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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | TRIVELIN |
Le mari crut les anciens insult?s par la quantit? de vin nouveau que j'avais bu ; il m'en fit mauvaise mine. |
Acte 1, sc. 1, TRIVELIN, phrase 3 |
2 | LE CHEVALIER |
Voici votre commission, ?coutez-moi : vous direz ? ma soeur qu'elle ne soit point en peine de moi ; qu'? la derni?re partie de bal o? mes amies m'amen?rent dans le d?guisement o? me voil?, le hasard me fit conna?tre le gentilhomme que je n'avais jamais vu, qu'on disait ?tre encore en province, et qui est ce L?lio avec qui, par lettres, le mari de ma soeur a presque arr?t? mon mariage ; que, surprise de le trouver ? Paris sans que nous le sussions, et le voyant avec une dame, je r?solus sur-le-champ de profiter de mon d?guisement pour me mettre au fait de l'?tat de son coeur et de son caract?re ; qu'enfin nous li?mes amiti? ensemble aussi promptement que des cavaliers peuvent le faire, et qu'il m'engagea ? le suivre le lendemain ? une partie de campagne chez la dame avec qui il ?tait, et qu'un de ses parents accompagnait ; que nous y sommes actuellement, que j'ai d?j? d?couvert des choses qui m?ritent que je les suive avant que de me d?terminer ? ?pouser L?lio ; que je n'aurai jamais d'int?r?t plus s?rieux. |
Acte 1, sc. 2, LE CHEVALIER, phrase 3 |
3 |
UN PAYSAN |
Il me semble voir ? ta mine |
Acte 1, sc. 11, v. 16 |
4 | LA COMTESSE |
Vous liez amiti? avec le Chevalier, vous me l'amenez ; et vous voulez ensuite que je lui fasse mauvaise mine ! |
Acte 2, sc. 2, LA COMTESSE, phrase 2 |
5 | TRIVELIN |
Mais tu as une mine d'or dans ta t?te. |
Acte 2, sc. 5, TRIVELIN, phrase 2 |
6 | LE CHEVALIER |
Voici La Comtesse ; je la crois dans de bonnes dispositions pour moi ; achevons de la d?terminer. |
Acte 2, sc. 8, LE CHEVALIER, phrase 3 |
7 | LE CHEVALIER |
Je n'examine rien ; vous ordonnez, j'ob?is. |
Acte 2, sc. 8, LE CHEVALIER, phrase 1 |
8 | LE CHEVALIER |
Pour cet effet, vous r?clamiez mon industrie ; et quand j'aurais conduit l'affaire pr?s de sa fin, avant de terminer je comptais de vous ran?onner un peu, et d'avoir ma part au pillage ; ou bien de tirer finement le d?dit d'entre vos mains, sous pr?texte de le voir, pour vous le revendre une centaine de pistoles pay?es comptant, ou en billets payables au porteur, sans quoi j'aurais menac? de vous perdre aupr?s des douze mille livres de rente, et de r?duire votre calcul ? z?ro. |
Acte 3, sc. 5, LE CHEVALIER, phrase 3 |