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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
SECOND FRANÇAIS |
Monseigneur, est, que si je vis |
Acte 1, sc. 2, v. 16 |
2 |
SECOND FRANÇAIS |
C'est votre honneur que je poursuis, |
Acte 1, sc. 2, v. 17 |
3 |
TROISIÈME FRANÇAIS |
La terre en est ravie, et, dit-on, par honneur |
Acte 1, sc. 2, v. 25 |
4 |
QUATRIÈME FRANÇAIS |
Saillir une c?leste flamme. |
Acte 1, sc. 2, v. 36 |
5 | LA NATION HURONNE |
Ce qui m'oblige, Monseigneur, ? vous protester toute l'ob?issance et la soumission que vous pouvez attendre des moindres, mais des plus fid?les de vos sujets. |
Acte 1, sc. 3, LA NATION HURONNE, phrase 3 |
6 | LA NATION ALGONQUINE |
Maintenant qu'ayant la foi, je vis dans l'esp?rance d'une vie ?ternelle, et que je poss?de aujourd'hui l'honneur de votre bienveillance, et la faveur de votre protection, il est vrai que si j'?tais capable de pleurer aussi bien que mon fr?re le Huron, je verserais, maintenant que je me vois devant vous, un torrent de larmes de joie ; mais il faut que je vous avoue que je ne sais ce que c'est que de pleurer ; j'ai trop de courage et de force d'esprit, pour me laisser aller ? cette bassesse. |
Acte 1, sc. 3, LA NATION ALGONQUINE, phrase 3 |
7 | LE GÉNIE INTERPRÈTE |
Monseigneur, dit cet autre, d'une Nation encore plus ?loign?e, nous ?tant rencontr?s tous deux heureusement dans le m?me dessein ? la faveur d'un grand bruit, qui retentissait dedans l'air comme une esp?ce de tonnerre tout extraordinaire, nous avons coup? en courant, par des chemins inconnus, au travers de diverses nations, lesquelles nous ont appris une nouvelle bien agr?able qu'un homme incomparable ?tait arriv? en ce pays, pour y commander, et dans le dessein de rendre les hommes, qui habitent ces for?ts, aussi grands dans le ciel, que lui-m?me est grand sur la terre, nous venons pour savoir au vrai ce qui en est, pour voir de nos yeux ce grand personnage et prendre part au bonheur qu'il nous vient procurer. |
Acte 1, sc. 3, LE GÉNIE INTERPRÈTE, phrase 1 |
8 | LE GÉNIE UNIVERSEL |
Monseigneur, voici enfin de pauvres captifs ?chapp?s tout fra?chement des mains des Iroquois ; ils se pr?sentent ? vous portant encore les marques de leur captivit? ; c'est assez que vous les voyiez pour ?tre touch? de compassion sur leur mis?re, et les en d?livrer. |
Acte 1, sc. 3, LE GÉNIE UNIVERSEL, phrase 1 |
9 | LE GÉNIE INTERPRÈTE |
Depuis que nous souffrons les rigueurs de la cruaut? des Iroquois, nous nous regardons tous comme des victimes destin?es au feu et aux flammes, qui ont d?j? d?vor? une grande partie de nos compatriotes ; mais nous nous promettons aujourd'hui ce bien, et cet avantage de votre venue, ? grand Onontio, que tous ces feux de cruaut?, qui nous environnent, seront enti?rement ?teints, ou plut?t se changeront d?sormais en des feux de joie. Si le ciel nous fait une fois cette faveur, par vos m?rites et par l'heureux succ?s de vos armes, nos richesses immenses des castors descendront jusques ? vous tous les ans, et ensuite votre z?le et votre charit? envers tant de pauvres abandonn?s, nous procureront r?ciproquement des personnes, qui nous ouvrent ici, parmi nous, les tr?sors des richesses ?ternelles. |
Acte 1, sc. 3, LE GÉNIE INTERPRÈTE, phrase 2 |
10 | LE GÉNIE UNIVERSEL |
Monseigneur, voil? les pens?es et les sentiments de ces pauvres barbares que je vous ai pr?sent?s ; maintenant pour vous d?clarer le reste du fond de leurs coeurs, je mets ? vos pieds de leur part, leurs couronnes, les armes et les liens de leur captivit? ; leurs arcs et leurs fl?ches aupr?s de vos l?opards invincibles, leur seront dor?navant tout ? fait inutiles ; et leurs liens ne peuvent ?tre employ?s plus honorablement, qu'? joindre ensemble vos lauriers, et les attacher ins?parablement ? vos g?n?reux desseins. |
Acte 1, sc. 3, LE GÉNIE UNIVERSEL, phrase 1 |