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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
TIRCIS |
Et tous ces fameux demi-dieux, |
Acte 1, sc. 5, v. 83 |
2 | ARGAN |
Mon_Dieu, ils me laisseront ici mourir. |
Acte 3, sc. 1, ARGAN, phrase 7 |
3 | TOINETTE |
? Dieu ne plaise ! |
Acte 3, sc. 4, TOINETTE, phrase 1 |
4 | TOINETTE |
Les grimaces d'amour ressemblent fort ? la v?rit? ; et j'ai vu de grands com?diens l?-dessus. |
Acte 3, sc. 4, TOINETTE, phrase 3 |
5 | TOINETTE |
Mon_Dieu tout doux, vous allez d'abord aux invectives. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
6 | ARGAN |
Ma raison est que, me voyant infirme, et malade comme je suis, je veux me faire un gendre? et des alli?s m?decins, afin de m'appuyer de bons secours contre ma maladie, d'avoir dans ma famille les sources des rem?des qui me sont n?cessaires, et d'?tre ? m?me des consultations, et des ordonnances. |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
7 | TOINETTE |
Mon_Dieu je vous connais, vous ?tes bon naturellement. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
8 | BÉLINE |
Mon_Dieu, mon fils, il n'y a point de serviteurs, et de servantes qui n'aient leurs d?fauts. |
Acte 3, sc. 6, BÉLINE, phrase 1 |
9 | LE NOTAIRE |
Il y a d'autres personnes ? consulter, qui sont bien plus accommodantes ; qui ont des exp?dients pour passer doucement par-dessus la loi, et rendre juste ce qui n'est pas permis ; qui savent aplanir les difficult?s d'une affaire, et trouver des moyens d'?luder la coutume par quelque avantage indirect. |
Acte 3, sc. 7, LE NOTAIRE, phrase 3 |
10 | BÉLINE |
Mon_Dieu, il ne faut point vous tourmenter de tout cela. |
Acte 3, sc. 7, BÉLINE, phrase 1 |
11 | POLICHINELLE |
Ah, Dieu soit lou? ! |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 2 |
12 |
ARCHERS |
Adieu, Seigneur, adieu, Seigneur Polichinelle. |
Acte 4, sc. 4, v. 229 |
13 |
ARCHERS |
Adieu, Seigneur, adieu, Seigneur Polichinelle. |
Acte 4, sc. 4, v. 230 |
14 |
ARCHERS |
Adieu, Seigneur, adieu, Seigneur Polichinelle. |
Acte 4, sc. 4, v. 231 |
15 | ARCHERS |
Adieu, Seigneur, adieu, Seigneur Polichinelle. |
Acte 4, sc. 4, ARCHERS, phrase 1 |
16 | TOINETTE |
Qu'on ne la laisse ni sortir, ni parler ? personne, et que ce ne fut que la curiosit? d'une vieille tante qui nous fit accorder la libert? d'aller ? cette com?die, qui donna lieu ? la naissance de votre passion, et nous nous sommes bien gard?[e]s de parler de cette aventure. |
Acte 3, sc. 1, TOINETTE, phrase 2 |
17 | TOINETTE |
Voil? ce que c'est que d'?tudier, on apprend ? dire de belles choses. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
18 | TOINETTE |
Il y en a qui donnent la com?die ? leurs ma?tresses, mais donner une dissection est quelque chose de plus galant. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 2 |
19 |
CLÉANTE |
Dieux, Rois, qui sous vos pieds regardez tout le monde, |
Acte 3, sc. 5, v. 255 |
20 | ARGAN |
Cette com?die-l? est de fort mauvais exemple. |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 2 |
21 | ARGAN |
Allez, mamour, et passez chez votre notaire, afin qu'il exp?die ce que vous savez. |
Acte 3, sc. 6, ARGAN, phrase 1 |
22 | BÉLINE |
Adieu, mon petit ami. |
Acte 3, sc. 6, BÉLINE, phrase 1 |
23 | ARGAN |
Adieu, mamie. |
Acte 3, sc. 6, ARGAN, phrase 1 |
24 | LOUISON |
Au nom de Dieu, mon Papa, que je ne l'aie pas. |
Acte 3, sc. 8, LOUISON, phrase 1 |
25 | ARGAN |
Mon_Dieu ; Louison. |
Acte 3, sc. 8, ARGAN, phrase 5 |
26 | LOUISON |
Elle lui a dit sortez, sortez, sortez, mon_Dieu sortez, vous me mettez au d?sespoir. |
Acte 3, sc. 8, LOUISON, phrase 1 |
27 | ARGAN |
Que d'affaires ; je n'ai pas seulement le loisir de songer ? ma maladie. |
Acte 3, sc. 8, ARGAN, phrase 6 |
28 | ARGAN |
Mon_Dieu ! |
Acte 6, sc. 3, ARGAN, phrase 1 |
29 | BÉRALDE |
Ils savent la plupart de fort belles humanit?s ; savent parler en beau latin, savent nommer en grec toutes les maladies, les d?finir, et les diviser ; mais pour ce qui est de les gu?rir, c'est ce qu'ils ne savent point du tout. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 2 |
30 | ARGAN |
Mais enfin, mon fr?re, il y a des gens aussi sages, et aussi habiles que vous ; et nous voyons que, dans la maladie tout le monde a recours aux m?decins. |
Acte 6, sc. 3, ARGAN, phrase 1 |
31 | BÉRALDE |
Il ne lui faut point vouloir mal de tout ce qu'il pourra vous faire, c'est de la meilleure foi du monde qu'il vous exp?diera, et il ne fera, en vous tuant, que ce qu'il a fait ? sa femme et ? ses enfants, et ce qu'en un besoin il ferait ? lui-m?me. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 4 |
32 | BÉRALDE |
C'est notre inqui?tude, c'est notre impatience qui g?te tout, et presque tous les hommes meurent de leurs rem?des, et non pas de leurs maladies. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 4 |
33 | BÉRALDE |
Mon_Dieu, mon Fr?re, ce sont pures id?es, dont nous aimons ? nous repa?tre ; et, de tout temps, il s'est gliss? parmi les hommes de belles imaginations, que nous venons ? croire, parce qu'elles nous flattent et qu'il serait ? souhaiter qu'elles fussent v?ritables. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
34 | BÉRALDE |
Ce que j'en dis n'est qu'entre nous, et j'aurais souhait? de pouvoir un peu vous tirer de l'erreur o? vous ?tes ; et pour vous divertir vous mener voir sur ce chapitre quelqu'une des com?dies de Moli?re. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 2 |
35 | ARGAN |
C'est un bon impertinent que votre Moli?re avec ses com?dies, et je le trouve bien plaisant d'aller jouer d'honn?tes gens comme les m?decins. |
Acte 6, sc. 3, ARGAN, phrase 1 |
36 | BÉRALDE |
Il a ses raisons pour n'en point vouloir, et il soutient que cela n'est permis qu'aux gens vigoureux et robustes, et qui ont des forces de reste pour porter les rem?des avec la maladie ; mais que pour lui il n'a justement de la force, que pour porter son mal. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
37 | MONSIEUR FLEURANT |
De quoi vous m?lez-vous de vous opposer aux ordonnances de la M?decine, et d'emp?cher Monsieur de prendre mon clyst?re ; vous ?tes bien plaisant d'avoir cette hardiesse-l? ? |
Acte 6, sc. 4, MONSIEUR FLEURANT, phrase 1 |
38 | BÉRALDE |
Encore un coup, mon Fr?re, est-il possible qu'il n'y ait pas moyen de vous gu?rir de la maladie des m?decins, et que vous vouliez ?tre toute votre vie enseveli dans leurs rem?des ? |
Acte 6, sc. 4, BÉRALDE, phrase 2 |
39 | ARGAN |
Mon_Dieu, mon Fr?re, vous en parlez comme un homme qui se porte bien ; mais si vous ?tiez ? ma place, vous changeriez bien de langage. |
Acte 6, sc. 4, ARGAN, phrase 1 |
40 | MONSIEUR PURGON |
Voil? une hardiesse bien grande, une ?trange r?bellion d'un malade contre son m?decin. |
Acte 6, sc. 5, MONSIEUR PURGON, phrase 1 |
41 | ARGAN |
Mon_Dieu ! |
Acte 6, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
42 | ARGAN |
Mon_Dieu, je suis mort. |
Acte 6, sc. 6, ARGAN, phrase 2 |
43 | ARGAN |
Vous voyez, mon Fr?re, les ?tranges maladies dont il m'a menac?. |
Acte 6, sc. 6, ARGAN, phrase 1 |
44 | ARGAN |
Voyez-vous, j'ai sur le coeur toutes ces maladies-l? que je ne connais point, ces... |
Acte 6, sc. 7, ARGAN, phrase 1 |
45 | TOINETTE |
Je d?daigne de m'amuser ? ce menu fatras de maladies ordinaires, ? ces bagatelles de rhumatisme et d?fluxions, ? ces fi?vrottes, ? ces vapeurs, et ? ces migraines. |
Acte 6, sc. 10, TOINETTE, phrase 2 |
46 | TOINETTE |
Je veux des maladies d'importance, de bonnes fi?vres continues, avec des transports au cerveau, de bonnes fi?vres pourpr?es, de bonnes pestes, de bonnes hydropisies form?es, de bonnes pleur?sies, avec des inflammations de poitrine, c'est l? que je me plais, c'est l? que je triomphe ; et je voudrais, Monsieur, que vous eussiez toutes les maladies que je viens de dire, que vous fussiez abandonn? de tous les m?decins, d?sesp?r?, ? l'agonie, pour vous montrer l'excellence de mes rem?des, et l'envie que j'aurais de vous rendre service. |
Acte 6, sc. 10, TOINETTE, phrase 3 |
47 | TOINETTE |
Adieu. |
Acte 6, sc. 10, TOINETTE, phrase 1 |
48 | ARGAN |
L'inqui?tude que lui donne ma maladie. |
Acte 6, sc. 11, ARGAN, phrase 1 |
49 | TOINETTE |
Mon_Dieu ! |
Acte 6, sc. 12, TOINETTE, phrase 2 |
50 | TOINETTE |
Voil? le vrai moyen de vous gu?rir bient?t ; et il n'y a point de maladie si os?e, que de se jouer ? la personne d'un m?decin. |
Acte 6, sc. 14, TOINETTE, phrase 2 |
51 | ARGAN |
Je pense, mon Fr?re, que vous vous moquez de moi : est-ce que je suis en ?ge d'?tudier ? |
Acte 6, sc. 14, ARGAN, phrase 1 |
52 | BÉRALDE |
Bon, ?tudier. |
Acte 6, sc. 14, BÉRALDE, phrase 1 |
53 | ARGAN |
Mais il faut savoir bien parler latin, conna?tre les maladies, et les rem?des qu'il y faut faire. |
Acte 6, sc. 14, ARGAN, phrase 1 |
54 | ARGAN |
Quoi l'on sait discourir sur les maladies quand on a cet habit-l? ? |
Acte 6, sc. 14, ARGAN, phrase 1 |
55 | BÉRALDE |
Les com?diens ont fait un petit interm?de de la r?ception d'un m?decin, avec des danses et de la musique, je veux que nous en prenions ensemble le divertissement, et que mon fr?re y fasse le premier personnage. |
Acte 6, sc. 14, BÉRALDE, phrase 2 |
56 | BÉRALDE |
Nous y pouvons aussi prendre chacun un personnage, et nous donner ainsi la com?die les uns aux autres. |
Acte 6, sc. 14, BÉRALDE, phrase 3 |