Occurences de l'expression

pas

pour SEDAINE, Michel-Jean

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LE PHILOSOPHE SANS LE SAVOIR (1766)

Je vous surprends votre mouchoir à la main, l'air embarrassé, et vous essuyant les yeux, et je ne peux pas savoir pourquoi vous pleurez ? (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
Je ne me paye pas de cette raison-là. (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
Si cependant ce que j'ai à vous dire était vrai, vous ne vous en moqueriez certainement pas. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Ce qui me ferait croire encore que ce n'est pas lui, c'est que ce Monsieur a dit que l'officier de marine avait commencé la querelle. (Acte 1, scène 1, VICTORINE)
Je ne vous le défends pas ; mais soyez raisonnable. (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
Monsieur n'est pas ici ; et quand il y serait, vous prenez bien mal votre temps : il est tard. (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
Il n'est pas neuf heures. (Acte 1, scène 2, LE DOMESTIQUE)
En ce cas, passez au magasin et attendez, je vous ferai avertir. (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
Monsieur n'est donc pas rentré ? (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Vous ne la reconnaîtriez pas. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Madame m'a dit : va demander à ton père si Monsieur est revenu et s'il n'est pas en affaire, et si on peut lui parler. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Je vous dirai ; mais vous n'en parlerez pas. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Certainement un père ne reconnaîtra pas sa fille. (Acte 1, scène 3, ANTOINE)
Non, il ne la reconnaîtra pas, j'en suis sûre. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
Cependant il n'a pas coutume de rentrer si tard. (Acte 1, scène 3, VICTORINE)
N'en ayez pas plus que moi. (Acte 1, scène 4, ANTOINE)
Tu ne peux pas tout faire. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne veux pas de débauches. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Il n'y en aura pas. (Acte 1, scène 4, ANTOINE)
Si tu n'as pas assez de ce que je t'ai donné, avance-le. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Les magasins fermés.... que personne n'y entre passé dix heures... (Acte 1, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Madame et elle pensent que vous ne la reconnaîtrez pas. (Acte 1, scène 4, ANTOINE)
Elle n'est pas mal. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Madame ne compte pas ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Vous ne m'avez seulement pas regardée. (Acte 1, scène 6, SOPHIE)
Je ne suis pas une voleuse et voici votre argent, que vous donnez avec tant de confiance à la première personne. (Acte 1, scène 6, SOPHIE)
Je ne veux pas que dans toute ta vie tu puisses te reprocher une fausseté même en badinant. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Mon frère ne me reconnaît pas. (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
N'est-ce pas là lui ? (Acte 2, scène 2, LE DOMESTIQUE)
Ma foi, j'y aurais passé la nuit, si la faim ne m'avait pas réveillé. (Acte 2, scène 2, LE DOMESTIQUE)
Je ne voulais pas sortir ; il semblait que j'avais un pressentiment. (Acte 2, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Que ne donnerais je pas pour reculer d'un jour, d'un seul jour; reculer... (Acte 2, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Non certes, je ne reculerai pas. (Acte 2, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
Vous ne représenteriez pas demain quelque pièce de théâtre, une tragédie ? (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Faites, si cela vous amuse : mais, il faudrait quelques précautions, dites le-moi ; et s'il ne faut pas que je le sache, je ne le saurai pas. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne crains pas cela ; mais, mon père, on vient de lire le contrat de mariage de ma soeur : nous l'avons tous signé. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Il n'est pas possible que je sois gentilhomme ? (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne dis pas cela. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne voulais pas dire cela. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
J'ai été élevé par votre bisaïeul : mon père fut tué fort jeune à la tête de son régiment. Si vous étiez moins raisonnable, je ne vous confierais pas l'histoire de ma jeunesse et la voici. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Votre mère, fille d'un gentilhomme voisin, a été ma seule et unique passion. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Dans l'âge où l'on ne choisit pas, j'ai eu le bonheur de bien choisir. Un jeune officier, venu en quartier d'hiver dans la Province, trouva mauvais qu'un enfant de seize ans, c'était mon âge, attirât les attentions d'un autre enfant : votre mère n'avait pas douze ans : il me traita avec une hauteur, je ne le supportai pas, nous nous battîmes. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je lui dis mes engagements, il m'approuve, il part, il obtient le consentement des parents de votre mère, il me l'amène avec sa nourrice : c'est cette bonne vieille qui est ici. Nous nous marions ; le bon Hollandais mourut dans mes bras, je pris à sa prière et son nom et son commerce : le Ciel a béni ma fortune, je ne peux pas être plus heureux, je suis estimé : voici votre soeur bien établie, votre beau-frère remplit avec honneur une des premières places dans la robe. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Pour vous, mon fils, vous serez digne de moi et de vos aïeux : j'ai déjà remis dans notre famille tous les biens que la nécessité de servir le Prince avait fait sortir des mains de nos ancêtres, ils seront à vous ces biens ; et si vous pensez que j'ai fait par le commerce une tache à leur nom, c'est à vous de l'effacer ; mais dans un siècle aussi éclairé que celui-ci, ce qui peut donner la noblesse n'est pas capable de l'ôter. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Je ne le pense pas ; mais le préjugé est malheureusement si fort... (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Cela n'empêche pas que le commerce ne soit considéré comme un état. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Son nom, son seing n'a pas besoin, comme la monnaie d'un souverain, que la valeur du métal serve de caution à l'empreinte ; sa personne a tout fait ; il a signé, cela suffit. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Ce n'est pas un peuple, ce n'est pas une seule nation qu'il sert ; il les sert toutes, et en est servi : c'est l'homme de l'univers. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Quelques particuliers audacieux font armer les Rois, la guerre s'allume, tout s'embrase, l'Europe est divisée ; mais ce négociant anglais, hollandais, russe ou chinois, n'en est pas moins l'ami de mon coeur ; nous sommes sur la superficie de la terre autant de fils de soie qui lient ensemble les nations et les ramènent à la paix par la nécessité du commerce : voilà, mon fils, ce que c'est qu'un honnête négociant. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je ne crois pas que jamais... (Acte 2, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Pourquoi ne pas faire parler ? (Acte 2, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Il n'y a pas longtemps que je suis à lui ; mais il a servi. (Acte 2, scène 5, LE DOMESTIQUE)
Quiconque n'est pas militaire, n'est rien. (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Votre tante, ma propre soeur ; elle devrait être arrivée ; c'est en vain que je l'ai établie honorablement ; elle est veuve à présent et sans enfants ; elle jouit de tous les revenus des biens que je vous ai achetés ; je l'ai comblée de tout ce que j'ai cru devoir satisfaire ses voeux : cependant elle ne me pardonnera jamais l'état que j'ai pris ; et lorsque mes dons ne profanent pas ses mains, le nom de frère profanerait ses lèvres : elle est cependant la meilleure de toutes les femmes ; mais voilà comme un honneur de préjugé étouffe les sentiments de la nature et de la reconnaissance. (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Ce silence entrait dans mon système à votre égard ; elle vit dans le fond du Berry ; elle n'y soutient qu'avec trop de hauteur le nom de nos ancêtres ; et l'idée de noblesse est si forte en elle, que je ne lui aurais pas persuadé de venir au mariage de votre soeur, si je ne lui avais écrit qu'elle épouse un homme de qualité ; encore a-t-elle mis des conditions singulières. (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Mon cher frère, m'écrit-elle, j'irai ; mais ne serait-il pas mieux que je ne passasse que pour une parente éloignée de votre femme, pour une protectrice de la famille ? Elle appuie cela de tous les mauvais raisonnements qui... (Acte 2, scène 6, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Pensez-vous que votre soeur ne sera pas heureuse avec moi ? (Acte 2, scène 8, LE GENDRE)
Je ne doute pas qu'elle ne le soit. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR VANDERK FILS)
J'ai les yeux éblouis, écartez ces flambeaux ; point d'ordre sur les routes, je devrais être ici il y a deux heures : soyez de condition, n'en soyez pas, une Duchesse, une Financière, c'est égal ; des chevaux terribles, mes femmes ont eu des peurs ; laissez ma robe, vous. (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Ne trouvez-vous pas qu'il a quelque chose du grand-père ? (Acte 2, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Vous ne m'aviez pas écrit que c'était un homme de Robe. (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Vous ne me le dites pas... (Acte 2, scène 9, LA TANTE)
Madame, voulez-vous passer dans votre appartement ? (Acte 2, scène 9, MADAME VANDERK)
Vous ne la suivez pas, votre chère tante ? (Acte 2, scène 10, VICTORINE)
Tu ne l'as pas vue ? (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Oui ; vous vous lèverez à sept, disons à huit heures ; vous descendrez à dix ; vous donnerez la main à la Mariée ; on reviendra à deux heures ; on dînera, on jouera; ensuite votre feu d'artifice, pourvu encore que vous ne soyez pas blessé. (Acte 2, scène 10, VICTORINE)
Il ne faut pas l'être. (Acte 2, scène 10, VICTORINE)
Eh bien, je veux qu'elle passe la nuit dans ta chambre, pour savoir si tu te réveilleras. (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
N'ai-je pas ma pendule ? (Acte 2, scène 10, MONSIEUR VANDERK FILS)
Il a quelque chose d'extraordinaire aujourd'hui : ce n'est pas sa gaieté, son air franc : il rêvait... (Acte 2, scène 11, VICTORINE)
Je ne l'ai pas demandé : voulez-vous que j'y aille ? (Acte 3, scène 1, SON DOMESTIQUE)
Tiens, mets ces pistolets à l'arçon, et n'y touche pas. (Acte 3, scène 1, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne veux pas attendre moi. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je vais à deux pas : quand j'irais plus loin. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne sais pas mentir. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR VANDERK FILS)
C'est vrai : hier au soir, je ne m'en ressouvenais pas. (Acte 3, scène 3, ANTOINE)
Il ne les a pas ordinairement. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR VANDERK FILS)
J'y vais : ne sortez pas, ne sortez pas. (Acte 3, scène 3, ANTOINE)
Il ne sait pas... (Acte 3, scène 4, MONSIEUR VANDERK FILS)
Non pas absolument. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Si ce sont quelques raisons, quelques folies de votre âge, de ces niaiseries qu'un père peut soupçonner, mais ne doit jamais savoir ; quelque peine que cela me fasse, je n'exige pas une confidence dont nous rougirions l'un et l'autre : voici les clefs, sortez... (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Il n'est pas possible qu'il y ait rien de déshonorant dans ce que vous allez faire. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Promettez-moi que quelque chose que je vous dise, votre bonté ne me détournera pas de ce que je dois faire. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Ne vous alarmez pas. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Et puis-je savoir de vous un détail plus étendu de votre querelle, et de ce qui l'a causée, enfin de tout ce qui s'est passé ? (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
L'histoire n'est pas longue : la pluie qui est survenue hier, m'a forcé d'entrer dans un café ; je jouais une partie d'échecs : j'entends à quelques pas de moi quelqu'un qui parlait avec chaleur : il racontait je ne sais quoi de son père, d'un marchand, d'un escompte, des billets ; mais je suis certain d'avoir entendu très distinctement : oui... (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je sais, mon père, tous les reproches que vous pouvez me faire : cet officier pouvait être dans un instant d'humeur : ce qu'il disait pouvait ne pas me regarder : lorsqu'on dit tout le monde, on ne dit personne ; peut-être même ne faisait-il que raconter ce qu'on lui avait dit : et voilà mon chagrin, voilà mon tourment. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Mon retour sur moi-même a fait mon supplice : il faut que je cherche à égorger un homme qui peut n'avoir pas tort. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne le connais pas. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Mon fils, pourquoi n'avez-vous pas pensé que vous aviez votre père ? (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Oui, elles sont justes ces lois... Un peuple... je ne sais lequel... Les Romains, je crois, accordaient des récompenses à qui conservait la vie d'un citoyen. Quelle punition ne mérite pas un Français qui médite d'en égorger un autre, qui projette un assassinat ! (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Pour ne pas manquer à ma parole : j'ai redouté l'embarras de cette noce, de ma tante et de me trouver engagé de façon à ne pouvoir m'échapper. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR VANDERK FILS)
Je ne t'ai pas entendu entrer. (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Non, ce n'est pas... (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Ne dis pas autre chose ; ne fais voir aucun intérêt sur ce qui le regarde... Remarque... (Acte 3, scène 7, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Cela me passe. (Acte 4, scène 1, VICTORINE)
Il n'est pas habillé. (Acte 4, scène 1, VICTORINE)
Pourquoi ne vient-il pas ? (Acte 4, scène 2, VICTORINE)
Oui, je l'ai demandé, je l'ai fait chercher : je ne sais s'il est sorti ou s'il n'est pas sorti ; mais je ne l'ai pas trouvé. (Acte 4, scène 2, VICTORINE)
Il faut que ce ne soit pas cela, tant mieux, puisque Monsieur sait où il est. (Acte 4, scène 2, VICTORINE)
Oui, mon frère, à l'instant : il est bien singulier que mon neveu qui doit me donner la main aujourd'hui ne soit pas ici et qu'il sorte. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Il y a près de mon château, ou plutôt près du vôtre et je vous en rends grâce, il y a un certain fief qui a été enlevé à la famille en 1573, mais il n'est pas rachetable. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Ma soeur, vous ne partez pas aujourd'hui. (Acte 4, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Nous avons dans la province la plus riche héritière, c'est une Cramont_Ballière_de_la_Tour_d_Agor, vous savez ce que c'est, elle est même parente de votre femme ; votre fils l'épouse, j'en fais mon affaire : vous ne paraîtrez pas, vous ; je le propose, je le marie, il ira à l'armée, et moi je reste avec sa femme, avec ma nièce, et j'élève ses enfants. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Je vous en rends grâce ; il y a un certain fief qui a été enlevé à la famille en 1573, mais il n'est pas rachetable. (Acte 4, scène 4, LA TANTE)
Je n'aime pas tout cela, toujours sur mes talons ; c'est bien étonnant, la curiosité, la curiosité. (Acte 4, scène 7, ANTOINE)
Avez-vous dit au chirurgien de ne pas s'éloigner ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
C'est que Monsieur votre fils ne se battra pas. (Acte 4, scène 9, ANTOINE)
Monsieur, Monsieur, un gentilhomme, un militaire, un diable, fût-ce un capitaine de vaisseau de Roi ; c'est ce qu'on voudra : mais il ne se battra pas, vous dis-je, ce ne peut être qu'un malhonnête homme, un assassin ; il lui a cherché querelle : il croit le tuer, il ne le tuera pas. (Acte 4, scène 9, ANTOINE)
Non, Monsieur, il ne le tuera pas, j'y ai regardé... (Acte 4, scène 9, ANTOINE)
Je sais, par où il doit venir, je l'attendrai, je l'attaquerai, il m'attaquera ; je le tuerai ou il me tuera : s'il me tue, il sera plus embarrassé que moi ; si je le tue, Monsieur, je vous recommande ma fille. Au reste je n'ai pas besoin de vous la recommander. (Acte 4, scène 9, ANTOINE)
Croyez-vous que je n'aime pas mon fils plus que vous l'aimez ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Vous manquez de raison, je ne vous conçois pas aujourd'hui : écoutez moi. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
N'est-ce pas mon fils ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
N'est-ce pas lui qui fonde dans l'avenir tout le bonheur de ma vieillesse ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Tu ne connais pas toutes les entraves de l'honneur : où trouver son adversaire ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Hé n'est-il pas contre les moeurs et contre les lois que je paraisse en être instruit ?... (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Mais ne perdons pas le temps en vaines discussions. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Ne passez mes ordres en aucune manière, songez qu'il y va de l'honneur de mon fils et du mien : c'est vous dire tout. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Rendez vous au lieu où ils doivent se rencontrer : déguisez-vous de façon à n'être pas reconnu ; tenez-vous en le plus loin que vous pourrez : ne soyez, s'il est possible, reconnu en aucune manière. (Acte 4, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Tu aurais bien dû te mettre en noir, te faire beau le jour du mariage de ma fille. Je ne te pardonne pas cela. (Acte 4, scène 10, MADAME VANDERK)
Mais lui, ne s'être pas trouvé au mariage de sa soeur ; et d'un autre côté... (Acte 5, scène 1, VICTORINE)
Je n'en suis pas, Mademoiselle ; je n'en suis pas. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Monsieur, si vous n'en êtes pas, pour quelle raison ?... (Acte 5, scène 2, VICTORINE)
Je vous assure que je ne sais comment Monsieur pourra vous parler au milieu de tout ceci ; et même on serait à table, si on n'attendait pas quelqu'un qui se fait bien attendre. (Acte 5, scène 2, VICTORINE)
Il ne savait donc pas l'embarras... (Acte 5, scène 2, VICTORINE)
Il ne savait pas, il ne savait pas : c'est hier au soir qu'il me l'a fait dire. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Et moi, Monsieur, je suis fâché de ne vous avoir pas donné une heure plus prompte. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
J'ai depuis quelques jours besoin d'argent et encore plus depuis hier pour la circonstance la plus pressante, et que je ne peux pas dire. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je n'en sais rien : ils ont des usages, des usances, des termes que je ne comprends pas. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Pouvez vous m'avancer le paiement de ma lettre de change ou ne le pouvez-vous pas ? (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE P?RE)
Non, Monsieur, je ne prends point d'escompte, ce n'est pas mon commerce et je vous l'avoue avec plaisir, ce service ne me coûte rien. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Monsieur, Monsieur, voilà de l'honnêteté, voilà de l'honnêteté : vous ne savez pas toute l'obligation que je vous dois, toute l'étendue du service que vous me rendez. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Mais il est apparemment dans le commerce, dans un état tranquille ; mais le mien, le mien est dans le service : à l'instant que je vous parle, n'est-il pas occupé à se battre ? (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Un autre jeune homme dans un café, un petit étourdi lui a cherché querelle, je ne sais pourquoi, je ne sais comment ; il ne le sait pas lui-même. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Je ne crains rien : mon fils est brave, il tient de moi, et adroit, adroit : à vingt pas il couperait une balle en deux sur une lame de couteau ; mais il faut qu'il s'enfuie, c'est le diable : vous entendez bien, vous entendez bien, je me fie à vous, vous m'avez gagné l'âme. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Monsieur, vous ne vous trouvez pas indisposé ? (Acte 5, scène 4, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Ah, Monsieur, tous les pères ne sont pas malheureux. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Voilà votre somme : partez, Monsieur, vous n'avez pas de temps à perdre. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Permettez moi de ne pas vous reconduire. (Acte 5, scène 4, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Je l'ai vu là... et je ne l'ai pas embrassé... (Acte 5, scène 5, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Non, je ne me trouve pas mal. (Acte 5, scène 8, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Tâchez de parler à Madame en particulier ; vous lui direz que je suis à l'instant forcé de sortir, que je la prie de ne pas s'inquiéter ; mais qu'elle fasse en sorte qu'on ne s'aperçoive pas de mon absence, je serai peut être... (Acte 5, scène 8, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
J'y vais, Monsieur; non, je ne pleurerai pas, je ne pleurerai pas. (Acte 5, scène 8, VICTORINE)
N'était-ce pas mon fils, lui justement qui était son adversaire ? (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE PÈRE)
Mais voici ce que vous ne savez pas. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE FILS)
N'êtes-vous pas content ? (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE FILS)
Je ne peux, Monsieur, vous exprimer ce qui s'est passé en moi : je me suis précipité de mon cheval ; il en a fait autant, et nous nous sommes embrassés. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DESPARVILLE FILS)
Messieurs, qu'il est difficile de passer d'un grand chagrin à une grande joie ! (Acte 5, scène 9, MONSIEUR VANDERK PÈRE)
Après ce qui s'est passé, Monsieur, vous ne pouvez être que le plus grand ennemi ou le plus grand ami de mon fils et vous n'avez pas la liberté du choix. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR VANDERK P?RE)
Monsieur, Monsieur, passons dans le salon, vous y renouerez connaissance. (Acte 5, scène 11, MONSIEUR VANDERK PÈRE)

LE MANTEAU Ã‰CARLATE (1784)

Si tu ne te fusses nommée, en vérité je ne t'aurais pas reconnue. (Acte 1, scène 2, MADAME DE FLORVILLE)
Et si l'on ne m'eût pas ouvert, j'allais m'en retourner. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Je ne pouvais pas décemment faire vingt lieues toute seule pour venir ici, et je n'osais amener compagnie. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Heureusement je fus invitée à passer quelques jours dans le Château voisin. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Le desir de te voir n'a pas peu contribué à m'y faire consentir ; tu connais assez mon coeur pour en être persuadée. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Le femmes mêmes, dupes de l'apparence, ne sont pas jalouses de moi. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Tous ces avantages réunis n'auraient pas eu un heureux succès si Monsieur de Florville eût été au Château. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Un rival tel que moi n'est pas bien dangereux. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
J'étais sans expérience, lorsque mes parents me proposèrent Monsieur de Florville ; il ne me plut pas. (Acte 1, scène 2, MADAME DE FLORVILLE)
On ne consulte point son coeur, on n'écoute que sa vanité, on épouse un Florville, ce coeur ne jouit de rien et la vanité même n'est pas satisfaite. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
En honneur, je ne te croyais pas si mal mariée. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Ses petites fureurs, ses petits dépits qu'il n'ose laisser voir, crainte d'être persifflé, sont tout-à-fait plaisants ; et si par hasard il éclate, les brocards dont on l'accablent, s'ils ne le corrigent pas, le forcent au moins à paraître corrigé. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Il ne refusera peut-être pas d'y passer quinze jours avec toi. (Acte 1, scène 2, DORIM?NE)
Si Madame est ici quand il en viendra, je dois si bien masquer toute la grille, qu'il ne puisse pas même l'appercevoir. (Acte 1, scène 2, MARTON)
En vérité, tu n'es pas digne d'etre Française. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Tiens, je ne suis pas la femme de Florville, mais si tu veux m'aider et suivre mes conseils, je prétends, moi, le corriger. (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Ce n'est pas là le plus difficile, et d'un mot... (Acte 1, scène 2, DORIMÈNE)
Il ne s'avisera pas de vous y chercher. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Cela ne se peut pas, il est absent pour huit jours. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Une heure de sommeil, un verre de vin, il n'y paraîtra pas. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Vous ne voyez pas un manteau écarlate sur cette chaise ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Est-ce que vous n'avez pas rencontré mon frère ? (Acte 1, scène 4, MADAME DE FLORVILLE)
Le diable m'emporte si je puis faire un pas. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Si quelque rêve fâcheux ne le réveille pas en sursaut, il en a pour six grandes heures. (Acte 1, scène 7, MARTON)
Cela ne se demande pas. (Acte 1, scène 7, MARTON)
Tout ce qui est neuf leur paraît hasardé ; n'osant rien risquer, ils ne parviennent à rien, et prévoyant tous les dangers, ils n'ont pas l'esprit d'en éviter un seul. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
Si je fais une bévue, je ne laisse pas à ceux que je veux tromper le temps de l'apercevoir, et dérobant sous leurs pas le piége mal tissu, je les fais tomber dans un autre". (Acte 1, scène 7, DORIM?NE)
Mais il peut lui écrire de son régiment, et voilà ta fourberie découverte, et voilà ce que tu n'avais pas prévu malgré ton esprit profond. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
Non, si tu ne parviens pas à vaincre tes scrupules ; si tu vas, en lui parlant, trembler, rougir, te troubler, tu ne prouveras rien. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
Malgré la force d'esprit qu'ils s'arrogent, lorsqu'ils ont une passion dans le coeur, ils sont encore plus faibles que nous." (Acte 1, scène 7, DORIM?NE)
Je me rends à tes raisons. Mais je ne vois pas que cette ruse puise guérir Florville de sa jaloousie. (Acte 1, scène 7, MADAME DE FLORVILLE)
Non pas. (Acte 1, scène 7, DORIMÈNE)
Je veux en avoir toute la gloire, si je réussis, et t'épargner les reproches si je ne réussis pas. (Acte 1, scène 7, DORIM?NE)
Assieds-toi : travaille, ne lève point les yeux, ne me fixe pas.... (Acte 1, scène 8, MADAME DE FLORVILLE)
Je n'ai pas pense à eux. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Allons, ma femme, allons, ne fais pas l'enfant, et va me chercher le manteau. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Mais, en vérité, Madame, je ne plaisante pas. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Si je n'étais pas sûre que vous venez de dormir, vous m'inquiéteriez beaucoup ; mais beaucoup. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Vous m'allarmez, Monsieur : il vous est fûrement arrivé en route quelqu'accident que vous ne voulez pas me dire. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Recouchez-vous, croyez-moi : il n'y a pas loin d'ici à la ville, en moins d'une heure on peut avoir un médecin. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Cet intérêt que vous prenez à ma santé est trop vif et trop peu fondé pour n'être pas suspect. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Ce n'est pas du regret d'avoir fait une pareille action, on ne rougit jamais de cela... mais de la honte de la voir découverte. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
N'avez-vous pas de honte, vous-même, de vous livrer à de pareils excès, et sur quoi ? (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Non, perfide, non, on ne m'abuse pas de la sorte. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je ne suis pas de ces maris benêts qui croient plus les discours de leurs femmes que leurs propres yeux. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je vous crois capable de tout, Monsieur, et je n'en suis pas plus effrayée. (Acte 1, scène 10, MADAME DE FLORVILLE)
Vous ne changerez pas de ton? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Si vous voulez éprouver jusqu'où peut aller ma jalousie, si c'est un tour que vous me jouez, ne poussez pas, croyez-moi, plus loin la raillerie. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je ne l'entends pas sur ce chapitre, et la seule crainte du mal peut me porter aux dernières extremités. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DE FLORVILLE)
N'espère pas m'amener, comme tu as fait mille fois, à te demander pardon, crains plutôt de ne pas obtenir le tien... (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Plût au Ciel qu'un rêve m'eût averti que tu devais m'être infidèle, je ne serais parbleu pas sorti de chez moi.... (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE FLORVILLE)
J'ai vu beaucoup de braconniers dans la plaine ; mais pour ceux-là qui en veulent, dites-vous, aux femelles quand elles sont gentilles, je n'en ai pas aperçu un échantillon. (Acte 1, scène 12, GÉRAULT)
Monsieur, je suis désolée d'être obligé de vous démentir, mais cela n'est pas vrai. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Elle ne vous l'a pas dit. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Je n'ai pas vu un manteau écarlate sur cette chaise ? (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Vous n'avez point vu de manteau sur cette chaise ; il n'est point entré d'homme ici, vous voulez nous éprouver, ou vous avez rêvé ce que vous dites ; mais que ce soit une épreuve, que ce soit un reve, vous ne nous ferez jamais avouer ce qui n'est pas vrai. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Alors, vos soupçons, vos craintes, votre rêve, ce que vous avez vu, ce que vous avez imaginé, vous confondez tout, et voilà précisément, Monsieur, pourquoi vous nous accusez d'un mal, dont, non seulement, nous ne sommes pas coupables, mais qui réellement n'existe pas. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Cela me passe. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Voilà mes réflexions, faites-en l'usage qu'il vous plaira, et songez bien, surtout, qu'il est très dangereux d'accuser une femme d'un tort qu'elle n'a pas ; elle s'accoutume à être querellée, s'ennuie de l'être pour rien, et finit par l'être pour quelque chose. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Je l'ai épousé de son propre aveu, elle n'avait pas le coeur pris pour un autre. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je ne l'ai pas quitté d'un instant depuis le jour des nôces, elle n'a pu faire aucune liaison. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Je n'ai prévenu de mon départ qu'à l'instant de monter à cheval, je n'ai pas été cinq heures dehors, en si peu de temps, a-t-on pu gagner mes valets, faire avertir le Damoiseau, l'introduire chez moi ? (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Il n'était pas mauvais pourtant de s'en assurer ; mais il faut réparer. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR DE FLORVILLE)
N'étiez-vous pas certain d'avoir vu... (Acte 1, scène 14, MADAME DE FLORVILLE)
Vous n'êtes pas de ces maris qui croyent plus les discours de leur femmes que leurs propres yeux. (Acte 1, scène 14, MADAME DE FLORVILLE)
Vous êtes tout de feu lorsque vous faites des reproches, et tout de glace lorsque vous dites des douceurs ; ce n'est pas cela qu'il faut, c'est tout le contraire. (Acte 1, scène 14, MARTON)
Tu désires revoir ta famille, nous irons passer l'hiver à Paris, obtiendrai-je, à ce prix, un pardon que je demande à genoux ? (Acte 1, scène 14, MONSIEUR DE FLORVILLE)
Mais, en vérité, cela ne se fait pas. (Acte 1, scène 15, DORIMÈNE)
En pareil cas, on permet à un mari de bouder sa femme, de faire les yeux noirs aux galants, quoique ce ne soit pas trop l'usage. (Acte 1, scène 15, DORIMÈNE)
Je ne te crains pas. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)
En me persuadant que j'ai revé ce que j'ai vu, tu m'as appris que l'adresse d'une femme surpasse toujours beaucoup la pénétration du mari le plus clairvoyant, et qu'il est plus sage de s'en rapporter à sa délicatesse lorsqu'on n'a pas sujet de s'en plaindre. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR DE FLORVILLE)

L'HUÃŽTRE ET LES PLAIDEURS (1761)

Tu ne l'auras sûrement pas. (Acte 1, scène 2, ARDENVILLE)
Tu ne la mangeras pas. (Acte 1, scène 2, BADAUDIN)
Comment, vous ne pouvez pas ? (Acte 1, scène 2, ARDENVILLE)
Comment,vous n'auriez pas assez de bon sens ? (Acte 1, scène 2, BADAUDIN)
N'approche pas, ou je te caste le visage avec? elle est dure, belle taille, comme tu vois. (Acte 1, scène 2, ARDENVILLE)
Je n'en aurai, morbleu, pas le démenti. (Acte 1, scène 2, BADAUDIN)
Cela ne suffît pas. (Acte 1, scène 4, LA JUSTICE)
Ce n'est pas toi sans doute qui l'auras. v.24 (Acte 1, scène 5, BADAUDIN)
Et tu ne la tiens pas. v.27 (Acte 1, scène 5, ARDENVILLE)
Nous ne suffisons pas... (Acte 1, scène 6, MONSIEUR TOUSSET)
Je passais. (Acte 1, scène 6, ARDENVILLE)
Mais, vous ne savez pas. (Acte 1, scène 6, ARDENVILLE)
Que si : nous entendons bien ; il faut être bien bouché pour ne pas savoir ce que c'est qu'une huître. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR FAUSSET)
C'est vrai : mais vous ne comprenez pas comment... (Acte 1, scène 6, ARDENVILLE)
Mais vous ne savez pas pourquoi... (Acte 1, scène 6, BADAUDIN)
N'est-ce pas ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR FAUSSET)
Mais vous n'entendez pas. (Acte 1, scène 6, BADAUDIN)
Nous n'entendons pas ! (Acte 1, scène 6, MONSIEUR TOUSSET)
C'est vous autres qui n'entendez pas votre affaire. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR FAUSSET)
S'il fallait écouter tout, nous n'aurions pas le temps de nous faire entendre. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR FAUSSET)
N'est-ce pas ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR FAUSSET)
N'est-ce pas là cette huître ? (Acte 1, scène 6, MONSIEUR FAUSSET)
Ça ne ne se fait pas autrement. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR FAUSSET)
Ils ne sont pas de la dispute. (Acte 1, scène 7, ARDENVILLE)
Mais la loi ne dit pas. (Acte 1, scène 7, BADAUDIN)
Eh bien, je ne peux pas tirer aucune raison ; C'est toujours la loi. (Acte 1, scène 9, ARDENVILLE)
Nous n'en avons pas. (Acte 1, scène 10, ARDENVILLE)
Il ne sait pas un mot de notre affaire : avec sa consommation. (Acte 1, scène 12, ARDENVILLE)
Vous n'avez pas consulté votre femme, peut-être ? (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Je n'entends pas ce que vous voulez dire. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Cela ne se peut pas. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Je ne vous dis pas cela. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Je vous l'ai dit, que cela ne se pouvait pas, que cela ne pouvait pas se rendre. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR TOUSSET)
Jour non pas d'un chien ! (Acte 1, scène 13, ARDENVILLE)
Morbleu, ce ne sont pas-là les lois, ce sont les abus. (Acte 1, scène 13, ARDENVILLE)
On ne voit pas v.107 (Acte 1, scène 14, MONSIEUR FAUSSET)
On ne voit pas v.143 (Acte 1, scène 14, MONSIEUR FAUSSET)
Ce n'est pas cela. v.149 (Acte 1, scène 14, BADAUDIN)
Ce n'est pas cela. v.151 (Acte 1, scène 14, BADAUDIN)
Ce n'est pas cela. v.156 (Acte 1, scène 14, ARDENVILLE)
Parbleu, si je ne l'avais pas. (Acte 1, scène 14, ARDENVILLE)
Vous n'avez pas à vous plaindre. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR DOUCET)
Je n'ai pas à me plaindre ? (Acte 1, scène 15, ARDENVILLE)

RICHARD COEUR DE LION (1784)

Vous n'êtes pas loin d'un château où il y a des tours, des créneaux ; je vois tout en haut un soldat qui fait faction avec son arbalète. (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Je n'ai pas envie d'en sortir ; quand on ne voit pas, on est bien forcé de rester où on nous dit d'attendre ; ne manque pas de revenir. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
C'est que je suis bien fâché ; je ne pourrai pas vous conduire demain. (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Hé, dis-moi, elle ne demeurerait pas dans ce château que tu dis, où il y a un soldat qui a une arbalète ? (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Je vous donnerai un de mes camarades, il est un peu volage ; mais je vous ferai venir à la noce, et vous y jouerez du violon : ah ! ne vous embarrassez pas. (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
La danse n'est pas ce que j'aime, v.28 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Que je vous plains ! vous ne la verrez pas. v.34 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
N'était pas toujours sur nos pas : v.37 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Que je vous plains ! vous ne la verrez pas. v.41 (Acte 1, scène 1, ANTONIO)
Va, mon fils, va toujours voir si je pourrai trouver où passer cette nuit. (Acte 1, scène 1, BLONDEL)
Ce n'est pas moi v.75 (Acte 1, scène 3, GUILLOT)
Mes bons amis, ne frappez pas, v.95 (Acte 1, scène 3, BLONDEL)
Je ne vois pas v.99 (Acte 1, scène 3, LAURETTE)
Ne frappez pas. v.108 (Acte 1, scène 3, BLONDEL)
Elle dit qu'elle ne l'a point vu, et qu'elle ne lui parle pas, et il lui écrit ; je voudrais bien connaître ce que dit cette lettre ; ils ont à présent une manière d'écrire qu'on ne peut déchiffrer. (Acte 1, scène 4, WILLIAMS)
ce vieillard n'est pas de ce pays-ci : bonhomme, savez-vous lire ? (Acte 1, scène 4, WILLIAMS)
Je suis aveugle, ces méchants Sarrasins m'ont brûlé les yeux avec une lame d'acier flamboyante ; mais ne voyez-vous pas venir un petit garçon ? (Acte 1, scène 4, BLONDEL)
Quand je suis revenu dans mon pays, n'ai-je pas trouvé mon père mort ! (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
Ce n'est pas de vieillesse : il avait été tué par un gentilhomme des environs, pour un lapin qu'il avait tiré sur ses terres. (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
La justice a mangé mon château et mon fief, et je n'ai plus rien là-bas, qu'une sentence de mort ; mais ici je ne les crains pas. (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
Il ne me déplaît pas de parler de tout cela. (Acte 1, scène 5, WILLIAMS)
Non, pas moi, je suis aveugle, mais c'est mon petit conducteur. (Acte 1, scène 6, BLONDEL)
Oui, c'est moi : mais, est-ce que vous ne me l'aviez pas dit, de la lire ? (Acte 1, scène 6, ANTONIO)
On aurait bien dû ne le pas faire. (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
On ne dit pas ce qu'il est. (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Ah ! Je ne dois pas l'oublier, v.127 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Pourrai-je passer cette nuit-ci seulement dans votre maison ? (Acte 1, scène 6, BLONDEL)
Non, cela ne se peut pas. (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Mon père, à la prière d'un ancien ami, a cédé, pour cette nuit seulement, la maison tout entière à une grande dame, et, à moins qu'elle ne le permette, nous ne pouvons pas disposer du plus petit endroit ; mais demain... (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Va voir s'il n'y a pas d'autre retraite aux environs. (Acte 1, scène 6, BLONDEL)
Mais, madame, vous qui avez la voix d'un ange, n'êtes-vous pas cette grande dame qui doit occuper la maison qu'on m'a dit être ici tout près ? (Acte 1, scène 7, BLONDEL)
Ayez pitié, je vous prie, d'un pauvre aveugle, et permettez-lui d'y passer cette nuit, dans le lieu où il n'incommodera pas. (Acte 1, scène 7, BLONDEL)
S'il l'était, sire, je ne le servirais pas. (Acte 2, scène 1, FLORESTAN)
Non, non, je ne le servirais pas, si je croyais qu'il fût un perfide. (Acte 2, scène 1, FLORESTAN)
S'il faut passer ici ma vie, v.163 (Acte 2, scène 2, RICHARD)
Ne montez pas dessus ce parapet, vous tomberiez dans un grand fossé plein d'eau, et vous vous noieriez. (Acte 2, scène 3, ANTONIO)
Je n'en ai pas d'envie. (Acte 2, scène 3, BLONDEL)
Tu ne réponds pas. (Acte 2, scène 3, BLONDEL)
Une année entière se passe, sans que je reçoive aucune consolation, et je ne prévois aucun terme au malheur qui m'accable ! (Acte 2, scène 4, RICHARD)
S'il est ici, peut-il n'être pas frappé d'une romance qu'autrefois l'amour lui a inspirée ? (Acte 2, scène 4, BLONDEL)
Est-il possible qu'un air que j'ai fait pour elle ait passé jusqu'ici ? (Acte 2, scène 4, RICHARD)
Ah ! que tu n'en es pas quitte ! v.197 (Acte 2, scène 5, LES SOLDATS)
Sans doute quelque passant v.198 (Acte 2, scène 5, BLONDEL)
Il n'y a pas de mal : dis-lui que j'irai. (Acte 2, scène 6, FLORESTAN)
Ah ! je n'ai pas fait de bruit ; v.234 (Acte 2, scène 6, BLONDEL)
Ce bon homme à qui vous avez permis de passer la nuit dans ce logis, et qui n'est plus aveugle. (Acte 3, scène 3, BÉATRIX)
Le roi, le roi, que je cherchais depuis un an, le roi, Madame, est à cent pas d'ici. (Acte 3, scène 4, BLONDEL)
Enfin il le sait, je vous le dirai ; mais ne perdons pas un instant, il viendra ici dans l'espoir que cette fête lui donnera les moyens de parler à la belle Laurette. (Acte 3, scène 5, BLONDEL)
Si l'amitié la plus pure, si l'ardeur la plus vive peuvent inspirer un coeur tendre et sensible, que ne dois-je pas attendre des motifs qui m'enflamment. (Acte 3, scène 6, BLONDEL)
Nous n'avons pas de mystère ; v.358 (Acte 3, scène 9, LAURETTE)
Nous n'avons pas de mystère ; v.368 (Acte 3, scène 9, LAURETTE)
S'ils ne disaient pas entre eux : v.392 (Acte 3, scène 10, UN PAYSAN)
Ne vaut pas un si beau jour. v.430 (Acte 3, scène 10, MARGUERITE)

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LES DÉFAUTS SUPPOSÉS (1788)

Non pas ; la retarder, c'est risquer son succès. v.9 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Je n'en irai pas moins mon train ; v.31 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Ah ! ce n'est pas de l'or que demande le coeur. v.40 (Acte 1, scène 1, LISE)
Ma pauvre enfant, tu n'es pas raisonnable, v.41 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
N'est pas mal fait, et doit te convaincre, j'espère. v.50 (Acte 1, scène 1, DUMONT)
Un homme à vingt-cinq ans, lorsqu'il n'est pas un sot, v.65 (Acte 1, scène 2, LISE)
N'ai-je pas, sous les yeux, l'exemple de Clarice ? v.68 (Acte 1, scène 2, LISE)
Un exemple me fait pas loi. v.83 (Acte 1, scène 2, MARTON)
Mais je ne veux pas suivre une route ordinaire, v.100 (Acte 1, scène 2, LISE)
Je ne veux pas cacher d'avance à mon époux v.101 (Acte 1, scène 2, LISE)
Ne pas se réserver même une qualité ? v.114 (Acte 1, scène 2, MARTON)
Pas un défaut ne s'offrit à ma vue. v.133 (Acte 1, scène 2, LISE)
Pour vouloir l'adoucir, n'augmentez pas le mal ; v.139 (Acte 1, scène 2, MARTON)
Aux plus légers défauts il ne ferait pas grâce, v.151 (Acte 1, scène 2, LISE)
Tu n'es pas mariée, et moi je suis garçon, v.178 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Pas encor. v.180 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Hé, nigaud, n'en dis pas de mal. v.191 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Je ne veux pas mentir. v.192 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Et je n'en dis pas davantage. v.201 (Acte 1, scène 4, FRONTIN)
Elle n'est pas heureuse ; on croit dans un mari v.215 (Acte 1, scène 4, MARTON)
Bon ! Bon ! Pas trop. Mon maître était loin de s'attendre v.232 (Acte 1, scène 5, FRONTIN)
On n'est pas plus jolie. v.253 (Acte 1, scène 7, DORVAL)
Ne retardons pas leur bonheur, v.276 (Acte 1, scène 7, DUMONT)
D'avance on ne doit pas se voir par trop longtemps ; v.284 (Acte 1, scène 7, DUMONT)
Je ne vous tiendrai pas les discours d'un amant ; v.297 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Je ne veux pas vous peindre une subite flamme, v.298 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
J'en suis sûr. Pour la tête, elle n'est pas meilleure. v.328 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Cela ne dure pas, j'ai le coeur assez bon ; v.330 (Acte 1, scène 8, DORVAL)
Ne me croyez pas dans l'erreur, v.347 (Acte 1, scène 8, LISE)
Il n'exigera pas que je me sacrifie, v.419 (Acte 1, scène 10, LISE)
Je n'en dis pas autant. Je suis déconcertée. v.426 (Acte 1, scène 10, MARTON)
Il lui dit quelques mots, je ne les entends pas ; v.436 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Peux-tu m'aimer beaucoup ? Tu ne me connais pas. v.447 (Acte 1, scène 11, MARTON)
On doit tout enflammer quand on a tes appas. v.448 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
N'y cherchons pas tant de finesse ; v.449 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne vais pas chercher si j'ai raison de l'être. v.455 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne suis pas aussi sot que mon maître, v.456 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne t'en tiens pas quitte ainsi, v.458 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Tu n'as pas de valet qui puisse ici m'instruire v.459 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Moi, je suis complaisant. Passons. v.468 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
J'ai des défauts, tu n'en es pas exempte : v.480 (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Je ne manquerai pas de te la rappeler. v.484 (Acte 1, scène 11, MARTON)
Écoutez-moi, sans passion. v.500 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Il n'a pas son égal dans toute la province, v.534 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Et, pour ne l'en pas croire, il faut être sa mère. v.544 (Acte 1, scène 14, DUMONT)
Le contrat n'est pas encore signé. v.548 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
D'un pareil choix, Monsieur, je ne suis pas surprise, v.563 (Acte 1, scène 14, MADAME DORVAL)
Oh ! je ne vous crains pas, Madame, et je saurai... v.578 (Acte 1, scène 16, DUMONT)
Daignez, Monsieur, ne pas me répartir. v.582 (Acte 1, scène 17, MADAME DORVAL)
Non, non, il n'en est pas besoin ; v.605 (Acte 1, scène 18, LISE)
Vous n'excuserez pas cette inégalité. v.614 (Acte 1, scène 18, LISE)
Non pas tel que je suis, mais tel que je puis être ; v.630 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je ne m'attendais pas à rencontrer mon maître. v.636 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Ne me détrompez pas, mon âme s'y refuse : v.645 (Acte 1, scène 18, DORVAL)
Je ne dois pas souffrir que votre âme s'abuse. v.648 (Acte 1, scène 18, LISE)
Je n'aurai pas, Dorval, tant de peine à changer. v.673 (Acte 1, scène 18, LISE)
Mais je ne suis pas vive, emportée et coquette, v.675 (Acte 1, scène 18, LISE)
Mon triomphe est passé, Dorval, voici le vôtre ; v.678 (Acte 1, scène 18, LISE)

Dans les 1907 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 376 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 75,20 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LE PHILOSOPHE SANS LE SAVOIR	28	42	25	26	30	151
2	LE MANTEAU ?CARLATE	71	0	0	0	0	71
3	L'HU?TRE ET LES PLAIDEURS	36	0	0	0	0	36
4	L'HUÎTRE ET LES PLAIDEURS	7	0	0	0	0	7
5	RICHARD COEUR DE LION	23	9	4	0	0	36
6	RICHARD COEUR DE LION	9	4	4	0	0	17
7	LES DÉFAUTS SUPPOSÉS	58	0	0	0	0	58
	Total	232	55	33	26	30	376