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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
FLORE |
Accourez, accourez sous ces tendres ormeaux ; |
Acte 1, sc. 1, v. 3 |
2 |
FLORE |
Accourez, accourez, sous ces tendres ormeaux. |
Acte 1, sc. 1, v. 8 |
3 | ANGÉLIQUE |
Et voudrais-tu que je fusse insensible aux tendres protestations de cette passion ardente qu'il t?moigne pour moi ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
4 | ANGÉLIQUE |
Qu'on ne peut rien entendre de plus passionn? que tout ce qu'il me dit ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
5 | TOINETTE |
La tendresse paternelle vous prendra. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
6 | TOINETTE |
Une petite larme, ou deux, des bras jet?s au cou, un mon petit Papa mignon, prononc? tendrement, sera assez pour vous toucher. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
7 | ARGAN |
Voil? une coutume bien impertinente, qu'un mari ne puisse rien laisser ? une femme dont il est aim? tendrement, et qui prend de lui tant de soin. |
Acte 3, sc. 7, ARGAN, phrase 1 |
8 | BÉLINE |
Et je suivrai vos pas, pour vous faire conna?tre la tendresse que j'ai pour vous. |
Acte 3, sc. 7, BÉLINE, phrase 1 |
9 | BÉLINE |
Monsieur, vous ne savez pas ce que c'est qu'un mari, qu'on aime tendrement. |
Acte 3, sc. 7, BÉLINE, phrase 2 |
10 | ARCHERS |
Dis ton nom, dis ton nom, sans davantage attendre. |
Acte 4, sc. 1, ARCHERS, phrase 1 |
11 | CLÉANTE |
Je n'ai pas une voix ? chanter ; mais ici il suffit que je me fasse entendre, et l'on aura la bont? de m'excuser par la n?cessit? o? je me trouve, de faire chanter Mademoiselle. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 2 |
12 | CLÉANTE |
C'est proprement ici un petit op?ra impromptu, et vous n'allez entendre chanter que de la prose cadenc?e, ou des mani?res de vers libres, tels que la passion, et la n?cessit? peuvent faire trouver ? deux personnes, qui disent les choses d'eux-m?mes, et parlent sur-le-champ. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 1 |
13 | CLÉANTE |
Il prend soin de les arr?ter, ces larmes, qu'il trouve si belles ; et l'aimable Berg?re prend soin en m?me temps de le remercier de son l?ger service, mais d'une mani?re si charmante, si tendre, et si passionn?e, que le Berger n'y peut r?sister, et chaque mot, chaque regard, est un trait plein de flamme, dont son coeur se sent p?n?tr?. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 8 |
14 | CLÉANTE |
Il y rencontre les appr?ts de tout ce qu'il craint ; il y voit venir l'indigne rival, que le caprice d'un p?re oppose aux tendresses de son amour. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 19 |
15 | THOMAS DIAFOIRUS |
Quant ? moi, Mademoiselle, elle est d?j? toute n?e en moi, et je n'ai pas besoin d'attendre davantage. |
Acte 3, sc. 6, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 1 |
16 | BÉRALDE |
Non, mon Fr?re, laissons-la l? ; c'est une femme qui a les meilleures intentions du monde pour votre famille, et qui est d?tach?e de toute sorte d'int?r?t, qui a pour vous une tendresse merveilleuse, et qui montre pour vos enfants une affection et une bont? qui n'est pas concevable : cela est certain. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
17 | BÉRALDE |
Lorsqu'un m?decin vous parle d'aider, de secourir, de soulager la nature, de lui ?ter ce qui lui nuit, et lui donner ce qui lui manque, de la r?tablir, et de la remettre dans une pleine facilit? de ses fonctions : lorsqu'il vous parle de rectifier le sang, de temp?rer les entrailles, et le cerveau, de d?gonfler la rate, de raccommoder la poitrine, de r?parer le foie, de fortifier le coeur, de r?tablir et conserver la chaleur naturelle, et d'avoir des secrets pour ?tendre la vie ? de longues ann?es ; il vous dit justement le Roman de la M?decine. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 3 |
18 | BÉRALDE |
Il me semble, ? vous entendre, que Monsieur Purgon tienne dans ses mains le filet de vos jours, et que d'autorit? supr?me il vous l'allonge et vous le raccourcisse comme il lui pla?t. |
Acte 6, sc. 6, BÉRALDE, phrase 3 |