé. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Mon père, que je suis fâché ! (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je le lui avais dit ; mais il aura fait du bruit, il vous aura réveillé. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Non, je l'étais. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Une fantaisie d'exercice ; je voulais faire le tour du rempart : une idée... un caprice qui m'a pris tout d'un coup ce matin. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je vous le demande. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Mon fils, jusqu'à cet instant je n'ai connu en vous ni détour, ni mensonge : si ce que vous me dites est vrai, répétez-le moi, et je vous croirai.............. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Si ce sont quelques raisons, quelques folies de votre âge, de ces niaiseries qu'un père peut soupçonner, mais ne doit jamais savoir ; quelque peine que cela me fasse, je n'exige pas une confidence dont nous rougirions l'un et l'autre : voici les clefs, sortez... (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Vous me l'avez dit hier : vous avez été insulté ; vous étiez jeune ; vous vous êtes battu ; vous le feriez encore. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Que je suis malheureux ! (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je sens que je vais faire le malheur de votre vie. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Promettez-moi que quelque chose que je vous dise, votre bonté ne me détournera pas de ce que je dois faire. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Mon père, voilà ce que je craignais. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Et puis-je savoir de vous un détail plus étendu de votre querelle, et de ce qui l'a causée, enfin de tout ce qui s'est passé ? (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Jamais, jamais, je n'ai eu tant besoin d'un ami, et surtout de vous. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
L'histoire n'est pas longue : la pluie qui est survenue hier, m'a forcé d'entrer dans un café ; je jouais une partie d'échecs : j'entends à quelques pas de moi quelqu'un qui parlait avec chaleur : il racontait je ne sais quoi de son père, d'un marchand, d'un escompte, des billets ; mais je suis certain d'avoir entendu très distinctement : oui... (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Tous ces négociants, tous ces commerçants sont des fripons, sont des misérables. Je me suis retourné, je l'ai regardé : lui sans nul égard, sans nulle attention, a répété le même discours. Je me suis levé, je lui ai dit à l'oreille qu'il n'y avait qu'un malhonnête homme qui pût tenir de pareils propos : nous sommes sortis; on nous a séparés. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je sais, mon père, tous les reproches que vous pouvez me faire : cet officier pouvait être dans un instant d'humeur : ce qu'il disait pouvait ne pas me regarder : lorsqu'on dit tout le monde, on ne dit personne ; peut-être même ne faisait-il que raconter ce qu'on lui avait dit : et voilà mon chagrin, voilà mon tourment. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Mon retour sur moi-même a fait mon supplice : il faut que je cherche à égorger un homme qui peut n'avoir pas tort. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je crois cependant qu'il l'a dit, parce que j'étais présent. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne le connais pas. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je pense si souvent que j'ai un fils. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Dans quelle incertitude, dans quelle peine jetiez-vous aujourd'hui votre mère et moi ! (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Oui, elles sont justes ces lois... Un peuple... je ne sais lequel... Les Romains, je crois, accordaient des récompenses à qui conservait la vie d'un citoyen. Quelle punition ne mérite pas un Français qui médite d'en égorger un autre, qui projette un assassinat ! (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je vais réfléchir aux moyens qui peuvent vous sauver et l'honneur et la vie. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je n'en ai aucune. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je... (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Infortuné, comme on doit peu compter sur le bonheur présent : je me suis couché le plus tranquille, le plus heureux des pères, et me voilà. (Acte 3, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne puis avoir trop de confiance... (Acte 3, scène 6, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Ce que je veux : ah ! (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne t'ai pas entendu entrer. (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je t'ai appelé... (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Antoine, je connais ta discrétion, ton amitié pour moi et pour mon fils ; il sortait pour se battre. (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je vais. (Acte 3, scène 7, ANTOINE)
Tout le quartier va le défendre: je vais réveiller.... (Acte 3, scène 7, ANTOINE)
Tais-toi, il est ici ; cours à son appartement, dis lui, dis lui que je le prie de m'envoyer la lettre dont il vient de me parler. (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Va, qu'il te donne cette lettre, et qu'il m'attende : je vais le voir. (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je traversais la cour ; il a mis ses pistolets à l'arçon. (Acte 3, scène 9, ANTOINE)
Il m'a crié, Antoine, je te recommande mon père, et il a mis son cheval au galop. (Acte 3, scène 9, ANTOINE)
Viens, suis moi, je vais m'habiller. (Acte 3, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je le cherche partout : qu'est-il devenu ? (Acte 4, scène 1, VICTORINE)
Ah, que je suis fâchée de m'être embarrassée de sa montre ! Je l'ai vu toute la nuit qui me disait qu'à moi, qu'à moi, qu'à moi : il est sorti de bien bonne heure, et à cheval: mais si c'était cette dispute, et s'il était vrai qu'il fût allé... (Acte 4, scène 1, VICTORINE)
J'ai un pressentiment ; mais que risqué-je d'en parler ? (Acte 4, scène 1, VICTORINE)
Je parierais que c'est ce domestique qui s'est endormi hier au soir, il avait une mauvaise physionomie, il lui aura donné un rendez-vous. (Acte 4, scène 1, VICTORINE)
Oui, je l'ai demandé, je l'ai fait chercher : je ne sais s'il est sorti ou s'il n'est pas sorti ; mais je ne l'ai pas trouvé. (Acte 4, scène 2, VICTORINE)
Oui, je le sais. (Acte 4, scène 2, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Voyez si tout le monde est prêt : pour moi, je le suis. (Acte 4, scène 2, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je voyais devant moi toutes les misères humaines... (Acte 4, scène 3, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je m'y tenais préparé. (Acte 4, scène 3, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Hé bien, ma soeur, puis-je enfin me livrer au plaisir de vous revoir ? (Acte 4, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Mon frère, je suis très en colère ; vous gronderez après, si vous voulez. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Je compte vous la donner, s'il le faut. (Acte 4, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Au reste je le veux bien, vous me ferez honneur. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Mon frère, parlons raison ; il n'y a point de choses que je n'aie imaginé pour mon neveu, quoiqu'il soit malhonnête à lui d'être sorti. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Il y a près de mon château, ou plutôt près du vôtre et je vous en rends grâce, il y a un certain fief qui a été enlevé à la famille en 1573, mais il n'est pas rachetable. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Non, je vous assure. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Nous avons dans la province la plus riche héritière, c'est une Cramont_Ballière_de_la_Tour_d_Agor, vous savez ce que c'est, elle est même parente de votre femme ; votre fils l'épouse, j'en fais mon affaire : vous ne paraîtrez pas, vous ; je le propose, je le marie, il ira à l'armée, et moi je reste avec sa femme, avec ma nièce, et j'élève ses enfants. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Je vous en rends grâce ; il y a un certain fief qui a été enlevé à la famille en 1573, mais il n'est pas rachetable. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Je vois qu'il est heureux, mais très heureux pour mon neveu que je sois venue ici. (Acte 4, scène 5, LA TANTE)
Mais c'est que je l'aime de tout mon coeur. (Acte 4, scène 5, LA TANTE)
Je n'aime pas tout cela, toujours sur mes talons ; c'est bien étonnant, la curiosité, la curiosité. (Acte 4, scène 7, ANTOINE)
Mademoiselle, voilà peut être le dernier conseil que je vous donnerai de ma vie ; mais la curiosité dans une fille ne peut que la tourner à mal. (Acte 4, scène 7, ANTOINE)
Mais je venais vous dire... (Acte 4, scène 7, VICTORINE)
Monsieur, Monsieur, un gentilhomme, un militaire, un diable, fût-ce un capitaine de vaisseau de Roi ; c'est ce qu'on voudra : mais il ne se battra pas, vous dis-je, ce ne peut être qu'un malhonnête homme, un assassin ; il lui a cherché querelle : il croit le tuer, il ne le tuera pas. (Acte 4, scène 9, ANTOINE)
Je sais, par où il doit venir, je l'attendrai, je l'attaquerai, il m'attaquera ; je le tuerai ou il me tuera : s'il me tue, il sera plus embarrassé que moi ; si je le tue, Monsieur, je vous recommande ma fille. Au reste je n'ai pas besoin de vous la recommander. (Acte 4, scène 9, ANTOINE)
Monsieur, ah, mon cher Maître, un jeune homme d'une aussi belle espérance ; ma fille me l'avait dit, et l'embarras d'aujourd'hui, et la noce et tout ce monde : à l'instant même... les clefs du magasin. (Acte 4, scène 9, ANTOINE)
Je les emportais. (Acte 4, scène 9, ANTOINE)
Il me brise le coeur : écoutez-moi, je vous dis de m'écouter. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Croyez-vous que je n'aime pas mon fils plus que vous l'aimez ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Vous manquez de raison, je ne vous conçois pas aujourd'hui : écoutez moi. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Écoutez moi, vous dis-je, rappelez toute votre présence d'esprit, j'en ai besoin ; écoutez avec attention ce que je vais vous confier. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
On peut venir à l'instant, et je ne pourrais plus vous parler... (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Crois-tu, mon pauvre Antoine, crois-tu, mon vieux camarade, que je sois insensible ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Hé n'est-il pas contre les moeurs et contre les lois que je paraisse en être instruit ?... (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Exécutez de point en point ce que je vais vous dire. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne peux me confier qu'à vous, et je me fie à votre âge, à votre expérience, et je peux dire, à votre amitié. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Lui parti, portez sur le champ tous vos soins à son rival ; s'il respire encore, emparez-vous de ses derniers moments, donnez lui tous les secours qu'exige l'humanité, expiez autant qu'il est en vous le crime auquel je participe, puisque... puisque... (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Mais, Antoine, si le Ciel me punit autant que je dois l'être, s'il dispose de mon fils, je suis père, et je crains mes premiers mouvements : je suis père et cette fête, cette noce... ma femme... sa santé... moi-même... alors tu accourras : mon fils a son domestique, tu accourras ; mais comme ta présence m'en dirait trop, aie cette attention, écoute bien, aie-la pour moi ; je t'en supplie, tu frapperas trois coups à la porte de la basse-cour, trois coups distinctement, et tu te rendras ici, ici dedans, dans ce cabinet ; tu ne parleras à personne, mes chevaux seront mis, nous y courrons. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Tu aurais bien dû te mettre en noir, te faire beau le jour du mariage de ma fille. Je ne te pardonne pas cela. (Acte 4, scène 10, MADAME VANDERK)
Je vais en affaire. (Acte 4, scène 10, ANTOINE)
Allez, allez, Antoine ; faites ce que je vous ai dit. (Acte 4, scène 10, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Si tu trouves mon fils, ah je t'en prie, dis lui qu'il ne tarde point. (Acte 4, scène 10, MADAME VANDERK)
Mon ami, faites moi compliment ; il y a plus de deux ans que je ne me suis si bien portée... (Acte 4, scène 11, MADAME VANDERK)
Ma fille... mon gendre, toute cette famille est si respectable, si honnête ; la bonne robe est sage comme les lois : mais, mon ami, j'ai un reproche à vous faire et votre soeur a raison : vous donnez aujourd'hui de l'occupation à votre fils, vous l'envoyez je ne sais en quel endroit ; au reste, vous le savez : il faut cependant que ce soit très loin, car je suis sûre qu'il ne s'est point amusé : lorsqu'il va revenir, il ne pourra nous rejoindre. (Acte 4, scène 11, MADAME VANDERK)
Allons, belle jeunesse. (Acte 4, scène 12, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Mon père est bien étonnant : je le cherche partout, je ne le trouve nulle part. (Acte 5, scène 1, VICTORINE)
Cette cérémonie que je croyais si gaie, grands Dieux, comme elle est triste ! (Acte 5, scène 1, VICTORINE)
Je... (Acte 5, scène 1, VICTORINE)
Mademoiselle, puis-je entrer ? (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je n'en suis pas, Mademoiselle ; je n'en suis pas. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je viens pour parler à Monsieur_Vanderk. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je vous assure que je ne sais comment Monsieur pourra vous parler au milieu de tout ceci ; et même on serait à table, si on n'attendait pas quelqu'un qui se fait bien attendre. (Acte 5, scène 2, VICTORINE)
Si je peux l'aborder ; car il répond à l'un, il répond à l'autre. (Acte 5, scène 2, VICTORINE)
Je dirai... (Acte 5, scène 2, VICTORINE)
Qu'est-ce que je dirai ? (Acte 5, scène 2, VICTORINE)
Je sais, un homme qui avait un visage... qui avait un air... (Acte 5, scène 2, VICTORINE)
Je ne veux plus m'embarrasser de rien. (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je vais me retirer dans ma Province. (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Encore un refus que je vais essuyer. (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Monsieur, Monsieur, je suis fâché de vous déranger. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je sais tout ce qui vous arrive. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Et moi, Monsieur, je suis fâché de ne vous avoir pas donné une heure plus prompte. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Monsieur, je crois que le diable est après moi. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
J'ai depuis quelques jours besoin d'argent et encore plus depuis hier pour la circonstance la plus pressante, et que je ne peux pas dire. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Je n'en sais rien : ils ont des usages, des usances, des termes que je ne comprends pas. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Mais que je ne vous retarde point. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Puis-je la voir ? (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je payerai tout ce qu'il faudra. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je sais qu'il y a des droits. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Monsieur, je vais vous la faire payer. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Non, Monsieur, je ne prends point d'escompte, ce n'est pas mon commerce et je vous l'avoue avec plaisir, ce service ne me coûte rien. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Monsieur, Monsieur, voilà de l'honnêteté, voilà de l'honnêteté : vous ne savez pas toute l'obligation que je vous dois, toute l'étendue du service que vous me rendez. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je souhaite qu'il soit considérable. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Mais il est apparemment dans le commerce, dans un état tranquille ; mais le mien, le mien est dans le service : à l'instant que je vous parle, n'est-il pas occupé à se battre ? (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Un autre jeune homme dans un café, un petit étourdi lui a cherché querelle, je ne sais pourquoi, je ne sais comment ; il ne le sait pas lui-même. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Que je vous plains ! (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne crains rien : mon fils est brave, il tient de moi, et adroit, adroit : à vingt pas il couperait une balle en deux sur une lame de couteau ; mais il faut qu'il s'enfuie, c'est le diable : vous entendez bien, vous entendez bien, je me fie à vous, vous m'avez gagné l'âme. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Monsieur je suis flatté de votre... (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je suis flatté de ce que... (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Monsieur, mon sang est à vous ; restez, restez, restez, je vous en prie. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je l'ai vu là... et je ne l'ai pas embrassé... (Acte 5, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
J'ai couru... je... je... (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
Faites ce que je vous dis. (Acte 5, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je venais demander si on doit faire servir et j'ai rencontré un Monsieur qui m'a dit que vous vous trouviez mal. (Acte 5, scène 8, VICTORINE)
Non, je ne me trouve pas mal. (Acte 5, scène 8, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Tâchez de parler à Madame en particulier ; vous lui direz que je suis à l'instant forcé de sortir, que je la prie de ne pas s'inquiéter ; mais qu'elle fasse en sorte qu'on ne s'aperçoive pas de mon absence, je serai peut être... (Acte 5, scène 8, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
J'y vais, Monsieur; non, je ne pleurerai pas, je ne pleurerai pas. (Acte 5, scène 8, VICTORINE)
Non, restez, je vous l'ordonne : vos pleurs vous trahiraient ; je vous défends de sortir d'ici que je ne sois rentré. (Acte 5, scène 8, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je t'embrasse... (Acte 5, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je te revois sans doute honnête homme ? (Acte 5, scène 9, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je vous présente Messieurs_Desparville. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR VANDERK FILS)
Monsieur, je vous présente mon fils... (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je vais vous raconter. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Nous nous sommes rencontrés ; j'ai couru sur lui : j'ai tiré ; il a foncé sur moi, il m'a dit : je tire en l'air ; et il l'a fait. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE FILS)
Je vous ai insulté : j'ai senti que j'avais tort ; je vous en fais mes excuses. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE FILS)
Je ne peux, Monsieur, vous exprimer ce qui s'est passé en moi : je me suis précipité de mon cheval ; il en a fait autant, et nous nous sommes embrassés. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE FILS)
Vous le saviez, morbleu : et je parie que ces trois coups frappés à la porte... (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Moi, je suis ferme, je suis honnête ; mais en pareille occasion, à votre place j'aurais envoyé le Baron_d_Esparville à tous les diables. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Que je suis aise de te revoir ! (Acte 5, scène 9, MONSIEUR VANDERK FILS)
Voici, Messieurs, ma femme, mon gendre et ma fille que je vous présente. (Acte 5, scène 10, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je n'ai eu qu'un cri après toi. (Acte 5, scène 11, LA TANTE)
Je t'ai demandé, je t'ai désiré. (Acte 5, scène 11, LA TANTE)
Je vous croyais en Berry. (Acte 5, scène 11, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Mes enfants, je suis dans l'ivresse de la plus grande joie. (Acte 5, scène 11, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne sais si c'est un rêve. (Acte 5, scène 12, ANTOINE)
Il fallait que je fusse aveugle... (Acte 5, scène 12, ANTOINE)
Jeunes gens, jeunes gens, ne penserez-vous jamais que l'étourderie même la plus pardonnable peut faire le malheur de tout ce qui vous entoure ? (Acte 5, scène 12, ANTOINE)

LE MANTEAU Ã‰CARLATE (1784)

Si tu ne te fusses nommée, en vérité je ne t'aurais pas reconnue. (Acte 1, scène 2, MADAME DE FLORVILLE)
Des fenêtres grillées, des portes barricadées ; je l'ai pris, d'honneur, pour une prison. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Je craignais, je l'avoue, que tu ne m'eusses oubliée. (Acte 1, scène 2, MADAME DE FLORVILLE)
Je ne pouvais pas décemment faire vingt lieues toute seule pour venir ici, et je n'osais amener compagnie. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Heureusement je fus invitée à passer quelques jours dans le Château voisin. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Je devrais, ce me semble, t'en paraître plus aimable. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Je t'avouerai d'ailleurs que je ne le quitte guères. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Je leur ôte le moyen de critiquer une coiffure, un ajustement, un air trop appreté, ou trop négligé, mille riens enfin qui n'échappent jamais à leur pénétration. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
En un mot, en arborant le costume d'un sexe qui s'est approprié tous les avantages, je lui en dérobe une partie, sans perdre aucun de ceux que la Nature a donné au nôtre. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Je suis fort heureuse en ce cas qu'il soit absent. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Je vous en réponds. (Acte 1, scène 2, MARTON)
L'ombre d'un chapeau lui fait peur ; et s'il osait, je crois, à cause de la ressemblance du nom, il empecherait Madame d'en porter d'aucune espèce. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Mais il avoit du bien, un nom, cela flatta mon ambition, je l'acceptai. (Acte 1, scène 2, MADAME DE FLORVILLE)
En honneur, je ne te croyais pas si mal mariée. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
C'est au contraire un être fort divertissant, même pour l'objet de sa jalousie. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Tâche d'amener le tien à Paris, et je te réponds qu'en très peu de temps nous en viendrons à bout. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Si Madame est ici quand il en viendra, je dois si bien masquer toute la grille, qu'il ne puisse pas même l'appercevoir. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Tiens, je ne suis pas la femme de Florville, mais si tu veux m'aider et suivre mes conseils, je prétends, moi, le corriger. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Mais je veux guérir Florville de sa jalousie, et, cela, par sa jalousie même. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Je ne pourrais y parvenir si je me trouvais ici. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Tâchez d'éloigner le jaloux pendant une demie-heure, et je vous réponds de sa correction. Ecoute. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Quand je vous dis que c'est moi... (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je suis rendu, harassé ! (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je ne vois rien... (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Que je suis étourdie... (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Je l'avais oublié ! (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Je le vois bien. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je vais vous conter, là... (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Ce qui vous intéresse est toujours ce dont je m'occupe le plus. (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Je crois que vous allez bien dormir. (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Je l'espère. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE FLORVILLE)
C'est ce que je voulais vous dire ? (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Je disais tout cela à mon frère par manière de conversation. (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Il a jetté là son manteau en me priant de vous le faite accepter. (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Le diable m'emporte si je puis faire un pas. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je respire... (Acte 1, scène 6, DORIMÈNE)
Il était temps au moins ; encore un moment, et je perdais patience. (Acte 1, scène 6, DORIM?NE)
Quant à moi, c'est un peu différent ; je suis sûre que j'en aurai des vapeurs pour quinze jours. (Acte 1, scène 6, DORIM?NE)
Il est donc sujet à rever. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
Vous vous imaginez que d'une tête légère, il ne saurait sortir un projet qui ait le sens commun. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
Pour moi, je hasarde tout, je crois tout possible. (Acte 1, scène 7, DORIM?NE)
Si je fais une bévue, je ne laisse pas à ceux que je veux tromper le temps de l'apercevoir, et dérobant sous leurs pas le piége mal tissu, je les fais tomber dans un autre". (Acte 1, scène 7, DORIM?NE)
Je tranche la difficulté. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
De Florville est sujet à rever : eh bien ! (Acte 1, scène 7, DORIM?NE)
Je me rends à tes raisons. Mais je ne vois pas que cette ruse puise guérir Florville de sa jaloousie. (Acte 1, scène 7, MADAME DE FLORVILLE)
Je veux en avoir toute la gloire, si je réussis, et t'épargner les reproches si je ne réussis pas. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
Rends-toi digne de ma confidence en suivant mes consiels ; et songe bien que l'éxécution de mon projet dépend de la réussite de ton excuse. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
Marton, va dire à Blaise et à Gérault que je suis de retour, qu'ils peuvent rentrer. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je n'ai pas pense à eux. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE FLORVILLE)
À peine l'ai-je aperçu ; j'étais si fatigué.... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Voyons, voyons, que je le considère de plus près. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je veux bien, pour vous obliger, me preter à la plaisanterie ; mais, dites-moi, où je pourrai trouver ce manteau imaginaire. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Mais, en vérité, Madame, je ne plaisante pas. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Mais, en vérité, Monsieur, je parle très sérieusement. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Si je n'étais pas sûre que vous venez de dormir, vous m'inquiéteriez beaucoup ; mais beaucoup. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Souffrez que je l'envoie chercher. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Je veux savoir absolument ce que signifie ce mystère. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je ne saurais, Monsieur, en deviner la cause. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Je la devine, moi, perfide que vous êtes, je ne devine que trop... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Il était temps que je revinsse ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Peut-être encore suis-je revenu trop tard. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Malgré le sang froid que vous affectez, je vois votre émotion. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Si je rougis, Monsieur... (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Une telle conduite, si elle était sue, vous rendrait l'objet de l'indignation et du mépris. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Je ne suis pas de ces maris benêts qui croient plus les discours de leurs femmes que leurs propres yeux. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
À peine ai-je été cinq heures dehors. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Redoutez tout de ma colére. Les soins que j'ai pris pour vous ôter l'occasion de me tromper doivent vous faire connaître ce dont je suis capable. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je vous crois capable de tout, Monsieur, et je n'en suis pas plus effrayée. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Je ne l'entends pas sur ce chapitre, et la seule crainte du mal peut me porter aux dernières extremités. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Si vous voulez éprouver ma douceur, si vous vous plaisez à jouir de l'embarras où votre discours me jette, je vous avertis que la plaisanterie est déplacée, et que la seule apparence d'un soupçon offense mortellement notre délicatesse. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Je vous en laisse le temps, Monsieur, et c'est la seule et dernière grâce qne vous devez attendre de moi. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Plût au Ciel qu'un rêve m'eût averti que tu devais m'être infidèle, je ne serais parbleu pas sorti de chez moi.... (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Otons-lui les moyens de s'en servir plus longtemps, obtenons des preuves de sa perfidie, interrogeons mes valets ; on les aura sans doute gagnés, mais je saurai bien les faire parler..... (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE FLORVILLE)
En vous confiant pendant huit jours la garde de ce que j'ai de plus précieux, c'est-à-dire de mes biens et de ma femme, je vous ai regardé comme les serviteurs les plus fidèles que j'aie jamais connu. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Pour moi, je ne dis rien, on doit me connaître. (Acte 1, scène 12, MARTON)
D'après cela, je dois compter que vous m'allez dire tout ce que vous avez vu. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE FLORVILLE)
J'ai vu beaucoup de braconniers dans la plaine ; mais pour ceux-là qui en veulent, dites-vous, aux femelles quand elles sont gentilles, je n'en ai pas aperçu un échantillon. (Acte 1, scène 12, GÉRAULT)
Je vous jure que non. (Acte 1, scène 12, GÉRAULT)
Vous aidiez à ma femme à me tromper : Mais je sais tout, oui, c'est en vain que vous voudriez vous excuser, Madame de Florville m'a tout avoué en me demandant pardon. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Monsieur, je suis désolée d'être obligé de vous démentir, mais cela n'est pas vrai. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Je n'ai pas vu un manteau écarlate sur cette chaise ? (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Ils ont juré, je crois, de me faire tourner la tête avec leur rêve. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Toi, Marton, va dire à ma femme que je la prie instamment de se rendre ici. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Ils sont pourtant parvenus à me persuader que j'ai revé, et je suis forcé de convenir qu'ils peuvent avoir raison. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je l'ai épousé de son propre aveu, elle n'avait pas le coeur pris pour un autre. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je ne l'ai pas quitté d'un instant depuis le jour des nôces, elle n'a pu faire aucune liaison. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je n'ai prévenu de mon départ qu'à l'instant de monter à cheval, je n'ai pas été cinq heures dehors, en si peu de temps, a-t-on pu gagner mes valets, faire avertir le Damoiseau, l'introduire chez moi ? (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je me souviendrai longtemps du discours de Marton : Une femme s'accoutume à être querellée, s'ennuie de l'être pour rien, et finit par l'être pour quelque chose... (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Cela n'est que trop vrai, de par tous les diables, et c'est ce que je veux prévenir. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Assieds-toi. Je suis désolé d'être la cause de l'état où je te vois. (Acte 1, scène 14, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Permettez donc, Monsieur, qu'une profonde solitude dérobe à vos yeux un objet que vous n'estimez plus, que vous haïriez bientôt, et dont la présence ferait votre malheur. (Acte 1, scène 14, MADAME DE FLORVILLE)
Garde-toi bien d'exécuter un pareil projet. (Acte 1, scène 14, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je l'espère. (Acte 1, scène 14, MADAME DE FLORVILLE)
Je le croyais. (Acte 1, scène 14, MONSIEUR DE FLORVILLE)
D'ailleurs lorsque tantôt vous exhaliez votre colère, vos yeux, vos gestes, tout vos traits peignaient l'état de votre âme, bien mieux encore que vos paroles, et je crois cet emportement plus sincère qu'un froid repentir auquel l'esprit a plus de part que le coeur. (Acte 1, scène 14, MADAME DE FLORVILLE)
Plus mon emportement a été vif, plus il a dû te prouver ma tendresse ; je craignais d'avoir perdu la tienne, et j'en étais inconsolable. (Acte 1, scène 14, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je brûle maintenant de la conserver, et je puis, pour y parvenir, te sacrifier mon repos et ma tranquillité. (Acte 1, scène 14, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Tu désires revoir ta famille, nous irons passer l'hiver à Paris, obtiendrai-je, à ce prix, un pardon que je demande à genoux ? (Acte 1, scène 14, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Que vois-je ! (Acte 1, scène 15, DORIMÈNE)
D'honneur je ne l'aurais jamais deviné. (Acte 1, scène 15, DORIMÈNE)
Vous voudriez vous fâcher, je crois...... (Acte 1, scène 15, DORIMÈNE)
Mais je puis la réparer. (Acte 1, scène 15, DORIMÈNE)
Je vous promets de garder le secret le plus impénétrable, et même de défendre en preux Chevalier la fidélité de votre femme contre tout l'univers. (Acte 1, scène 15, DORIM?NE)
Si j'en croyais ma fureur, je me vengerais ? (Acte 1, scène 15, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Mais je veux imaginer un supplice... (Acte 1, scène 15, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je ne l'ai que trop fait, de part tous les diables, je n'écouterai plus désormais que ma rage.... (Acte 1, scène 15, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Et je demandais pardon... (Acte 1, scène 15, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Tremblez vous-même. Sachez que je puis vous faire repentir de l'offense que vous nous faites à tous deux. (Acte 1, scène 16, DORIMÈNE)
Je ne te crains pas. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Comme je suis joué... (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je ne veux rien entendre. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je devine la ruse... (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je suis trop heureux. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je l'en remercie. En me faisant voir les excès auxquels la jalousie peut porter un galant, vous m'en avez fait connaître l'extravagance et le danger. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)
En me persuadant que j'ai revé ce que j'ai vu, tu m'as appris que l'adresse d'une femme surpasse toujours beaucoup la pénétration du mari le plus clairvoyant, et qu'il est plus sage de s'en rapporter à sa délicatesse lorsqu'on n'a pas sujet de s'en plaindre. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)

L'HUÎTRE ET LES PLAIDEURS (1761)

Moi, je le tiens. v.5 (Acte 1, scène 1, ARDENVILLE)
Sapejeu, viens, tiens. v.6 (Acte 1, scène 1, ARDENVILLE)
Je suis le premier qui l'aie vue, v.11 (Acte 1, scène 1, BADAUDIN)
Oui, jugez-nous, je l'ai vue le premier. (Acte 1, scène 2, BADAUDIN)
Et moi je la tiens. (Acte 1, scène 2, ARDENVILLE)
Si je savais juger, que Je vous jugerais bien volontiers, quand je devrais vous aider à plaider : voyez-vous. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DOUCET)
Ha, Meilleurs, je le voudrais b[i]en ! v.14 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DOUCET)
Vous saurez que je suis sergent. v.19 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DOUCET)
N'approche pas, ou je te caste le visage avec? elle est dure, belle taille, comme tu vois. (Acte 1, scène 2, ARDENVILLE)
Je n'en aurai, morbleu, pas le démenti. (Acte 1, scène 2, BADAUDIN)
À votre aise ; je n'empêche rien pour la Justice, cela pourrait faire un bon procès criminel. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DOUCET)
Je l'ai vue. (Acte 1, scène 3, BADAUDIN)
Et moi, je la tiens. (Acte 1, scène 3, ARDENVILLE)
Je sais mon affaire. (Acte 1, scène 4, LE PLAIDEUR)
Je suis pauvre, et ma Partie est un homme riche. (Acte 1, scène 4, LA PLAIDEUSE)
Je vais présider à un traité ; je n'ai besoin que d'y paraître, et je reviens. (Acte 1, scène 4, LA JUSTICE)
Mais je l'ai vue. v.27 (Acte 1, scène 5, BADAUDIN)
Je passais. (Acte 1, scène 6, ARDENVILLE)
Cela suffît, vous dis je. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR TOUSSET)
Je veux bien que ce soit la loi ; mais enfin... Attendez donc , vous autres. (Acte 1, scène 7, ARDENVILLE)
Je le sais bien. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR TOUSSET)
Je veux savoir ce que cela est devenu. (Acte 1, scène 7, ARDENVILLE)
Je vais aussi. (Acte 1, scène 8, BADAUDIN)
Tout ce que je sais, c'est que j'y suis. (Acte 1, scène 8, BADAUDIN)
Quand je plaide une cause, v.28 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR FAUSSET)
Je cause v.29 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR FAUSSET)
Le fond d'un sujet, v.38 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR FAUSSET)
Mon premier objet. v.40 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR FAUSSET)
Je vais droit au coeur. v.42 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR FAUSSET)
Je foudroie et étonne, v.45 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR FAUSSET)
Quand je plaide, etc. v.50 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR FAUSSET)
Eh bien, je ne peux pas tirer aucune raison ; C'est toujours la loi. (Acte 1, scène 9, ARDENVILLE)
Allons, je vais me préparer. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR FAUSSET)
Croyez que quand je.... et que pour peu que... je... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR TOUSSET)
Je ne crains rien. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR TOUSSET)
Je serais déjà bien loin. (Acte 1, scène 12, BADAUDIN)
Je crains que nous ne soyons mauvais marchands de tout ceci. (Acte 1, scène 12, BADAUDIN)
Je vous la donne, jusqu'aux perles qui sont dedans. (Acte 1, scène 12, BADAUDIN)
Je vous en félicite... (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Je n'entends pas ce que vous voulez dire. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Je ne vous dis pas cela. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Je vous l'ai dit, que cela ne se pouvait pas, que cela ne pouvait pas se rendre. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Cela s'entend, je crois. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Je suis Parisien, et je m'en pique. (Acte 1, scène 13, BADAUDIN)
Je me moque de la saisissure. (Acte 1, scène 13, ARDENVILLE)
Ce qui me pique, c'est le sang-froid avec lequel il nous jette dans l'embarras. (Acte 1, scène 13, ARDENVILLE)
Si j'avais mon équipage, comme je planterais tout ça là. (Acte 1, scène 14, BADAUDIN)
Je sais qu'il faut montrer de la chaleur v.133 (Acte 1, scène 14, LA JUSTICE)
Parbleu, si je ne l'avais pas. (Acte 1, scène 14, ARDENVILLE)
Je n'ai pas à me plaindre ? (Acte 1, scène 15, ARDENVILLE)
Messieurs, je vous jure foi d'honnête Normand, que c'est tout le bout du monde si cela peut payer les frais. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR DOUCET)
Je devrais te briser les os. v.172 (Acte 1, scène 15, ARDENVILLE)
Je devrais te briser les os. v.185 (Acte 1, scène 15, BADAUDIN)
Si je veux faire une folie, v.206 (Acte 1, scène 16, LE PLAIDEUR PARISIEN)
Je veux choisir la plus jolie. v.207 (Acte 1, scène 16, LE PLAIDEUR PARISIEN)

RICHARD COEUR DE LION (1784)

Antonio, je gage, v.12 (Acte 1, scène 1, COLETTE)
J'entends, je crois, chanter. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Où suis-je ici, mon petit ami ? (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Vous n'êtes pas loin d'un château où il y a des tours, des créneaux ; je vois tout en haut un soldat qui fait faction avec son arbalète. (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Je suis bien las. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Je te remercie. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Je vous retrouverai là ? (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Je n'ai pas envie d'en sortir ; quand on ne voit pas, on est bien forcé de rester où on nous dit d'attendre ; ne manque pas de revenir. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
C'est que je suis bien fâché ; je ne pourrai pas vous conduire demain. (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
C'est que je suis de noce ; mon grand-père et ma grand-mère se remarient, et mon petit-fils qui est leur frère... (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Mais, mon ami, demain, comment ferai-je pour me conduire ? (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Je vous donnerai un de mes camarades, il est un peu volage ; mais je vous ferai venir à la noce, et vous y jouerez du violon : ah ! ne vous embarrassez pas. (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Lorsque je la tiens par le bras, v.30 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Je la presse contre moi-même ; v.32 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Que je vous plains ! vous ne la verrez pas. v.34 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
C'est vrai, mon fils, je suis bien à plaindre. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Auprès d'elle je suis bien aise ; v.39 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Que je vous plains ! vous ne la verrez pas. v.41 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Continue, je crois la voir. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Va, mon fils, va toujours voir si je pourrai trouver où passer cette nuit. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Je t'apprendrai à porter des lettres à ma fille. (Acte 1, scène 3, WILLIAMS)
Si je pouvais ! Ah, quel bonheur ! v.94 (Acte 1, scène 3, BLONDEL)
Je ne vois pas v.99 (Acte 1, scène 3, LAURETTE)
Elle dit qu'elle ne l'a point vu, et qu'elle ne lui parle pas, et il lui écrit ; je voudrais bien connaître ce que dit cette lettre ; ils ont à présent une manière d'écrire qu'on ne peut déchiffrer. (Acte 1, scène 4, WILLIAMS)
Oui, je sais lire. (Acte 1, scène 4, BLONDEL)
Je suis aveugle, ces méchants Sarrasins m'ont brûlé les yeux avec une lame d'acier flamboyante ; mais ne voyez-vous pas venir un petit garçon ? (Acte 1, scène 4, BLONDEL)
C'est que je l'ai trouvée, et je lui ai dit un petit mot. (Acte 1, scène 5, ANTONIO)
« Si le prisonnier que je ne peux quitter... » (Acte 1, scène 5, ANTONIO)
« Si le prisonnier, que je ne peux quitter, me permettait de sortir pendant le jour, j'irais me jeter... » (Acte 1, scène 5, ANTONIO)
« J'irais me jeter à vos pieds ; mais si cette nuit... » (Acte 1, scène 5, ANTONIO)
« Faites-moi dire par quelqu'un à quelle heure je pourrais vous parler. (Acte 1, scène 5, ANTONIO)
Oui, je le suis. (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
Vous avez raison ; car moi je suis de l'Ile-de-France, et me voilà ici : et de quelle province d'Angleterre êtes-vous ? (Acte 1, scène 5, BLONDEL)
Quand je suis revenu dans mon pays, n'ai-je pas trouvé mon père mort ! (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
J'apprends cela en arrivant, je cours trouver ce gentilhomme, et j'ai vengé la mort de mon père par la sienne. (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
La justice a mangé mon château et mon fief, et je n'ai plus rien là-bas, qu'une sentence de mort ; mais ici je ne les crains pas. (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
Je vous demande bien pardon de toutes mes questions. (Acte 1, scène 5, BLONDEL)
Mais j'ai affaire, et je crois que voilà cette voyageuse qui va arriver. (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
Je vous en prie, dites-moi ce que vous a dit mon père. (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Non, pas moi, je suis aveugle, mais c'est mon petit conducteur. (Acte 1, scène 6, BLONDEL)
Que sans le prisonnier qu'il garde, il viendrait se jeter à vos pieds. (Acte 1, scène 6, BLONDEL)
Je crains de lui parler la nuit, v.110 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Il me dit : « Je vous aime, » et je sens malgré moi, v.112 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Je sens mon coeur qui bat, et je ne sais pourquoi : v.113 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Que je ne sais plus où j'en suis ; v.116 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Je veux le fuir, mais je ne puis. v.117 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Ah, mon_Dieu, oui, je l'aime bien ! (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
En vérité, votre aveu est si naïf que je ne peux m'empêcher de vous donner un conseil. (Acte 1, scène 6, BLONDEL)
Dites, dites. Je ne sais ici à qui me confier ; mais votre air, votre âge... (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Tout cela me donne la hardiesse de vous parler, et me fait, je crois, moins rougir. (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Je vous dirai donc que, lorsque ces chevaliers, ces gens de haute condition, s'adressent à une jeune personne, d'un état inférieur, moins touchés souvent de la beauté, de la noblesse de son âme que de celle de leur extraction... (Acte 1, scène 6, BLONDEL)
Quoique mon père ait peu d'aisance, nous avons toujours vécu noblement ; et si je ne craignais sa vivacité, vivacité qui heureusement l'a forcé de s'établir dans ce pays-ci, je lui aurais confié les intentions du chevalier. (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Ah ! Je ne dois pas l'oublier, v.127 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Je veux l'apprendre au chevalier. v.128 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Voici je ne sais combien de personnes qui arrivent ; des chevaux, des chariots. (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Pourrai-je passer cette nuit-ci seulement dans votre maison ? (Acte 1, scène 6, BLONDEL)
Que vois-je ? (Acte 1, scène 7, BLONDEL)
C'est Marguerite ; c'est le tendre et malheureux objet de l'amour de l'infortuné Richard ! (Acte 1, scène 7, BLONDEL)
Mais, peut-être me trompé-je ! (Acte 1, scène 7, BLONDEL)
Oh, ciel, qu'entends-je... ! (Acte 1, scène 7, MARGUERITE)
Madame, je l'ai appris d'un brave écuyer qui venait de la Terre-Sainte, et qui, disait-il, l'avait entendu chanter au roi Richard. (Acte 1, scène 7, BLONDEL)
Ayez pitié, je vous prie, d'un pauvre aveugle, et permettez-lui d'y passer cette nuit, dans le lieu où il n'incommodera pas. (Acte 1, scène 7, BLONDEL)
Je le veux bien, pourvu que vous répétiez plusieurs fois l'air que vous venez de jouer. (Acte 1, scène 7, MARGUERITE)
Je vous recommande ce bon vieillard. (Acte 1, scène 7, MARGUERITE)
En vous remerciant, mes amis : mais je veux payer mon écot. (Acte 1, scène 8, BLONDEL)
Toutes jeunes, toutes belles, v.138 (Acte 1, scène 8, BLONDEL)
Mais je pense comme Grégoire v.142 (Acte 1, scène 8, BLONDEL)
Mais je pense comme Grégoire, v.151 (Acte 1, scène 8, BLONDEL)
Mais je pense comme Grégoire, v.160 (Acte 1, scène 8, BLONDEL)
Je le sais, sire, mais mon honneur... (Acte 2, scène 1, FLORESTAN)
S'il l'était, sire, je ne le servirais pas. (Acte 2, scène 1, FLORESTAN)
Non, non, je ne le servirais pas, si je croyais qu'il fût un perfide. (Acte 2, scène 1, FLORESTAN)
Où suis-je à présent ? (Acte 2, scène 3, BLONDEL)
Je n'en ai pas d'envie. (Acte 2, scène 3, BLONDEL)
Tiens, mon fils, voilà de l'argent, va nous chercher quelque chose pour déjeuner. (Acte 2, scène 3, BLONDEL)
Sans doute que les campagnes sont aussi belles que je les ai vues autrefois. (Acte 2, scène 3, BLONDEL)
Au défaut de mes yeux, je me plais à l'imaginer. (Acte 2, scène 3, BLONDEL)
Une année entière se passe, sans que je reçoive aucune consolation, et je ne prévois aucun terme au malheur qui m'accable ! (Acte 2, scène 4, RICHARD)
Je m'écrierais plus de souci. v.189 (Acte 2, scène 4, RICHARD)
Je dois obtenir pardon ; v.211 (Acte 2, scène 5, BLONDEL)
Je veux parler à monseigneur, v.212 (Acte 2, scène 5, BLONDEL)
C'est que la belle Laurette m'a lu la lettre que vous lui avez écrite, afin que vous vissiez que je suis envoyé par elle ; or, vous y dites que vous vous jetez à ses pieds, et vous lui demandez un rendez-vous pour cette nuit. (Acte 2, scène 6, BLONDEL)
Comment à l'heure que je voudrais ? (Acte 2, scène 6, FLORESTAN)
Ah ! je n'ai pas fait de bruit ; v.234 (Acte 2, scène 6, BLONDEL)
Je revenais, v.255 (Acte 2, scène 7, BLONDEL)
Je me soumets v.256 (Acte 2, scène 7, BLONDEL)
Il faut que je lui parle ; v.267 (Acte 3, scène 1, BLONDEL)
Il faut que je lui dise un mot. v.269 (Acte 3, scène 1, BLONDEL)
De l'or, afin que je lui parle. v.285 (Acte 3, scène 1, BLONDEL)
Ah ! que je lui parle à l'instant. v.286 (Acte 3, scène 1, BLONDEL)
Hé bien ! Soit ; ah, que je lui parle, v.288 (Acte 3, scène 1, BLONDEL)
Pourvu que je lui dise un mot, v.290 (Acte 3, scène 1, BLONDEL)
Je suis content, mais au plus tôt. v.291 (Acte 3, scène 1, BLONDEL)
Sire Williams, je ne peux trop vous remercier du gracieux accueil que j'ai reçu chez vous. (Acte 3, scène 2, LA COMTESSE)
Madame, que ne puis-je vous y retenir plus longtemps ! (Acte 3, scène 2, WILLIAMS)
Je vais consacrer mes jours à une retraite éternelle. (Acte 3, scène 2, LA COMTESSE)
Un long chagrin qui me dévore me rend incapable de m'occuper du bonheur de mes sujets ; je vais, chevalier, faire ajouter quelques mots à cet écrit, vous le remettrez aux états assemblés : ce sont mes volontés. (Acte 3, scène 2, LA COMTESSE)
Je lui ai dit que madame était bien triste ; il m'a répondu : « Si je lui parle, je la rendrai bien gaie. » (Acte 3, scène 3, BÉATRIX)
Je ne peux le dire qu'à vous. (Acte 3, scène 4, BLONDEL)
Oui, madame ; mais je ne le suis plus, et quelles grâces n'ai-je point à rendre au ciel, puisqu'il me fait jouir de la présence de Madame Marguerite, comtesse de Flandre et d'Artois. (Acte 3, scène 4, BLONDEL)
Le roi, le roi, que je cherchais depuis un an, le roi, Madame, est à cent pas d'ici. (Acte 3, scène 4, BLONDEL)
Il est prisonnier dans ce château que vous voyez de vos fenêtres ; car, sans le voir, je lui ai parlé ce matin. (Acte 3, scène 4, BLONDEL)
Qu'ai-je à craindre ? (Acte 3, scène 4, LA COMTESSE)
Je la connais, oui, oui, Madame ; v.314 (Acte 3, scène 4, BLONDEL)
Voyez entre vous ce qu'il convient de faire pour délivrer le roi ; la joie, la surprise, cette nouvelle m'a saisie, de manière que je ne peux jouir de ma réflexion ; servez-vous de tout mon pouvoir, c'est de moi, c'est de mon bonheur que vous allez vous occuper. (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Il sait que je donnerais une fête ! (Acte 3, scène 5, WILLIAMS)
Enfin il le sait, je vous le dirai ; mais ne perdons pas un instant, il viendra ici dans l'espoir que cette fête lui donnera les moyens de parler à la belle Laurette. (Acte 3, scène 5, BLONDEL)
Je vais les faire avancer ; et que ne peuvent la valeur, notre exemple, et le désir de délivrer le roi ? (Acte 3, scène 5, LE SÉNÉCHAL)
Si l'amitié la plus pure, si l'ardeur la plus vive peuvent inspirer un coeur tendre et sensible, que ne dois-je pas attendre des motifs qui m'enflamment. (Acte 3, scène 6, BLONDEL)
Je lui disais que mes yeux v.342 (Acte 3, scène 9, BLONDEL)
Je lui disais que mes yeux v.362 (Acte 3, scène 9, BLONDEL)
Je voulais vous dire encore... v.364 (Acte 3, scène 9, BLONDEL)
Je ne veux point qu'il ignore... v.365 (Acte 3, scène 9, LAURETTE)
Qu'entends-je ? (Acte 3, scène 10, FLORESTAN)
Je vous arrête. (Acte 3, scène 10, WILLIAMS)
Ô doux objet de toute ma tendresse ! v.407 (Acte 3, scène 10, RICHARD)
Je dois ce moment heureux. v.410 (Acte 3, scène 10, RICHARD)
Qu'en ce jour je dois mon bonheur. v.413 (Acte 3, scène 10, RICHARD)
De mes sujets oublié, v.415 (Acte 3, scène 10, RICHARD)
Qu'en ce jour je dois ce bonheur. v.418 (Acte 3, scène 10, MARGUERITE)
Heureux amants, je vous unis. v.432 (Acte 3, scène 10, MARGUERITE)
Pour un sujet fidèle, v.444 (Acte 3, scène 10, BLONDEL)

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LES DÉFAUTS SUPPOSÉS (1788)

Et dès ce soir, je prétends vous unir. v.2 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Et, dès ce soir, vous voulez que je l'aime ? v.3 (Acte 1, scène 1, LISE)
Non ; je veux qu'il t'épouse, et l'amour peut venir v.4 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Dorval est jeune et riche, il est fait pour te plaire, v.10 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Des jeunes gens il était le modèle, v.20 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Je prétends que ce soir mon projet s'exécute. v.29 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Tu diras, si tu veux, que je te persécute, v.30 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Je n'en irai pas moins mon train ; v.31 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Je mets fin aux soucis dont j'étais agité. v.35 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Moi, je n'exige rien ; mais tu dois m'obéir. v.52 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Dorval, je le répète, aujourd'hui doit venir, v.53 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Et c'est ainsi, je crois, que doit finir l'affaire. v.59 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Nous forcer d'épouser un homme jeune, aimable... v.63 (Acte 1, scène 2, MARTON)
N'ai-je pas, sous les yeux, l'exemple de Clarice ? v.68 (Acte 1, scène 2, LISE)
Bientôt elle devint l'objet de ses mépris. v.73 (Acte 1, scène 2, LISE)
On les obtient, sans peine, étant jeune et jolie ; v.86 (Acte 1, scène 2, MARTON)
Je dois être soumise aux ordres de mon père. v.88 (Acte 1, scène 2, LISE)
Et sans peine, Marton, je toucherai son coeur, v.91 (Acte 1, scène 2, LISE)
Si je puis lui prouver que cet homme estimable v.92 (Acte 1, scène 2, LISE)
Dans ce projet tu pourras me servir ; v.95 (Acte 1, scène 2, LISE)
Je connaîtrai son coeur, son caractère ; v.99 (Acte 1, scène 2, LISE)
Mais je ne veux pas suivre une route ordinaire, v.100 (Acte 1, scène 2, LISE)
Je ne veux pas cacher d'avance à mon époux v.101 (Acte 1, scène 2, LISE)
Jusqu'au moindre défaut que je puis me connaître : v.102 (Acte 1, scène 2, LISE)
Non, non, je veux les avoir tous ; v.103 (Acte 1, scène 2, LISE)
Je suis vive, parfois, et je veux lui paraître v.104 (Acte 1, scène 2, LISE)
Je veux être à la fois médisante et coquette : v.110 (Acte 1, scène 2, LISE)
Il ne reconnaît plus cet objet enchanteur, v.123 (Acte 1, scène 2, LISE)
Quand je vous adressai mes voeux, v.131 (Acte 1, scène 2, LISE)
Et moi je serai plus heureux. v.137 (Acte 1, scène 2, LISE)
Moi, je crains les effets de cette humeur chagrine ; v.138 (Acte 1, scène 2, MARTON)
Eh ! Veux-tu que je les devine ; v.142 (Acte 1, scène 2, LISE)
De cet autre aujourd'hui je veux prendre la place ; v.147 (Acte 1, scène 2, LISE)
Et je regarderai sa perte comme un bien. v.152 (Acte 1, scène 2, LISE)
Dois-je, d'un tel projet, ou m'affliger on rire ? v.155 (Acte 1, scène 3, MARTON)
Faut-il qu'en ce logis je m'annonce moi-même. v.163 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Je suis ambassadeur. v.164 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Je vais savoir.... v.166 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Je veux quelques instants avec toi m'expliquer. v.169 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Sur quel ton, s'il vous plaît, dois-je vous répliquer ? v.171 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Tu n'es pas mariée, et moi je suis garçon, v.178 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Je te vois, tu me plais ; je te le dis sans feinte ; v.183 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
J'ai des rivaux ?.... Tant mieux : je ferai des jaloux. v.185 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Je l'espère. v.188 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Je n'en dis jamais rien. v.189 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Je suis valet d'honneur, et je veux toujours l'être. v.190 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Je ne veux pas mentir. v.192 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Quant aux vices du sien, je crois qu'il les a tous. v.197 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Ah ! Je perds courage. v.198 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Je dois sur son sujet agir discrètement, v.200 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Et je n'en dis pas davantage. v.201 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Aucun ne la frappe, te dis-je, v.204 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
On le croit ; mais moi, moi, je connais son esprit ; v.209 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Adieu, je me retire, v.229 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Et je vais t'annoncer.... v.230 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Je suis muette. Et toi ? v.231 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Je t'aime, il suffit. v.231 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Je crois que nous pouvons nous arrêter ici. v.245 (Acte 1, scène 6, MADAME DORVAL)
Je crois que je l'entends. v.247 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
Je crois sur son sujet que l'on m'a bien instruit. v.252 (Acte 1, scène 7, DUMONT)
Je ne prétends jamais en tirer vanité. v.257 (Acte 1, scène 7, DORVAL)
Quand je fais son éloge ; et pourtant, je vous jure v.265 (Acte 1, scène 7, DUMONT)
Qu'à la flatter je ne pense jamais..., v.266 (Acte 1, scène 7, DUMONT)
Je hais les compliments autant que les procès ; v.267 (Acte 1, scène 7, DUMONT)
Que je trace tous mes portraits. v.269 (Acte 1, scène 7, DUMONT)
Dorval est jeune, aimable, et Lise a des attraits : v.281 (Acte 1, scène 7, DUMONT)
Je le saisis avec empressement. v.296 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je ne vous tiendrai pas les discours d'un amant ; v.297 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je ne veux pas vous peindre une subite flamme, v.298 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je résiste avec peine au pouvoir de vos charmes ; v.300 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Mais je crains de causer d'éternelles alarmes v.301 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
À celle que toujours je voudrais adorer. v.302 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je dois vous surprendre. v.303 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Des amants je devrais être le plus heureux : v.305 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je devrais m'empresser de vous offrir mes voeux, v.307 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je suis un homme étrange ; il faut que je l'avoue. v.311 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Saurait-il mon projet ? Voudrait-il se venger ? v.312 (Acte 1, scène 8, LISE)
Un seul instant encor : après, je ne dis mot. v.316 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Et jugez à quel point je suis original ? v.323 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je m'emporte pour rien, je m'emporte a toute heure : v.329 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je reconnais mes torts, et demande pardon. v.331 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
À ce prodige ai-je droit de prétendre ? v.336 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Comme je suis trompée ! Aurais-je dû m'attendre ? v.337 (Acte 1, scène 8, LISE)
Je veux à mon tour le punir. v.338 (Acte 1, scène 8, LISE)
À vous les indiquer faut-il que je m'engage ? v.354 (Acte 1, scène 8, LISE)
Cessez vous-même, je vous prie, v.358 (Acte 1, scène 8, LISE)
Je crois que mon époux doit se faire un devoir v.363 (Acte 1, scène 8, LISE)
Je suis jeune, je suis jolie. v.365 (Acte 1, scène 8, LISE)
Je dois donner des lois, et n'en point recevoir. v.366 (Acte 1, scène 8, LISE)
Je devais vous croire plus sage. v.375 (Acte 1, scène 8, LISE)
C'est un jeu.... v.376 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je n'y mets point d'humeur, je n'ai rien affecté : v.377 (Acte 1, scène 8, LISE)
Et, malgré tout cela, je prétends qu'on m'adore. v.379 (Acte 1, scène 8, LISE)
Je vous ai vu ; votre présence v.389 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je me disais, sans cesse, et du fond de mon âme : v.392 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Mais je sens que jamais je n'aurais le courage v.397 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je prétends à l'hymen renoncer pour la vie. v.411 (Acte 1, scène 9, LISE)
Je ne le reverrai de la vie. v.417 (Acte 1, scène 10, LISE)
Je vais trouver mon père, embrasser ses genoux ; v.418 (Acte 1, scène 10, LISE)
Il n'exigera pas que je me sacrifie, v.419 (Acte 1, scène 10, LISE)
J'en suis ravie.... Oh ! oui, je suis.... au désespoir. v.425 (Acte 1, scène 10, LISE)
Je n'en dis pas autant. Je suis déconcertée. v.426 (Acte 1, scène 10, MARTON)
Je le sais. v.428 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Il lui dit quelques mots, je ne les entends pas ; v.436 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je me rirais de leur malheur ; v.440 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Mais s'il faut que je t'abandonne, v.441 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne pourrai du sort supporter la rigueur. v.442 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je quitterais, pour toi, Dorval, et de bon coeur. v.445 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Ne nous conviennent point ; je tiens pour le présent. v.451 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Pour moi, lorsque je puis être heureux un moment, v.454 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne vais pas chercher si j'ai raison de l'être. v.455 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne suis pas aussi sot que mon maître, v.456 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne t'en tiens pas quitte ainsi, v.458 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Bon ! Je vais te les dire. v.460 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je fais, parfois, le mal, parfois aussi, le bien. v.461 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Le plus souvent je ne fais rien. v.462 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Il est un peu plus long. Je suis capricieuse. v.467 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Moi, je suis complaisant. Passons. v.468 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Tu ne peux trouver mieux. Je suis grand babillard. v.469 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je suis encore très envieuse. v.470 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Je suis encore.... v.476 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Et moi, je suis trop sage v.476 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
C'est ma maxime, à moi, je la crois excellente. v.483 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne manquerai pas de te la rappeler. v.484 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Je te l'accorde. v.485 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Frontin, sortez. Marton, allez, je vous supplie, v.488 (Acte 1, scène 12, MADAME DORVAL)
Dire à Monsieur Dumont que je le prie v.489 (Acte 1, scène 12, MADAME DORVAL)
De venir en ces lieux, que je veux lui parler, v.490 (Acte 1, scène 12, MADAME DORVAL)
Que je l'attends ici. v.491 (Acte 1, scène 12, MADAME DORVAL)
Je retiens ma colère v.491 (Acte 1, scène 13, MADAME DORVAL)
Je vous cherchais, Madame. v.497 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Je croyais de tous deux assurer le bonheur : v.502 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Ce que je viens d'apprendre a détruit mon erreur ; v.503 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Je le regarde, moi, comme un nouvel outrage. v.509 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Que je croyais l'effet de la prévention ; v.518 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Mais je me vois forcé de leur rendre justice. v.519 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Je lisais dans ses yeux qu'il avait su lui plaire. v.525 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Oh ! Je connais le coeur humain. v.526 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Je l'ai cru trop longtemps, mais je ne le crois plus. v.536 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Apprenez, je vous prie, v.537 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Madame, d'être franc, je me suis fait la loi ; v.539 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Je n'ai jamais su feindre, et n'en ai nulle envie. v.540 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Je vous déclare ici la plus cruelle guerre. v.547 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Je pars ce soir même. v.549 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Je vais plaider encor ! La joie en est extrême ! v.550 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Oh ! Je serai vengé, Monsieur, de tant d'outrages. v.553 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Avant trois jours je veux marier Lise.... v.560 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
D'un pareil choix, Monsieur, je ne suis pas surprise, v.563 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Que je veux sur le champ quitter cette maison. v.567 (Acte 1, scène 15, MADAME DORVAL)
Vous partirez sans moi, je vous le jure. v.568 (Acte 1, scène 15, FRONTIN)
Je vous poursuivrai sans pitié. v.570 (Acte 1, scène 16, MADAME DORVAL)
Je prétends vous plaider jusqu'à mon dernier jour. v.573 (Acte 1, scène 16, MADAME DORVAL)
Et par mon testament je les y contraindrai. v.577 (Acte 1, scène 16, MADAME DORVAL)
Oh ! je ne vous crains pas, Madame, et je saurai... v.578 (Acte 1, scène 16, DUMONT)
Souffrez que je vous remercie. v.579 (Acte 1, scène 17, LISE)
Daignez, je vous supplie.... v.581 (Acte 1, scène 17, DORVAL)
Non, mon fils, au plutôt je prétends en sortir. v.585 (Acte 1, scène 17, MADAME DORVAL)
Je vais, dès aujourd'hui, vous quitter pour jamais. v.591 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Le Ciel me punit bien d'un projet insensé ; v.597 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Mais je prétends du moins obtenir votre estime, v.598 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je l'ai bien mérité, mais je dois vous instruire. v.604 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
En vérité, Monsieur, je n'y puis rien comprendre. v.610 (Acte 1, scène 18, LISE)
Ah ! je dois dissiper cette fatale erreur. v.619 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je voyais chaque jour ceux que l'hymen engage, v.623 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Non pas tel que je suis, mais tel que je puis être ; v.630 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je me faisais d'abord un plaisir enchanteur v.631 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je ne m'attendais pas à rencontrer mon maître. v.636 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Bientôt je me flattai que ce fatal aveu, v.643 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Pour me punir du mien, pouvait n'être qu'un jeu. v.644 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je ne dois pas souffrir que votre âme s'abuse. v.648 (Acte 1, scène 18, LISE)
Hé bien, je m'abandonne au pouvoir de l'amour ; v.649 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Ils sont tous effacés, je ne vois que vos charmes ; v.651 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je serai trop payé d'un si doux sacrifice. v.654 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je supporterai tout, je n'exigerai rien. v.658 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je le jure à vos pieds, cessez de vous défendre.... v.665 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Dieux ! puis je croire à mon bonheur. v.669 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Mais de bien des défauts je dois me corriger. v.671 (Acte 1, scène 18, LISE)
Ah ! N'en parlons jamais ; je me ferais un crime... v.672 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je n'aurai pas, Dorval, tant de peine à changer. v.673 (Acte 1, scène 18, LISE)
Je suis bien loin d'être parfait ; v.674 (Acte 1, scène 18, LISE)
Mais je ne suis pas vive, emportée et coquette, v.675 (Acte 1, scène 18, LISE)
Mon coeur me le disait : ah ! je suis trop heureux. v.677 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je me fais un devoir de souscrite à vos loix. v.681 (Acte 1, scène 18, LISE)
Je n'y résiste plus, je cède à mon ivresse, v.686 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Et je jure à vos pieds... v.687 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je jure un amour éternel v.688 (Acte 1, scène 19, DORVAL)
Je les partage. v.693 (Acte 1, scène 19, LISE)
Au contraire, Monsieur, je suis devenu sage. v.695 (Acte 1, scène 19, DORVAL)
Sans votre aveu, je croirais abuser... v.717 (Acte 1, scène 19, LISE)
Ma fille, embrassez-moi, puis-je vous refuser ? v.718 (Acte 1, scène 19, MADAME DORVAL)
Je prétends faire un feu de joie. v.723 (Acte 1, scène 19, DUMONT)

Dans les 1907 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 769 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 153,80 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LE PHILOSOPHE SANS LE SAVOIR	49	73	57	45	62	286
2	LE MANTEAU ?CARLATE	115	0	0	0	0	115
3	L'HU?TRE ET LES PLAIDEURS	37	0	0	0	0	37
4	L'HUÎTRE ET LES PLAIDEURS	18	0	0	0	0	18
5	RICHARD COEUR DE LION	50	11	17	0	0	78
6	RICHARD COEUR DE LION	19	6	19	0	0	44
7	LES DÉFAUTS SUPPOSÉS	191	0	0	0	0	191
	Total	479	90	93	45	62	769