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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | ZERBINE |
Bonjour Fabrice. |
Acte 1, sc. 8, ZERBINE, phrase 1 |
2 | ZERBINE |
Toute la maison est en d?sordre pour Jeannette, et on ne sait plus qui entendre : mais voici Fabrice, il a l'air tout afflig? ; il ne me voit pas, ?pions-le et ?coutons ce qu'il va dire. |
Acte 1, sc. 14, ZERBINE, phrase 1 |
3 | ZERBINE |
Le tra?tre veut s'enfuir avec Jeannette, mais je l'en emp?cherai ; je vais en avertir Monsieur_le_Baron ; il faut que je me venge du tour que Fabrice veut me jouer. |
Acte 1, sc. 15, ZERBINE, phrase 2 |
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4 | CLARISSE |
Non mon fr?re rassurez-vous : son cher amant Fabrice votre digne rival l'accompagne dans sa fuite ainsi n'en soyez plus en peine l'un et l'autre, et si vous m'en croyez pr?sent, vous ne vous disputerez plus la conqu?te de cette charmante H?l?ne. |
Acte 2, sc. 1, CLARISSE, phrase 1 |
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5 | ZERBINE |
Pour le coup, Fabrice ne m'attend pas ici. |
Acte 2, sc. 3, ZERBINE, phrase 2 |
6 | ZERBINE |
Ne te g?ne point mon ami, et va la trouver, je serais d?sol?e de porter aucun ombrage aux inclinations de Monsieur Fabrice. |
Acte 2, sc. 4, ZERBINE, phrase 4 |
7 | ZERBINE |
Si Monsieur_le_Baron te fait chercher partout pour te faire assommer, il est inutile que tu le saches ; d'ailleurs Monsieur Fabrice est un gar?on si spirituel et si avis? qu'il ?vitera lui-m?me l'orage qui menace son dos... |
Acte 2, sc. 4, ZERBINE, phrase 2 |
8 | CLARISSE |
Une fille de son ?tat, oser pr?tendre la main de mon fr?re, et qui plus est, avoir la coquetterie de vouloir inspirer de l'amour mon p?re et m?me ? Fabrice, avec lequel elle s'est sauv?e sans aucun myst?re ; mais, qu'est-ce que j'entends ? |
Acte 2, sc. 6, CLARISSE, phrase 1 |
9 | LE BARON |
C'est tort qu'on l'accuse d'aimer Fabrice, tu voulais l'enlever de chez moi !... |
Acte 2, sc. 6, LE BARON, phrase 2 |
10 | ZERBINE |
Si je puis rencontrer Fabrice, je crois que je l'?tranglerai dans ma fureur. |
Acte 2, sc. 9, ZERBINE, phrase 1 |
11 | JEANNETTE |
Je suis p?n?tr?e des sentiments que vous avez pour moi ; mais, Fabrice, je ne saurais y ?tre sensible ; cessez une vaine poursuite, et renoncez tout espoir : car il m'est impossible de vous aimer. |
Acte 2, sc. 11, JEANNETTE, phrase 1 |
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