n |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
LA COMÉDIE |
Pour donner du plaisir au plus grand Roi du monde. |
Prologue, sc. 1, v. 7 |
2 |
LA COMÉDIE |
De ses travaux plus grands qu'on ne peut croire, |
Prologue, sc. 1, v. 9 |
3 |
LA COMÉDIE |
Est-il de plus grande gloire |
Prologue, sc. 1, v. 11 |
4 | SGANARELLE |
Et que je puis bien dire avec ce grand philosophe de l'Antiquit?, que qui terre a guerre a, et qu'un malheur ne vient jamais sans l'autre ! |
Acte 2, sc. 1, SGANARELLE, phrase 3 |
5 | SGANARELLE |
Mais, dis-moi, me veux-tu faire mourir de d?plaisir, et ne puis-je savoir d'o? vient cette grande langueur. |
Acte 2, sc. 2, SGANARELLE, phrase 19 |
6 | SGANARELLE |
Rien de plus impertinent et de plus ridicule que d'amasser du bien avec de grands travaux, et ?lever une fille avec beaucoup de soin et de tendresse, pour se d?pouiller de l'un et de l'autre entre les mains d'un homme qui ne nous touche de rien. |
Acte 2, sc. 5, SGANARELLE, phrase 3 |
7 | MONSIEUR DES FONANDRÈS |
Paris est ?trangement grand, et il faut faire de longs trajets quand la pratique donne un peu. |
Acte 3, sc. 3, MONSIEUR DES FONANDRÈS, phrase 1 |
8 | MONSIEUR TOMÈS |
Monsieur, nous avons raisonn? sur la maladie de votre fille . et mon avis, ? moi, est que cela proc?de d'une grande chaleur de sang : ainsi je conclus ? la saigner le plus t?t que vous pourrez. |
Acte 3, sc. 4, MONSIEUR TOMÈS, phrase 1 |
9 | MONSIEUR DES FONANDRÈS |
Et moi, je dis que sa maladie est une pourriture d'humeurs, caus?e par une trop grande r?pl?tion : ainsi je conclus ? lui donner de l'?m?tique. |
Acte 3, sc. 4, MONSIEUR DES FONANDRÈS, phrase 1 |
10 |
L'OPÉRATEUR |
? ! Grande puissance de l'orvi?tan ! |
Acte 3, sc. 7, v. 28 |
11 |
L'OPÉRATEUR |
? ! Grande puissance de l'orvi?tan ! |
Acte 3, sc. 7, v. 42 |
12 | MONSIEUR FILERIN |
Et les diseurs d'horoscope, par leurs pr?dictions trompeuses, profitent de la vanit? et de l'ambition des cr?dules esprits : mais le plus grand faible des hommes, c'est l'amour qu'ils ont pour la vie, et nous en profitons nous autres, par notre pompeux galimatias ; et savons prendre nos avantages de cette v?n?ration, que la peur de mourir, leur donne pour notre m?tier. |
Acte 4, sc. 1, MONSIEUR FILERIN, phrase 13 |
13 | LISETTE |
Un insolent, qui a eu l'effronterie d'entreprendre sur votre m?tier : et qui, sans votre ordonnance, vient de tuer un homme d'un grand coup d'?p?e au travers du corps. |
Acte 4, sc. 2, LISETTE, phrase 1 |
14 | SGANARELLE |
Voil? un grand homme. |
Acte 4, sc. 5, SGANARELLE, phrase 1 |
15 | CLITANDRE |
Ah, Madame, que le ravissement o? je me trouve est grand ! |
Acte 4, sc. 6, CLITANDRE, phrase 1 |
16 | CLITANDRE |
Tant que je ne vous ai parl? que des yeux, j'avais, ce me semblait, cent choses ? vous dire ; et maintenant que j'ai la libert? de vous parler de la fa?on que je souhaitais je demeure interdit ; et la grande joie o? je suis, ?touffe toutes mes paroles. |
Acte 4, sc. 6, CLITANDRE, phrase 4 |
17 | CLITANDRE |
Comme l'esprit a grand empire sur le corps, et que c'est de lui bien souvent que proc?dent les maladies, ma coutume est de courir ? gu?rir les esprits, avant que de venir au corps. |
Acte 4, sc. 6, CLITANDRE, phrase 2 |
18 | SGANARELLE |
Voil? un grand m?decin ! |
Acte 4, sc. 6, SGANARELLE, phrase 1 |
19 |
COMÉDIE, MUSIQUE, BALLET |
Leurs grands m?decins. |
Acte 4, sc. 8, v. 46 |