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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | LE MAÎTRE À DANSER |
Oui, la r?compense la plus agr?able qu'on puisse recevoir des choses que l'on fait, c'est de les voir connues ; de les voir caress?es d'un applaudissement qui vous honore. |
Acte 1, sc. 1, LE MAÎTRE À DANSER, phrase 4 |
2 |
UN MUSICIEN |
Je languis nuit et jour, et mon mal est extr?me, |
Acte 1, sc. 2, v. 1 |
3 | LE MAÎTRE À DANSER |
Tous les malheurs des hommes, tous les revers funestes dont les histoires sont remplies, les b?vues des politiques, et les manquements des grands capitaines, tout cela n'est venu que faute de savoir danser. |
Acte 1, sc. 2, LE MAÎTRE À DANSER, phrase 1 |
4 | LE MAÎTRE DE MUSIQUE |
Il vous faudra trois voix, un dessus, une haute-contre, et une basse, qui seront accompagn?es d'une basse de viole, d'un th?orbe, et d'un clavecin pour les basses continues, avec deux dessus de violon pour jouer les ritornelles. |
Acte 2, sc. 1, LE MAÎTRE DE MUSIQUE, phrase 2 |
5 | LE MAÎTRE DE MUSIQUE |
Vous en serez content, et entre autres choses de certains menuets que vous y verrez. |
Acte 2, sc. 1, LE MAÎTRE DE MUSIQUE, phrase 1 |
6 | MONSIEUR JOURDAIN |
Ah les menuets sont ma danse, et je veux que vous me les voyiez danser. |
Acte 2, sc. 1, MONSIEUR JOURDAIN, phrase 1 |
7 | LE MAÎTRE D'ARMES |
Et c'est en quoi l'on voit de quelle consid?ration nous autres nous devons ?tre dans un ?tat, et combien la science des armes l'emporte hautement sur toutes les autres sciences inutiles, comme la danse, la musique, la... |
Acte 2, sc. 2, LE MAÎTRE D'ARMES, phrase 1 |
8 | MONSIEUR JOURDAIN |
Quoi, quand je dis, Nicole, apportez-moi mes pantoufles, et me donnez mon bonnet de nuit, c'est de la prose ? |
Acte 2, sc. 4, MONSIEUR JOURDAIN, phrase 1 |
9 | LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE |
Mettre que les feux de ses yeux r?duisent votre coeur en cendres ; que vous souffrez nuit et jour pour elle les violences d'un... |
Acte 2, sc. 4, LE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE, phrase 1 |
10 | MADAME JOURDAIN |
Vous ?tes fou, mon mari, avec toutes vos fantaisies, et cela vous est venu depuis que vous vous m?lez de hanter la noblesse. |
Acte 3, sc. 3, MADAME JOURDAIN, phrase 1 |
11 | DORANTE |
Les femmes aiment surtout les d?penses qu'on fait pour elles ; et vos fr?quentes s?r?nades, et vos bouquets continuels, ce superbe feu d'artifice qu'elle trouva sur l'eau, le diamant qu'elle a re?u de votre part, et le cadeau que vous lui pr?parez, tout cela lui parle bien mieux en faveur de votre amour, que toutes les paroles que vous auriez pu lui dire vous-m?me. |
Acte 3, sc. 6, DORANTE, phrase 2 |
12 | CLÉONTE |
Il est vrai ; mais elle a gr?ce ? tout cela, et ses mani?res sont engageantes, ont je ne sais quel charme ? s'insinuer dans les coeurs. |
Acte 3, sc. 9, CLÉONTE, phrase 1 |
13 | CLÉONTE |
Je suis n? de parents, sans doute, qui ont tenu des charges honorables. |
Acte 3, sc. 12, CLÉONTE, phrase 5 |
14 | DORIMÈNE |
Les visites fr?quentes ont commenc? ; les d?clarations sont venues ensuite, qui apr?s elles ont tra?n? les s?r?nades et les cadeaux, que les pr?sents ont suivis. |
Acte 3, sc. 15, DORIMÈNE, phrase 3 |
15 | DORANTE |
Si Damis s'en ?tait m?l?, tout serait dans les r?gles ; il y aurait partout de l'?l?gance et de l'?rudition, et il ne manquerait pas de vous exag?rer lui-m?me toutes les pi?ces du repas qu'il vous donnerait, et de vous faire tomber d'accord de sa haute capacit? dans la science des bons morceaux, de vous parler d'un pain de rive, ? biseau dor?, relev? de cro?te partout, croquant tendrement sous la dent ; d'un vin ? s?ve velout?e, arm? d'un vert qui n'est point trop commandant ; d'un carr? de mouton gourmand? de persil ; d'une longe de veau de rivi?re, longue comme cela, blanche, d?licate, et qui sous les dents est une vraie p?te d'amande ; de perdrix relev?es d'un fumet surprenant ; et pour son op?ra, d'une soupe ? bouillon perl?, soutenue d'un jeune gros dindon cantonn? de pigeonneaux, et couronn?e d'oignons blancs, mari?s avec la chicor?e. Mais pour moi, je vous avoue mon ignorance ; et comme Monsieur Jourdain a fort bien dit, je voudrais que le repas f?t plus digne de vous ?tre offert. |
Acte 4, sc. 1, DORANTE, phrase 4 |
16 | MONSIEUR JOURDAIN |
Je ne sais qui me tient, maudite, que je ne vous fende la t?te avec les pi?ces du repas que vous ?tes venue troubler. |
Acte 4, sc. 2, MONSIEUR JOURDAIN, phrase 1 |
17 | COVIELLE |
Monsieur, je ne sais pas si j'ai l'honneur d'?tre connu de vous. |
Acte 4, sc. 3, COVIELLE, phrase 1 |
18 | MONSIEUR JOURDAIN |
Vous l'avez fort connu ? |
Acte 4, sc. 3, MONSIEUR JOURDAIN, phrase 1 |
19 | MONSIEUR JOURDAIN |
Et vous l'avez connu pour gentilhomme ? |
Acte 4, sc. 3, MONSIEUR JOURDAIN, phrase 1 |
20 | COVIELLE |
Depuis avoir connu feu Monsieur votre p?re, honn?te gentilhomme, comme je vous ai dit, j'ai voyag? par tout le monde. |
Acte 4, sc. 3, COVIELLE, phrase 1 |
21 | COVIELLE |
Je ne suis revenu de tous mes longs voyages que depuis quatre jours ; et par l'int?r?t que je prends ? tout ce qui vous touche, je viens vous annoncer la meilleure nouvelle du monde. |
Acte 4, sc. 3, COVIELLE, phrase 2 |
22 | DORANTE |
Ah, ah, Covielle, qui t'aurait reconnu ? |
Acte 4, sc. 5, DORANTE, phrase 1 |
23 | COVIELLE |
Je sais, Monsieur, que la b?te vous est connue. |
Acte 4, sc. 5, COVIELLE, phrase 1 |
24 | MADAME JOURDAIN |
H?las, mon_Dieu, mon mari est devenu fou. |
Acte 5, sc. 1, MADAME JOURDAIN, phrase 1 |
25 | MONSIEUR JOURDAIN |
Madame, je vous souhaite toute l'ann?e votre rosier fleuri ; je vous suis infiniment oblig? de prendre part aux honneurs qui m'arrivent et j'ai beaucoup de joie de vous voir revenue ici pour vous faire les tr?s humbles excuses de l'extravagance de ma femme. |
Acte 5, sc. 3, MONSIEUR JOURDAIN, phrase 1 |
26 | MONSIEUR JOURDAIN |
Je suis ravi de vous voir si promptement revenue dans votre devoir, et voil? qui me pla?t, d'avoir une fille ob?issante. |
Acte 5, sc. 5, MONSIEUR JOURDAIN, phrase 2 |
27 |
AUTRE GASCON |
N'a pas l'honnur d? m? conna?tre. |
Acte 5, sc. 7, v. 129 |