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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | LA COMTESSE |
Il est pr?vu ; il fait tout : je l'attends pour le consulter, pour m'instruire sur Descartes, dont je ne connais point du tout les ouvrages... |
Acte 1, sc. 1, LA COMTESSE, phrase 14 |
2 | LA COMTESSE |
C'est lui... |
Acte 1, sc. 1, LA COMTESSE, phrase 17 |
3 | LA COMTESSE |
C'est lui, peut-?tre... |
Acte 1, sc. 1, LA COMTESSE, phrase 18 |
4 | LA COMTESSE |
C'est le Chevalier. |
Acte 1, sc. 1, LA COMTESSE, phrase 20 |
5 | LE CHEVALIER |
? votre ?gard, cela est incontestable ; la nature en vous est si sup?rieure ? l'art... |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 1 |
6 | LA COMTESSE |
Le d?sir de vous plaire, Messieurs, occupait nos moments : il nous en restera davantage pour l'amiti?. |
Acte 1, sc. 2, LA COMTESSE, phrase 5 |
7 | LE CHEVALIER |
Qu'est-ce que c'est qu'une femme ? |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 2 |
8 | LE CHEVALIER |
Une tr?s jolie fleur, faite pour la libert? ; sa destin?e est de se faner, de languir sous la main qui se l'approprie et la contraint. |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 3 |
9 | LE CHEVALIER |
Il n'est donc point si cruel de respecter son ?clat, son ind?pendance... |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 4 |
10 | LA COMTESSE |
Vraiment votre g?n?rosit?, ? notre ?gard, est touchante ! |
Acte 1, sc. 2, LA COMTESSE, phrase 1 |
11 | LE CHEVALIER |
J'en conviens ; mais c'est pourtant la v?rit? toute pure. |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 1 |
12 | LE CHEVALIER |
Si je ne voulais que m'amuser, je n'aurais pas ?t? si loin ; mais je me justifie : et quand on est rempli de l'innocence de ses motifs... |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 1 |
13 | LA COMTESSE |
La dette est plus qu'acquitt?e ; vous devez ?tre content de vous... |
Acte 1, sc. 2, LA COMTESSE, phrase 1 |
14 | LE CHEVALIER |
Rien n'est mieux vu. |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 4 |
15 | LE CHEVALIER |
La Philosophie, l'?pigramme, les douces protestations de vous aimer toujours... ***** |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 6 |
16 | LA COMTESSE |
C'est le plus z?l? partisan du Club des hommes. |
Acte 1, sc. 3, LA COMTESSE, phrase 2 |
17 | LA MARQUISE |
La dette est agr?able ? payer. |
Acte 1, sc. 3, LA MARQUISE, phrase 1 |
18 | LA COMTESSE |
C'est lui, ou son g?nie qui revient : le g?nie d'un grand homme n'a jamais effray? personne. |
Acte 1, sc. 3, LA COMTESSE, phrase 1 |
19 | LA BARONNE |
Et, d'ailleurs, s'il est vrai, comme on le dit, qu'il soit le premier qui nous ait d?couvert une ?me, il est bien juste que nous lui rendions la vie, ? notre volont?. |
Acte 1, sc. 3, LA BARONNE, phrase 1 |
20 | MADAME DE MERVAL |
Elle a raison : mais c'est que le d?pit, l'humeur sont un peu contraires ? la tranquillit? de l'esprit. |
Acte 1, sc. 3, MADAME DE MERVAL, phrase 1 |
21 | LA COMTESSE |
Cette crainte est un pr?jug? qui nous vient des hommes. |
Acte 1, sc. 3, LA COMTESSE, phrase 1 |
22 | LA BARONNE |
C'est un enfant. |
Acte 1, sc. 3, LA BARONNE, phrase 4 |
23 | LA COMTESSE |
Oui : mais c'est un caract?re ? former. |
Acte 1, sc. 3, LA COMTESSE, phrase 1 |
24 | LA BARONNE |
?coutons-la ; voyons ses dispositions : l'examen ne doit pas ?tre difficile, car elle est na?ve et sensible. |
Acte 1, sc. 3, LA BARONNE, phrase |
25 | LA VICOMTESSE |
Vous me paraissez bien extr?me, Madame ; c'est l'humeur de notre exclusion de leurs assembl?es qui vous fait parler ainsi. |
Acte 1, sc. 4, LA VICOMTESSE, phrase 1 |
26 | LA COMTESSE |
Notre premier besoin de situation est de conna?tre profond?ment les hommes : ce sont eux qui veulent, vous l'apprendrez ; les femmes ne peuvent que faire vouloir, jugez de quelle importance il est pour nous de conna?tre leur coeur, d'analyser leurs penchants, de p?n?trer dans leur ?me, et d'y chercher jusqu'? leurs d?go?ts m?mes. |
Acte 1, sc. 4, LA COMTESSE, phrase 3 |
27 | MADAME DE MERVAL |
Au reste, ma ch?re amie ; vous voulez ?tre des n?tres ? |
Acte 1, sc. 4, MADAME DE MERVAL, phrase 1 |
28 | LA VICOMTESSE |
Votre soci?t? me convient d?j? beaucoup : l'exemple fera le reste. |
Acte 1, sc. 4, LA VICOMTESSE, phrase 1 |
29 | LA MARQUISE |
C'est bien dit... |
Acte 1, sc. 4, LA MARQUISE, phrase 1 |
30 | LA MARQUISE |
Le rendez-vous n'est-il pas dans une heure ? |
Acte 1, sc. 4, LA MARQUISE, phrase 2 |
31 | LA COMTESSE |
C'est lui, sans doute... |
Acte 1, sc. 4, LA COMTESSE, phrase 5 |
32 | LA COMTESSE |
C'est lui-m?me... |
Acte 1, sc. 4, LA COMTESSE, phrase 6 |
33 | LA COMTESSE |
C'est que vous autres hommes, vous ?tes lents, si lents ? venir, et surtout quand on vous appelle. |
Acte 1, sc. 5, LA COMTESSE, phrase 1 |
34 | LA COMTESSE |
N'y a-t-il pas une heure que ce billet est parti ?... |
Acte 1, sc. 5, LA COMTESSE, phrase 2 |
35 | LA COMTESSE |
Vite, tr?s vite, apprenez-moi ce que c'est que le syst?me, et la Philosophie de Descartes. |
Acte 1, sc. 5, LA COMTESSE, phrase 3 |
36 | LE MARQUIS |
Voil? de grandes questions... |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 1 |
37 | LA COMTESSE |
La soci?t?, par exemple, est compos?e de diff?rents tourbillons, qui se tiennent tous, et qui vont et viennent, n?anmoins, en sens contraire. |
Acte 1, sc. 5, LA COMTESSE, phrase 2 |
38 | LE MARQUIS |
Voil? une d?finition presque enti?re : il reste bien peu de choses ? ajouter. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 2 |
39 | LE MARQUIS |
En effet, ce qu'on regarde en elle comme si condamnable, ce cercle de penchants aimables, de caprices, d'infid?lit?s, dans lequel tourne son printemps, est une image des tourbillons. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 5 |
40 | LE MARQUIS |
Tout cela s'embo?te ? merveille, et lui fait une petite f?licit?, qui la rend, chaque jour, plus charmante, par tous ces tours et retours de ses go?ts et de ses pens?es ; comme le monde est plus beau, plus riant ? la vue, par ses mouvements et ses r?volutions. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 6 |
41 | LE MARQUIS |
Ses ?coliers l'ont peint de plusieurs couleurs ; et voil? comment on s'est fait gloire de ses d?couvertes, sous le nom d'attraction, de gravitation, et coetera. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 3 |
42 | LE MARQUIS |
La v?rit? est de m?me. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 6 |
43 | LE MARQUIS |
On a d?roul? le peloton de fil ; mais c'est lui qui a fait le peloton. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 2 |
44 | LE MARQUIS |
La v?rit? est une, et dure ?ternellement. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 4 |
45 | LE MARQUIS |
Il a tout invent?, puisqu'il ne s'est servi de rien de ce qui ?tait de l'invention des autres. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 3 |
46 | LA COMTESSE |
Qu est-ce que c'est, au juste, que l'analyse ? |
Acte 1, sc. 5, LA COMTESSE, phrase 5 |
47 | LE MARQUIS |
Mesdames, c'est vous qui en avez le secret : c'est de vous que le philosophe l'apprit. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 2 |
48 | LA COMTESSE |
Serait-ce de ramener tous les mots ? une pens?e, et toutes les pens?es ? un sentiment, c'est-?-dire, ? la premi?re pens?e, produite par nos sens ? |
Acte 1, sc. 5, LA COMTESSE, phrase 4 |
49 | LE MARQUIS |
Voil? ce que c'est ; et c'est tout. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 1 |
50 | LE MARQUIS |
Oui, c'est de ramener votre conte ? sa premi?re id?e. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 2 |
51 | LE MARQUIS |
Il r?unit les sexes et les id?es que nous avions s?par?s ; et il fit tout, par sa m?thode de chercher le vrai, qui seul est aimable... |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 2 |
52 | LE MARQUIS |
Quoiqu'il paraisse une grande distance entre les tourbillons, le plein, le vide, l'analyse et vos sentiments, vos affections liantes, vos id?es nettes, pures, si douces, si s?duisantes ; il est pourtant vrai que tout cela se tient ; qu'il n'a trouv? la nature vierge que dans vos coeurs, ses v?rit?s que dans la source de vos heureuses et bienfaisantes inclinations ; et que pour ?tre aussi bon Philosophe que lui, c'est une n?cessit? de vous ?tudier, de respecter vos droits, et de nous r?former par ces le?ons touchantes, que nous donnent vos sentiments et vos bont?s pour nous. |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 3 |
53 | LE MARQUIS |
Le Chevalier, surtout, n'est-ce pas ? |
Acte 1, sc. 5, LE MARQUIS, phrase 1 |
54 | LA COMTESSE |
C'est un homme bien terrible, bien odieux. |
Acte 1, sc. 5, LA COMTESSE, phrase 2 |
55 | LA MARQUISE |
C'est lui ; le voil? qui arrive : nous l'avons rencontr?. |
Acte 1, sc. 6, LA MARQUISE, phrase 1 |
56 | LA BARONNE |
Il n'est pas v?tu ? la mode. |
Acte 1, sc. 6, LA BARONNE, phrase 1 |
57 | LE MARQUIS |
C'est l'ouvrier qui vient revoir son ouvrage. |
Acte 1, sc. 7, LE MARQUIS, phrase 3 |
58 | LA COMTESSE |
Notre reconnaissance, Monsieur, est sans bornes. |
Acte 1, sc. 7, LA COMTESSE, phrase 1 |
59 | DESCARTES |
Elle est de mon c?t?, Mesdames ; et d?j? je sens qu'il me sera difficile de m'acquitter. |
Acte 1, sc. 7, DESCARTES, phrase 1 |
60 | LA MARQUISE |
Un discours simple, un accueil modeste, un aveu de notre embarras, vous diront mieux combien nous sommes remplies de votre m?rite, et flatt?es de votre retour. |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase 2 |
61 | DESCARTES |
Elle ?tait assez grande pour manifester son g?nie par sa bont? m?me... |
Acte 1, sc. 7, DESCARTES, phrase 1 |
62 | DESCARTES |
J'ignore si la France est bien chang?e. |
Acte 1, sc. 7, DESCARTES, phrase 5 |
63 | LA COMTESSE |
Elle l'est beaucoup, Monsieur ; le progr?s des sciences est incroyable, vos ouvrages ont commenc? ce prodige. |
Acte 1, sc. 7, LA COMTESSE, phrase 1 |
64 | LA VICOMTESSE |
L'esprit m?me est devenu une mode... |
Acte 1, sc. 7, LA VICOMTESSE, phrase 1 |
65 | LA MARQUISE |
Monsieur, un des grands prodiges, qui frappent depuis vingt ans, c'est la r?volution arriv?e dans la Philosophie. |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase 1 |
66 | LA MARQUISE |
Son ton n'est plus grave ; ses formes ne font plus s?rieuses ; elle admet jusqu'? l'?l?gance de la parure ; et vous jugez que quelquefois ses maximes s'en ressentent. |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase |
67 | LE MARQUIS |
Oui, Monsieur : cette supposition prouve que le grand homme creuse en un moment ce qui n'est longtemps que surface pour les autres. |
Acte 1, sc. 7, LE MARQUIS, phrase 1 |
68 | LA COMTESSE |
Cela est galant. |
Acte 1, sc. 7, LA COMTESSE, phrase 1 |
69 | LA COMTESSE |
Ce temps est loin. |
Acte 1, sc. 7, LA COMTESSE, phrase 3 |
70 | LA MARQUISE |
En revanche, nous n'avons voulu admettre que Monsieur, qui nous reste exclusivement... |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase 1 |
71 | LA MARQUISE |
Savez-vous ce que c'est qu'un Club, Monsieur ? |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase 4 |
72 | LA MARQUISE |
Oh, c'est une belle chose traduite de l'anglais ; car tout est Angleterre en France. |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase 1 |
73 | DESCARTES |
Oh, il vous reste bien quelques traits distinctifs... |
Acte 1, sc. 7, DESCARTES, phrase 1 |
74 | DESCARTES |
Mais apprenez-moi ce que c'est qu'un Club, je vous prie. |
Acte 1, sc. 7, DESCARTES, phrase 2 |
75 | LA COMTESSE |
Quoi, Monsieur, rien de plus clair : de grands beaux appartements, bien meubl?s, que ces messieurs louent en corps, o? ils s'assemblent, d'o? nous fommes exclues, o? ils font des repas, de la politique, de la calomnie ; o? ils jouent, m?disent, se partagent le d?partement des esp?ces d'hommages qu'ils nous destinent, se r?jouissent de nos faiblesses, de leur perfidie, se fortifient mutuellement dans le grand art de nous tromper ; et ils ne sortent de l? que pour nous donner le temps que l'ennui leur laisse, et venir d?poser ? nos pieds l'innocence de leurs principes. |
Acte 1, sc. 7, LA COMTESSE, phrase 1 |
76 | LA COMTESSE |
Non, Monsieur, on ne m'a rien confi? ; je ne connais ni n'accueille les indiscrets ; mais c'est ainsi qu'il faut que cela soit, d?s que l'entr?e nous en est interdite. |
Acte 1, sc. 7, LA COMTESSE, phrase 1 |
77 | DESCARTES |
En rabattant quelque chose de tout cela, je sais ? pr?sent ce que c'est qu'un Club. |
Acte 1, sc. 7, DESCARTES, phrase 1 |
78 | LA MARQUISE |
Eh bien, Monsieur ; c'est la derni?re invention de ces messieurs pour s'?loigner de nous. |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase 1 |
79 | LA MARQUISE |
C'est le port o? ils ont mis leur philosophie, et leurs ?mes, rassasi?es de plaisir, ? l'abri des incursions de la beaut?. |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase 2 |
80 | LA VICOMTESSE |
C'est un caprice, une mode d'un jour... |
Acte 1, sc. 7, LA VICOMTESSE, phrase 1 |
81 | LA MARQUISE |
C'est un parti pris... |
Acte 1, sc. 7, LA MARQUISE, phrase 2 |
82 | LA COMTESSE |
Mais vous n'irez point dans ces Clubs funestes ; nous ne contestons point a une d?marche, qui pourrait nous humilier, et vous ravir ? nos besoins. |
Acte 1, sc. 7, LA COMTESSE, phrase 2 |
83 | LA BARONNE |
? notre tour, nous trouverons dans le genre d'esprit qui nous est propre, dans nos ?mes, dans nos talents r?unis, le moyen pr?cieux de nous acquitter en partie ; et si ces Messieurs s'instruisent ? nous tromper, nous nous instruirons dans l'art de nous d?fendre. |
Acte 1, sc. 7, LA BARONNE, phrase 4 |
84 | DESCARTES |
Mesdames, c'est l? le grand secret : votre indulgence les tient dans une douce s?curit?. |
Acte 1, sc. 7, DESCARTES, phrase 1 |
85 | LA COMTESSE |
Votre toilette est un peu s?rieuse ; et nous avons dit que la Philosophie ?gayait ses formes tous les jours. |
Acte 1, sc. 7, LA COMTESSE, phrase 1 |
86 | DESCARTES |
Un frac n'emp?che pas d'?tre heureux ; un gilet n'est pas un obstacle aux progr?s de la raison ; un chapeau rond permet tr?s bien de penser. |
Acte 1, sc. 7, DESCARTES, phrase 2 |
87 |
UNE FEMME |
Votre malheur n'est point irr?parable, |
Acte 1, sc. 8, v. 7 |
88 | DESCARTES |
Il est donc un bonheur qu'on ne peut nous ravir. |
Acte 1, sc. 8, DESCARTES, phrase 1 |
89 | LE TOURANGEAU |
Tout cela est plein de votre image et de mon bonheur. |
Acte 1, sc. 8, LE TOURANGEAU, phrase 1 |
90 | LE TOURANGEAU |
Vous m'avez pr?venu : je ne saurais m'en plaindre : c'est ? la Beaut? sensible de couronner le G?nie. |
Acte 1, sc. 8, LE TOURANGEAU, phrase 2 |