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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
SECOND LAQUAIS |
Il dressa la L?gende, en rime assez peu [page 11] fine. |
Acte 1, sc. 1, v. 33 |
2 |
SECOND LAQUAIS |
Et de sainte Seconde, et de sainte Rufine. |
Acte 1, sc. 1, v. 34 |
3 | PALAMÈDE |
Elles ne sont pas si sottes que de nous laisser mettre en usage, le rem?de d'Ovide : les Finettes ne nous permettent jamais de les visiter dans cette d?savantageuse nudit? de charmes, qui pourrait leur faire perdre l'Empire des coeurs : et de notre part, quoique nous soyons persuad?s qu'elles doivent ce qui touche souvent le plus, ? ce qui leur appartient le moins, nous ne laisserons pas d'en ?tre piqu?s, et d'en faire nos Souveraines. |
Acte 1, sc. 2, PALAMÈDE, phrase 1 |
4 | BÉLISE |
Oui, de certaines petites Pel?es, qui croient se rendre fort recommandables par l? sous pr?texte qu'on les a mises dans Le Grand Dictionnaire des Pr?cieuses, pour se moquer d'elles par une fine ironie qu'elles n'ont pas l'esprit de conna?tre, pensent qu'il y a de leur honneur, de maintenir l'empire de la Pr?ciosit? ridicule. |
Acte 1, sc. 4, BÉLISE, phrase 1 |
5 | PALAMÈDE |
Mais il a en t?te, un redoutable adversaire qui pr?tend raffiner l'intelligence, et le go?t de ses admirateurs, pour les emp?cher de crier miracle, comme autrefois, ? la repr?sentation de ses pi?ces. |
Acte 1, sc. 4, PALAMÈDE, phrase 3 |
6 | CHRYSOLITE |
Il y a des fautes monstrueuses, qu'il faut ?viter, comme celles qu'il a remarqu?es dans les po?tes grecs, et qui sont pass?es jusques ? nos premiers dramatiques fran?ais : mais hors cela, il y a quantit? de choses que l'on peut d?cliner, ou ajouter, selon qu'elles sont plus_ou_moins capables de produire un bon succ?s : ce qui s'appelle raffiner les Arts, o? l'on ne doit pas toujours ?tre esclave des R?gles de ceux qui les ont invent?es. |
Acte 1, sc. 5, CHRYSOLITE, phrase 6 |
7 | LIDAMON |
Mais d?tournons ces Id?es f?cheuses pour les uns et pour les autres, car les maris ne se trouveraient pas mieux que les Femmes dans ces guerres intestines : et reconnaissant ? la fin, le tort que le po?te satirique leur aurait fait, seraient gens ? le payer les premiers de sa b?vue, si les Courtisans qu'il a offens?s, ne les pr?viennent, et ne lui font sentir ce qu'il a plus finement qu'honorablement fait courir le bruit, qu'on lui voulait donner, afin d'exciter davantage la curiosit? : insinuant par l?, dans les Esprits, qu'il fallait que sa Pi?ce f?t une Satire furieusement aigu?, ce que l'on ch?rit le plus, et apr?s quoi, l'on court avec bien plus d'empressement. |
Acte 1, sc. 6, LIDAMON, phrase 3 |