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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | MONSIEUR ROBINOT |
Je reviendrai ce soir, mon enfant, je ne vais qu'? deux lieux d'ici, consulter un peu le Bailli de Pontoise, mon parent et mon ami, sur une petite affaire dans laquelle tu me feras aussi besoin. |
Acte 1, sc. 1, MONSIEUR ROBINOT, phrase 1 |
2 | MATHURIN |
Je voudrais qu'ou l'eussiais vue, quand alle ?tait ici aveuc ses bons amis, qui ?tiont aussi les v?tres, da?; car y beuviont tant ? votre sant?? Ma d?funte ? moi, qui ?tait une maleigne b?te, disait comme ?a que ce n'?tait pas par amiqui? qu'ils y beuviont, qu'ils se gobargiont de vous, qui s'en moquiont?: mais mon opignon ? moi, c'est qu'ils y alliont tout ? la franquette?; et une marque qu'ils n'y entendiont point de finesse, c'est qu'ils n'y beuviont jamais qu'ils ne fussiont saouls. |
Acte 1, sc. 1, MATHURIN, phrase 4 |
3 | MATHURIN |
Tout petit que j'?tais, alle s'est queuquefois sarvi de moi pour en faire accroire ? votre bonhomme d'oncle, et s'est morgu? de p?re en fils que je sommes attach?s ? la famille. |
Acte 1, sc. 1, MATHURIN, phrase 3 |
4 | MONSIEUR ROBINOT |
Je ne l'ai pas encore ?prouv? l?-dessus?: mais, ma tante, si on l'en veut croire, ce n'est pas d'aujourd'hui qu'il est utile ? la famille. |
Acte 1, sc. 2, MONSIEUR ROBINOT, phrase 1 |
5 | MONSIEUR ROBINOT |
Nous sommes hardis, comme vous voyez, dans notre famille. |
Acte 1, sc. 2, MONSIEUR ROBINOT, phrase 3 |
6 | MADAME BRILLARD |
Mais si les choses se faisaient un peu plus ? l'amiable ? |
Acte 1, sc. 4, MADAME BRILLARD, phrase 1 |
7 | MONSIEUR ROBINOT |
? l'amiable ou non, elles se feront?: cependant, comme on me pourrait imputer d'avoir ou surpris ou contraint cette petite cr?ature, je vais prier mon cousin le Bailli de dresser lui-m?me les articles, et de donner un bon tour ? l'affaire. |
Acte 1, sc. 4, MONSIEUR ROBINOT, phrase 1 |
8 | LÉPINE |
Examinons un peu cela. |
Acte 1, sc. 7, LÉPINE, phrase 1 |
9 | LÉPINE |
Et Ang?lique est une fille bien n?e de s'en effaroucher?: mais elle a pour amie une personne de bon esprit, comme vous, qui entre charitablement dans ses int?r?ts, qui la rassure contre les scrupules, qui lui dit naturellement que dans les maladies d?sesp?r?es les rem?des violents sont n?cessaires, que c'est plut?t une promenade qu'un enl?vement. |
Acte 1, sc. 8, LÉPINE, phrase 2 |
10 | LÉPINE |
Vous changez de personnage sur la fin, et vous devenez cette bonne amie qui lui conseille la chose. |
Acte 1, sc. 8, LÉPINE, phrase 2 |
11 | ÉRASTE |
?coute, mon ami. |
Acte 1, sc. 9, ÉRASTE, phrase 1 |
12 | MATHURIN |
Non, morgu?, je ne sis pas votre ami, et ?a est bian vilain ? un honn?te Capitaine comme vous, d'avoir comme ?a des enjoleux ? gage qui venont pr?cher dans les maisons, afin de parvartir les parsonnes faibles. |
Acte 1, sc. 9, MATHURIN, phrase 1 |
13 |
MATHURIN |
Si leurs maris ou leurs familles |
Acte 1, sc. 25, v. 51 |
14 |
MATHURIN |
Aminte est s?v?re et cruelle, |
Acte 1, sc. 25, v. 61 |