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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | CLITIDAS |
Il raisonne tout seul. |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 1 |
2 | CLITIDAS |
Mais vous plut?t, que faites-vous ici, et quelle secr?te m?lancolie, quelle humeur sombre, s'il vous pla?t, vous peut retenir dans ces bois, tandis que tout le monde a couru en foule ? la magnificence de la f?te, dont l'amour du prince Iphicrate vient de r?galer sur la mer la promenade des Princesses ; tandis qu'elles y ont re?u des cadeaux merveilleux de musique et de danse, et qu'on a vu les rochers et les ondes se parer de Divinit?s pour faire honneur ? leurs attraits ? |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 1 |
3 | CLITIDAS |
Quand on n'aurait nulle curiosit? pour les choses, on en a toujours pour aller o? l'on trouve tout le monde, et quoi que vous puissiez dire, on ne demeure point tout seul pendant une f?te ? r?ver parmi des arbres comme vous faites, ? moins d'avoir en t?te quelque chose qui embarrasse. |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 2 |
4 | CLITIDAS |
Oui, je gage que je vais deviner tout ? l'heure celle que vous aimez. |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 1 |
5 | CLITIDAS |
Les belles, croyez-moi, sont toujours les plus clairvoyantes ? d?couvrir les ardeurs qu'elles causent, et le langage des yeux et des soupirs se fait entendre mieux qu'? tout autre ? celles ? qui il s'adresse. |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 2 |
6 | SOSTRATE |
La bassesse de ma fortune, dont il pla?t au Ciel de rabattre l'ambition de mon amour, le rang de la Princesse qui met entre elle et mes d?sirs une distance si f?cheuse, la concurrence de deux princes appuy?s de tous les grands titres qui peuvent soutenir les pr?tentions de leurs flammes ; de deux princes qui par mille et mille magnificences, se disputent, ? tous moments, la gloire de sa conqu?te, et sur l'amour de qui on attend tous les jours de voir son choix se d?clarer, mais plus que tout, Clitidas, le respect inviolable o? ses beaux yeux assujettissent toute la violence de mon ardeur. |
Acte 2, sc. 1, SOSTRATE, phrase 1 |
7 | CLITIDAS |
Taisons-nous, voici tout le monde. |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 1 |
8 | ARISTIONE |
Cette f?te a eu des ornements qui l'emportent sans doute sur tout ce que l'on saurait voir, et elle vient de produire ? nos yeux quelque chose de si noble, de si grand et de si majestueux, que le Ciel m?me ne saurait aller au del?, et je puis dire assur?ment qu'il n'y a rien dans l'univers qui s'y puisse ?galer. |
Acte 2, sc. 2, ARISTIONE, phrase 2 |
9 | IPHICRATE |
Sostrate est de ces gens, Madame, qui croient qu'il ne sied pas bien d'?tre curieux comme les autres, et il est beau d'affecter de ne pas courir o? tout le monde court. |
Acte 2, sc. 2, IPHICRATE, phrase 1 |
10 | SOSTRATE |
Seigneur, l'affectation n'a gu?re de part ? tout ce que je fais, et sans vous faire compliment, il y avait des choses ? voir dans cette f?te, qui pouvaient m'attirer, si quelque autre motif ne m'avait retenu. |
Acte 2, sc. 2, SOSTRATE, phrase 1 |
11 | CLITIDAS |
Le moyen, ne dites-vous pas que l'ascendant est plus fort que tout ; et s'il est ?crit dans les astres que je sois enclin ? parler de vous, comment voulez-vous que je r?siste ? ma destin?e ? |
Acte 2, sc. 2, CLITIDAS, phrase 1 |
12 | ANAXARQUE |
Avec tout le respect, Madame, que je vous dois, il y a une chose qui est f?cheuse dans votre Cour que tout le monde y prenne libert? de parler, et que le plus honn?te homme y soit expos? aux railleries du premier m?chant plaisant. |
Acte 2, sc. 2, ANAXARQUE, phrase 1 |
13 | CLITIDAS |
Avec tout le respect que je dois ? Madame, il y a une chose qui m'?tonne dans l'astrologie, comment des gens qui savent tous les secrets des Dieux, et qui poss?dent des connaissances ? se mettre au-dessus de tous les hommes, aient besoin de faire leur cour, et de demander quelque chose. |
Acte 2, sc. 2, CLITIDAS, phrase 1 |
14 | TIMOCLES |
Je lui ai fait des hommages soumis de tous mes voeux ; j'ai montr? des assiduit?s ; j'ai rendu des soins chaque jour ; j'ai fait chanter ma passion aux voix les plus touchantes, et l'ai exprimer en vers aux plumes les plus d?licates ; je me suis plaint de mon martyre en des termes passionn?s ; j'ai fait dire ? mes yeux aussi bien qu'? ma bouche le d?sespoir de mon amour ; j'ai pouss? ? ses pieds, des soupirs languissants ; j'ai m?me r?pandu des larmes, mais tout cela inutilement, et je n'ai point connu qu'elle ait dans l'?me aucun ressentiment de mon ardeur. |
Acte 2, sc. 2, TIMOCLES, phrase 2 |
15 | ARISTIONE |
Prince, le compliment est d'un amant adroit, et vous avez entendu dire qu'il fallait cajoler les m?res pour obtenir les filles ; mais ici, par malheur, tout cela devient inutile, et je me suis engag?e ? laisser le choix entier ? l'inclination de ma fille. |
Acte 2, sc. 2, ARISTIONE, phrase 1 |
16 | IPHICRATE |
Je ne recherche la princesse ?riphile, que parce qu'elle est votre sang ; je la trouve charmante par tout ce qu'elle tient de vous, et c'est vous que j'adore en elle. |
Acte 2, sc. 2, IPHICRATE, phrase 2 |
17 | ARISTIONE |
Je souffre qu'on me loue de ma sinc?rit?, qu'on dise que je suis une bonne princesse, que j'ai de la parole pour tout le monde, de la chaleur pour mes amis, et de l'estime pour le m?rite et la vertu, je puis t?ter de tout cela ; mais pour les douceurs de charmes et d'attraits, je suis bien aise qu'on ne m'en serve point, et quelque v?rit? qui s'y p?t rencontrer, on doit faire quelque scrupule d'en go?ter la louange, quand on est m?re d'une fille comme la mienne. |
Acte 2, sc. 2, ARISTIONE, phrase 2 |
18 | IPHICRATE |
Madame, c'est vous qui voulez ?tre m?re malgr? tout le monde, il n'est point d'yeux qui ne s'y opposent, et si vous le vouliez la princesse ?riphile ne serait que votre soeur. |
Acte 2, sc. 2, IPHICRATE, phrase 2 |
19 | CLÉONICE |
On trouvera ?trange, Madame, que vous vous soyez ainsi ?cart?e de tout le monde. |
Acte 2, sc. 5, CLÉONICE, phrase 1 |
20 | ERIPHILE |
Vous avez bien la mine, Cl?onice, de me venir ici r?galer d'un mauvais divertissement ; car, gr?ce au Ciel vous ne manquez pas de vouloir produire indiff?remment tout ce qui se pr?sente ? vous, et vous avez une affabilit? qui ne rejette rien. |
Acte 2, sc. 5, ERIPHILE, phrase 1 |
21 | ERIPHILE |
Aussi est-ce ? vous seule qu'on voit avoir recours toutes les muses n?cessitantes ; vous ?tes la grande protectrice du m?rite incommod?, et tout ce qu'il y a de vertueux indigents au monde va d?barquer chez nous. |
Acte 2, sc. 5, ERIPHILE, phrase 2 |
22 | CLITIDAS |
En v?rit? c'est un homme qui me revient, un homme fait comme je veux que les hommes soient faits : ne prenant point des mani?res bruyantes et des tons de voix assommants ; sage et pos? en toutes choses ; ne parlant jamais que bien ? propos ; point prompt ? d?cider ; point du tout exag?rateur incommode ; et quelques beaux vers que nos po?tes lui aient r?cit?s, je ne lui ai jamais ou? dire voil? qui est plus beau que tout ce qu'a jamais fait Hom?re. |
Acte 4, sc. 2, CLITIDAS, phrase 1 |
23 | CLITIDAS |
Il m'a demand? si vous aviez t?moign? grande joie au magnifique r?gale que l'on vous a donn? ; m'a parl? de votre personne avec des transports les plus grands du monde, vous a mise au-dessus du ciel, et vous a donn? toutes les louanges qu'on peut donner ? la princesse la plus accomplie de la terre, entrem?lant tout cela de plusieurs soupirs, qui disaient plus qu'il ne voulait. |
Acte 4, sc. 2, CLITIDAS, phrase 1 |
24 | CLITIDAS |
J'ai tir? de son coeur par surprise un secret qu'il veut cacher ? tout le monde et avec lequel il est, dit-il, r?solu de mourir. |
Acte 4, sc. 2, CLITIDAS, phrase 2 |
25 | ERIPHILE |
Jusques ici je me suis d?fendue de m'expliquer, et la Princesse ma m?re a eu la bont? de souffrir que j'aie recul? toujours ce choix qui me doit engager ; mais je serai bien aise de t?moigner ? tout le monde que je veux faire quelque chose pour l'amour de vous, et si vous m'en pressez je rendrai cet arr?t qu'on attend depuis si longtemps. |
Acte 4, sc. 3, ERIPHILE, phrase 1 |
26 | ERIPHILE |
N'ont-ils pu d?couvrir, vos yeux, ce dont tout le monde est en peine, et ne vous ont-ils point donn? quelques petites lumi?res du penchant de mon coeur ? |
Acte 4, sc. 3, ERIPHILE, phrase 2 |
27 |
PREMIER SATYRE |
Qui nous consolent de tout. |
Acte 5, sc. 5, v. 175 |
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28 | ARISTIONE |
Il faut toujours s'?crier voil? qui est admirable, il ne se peut rien de plus beau, cela passe tout ce qu'on a jamais vu. |
Acte 6, sc. 1, ARISTIONE, phrase 2 |
29 | ERIPHILE |
J'en ai, Madame, tout le ressentiment qu'il est possible. |
Acte 6, sc. 1, ERIPHILE, phrase 1 |
30 | ARISTIONE |
J'estime tant Sostrate que, soit que vous vouliez vous servir de lui pour expliquer vos sentiments, ou soit que vous vous en remettiez absolument ? sa conduite ; je fais, dis-je, tant d'estime de sa vertu et de son jugement, que je consens de tout mon coeur, ? la proposition que vous me faites. |
Acte 6, sc. 1, ARISTIONE, phrase 1 |
31 | SOSTRATE |
Non, Seigneur, vous n'aurez point de cour ? me faire, et avec tout le respect que je dois aux Princesses, je renonce ? la gloire o? elles veulent m'?lever. |
Acte 6, sc. 1, SOSTRATE, phrase 1 |
32 | TIMOCLES |
Par quelle raison donc refusez-vous d'accepter le pouvoir qu'on vous donne, et de vous acqu?rir l'amiti? d'un Prince qui vous devrait tout son bonheur ? |
Acte 6, sc. 1, TIMOCLES, phrase 1 |
33 | ANAXARQUE |
En est-il un meilleur, Madame, pour terminer les choses au contentement de tout le monde, que les lumi?res que le Ciel peut donner sur ce mariage ? |
Acte 6, sc. 1, ANAXARQUE, phrase 1 |
34 | ANAXARQUE |
Les ?preuves, Madame, que tout le monde a vues de l'infaillibilit? de mes pr?dictions, sont les cautions suffisantes des promesses que je puis faire. |
Acte 6, sc. 1, ANAXARQUE, phrase 1 |
35 | SOSTRATE |
Transformer tout en or, faire vivre ?ternellement, gu?rir par des paroles, se faire aimer de qui l'on veut, savoir tous les secrets de l'avenir, faire descendre comme on veut du ciel sur des m?taux des impressions de bonheur, commander aux d?mons, se faire des arm?es invisibles et des soldats invuln?rables. |
Acte 6, sc. 1, SOSTRATE, phrase 3 |
36 | SOSTRATE |
Tout cela est charmant, sans doute, et il y a des gens qui n'ont aucune peine ? en comprendre la possibilit?, cela leur est le plus ais? du monde ? concevoir ; mais pour moi, je vous avoue que mon esprit grossier a quelque peine ? le comprendre, et ? le croire, et j'ai toujours trouv? cela trop beau pour ?tre v?ritable. |
Acte 6, sc. 1, SOSTRATE, phrase 4 |
37 | CLITIDAS |
Il vous fera une discussion de tout cela quand vous voudrez. |
Acte 6, sc. 1, CLITIDAS, phrase 1 |
38 | IPHICRATE |
Pour moi j'ai vu, et des choses tout ? fait convaincantes. |
Acte 6, sc. 1, IPHICRATE, phrase 1 |
39 | ARISTIONE |
Ma Fille, j'ai voulu me s?parer de tout le monde pour vous entretenir, et je veux que vous ne me cachiez rien de la v?rit?. |
Acte 8, sc. 1, ARISTIONE, phrase 2 |
40 | ARISTIONE |
Tourner vers vous toutes mes pens?es, vous pr?f?rer ? toutes choses, et fermer l'oreille en l'?tat o? je suis, ? toutes les propositions que cent princesses en ma place ?couteraient avec biens?ance, tout cela vous doit assez persuader que je suis une bonne m?re, et que je ne suis pas pour recevoir avec s?v?rit? les ouvertures que vous pourriez me faire de votre coeur. |
Acte 8, sc. 1, ARISTIONE, phrase 2 |
41 | ARISTIONE |
Je n'ai point renferm? votre inclination dans le choix de deux princes : vous pouvez l'?tendre o? vous voudrez, et le m?rite aupr?s de moi tient un rang si consid?rable, que je l'?gale ? tout ; et, si vous m'avouez franchement les choses, vous me verrez souscrire sans r?pugnance au choix qu'aura fait votre coeur. |
Acte 8, sc. 1, ARISTIONE, phrase 2 |
42 | ERIPHILE |
Vous avez des bont?s pour moi, Madame, dont je ne puis assez me louer ; mais je ne les mettrai point ? l'?preuve sur le sujet dont vous me parlez, et tout ce que je leur demande, c'est de ne point presser un mariage o? je ne me sens pas encore bien r?solue. |
Acte 8, sc. 1, ERIPHILE, phrase 1 |
43 | ARISTIONE |
Jusqu'ici je vous ai laiss?e assez ma?tresse de tout, et l'impatience des Princes vos amants... |
Acte 8, sc. 1, ARISTIONE, phrase 1 |
44 | ANAXARQUE |
Enfin, mon Fils, comme nous venons de voir par cette ouverture, le stratag?me a r?ussi, notre V?nus a fait des merveilles ; et l'admirable ing?nieur qui s'est employ? ? cet artifice, a si bien dispos? tout, a coup? avec tant d'adresse le plancher de cette grotte, si bien cach? ses fils de fer et tous ses ressorts, si bien ajust? ses lumi?res, et habill? ses personnages, qu'il y a peu de gens qui n'y eussent ?t? tromp?s. |
Acte 8, sc. 3, ANAXARQUE, phrase 2 |
45 | CLÉON |
Mais pour lequel des deux princes au moins dressez-vous tout cet artifice ? |
Acte 8, sc. 3, CLÉON, phrase 1 |
46 | ANAXARQUE |
Tous deux ont recherch? mon assistance, et je leur promets ? tous deux la faveur de mon art ; mais les pr?sents du Prince Iphicrate, et les promesses qu'il m'a faites, l'emportent de beaucoup sur tout ce qu'a pu faire l'autre. |
Acte 8, sc. 3, ANAXARQUE, phrase 1 |
47 | ERIPHILE |
Votre passion a paru ? mes yeux accompagn?e de tout le m?rite qui me la pouvait rendre agr?able. |
Acte 8, sc. 4, ERIPHILE, phrase 2 |
48 | ERIPHILE |
Ce n'est pas, Sostrate, que le m?rite seul n'ait ? mes yeux tout le prix qu'il doit avoir, et que dans mon coeur je ne pr?f?re les vertus qui sont en vous ? tous les titres magnifiques, dont les autres sont rev?tus. |
Acte 8, sc. 4, ERIPHILE, phrase 4 |
49 | ERIPHILE |
Ce n'est pas m?me que la Princesse ma M?re ne m'ait assez laiss? la disposition de mes voeux, et je ne doute point, je vous l'avoue, que mes pri?res n'eussent pu tourner son consentement du c?t? que j'aurais voulu ; mais il est des ?tats, Sostrate, o? il n'est pas honn?te de vouloir tout ce qu'on peut faire. |
Acte 8, sc. 4, ERIPHILE, phrase 5 |
50 | CLÉONICE |
Madame, je vous vois l'esprit tout chagrin, vous pla?t-il que vos danseurs, qui expriment si bien toutes les passions, vous donnent maintenant quelque ?preuve de leur adresse ? |
Acte 8, sc. 5, CLÉONICE, phrase 1 |
51 | ERIPHILE |
Oui, Cl?onice, qu'ils fassent tout ce qu'ils voudront, pourvu qu'ils me laissent ? mes pens?es. |
Acte 8, sc. 5, ERIPHILE, phrase 1 |
52 | CLITIDAS |
C'est promptement, de vrai, que j'ach?verai, car un peu de poltronnerie m'a emp?ch? de voir tout le d?tail de ce combat ; et tout ce que je puis vous dire, c'est que retournant sur la place, nous avons vu le sanglier mort, tout vautr? dans son sang, et la Princesse pleine de joie, nommant Sostrate son lib?rateur, et l'?poux digne et fortun? que les Dieux lui marquaient pour vous. |
Acte 10, sc. 1, CLITIDAS, phrase 2 |
53 | ARISTIONE |
Je vois, ma fille, que vous savez d?j? tout ce que nous pourrions vous dire. |
Acte 10, sc. 2, ARISTIONE, phrase 1 |
54 | ARISTIONE |
Vous voyez que les Dieux se sont expliqu?s bien plus t?t que nous n'eussions pens? ; mon p?ril n'a gu?re tard? ? nous marquer leurs volont?s, et l'on conna?t assez que ce sont eux qui se sont m?l?s de ce choix, puisque le m?rite tout seul brille dans cette pr?f?rence. |
Acte 10, sc. 2, ARISTIONE, phrase 2 |
55 | SOSTRATE |
N'est-ce point ici quelque songe, tout plein de gloire dont les Dieux me veuillent flatter, et quelque r?veil malheureux ne me replongera-t-il point dans la bassesse de ma fortune ? |
Acte 10, sc. 2, SOSTRATE, phrase 2 |
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