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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
DAPHNÉ |
Nous br?lons d'apprendre de vous |
Acte 1, sc. 2, v. 21 |
2 | ARGAN |
Qu'on ait soin de me tenir un bouillon pr?t, pour l'autre que je dois tant?t prendre. |
Acte 3, sc. 2, ARGAN, phrase 1 |
3 | ARGAN |
Je lui commande absolument de se pr?parer ? prendre le mari que je dis. |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
4 | BÉLINE |
Enfoncez bien votre bonnet jusque sur vos oreilles ; il n'y a rien qui enrhume tant, que de prendre l'air par les oreilles. |
Acte 3, sc. 6, BÉLINE, phrase 6 |
5 | LE NOTAIRE |
Il y a d'autres personnes ? consulter, qui sont bien plus accommodantes ; qui ont des exp?dients pour passer doucement par-dessus la loi, et rendre juste ce qui n'est pas permis ; qui savent aplanir les difficult?s d'une affaire, et trouver des moyens d'?luder la coutume par quelque avantage indirect. |
Acte 3, sc. 7, LE NOTAIRE, phrase 3 |
6 | POLICHINELLE |
Avant que de chanter il faut que je pr?lude un peu, et joue quelque pi?ce, afin de mieux prendre mon ton. |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 9 |
7 |
ARCHERS |
Il faut vous apprendre ? vivre, |
Acte 4, sc. 3, v. 209 |
8 |
ARCHERS |
Il faut vous apprendre ? vivre, |
Acte 4, sc. 3, v. 212 |
9 | POLICHINELLE |
Ah, Messieurs, ma pauvre t?te n'en peut plus, et vous venez de me la rendre comme une pomme cuite. |
Acte 4, sc. 4, POLICHINELLE, phrase 1 |
10 | TOINETTE |
Voici Monsieur Diafoirus le p?re, et Monsieur Diafoirus le fils, qui viennent vous rendre visite. |
Acte 3, sc. 4, TOINETTE, phrase 2 |
11 | THOMAS DIAFOIRUS |
Ce que je tiens de lui est un ouvrage de son corps ; mais ce que je tiens de vous est un ouvrage de votre volont? ; et d'autant plus que les facult?s spirituelles, sont au-dessus des corporelles, d'autant plus je vous dois, et d'autant plus je tiens pr?cieuse cette future filiation, dont je viens aujourd'hui vous rendre par avance les tr?s humbles et tr?s respectueux hommages. |
Acte 3, sc. 5, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 4 |
12 | MONSIEUR DIAFOIRUS |
On eut toutes les peines du monde ? lui apprendre ? lire, et il avait neuf ans, qu'il ne connaissait pas encore ses lettres. |
Acte 3, sc. 5, MONSIEUR DIAFOIRUS, phrase 5 |
13 | MONSIEUR DIAFOIRUS |
On grave sur le marbre bien plus malais?ment que sur le sable ; mais les choses y sont conserv?es bien plus longtemps, et cette lenteur ? comprendre, cette pesanteur d'imagination, est la marque d'un bon jugement ? venir. |
Acte 3, sc. 5, MONSIEUR DIAFOIRUS, phrase 7 |
14 | MONSIEUR DIAFOIRUS |
Mais sur toute chose, ce qui me pla?t en lui, et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il s'attache aveugl?ment aux opinions de nos anciens, et que jamais il n'a voulu comprendre ni ?couter les raisons et les exp?riences des pr?tendues d?couvertes de notre si?cle, touchant la circulation du sang, et autres opinions de m?me farine. |
Acte 3, sc. 5, MONSIEUR DIAFOIRUS, phrase 12 |
15 | TOINETTE |
Donnez, donnez, elle est toujours bonne ? prendre pour l'image, cela servira ? parer notre chambre. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
16 | CLÉANTE |
Ne vous d?fendez point, s'il vous pla?t, et me laissez vous faire comprendre ce que c'est que la sc?ne que nous devons chanter. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 1 |
17 | CLÉANTE |
Il ne peut souffrir l'effroyable id?e de voir tout ce qu'il aime entre les bras d'un autre, et son amour au d?sespoir lui fait trouver moyen de s'introduire dans la maison de sa Berg?re pour apprendre ses sentiments, et savoir d'elle la destin?e ? laquelle il doit se r?soudre. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 18 |
18 | CLÉANTE |
Il le voit triomphant, ce rival ridicule aupr?s de l'aimable Berg?re, ainsi qu'aupr?s d'une conqu?te qui lui est assur?e, et cette vue le remplit d'une col?re, dont il a peine ? se rendre le ma?tre. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 20 |
19 | MONSIEUR DIAFOIRUS |
Nous allons, Monsieur, prendre cong? de vous. |
Acte 3, sc. 6, MONSIEUR DIAFOIRUS, phrase 1 |
20 | BÉRALDE |
Ce sont des ?gyptiens, v?tus en Mores, qui font des danses m?l?es de chansons, o? je suis s?r que vous prendrez plaisir, et cela vaudra bien une ordonnance de Monsieur Purgon. |
Acte 3, sc. 9, BÉRALDE, phrase 6 |
21 | BÉRALDE |
Mais le mari qu'elle doit prendre doit-il ?tre, mon Fr?re, ou pour elle, ou pour vous ? |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
22 | BÉRALDE |
Une grande marque que vous vous portez bien, et que vous avez un corps parfaitement bien compos? ; c'est qu'avec tous les soins que vous avez pris, vous n'avez pu parvenir encore ? g?ter la bont? de votre temp?rament, et que vous n'?tes point crev? de toutes les m?decines qu'on vous a fait prendre. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 2 |
23 | ARGAN |
Mais savez-vous, mon fr?re, que c'est cela qui me conserve, et que Monsieur Purgon dit que je succomberais, s'il ?tait seulement trois jours sans prendre soin de moi ? |
Acte 6, sc. 3, ARGAN, phrase 1 |
24 | BÉRALDE |
Je le veux bien, mon Fr?re, et pour changer de discours, je vous dirai que, sur une petite r?pugnance que vous t?moigne votre fille, vous ne devez point prendre les r?solutions violentes de la mettre dans un couvent. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
25 | ARGAN |
Prendre ce petit lavement-l?, ce sera bient?t fait. |
Acte 6, sc. 4, ARGAN, phrase 1 |
26 | MONSIEUR FLEURANT |
De quoi vous m?lez-vous de vous opposer aux ordonnances de la M?decine, et d'emp?cher Monsieur de prendre mon clyst?re ; vous ?tes bien plaisant d'avoir cette hardiesse-l? ? |
Acte 6, sc. 4, MONSIEUR FLEURANT, phrase 1 |
27 | BÉRALDE |
Le grand malheur de ne pas prendre un lavement que Monsieur Purgon a ordonn?. |
Acte 6, sc. 4, BÉRALDE, phrase 1 |
28 | MONSIEUR PURGON |
Je viens d'apprendre l?-bas ? la porte de jolies nouvelles. |
Acte 6, sc. 5, MONSIEUR PURGON, phrase 1 |
29 | MONSIEUR PURGON |
Qu'on se moque ici de mes ordonnances, et qu'on a fait refus de prendre le rem?de que j'avais prescrit. |
Acte 6, sc. 5, MONSIEUR PURGON, phrase 2 |
30 | ARGAN |
Faites-le venir, je m'en vais le prendre. |
Acte 6, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
31 | TOINETTE |
Monsieur, agr?ez que je vienne vous rendre visite, et vous offrir mes petits services pour toutes les saign?es, et les purgations, dont vous aurez besoin. |
Acte 6, sc. 8, TOINETTE, phrase 1 |
32 | TOINETTE |
Je veux des maladies d'importance, de bonnes fi?vres continues, avec des transports au cerveau, de bonnes fi?vres pourpr?es, de bonnes pestes, de bonnes hydropisies form?es, de bonnes pleur?sies, avec des inflammations de poitrine, c'est l? que je me plais, c'est l? que je triomphe ; et je voudrais, Monsieur, que vous eussiez toutes les maladies que je viens de dire, que vous fussiez abandonn? de tous les m?decins, d?sesp?r?, ? l'agonie, pour vous montrer l'excellence de mes rem?des, et l'envie que j'aurais de vous rendre service. |
Acte 6, sc. 10, TOINETTE, phrase 3 |
33 | ARGAN |
La belle op?ration, de me rendre borgne et manchot ! |
Acte 6, sc. 10, ARGAN, phrase 3 |
34 | BÉRALDE |
En recevant la robe et le bonnet de m?decin, vous apprendrez tout cela, et vous serez apr?s plus habile que vous ne voudrez. |
Acte 6, sc. 14, BÉRALDE, phrase 1 |
35 | BÉRALDE |
Nous y pouvons aussi prendre chacun un personnage, et nous donner ainsi la com?die les uns aux autres. |
Acte 6, sc. 14, BÉRALDE, phrase 3 |