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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
ARBATE |
Et je pense, seigneur, entendre ce langage : |
Acte 2, sc. 1, v. 57 |
2 |
ARBATE |
Moi vous bl?mer, Seigneur, des tendres mouvements, |
Acte 2, sc. 1, v. 66 |
3 |
ARBATE |
La tendresse de coeur est une grande marque, |
Acte 2, sc. 1, v. 77 |
4 |
ARBATE |
Et je ne sais quel fruit peut pr?tendre un amour |
Acte 2, sc. 1, v. 154 |
5 |
ARBATE |
De quelque attachement l'invincible tendresse : |
Acte 2, sc. 1, v. 173 |
6 |
LA PRINCESSE |
Du moins si pour pr?tendre ? de sensibles coups |
Acte 2, sc. 3, v. 346 |
7 | MORON |
La plupart des femmes aujourd'hui se laissent prendre par les oreilles : elles sont cause que tout le monde se m?le de musique, et l'on ne r?ussit aupr?s d'elles, que par les petites chansons, et les petits vers qu'on leur fait entendre. |
Acte 5, sc. 1, MORON, phrase 7 |
8 | EURYALE |
Elle a fait ?clater ensuite une disposition toute divine, et ses pieds amoureux sur l'?mail d'un tendre gazon tra?aient d'aimables caract?res qui m'enlevaient hors de moi-m?me, et m'attachaient par des noeuds invincibles aux doux et justes mouvements dont tout son corps suivait les mouvements de l'harmonie. |
Acte 6, sc. 2, EURYALE, phrase 6 |
9 | EURYALE |
Non, Madame, rien n'est capable de toucher mon coeur,, ma libert? est la seule ma?tresse ? qui je consacre mes voeux ; et quand le Ciel emploierait ses soins ? composer une beaut? parfaite, quand il assemblerait en elle tous les dons les plus merveilleux et du corps et de l'?me, enfin quand il exposerait ? mes yeux un miracle d'esprit, d'adresse et de beaut?, et que cette personne m'aimerait avec toutes les tendresses imaginables, je vous l'avoue franchement je ne l'aimerais pas. |
Acte 6, sc. 4, EURYALE, phrase 1 |
10 | PHILIS |
Je veux l'entendre. |
Acte 7, sc. 2, PHILIS, phrase 2 |
11 | LA PRINCESSE |
J'ai toujours regard? l'hymen comme une chose affreuse, et j'avais fait serment d'abandonner plut?t la vie, que de me r?soudre jamais ? perdre cette libert? pour qui j'avais des tendresses si grandes ; mais, enfin, un moment a dissip? toutes ces r?solutions, le m?rite d'un prince m'a frapp? aujourd'hui les yeux ; et mon ?me tout d'un coup ( comme par un miracle ) est devenue sensible aux traits de cette passion que j'avais toujours m?pris?e. |
Acte 8, sc. 1, LA PRINCESSE, phrase 2 |
12 | LA PRINCESSE |
Vous m'avez toujours t?moign? une tendresse extr?me, et je crois vous devoir bien plus par les bont?s que vous m'avez fait voir, que par le jour que vous m'avez donn? : mais si jamais pour moi vous avez eu de l'amiti?, je vous en demande aujourd'hui la plus sensible preuve que vous me puissiez accorder ; c'est de n'?couter point, Seigneur, la demande de ce prince, et de ne pas souffrir que la Princesse Aglante soit unie avec lui. |
Acte 10, sc. 2, LA PRINCESSE, phrase 2 |
13 | LA PRINCESSE |
Puis-je bien, sans mourir, entendre ces paroles, et faut-il que je sois si malheureuse qu'on me soup?onne de l'aimer ? |
Acte 10, sc. 2, LA PRINCESSE, phrase 5 |