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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | LE MARQUIS |
Par vanit? : celui-l? est impayable. |
Prologue, sc. 1, LE MARQUIS, phrase 2 |
2 | LE CHEVALIER |
Nous voil? d'accord ; et pour achever de te prouver notre raison, va-t'en, par exemple ; chez une autre nation lui exposer ses ridicules, et y donner hautement la pr?f?rence ? la tienne : elle ne sera pas assez forte pour soutenir cela, on te jettera par les fen?tres. |
Prologue, sc. 1, LE CHEVALIER, phrase 2 |
3 | LE CHEVALIER |
Ici tu verras tout un peuple rire, battre des mains, applaudir ? un spectacle o? on se moque de lui, en le mettant bien au-dessous d'une autre nation qu'on lui compare. |
Prologue, sc. 1, LE CHEVALIER, phrase 3 |
4 | LE CHEVALIER |
L'?tranger qu'on y loue n'y rit pas de si bon coeur que lui, et cela est charmant. |
Prologue, sc. 1, LE CHEVALIER, phrase 4 |
5 | LE CHEVALIER |
Il est moins neuf que celui des autres. |
Prologue, sc. 1, LE CHEVALIER, phrase 1 |
6 | LE CHEVALIER |
Leur badinage n'est pas de commerce ; il y a quelque chose de rude, de violent, d'?tranger ? la v?ritable joie ; leur raison est sans complaisance, il lui manque cette douceur que nous avons, et qui invite ceux qui ne sont pas raisonnables ? le devenir : chez eux, tout est s?rieux, tout y est grave, tout y est pris ? la lettre : on dirait qu'il n'y a pas encore assez longtemps qu'ils sont ensemble ; les autres hommes ne sont pas encore leurs fr?res, ils les regardent comme d'autres cr?atures. |
Prologue, sc. 1, LE CHEVALIER, phrase 7 |
7 | LE CHEVALIER |
Nous en convenons, nous l'aidons ? les trouver, nous lui en apprenons qu'il ne sait pas ; nous nous critiquons m?me par galanterie pour lui, ou par ?gard ? sa faiblesse. |
Prologue, sc. 1, LE CHEVALIER, phrase 14 |
8 | LE CHEVALIER |
Nous ne sommes plus chez nos quand il y est ; il faut presque ?chapper ? ses yeux, quand nous sommes chez lui. |
Prologue, sc. 1, LE CHEVALIER, phrase 19 |
9 | LE CHEVALIER |
Toute notre indulgence, tous nos ?loges, toutes nos admirations, toute notre justice, est pour l'?tranger ; enfin notre amour-propre n'en veut qu'? notre nation ; celui de tous les ?trangers n'en veut qu'? nous, et le n?tre ne favorise qu'eux. |
Prologue, sc. 1, LE CHEVALIER, phrase 20 |
10 | LE CONSEILLER |
Il y a l? un grand homme qui les met dans sa poche ou sur le bout du doigt, et qui en porte cinquante ou soixante sur lui ; cela me r?jouirait fort. |
Prologue, sc. 2, LE CONSEILLER, phrase 7 |
11 | LE MARQUIS |
Mais voil? un acteur qui passe ; demandons-lui de quoi il s'agit. |
Prologue, sc. 2, LE MARQUIS, phrase 2 |
12 | L'INSULAIRE |
Tenez, petites cr?atures, mettez-vous l? en attendant que le gouverneur vienne vous voir : vous n'?tes plus ? moi ; je vous ai donn? ? lui, adieu ; je vous reverrai encore, avant de m'en retourner chez moi. |
Acte 1, sc. 1, L'INSULAIRE, phrase 1 |
13 | FONTIGNAC |
Non pas l? plus sage, mais l? moins frapp? d? folie, et j? n? m'en ?tonn? pas ; l? champ d? vataill? d? l'extrabaganc?, boyez-bous, c'est l? grand monde, et c? paysan n? l? conna?t pas, la folie n? l'attrap? qu? d? loin ; et boil? c? qui lui rend ici la taill? un peu plus longue. |
Acte 1, sc. 8, FONTIGNAC, phrase 1 |
14 | FONTIGNAC |
En suivant l? d?gr?, j'arribe apr?s lui, moi, plus p?tit qu? lui, mais plus grand qu? les autres. |
Acte 1, sc. 8, FONTIGNAC, phrase 1 |
15 | BLECTRUE |
Tenez, il en sait le moyen, lui ; et je vous laisse ensemble. |
Acte 1, sc. 16, BLECTRUE, phrase 1 |
16 | LE MÉDECIN |
Lui-m?me. |
Acte 3, sc. 2, LE MÉDECIN, phrase 1 |
17 | SPINETTE |
Dites-lui ce qu'il faut qu'il fasse pour redevenir comme il ?tait. |
Acte 3, sc. 2, SPINETTE, phrase 1 |
18 | BLAISE |
Je lui ai d?j? rendu mes gr?ce. |
Acte 3, sc. 3, BLAISE, phrase 2 |
19 | SPINETTE |
Allons, ma ma?tresse g?mit ; permettez que je travaille ? la tirer d'affaire ; je veux lui parler. |
Acte 3, sc. 3, SPINETTE, phrase 3 |
20 | SPINETTE |
Ne lui parlez plus de cette malheureuse cour. |
Acte 3, sc. 6, SPINETTE, phrase 1 |
21 | SPINETTE |
Mettrai-je celui-l? ? |
Acte 3, sc. 6, SPINETTE, phrase 4 |
22 | SPINETTE |
Essayons de celui-ci ; je crois qu'il me rembrunit. |
Acte 3, sc. 6, SPINETTE, phrase 6 |
23 | SPINETTE |
Vous n'accordiez que la peau sur les os ? celui qui ?tait maigre. |
Acte 3, sc. 6, SPINETTE, phrase 11 |
24 | SPINETTE |
Il y avait un nez sur celui-ci qui l'emp?chait d'?tre spirituel. |
Acte 3, sc. 6, SPINETTE, phrase 12 |
25 | BLAISE |
Car je veux tout avoir, pour lui montrer quand alle sera guarie ; ?a la fera rire. |
Acte 3, sc. 6, BLAISE, phrase 5 |
26 | FLORIS |
Ainsi, ma ch?re amie, si vous aimiez mon fr?re, ne faites point de fa?on de lui en parler. |
Acte 3, sc. 7, FLORIS, phrase 1 |
27 | LA COMTESSE |
Toute sa famille lui ressemble. |
Acte 3, sc. 8, LA COMTESSE, phrase 2 |
28 | LA COMTESSE |
Mais cette inclination, on m'a dit qu'il faudrait que je l'avouasse ? celui pour qui je l'aurais. |
Acte 3, sc. 8, LA COMTESSE, phrase 1 |
29 | PARMENÈS |
Je vous r?ponds d'avance du plaisir que vous ferez ? mon p?re quand vous lui d?clarerez vos sentiments. |
Acte 3, sc. 8, PARMENÈS, phrase 2 |
30 | PARMENÈS |
Rien ne lui sera plus pr?cieux que l'?tat o? vous ?tes, et que la dur?e de cet ?tat par votre s?jour ici. |
Acte 3, sc. 8, PARMENÈS, phrase 3 |
31 | FONTIGNAC |
Il y aura d? la v?sogne apr?s lui ; car c'est une cervelle d? courtisan. |
Acte 3, sc. 9, FONTIGNAC, phrase 1 |
32 | FONTIGNAC |
Monsieur a cru qu? j? l'avais piqu?, quand j? n? faisais encore qu'approcher ma lancett? pour lui tirer l? mauvais sang que vous lui connaissez. |
Acte 4, sc. 3, FONTIGNAC, phrase 3 |
33 | FONTIGNAC |
C? sont des paroles qui leur tombent d? la bouche ; des ritournelles, dont cependant l'inf?rieur va s? vantant, et qui lui donnent l? plaisir d'en devenir plus sot qu'? l'ordinaire. |
Acte 4, sc. 3, FONTIGNAC, phrase 1 |
34 | LE COURTISAN |
Que veux-tu que je lui r?ponde, d?s qu'il a perdu tout respect pour un homme de ma condition ? |
Acte 4, sc. 3, LE COURTISAN, phrase 1 |
35 | FONTIGNAC |
lui disiez-vous, j? n'estime ? la cour personne autant qu? vous ; j? m'en fais fort, j? l? dis partout, vous devez l? savoir ; cad?dis, j'aime l'honnur, et vous en avez. |
Acte 4, sc. 3, FONTIGNAC, phrase 6 |
36 | BLECTRUE |
Si vous appelez cela des vers, il en a fait contre nous tous en forme de requ?te, qu'il adressait au Gouverneur, en lui demandant sa libert? ; et j'y ?tais moi-m?me accommod? on ne peut pas mieux. |
Acte 4, sc. 4, BLECTRUE, phrase 1 |
37 | LE COURTISAN |
Crois-moi, ne te joue point ? lui. |
Acte 4, sc. 4, LE COURTISAN, phrase 1 |
38 | FONTIGNAC |
Permettez, Monsieur, qu? j? parle ? Blaise, et lui pr?sente une r?qu?te dont voici l? sujet. |
Acte 4, sc. 7, FONTIGNAC, phrase 1 |
39 | LE GOUVERNEUR |
Vous lui faites honneur, et je suis charm? que vous l'aimiez. |
Acte 4, sc. 9, LE GOUVERNEUR, phrase 1 |
40 |
DUFRESNE |
Tu lui parais un colosse, un g?ant. |
Acte 4, sc. 10, v. 25 |
41 |
MADEMOISELLE JOUVENOT |
Aupr?s de lui tu te crois un g?ant. |
Acte 4, sc. 10, v. 49 |
42 |
LEGRAND |
L'or et l'argent de lui font un g?ant, |
Acte 4, sc. 10, v. 61 |
43 |
MADEMOISELLE QUINAULT |
Tu lui parlais ? chaque instant : |
Acte 4, sc. 10, v. 72 |