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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
PREMIERE VOIX |
R?pands, charmante nuit, r?pands sur tous les yeux, |
Prologue, sc. 1, v. 1 |
2 |
PREMIERE VOIX |
Et ne laisse veiller en ces aimables lieux: |
Prologue, sc. 1, v. 3 |
3 |
DEUXIEME VOIX |
Quand rien ? nos voeux ne s'oppose ! |
Prologue, sc. 1, v. 10 |
4 |
DEUXIEME VOIX |
Quand rien ? nos voeux ne s'oppose ! |
Prologue, sc. 1, v. 15 |
5 |
TROISIEME VOIX |
Tout ce qu'? nos voeux on oppose, |
Prologue, sc. 1, v. 16 |
6 |
TROIS VOIX ENSEMBLE |
Quand deux coeurs s'aiment bien, |
Prologue, sc. 1, v. 25 |
7 | JULIE |
Et croyez-vous, ?raste, pouvoir venir ? bout de d?tourner ce f?cheux mariage que mon p?re s'est mis en t?te ? |
Acte 2, sc. 1, JULIE, phrase 2 |
8 | SBRIGANI |
Pour sa figure, je ne veux point vous en parler, vous verrez de quel air la Nature l'a dessin?e, et si l'ajustement qui l'accompagne y r?pond comme il faut : mais pour son esprit, je vous avertis par avance qu'il est des plus ?pais qui se fassent ; que nous trouvons en lui une mati?re tout ? fait dispos?e pour ce que nous voulons, et qu'il est homme enfin ? donner dans tous les panneaux qu'on lui pr?sentera. |
Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 2 |
9 | SBRIGANI |
Je suis confus des louanges dont vous m'honorez, et je pourrais vous en donner, avec plus de justice, sur les merveilles de votre vie ; et principalement sur la gloire que vous acqu?tes, lorsqu'avec tant d'honn?tet? vous pip?tes au jeu, pour douze mille ?cus, ce jeune Seigneur ?tranger que l'on mena chez vous ; lorsque vous f?tes galamment ce faux contrat qui ruina toute une famille ; lorsqu'avec tant de grandeur d'?me, vous s?tes nier le d?p?t qu'on vous avait confi? ; et que si g?n?reusement on vous vit pr?ter votre t?moignage ? faire pendre ces deux personnages qui ne l'avaient pas m?rit?. |
Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1 |
10 | SBRIGANI |
Je veux bien ?pargner votre modestie ; laissons cela ; et pour commencer notre affaire, allons vite joindre notre provincial, tandis que de votre c?t? vous nous tiendrez pr?ts au besoin les autres acteurs de la com?die. |
Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1 |
11 | ÉRASTE |
Au moins, Madame, souvenez-vous de votre r?le ; et pour mieux couvrir notre jeu, feignez, comme on vous a dit, d'?tre la plus contente du monde des r?solutions de votre p?re. |
Acte 2, sc. 2, ÉRASTE, phrase 1 |
12 | ÉRASTE |
Ce que je veux que vous me disiez ? |
Acte 2, sc. 2, ÉRASTE, phrase 1 |
13 | SBRIGANI |
De gracieux. |
Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1 |
14 | SBRIGANI |
De majestueux. |
Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1 |
15 | SBRIGANI |
Ma foi, cela vous va mieux qu'? tous nos courtisans. |
Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1 |
16 | ÉRASTE |
Il n'y a pas un Pourceaugnac ? Limoges que je ne connaisse depuis le plus grand jusques au plus petit ; je ne fr?quentais qu'eux dans le temps que j'y ?tais, et j'avais l'honneur de vous voir presque tous les jours. |
Acte 2, sc. 4, ÉRASTE, phrase 1 |
17 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Il se porte le mieux du monde. |
Acte 2, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
18 | ÉRASTE |
Deux ans entiers. |
Acte 2, sc. 4, ÉRASTE, phrase 1 |
19 | L APOTHICAIRE |
Oui, il suit toujours le grand chemin, le grand chemin, et ne va point chercher midi ? quatorze heures ; et pour tout l'or du monde, il ne voudrait point avoir gu?ri une personne avec d'autres rem?des que ceux que la Facult? permet. |
Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 3 |
20 | L APOTHICAIRE |
Ce n'est pas parce que nous sommes grands amis, que j'en parle ; mais il y a plaisir, il y a plaisir d'?tre son malade ; et j'aimerais mieux mourir de ses rem?des, que de gu?rir de ceux d'un autre : car quoi qui puisse arriver, on est assur? que les choses sont toujours dans l'ordre ; et quand on meurt sous sa conduite, vos h?ritiers n'ont rien ? vous reprocher. |
Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 1 |
21 | L APOTHICAIRE |
Il ne me reste plus que deux enfants dont il prend soin comme des siens ; il les traite et gouverne ? sa fantaisie, sans que je me m?le de rien ; et le plus souvent, quand je reviens de la ville, je suis tout ?tonn? que je les trouve saign?s ou purg?s par son ordre. |
Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 2 |
22 | PREMIER MÉDECIN |
Je l'irai visiter dans deux ou trois jours ; mais s'il mourait avant ce temps-l?, ne manquez pas de m'en donner avis, car il n'est pas de la civilit? qu'un m?decin visite un mort. |
Acte 2, sc. 6, PREMIER MÉDECIN, phrase 2 |
23 | ÉRASTE |
C'est moi, Monsieur, qui vous ai envoy? parler ces jours pass?s pour un parent un peu troubl? d'esprit, que je veux vous donner chez vous, afin de le gu?rir avec plus de commodit?, et qu'il soit vu de moins de monde. |
Acte 2, sc. 6, ÉRASTE, phrase 1 |
24 | ÉRASTE |
Une petite affaire m'est survenue, qui m'oblige ? vous quitter : mais voil? une personne entre les mains de qui je vous laisse, qui aura soin pour moi de vous traiter du mieux qu'il lui sera possible. |
Acte 2, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
25 | ÉRASTE |
C'est ce que je veux faire. |
Acte 2, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
26 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Oui, et bois encore mieux. |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
27 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Je ne comprends rien ? toutes ces questions, et je veux plut?t boire un coup. |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 2 |
28 | PREMIER MÉDECIN |
Je l'appelle m?lancolie hypocondriaque, pour la distinguer des deux autres ; car le c?l?bre Galien ?tablit doctement ? son ordinaire trois esp?ces de cette maladie que nous nommons m?lancolie, ainsi appel?e non seulement par les Latins, mais encore par les Grecs ; ce qui est bien ? remarquer pour notre affaire : la premi?re, qui vient du propre vice du cerveau ; la seconde, qui vient de tout le sang, fait et rendu atrabilaire ; la troisi?me, appel?e hypocondriaque, qui est la n?tre, laquelle proc?de du vice de quelque partie du bas-ventre et de la r?gion inf?rieure, mais particuli?rement de la rate, dont la chaleur et l'inflammation porte au cerveau de notre malade beaucoup de fuligines ?paisses et crasses, dont la vapeur noire et maligne, cause d?pravation aux fonctions de la facult? princesse, et fait la maladie dont par notre raisonnement il est manifestement atteint et convaincu. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 3 |
29 | PREMIER MÉDECIN |
Qu'ainsi ne soit, pour diagnostique incontestable de ce que je dis, vous n'avez qu'? consid?rer ce grand s?rieux que vous voyez ; cette tristesse accompagn?e de crainte et de d?fiance, signes pathognomoniques et individuels de cette maladie, si bien marqu?e chez le Divin vieillard Hippocrate ; cette physionomie, ces yeux rouges et hagards, cette grande barbe, cette habitude du corps, menue, gr?le, noire et velue, lesquels signes le d?notent tr?s affect? de cette maladie, proc?dante du vice des hypocondres ; laquelle maladie par laps de temps naturalis?e, envieillie, habitu?e, et ayant pris droit de bourgeoisie chez lui, pourrait bien d?g?n?rer, ou en manie, ou en phtisie, ou en apoplexie, ou m?me en fine fr?n?sie et fureur. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 4 |
30 | SECOND MEDECIN |
? Dieu ne plaise, Monsieur, qu'il me tombe en pens?e d'ajouter rien ? ce que vous venez de dire : vous avez si bien discouru sur tous les signes, les sympt?mes et les causes de la maladie de Monsieur ; le raisonnement que vous en avez fait est si docte et si beau, qu'il est impossible qu'il ne soit pas fou, et m?lancolique hypocondriaque ; et quand il ne le serait pas, il faudrait qu'il le dev?nt, pour la beaut? des choses que vous avez dites, et la justesse du raisonnement que vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez d?peint fort graphiquement, graphice depinxisti, tout ce qui appartient ? cette maladie ; il ne se peut rien de plus doctement, sagement, ing?nieusement con?u, pens?, imagin?, que ce que vous avez prononc? au sujet de ce mal, soit pour la diagnose, ou la prognose, ou la th?rapie ; et il ne me reste rien ici, que de f?liciter Monsieur, d'?tre tomb? entre vos mains, et de lui dire qu'il est trop heureux d'?tre fou, pour ?prouver l'efficace et la douceur des rem?des que vous avez si judicieusement propos?s: je les approuve tous, manibus et pedibus descendo in tuam sententiam. |
Acte 2, sc. 8, SECOND MEDECIN, phrase 1 |
31 | SECOND MEDECIN |
Tout ce que j'y voudrais, c'est de faire les saign?es et les purgations en nombre impair, Numero deus impari gaudet : de prendre le lait clair avant le bain ; de lui composer un fronteau o? il entre du sel ; le sel est symbole de la sagesse : de faire blanchir les murailles de sa chambre, pour dissiper les t?n?bres de ses esprits, Album est disgregativum visus, et de lui donner tout ? l'heure un petit lavement, pour servir de pr?lude et d'introduction ? ces judicieux rem?des, dont, s'il a ? gu?rir, il doit recevoir du soulagement. |
Acte 2, sc. 8, SECOND MEDECIN, phrase 3 |
32 | PREMIER MÉDECIN |
Nous savons mieux que vous comment vous vous portez, et nous sommes m?decins, qui voyons clair dans votre constitution. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
33 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Mon p?re et ma m?re n'ont jamais voulu de rem?des, et ils sont morts tous deux sans l'assistance des m?decins. |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
34 | PREMIER MÉDECIN |
Il est li? et engag? ? mes rem?des, et je veux le faire saisir o? je le trouverai, comme d?serteur de la m?decine, et infracteur de mes ordonnances. |
Acte 3, sc. 1, PREMIER MÉDECIN, phrase 3 |
35 | ORONTE |
Je le veux bien. |
Acte 3, sc. 2, ORONTE, phrase 1 |
36 | SBRIGANI |
Tous deux ?galement sont propres ? gober les hame?ons qu'on leur veut tendre ; et entre nous autres fourbes de la premi?re classe, nous ne faisons que nous jouer, lorsque nous trouvons un gibier aussi facile que celui-l?. |
Acte 3, sc. 3, SBRIGANI, phrase 3 |
37 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Deux gros joufflus. |
Acte 3, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 7 |
38 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Je suis votre serviteur, je ne me veux point mettre sur la t?te un chapeau comme celui-l?, et l'on aime ? aller le front lev? dans la famille des Pourceaugnacs. |
Acte 3, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
39 | JULIE |
Je veux demeurer l?, s'il vous pla?t. |
Acte 3, sc. 6, JULIE, phrase 1 |
40 | ORONTE |
Je ne veux pas, moi ; et si tu ne rentres tout ? l'heure, je... |
Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1 |
41 | ORONTE |
Tu ne veux pas te retirer ? |
Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1 |
42 | JULIE |
Je le veux avoir, moi, puisque vous me l'avez promis. |
Acte 3, sc. 6, JULIE, phrase 1 |
43 | ORONTE |
Je vous en emp?cherai bien tous deux, je vous assure. |
Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1 |
44 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Le m?decin en a menti ; je suis gentilhomme, et je le veux voir l'?p?e ? la main. |
Acte 3, sc. 6, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
45 | ORONTE |
Vous savez bien ce que je veux dire. |
Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1 |
46 | NERINE |
Ch?s mon mery, Monsieur, et je veux faire pindre che bon pindar l?. |
Acte 3, sc. 8, NERINE, phrase 5 |
47 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Voil? deux impudentes carognes ! |
Acte 3, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
48 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Deux carognes de baragouineuses me sont venu accuser de les avoir ?pous? toutes deux, et me menacent de la justice. |
Acte 3, sc. 10, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
49 | SBRIGANI |
Je le veux, et vais vous conduire chez deux hommes fort habiles ; mais j'ai auparavant ? vous avertir de n'?tre point surpris de leur mani?re de parler ; ils ont contract? du barreau certaine habitude de d?clamation, qui fait que l'on dirait qu'ils chantent, et vous prendrez pour musique tout ce qu'ils vous diront. |
Acte 3, sc. 10, SBRIGANI, phrase 1 |
50 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Qu'importe comme ils parlent, pourvu qu'ils me disent ce que je veux savoir. |
Acte 3, sc. 10, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
51 | SBRIGANI |
Et lorsque je l'aurai mis o? je veux... |
Acte 4, sc. 1, SBRIGANI, phrase 1 |
52 | ÉRASTE |
Cela va le mieux du monde. |
Acte 4, sc. 1, ÉRASTE, phrase 1 |
53 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Ce n'est pas tant la peur de la mort qui me fait fuir, que de ce qu'il est f?cheux ? un gentilhomme d'?tre pendu, et qu'une preuve comme celle-l? ferait tort ? nos titres de noblesse. |
Acte 4, sc. 2, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
54 | SBRIGANI |
Voil? qui va ? merveille : mais je remarque une chose, cette coiffe est un peu trop d?li?e, j'en vais qu?rir une un peu plus ?paisse, pour vous mieux cacher le visage, en cas de quelque rencontre. |
Acte 4, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1 |
55 | PREMIER SUISSE |
Allons, d?peschons, camerade, ly faut allair tous deux nous ? la Cr?ve pour regarter un peu chousticier sti Monsiu de Porcegnac qui l'a est? contan? par ortonnance ? l'estre pendu par son cou. |
Acte 4, sc. 3, PREMIER SUISSE, phrase 1 |
56 | L'EXEMPT |
Ah, ah, qu'est-ce que je veux dire ? |
Acte 4, sc. 4, L'EXEMPT, phrase 1 |
57 | SBRIGANI |
Un, deux, trois, quatre, cinq, six sept, huit, neuf, dix. |
Acte 4, sc. 5, SBRIGANI, phrase 1 |
58 | ORONTE |
Des archers apr?s eux. |
Acte 4, sc. 6, ORONTE, phrase 2 |
59 | ÉRASTE |
Allons, vous viendrez malgr? vous, et je veux vous remettre entre les mains de votre p?re. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
60 | ÉRASTE |
Je ne vous bl?me point de vous ?tre soumise aux volont?s de Monsieur votre p?re ; il est sage et judicieux dans les choses qu'il fait et je ne me plains point de lui de m'avoir rejet? pour un autre. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 3 |
61 | ORONTE |
Vous ?tes une impertinente, et je sais mieux que vous ce qui en est. |
Acte 4, sc. 7, ORONTE, phrase 2 |
62 | ÉRASTE |
J'avais toutes les ardeurs du monde d'entrer dans votre alliance ; j'ai fait tout ce que j'ai pu pour obtenir un tel honneur, mais j'ai ?t? malheureux, et vous ne m'avez pas jug? digne de cette gr?ce. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 2 |
63 | JULIE |
Je ne veux point d'autre mari que Monsieur de Pourceaugnac. |
Acte 4, sc. 7, JULIE, phrase 1 |
64 | ORONTE |
Et je veux, moi, tout ? l'heure, que tu prennes le Seigneur Eraste. |
Acte 4, sc. 7, ORONTE, phrase 1 |
65 | ÉRASTE |
Ne croyez pas que ce soit pour l'amour de vous que je vous donne la main ; ce n'est que Monsieur votre p?re dont je suis amoureux, et c'est lui que j'?pouse. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
66 |
L'EGYPTIENNE |
Sortez, sortez de ces lieux, |
Acte 4, sc. 8, v. 83 |
67 |
L'EGYPTIENNE |
Venez, venez ris et jeux, |
Acte 4, sc. 8, v. 85 |
68 |
L'EGYPTIENNE |
Soyez toujours amoureux, |
Acte 4, sc. 8, v. 95 |
69 |
L'EGYPTIENNE |
C'est le moyen d'?tre heureux. |
Acte 4, sc. 8, v. 96 |
70 |
EGYPTIEN, EGYPTIENNE |
Soyons toujours amoureux : |
Acte 4, sc. 8, v. 109 |
71 |
EGYPTIEN, EGYPTIENNE |
C'est le moyen d'?tre heureux. |
Acte 4, sc. 8, v. 110 |
72 |
UN MUSICIEN |
Sont ceux qui sont les plus fous. |
Acte 4, sc. 8, v. 116 |