Occurences de l'expression

eux

dans MONSIEUR DE POURCEAUGNAC de MOLIERE (1670)

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n  Personnage  Vers ou phrase Localisation
1 PREMIERE VOIX R?pands, charmante nuit, r?pands sur tous les yeux, Prologue, sc. 1, v. 1
2 PREMIERE VOIX Et ne laisse veiller en ces aimables lieux: Prologue, sc. 1, v. 3
3 DEUXIEME VOIX Quand rien ? nos voeux ne s'oppose ! Prologue, sc. 1, v. 10
4 DEUXIEME VOIX Quand rien ? nos voeux ne s'oppose ! Prologue, sc. 1, v. 15
5 TROISIEME VOIX Tout ce qu'? nos voeux on oppose, Prologue, sc. 1, v. 16
6 TROIS VOIX ENSEMBLE Quand deux coeurs s'aiment bien, Prologue, sc. 1, v. 25
7JULIE Et croyez-vous, ?raste, pouvoir venir ? bout de d?tourner ce f?cheux mariage que mon p?re s'est mis en t?te ? Acte 2, sc. 1, JULIE, phrase 2
8SBRIGANI Pour sa figure, je ne veux point vous en parler, vous verrez de quel air la Nature l'a dessin?e, et si l'ajustement qui l'accompagne y r?pond comme il faut : mais pour son esprit, je vous avertis par avance qu'il est des plus ?pais qui se fassent ; que nous trouvons en lui une mati?re tout ? fait dispos?e pour ce que nous voulons, et qu'il est homme enfin ? donner dans tous les panneaux qu'on lui pr?sentera. Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 2
9SBRIGANI Je suis confus des louanges dont vous m'honorez, et je pourrais vous en donner, avec plus de justice, sur les merveilles de votre vie ; et principalement sur la gloire que vous acqu?tes, lorsqu'avec tant d'honn?tet? vous pip?tes au jeu, pour douze mille ?cus, ce jeune Seigneur ?tranger que l'on mena chez vous ; lorsque vous f?tes galamment ce faux contrat qui ruina toute une famille ; lorsqu'avec tant de grandeur d'?me, vous s?tes nier le d?p?t qu'on vous avait confi? ; et que si g?n?reusement on vous vit pr?ter votre t?moignage ? faire pendre ces deux personnages qui ne l'avaient pas m?rit?. Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1
10SBRIGANI Je veux bien ?pargner votre modestie ; laissons cela ; et pour commencer notre affaire, allons vite joindre notre provincial, tandis que de votre c?t? vous nous tiendrez pr?ts au besoin les autres acteurs de la com?die. Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1
11ÉRASTE Au moins, Madame, souvenez-vous de votre r?le ; et pour mieux couvrir notre jeu, feignez, comme on vous a dit, d'?tre la plus contente du monde des r?solutions de votre p?re. Acte 2, sc. 2, ÉRASTE, phrase 1
12ÉRASTE Ce que je veux que vous me disiez ? Acte 2, sc. 2, ÉRASTE, phrase 1
13SBRIGANI De gracieux. Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1
14SBRIGANI De majestueux. Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1
15SBRIGANI Ma foi, cela vous va mieux qu'? tous nos courtisans. Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1
16ÉRASTE Il n'y a pas un Pourceaugnac ? Limoges que je ne connaisse depuis le plus grand jusques au plus petit ; je ne fr?quentais qu'eux dans le temps que j'y ?tais, et j'avais l'honneur de vous voir presque tous les jours. Acte 2, sc. 4, ÉRASTE, phrase 1
17MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Il se porte le mieux du monde. Acte 2, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
18ÉRASTE Deux ans entiers. Acte 2, sc. 4, ÉRASTE, phrase 1
19L APOTHICAIRE Oui, il suit toujours le grand chemin, le grand chemin, et ne va point chercher midi ? quatorze heures ; et pour tout l'or du monde, il ne voudrait point avoir gu?ri une personne avec d'autres rem?des que ceux que la Facult? permet. Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 3
20L APOTHICAIRE Ce n'est pas parce que nous sommes grands amis, que j'en parle ; mais il y a plaisir, il y a plaisir d'?tre son malade ; et j'aimerais mieux mourir de ses rem?des, que de gu?rir de ceux d'un autre : car quoi qui puisse arriver, on est assur? que les choses sont toujours dans l'ordre ; et quand on meurt sous sa conduite, vos h?ritiers n'ont rien ? vous reprocher. Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 1
21L APOTHICAIRE Il ne me reste plus que deux enfants dont il prend soin comme des siens ; il les traite et gouverne ? sa fantaisie, sans que je me m?le de rien ; et le plus souvent, quand je reviens de la ville, je suis tout ?tonn? que je les trouve saign?s ou purg?s par son ordre. Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 2
22PREMIER MÉDECIN Je l'irai visiter dans deux ou trois jours ; mais s'il mourait avant ce temps-l?, ne manquez pas de m'en donner avis, car il n'est pas de la civilit? qu'un m?decin visite un mort. Acte 2, sc. 6, PREMIER MÉDECIN, phrase 2
23ÉRASTE C'est moi, Monsieur, qui vous ai envoy? parler ces jours pass?s pour un parent un peu troubl? d'esprit, que je veux vous donner chez vous, afin de le gu?rir avec plus de commodit?, et qu'il soit vu de moins de monde. Acte 2, sc. 6, ÉRASTE, phrase 1
24ÉRASTE Une petite affaire m'est survenue, qui m'oblige ? vous quitter : mais voil? une personne entre les mains de qui je vous laisse, qui aura soin pour moi de vous traiter du mieux qu'il lui sera possible. Acte 2, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1
25ÉRASTE C'est ce que je veux faire. Acte 2, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1
26MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Oui, et bois encore mieux. Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
27MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Je ne comprends rien ? toutes ces questions, et je veux plut?t boire un coup. Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 2
28PREMIER MÉDECIN Je l'appelle m?lancolie hypocondriaque, pour la distinguer des deux autres ; car le c?l?bre Galien ?tablit doctement ? son ordinaire trois esp?ces de cette maladie que nous nommons m?lancolie, ainsi appel?e non seulement par les Latins, mais encore par les Grecs ; ce qui est bien ? remarquer pour notre affaire : la premi?re, qui vient du propre vice du cerveau ; la seconde, qui vient de tout le sang, fait et rendu atrabilaire ; la troisi?me, appel?e hypocondriaque, qui est la n?tre, laquelle proc?de du vice de quelque partie du bas-ventre et de la r?gion inf?rieure, mais particuli?rement de la rate, dont la chaleur et l'inflammation porte au cerveau de notre malade beaucoup de fuligines ?paisses et crasses, dont la vapeur noire et maligne, cause d?pravation aux fonctions de la facult? princesse, et fait la maladie dont par notre raisonnement il est manifestement atteint et convaincu. Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 3
29PREMIER MÉDECIN Qu'ainsi ne soit, pour diagnostique incontestable de ce que je dis, vous n'avez qu'? consid?rer ce grand s?rieux que vous voyez ; cette tristesse accompagn?e de crainte et de d?fiance, signes pathognomoniques et individuels de cette maladie, si bien marqu?e chez le Divin vieillard Hippocrate ; cette physionomie, ces yeux rouges et hagards, cette grande barbe, cette habitude du corps, menue, gr?le, noire et velue, lesquels signes le d?notent tr?s affect? de cette maladie, proc?dante du vice des hypocondres ; laquelle maladie par laps de temps naturalis?e, envieillie, habitu?e, et ayant pris droit de bourgeoisie chez lui, pourrait bien d?g?n?rer, ou en manie, ou en phtisie, ou en apoplexie, ou m?me en fine fr?n?sie et fureur. Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 4
30SECOND MEDECIN ? Dieu ne plaise, Monsieur, qu'il me tombe en pens?e d'ajouter rien ? ce que vous venez de dire : vous avez si bien discouru sur tous les signes, les sympt?mes et les causes de la maladie de Monsieur ; le raisonnement que vous en avez fait est si docte et si beau, qu'il est impossible qu'il ne soit pas fou, et m?lancolique hypocondriaque ; et quand il ne le serait pas, il faudrait qu'il le dev?nt, pour la beaut? des choses que vous avez dites, et la justesse du raisonnement que vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez d?peint fort graphiquement, graphice depinxisti, tout ce qui appartient ? cette maladie ; il ne se peut rien de plus doctement, sagement, ing?nieusement con?u, pens?, imagin?, que ce que vous avez prononc? au sujet de ce mal, soit pour la diagnose, ou la prognose, ou la th?rapie ; et il ne me reste rien ici, que de f?liciter Monsieur, d'?tre tomb? entre vos mains, et de lui dire qu'il est trop heureux d'?tre fou, pour ?prouver l'efficace et la douceur des rem?des que vous avez si judicieusement propos?s: je les approuve tous, manibus et pedibus descendo in tuam sententiam. Acte 2, sc. 8, SECOND MEDECIN, phrase 1
31SECOND MEDECIN Tout ce que j'y voudrais, c'est de faire les saign?es et les purgations en nombre impair, Numero deus impari gaudet : de prendre le lait clair avant le bain ; de lui composer un fronteau o? il entre du sel ; le sel est symbole de la sagesse : de faire blanchir les murailles de sa chambre, pour dissiper les t?n?bres de ses esprits, Album est disgregativum visus, et de lui donner tout ? l'heure un petit lavement, pour servir de pr?lude et d'introduction ? ces judicieux rem?des, dont, s'il a ? gu?rir, il doit recevoir du soulagement. Acte 2, sc. 8, SECOND MEDECIN, phrase 3
32PREMIER MÉDECIN Nous savons mieux que vous comment vous vous portez, et nous sommes m?decins, qui voyons clair dans votre constitution. Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 1
33MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Mon p?re et ma m?re n'ont jamais voulu de rem?des, et ils sont morts tous deux sans l'assistance des m?decins. Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
34PREMIER MÉDECIN Il est li? et engag? ? mes rem?des, et je veux le faire saisir o? je le trouverai, comme d?serteur de la m?decine, et infracteur de mes ordonnances. Acte 3, sc. 1, PREMIER MÉDECIN, phrase 3
35ORONTE Je le veux bien. Acte 3, sc. 2, ORONTE, phrase 1
36SBRIGANI Tous deux ?galement sont propres ? gober les hame?ons qu'on leur veut tendre ; et entre nous autres fourbes de la premi?re classe, nous ne faisons que nous jouer, lorsque nous trouvons un gibier aussi facile que celui-l?. Acte 3, sc. 3, SBRIGANI, phrase 3
37MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Deux gros joufflus. Acte 3, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 7
38MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Je suis votre serviteur, je ne me veux point mettre sur la t?te un chapeau comme celui-l?, et l'on aime ? aller le front lev? dans la famille des Pourceaugnacs. Acte 3, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
39JULIE Je veux demeurer l?, s'il vous pla?t. Acte 3, sc. 6, JULIE, phrase 1
40ORONTE Je ne veux pas, moi ; et si tu ne rentres tout ? l'heure, je... Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1
41ORONTE Tu ne veux pas te retirer ? Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1
42JULIE Je le veux avoir, moi, puisque vous me l'avez promis. Acte 3, sc. 6, JULIE, phrase 1
43ORONTE Je vous en emp?cherai bien tous deux, je vous assure. Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1
44MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Le m?decin en a menti ; je suis gentilhomme, et je le veux voir l'?p?e ? la main. Acte 3, sc. 6, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
45ORONTE Vous savez bien ce que je veux dire. Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1
46NERINE Ch?s mon mery, Monsieur, et je veux faire pindre che bon pindar l?. Acte 3, sc. 8, NERINE, phrase 5
47MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Voil? deux impudentes carognes ! Acte 3, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
48MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Deux carognes de baragouineuses me sont venu accuser de les avoir ?pous? toutes deux, et me menacent de la justice. Acte 3, sc. 10, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
49SBRIGANI Je le veux, et vais vous conduire chez deux hommes fort habiles ; mais j'ai auparavant ? vous avertir de n'?tre point surpris de leur mani?re de parler ; ils ont contract? du barreau certaine habitude de d?clamation, qui fait que l'on dirait qu'ils chantent, et vous prendrez pour musique tout ce qu'ils vous diront. Acte 3, sc. 10, SBRIGANI, phrase 1
50MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Qu'importe comme ils parlent, pourvu qu'ils me disent ce que je veux savoir. Acte 3, sc. 10, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
51SBRIGANI Et lorsque je l'aurai mis o? je veux... Acte 4, sc. 1, SBRIGANI, phrase 1
52ÉRASTE Cela va le mieux du monde. Acte 4, sc. 1, ÉRASTE, phrase 1
53MONSIEUR DE POURCEAUGNAC Ce n'est pas tant la peur de la mort qui me fait fuir, que de ce qu'il est f?cheux ? un gentilhomme d'?tre pendu, et qu'une preuve comme celle-l? ferait tort ? nos titres de noblesse. Acte 4, sc. 2, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1
54SBRIGANI Voil? qui va ? merveille : mais je remarque une chose, cette coiffe est un peu trop d?li?e, j'en vais qu?rir une un peu plus ?paisse, pour vous mieux cacher le visage, en cas de quelque rencontre. Acte 4, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1
55PREMIER SUISSE Allons, d?peschons, camerade, ly faut allair tous deux nous ? la Cr?ve pour regarter un peu chousticier sti Monsiu de Porcegnac qui l'a est? contan? par ortonnance ? l'estre pendu par son cou. Acte 4, sc. 3, PREMIER SUISSE, phrase 1
56L'EXEMPT Ah, ah, qu'est-ce que je veux dire ? Acte 4, sc. 4, L'EXEMPT, phrase 1
57SBRIGANI Un, deux, trois, quatre, cinq, six sept, huit, neuf, dix. Acte 4, sc. 5, SBRIGANI, phrase 1
58ORONTE Des archers apr?s eux. Acte 4, sc. 6, ORONTE, phrase 2
59ÉRASTE Allons, vous viendrez malgr? vous, et je veux vous remettre entre les mains de votre p?re. Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1
60ÉRASTE Je ne vous bl?me point de vous ?tre soumise aux volont?s de Monsieur votre p?re ; il est sage et judicieux dans les choses qu'il fait et je ne me plains point de lui de m'avoir rejet? pour un autre. Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 3
61ORONTE Vous ?tes une impertinente, et je sais mieux que vous ce qui en est. Acte 4, sc. 7, ORONTE, phrase 2
62ÉRASTE J'avais toutes les ardeurs du monde d'entrer dans votre alliance ; j'ai fait tout ce que j'ai pu pour obtenir un tel honneur, mais j'ai ?t? malheureux, et vous ne m'avez pas jug? digne de cette gr?ce. Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 2
63JULIE Je ne veux point d'autre mari que Monsieur de Pourceaugnac. Acte 4, sc. 7, JULIE, phrase 1
64ORONTE Et je veux, moi, tout ? l'heure, que tu prennes le Seigneur Eraste. Acte 4, sc. 7, ORONTE, phrase 1
65ÉRASTE Ne croyez pas que ce soit pour l'amour de vous que je vous donne la main ; ce n'est que Monsieur votre p?re dont je suis amoureux, et c'est lui que j'?pouse. Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1
66 L'EGYPTIENNE Sortez, sortez de ces lieux, Acte 4, sc. 8, v. 83
67 L'EGYPTIENNE Venez, venez ris et jeux, Acte 4, sc. 8, v. 85
68 L'EGYPTIENNE Soyez toujours amoureux, Acte 4, sc. 8, v. 95
69 L'EGYPTIENNE C'est le moyen d'?tre heureux. Acte 4, sc. 8, v. 96
70 EGYPTIEN, EGYPTIENNE Soyons toujours amoureux : Acte 4, sc. 8, v. 109
71 EGYPTIEN, EGYPTIENNE C'est le moyen d'?tre heureux. Acte 4, sc. 8, v. 110
72 UN MUSICIEN Sont ceux qui sont les plus fous. Acte 4, sc. 8, v. 116

 

Nombre d'occurences de l'expression : eux
par acte et par personnage

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC (1670)
MOLIERE
 Prologue Acte 2 Acte 3 Acte 4 Total
PREMIERE VOIX10001
PREMIERE VOIX10001
DEUXIEME VOIX10001
DEUXIEME VOIX10001
TROISIEME VOIX00001
TROIS VOIX ENSEMBLE00001
JULIE01214
ÉRASTE000012
NERINE00101
SBRIGANI062311
MONSIEUR DE POURCEAUGNAC046111
L APOTHICAIRE00003
LE PAYSAN00000
PREMIER MÉDECIN00005
LA PAYSANNE00000
SECOND MEDECIN01001
SECOND MEDECIN01001
DEUX MUSICIENS00000
PREMIER MUSICIEN00000
SECOND MUSICIEN00000
ORONTE00538
LUCETTE00000
JEANET, FANCHON, MADELAINE00000
L'AVOCAT trainant00000
L'AVOCAT bredouilleur00000
PREMIER SUISSE00011
SECOND SUISSE00000
L'EXEMPT00011
L'EGYPTIENNE00044
CHOEUR DES MUSICIENS00000
L'EGYPTIEN00000
EGYPTIEN, EGYPTIENNE00022
LE PETIT CHOEUR00000
UN MUSICIEN00011
TOUS ENSEMBLE00000
 Total627172272

Graphique

 Locuteurs10 12 14 16 18 20 
 PREMIERE VOIX1 
 PREMIERE VOIX1 
 DEUXIEME VOIX1 
 DEUXIEME VOIX1 
 TROISIEME VOIX1 
 TROIS-VOIX-ENSEMBLE1 
 JULIE121 
 ĂƒÂ‰RASTE75 
 NERINE1 
 SBRIGANI623 
 MONSIEUR DE POURCEAUGNAC461 
 L-APOTHICAIRE3 
 LE PAYSAN 
 PREMIER MÉDECIN41 
 LA PAYSANNE 
 SECOND-MEDECIN1 
 SECOND MEDECIN1 
 DEUX MUSICIENS 
 PREMIER MUSICIEN 
 SECOND MUSICIEN 
 ORONTE53 
 LUCETTE 
 JEANET, FANCHON, MADELAINE 
 L'AVOCAT trainant 
 L'AVOCAT bredouilleur 
 PREMIER SUISSE1 
 SECOND SUISSE 
 L'EXEMPT1 
 L'EGYPTIENNE4 
 CHOEUR DES MUSICIENS 
 L'EGYPTIEN 
 EGYPTIEN, EGYPTIENNE2 
 LE PETIT CHOEUR 
 UN MUSICIEN1 
 TOUS ENSEMBLE 

Légende

 Prologue  Acte 2  Acte 3  Acte 4 

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