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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | LYCISCAS |
Vous ?tes de grands braillards, vous autres, et vous avez la gueule ouverte de bon matin ? |
Acte 1, sc. 2, LYCISCAS, phrase 2 |
2 |
ARBATE |
Un jeune prince soit et grand et g?n?reux : |
Acte 2, sc. 1, v. 75 |
3 |
ARBATE |
La tendresse de coeur est une grande marque, |
Acte 2, sc. 1, v. 77 |
4 |
ARBATE |
Et tous les grands h?ros ont senti ses ardeurs ; |
Acte 2, sc. 1, v. 83 |
5 |
ARBATE |
Je vous trouvais bien fait, l'air grand, et l'?me fi?re ; |
Acte 2, sc. 1, v. 89 |
6 |
MORON |
Grands dieux ! Pr?servez-moi de sa dent effroyable. |
Acte 2, sc. 2, v. 217 |
7 |
MORON |
Vu sortir un sanglier d'une ?norme grandeur, |
Acte 2, sc. 2, v. 254 |
8 |
MORON |
Car on doit regarder comme l'on parle aux grands, |
Acte 2, sc. 2, v. 298 |
9 |
MORON |
Contait pour grand honneur aux pasteurs d'aujourd'hui |
Acte 2, sc. 2, v. 310 |
10 |
THÉOCLE |
Mais d?t votre courroux ?tre plus grand qu'il n'est, |
Acte 2, sc. 3, v. 331 |
11 |
LA PRINCESSE |
Je rends de tout mon coeur gr?ce ? ce grand secours, |
Acte 2, sc. 3, v. 355 |
12 | LA PRINCESSE |
Non, non je brave tous ses traits, et le grand pouvoir qu'on lui donne n'est rien qu'une chim?re, qu'une excuse des faibles coeurs qui le font invincible pour autoriser leur faiblesse. |
Acte 4, sc. 1, LA PRINCESSE, phrase 1 |
13 | LA PRINCESSE |
Voil? votre parti fortifi? d'un grand d?fenseur. |
Acte 4, sc. 2, LA PRINCESSE, phrase 1 |
14 | LA PRINCESSE |
Il y a grande diff?rence, et ce qui sied bien ? un sexe, ne sied pas bien ? l'autre. |
Acte 6, sc. 4, LA PRINCESSE, phrase 1 |
15 | LA PRINCESSE |
C'est avoir une insensibilit? bien grande, que de parler comme vous faites. |
Acte 6, sc. 4, LA PRINCESSE, phrase 1 |
16 | LA PRINCESSE |
J'ai toujours regard? l'hymen comme une chose affreuse, et j'avais fait serment d'abandonner plut?t la vie, que de me r?soudre jamais ? perdre cette libert? pour qui j'avais des tendresses si grandes ; mais, enfin, un moment a dissip? toutes ces r?solutions, le m?rite d'un prince m'a frapp? aujourd'hui les yeux ; et mon ?me tout d'un coup ( comme par un miracle ) est devenue sensible aux traits de cette passion que j'avais toujours m?pris?e. |
Acte 8, sc. 1, LA PRINCESSE, phrase 2 |
17 | EURYALE |
Je le suis, ? la v?rit?, et j'admire, Madame, comme le Ciel a pu former deux ?mes aussi semblables en tout que les n?tres : deux ?mes en qui l'on ait vu une plus grande conformit? de sentiments, qui aient fait ?clater, dans le m?me temps une r?solution ? braver les traits de l'Amour, et qui dans le m?me moment aient fait para?tre une ?gale facilit? ? perdre le nom d'insensibles : car enfin, Madame, puisque votre exemple m'autorise, je ne feindrai point de vous dire que l'amour aujourd'hui s'est rendu ma?tre de mon coeur, et qu'une des Princesses, vos cousines, l'aimable et belle Aglante, a renvers? d'un coup d'oeil tous les projets de ma fiert?. |
Acte 8, sc. 1, EURYALE, phrase 1 |
18 | LA PRINCESSE |
J'ai vu toute la terre ? mes pieds avec la plus grande insensibilit? du monde ; les respects, les hommages et les soumissions n'ont jamais pu toucher mon ?me, et la fiert? et le d?dain en auraient triomph?. |
Acte 8, sc. 6, LA PRINCESSE, phrase 8 |